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  • A Abou Simbel, le soleil a rendez-vous avec Ramsès II

    Deux fois par an, le 22 février et le 22 octobre, le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice. Un phénomène redécouvert en 1874. Près d'un siècle plus tard, en raison de la construction du barrage d'Assouan, le temple avait dû être déplacé. Se trouvant plus bas, l'événement avait lieu les 21 février et 21 octobre. Décalé d'une journée, le spectacle reste un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent assister.

     par NouvelObs 

  • Le journaliste hostile à l’islam radical Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison pour ses écrits

    Le journaliste hostile à l’islam radical Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison pour ses écrits (vidéo) Lu chez BreizhAtao :

    « En France, les libertés fondamentales ont  disparu sous la pression conjuguée d’une magistrature marxisante islamophile et d’organisations communautaires dites « antiracistes ». Dernier exemple en date, le journaliste et militant Pierre Cassen de l’association « Riposte Laïque ». Dans une vidéo publiée le 21 février, M. Cassen explique qu’il vient d’être condamné à 3 mois de prison avec sursis lors d’un procès fait en son absence et dont on lui avait caché la tenue. Comble de la perfidie : les tribunaux du régime le jugeaient pour des écrits pour lesquels il avait déjà été jugé et relaxé. Une pratique formellement interdite par le droit international, digne du système communiste du Bloc de l’Est. Pierre Cassen a en outre expliqué être la cible, lui ainsi que son association, de dizaines de procédures judiciaires par le gouvernement afin de briser toute forme d’opposition à l’islamisation fulgurante de la France. »


    Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com

  • Gironde : un médecin suspendu six mois pour « islamophobie » envers une femme voilée

     

    14h19
     

    Une interdiction d’exercer de six mois a été prononcée par la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins d’Aquitaine à l’encontre d’un médecin ORL pour un comportement inapproprié envers une femme voilée.

    Les faits se sont produits juste après les attentats de Paris en 2015 quand le médecin avait lancé à cette mère voilée d’un jeune patient : «le foulard que vous portez est un signe de non-intégration», avant d’ajouter : «nous sommes en guerre, il faut savoir dans quel camp vous êtes», allant même jusqu’à la dénoncer aux gendarmes pour «dérive islamiste».

    Face à ce comportement, l’instance a donc décidé de le sanctionner. Il a un mois pour faire appel. L’ordre des médecins de la Gironde a relevé quelques cas comme celui-ci après les attentats du Bataclan : « C’est peu sur un total de 8.000 médecins mais déjà trop», confie son président Albert Roche à France Bleu Gironde.

    20 minutes

  • Hongrie : Orban réclame 500 millions à l’UE, pour les frais de protection frontalière face aux migrants

     

    17h56
     

    La Hongrie souhaite que l’Union européenne lui rembourse au moins 500 millions d’euros sur les quelque un milliard que le pays consacre à la protection de sa frontière sud, a déclaré aujourd’hui le premier ministre hongrois Viktor Orban. « Nous avons dépensé plus d’un milliard d’euros pour la protection frontalière. Nous ne nous protégeons pas seulement nous-mêmes mais également l’Europe. Au moins la moitié de cette somme devrait être remboursée », a expliqué Viktor Orban dans une vidéo publiée sur sa page Facebook avant le sommet de Bruxelles.

    Le chef du gouvernement hongrois a également annoncé qu’il allait proposer aux dirigeants des pays européens une procédure de « carton rouge » afin de renforcer les pouvoirs des parlements nationaux. Cette disposition permettrait aux assemblées nationales de chaque pays d’interrompre un débat au niveau européen s’il est jugé comme contraire aux intérêts nationaux.

    Le Figaro

  • Nantes (44) : un énorme réseau de voleurs « roumains » de cartes bancaires démantelé

     

    22h22
     
    Vingt personnes, âgées entre 26 et 50 ans, ont été interpellées mardi en Loire-Atlantique dans le cadre d’une vaste enquête de vols de cartes bancaires depuis mai 2017 sur le territoire français, annoncent la gendarmerie et le parquet de Nantes. Plus de 500 faits, représentant 220.000 euros de retraits, ont été établis par les enquêteurs.

     

    Ils résultent de vols à la tire « commis lors des marchés hebdomadaires sur les communes du littoral français ou sur le site de grandes manifestations comme les Vieilles Charrues, le Festival interceltique de Lorient ou encore la braderie de Lille », explique la gendarmerie.

    Le mode opératoire est toujours le même. « Tout se passe très vite. Les auteurs observent la victime composer son code confidentiel lors d’un paiement par carte bancaire puis profitant de la densité de la foule réussissent par diverses manœuvres à subtiliser le moyen de paiement. Quelques minutes plus tard, des retraits sont réalisés dans des distributeurs », raconte la gendarmerie.

    (…) « Affaire d’une dimension assez exceptionnelle »

    Après une longue enquête, les militaires ont donc interpellé 20 suspects d’origine roumaine. Onze d’entre eux ont d’ores et déjà été déférés. Six le seront ce vendredi.

    20 Minutes

    Merci à yabonlaseku

  • "Vous me sifflez dans le dos !" Matinée agitée pour Macron au Salon de l'agriculture

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    Emmanuel Macron au Salon de l'agriculture, le 24 février.

    Emmanuel Macron, qui veut déambuler près de 12 heures dans les travées du Salon, a été sifflé par de jeunes agriculteurs.

    Par L'Obs

     

    Un rendez-vous préparé très en amont. Le président de la République Emmanuel Macron est arrivé ce samedi vers 7h45 au 55e Salon de l'agriculture, son premier en tant que chef de l'Etat, et devrait sauf incident y passer toute la journée. Accompagné du ministre de l'Agriculture Stéphane Travert, il a commencé sa visite par un petit-déjeuner avec les représentants syndicaux du monde rural. 

     
     

    Une conviction en ouverture du Salon de l’Agriculture devant les syndicats : l’agriculture est une terre de conquêtes.

     

    Emmanuel Macron, dont la relation avec le monde agricole est difficile, ambitionne de rester près de douze heures porte de Versailles, et pourrait ainsi battre au passage le record de son prédécesseur François Hollande : ce dernier avait arpenté les allées pendant dix heures en 2013, après avoir atteint les douze heures en février 2012 lorsqu'il était candidat. 

    Et rien n'a été laissé au hasard : après un premier repérage des lieux par son entourage cette semaine, des dizaines de gardes du corps seront présents sur place, et Emmanuel Macron sera entouré en permanence par une "bulle de protection" constituée de trois cercles d'agents, révèle BFMTV selon qui "une étape est particulièrement redoutée par le service de protection : le stand des éleveurs".

    Avant la visite, l'Elysée a fait savoir que le président se déplaçait toujours avec plusieurs costumes de rechange. L'an passé, il avait en effet reçu un œuf sur le crâne, dont il avait plaisanté, affirmant que le jet de projectile relevait du folklore du salon. Jeudi il a d'ailleurs pris les devants en soulignant qu'il se "moquait totalement" de l'ambiance dans laquelle il serait reçu Porte de Versailles, concentré qu'il est sur la construction du "visage de la France agricole des prochaines années".

    Sifflets, Vegans et échanges tendus

    En début de matinée, le président a été accueilli par des agriculteurs déguisés, mais aussi par des applaudissements. Vers 10h30 toutefois, une dizaine de membres des JA (Jeunes agriculteurs) d'Ile-de-France ont manifesté en sifflant devant le stand d'Inaporc (interprofession porcine), puis de nouveau devant celui d'Inabev (interprofession bétail et viande). En tout, une centaine d'entre eux (éleveurs, maraîchers...) se sont répartis en différents endroits du salon pour interpeller le chef de l'Etat à son passage, selon un cadre du syndicat agricole.

     
     

    Salon de l’agriculture: Macron sifflé par des paysans en colère

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    Le président est allé à la rencontre de certains des siffleurs, des céréaliers de la FNSEA qui protestaient contre la fin du glyphosate et contre la viande aux hormones qui risque d'être importée avec l'accord de libre échange en négociations entre l'UE et le Mercosur.

    "Je vous engueule parce que j'aime pas qu'on me siffle derrière ; mais après je viens vous voir et on s'explique", leur a-t-il dit, promettant que "personne ne serait laissé sans solution". Dans un échange très vif avec deux céréaliers capté par un journaliste du "Figaro" et les caméras de BFMTV, et mis en ligne sur le compte YouTube d'Emmanuel Macron, on entend ainsi :

    Premier céréalier : "Je vous ai entendu dans votre discours à l'Elysée. Ça ne tient pas, ce que vous dites. Dans toutes les études, il n'y a pas de risqué avéré [du glyphosate]."

    Macron : "Vous pouvez pas dire ça. Le glyphosate, quels que soient les désaccords qu'il y a pu y avoir, vos représentants se sont engagés. [...] Y'a aucun rapport qui dit que c'est innocent. Y'en a qui disent que c'est très dangereux, d'autres moyennement dangereux. J'aurai à répondre de ce que je fais, demain, après-demain. Dans le passé on a dit que l'amiante c'était pas dangereux. Les dirigeants qui l'ont laissé passer ont eu à répondre. Les ouvriers agricoles, les consommateurs qui demain diront 'Vous aviez le glyphosate, vous le saviez, vous n'avez rien fait', ils me regarderont les yeux dans les yeux, ils iront pas vous chercher !"

    Premier céréalier : "Nous on est calmes, alors vous vous calmez s'il vous plaît".

    "Non, attendez, vous êtes calmes ? Non non non, vous m'avez sifflé dans le dos depuis tout à l'heure. [...] Donc le calme, c'est pas vous qui le donnez. Deux, vous me donnez des leçons.""Ouais, ouais. On est chez nous ici." "On est chez nous, tous. Ça s'appelle la France et c'est une République."

    [...]

    Deuxième céréalier : "Vous avez dit que vous êtes attentif à l'être humain, à leurs maladies. Et on va tout ouvrir, avec l'accord sur le Mercosur. Vous allez avoir de la marchandise qui va arriver des autres pays, avec des contraintes autres que les nôtres. La viande c'est quoi ? Des hormones. Vous allez avoir des OGM à plein. Demain comment vous allez faire pour fermer les frontières françaises, en disant 'Ces produits-là on n'en veut pas, on prend du produit français' ? Vous n'en êtes pas capable ! Cette alimentation va se retrouver dans l'assiette des Français."

    Macron : "D'abord l'avenir de l'agriculture il n'est pas dans la fermeture, quelle qu'elle soit. [...] Vous êtes dans une filière qui exporte. Ça ne marche pas de dire 'On ferme d'un côté et on ouvre de l'autre'. Notre économie, notre agriculture, c'est une de ses fiertés, elle est exportatrice. Elle a besoin d'être ouverte. On est gagnants sur le Mercosur, la négo n'est pas finie, moi j'ai mes lignes rouges."

  • Hommage civil à Emilien Mougin et Timothé Dernoncourt, les deux militaires français tués au Mali

     

    Le maréchal des logis-chef Mougin a été tué au Mali le 21 février 2018. / © SIRPA TERRE
    Le maréchal des logis-chef Mougin a été tué au Mali le 21 février 2018. / © SIRPA TERRE

    Un hommage est rendu ce samedi à Valence au maréchal des logis-chef Emilien Mougin, 31 ans natif de Gap, et au brigadier-chef Timothé Dernoncourt, 33 ans, du 1er régiment de Saphis tués au Mali dans l'explosion d'une bombe artisanale. L'hommage de la Nation aura lieu lundi aux Invalides. 

    Par Annie Vergnenegre 

    Un hommage civil est rendu ce samedi 24 février à Valence, ville de garnison du maréchal des logis-chef Emilien Mougin, 31 ans natif de Gap, et du brigadier-chef Timothé Dernoncourt, 33 ans, tués jeudi dans l'explosion d'une mine artisanale au passage de leur véhicule blindé au Mali.

    Ho​mmage de la Nation


    Les deux militaires étaient engagés à la frontière du Niger, dans le cadre de l'opération Barkhane. Père de deux enfants, Emilien Mougin avait rejoint le 1er régiment de Spahis de Valence depuis 2013..
    Lundi, les honneurs funèbres militaires leur seront rendus aux Invalides à Paris, en présence des familles et des proches uniquement. Le public est invité à participer à cet hommage au passage du cortège funèbre sur le pont Alexandre III. 
     

    Lundi 26 février aux Invalides, les honneurs militaires seront rendus à nos deux camarades du @1erSpahis morts pour la France mercredi dernier au Mali. Je vous invite sur le pont Alexandre III à 17h00 pour témoigner votre hommage au passage du cortège funèbre.

     
    Une cérémonie militaire aura enfin lieu mardi, présidée par la ministre des Armées, Florence Parly, sur la place d'armes du régiment du Premier Spahi, basé à Valence.

  • Montpellier : frappée au visage avec un tesson de bouteille pour une simple remarque

     

    L’agresseur de 26 ans est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.
    ILLUSTRATION / SAMUEL DUPLAIX
     
    TWITTER 
     

    Mardi 20 février vers 20 h, sur la promenade du Peyrou, un homme en état d'ivresse aborde un groupe de jeunes gens pour quémander une cigarette...

    Devant leur refus, l'individu brise une bouteille en verre sur le sol. Une jeune fille lui fait une remarque. Il la prend mal. Elle est frappée avec le tesson de bouteille à la tête et au visage. Le mis en cause est rapidement interpellé et placé en cellule de dégrisement.

      

    Trois jours d'ITT

    Les enquêteurs découvrent que l'agresseur de 26 ans, déjà interpellé le 7 février, est expulsable sous le coup d'une obligation de quitter le territoire. Mais sans délai précis, il avait été relâché. La gravité des blessures de la victime, âgée de 28 ans, a été évaluée à trois jours d'ITT. Son agresseur a été déféré devant le parquet de Montpellier.

    Le Midi Libre

  • UN CRÉDIT D’IMPÔT POUR CEUX QUI ACCUEILLENT LES MIGRANTS, C’EST LA BRILLANTE IDÉE DU DÉPUTÉ AURÉLIEN TACHÉ !

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    Migrants à Ceuta

     

     


    Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.

     

    Ancien officier de Gendarmerie

    Diplômé de criminologie et de criminalistique

     
     
     
     

    Le dernier sondage paru en janvier 2018 démontre le ras-le-bol des Français face à l’immigration : le rythme d’immigration est trop élevé ? Oui, à 64 % (et jusqu’à 79 % chez les Français les moins diplômés).

    Faut-il permettre le vote des étrangers aux élections locales ? Non, à 60 %.
    Supprimer le regroupement familial ? Oui, à 57 %.
    Mettre fin aux accords de Schengen ? Encore oui, à 66 %.

    Tous les gouvernements qui se sont succédé pendant quarante ans ont connu des sondages comparables. Ils savent qu’une majorité de Français n’en peut plus, que les quatre cinquièmes des plus pauvres refusent d’être confrontés à ces flux continuels de pseudo-réfugiés. Pourtant, inlassablement, l’État continue à les accueillir. Et notre Président envisage d’aller plus loin. Il suffit de lire le rapport, validé par le Premier ministre, du député LREM Aurélien Taché.

    Mais voyons d’abord qui est ce « macroniste » ?

    Président de l’UNEF Limoges dans sa jeunesse, il fut ensuite socialiste et conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse. Élu député du Val-d’Oise après les législatives 2017, il vient de pondre 72 mesures pour intégrer les migrants. Par exemple il propose :

    – de doubler le volume des cours de français (400 heures, voire plus pour les réfractaires),

     

    – d’autoriser les demandeurs d’asile « à travailler six mois après le dépôt » de leur dossier, voire plus tôt (cela, alors que la France compte plus de 9 % de chômeurs),

     – d’offrir à ces « nouveaux venus » un accès au logement et à l’emploi, d’une durée moyenne d’un an (les 3.000 sans-abri parisiens apprécieront.) Tout cela grâce à des contrats avec les branches professionnelles, des « partenariats avec les grandes entreprises », mais aussi des reconnaissances partielles de qualifications et un accès plus facile à certaines professions.

    Notre député souhaiterait aussi voir supprimer la condition de nationalité pour les fonctions non régaliennes de la fonction publique. (Bien évidemment, la CGT, FO et les autres syndicats s’inclineront et accepteront ce diktat au nom de l’antiracisme.)

    Mais le top du top est la création d’un « crédit d’impôt solidarité »pour les personnes hébergeant gratuitement un « étranger ». Crédit qui pourrait s’élever à 1.800 € par an. Ahurissant, effarant, intolérable, les mots me manquent pour décrire la colère qui s’empare de moi devant ces décisions.

    Ainsi, Macron ponctionne les retraités avec la CSG mais favoriserait financièrement les logeurs de migrants jeunes et bien portants. Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.

    Il est honteux d’abandonner des gens dans la rue ou d’ignorer des familles couchant dans des taudis alors que l’on s’inquiète pour des hommes robustes portés par des associations négligeant le prochain pour favoriser le lointain. Honteux, alors qu’il y a deux semaines, une vieille dame dans ma région se suicidait : elle n’avait plus de chauffage, plus de famille et plus de sous. Où étiez-vous, M. Taché ? Où étaient ces associations financées par Soros ? Sûr que, dans quelques années, comme peu de gens veulent des migrants chez eux, l’accueil deviendra obligatoire. Et que dire de la promiscuité de ces quidams pleins de vigueur vivant au milieu d’une famille ?

    Enfin, cette opération a un coût : plus de 600 millions d’euros. Après cela, Édouard Philippe, l’escogriffe du gouvernement, peut toujours proclamer : « La France a une longue et belle tradition d’accueil. » Alors, à quand un migrant à Matignon, M. le Premier ministre ?

    BV


     

     
  • Orléans : après des propos racistes contre la Jeanne d'Arc 2018, la justice ouvre une enquête

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    Le procureur d'Orléans a ouvert une enquête après des propos racistes sur internet contre la Jeanne d'Arc 2018, Mathilde Edey Gamassou, 17 ans, d'origine béninoise. Elle a été comparée à un babouin sur Twitter. 


    Mathilde Edey Gamassou, la nouvelle figure de Jeanne d'Arc 2018 à Orléans. (FRANCOIS-PIERRE NOEL/RADIO FRANCE)
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    (avec France Bleu Orléans)franceinfoRadio France

    Mis à jour le 
    publié le 

     

    Une enquête préliminaire a été ouverte par le procureur de la République d'Orléans pour incitation et provocation à la haine raciale, après des propos racistes tenus sur les réseaux sociaux contre une jeune fille choisie pour incarner Jeanne d'Arc en 2018, révèle vendredi 23 février France Bleu Orléans.

    Le procureur d'Orléans, Nicolas Bessone, a ouvert de son propre chef une enquête visant deux comptes Twitter en particulier. Le premier concerne celui d'un internaute qui avait comparé le visage de la jeune fille à celui d'un babouin. Sur le deuxième l'auteur avait répondu à ce message en publiant une photo de bananes.

    Une comparaison avec un babouin

    Le procureur d'Orléans explique à France Bleu Orléans avoir "saisi la sûreté départementale d'Orléans pour, dans un premier temps, identifier les auteurs de ces tweets qui relèvent clairement de l'application de la loi pénale". Pour Nicolas Bessone, il s'agit d'identifier clairement ces auteurs de propos racistes "pour engager des poursuites notamment quand on assimile cette jeune fille à un babouin, ce qui est tout à fait scandaleux".

    Mathilde Edey Gamassou, lycéenne de 17 ans, a été désignée lundi dernier par une association pour défiler le 8 mai dans les rues d'Orléans en incarnant Jeanne D'Arc. Mais la jeune fille est métisse et d'origine béninoise. Elle a été la cible sur la toile de plusieurs attaques racistes et injurieuses. La secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Shiappa, avait, elle-même, été indignée, et avait publié mercred 21 février un tweet dans lequel elle affirmait son "soutien" à Mathilde et rappelait que "la haine raciste de la fachosphère n'a pas sa place dans la République française".

  • Bergoglio exige que les viols commis par les migrants musulmans clandestins ne soient pas rapportés

     

     

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (13/02/2018) Jorge Bergoglio, l’actuel occupant du Vatican, a une nouvelle fois pris position en faveur de l’immigration clandestine musulmane. Dans une déclaration, il a dit:


    Valeurs Actuelles (source) :

    « Il y a quelques mois, j’ai vu sur un journal un titre sur une petite ville d’Italie qui disait : ‘Voici la ville où il y a eu le plus de viols cette année – je ne me souviens plus de la ville, ce n’est pas important – et 40% des violeurs étaient des migrants‘ », a raconté le souverain pontife. « C’est une façon de ‘salir’ les migrants.», a-t-il dit.

    Rapporter les faits constitue donc un sérieux obstacle à l’implantation de migrants musulmans en Italie et en Europe selon l’actuel pape, lequel est un fervent défenseur du remplacement de population au profit de l’islam.

  • JT TVL 23/02/18

  • « Merci maman Merkel ! » : un réfugié syrien polygame vivant d’allocations familiales loue l’hospitalité de l’Allemagne, Ahmad compte d’ailleurs épouser encore deux autres femmes

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    19h37

    Un documentaire sur un réfugié syrien en Allemagne, qui vit tranquillement avec ses deux épouses et ses six enfants, recevant des allocations familiales, a irrité beaucoup de gens, la polygamie étant contraire à la loi allemande.

    Le documentaire réalisé par le Spiegel a été diffusé le week-end dernier, racontant l’histoire d’Ahmad A., 32 ans, qui a fui la Syrie en 2015 avec sa famille nombreuse, et trouvé refuge au Schleswig-Holstein, dans le nord de l’Allemagne.

    L’homme vit dans une maison de deux étages fournie par la communauté avec deux épouses et six enfants. Bien que la polygamie soit illégale en Allemagne, Ahmad a été autorisé à amener sa deuxième femme dans le pays car elle est la mère de quatre de ses enfants.

    Les autorités n’étaient même pas troublées par le fait que le Syrien a épousé sa deuxième épouse, Lina, alors qu’elle n’avait que 13 ans, en deçà de l’âge de consentement en Allemagne. Sa première femme, Betool, avait 14 ans au moment du mariage.

    Ahmad a aussi une troisième femme en Syrie, mais il a dit en plaisantant aux journalistes de Spiegel que la maison devait être plus grande pour qu’elle vienne aussi. En ce qui concerne les plans de l’homme pour l’avenir, il vise quatre femmes et dix enfants.

    « Il y a un soutien ici. Ils nous donnent des avantages sociaux, ils nous ont donné cette maison « , a déclaré Ahmad, ajoutant que l’Allemagne était sa destination préférée quand il a quitté son pays déchiré par la guerre.

    « Je vous remercie beaucoup, Maman Merkel. Elle est la seule personne qui a ressenti la souffrance des Syriens. Je remercie aussi les Allemands, même s’il y a des racistes parmi eux. Mais les Allemands ont connu la guerre et montrent une grande compassion pour les Syriens « , a-t-il dit.

    RT

  • Pologne : à la rencontre de militants nationalistes

     

    21h01
    Autriche, Hongrie, Pologne… Une vague nationaliste est en train de déferler sur l’Europe de l’Est. A Varsovie, le gouvernement ultra conservateur engage le pays dans une politique des plus rétrogrades (sic) sur des sujets comme le droit des femmes, l’immigration ou l’avortement… Une dérive largement entretenue et alimentée par le PIS, la parti au pouvoir depuis 2015.
     

  • «Vive les nations libres» : Marion Maréchal-Le Pen s'exprime devant les conservateurs américains

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    Marion Maréchal-Le Pen fait un retour médiatique remarqué en intervenant le 22 février au premier jour du rendez-vous annuel très attendu des conservateurs américains, le Conservative Political Action Conference (CPAC).

    Alors que la nièce de Marine Le Pen avait annoncé prendre sa retraite politique en mai 2017, et fait l'objet de nombreuses spéculations quant à son avenir, elle est littéralement revenue sur le devant de la scène avec une prise de parole au Conservative Political Action Conference (CPAC), le grand rendez-vous annuel des conservateurs américains, dans le Maryland, ce 22 février 2018.

    Quand les peuples ont l'opportunité de reprendre leurs pays, ils la saisissent

    Revenant sur la séquence électorale de 2016 qui a vu le victoire du «oui» au référendum britannique sur le Brexit et l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, l'ancienne députée du Front national (FN) a rappelé son attachement au souverainisme. «Quand les peuples ont l'opportunité de reprendre leurs pays, ils la saisissent», a-t-elle lancé en anglais, après avoir pris la parole, parmi d'autres orateurs tels que le vice-président des Etats-Unis Mike Pence.

     
     

    "When the people are given the opportunity to take their country back, they will seize it!" @Marion_M_Le_Pen

     

    «La tradition ne consiste pas dans l'adoration des cendres mais plutôt dans la préservation de la flamme», a-t-elle déclaré, devant une assistance visiblement enthousiaste. «Vous avez été l'étincelle, il nous appartient désormais de nourrir la flamme conservatrice», a-t-elle poursuivi à l'adresse des conservateurs, dans un discours où elle a dénoncé l'emprise, selon elle, de l'Union européenne sur les peuples européens. «Vive les nations libres !», a-t-elle martelé, en français.

    Nous ne pouvons plus choisir notre politique économique ou notre politique d'immigration

    «Si nous voulons rendre à la France sa grandeur, nous devons défendre nos intérêts économiques sur les marchés mondiaux», a-t-elle déclaré lors de sa prise de parole, poursuivant : «Nous, Français, devons nous battre pour notre indépendance. Nous ne pouvons plus choisir notre politique économique ou notre politique d'immigration et même notre diplomatie. Notre liberté est entre les mains de l'Union européenne.»

    L'intervention de Marion Maréchal-Le Pen, en anglais, à partir de 44 minutes et 09 secondes : 

    Marion Maréchal-Le Pen et le britannique Nigel Farage invités parmi les poids lourds de la CPAC

    Le président républicain Donald Trump doit, lui, intervenir le lendemain 23 février devant cette même conférence. D'autres responsables importants de l'administration Trump sont également annoncés comme la secrétaire d'Etat à l'Enseignement Betsy DeVos ainsi que des parlementaires du Parti républicain, des personnalités conservatrices des médias, comme la chaîne Fox News et d'anciens militaires.

    L'eurodéputé britannique Nigel Farage, qui fut à la tête de la campagne victorieuse pour le Brexit, sera présent lui aussi. Il avait reçu un accueil chaleureux lors de l'édition 2017 de la CPAC après avoir fait l'éloge de la victoire «tout à fait remarquable» de Donald Trump à l'élection présidentielle de novembre 2016.

    La conférence, où sont attendus des milliers de conservateurs, se tient au Gaylord National Resort and Convention Center, un centre de congrès situé à Oxon (Maryland), près de Washington. Chacune des journées de cette rencontre débute par le serment d'allégeance au drapeau américain et une prière.

    Marion Maréchal-Le Pen, l'ancienne plus jeune députée de France, qui s'est reconvertie dans le privé, a annoncé le lancement d’une académie de sciences politiques en parallèle de ses activités professionnelles. Elle ambitionne de faire de cette institution le «terreau» de «tous les courants de la droite». Cette académie n'est rattachée à «aucun parti politique», et elle «ne sert aucun d’eux», a-t-elle assuré dans l'hebdomadaire Valeurs actuelles où elle a présenté son projet dans une tribune.

    Lire aussi : De la politique à l'école, la surprenante reconversion de Marion Maréchal-Le Pen

    RT France

  • Israël: premières incarcérations de migrants africains

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    Par  le 21/02/2018

    23h14
     

     

    Les sept migrants incarcérés mardi faisaient partie des quelque 750 personnes actuellement détenues à Holot. Ce centre de semi-détention a été ouvert pour regrouper, dans le désert du Neguev, ces étrangers entrés illégalement sur le territoire israélien. Et le gouvernement veut désormais en obtenir la fermeture.

    Ces sept Erythréens avaient reçu en janvier un avis des autorités israéliennes. Elles leur donnaient un mois pour décider entre un départ dit « volontaire » vers un pays tiers et une incarcération pour une durée indéterminée. Ce mardi, ces sept personnes étaient convoquées par les services de l’immigration au sein du centre de Holot. Selon l’un de leurs co-détenus joint par RFI, elles devaient alors signifier leur réponse. Et ces sept Erythréens ont choisi l’incarcération dans un centre fermé plutôt qu’un départ d’Israël.

    Les autorités israéliennes les ont alors immédiatement transférés vers la prison de Saharonim, à quelques centaines de mètres de Holot. Mais les migrants n’ont pu rassembler leurs effets personnels. Une rapidité d’exécution perçue comme une brutalité par les détenus de Holot. En geste de protestation, tous ont décidé d’entamer solidairement une grève de la faim dès mardi soir.

     
  • Deux soldats français tués et un blessé au Mali

     

    Deux soldats français ont été tués et un blessé mercredi dans l'explosion d'une mine artisanale dans le nord-est du Mali, une zone frontalière du Niger réputée servir de refuge à des groupes jihadistes que la force conjointe du G5 Sahel s'est donnée pour mission de chasser.

    "C'est avec une très vive émotion que le président de la République a appris la mort en opération de deux militaires tués ce matin au Mali dans l'attaque à l'engin explosif improvisé de leur véhicule blindé", a annoncé l'Élysée dans un communiqué.

    Le président français Emmanuel Macron "adresse à leurs familles et à leurs proches ses plus sincères condoléances" et "tient à saluer le courage des militaires français engagés au Sahel", conclut le communiqué.

    La ministre précise dans un communiqué que l'incident s'est produit dans le cadre d'une "vaste opération de contrôle de zone dans une région frontalière du Mali avec le Niger".

    Sur place, le responsable d'un groupe armé signataire de l'accord de paix de 2015 a précisé à l'AFP que l'attaque s'était produite "sur l'axe Ansongo-Menaka, à hauteur d'Indelimane", une information ensuite confirmée par les Forces armées maliennes (FAMa).

    C'est dans cette zone dite "des trois frontières" que doit se jouer la bataille entre les jihadistes et la force conjointe du G5 Sahel, organisation régionale regroupant ces pays, la Mauritanie et le Tchad, épaulée par la force française Barkhane et la Mission de l'ONU au Mali (Minusma).

    L'Obs

    RIP pour ces braves