http://www.frontnational.com/videos/louis-aliot-sur-bfm-tv-16/
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Un camp près de la frontière autrichienne
Malgré tous les efforts du gouvernement de Viktor Orbán et la construction d’une barrière à ses frontières avec la Serbie et la Croatie, la Hongrie subit de nouveau une pression migratoire de plus en plus forte.
C’est la raison pour laquelle la réouverture d’un camp de transit pour migrants est envisagée dans la commune de Körmend. Le choix géographique de la commune n’est sans doute pas anodin : située à quelques kilomètres de la frontière autrichienne, cela devrait sans doute faciliter le passage des migrants vers l’Autriche. En effet, extrêmement peu de migrants semblent intéressés par la perspective de s’établir dans les pays d’Europe centrale, où le niveau de vie est très faible en comparaison des pays d’Europe occidentale.
Une reprise des flux migratoires
Désormais, la Hongrie reçoit plus de 200 migrants par jour qui franchissent la barrière frontalière. Ceux-ci sont généralement appréhendés, mais étant donné que la Serbie n’est pas spécialement désireuse de les récupérer, ils reçoivent un avis d’expulsion de la Hongrie puis sont stationnés dans un camp de transit d’où la plupart du temps ils s’en vont pour rejoindre l’Europe occidentale.
Ce regain des flux migratoires en Hongrie, qui avaient quasiment totalement cessé durant l’hiver, s’explique par la relative fermeture de la route des Balkans.
Durant des mois, le transport des migrants a été organisé par voie ferroviaire de façon officielle par les États de transit (à ce sujet, revoir le documentaire de TV Libertés).
Ce système a plus ou moins pris fin aux alentours de février-mars, à partir du moment où les réticences d’un nombre grandissant de pays (notamment l’Autriche) a amené l’Union Européenne et la Turquie à un accord consistant à envoyer les migrants considérés comme réfugiés directement en Europe par avion depuis la Turquie, moyennant le renvoi de migrants économiques (venant du Maghreb, du Pakistan, di Bengladesh, etc…) stationnés en Grèce vers la Turquie.
Sauf que la Grèce compte encore plus de 100.000 migrants qui ne comptent pas retourner en Turquie puis dans leurs pays d’origine. D’où leurs tentatives de passage en Italie via l’Albanie ou par la route des Balkans (Macédoine, Serbie, Hongrie) avec des filières de passeurs.
Le gouvernement hongrois poursuit sa politique contre l’immigration
Loin de se laisser démobiliser, Orbán poursuit sa politique, au niveau national comme au niveau européen, pour tenter d’endiguer la vague migratoire.
Début avril, le gouvernement a lancé les premiers travaux permettant le déploiement d’une barrière à la frontière hungaro-roumaine, avec la pose des points de repères sur lesquels mettre en place la barrière.
Cette semaine, Orbán déclarait encore que la Constitution qu’il a fait adopter en 2011 était un rempart contre l’islamisation : « Nous avons le droit de choisir avec qui nous voulons vivre, et avec qui nous ne le voulons pas. […] Pour être clair et sans équivoque, je dirai que l’islamisation est constitutionnellement interdite en Hongrie ».
En automne 2016, un référendum se tiendra en Hongrie, avec pour question : « Acceptez-vous que l’Union européenne puisse imposer l’installation de citoyens non hongrois sans le consentement du Parlement ? »
Si la réponse négative des électeurs ne fait aucun doute, l’enjeu majeur de ce référendum sera le taux de participation.
Au niveau européen, outre le soutien des pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Slovaquie, République Tchèque, Pologne), Orbán peut désormais compter sur l’Autriche. En effet, le chancelier Faymann, qui n’avait pas manqué de mots extrêmement durs à l’endroit d’ Orbán, a été rattrapé par les réalités migratoires et électorales (avec une poussée inédite du FPÖ) et a durci sa politique migratoire.
La jugulation de la crise migratoire sera un enjeu politique majeur en Hongrie lors des élections législatives qui auront lieu dans deux ans. En cas d’échec, Viktor Orbán pourrait se voir sérieusement concurrencer par le parti nationaliste Jobbik.
NDF
Des explosifs découverts lors d’une descente dans une salle de prière musulmane illégale près de la ville russe de Samara ont été éliminés à l’intérieur de l’immeuble. Une équipe de démineurs a jugé trop dangereux de les faire sortir.
La vidéo de l’explosion contrôlée par les démineurs russes montre qu’une partie considérable du bâtiment a été détruite dans l’opération.
Un chien policier leur avait permis de retrouver plus d’un kilo d’explosifs d’origine inconnue dans une salle de prière musulmane illégale, en banlieue de la ville de samara. Un expert en déminage a estimé qu’il était trop dangereux de faire sortir les explosifs, raison pour laquelle ils ont été neutralisés sur place, causant les dégâts que l’on sait, mais aucune victime.
La route fédérale M5 qui passe devant la maison a été bloquée dans les deux sens et les habitants de tous les immeubles voisins avaient été évacués au préalable.
Avant sa destruction partielle, cette maison était utilisée pour des réunions de salafistes, ces partisans d’une vision parmi les plus rigoristes de l’islam sunnite, sans être enregistrée comme un lieu de culte officiel dans la communauté musulmane régionale.
Lors de cette opération, les forces spéciales russes ont arrêté 53 jeunes hommes, dont l’un entre eux faisait la promotion de Daesh sur internet.
Selon une source du FSB, ces arrestations ont provoqué une série de raids dans d’autres maisons qui ont aidé à trouver d’autres d’explosifs, des armes, des grenades et des munitions. Selon la même source, d’autres membres de cette communauté salafiste combattraient actuellement en Syrie aux côtés des djihadistes.
Délitd'Images (02 05 2016)
image: http://www.alterinfo.net/photo/art/grande/9405247-15066057.jpg?v=1462135969
image: http://www.alterinfo.net/photo/art/default/9405247-15066057.jpg
Lire!
NdB: Notre irremplaçable Marine Le Pen, si courageuse et si hardie pour défendre la nation française, notre patrie en réel danger de disparition!
| MAJ :
Environ 350 personnes étaient réunies, ce dimanche matin, pour écouter le discours de Jean-Marie Le Pen devant la statue de Jeanne d'Arc, place des Pyramides à Paris. L'occasion pour l'ancien président du Front national, n'a toujours pas digéré son exclusion du parti en août 2015, d'adresser une nouvelle salve contre les dirigeants du FN et en premier lieu sa fille Marine, qui lui a succédé à la tête du parti.
Un FN où tous ne le fuient pas comme en atteste la présence de Bruno Gollnisch, député européen et membre du Bureau politique, et de Marie-Christine Arnautu, vice-présidente du FN. A leurs côtés également Jérôme Bourdon, le directeur de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol.
Revenant sur son exclusion, Jean-Marie Le Pen l'estime comparable à... la décapitation de Louis XVI en 1793 . Sans bénéfice pour le FN assure-t-il puisque, de son point de vue, la dédiabolisation voulue par la nouvelle présidente et ses proches «n'a pas marché». Pour preuve, les défaites de Marine Le Pen, en Nord-Pas-De-Calais-Picardie bientôt nommée Haute-France, et de Marion Maréchal-Le Pen, sa petite-fille en Provence-Alpes-Côte-d'Azur) aux régionales de décembre 2015.
«Errare humanum est, perseverare diabolicum», rapelle-t-il en latin, c'est-à-dire que «l'erreur est humaine, mais persévérer est diabolique», avant d'avertir : «Il est encore temps de réparer l'erreur». Sinon prédit-il, «puisque aucun signe n'a été mis dans le sens de la conciliation, la présidente du FN sera battue au deuxième tour et peut-être même au premier». «Il n'y a, pour le Front national, qu'une seule voix, celle de l'opposition au système», a-t-il martelé.
Plus que le discours du patriarche, c'est la présence de quelques cadres FN (Gollnisch, Arnautu...) qui risque d'avoir des suites. Marine Le Pen l'avait interdite, menaçant d'exclusion ses militants s'il participaient à ce rassemblement traditionnel, maintenu par Jean-Marie Le Pen. « Je ne sais pas, ça m'étonnerais, elle est trop intelligente pour cela», a estimé Bruno Gollnisch, le premier concerné, interrogé par France 3.
LE PARISIEN
http://www.delitdimages.org/111006-2/
Arnaud Montebourg et Aurélie Filippetti vont porter plainte contre Paris Match pour avoir publié des photos volées et non floutées du baptême républicain de leur fille Jeanne, le 9 avril 2016...
Afin de mieux comprendre le fait racial, des chercheurs américains ont éliminé les facteurs sociaux en mesurant l’intelligence d’enfants adoptés par des familles blanches. Il n’est pas rare d’entendre expliquer le plus faible QI des Noirs américains par le fait qu’ils ont été élevés dans une famille défavorisée socialement, notamment en raison d’un « racisme » persistant de la part des populations blanches.
L’étude a été effectuée par Sandra Scarr diplomée de l’université de Harvard et Richard A. Weinberg. Elle portait sur 196 enfants. Des Blancs, des métis et des Noirs tous adoptés par des familles blanches.
Les résultats sont sans appel. Un enfant noir aura quasiment 20 points de QI de moins qu’un enfant blanc adopté. Tout les deux ont été élevés dans le même contexte, avec les mêmes parents, mais la différence à l’arrivée est énorme. Les enfants métis issus de parents noirs et blancs sont eux à mi chemins. Les métis ont un QI moins élevé que les enfants blancs, mais plus que les enfants noirs.
Même en enlevant le facteur environnemental, un blanc en moyenne a un QI plus élevé qu’un métis et qu’un noir selon l’étude.
Source :http://en.wikipedia.org/wiki/Minnesota_Transracial_Adoption_Study
Altermedia France-Belgique