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  • Les 99 ans du Chemin des Dames, un anniversaire sans officiels (rediffusion)

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-99-ans-du-Chemin-des-Dames-un-anniversaire-sans-officiels-38906.html

    + 3 VIDEOS dont La Chanson de Craonne

     

    Le 16 avril 1917 débute la tragique offensive aux 350 000 victimes

    Samedi, une marche silencieuse a rassemblé plus de mille anonymes pour les 99 ans du Chemin des Dames. Un événement pour lequel aucun officiel n’a fait le déplacement.

     

    Il fait encore nuit noire. Une nuit nuageuse et humide. Il y a 99 ans il neigeait mais la même lueur annonçant le jour pointait au même endroit au pied du ciel, vers l’est en direction de Reims. Ils sont plus de mille à attendre sur la route au coin d’un bois. Pas un seul officiel n’a fait le déplacement. Pas un seul ministre. Pas même le secrétaire d’État aux Anciens combattants. Pas même un président de conseil général ou un élu régional. Pourtant c’est ce matin, il y a 99 ans, à 5h30 précises que l’armée française s’élançait à l’assaut improbable du Chemin des Dames.

    Ici, devant Craonne, et sur un front de 30 km. L’assaut, voulu et planifié par l’état-major français, conçu pour percer le front allemand, comme les Allemands l’année précédente avaient imaginé le faire devant Verdun, fut un fiasco. 300 000 morts français au moins – en fait personne ne connaît le chiffre exact des pertes aujourd’hui encore. 10 morts par mètre sur toute la longueur de ce petit front. Un fiasco devenu un tabou. Depuis 99 ans, à part Lionel Jospin en 1997, pas un seul élu national n’a osé faire le déplacement à Craonne. Comme si une malédiction devait les y poursuivre...

     

    Une marche de plusieurs jours pour le centenaire

    Sur la crête du Chemin des Dames trois lueurs et des fusées sonnent le départ de cette marche silencieuse.. Les mille de ce matin avancent à travers champs. Les colzas sont en fleurs. Le jour se lève. Froid et sombre. Noel Genteur, l’ancien maire de Craonne, agriculteur habité par la guerre de 14, propose des haltes. En quelques scènes d’une histoire qu’il connaît par cœur il fait revivre le front.

    Voir les vidéos

     

     

  • Heidegger : le philosophe qui brûlait les livres

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    Rémy Valat, auteur, essayiste ♦

    « La vie, dans sa force primitive, est plus profonde et plus pleine que le processus de connaissance, et toute notre philosophie souffre bien sûr encore de se laisser dicter les problèmes qui continuent de la préoccuper par des connaissances reconnues – de telle sorte qu’ils sont d’emblée biaisés et souffrent de paradoxes…. C’est dans le radicalisme seulement que tout ce qui est grand prend racine ». Martin Heidegger, lettre à son épouse, Elfride Heidegger, 13 septembre 1919.

    Une biographie fait le point sur un sujet controversé : Martin Heidegger, l’homme et son œuvre . Guillaume Payen, docteur en histoire, chercheur associé au centre Roland Mousnier (CNRS-Paris Sorbonne) et chef du pôle histoire du centre de recherche de l’École des officiers de la Gendarmerie nationale, a travaillé pendant douze années sur un sujet difficile et polémique.

    Heidegger_guillaume_payen

    J’ai pu lire ici ou là sur internet des critiques négatives à l’encontre de ce travail qui « ose » s’attaquer au grand Heidegger en somme. Même si les recherches post-doctorales de Guillaume Payen ont été financées par la Fondation pour la mémoire de la Shoah (nous nageons, il est vrai en lisant ce livre entre les lignes, dans l’océan de la bien-pensance), la biographie Martin Heidegger. Catholicisme, révolution nazisme ne mérite pas le dénigrement : il s’agit au contraire d’une étude très documentée et argumentée. Les connaissances linguistiques de l’auteur en allemand lui ont permis de consulter des archives inédites et des publications produites en cette langue et de rectifier sans les surinterpréter les termes allemands difficilement traduisibles en français avec toute leur portée et leur sens.

    L’auteur est parvenu à dépeindre honnêtement, grâce à l’abondance des sources brutes produites par Heidegger lui même, l’univers mental du philosophe. Quel que puisse être l’avis du lecteur sur Martin Heidegger le travail de Guillaume Payen est une base solide et de qualité pour asseoir sa propre réflexion.

    La pensée d’Heidegger est le fruit d’une évolution personnelle et d’une époque radicales : une philosophie qu’il faut malheureusement- pour en apprécier la saveur- dissocier du penseur. Martin Heidegger était un être porté par l’ambition et l’orgueil, un opportuniste sélectionnant ces relations (même intimes) pour les mettre à son service, pour les rejeter ensuite si nécessaire et sans vergogne : après avoir été le protégé d’Edmund Husserl, Heidegger se séparera de son mentor sitôt assis à sa place (1928), sans oublier Karl Jaspers. N’assumant pas son passé politique, il minimisera son rôle en qualité de recteur de l’université de Fribourg (1933-1934) : de l’application des mesures raciales (sanctionnant Elisabeth Blochmann, un enseignante nationaliste et patriote née de parents juifs) à l’autodafé des livres interdits par le régime nazi, Heidegger, l’homme cultivé, le philosophe prend une part active et même anticipe les décisions ministérielles. Si le philosophe radical et révolutionnaire a produit des monuments de la philosophie, l’homme ivre de démesure n’est jamais devenu le guide spirituel de l’Allemagne.
    Faut-il pour autant brûler Heidegger ? Certes, non. Guillaume Payen tort le cou aux allégations d’Emmanuel Faye qui affirme que le philosophe a introduit le nazisme dans la philosophie, c’est plutôt le contraire. Heidegger, comme Ernst Jünger, sont aussi le fruit de l’expérience de la guerre, de la « primitivité de l’existence » : « Aujourd’hui et ces dernières semaines, à un moment où l’on se voit réduit à sa plus simple et sa plus originelle existence (Existenz) tous les critères de choix mesquins et les ménagements inspirés par la crainte sont balayés – dans la primitivité de l’existence (Dasein), le sens ultime donné aux choses se rapproche (de nous) avec une immédiateté, une force et une univocité en conséquence » (lettre à Elfride, 4 septembre 1918). Ils sont aussi le produit d’un amour de la patrie, du Heimat (le terroir, le chez soi…).
    Heidegger restera pour la postérité un des plus grands philosophes contemporains, dont l’influence n’est pas démentie et la lecture du livre de Guillaume Payen me porte à croire que Martin Heidegger, pour avoir pataugé dans la boue de la médiocrité de la condition humaine, a cependant mis dans son travail philosophique le meilleur de son « être », de son intuition sur l’essence des choses. De l’autre côté du Rhin, Martin Heidegger, comme Karlfried Graf Dürckheim ou maître Eckhart (dont Heidegger était épris de l’œuvre) sont autant d’étoiles lointaines indiquant une voie dans la nuit noire de la mort spirituelle qui guette l’Occident.

    METAMAG

  • Nuit Debout : bienvenue en A-France, par Gabriel Robin

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    La « Nuit Debout » porte en elle les germes du totalitarismeLa maladie infantile du communisme, ou le gauchisme, célèbre essai de Lénine, attaquait frontalement les membres de la Troisième Internationale, Européens de l’Ouest accusés de manquer de souplesse et d’intelligence tactique en fondant tous leurs espoirs sur le « seul sentiment révolutionnaire ». Ce conseil amical aux organisations communistes occidentales, nées de l’espoir suscité par la révolution russe, ne fut pas toujours suivi. Référence du marxisme-léninisme, l’ouvrage est encore étudié de près par les penseurs qui se revendiquent directement de cette école ou s’en réclament les héritiers.

    Ainsi, le philosophe Frédéric Lordon, à l’origine du mouvement « Nuit Debout » (il se défend néanmoins d’en être le porte parole officiel) semble avoir décidé de confronter à l’expérience du terrain les idées politiques qu’il développe dans son dernier ouvrage, Imperium. Malheureusement pour lui, comme souvent, les mouvements idéalistes se dissolvent au contact de la réalité. Très vite, « Nuit Debout » est devenu le vortex de tout ce que la France compte de « gauchistes » pour reprendre l’expression du camarade Ilitch.

    La gauche alternative européenne est en train de redécouvrir les Etats-Nations, la souveraineté. Elle n’a pas renoncé à son idéal internationaliste mais constate, avec beaucoup de retard sur les courants populistes de droite, que seule la nation constitue un rempart contre la contestation de la souveraineté populaire par les féodalités économiques transnationales. Cela ne vaut pourtant toujours que pour les « têtes », le susnommé Lordon, ou l’ancien ministre grec de l’Economie, Yanis Varoufakis. Les masses petites-bourgeoises qui campent place de la République n’ont pas conscience de cette terrible lutte idéologique. Ne vous y trompez cependant pas, les post-marxistes ne sont pas opposés au cosmopolitisme ou au mondialisme, ils défendent une autre vision de l’utopie « sans-frontièriste ». Ils ne veulent de barrières qu’économiques, et pour un temps seulement.

    Il suffit de se pencher sur l’accueil qui fut réservé hier au philosophe Alain Finkielkraut, pourtant venu en simple observateur place de la République, pour révéler la supercherie. Immédiatement agressé physiquement, conspué, insulté, traité de « fasciste », voire de « sale juif » selon certains témoins… Chantre d’un nouvel enracinement aux accents barrésiens, Alain Finkielkraut n’était pas au goût des foules hurlantes de la « Nuit debout ». Lesquelles foules s’abandonnent à des luttes « sociétales », symétriques de celles dont les néo-libéraux se font les promoteurs acharnés : féminisme de revanche, combats anti colonialistes d’arrière garde dans l’esprit des Indigènes (sic) de la République… Certaines réunions de Nuit Debout étaient même interdites aux Blancs…

    Si les créateurs de Nuit Debout entendent lutter contre la mondialisation des échanges économiques, ils n’entendent pas lutter contre la mondialisation des échanges humains. Les « migrants » sont, pour eux, les nouveaux « damnés de la terre ». En poussant un peu, ils pourraient même devenir les rédempteurs d’un monde occidental considéré comme « impur » pour les tenants de l’eschatologie du marxisme culturel.

    C’est bien là que le bât blesse : la « Nuit Debout » porte en elle les germes du totalitarisme. Leur idéal de pureté tient en un monde sans l’histoire, sans le passé, expurgé des « substances » – qualifiées de fictions –, délivré des mythes – forcément générateurs de rapports de domination. Donc, sans Alain Finkielkraut qu’il fallait expulser pour purifier les lieux.

    Le dieu égalitarisme veille à ce qu’aucune tête ne dépasse. D’ailleurs, l’expulsion d’Alain Finkielkraut avait tout d’une Nuit de Cristal. Quel est le tort de l’académicien aux yeux de ces gens ? Défendre un pays charnel. Il le fait pourtant sans excès, et même, à mon goût, avec une forme de timidité que je qualifierais, presque, de coupable. Mais c’est déjà bien trop aux yeux des participants de la Nuit Debout. La souveraineté populaire de Nuit Debout n’existe qu’en opposition à la souveraineté enracinée des patriotes français. Les participants de la « Nuit Debout » peuvent toujours hurler « Vive l’A-France ! » ; cela restera vain car les peuples historiques ont soif de permanence.

    Gabriel Robin

    Gabriel Robin est secrétaire général du Collectif Culture, Libertés et Création du Rassemblement Bleu Marine.

    Texte paru sur Boulevard Voltaire sous le titre :
    « Alain Finfkielkraut expulsé de Nuit Debout. Bienvenue en A-France »

  • Le Grand Jury du 17 avril avec Marion Maréchal-Le Pen (2ème partie)

    http://dai.ly/x453rih

    Avec brio et humour Marion répond à toutes les questions!

  • Finkielkraut : "On a purifié la place de la République de ma présence"

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Finkielkraut-On-a-purifie-la-place-de-la-Republique-de-ma-presence-38915.html

    + VIDE0

    Nuit de Cristal Debout ?

  • Étienne Chouard : "Les prétendus antifas sont une police de la pensée"

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Etienne-Chouard-Les-pretendus-antifas-sont-une-police-de-la-pensee-38922.html

  • Au parlement européen, les Républicains prennent position pour l’entrée de la Turquie et pour l’immigration de masse

      

    Communiqués / 16 avril 2016 / Étiquettes : , /
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    Communiqué de presse du Front National

    Lors de la session parlementaire de cette semaine à Strasbourg, les députés européens des Républicains se sont prononcés pour l’immigration de masse vers l’Europe et pour la poursuite des négociations devant mener à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

    Les députés des Républicains, à quelques exceptions près, ont voté en faveur du rapport Metsola-Kyenge sur « la situation en Méditerranée et nécessité d’une approche globale de la question des migrations de la part de l’Union européenne », rapport immigrationniste à l’extrême.

    Les élus LR ont notamment voté contre l’amendement 1 du groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL) qui souligne l’efficacité de la politique australienne en matière d’immigration illégale.

    Ils ont voté contre l’amendement 2 du groupe ENL qui dénonce les frontières ouvertes de l’Union européenne.

    Ils ont voté pour le paragraphe 23 du texte, en faveur de la participation obligatoire des États membres à la réinstallation de réfugiés. Idem pour le paragraphe 46, qui souligne le « droit » des bénéficiaires d’une protection internationale de s’installer dans l’État membre de leur choix.

    Ils ont voté contre l’amendement 6 ENL qui souligne la souveraineté des États membres en matière de mesures contre l’immigration illégale (sauf Arnaud Muselier qui a voté pour, et Nadine Morano qui s’est abstenue).

    L’amendement 7 ENL vise à arrêter les négociations en vue de l’adhésion de la Turquie à l’UE. Les Républicains ont voté contre.

    Les élus LR ont également voté contre l’amendement 8 ENL qui souligne que l’immigration de masse n’est pas une solution aux problèmes démographiques.

    Quant au rapport annuel sur la Turquie, les députés LR (à l’exception d’Alain Cadec) ont voté contre l’amendement 1 du groupe ENL qui rejette la reprise des négociations en vue de l’adhésion de la Turquie.

    Ils ont voté contre l’amendement 10 ENL exigeant la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie (encore à l’exception de Cadec), alors que certains élus de gauche et d’extrême gauche ont soutenu cet amendement, comme Jean-Luc Mélenchon, José Bové et Eva Joly.

    Ils ont voté contre l’amendement 15 ENL, qui s’oppose à la libéralisation des visas pour les 80 millions de citoyens turcs.
    Ils ont voté contre l’amendement 17 ENL qui s’oppose à ce que le turc devienne une des langues officielles de l’Union européenne.

    Sur des thèmes fondamentaux comme l’immigration et l’adhésion de la Turquie, les députés européens LR votent avec la gauche de façon quasi-systématique. Ils trompent les Français en leur faisant croire qu’ils offrent une alternative au gouvernement socialiste. Le Front National est la seule force d’opposition réelle au service des Français, à l’Assemblée nationale comme au Parlement européen.

  • Louis Aliot sera présent au Rendez-Vous de Béziers de Robert Ménard

     

     

    17/04/2016 – France (NOVOpress) : Marion Maréchal-Le Pen l’a annoncé lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI : Louis Aliot, vice-président du Front national et compagnon de Marine Le Pen, sera présent au Rendez-Vous de Béziers qui fera de la ville de Robert Ménard, du 27 au 29 mai prochain, la capitale de la droite française.

    Le plateau de ces journées se complète peu à peu de personnalités puisque François Guillaume, ministre de l’Agriculture du gouvernement Chirac sous la première cohabitation (1986-1988) et député de Meurthe-et-Moselle (RPR-UMP) de 1993 à 2007, membre de Debout la France, a rejoint la liste des participants : il interviendra à la table ronde sur l’Europe, « fin de la France ou instrument de puissance ? », en compagnie de François Billot de Lochner, président de la Fondation de service politique, et de l’essayiste et consultant international Hervé Juvin.

  • Askolovitch adoube le pape François mais pas le peuple français

    http://dai.ly/x44vabz

     

    Faut-il comprendre que la France n’est plus chrétienne aux yeux du journaliste ?

    Lors de son Édito du samedi 16 avril 2016 sur i-Télé, Claude Askolovitch a remis un brevet de gauchisme mondialiste au pape François – transformant au passage la charité chrétienne en humanisme immigrationniste – tout en déplorant le « déficit d’humanité » des peuples et des gouvernements européens.

     

    « Quand le pape fait honte à l’Europe »

    NdB: Le Christ n'a pas lavé les pieds des lépreux, mais ceux de ses douze Apôtres

  • Julien Sanchez dénonce l’invasion migratoire et ses conséquences!

    https://youtu.be/pCAyMaA1aoA

    Devant le Conseil Régional Languedoc-Roussillon, Julien Sanchez dénonce la folie et la démagogie de la politique pro-migrants dont les Français ne veulent pas.

    DélitD'images

  • Nigel Farage: l'armée du peuple l'emportera sur cette Union Européenne anti-démocratique

    13 avril 2016, Nigel Farage, leader du parti UKIP, dénonce l’Union Européenne non démocratique et  ridiculise Jean-Claude Juncker sur la crise des migrants : « Ce que nous observons, c’est que les patrons de l’UE sont allés faire des courbettes devant Erdogan, qui s’est joué de vous tous et qui piétine les droits de l’Homme à tous les niveaux. Et monsieur Juncker de nous dire que nous faisons des progrès… ».

    Sous-titres français

    DélitD'images

  • L’ex-chancelier allemand Helmut Kohl estime que l’Europe ne peut « devenir une nouvelle patrie » pour les migrants

     

    23h49

    Avant sa rencontre avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán mardi l’ancien chancelier Helmut Kohl (CDU) a critiqué l’ouverture de la frontière pour les réfugiés.

    « La solution réside dans les régions concernées. Il n'est pas en Europe. L’Europe ne peut devenir une nouvelle patrie pour des millions de personnes dans le besoin», a écrit Kohl dans la préface de l’édition hongroise de son livre «Par souci de l’Europe », comme le « Tagesspiegel am Sonntag « a rapporté. (…)

    Capture.PNG Helmut Kohl.PNG

     

  • VIDEO - Nuit Debout : « C’est un urinoir géant », témoigne une commerçante de la place de la République

    https://youtu.be/yeuL2XcAJto

     




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    Odeurs d’urine, tags, vitrines cassées… Les commerçants du quartier autour de la place de la République à Paris attendent désormais la fin du mouvement Nuit Debout. Les citoyens présents sur la place depuis le 31 mars soulignent quant à eux que les débordements ne sont en rien liés à leur mobilisation...

    NDF

  • Attentats de Bruxelles: 44 personnes toujours hospitalisées

    Vendredi 15 avril, 44 victimes des attentats terroristes perpétrés le 22 mars à Bruxelles étaient toujours hospitalisées en Belgique, dont 23 placés sous soins intensifs.

    Une semaine après les attentats qui avaient fait 340 blessés, 94 personnes étaient encore hospitalisées. 

    Les attentats jihadistes avaient par ailleurs fait 32 morts.

    BV

  • De la propagande djihadiste retrouvée chez des chauffeurs du Parlement européen

     

    Des CD faisant la "propagande" de l'organisation État islamique ont été découverts dans les effets personnels de deux chauffeurs travaillant pour le Parlement européen, à Bruxelles et à Strasbourg, ce qui leur a valu de perdre leur emploi, affirme samedi l'hebdomadaire allemand Der Spiegel. L'hebdomadaire, qui cite des sources proches du dossier, établit un lien avec la récente décision du Parlement européen de ne plus faire appel à des prestataires de service pour conduire les élus et de se doter de sa propre flotte de chauffeurs. 

    Une résolution en ce sens a été votée cette semaine par les eurodéputés réunis en séance plénière à Strasbourg. Le sujet est controversé parmi les élus car cette flotte "maison" implique le relèvement de 50% de l'enveloppe transports, à environ 10 millions d'euros annuels.  Mais le Parlement européen, qui explique ce changement par des raisons de sécurité, soupçonne, selon Der Spiegel, que les cas de ces deux chauffeurs ne sont pas isolés, d'autres employés de sociétés prestataires étant susceptibles d'être liés à l'organisation jihadiste.

    "Le Parlement européen ne fait pas de commentaires sur les questions de sécurité", a réagi une porte-parole jointe par l'AFP à Bruxelles. Elle a précisé que la création à terme de 110 postes de chauffeurs s'inscrivait pour l'instant dans le cadre des "lignes directrices" du budget 2017, le vote final du budget ne devant intervenir qu'à l'automne prochain. Il y a deux raisons à ce changement, a ajouté la porte-parole : "On veut que les chauffeurs bénéficient d'une meilleure sécurité sociale, et on veut aussi savoir exactement qui travaille pour nous, qui est susceptible d'entrer dans les bâtiments" , à Bruxelles et Strasbourg.

    Selon un responsable de la société Biribin Limousines, qui s'occupe des chauffeurs du Parlement à Strasbourg et en partie à Bruxelles, "aucun chauffeur n'a été licencié. Il n'y a jamais rien eu de trouvé dans nos voitures". Les informations du Spiegel sont un "tissu de mensonges", affirme-t-il. Cette compagnie, dont le siège est à Paris, a 85 voitures à Strasbourg et 35 à Bruxelles. "La phase d'internalisation très récente du Parlement n'a rien à voir" avec un problème de sécurité qui impliquerait un de leurs chauffeurs, a précisé un autre responsable de la société.

    Le 6 avril, le Parlement européen avait reconnu que l'un des kamikazes des attentats de Bruxelles -en l'occurrence Najim Laachraoui- avait effectué en 2009 et 2010 des jobs d'été dans ses murs, employé par une entreprise de nettoyage sous contrat avec l'institution.
     
    LE FIGARO

  • Pourquoi Bergoglio est rentré de Grèce avec des réfugiés musulmans: il s'explique...

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    Trois familles de réfugiés syriens musulmans sont montées à bord de l'avion du pape François, samedi après-midi. Crédits photo : Filippo Monteforte/AP

    Au retour de son déplacement d'une journée sur l'île de Lesbos, François a expliqué à la presse les coulisses et les raisons de cette initiative absolument sans précédent.

    Envoyé spécial dans l'avion du Pape

    Fait inhabituel pour une conférence de presse du Pape dans l'avion: derrière le rideau qui sépare les cabines et où se place le Pape pour sa traditionnelle rencontre avec les journalistes au retour de voyage, il y avait, samedi après-midi, des cris d'enfants. Ils jouaient, très heureux d'être là parce qu'ils étaient membres de trois familles de musulmans syriens, douze personnes au total, que le pape François a décidé de conduire lui-même en Europe depuis l'île de Lesbos en Grèce, où ils avaient échoué en passant par la Turquie. Une fois l'avion posé à l'aéroport de Rome Ciampino, François est descendu le premier de la passerelle, pour symboliquement accueillir sous l'œil des caméras, ces familles sur le sol européen.

    Une heure plus tôt, François expliquait les coulisses de cette initiative absolument sans précédent dans un voyage papal qui voyait, non loin de son siège, les trois mamans voilées ravies de vivre la fin d'un long cauchemar - la maison de l'une de ses familles ayant été détruite par Daech. «Je n'ai pas choisi entre musulmans et chrétiens a assuré François devant la presse. Ces trois familles avaient des documents prêts, en règle. Il y avait, dans une première liste, deux familles chrétiennes mais elles n'avaient pas les papiers en règle. Ce n'est donc pas un privilège. Ces douze sont tous des enfants de Dieu et je privilégie les enfants de Dieu!»

    Une initiative tenue secrète

    C'est «le Vatican», a-t-il précisé, qui va prendre en charge la subsistance de ces familles, mais c'est «l'association Sant Egidio» - qui est derrière cette idée et cette initiative - qui va concrètement veiller sur elles. «Il n'y a aucune spéculation politique» dans cette opération a assuré le pape. Ce voyage est une démarche humaine, humanitaire.» L'idée - tenue soigneusement secrète par le Vatican jusqu'au moment de monter dans l'avion - de revenir avec des réfugiés «a été pensée par mes collaborateurs la semaine dernière a expliqué le pape. J'ai immédiatement accepté parce que j'ai vu que cela venait de l'Esprit». Précisant: «Tout a été fait dans les règles. Les trois gouvernements, Vatican, Italie, Grèce, étaient d'accord et ont donné le visa.»

    Interrogé sur «les difficultés d'intégration des musulmans en Europe», François a répondu: «Les quelques terroristes» qui ont mené des actions meurtrières «sont tous fils ou neveux de gens nés en Europe. Que s'est-il donc passé? Pour moi, la politique d'intégration est fondamentale. Et aujourd'hui l'Europe doit retrouver cette capacité qu'elle a toujours eue d'intégrer. Il y a toujours eu des arrivées en Europe, cela enrichit la culture.»

    Questionné ensuite sur ce qu'il pensait du «renforcement des frontières dans certains pays d'Europe» contre les flux migratoires, François a assuré: «Je comprends les gouvernements et les peuples qui ont une certaine peur. Je les comprends. Nous devons d'ailleurs avoir une grande responsabilité dans l'accueil. Cette responsabilité est de savoir comment s'intègrent ces gens.» Puis, il a ajouté «J'ai toujours dit que faire des murs n'était pas une solution. Nous l'avons vu la chute d'un mur au siècle dernier. Cela ne résout rien. Nous devons faire des ponts. Mais les ponts se construisent de manière intelligente. Ils se font par le dialogue, par l'intégration. Je comprends donc une certaine peur mais fermer les frontières, ne résout rien. À la longue, cela fait du mal au peuple lui-même.»

    Il a conclu par cet appel au Vieux Continent: «L'Europe doit d'urgence, mener des politiques d'accueil, d'intégration, de croissance, de travail, de réformes économiques. Ces éléments sont des ponts qui ne nous conduiront pas à édifier des murs. Mais, encore une fois, la peur a toute ma compréhension.» François a aussi paraphrasé Mère Teresa pour expliquer l'esprit de son geste: «Après cette goutte, la mer ne sera plus la même. C'est un petit geste que nous devons faire pour donner la main à qui en a besoin.»

    LE FIGARO

  • Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 432

    https://youtu.be/rNWo62BRvPU

     

    16 avril 2016

    Au sommaire :

    - le concept de remigration
    - les Panama papers et les vrais grands comptes
    - le fichier PNR et son efficacité relative contre le terrorisme
    - les victimes françaises au Mali et la présence de Daech
    - les menaces sur l’association Civitas
    - le serpent de mer de la dépénalisation du cannabis
    - Les professionnels du désordre de la Nuit Debout pendant l’état d’urgence
    - la requête de la proportionnelle intégrale de Marine Le Pen qui arrange Hollande
    - la présidence d’honneur des 65 ans du journal Rivarol
    - l’invitation de tous les « nationaux » au 1er mai sur la place des Pyramides
    - les statuts de l’association « Jeanne, au secours »
    - les conseils de lecture : un livre sur l’apocalypse actuelle

  • Les Israéliens détruisent les constructions palestiniennes financées par l’Europe

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-Israeliens-detruisent-les-constructions-palestiniennes-financees-par-l-Europe-38901.html

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