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  • Le vice-chancelier d’Autriche : « Nous devons être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’Union européenne »

     

    13h35

    Vienne – Le chancelier autrichien conservateur Sebastian Kurz a dit mardi vouloir « bâtir des ponts » pour apaiser les tensions entre Est et Ouest au sein de l’UE, affichant son entente avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban en visite à Vienne.

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    « J’ai fait le constat ces dernières années de tensions croissantes au sein de l’UE, particulièrement en raison de la crise migratoire. Dans ce contexte, notre ambitieux projet en Autriche est de bâtir des ponts avec les pays de Visegrad », a déclaré M. Kurz au cours d’une conférence de presse aux côtés de son homologue.

    Les sujets de tensions se sont multipliés ces derniers mois entre la Commission européenne et les pays de l’alliance régionale du groupe de Visegrad (Hongrie, Slovaquie, Pologne, République tchèque). Des différends sur la politique migratoire européenne et les questions d’Etat de droit en Hongrie et en Pologne ont conduit à plusieurs passes d’armes avec Bruxelles.

     
      

    (…) Le Premier ministre hongrois avait un second rendez-vous en fin d’après-midi avec le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, le chef du FPÖ, un parti qui a notamment fait campagne contre l’immigration musulmane.

    M. Strache a loué l’attitude de la Hongrie qui avait au pic de la crise migratoire de l’été 2015 érigé des clôtures et déployé les forces de l’ordre pour stopper le passage des demandeurs d’asile.

    « J’avais dit à l’époque que nous devions être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’UE en restant sur le terrain du droit. Nous aurions dû coopérer plus étroitement et aider la Hongrie au lieu de la critiquer », a estimé M. Strache dans des déclarations faites aux côtés de M. Orban à l’issue de la rencontre.

    Romandie

  • Djihadistes condamnés à mort : vae victis ! – par François Teutsch

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    Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.

    Le gouvernement a tenu des propos sensés à propos des islamistes « français » arrêtés en Syrie et en Irak, ce qui lui a valu une avalanche de critiques de la part de tout ce que la bien-pensance compte de consciences éclairées. C’est sans doute pour se racheter auprès de ceux-là que le ministre de la Justice, une dame Belloubet, a fait part à BFM TV d’une ferme résolution : si des djihadistes français devaient être condamnés à mort, l’État français interviendrait. Ou l’art de dire des énormités.

    Quoi qu’en pense cette dame, ces gens ne sont pas français. Leur nationalité théorique ne change rien à l’affaire. Qu’on les laisse donc réfléchir à la question. Mais encore, méritent-ils la moindre commisération de la part d’un pays qu’ils ont renié ? Ces combattants d’Allah ont beau exprimer – pour certains – des regrets de circonstance, ils n’en demeurent pas moins des ennemis qui ont décidé, un jour, de prendre les armes aux côtés d’un groupe terroriste et criminel international. Un peu comme on devenait pirate au XVIIIe siècle, et qu’on attaquait les navires de son pays d’origine. Lorsqu’on prend les armes contre son pays – rappelons que la France était engagée en Irak et que nos aviateurs s’en sont donné à cœur joie -, on ne peut pas réclamer l’assistance de ce même pays une fois vaincu. Vae victis !

    La guerre n’est pas un jeu vidéo. Dans ce conflit sont tombés des hommes de chair et de sang. Ils ont souffert dans leur corps et dans leur âme. Ils ont combattu l’hydre islamiste. Ils ont donné leur vie, et avec la leur, trop souvent, celle de leurs familles. Les ressortissants français qui les ont aidés n’ignoraient rien de ce qui se passait là-bas. Soit authentiques musulmans fanatiques, soit petites racailles en quête d’aventure au désert, ils assument leurs actes, un point c’est tout. Et, si l’on nous permet un propos que désavouerait un ministre, nous en débarrasser est une excellente chose.

    Alors, pourquoi cette déclaration ? La France étant la patrie des droits de l’homme (c’est bien connu), elle doit faire honneur à sa réputation de lutte sans relâche contre la peine de mort. Sortez les violons. Le ministre n’échappe pas à la règle. Mais son propos est tout bonnement absurde, et pourrait bien ridiculiser son auteur. Voici un pays, la Syrie, avec lequel nous avons rompu toute relation diplomatique. Pour rester fidèle à notre suzerain américain, nous avons renié les liens millénaires qui nous unissaient au Levant. Au sein de ce pays, dont le régime de Macron insulte quotidiennement le président légitime, la zone kurde a fait sécession de fait et n’applique pas la peine de mort. Qui ira donc, en Syrie, discuter et négocier du sort de quelques terroristes justement condamnés, et avec qui ?

    En Irak, sous influence américaine, la situation n’est guère plus simple. Notre influence y est nulle, et les Irakiens ont sans doute autre chose à faire que d’écouter un obscur chargé d’affaires français qui plaiderait la cause d’un ou deux criminels promis à la potence à cause de leurs actes. Ce raisonnement est celui d’une puissance coloniale qui croit encore pouvoir agir au Moyen-Orient comme elle le ferait envers un tyranneau africain dont elle soutient le trône vacillant. Il ne fonctionnera pas, parce que les gouvernants locaux ne savent même plus où est la France. Elle s’est lamentablement effacée derrière l’Oncle Sam, lui-même éclipsé par la puissance russe dans la région.

    Un peu de bon sens. Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.

    François Teutsch

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

     

     
     
     
     

     

  • Jonathan Daval a avoué le meurtre de sa femme Alexia: il l'étranglée

    https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/disparition-d-une-joggeuse-en-haute-saone/il-l-a-etranglee-les-48-heures-qui-ont-conduit-a-la-mise-en-examen-de-jonathann-daval-pour-le-meurtre-de-sa-femme-alexia_2586572.html#xtor=EREC-38-[NL Event info]-20180131-[Une]

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    Le jour de leur mariage en août 2015

  • Quand Macron rendait hommage à « Théo et son entourage »

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  • Geert Wilders mène une marche à Rotterdam

    https://francais.rt.com/international/47472-pays-bas-ne-sont-pas-mususlmans-geert-wilders-mene-marche-rotterdam-video

  • LE JOURNAL TVL 30/01/18

  • Nouvelles révélations sur l'affaire Théo

    https://fr.novopress.info/209341/nouvelles-revelations-au-sujet-de-laffaire-theo/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

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  • Patrice Quarteron s’excuse d’avoir accusé à tort les policiers dans l’affaire Théo: « j’ai hurlé avec les loups »

    http://www.fdesouche.com/946475-patrice-quarteron-sexcuse-davoir-accuse-a-tort-policiers-laffaire-theo-jai-hurle-loups

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  • Dossier d’un magazine pour les 8-12 ans : « C’est quoi l’amour ? »

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    21h51
     

    Tout Comprendre N°62 – Février 2018 – Publié le 24/01/2018 / Mensuel Jeunesse

      

    Merci à Manu

     
  • Affaire Théo: la vidéo de son interpellation contredit sa version des faits

    http://www.fdesouche.com/946059-exclusif-affaire-theo-l-la-video-de-son-interpellation

  • Des activistes israéliens de droite distribuent aux migrants les adresses des domiciles de gauchistes : « c’est là qu’il faut aller »

     

    19h57

    Le Dr Michael Ben-Ari et Baruch Marzel sont arrivés aujourd’hui dans le sud de Tel-Aviv et ont distribué des tracts aux infiltrés en Tigrinya, la langue parlée par les natifs de l’Erythrée et de certaines parties de l’Ethiopie.

     
     
     
     

    Les tracts contiennent des adresses et des numéros de téléphone d’activistes de gauche et de membres du parti Meretz qui ont soutenu la demande de certains infiltrés d’obtenir un statut légal en Israël. Marzel et Ben-Ari ont encouragé les infiltrés à se prévaloir personnellement de «l’hospitalité» des militants de gauche en leur fournissant les coordonnées personnelles des activistes lors de simulacres d’invitations.

    «C’est l’adresse où aller,» Marzel dirige un infiltré intrigué qu’il a approché. «Un très bon endroit pour vivre, une belle maison, des repas gratuits, tout est gratuit, vous pouvez tout faire. ils sont prêts Vous pouvez vivre dans un très bon endroit gratuitement avec la famille, avec vos amis, vous pouvez y aller, y vivre quand vous le voulez.  »

    (…) Israel National News

  • FOLHUMOUR

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  • Shoah : une loi polonaise provoque la colère d'Israël et de l'Ukraine

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    Le Parlement polonais à Varsovie, le 12 décembre 2017. 

    Cette loi vise à éviter qu'on utilise l'expression "camps de la mort polonais" à propos des camps installés par l'Allemagne d'Hitler.

    Par L'Obs

     

    Une loi destinée à défendre l'image de la Pologne, y compris par des peines de prison pour ceux qui parlent de "camps de la mort polonais", a suscité la colère d'Israël et de l'Ukraine, l'Etat hébreu allant jusqu'à accuser Varsovie de nier l'Holocauste.

    Depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2015, le parti conservateur nationaliste Droit et Justice (PiS) a mis en place une "politique historique" pour réveiller le patriotisme polonais. Elle cherche notamment à exalter les souvenirs d'actions d'éclat face aux Allemands nazis, au régime communiste, aux nationalistes ukrainiens ou à l'Armée rouge, ou encore de Polonais qui ont risqué leur vie pour sauver des juifs. Mais elle vise aussi à empêcher la diffusion de versions de l'Histoire que Varsovie juge injustes et blessantes.

    Une loi concernant la Shoah fait monter la tension

    La tension est montée avec l'adoption vendredi par la chambre basse du Parlement polonais d'une loi concernant la Shoah – l'extermination des juifs par les Allemands survenue en grande partie en Pologne occupée. Aux yeux des conservateurs au pouvoir en Pologne, l'objectif premier de ce texte est d'éviter qu'on n'attribue "à la nation ou à l'Etat polonais" des crimes commis par les nazis allemands, et notamment d'empêcher l'utilisation de l'expression "camps de la mort polonais" à propos des camps installés par l'Allemagne nazie. Six millions de Polonais, dont trois millions de juifs, ont été tués pendant la Seconde Guerre mondiale, selon les chercheurs polonais de l'Institut de la mémoire nationale (IPN).

    Mais le gouvernement israélien a vu dans un passage de cette loi une tentative de nier la participation de certains Polonais à l'extermination des juifs, voire la possibilité de poursuivre en justice des survivants de la Shoah évoquant de tels cas.

    "Nous ne tolérerons pas qu'on déforme la vérité et réécrive l'Histoire ou qu'on nie l'Holocauste", a lancé le Premier ministre Benjamin Netanyahou.

    Le même jour, Kiev a dénoncé un autre volet de la loi. Celui-ci permet de poursuivre en justice ceux qui nient les crimes des nationalistes ukrainiens commis entre 1925 et 1950, y compris de ceux qui avaient collaboré avec les nazis. L'Ukraine "s'oppose catégoriquement à une nouvelle tentative d'imposer un traitement unilatéral d'événements historiques", a déclaré le ministère dans un communiqué, exprimant sa "grande inquiétude face à l'intention de présenter les Ukrainiens uniquement comme des 'nationalistes criminels' et 'collaborateurs du Troisième Reich'". 

    "Nous ne changerons aucune disposition dans la loi"

    Le président Andrzej Duda a cherché à surmonter cette crise en promettant d'examiner les passages de la loi dénoncés par Israël. Pour entrer en vigueur, la loi doit être votée par le Sénat – qui pourrait la modifier – et promulguée par le chef de l'Etat. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki s'est entretenu par téléphone dimanche soir avec Benjamin Netanyahou. Selon un communiqué du bureau de ce dernier, ils sont "tombés d'accord pour ouvrir immédiatement un dialogue" et "tenter de parvenir à une compréhension au sujet de la législation" polonaise.

    En revanche, la porte-parole du parti au pouvoir, Beata Mazurek, a adopté un langage moins conciliant. "Nous ne changerons aucune disposition dans la loi [...] Nous en avons assez des accusations contre la Pologne et les Polonais pour les crimes allemands", a-t-elle écrit sur son compte Twitter.

     

    Nie będziemy zmieniać żadnych przepisów w ustawie o IPN.Mamy dosyć oskarżania Polski i Polaków o niemieckie zbrodnie.

     

    L'ambassadrice d'Israël à Varsovie Anna Azari, a déclaré dans un discours à l'occasion de la Journée de la mémoire de l'Holocauste, que son pays "veut corriger, avec la Pologne, les erreurs historiques et ne parler que de camps de la mort nazis".

    "Il est triste de voir que la querelle qui a éclaté est en quelque sorte un triomphe de l'idéologie du nazisme", a-t-elle ajouté.

    Le Congrès juif mondial a, de son côté, critiqué la loi polonaise, qualifiée d'"acte de brouillage historique et attaque contre la démocratie". La France, pour sa part, "rappelle son attachement à la mémoire de la Shoah, à sa préservation, à sa transmission et à son respect partout dans le monde", a indiqué une porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

  • N’Guessan validé, Drec’hen recalé : les prénoms à apostrophe acceptés pour les immigrés , interdits pour les Bretons

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    21h00
     

    Les autorités refusent à des parents le droit de donner à un enfant un prénom breton à cause d’une apostrophe. Mais acceptent des prénoms étrangers dans le même cas…

    Le procureur de la République de Rennes a-t-il décidé de gonfler les voiles du vote Front national? On peut se le demander en observant ses étranges décisions concernant l’état-civil. Ouest-France a en effet révélé que le magistrat avait refusé d’accéder au désir de parents qui souhaitaient donner à leur enfant un prénom breton traditionnel, Drec’hen, né en août 2017, en raison d’une apostrophe. Mais, dans le même temps, il a accepté des prénoms d’origine étrangère possédant eux aussi une apostrophe. (…)

    3. Enfin et surtout, la même ville de Rennes a accepté plusieurs prénoms comprenant une apostrophe, et ce après l’entrée en vigueur de la circulaire de 2014: N’Guessan et Chem’s, en 2015, D’jessy en 2016, N’néné et Tu’iuvea en 2017. Cinq appellations d’origine africaine et polynésienne, en l’occurrence. La situation est donc ubuesque. Sur le sol breton, des prénoms d’origine étrangère seraient donc admis tandis que des appellations traditionnelles seraient refusées. On marche évidemment sur la tête.

    (…) Gênée, la municipalité de Rennes a depuis avancé un autre argument, encore plus surréaliste. « Les officiers de l’état-civil ont en effet accepté des prénoms contenant une apostrophe, car ils ont considéré que, dans ces cas précis, l’apostrophe ne changeait pas la prononciation du prénom. Alors qu’en Breton, le C’h change la prononciation. » Inventant ainsi un « délit de sonorité » qui n’existe dans aucun texte officiel. (…)

               

    Le procureur, lui, a depuis fait savoir qu’il allait « procéder, de manière précise et détaillée, à un nouvel examen de cette situation juridique, en lien avec l’administration centrale ». On ne saurait le lui déconseiller. (…)

    (Merci à 

  • Laura Laune: "la prof"

    On ne peut pas s'empêcher de rire avec Laura!

  • La guérilla ethnique s’aggrave. Par Guillaume Faye

     

    25 JANVIER 2018 PAR GUILLAUME FAYE

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    Chaque année, pendant la nuit du Nouvel An, les incidents provoqués gratuitement par les ”jeunes” d’origine immigrée sont de plus en plus graves et s’apparentent à ce que Marine Le Pen a décrit dans un communiqué du 1erjanvier 2018 : « ces scènes d’une rare violence viennent rappeler que perdure et s’amplifie dans notre pays, à côté de la menace terroriste, une insécurité confinant parfois à la guérilla urbaine ». Elle n’a pas osé désigner, politiquement correct oblige, l’origine des auteurs des faits. On lui pardonne, elle est tenue. De son côté, le ministère de l’Intérieur a reconnu que la soirée avait été « un peu chaude », mais que les festivités se sont globalement « bien passées » avec « très peu d’incidents ». Ah bon ?

    Tentative d’homicide filmée et diffusée

    Essayons d’interpréter les faits d’agression en prenant du recul.  À Champigny–sur–Marne, une bande de voyous, pas vraiment Français de souche, tente d’entrer dans un lieu où se déroule un réveillon privé, dont ils défoncent la porte. Appelée, la police les expulse. Mais deux policiers, un homme et une femme, se font isoler et cerner pendant l’émeute qui s’ensuit. Ils sont lynchés et tabassés par des dizaines de ”jeunes” (devinez leur origine…). La jeune policière, à terre, est rouée de coups de pieds, surtout au visage. La scène, insoutenable, est filmée au smartphone par un des agresseurs et les images, comme un exploit à imiter, seront diffusées sur les réseaux sociaux. Appelés en renfort d’autres policiers viennent les secourir. Deux voyous seulement ont été placés en garde à vue. Les deux fonctionnaires, gravement blessés, sont hospitalisés avec dix jours d’interruption de travail.

    Ce sont des miraculés car l’intention de les tuer était manifeste. Patrice Ribeiro, patron du syndicat de policiers Synergie–officiers a analysé : « Cela témoigne de l’explosion exponentielle des violences perpétrées contre les policiers, avec une volonté homicide décomplexée. Cette scène de lynchage est digne des pays où les mœurs les plus barbares ont cours »(1)Sans réponse judiciaires fermes, nous courrons à des drames ». Une autre attaque du même type, avec double agression a été perpétrée à Aulnay–sous–Bois contre des policiers. Il faut dire que l’État est objectivement complice des voyous, en dépit des communiqués pro–police tonitruants, martiaux, indignés et creux de ses plus hautes autorités  –MM. Macron et Collomb, le ministre de l’Intérieur – qui n’envisagent pas une seconde de rétablir les peines planchers, abrogées en 2014, pour les agresseurs de policiers ! Bidon, mensonge et spectacle, au sommet d’un État qui est gouverné par des… [je vous laisse choisir le terme].

    Essayer de tuer un policier si l’on est d’une certaine origine… est, objectivement, dans la France en décomposition d’aujourd’hui,  nettement moins puni par des magistrats gauchisés que si, Français de souche, on tire sur un agresseur à domicile d’origine immigrée. 

    Aggravation constante des troubles du Nouvel An

    Mais tout va bien ! Cette même nuit de la Saint–Sylvestre 2017–2018, on a aussi vu 1031 véhicules incendiés, contre 935 l’année précédente, dont 250 en Ile–de–France, surtout évidemment près des zones où se concentrent des jeunes d’origine immigrée.

     510 délinquants ont été arrêtés dans toute la France contre 456 fin 2016. (L’immense majorité est relâchée.) Il y eut aussi 10 policiers et militaires agressés et blessés par nos amis les ”jeunes”.  Eh oui, ça augmente et ça augmentera. Soyez–en sûrs : pratiquement aucun des délinquants ne fera de la prison ou ne supportera la moindre amende.  Les magistrats sont antiracistes…

    Les agressions et émeutes de la nuit de la Saint–Sylvestre ont encore gagné en intensité par rapport à l’an passé et cette montée en puissance se poursuit chaque année depuis 10 ans. À Paris et dans la petite couronne (92, 93, 94), pendant la nuit du Nouvel An, 213 interpellations ont eu lieu contre 202 en 2016 ; 163 véhicules ont été incendiés contre 134 à la Saint Sylvestre 2016. On a enregistré 6 tirs de mortier contre les forces de l’ordre contre 2 en 2016.

    La nouveauté c’est que, maintenant, les agressions et les incendies de véhicules gagnent Paris intra-muros. Les ”jeunes” s’enhardissent. À 20.50 h sur les Champs Élysées les gendarmes mobiles ont arrêté sept individus qui jetaient des canettes pleines dans la foule dans l’intention de faire  des victimes. Les auteurs de cet acte d’hostilité, de guérilla ? Des immigrés clandestins…afghans. Un employé du Fouquet’s a été blessé à l’arme blanche en s’interposant dans une bagarre. Dans le XIe, une serveuse de bar a  été victime d’une agression sexuelle.

    Partout, dans la banlieue parisienne, selon un rapport du ministère de L’Intérieur,  violences et agressions ont été d’un niveau nettement supérieur à l’an passé.  Pour se dégager de guet–apens, notamment à Stains (93), la police a dû utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades. Des guet–apens ont aussi eu lieu à Sevran, à Houilles. À Clichy, ce sont les chauffeurs de bus qui ont été agressés. Toujours par la même population… Ce qui démontre que le niveau de la ”délinquance” est dépassé et que le seuil de la guérilla est franchi. Dans le reste de la France, le niveau de violence de la Saint–Sylvestre a suivi la même progression qu’en région parisienne.

     Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), le nombre de violences « à dépositaire de l’autorité publique »  (policiers, gendarmes, militaires, etc) a triplé en 30 ans, de 10.000 en 1995 à 32.000 en 2016. C’est la France qui est visée par ces symboles et il s’agit bien d’une logique de guerre intestine par des agresseurs qui s’envisagent comme des envahisseurs. Le nombre de policiers blessés en mission est passé de 4.197 en 2008 à 5.767 en 2016, avec une forte hausse récente de ceux blessés par arme, 430 en 2015, 687 en 2016. 

    Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a fait cette déclaration qui laisse rêveur : « J’étais à Champigny hier. Quand on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence ». Ridicule. Dans les années soixante, quand seuls des Français de souche habitaient ces ”grandes barres”, tout était calme.

    Taire et censurer la réalité des faits

    Cette délinquance en bandes ethniques organisées est un prélude, un préparatif à une guerre civile ethnique d’agression, dont la corrélation avec l’islamisme est claire. C’est évidemment une des conséquences du laxisme migratoire total qui règne depuis un demi–siècle. La classe politique et les dirigeants français taisent ou travestissent les faits. Aucun média n’a osé révéler l’origine des auteurs des agressions – des ”chances pour la France ”. La totalité des agresseurs et des émeutiers du 31 décembre, comme à chaque épisode semblable (ce que savent bien les services de police qui ont ordre de ne jamais le mentionner dans leurs rapports), était d’origine maghrébine et surtout africaine. Leurs motivations sont non seulement crapuleuses –pillages et vols culturellement ataviques – mais aussi antifrançaises, c’est–à–dire racistes et politiques, avec l’islam en embuscade.  Les grands médias, dans notre pays de très relative ”liberté de la presse”, (35e rang mondial sur 180 pays selon Reporters sans frontières) sont lourdement dissuadés de révéler la vérité sur l’origine ethnique des auteurs des exactions précitées. Ce  qui est stupide, puisque tout le monde sait qui pille, vole, parasite, trafique, agresse, assassine, viole, incendie et éventuellement pose des bombes et égorge à l’arme blanche.

     La lucidité de G.W Goldnadel

     La réponse pénale n’est pas à la hauteur. Les voyous d’origine immigrée se sentent totalement impunis. 100.000 peines de prisons ne sont pas exécutées chaque année. Et pas plus l’actuelle Garde des Sceaux , pas plus que la calamiteuse Taubira n’envisage de créer de nouvelles places de prison.

    Le seul à avoir osé dire la vérité sur le lynchage du capitaine de police et de la gardienne de la paix a été l’avocat Gilles–William Goldnadel, dans Le Figaro du 3 janvier 2018 («Lynchage des deux policiers  à Champigny : nommons les faits »). Il laisse entendre tout d’abord ce qu’aucun journaliste apeuré (pléonasme) n’a osé mentionner, mais ce qui est parfaitement visible dans les vidéos de l’agression : les auteurs  étaient tous de jeunes Noirs. Il estime que l’agression était à caractère raciste anti–Blancs et anti–Français.  Et enfin, il accuse les médias et le système politique de dissimuler ces évidences, avec leur utopie totalement échouée du ”vivre ensemble ”.

    Il écrit : « Cette haine sauvage des policiers français n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée ». Il dénonce la complicité des intellocrates et des médias, de Mathieu Kassovitz et de Médiapart (le site d’Edwy Plenel) avec les agresseurs et les émeutiers. Comme d’ailleurs chez Le MondeLibérationFrance Télévision et Radio France, le tropisme masochiste collaborationniste ou sympathisant avec tout envahisseur – nazi  est un mal français. Du nazisme à l’islam, on adore. La vulgate ”antiraciste” (attention, pas le racisme anti–Blancs, autorisé) règne sans entraves.

    GWG remarque : « les jeunes en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. Je ne suis pas le plus mal placé pour écrire qu’elle est largement fondée. […] Ces jeunes de Champigny –sur–haine sont manifestement issus de l’immigration ». Il évoque « le bacille de la haine des policiers français mais celui tout bonnement de la France prétendument raciste. Et du racisme, parlons–en à la fin. On n’entend guère ce mot à propos du lynchage de Champigny. Or supposons un instant, dans une autre affaire, dix Blancs s’acharnant sur deux Noirs à terre ». La médiatisation et l’indignation seraient énormes. Deux poids, deux mesures

    Quand le Noir Théo, voyou délinquant,  avait prétendu avoir été ”violé”  par les matraques de policiers, Hollande, (le président de la République !) était allé le visiter à l’hôpital. Antiracisme oblige. Ni Macron  ni son ministre de l’Intérieur n’ont visité à l’hôpital la jeune policière  tabassée par des Noirs et qui a échappé de peu à la mort. GWG s’interroge : « il n’est que temps de questionner le racisme anti–Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers. Sans trembler »

    En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais, l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’”insertion” ou l’”inclusion” (nouvelle lubie) ne pourront se réaliser. Jamais la haine raciste et jalouse de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourront s’éteindre dans des  populations en augmentation numérique constante. La guerre civile ethnique se profile de plus en plus clairement.  Et pourtant, ce que nous voyons se dérouler aujourd’hui est bien peu de choses et ressemble à des échauffourées par rapport aux affrontements gigantesques qui se préparent.   

  • Copulation bestiale dans le RER D

    Attention, images très choquantes!  La SNCF annonce avoir transmis la vidéo aux autorités judiciaires.

     

    Une utilisatrice de Twitter a publié, le 25 janvier, la vidéo d’un couple en pleins ébats dans le wagon du RER avec la légende suivante : “Le RER ça a changé” Dans la localisation de son tweet, cette même internaute révèle que les images ont été prises dans le RER D au niveau de la gare d’Épinay-sur-Seine, en région parisienne.

     

    D’après le site gouvernemental Legifrance, “l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende”.

     

  • Selon un récent sondage, l’immigration est la première préoccupation des Français, devant la menace terroriste et le chômage

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