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Lahr/Schwarzwald (All) : un migrant agresse une jeune fille dans le vestiaire, le propriétaire de la salle l’attrape
FDS
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Belgique : Les migrants à l’assaut des côtes de Zeebruges
Migrants : à l'assaut des côtes belges19h42Certains migrants à bout d’espoir tentent désormais de passer par la Belgique. Le port de Zeebruges bientôt un nouveau Calais? C’est en tout cas ce que redoutent les autorités belges confrontées à un afflux de migrants ces dernières semaines.
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Résistance Républicaine privée de manifestation anti-islamisation à Saint-Brieuc ?
Communiqué. « Nous apprenons par un article de Ouest France de ce jour que le Préfet aurait décidé d’interdire à Saint-Brieuc la manifestation qui doit avoir lieu à l’appel de Pegida dans 14 pays européens et plusieurs villes françaises sur le thème « Sauvons notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur ». Cette manifestation est organisée et a été déclarée par le responsable Côtes d’Armor de notre association, Mickael Bussard.
Nous nous étonnons vivement que le Préfet des Côtes d’Armor qui représente l’Etat justifie cette interdiction par des commentaires et des prises de positions personnelles. Est-il habituel, en France, que les préfets n’acceptent que les manifestations avec lesquelles ils sont en phase et en accord intellectuel ?
Ses assertions montrent clairement qu’il utilise sa fonction à des fins idéologiques : « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante. Je ne suis pas en phase avec ces thèses racistes, provocatrices et xénophobes. » Il précise qu’il « ne souhaite ni cette manifestation ni la contre-manifestation annoncée par ailleurs ».
Il s’agit là d’une instrumentalisation et d’une intrusion du politique dans la liberté de manifester reconnue par la constitution que nous ne pouvons accepter.
Nous nous réservons d’ailleurs également le droit d’engager une procédure pour injures publiques. »
Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine
NDF
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Mais qu’arrive-t-il à la Suède et au Danemark ?
Jusqu’à 80.000 migrants vont être expulsés du sol suédois, c’est-à-dire la moitié des demandes d’asile du pays.Étudiant en droitSuite à la vague sans précédent de migrants, les Suédois viennent de frapper fort dans l’Europe entière : jusqu’à 80.000 migrants vont être expulsés du sol suédois, c’est-à-dire la moitié des demandes d’asile du pays.
La social-démocratie suédoise, dont on nous vend, en France, tous les mérites tant au niveau de l’intégration que de l’emploi et du système syndical, durcit le ton. Ironie des ironies, des avions « charters » renverront les migrants : le caractère « inhumain » du procédé qui choquait, en 2003, les associations de défense des étrangers en France sera celui qu’utilisera le modèle d’intégration et d’emploi de ces mêmes associations.
Les « terres promises » des migrants disent « stop » ! Certains blâment l’absence de coordination européenne, d’autres le manque d’engagement des autres pays dans la crise migratoire : la Suède et le Danemark n’en peuvent plus et les heurts s’amplifient. Récemment, c’est une des gérantes d’un centre d’hébergement qui est morte sous les coups de couteau d’un migrant de 15 ans. Dans le même temps, certains irresponsables comme Jean-Claude Juncker n’hésitent pas à renvoyer la balle aux pays de l’Union en affirmant qu’il s’est « enclenché une spirale négative dans laquelle les gouvernements nationaux restreignent leur régime d’asile pour le rendre moins attrayant que celui du pays voisin, tandis que les responsables politiques alimentent un populisme qui n’apporte que de la colère, et non des solutions ». Sacrée patate chaude…
On pourrait peut-être trouver une raison plus crédible que l’absence de coordination européenne pour justifier cette décision : les Suédois commencent tout simplement à comprendre que leur mode de vie risque d’être complètement bouleversé par l’arrivée des migrants. Ils agissent en conséquence pour le préserver !
Le Danemark n’est pas en reste, d’ailleurs, puisqu’il a remis ses contrôles aux frontières (mais où est passé Schengen, sacrebleu ?) et vient de voter une loi pour confisquer les biens des migrants au-delà de 1.340 euros… La loi a fait un tollé et une bonne vieille reductio ad hitlerum n’a pas tardé à être envoyée par le Washington Post. François Gemenne, professeur en science politique à l’université de Liège et spécialiste des flux migratoires, s’offusque : « Avec la loi danoise, on a franchi un palier supplémentaire dans l’ignominie, quasiment dans l’indifférence générale. »
Elle est belle, cette social-démocratie dont vous nous vendiez les charmes ! Malheureusement, tout comme vous, elle se confronte à la dure et violente arrivée des migrants sur notre sol. François Hollande nous a affirmé que la France était une social-démocratie : suivons le modèle de nos « grands frères », alors !
BOULEVARD VOLTAIRE -
Regardez cette photo !
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A-t-on été manipulé dans l’affaire Sauvage ?
14h48La famille de Jacqueline Sauvage est allée réclamer ce vendredi la grâce présidentielle à François Hollande. Florence Rault voit dans l’émotion suscitée par cette affaire la poussée d’un féminisme victimaire qui voudrait se substituer à la justice.
Le traitement de «l’affaire Sauvage», illustre jusqu’à la caricature ce qu’est devenu le débat public. Approximations, ignorance, inculture juridique, androphobie, hystérie, se marient pour imposer UNE vérité et la mettre au service d’UNE cause.
(…) L’analyse d’un dossier comme source d’information vaut toujours mieux que la notice Wikipédia pour parler sérieusement d’un tel cas. Or ce dossier fait apparaître une autre réalité. Le récit que la clameur vient de nous infliger est tout simplement faux.
Jacqueline Sauvage est restée mariée 47 ans avec un homme dont elle a eu 4 enfants. Les violences qu’elle aurait subies durant toute cette fort longue période ne sont attestées que par un seul certificat médical récent. Même si des témoignages de voisins et de relations parlent d’un homme manifestement colérique. À cette inertie quasi cinquantenaire, les militants répondent: «emprise». Notion commode et utilisée à tout propos, qui devrait pourtant recouvrir des situations très différentes. Non, les femmes ne sont pas systématiquement victimes de tout et responsables de rien. Et la violence des femmes n’est pas toujours tentative d’échapper à une emprise.
En ce qui concerne le passage à l’acte, il faut rappeler que Jacqueline Sauvage a abattu son mari avec son propre fusil alors qu’il était immobile sur sa terrasse, de trois balles dans le dos. Et qu’elle pratiquait la chasse en tireuse expérimentée. À cela, les militants répondent: «souvenirs post-traumatiques». Si l’on comprend bien, à la suite d’une nouvelle altercation Jacqueline Sauvage aurait brutalement été confrontée aux souvenirs de 47 ans de martyr jusqu’alors refoulés.(…) Concernant le contexte familial des Sauvage il est intéressant de rappeler que les quatre enfants du couple avaient fait leur vie depuis longtemps, l’aînée ayant déjà 50 ans… Que la présentation d’une fratrie dévastée par le caractère monstrueux du père ne résiste pas à l’examen du dossier.
Autre détail déplaisant, l’épisode du suicide du fils la veille du meurtre est souvent présenté comme étant aussi à l’origine du déclic. Problème: Jacqueline Sauvage ne le savait pas quand elle a abattu son mari. Les débats ont plutôt fait apparaître un fils trouvant dans la mort le moyen d’échapper à l’emprise de la mère.
C’est sans doute ce récit qu’on retenu ceux qui sont intervenus dans ce dossier et ceux qui l’ont jugé, en toute connaissance de cause après une procédure dont personne n’a contesté la régularité.(…) Le FigaroVox
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Estrosi a dit...
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Apartheid au conseil régional : personne ne veut s’asseoir à côté des élus FN
Conseil régional IDF
Source : Boulevard Voltaire
Il y en a pour qui accepter les règles de la démocratie n’est pas chose simple.Il y en a pour qui accepter les règles de la démocratie n’est pas chose simple. De ces partis politiques pourtant autoproclamés héritiers des valeurs de la République. À s’en attribuer le patronyme. Républicains.
Les élections régionales ont vu entrer des conseillers régionaux FN par dizaines dans des hémicycles peu enclins à partager leur terrain de jeux, et l’aller-retour entre les déclarations de principe et la mise en place de la volonté des urnes tourne au cul-de-sac.
Ainsi, pour la première session du conseil régional d’Île-de-France présidée par Valérie Pécresse, les élus FN ont eu la surprise de voir les sièges autour d’eux vacants.
Isolés de leurs homologues Les Républicains par quatre places laissées vides entre le rang de la majorité et celui des élus frontistes.
Le président du groupe FN, Wallerand de Saint-Just, a adressé un courrier à la présidente de la région pour dénoncer cette politique de la chaise vide, en précisant que le lendemain, à la commission permanente, cela avait recommencé, la « présidence » ayant supprimé un siège à côté d’une élue FN pour que l‘élu suivant, du Front de gauche, n’ait pas de contact avec elle.
Manquerait plus que ça.Il y aurait donc des élus fréquentables et des sous-élus, ceux de seconde zone, tolérés, mais physiquement tenus à l’écart par un vide sanitaire sous forme d’humiliation déguisée. Oui, mais des sous-élus n’existent que par la volonté de sous-électeurs. Et c’est Marianne qu’on assassine à défaut d’insulter 6 millions de Français.
Madame Pécresse s’est donc justifiée, par des mots d’excuse qui rabaissent plus qu’ils ne consolent. « Il se trouve qu’il y a 4 sièges en trop par rapport au nombre d’élus et qu’ils sont tombés là. » Pas de bol.
Citée par L’Opinion, Mme Pécresse expliquera : « Ce n’est pas notre faute, personne ne veut s’asseoir à côté d’eux ! »
Nous y voilà.En Bourgogne-Franche-Comté également, le résultat des urnes bouscule les habitudes de ceux qui gouvernent sans contradiction depuis plusieurs décennies.
Le vote du 21 janvier en assemblée plénière a permis aux élus frontistes d’être désormais représentés dans les conseils d’administration des lycées. Une répartition à l’image de la composition de la nouvelle assemblée régionale.
Une réalité sortie des urnes qui a du mal à passer, d’autant que des voix socialistes se sont mêlées à celles du Front national lors de ce vote, faisant ainsi rompre « une petite digue », comme l’a déclaré Sophie Montel, présidente du groupe frontiste. Seul le groupe d’opposition Les Républicains-UDI s’est prononcé contre. On respire.Des élus FN dans les lycées, chasse gardée de l’intelligentsia gauchiste depuis 1968, c’est un pavé dans la mare de la bien-pensance. Celle qui vise à préformater nos chères têtes blondes à coups de relecture de l’Histoire de France, de théories du genre en tout genre et d’associations héritées de SOS Racisme.
Non, décidément, ces 6 millions d’électeurs FN n’ont pas dû bien soupeser les conséquences de leur bulletin de vote en décembre dernier. De chaise musicale en apartheid organisé, la seule présence de leurs représentants bouscule, à elle seule, le doux ronronnement d’une caste politique ankylosée, percluse de suffisance et adepte d’une démocratie à tolérance variable.Anne-Sophie Désir
Juriste -
L'islam à l'Académie française !
DélitD'images
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Rome : manifestation monstre contre le mariage inverti
30 janvier 2016 par Pierrot - Contre-info.comCe samedi 30 janvier, le Circo Massimo a été envahi par une foule immense, débordant de toutes parts l’enceinte pourtant gigantesque du célèbre site antique. Les premiers arrivants ont pu s’installer par terre, jusqu’en fin de matinée, pour déjeuner dans une ambiance détendue et familiale. Puis les Italiens continuant d’arriver en masse, le Circo Massimo s’est retrouvé totalement saturé : les abords pourtant peu praticables, comme les voies attenantes, ont été eux aussi rapidement envahis. Plus de 1600 cars et des dizaines de trains spéciaux avaient été affrétés par les organisateurs pour permettre aux familles de participer à ce rassemblement historique.
Mobilisés contre le projet de loi Cirinnà, projet d’union gay autorisant notamment l’adoption par le conjoint de même sexe, les Italiens ont réclamé à nouveau le retrait du texte, comme ils l’avaient déjà fait le 20 juin à Rome lors d’une première manifestation qui avait rassemblé 1 million de personnes.
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Disneyland Paris : « la piste terroriste écartée »…
Vous avez comme un doute ? Moi aussi.JuristeSG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBMContrairement à ce que laissent penser certaines idées reçues, l’actualité regorge de petits détails savoureux et humoristiques. Ainsi, ce jeudi, aux alentours de 14 heures, un homme a été appréhendé à l’entrée de l’hôtel New York du parc d’attractions Disneyland Paris. Il était en possession de deux pistolets de petit calibre, d’une boîte de cartouches et d’un Coran. L’homme est converti à l’islam. Âgé de 28 ans, cogérant d’une brasserie parisienne, il avait réservé une chambre pour deux personnes et comptait séjourner avec sa compagne.
À l’examen des faits, et compte tenu de la situation internationale et nationale, nombreux sont ceux qui penseront qu’un nouvel attentat terroriste islamiste a été déjoué. Ils se trompent. L’homme a déclaré « craindre pour sa sécurité » et « vouloir être en capacité de se protéger ». Logique, le parc Disneyland Paris est bien connu pour être un des coins chauds de la banlieue parisienne. On y risque sa vie à chaque instant. Les files d’attente durent des heures, les manèges donnent le tournis et l’excès de sucre américanisé peut entraîner le diabète...
Cette histoire abracadabrantesque a pourtant été avalée par les enquêteurs, qui estiment la piste terroriste « écartée ». Un converti à l’islam, armé, muni d’un Coran et séjournant dans un lieu hautement touristique symbolisant une facette de l’Occident (à vous de juger si c’est pour le pire) ne peut pas être un terroriste islamiste. Voyez-vous, ce monsieur était « inconnu » des services de renseignement. On constate, depuis quelque temps, qu’une large majorité des auteurs d’attentats sont fichés S. Pas besoin de pousser l’enquête plus loin, et croyons ce gérant de brasserie sur parole !
Vous avez comme un doute ? Moi aussi. Je ne suis pas l’inspecteur Columbo, mais mon petit doigt me dit que l’homme peut mentir et que le faisceau d’indices est édifiant. L’évidence est difficile à admettre pour les aveugles. Pensez donc qu’Éric Woerth a récemment affirmé que l’affaire Merah n’était pas un acte terroriste. Du délire.
L’État islamique a lancé un appel aux autoradicalisés. Ils doivent passer à l’action n’importe où, n’importe quand. Frapper au hasard pour entretenir le climat de psychose. Les candidats au suicide, dépressifs et autres asociaux peuvent trouver là une aubaine pour partir en fanfare. À mon avis, c’est même très précisément ce qu’il s’est passé au commissariat de la Goutte-d’Or au début du mois. Et ce qu’il se passe depuis l’an dernier avec les nombreux cas de terroristes « pieds nickelés » (les marchés de Noël attaqués en décembre 2014 en témoignent).
Je ne peux pas affirmer que l’homme arrêté à Disneyland Paris cherchait à perpétrer un attentat. Mais il me paraît néanmoins très difficile de l’exclure aussi rapidement que ne l’ont fait les enquêteurs. Ce énième cas révèle que de nombreuses personnes instables émotionnellement, et animées d’une idéologie étrangère profondément mortelle, sont aujourd’hui armées. Plus qu’inquiétant. Il est à craindre que l’année 2016 ne finisse comme sa devancière s’est achevée : dans les larmes.
BOULEVARD VOLTAIRE -
Après le chômage, la délinquance et la démographie, voici les mauvais chiffres de l’immigration
Pascal Célérier, professeur de lettres classiques qui estime que, sans le latin et le grec, on ne peut comprendre ni nos langues ni nos cultures, nationale et européenne.
♦ A la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins !
Janvier est le mois des bilans de l’année écoulée et, après les mauvais chiffres du chômage, de la délinquance et de la démographie, ceux de l’immigration viennent de tomber. Mauvais, eux aussi. Certes, il n’y a rien d’étonnant, vu la crise migratoire que l’Union européenne, Mme Merkel et M. Hollande ont, par leur imprévoyance et leur inconséquence, amplifiée, créant les situations de chaos multiformes dont les symboles, désormais historiques, ont pour nom Calais et Cologne.
On aurait pu espérer que notre gouvernement, contraint d’ouvrir les yeux sur l’ampleur du désastre et d’abandonner la politique des « frontières ouvertes », ait enfin pris le taureau par les cornes. Le grand aggiornamento idéologique des socialistes au pouvoir, qui piochent désormais sans retenue dans le langage et les préconisations de la droite ou du Front national, pouvait le laisser croire. Et M. Cazeneuve, nous dit la presse, comptait hier, lors d’une réunion à Amsterdam avec ses homologues, « taper du poing sur la table » pour exiger que l’Union en finisse avec l’Europe passoire de Schengen.
Sauf que la fermeté médiatique et européenne de M. Cazeneuve sur la question des migrants a été contredite hier par les chiffres qui concernent, précisément, le domaine dont il est directement responsable : à la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins ! Sur 100.000 clandestins appréhendés, moins de 20.000 ont été reconduits aux frontières, soit 7 % de moins qu’en 2014 !
Plusieurs parlementaires de droite pointent le double langage du gouvernement : alors que M. Valls a assuré que les 50.000 déboutés du droit d’asile devaient être renvoyés dans leurs pays, la France ne renvoie que 20.000 clandestins au total !
Pire : la majorité de gauche légifère dans le sens du laxisme, défaisant à l’Assemblée ce que les sénateurs avaient durci dans le projet du gouvernement sur le « droit des étrangers ». Il s’agissait de faciliter les éloignements en plaçant les clandestins en rétention et en diminuant les délais de recours.
Si MM. Hollande, Valls et Cazeneuve veulent vraiment nous convaincre de la sincérité de leur conversion, il faudra qu’ils puissent nous fournir des preuves, des lois et des chiffres. Or, pour le moment, on est très loin du compte !
Mais le peuvent-ils seulement ? Comme pour l’affaire de la déchéance de nationalité, leur virage droitier ne fait qu’exacerber les contradictions de la gauche, qui se révéleront explosives. D’ailleurs, ces jours-ci, l’hypothèse que M. Hollande ne soit même pas en situation de se représenter refaisait surface chez plusieurs membres du premier cercle…
Pascal Célérier
26/01/2016Source : Boulevard Voltaire.fr
Voir aussi : Pourquoi j’étais en grève hier
Correspondance polémia – 30/01/2016
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Florian Philippot sur LCI
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Affaire Jacqueline Sauvage : «L'émotion ignorante et la compassion téléguidée !»
FIGAROVOX/TRIBUNE - Philippe Bilger estime que l'émotion compréhensible qu'a suscité l'affaire Jacqueline Sauvage ne doit pas aller à l'encontre des décisions rendues par la justice.
Chaque semaine, Philippe Bilger prend la parole, en toute liberté, dans FigaroVox. Il est magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole. Il tient le blog Justice au singulier et est l'auteur de Ordre et désordres paru aux Éditions Le Passeur en avril 2015.
L'impérialisme de l'émotion ignorante est dévastateur.
Jacqueline Sauvage, accusée du meurtre, au mois de septembre 2012, de son époux, a été condamnée en première instance et en appel, le 3 décembre 2014, par deux cours d'assises à la même peine de dix ans d'emprisonnement.
D'abord trois magistrats plus six citoyens.
Puis trois magistrats plus neuf citoyens.
Depuis ce dernier arrêt, manifestations, pétition en ligne, demande de grâce présidentielle, cette effervescence multiple qui ne manque pas de suivre les procès renvoyant à tort ou à raison à des faits de société. En l'occurrence, les violences faites aux femmes.
Le féminisme - jusqu'aux Femen seins nus, c'est capital! - a trouvé matière, sur cette tragédie, à apposer une grille de dénonciations générales abstraites sans rien connaître des détails et des mystères de cette histoire familiale. Parce qu'une femme a été, durant quarante-sept ans, victime de coups, d'humiliations et d'abus sexuels et qu'elle y a mis fin en tuant son mari odieux, elle serait forcément et légitimement une héroïne de la cause féministe? Parce qu'une mère a vu deux de ses filles sur trois être battues et violées sans réagir pendant longtemps à cause de la terrible emprise de l'époux, elle deviendrait sinon exemplaire du moins judiciairement bénéficiaire de la plus extrême indulgence?
Entendons-nous bien. La réalité de cette vie d'enfer a été prouvée et elle inspire pitié et compassion. De même que l'existence des agressions graves sur les deux sœurs.
Il n'en demeure pas moins que l'interrogation de la présidente en appel: «pourquoi ne pas avoir déposé plainte?» est elle-même compréhensible et qu'il n'est pas nécessaire d'avoir été présent lors des délibérés, quand on a un peu d'expérience, pour appréhender l'ensemble des problématiques qui ont dû être débattues. Par exemple, en effet, pourquoi une si longue passivité même terrorisée alors que les filles étaient passées sous le terrible joug paternel? Pourquoi cette mort causée par des tirs dans le dos? Pourquoi, face à l'horreur du quotidien, pas la moindre fuite ni résistance sinon par le meurtre si tardivement? Rien et, enfin, un tout irréversible!
Je conçois qu'à ces questions qui ne sont pas déshonorantes, on trouve des réponses favorables à l'accusée parce que la psychologie et les profondeurs de l'être entraînent l'humanité parfois sur des chemins imprévisibles, déroutants et pourtant admissibles. Il n'en demeure pas moins qu'il n'est pas honteux de s'étonner.
Les deux avocates de Jacqueline Sauvage ont plaidé l'acquittement au nom d'une définition extensive de la légitime défense. Pourquoi pas? Mais, à deux reprises, elles n'ont pas convaincu.
Les filles de Jacqueline Sauvage ont immédiatement hurlé à l'injustice et considéré que leur mère aurait dû être acquittée parce que, selon elles, leur père était «un monstre, une bombe…». Leur réaction est évidemment conforme à ce qu'on pouvait attendre d'une telle histoire familiale mais doit-elle forcément, au-delà de la douleur qui l'inspire, servir de guide à tous?
A quel titre un comité de soutien comprenant notamment l'actrice Eva Darlan, Anne Hidalgo, Jean-Christophe Lagarde, Daniel Cohn-Bendit, Jean-Luc Mélenchon, NKM et Valérie Boyer - ces deux dernières lui rendant même visite en prison! - et une cinquantaine de parlementaires, a-t-il cru bon de se constituer et de venir «soutenir» Jacqueline Sauvage comme si la France n'était pas un état de droit et les jurys de cour d'assises composés par des gens honorables? Parce que ce comité, qui n'a pas assisté au procès et n'a pas eu accès au dossier, serait naturellement plus apte que ces citoyens qui ont jugé et condamné à deux reprises? Parce qu'on aurait besoin de lui pour qu'à l'évidence une exécution de la peine, allant jusqu'au plus extrême de l'indulgence pénitentiaire, soit concédée à Jacqueline Sauvage, alors que cela ira de soi!
Le comble, une accusée acquittée pour le meurtre de son mari, avec une histoire et un comportement différents de ceux de Jacqueline Sauvage, réclame également sa grâce. A quand, on ne sait jamais, des attestations de moralité délivrées par des condamnés pour des coupables!
Il est dramatique, en tout cas pour la démocratie et le respect des pouvoirs qui lui donnent sens et crédit, que des personnalités politiques de tous bords s'immiscent dans ce qu'elles ne connaissent pas et viennent, avec démagogie et dans la confusion, porter atteinte à une institution judiciaire fondamentale de notre pays puisqu'elle permet au peuple, assisté par des professionnels, de juger les crimes. Quelle légèreté derrière ces interventions suscitées par l'émotion ignorante et la compassion téléguidée! Ceux qui savent ont jugé. Ceux qui jugent les juges ne savent rien.
Ou bien faut-il aller jusqu'à considérer, derrière cette fronde à forte tonalité parisienne, une condescendance, un mépris pour ces cours d'assises de province qui seraient incapables de maîtriser le féminisme et d'appréhender la vérité parce qu'elle serait trop complexe et trop politique pour elles?
Alors que c'est exactement le contraire. Ce que ces juridictions ont mesuré est le poids d'un singulier tragique sur lequel les abstractions féministes et plurielles ne pouvaient pas avoir prise parce que les jurés étaient présents et que le comité était absent!
Perversion française. Une justice criminelle assurée à deux reprises. Un mouvement de contestation, un comité de soutien créés de toutes pièces battant en brèche deux arrêts incontestables. Pire encore, l'excellente députée LR Valérie Boyer profite de cette opportunité judiciaire pour proposer une réforme de la légitime défense. La boucle française est là dans sa pureté désastreuse. L'autorité de la justice défaite par ceux qui devraient la faire respecter et le prurit législatif favorisé.
Pour couronner ou dégrader, le président de la République recevra la famille de Jacqueline Sauvage le 29 janvier. Si Nicolas Sarkozy s'était permis cette démagogique démarche, que n'aurait-on pas entendu!
Alors que, avant l'octroi d'une éventuelle grâce présidentielle, il serait apparemment possible, par une procédure devant le TAP d'Orléans, d'obtenir que puisse être envisagée une libération conditionnelle pour l'été 2016.
Celle-ci n'aurait rien de choquant.
Mais, de grâce, que les politiques se mêlent de ce qui les regarde et ne se croient pas trop souvent obligés de se camper tels des Zola de l'infiniment pauvre face à des scandales fantasmés et à des injustices décrétées!
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Eric Woerth face à Florian Philippot
L'invité politique de Laurence Ferrari du 28/01... par ITELE -
ViDEO - Intervention d'Eléonore Bez au Conseil Régional PACA au sujet de la Villa Méditerranée
Marseille le 29 01 2016
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Plus libres, plus forts : une autre Europe est possible
Discours / 29 janvier 2016 / Étiquettes : Euro, Immigration /
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Intervention d'Eléonore BEZ, conseillère régionale Front National PACA sur la Villa Méditerranée
La Villa Méditerranée a été construite à Marseille en 2013, dans le cadre de Marseille capitale de la culture. Voulue par Michel Vauzelle, alors président PS de la région PACA, qui n'a pas regardé à la dépense de son propre aveu.
Son souhait était d'en faire une ambassade à la gloire des peuples du bassin sud de la méditerranée pour lutter contre l'exclusion, le rejet de l'autre, et la montée du Front National. Christian Estrosi avait promis de la vendre pour combler une partie des 2.6 milliards d'euros de dettes de la région PACA après 18 ans de socialisme.
Aujourd'hui, volte-face : il ne compte plus vendre cet édifice hideux et très coûteux pour le contribuable !
Voici l'intervention d'Eléonore BEZ, conseillère régionale PACA Front National, ce jour en séance plénière :
Mon intervention de ce matin au CR PACA sur la Villa Méditerranée.
Monsieur le Président, mes chers collègues,
La Villa Méditerranée, caprice du Président Vauzelle, votre prédécesseur, a été édifiée, pour je cite : « donner des clés de compréhension pour que chacun puisse se sentir acteur plutôt que spectateur, dépasser les préjugés et maintenir le dialogue vivace entre les citoyens ». Le tout avec la volonté acharnée de gommer les racines gréco-romaines de Marseille et du bassin méditerranéen.
Si l’on en croit la rumeur, ou les gens bien informés, ce délire idéologique n’aurait jamais vu le jour sans le lobbying exercé par votre adjoint M Muselier qui alors qu’il était encore 1er adjoint au Maire de Marseille, réussit à le convaincre de céder le terrain nécessaire à la construction de la Villa, qu’il est désormais judicieux de rebaptiser « Villa du contribuable sacrifié »
Inaugurée en grande pompe en présence de l’euro-mondialiste Martin Schulz, ce temple de la nouvelle religion laïque et obligatoire du « Vivrensemble », symbole de la délirante politique d’immigration triomphante voulue par les mondialistes dont vous êtes ici le porte étendard régional, ce palais du Pharaon Vauzelle, coûte très cher à la région :
70 millions d’euros à la construction
4 millions d’euros annuels de coût de fonctionnement
4.400.000 € pour transférer sa gestion au GIP AVITEM !
La facture est extrêmement lourde pour le contribuable. Martine Vassal, présidente du Conseil Départemental, et membre de votre famille politique qualifie elle-même son coût annuel de « monstrueux ».Car personne ne se rend dans cette villa ni ne sait à quoi elle sert : cette bâtisse est érigée par la Caste, pour la Caste. Point de « petit peuple » dans ses 10000 m² mais parfois un Président de la République...
Courant désespérément derrière le succès du Front National emmené par Marion Maréchal-Le Pen, vous avez déclaré le 10 octobre 2015 que vous alliez vendre la Villa Méditerranée afin de commencer à désendetter la Région. C’était un de vos engagements phares de campagne. Une démarche frappée somme toute de bon sens.
Paniqué au soir du 1er tour par votre déculottée électorale, déroute masquée vous faites donc barre à gauche toute le 9 décembre en souhaitant finalement « trouver une solution qui rendra attractive cette villa pour la région et pour Marseille ».
Les seuls engagements que vous tiendrez seront peut-être ceux que vous avez pris ce soir-là auprès de M. Cambadelis en échange du retrait de M. Castaner pour acheter votre siège.
Sans cela vous étiez largement perdu et perdant !Aujourd’hui, tenu par vos geôliers de gauche, vous préférez finalement vendre la maison de la Région plutôt que la Villa… Et vous nous demander de voter pour payer un cabinet qui va étudier la décision que vous aviez pourtant déjà prise le 10 octobre !
Mais de qui vous moquez-vous ? Des électeurs et des contribuables assurément !
Car de l’aveu même de Mme Rampal qui préside la commission euro-méditerranée, aucun budget n’est encore envisagé pour payer ce cabinet d’étude, car rien n’est trop cher pour cette bâtisse qu’elle compare à « la pyramide du Louvre »
Excusez du peu !Mais nous savons que vous ne regardez guère à la dépense, vos vœux niçois à un demi-million d’euros en témoignent !
Encore de l’argent qui va être injecté dans un édifice qui finalement vous tient à cœur, puisqu'il est le symbole de la boboïtude gauchiste coupée tout comme vous du pays réel !
Pour toutes ces raisons, et parce que nous, nous tenons nos engagements de campagne, car il en va de l’intérêt des contribuables provençaux, azuréens et alpins, nous votons contre ce rapport.
Vous constaterez M. Estrosi que pour cette intervention je suis restée assise pour démontrer à quel point vous vous êtes couché !
NDB : M. Estrosi a reproché aux intervenants du groupe Front National de faire leurs interventions debout ! Il en est là...