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Changement de nom du FN : pour Jean-Marie Le Pen, «c'est le coup le plus rude que le FN ait reçu»
© Charles Platiau Source: ReutersJean-Marie Le Pen ne cautionne pas le changement de nom du Front national en Rassemblement nationalL'ex-président et cofondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen, a déclaré que le 1er Juin était un «jour de deuil pour les frontistes», après le changement de nom du parti en Rassemblement national.
Le 1er juin, Jean-Marie Le Pen, président du Front national entre 1972 et 2011, s'est senti en «tristesse» après l'officialisation le 1er juin par sa fille Marine Le Pen – son successeur depuis 2011 – du changement de nom du parti en Rassemblement national. Le «menhir» a tweeté le soir même : «1er Juin, jour de deuil pour les frontistes. Le FN âgé de 46 ans a disparu, sabordé par les siens.»
Dans la journée, peu avant l'officialisation du changement de nom, Jean-Marie Le Pen avait rédigé un communiqué dans lequel il estimait que le «honteux effacement» de l'«identité» du parti constituait «le coup le plus rude que le Front national ait jamais reçu depuis sa fondation».
«C'est une longue et courageuse histoire militante que l'on renie [...] seuls les adversaires [...] tireront bénéfice de cette trahison», a-t-il poursuivi.
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Le Samedi Politique avec Laurent Obertone: le duo du complot?
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Lesbos (Grèce) : « Les habitants ont peur de sortir de chez eux » explique le maire, « les Grecs ne représentent qu’un tiers des gens vivant ici »
21h39Spiros Galinos, le maire de l’île de Lesbos, a déclaré à l’agence de presse grecque Iefimerida que les habitants de sa ville sont de plus en plus préoccupés par les migrants. Galinis a déclaré que « les habitants ont peur de sortir de chez eux ».
Selon le maire, Lesbos est épuisé de la situation dangereuse en cours avec les migrants. Les gens de Lesbos étaient autrefois solidaires avec les migrants et certains ont ouverts leurs maisons aux réfugiés venus de Syrie.
Mais maintenant la situation a complètement changé, car les habitants de Lesbos, autrefois solidaires et tolérants, sont confrontés à la réalité cruelle d’une immigration de masse incontrôlée.
M. Galinos a ajouté: « Nos citoyens se sentent abandonnés par la Grèce et par l’UE, les citoyens grecs ne représentent quant à eux qu’un tiers des personnes vivant sur cette île ».
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Londres : furieux, un homme à vélo sort un couteau de chasse et tente de casser les vitres d’une voiture Par Koba le 01/06/2018
14h50La scène se déroule dans la banlieue sud de Londres lorsqu’un individu à vélo semble s’arrêter à côté de la Volkswagen bleue avant que celle-ci ne démarre et percute le vélo.
Hallucinant!
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JOURNAL DU 1er JUIN 2018
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L’affaire Mamoudou : vraisemblablement une nouvelle affaire Théo…
01/06/2018 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Mardi dernier, notre équipe de réinformateurs a analysé l’invraisemblable mayonnaise médiatique qu’a suscitée l’exploit de Mamoudou Gassama, ce clandestin malien de 23 ans qui a escaladé la façade d’un immeuble du XVIIIe arrondissement de Paris pour porter secours à un enfant.Revenons sur cette affaire à la lumière des questions qu’a posé à son sujet André Bercoff, éditorialiste à Sud Radio, lors d’une émission de Cnews, mercredi dernier. Après avoir regretté l’absence totale d’enquête préalable à cet emballement médiatique, Bercoff pose une première question : cet enfant de trois ans et demi est censé avoir escaladé la rambarde du balcon du 5ème étage, puis être tombé. Sachant que sur une distance de chute qu’on peut évaluer à quelque trois mètres, la vitesse acquise dépasse déjà les 30 km par heure, comment l’enfant, à supposer qu’il ait réussi avec ses petites mains à agripper la rambarde du quatrième étage au cours de sa chute, a-t-il pu mobiliser l’énergie nécessaire pour annuler une telle vitesse et pour rester accrocher dans le vide pendant plusieurs minutes à la seule force de ses bras ? Assurément, si Mamoudou est le héros du jour, ce petit garçon en est un autre, dont l’histoire retiendra la force physique proprement herculéenne. Evidemment, Bercoff n’a pas apporté à sa démonstration les précisions physiques que nous y avons ajoutées.
La deuxième question ?
Elle est plus banale mais tout aussi intrigante. Comment se fait-il que le voisin que l’on voit sur une vidéo tentant de sauver le gamin depuis son balcon, un homme barbu, assez trapu et de type méditerranéen, ne soit pas du tout le même que celui qui est peu après interrogé, es-qualité, par Cnews : imberbe, plutôt fluet, et de type caucasien ?
Des questions qui ont valu à Bercoff une volée de bois vert…
A peine a-t-il commencé à parler, que Pascal Praud, qui dirige l’émission, s’emporte : « Je ne comprends toujours pas ce que vous voulez dire ! ». Praud l’interrompt peu après sur le même ton scandalisé : « Vous voulez dire quoi ? Que c’est un montage ?». Quant à Alain Jakubowicz, totalement dans son rôle, il évoque avec un sourire entendu la… « théorie du complot ». « Ça, c’est la déformation du bon avocat de la Licra », rétorque Bercoff, à la limite de l’indicible.
Mais il est une question que n’ont posé ni Bercoff ni les autres…
Cette question, beaucoup d’internautes l’ont posée, mais aucun journaliste du système ne la posera face à une caméra : que fait en France ce Malien, jeune et en pleine forme physique, alors que le Mali est en guerre et que, depuis 2013, 22 soldats français – un officier, neuf sous-officiers et 12 hommes du rang – se sont fait trouer la peau dans le cadre de l’opération Barkhane, pour que lui et les siens puissent vivre en paix dans leur pays ?
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Croatie : la police ouvre le feu sur une camionnette transportant des migrants
12h22La police croate a ouvert le feu dans la nuit de mercredi à jeudi sur une camionnette transportant des migrants, à Srb près de la frontière avec la Bosnie-Herzégovine (…). L’information est confirmée par un porte-parole policier à l’AFP. Le véhicule venait probablement de passer la frontière.
La police aurait tenté à plusieurs reprises d’arrêter la camionnette, avant d’ouvrir le feu quand le véhicule a forcé un barrage. Le conducteur a alors mis le véhicule à l’arrêt et s’est enfui dans les bois.
Les policiers ont quant à eux découvert 29 migrants à bord du véhicule, dont deux mineurs (un Afghan et un Irakien) blessés par les tirs. Leurs jours ne seraient pas en danger, mais ils ont été hospitalisés à Zadar, dans le sud du pays, dans un état grave.
D’autres passagers nécessitaient par ailleurs également des soins, davantage liés aux conditions de transport dans le véhicule plein à craquer.
Merci à Hajduk
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Sortie de crise en Italie: nouvel accord de gouvernement
Après négociations, Giuseppe Conte est de nouveau nommé Premier Ministre et nomme : - Luigi Di Maio (Mouvement 5 Etoiles) Ministre Développement Economique - Matteo Salvini (Ligue, parti anti-immigration) Ministre de l'Intérieur - Paolo Savona (eurosceptique) Ministre des Affaires Européennes La composition du gouvernement a cette fois été validée par le Président Sergio Mattarella. - Euronews, 1er juin 2018, 00h01
NdB: Nous nous en réjouissons!
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L’opération de Génération Identitaire dans les Alpes, le mois dernier
Propos recueillis par Mathieu Vergez.
L’opération de Génération Identitaire dans les Alpes, le mois dernier, a suscité énormément de réactions dans la presse et la classe politique. Un mois jour pour jour après les événements, Infos-Toulouse est allé à la rencontre d’Aymeric, un militant toulousain qui a participé à l’opération.
Infos Toulouse: Un mois après, considérez-vous que l’action de Génération Identitaire au col de l’Echelle a atteint son objectif ?
Aymeric : Évidemment ! L’action « Defend Europe : mission Alpes » a été un succès. Un succès médiatique, déjà, puisque nous avons eu un écho considérable dans tous les médias français. Mais c’est aussi une victoire politique, puisque immédiatement après notre action, le Ministre de l’Intérieur a annoncé qu’il dépêcherait des renforts supplémentaires à la frontière au niveau du col de l’Echelle.Donc, malgré l’opprobre jeté sur vous par une partie de la presse et de la classe politique, il y a quand même eu de l’action, derrière ?
Nous avons surtout noté le soutien que la population nous a apporté sur place. Tous les Briançonais et les habitants de Montgenèvre nous ont dit qu’ils étaient heureux que nous soyons là, qu’ils étaient enfin écoutés et pris en compte. Donc, effectivement, le mépris d’une certaine classe politique ne nous atteint pas quand les habitants, eux, nous soutiennent massivement. Il est aussi important de noter que nous avons eu le soutien de beaucoup d’élus, qu’ils soient du Front National ou derrière Nicolas Dupont-Aignan, qui nous a soutenu après la suppression de notre compte Facebook.Lire aussi : Facebook censure Génération Identitaire
Avez-vous l’impression d’avoir réussi à sensibiliser sur la question de l’immigration illégale, au-delà de la classe politique la plus habituée à cette question ?
Oui, évidemment ! Comme je vous le disais, les Briançonais nous soutenaient dans notre action et nous demandait même de la continuer! Ensuite, la question de l’immigration clandestine a fait la une des journaux grâce à notre action, donc oui, notre action a porté ses fruits dans la population.Parmi vos détracteurs, certains vous comparaient aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Qu’est-ce qui vous différencie des zadistes ?
Notre action a été entièrement pacifique. Nous avons simplement matérialisé une frontière au niveau du col de l’Échelle, mené un travail d’enquête auprès de la population, et un travail de surveillance de la frontière en nous appuyant sur l’article 73 du Code de procédure pénale qui autorise tout individu à appréhender un autre individu en flagrant délit. Nous avons agi de manière pacifique, de façon totalement légale, et sans bloquer la circulation des Européens et sans dégrader quoi que ce soit.Comment vivez-vous la diffamation et la calomnie dont vous avez été victimes ?
Le fait qu’une certaine classe politique mondialiste et que certains médias décrient notre action n’est pas une surprise. Évidemment, nous, ce qui nous importe, c’est de défendre l’Europe et les peuples européens. Nous mettons le doigt où ça fait mal, nous sommes des lanceurs d’alertes. Il y a dans notre pays un manque de volonté et de courage politique quant à la lutte contre l’immigration clandestine. Nous, nous dénonçons cela, donc oui, cela gêne. Nous l’avons vu, nous gênons au point qu’il semblerait que l’Etat ait demandé la suppression de nos comptes Facebook. Facebook a lui-même revendiqué cette suppression en disant qu’il ne validait pas les critiques à l’égard des politiques d’immigration, et les arguments qui consistent à restreindre ces politiques. Ces attaques dont nous sommes l’objet montrent bien l’utilité de notre action.Lire aussi : Col de l’Échelle : « La preuve que rétablir nos frontières est possible »
Pendant votre opération sur le col de l’Echelle, une autre opération de la part des antifas italiens s’est effectuée en parallèle non loin, cette fois dans la violence. Les médias en ont très peu parlé. Y a-t-il un deux poids deux mesures vous concernant ?
Le fait que les médias n’en aient pas parlé, c’est très bien. Il ne faut pas donner plus d’importance qu’ils n’en ont à ces gens-là. Il s’agit effectivement de personnes violentes qui font régner leurs lois sur les Briançonais. Comme je vous l’ai dit, la population nous soutenait, mais avaient parfois peur de s’exprimer au grand jour, parce que ces militants font preuve de violence. Je pense qu’à leur égard, l’ignorance est le plus grand des mépris.Subissez-vous d’autres pressions suite à cette action ?
Plusieurs de nos militants ont soit perdu leur emploi, soit été les cibles de campagnes de dénonciation sur Twitter comme Romain Espino. S’engager, aujourd’hui, pour la défense de l’Europe, peut amener des conséquences sur le plan personnel. Mais c’est un choix que nous faisons, nous sommes prêts à défendre l’Europe jusqu’au bout, quitte à ce que cela nous coûte des emplois ou des études.Quel rôle a joué la fédération toulousaine ?
Les militants toulousains étaient présents lors du week-end de lancement mais également tout au long de la permanence qui a eu lieu. Notre fédération toulousaine de Génération Identitaire est très implantée localement et nous sommes en pleine dynamique, ce qui nous a permis de fournir des militants tout au long de cette mission.Article paru sur le site Infos Toulouse.
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Opération « Stop Migrants » dans les Alpes par Euro Libertes 30 mai 2018 Événements, Politique Propos recueillis par Mathieu Vergez. L’opération de Génération Identitaire dans les Alpes, le mois dernier, a suscité énormément de réactions dans la presse
Propos recueillis par Mathieu Vergez.
L’opération de Génération Identitaire dans les Alpes, le mois dernier, a suscité énormément de réactions dans la presse et la classe politique. Un mois jour pour jour après les événements, Infos-Toulouse est allé à la rencontre d’Aymeric, un militant toulousain qui a participé à l’opération.
Infos Toulouse: Un mois après, considérez-vous que l’action de Génération Identitaire au col de l’Echelle a atteint son objectif ?
Aymeric : Évidemment ! L’action « Defend Europe : mission Alpes » a été un succès. Un succès médiatique, déjà, puisque nous avons eu un écho considérable dans tous les médias français. Mais c’est aussi une victoire politique, puisque immédiatement après notre action, le Ministre de l’Intérieur a annoncé qu’il dépêcherait des renforts supplémentaires à la frontière au niveau du col de l’Echelle.Donc, malgré l’opprobre jeté sur vous par une partie de la presse et de la classe politique, il y a quand même eu de l’action, derrière ?
Nous avons surtout noté le soutien que la population nous a apporté sur place. Tous les Briançonais et les habitants de Montgenèvre nous ont dit qu’ils étaient heureux que nous soyons là, qu’ils étaient enfin écoutés et pris en compte. Donc, effectivement, le mépris d’une certaine classe politique ne nous atteint pas quand les habitants, eux, nous soutiennent massivement. Il est aussi important de noter que nous avons eu le soutien de beaucoup d’élus, qu’ils soient du Front National ou derrière Nicolas Dupont-Aignan, qui nous a soutenu après la suppression de notre compte Facebook.Lire aussi : Facebook censure Génération Identitaire
Avez-vous l’impression d’avoir réussi à sensibiliser sur la question de l’immigration illégale, au-delà de la classe politique la plus habituée à cette question ?
Oui, évidemment ! Comme je vous le disais, les Briançonais nous soutenaient dans notre action et nous demandait même de la continuer! Ensuite, la question de l’immigration clandestine a fait la une des journaux grâce à notre action, donc oui, notre action a porté ses fruits dans la population.Parmi vos détracteurs, certains vous comparaient aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Qu’est-ce qui vous différencie des zadistes ?
Notre action a été entièrement pacifique. Nous avons simplement matérialisé une frontière au niveau du col de l’Échelle, mené un travail d’enquête auprès de la population, et un travail de surveillance de la frontière en nous appuyant sur l’article 73 du Code de procédure pénale qui autorise tout individu à appréhender un autre individu en flagrant délit. Nous avons agi de manière pacifique, de façon totalement légale, et sans bloquer la circulation des Européens et sans dégrader quoi que ce soit.Comment vivez-vous la diffamation et la calomnie dont vous avez été victimes ?
Le fait qu’une certaine classe politique mondialiste et que certains médias décrient notre action n’est pas une surprise. Évidemment, nous, ce qui nous importe, c’est de défendre l’Europe et les peuples européens. Nous mettons le doigt où ça fait mal, nous sommes des lanceurs d’alertes. Il y a dans notre pays un manque de volonté et de courage politique quant à la lutte contre l’immigration clandestine. Nous, nous dénonçons cela, donc oui, cela gêne. Nous l’avons vu, nous gênons au point qu’il semblerait que l’Etat ait demandé la suppression de nos comptes Facebook. Facebook a lui-même revendiqué cette suppression en disant qu’il ne validait pas les critiques à l’égard des politiques d’immigration, et les arguments qui consistent à restreindre ces politiques. Ces attaques dont nous sommes l’objet montrent bien l’utilité de notre action.Lire aussi : Col de l’Échelle : « La preuve que rétablir nos frontières est possible »
Pendant votre opération sur le col de l’Echelle, une autre opération de la part des antifas italiens s’est effectuée en parallèle non loin, cette fois dans la violence. Les médias en ont très peu parlé. Y a-t-il un deux poids deux mesures vous concernant ?
Le fait que les médias n’en aient pas parlé, c’est très bien. Il ne faut pas donner plus d’importance qu’ils n’en ont à ces gens-là. Il s’agit effectivement de personnes violentes qui font régner leurs lois sur les Briançonais. Comme je vous l’ai dit, la population nous soutenait, mais avaient parfois peur de s’exprimer au grand jour, parce que ces militants font preuve de violence. Je pense qu’à leur égard, l’ignorance est le plus grand des mépris.Subissez-vous d’autres pressions suite à cette action ?
Plusieurs de nos militants ont soit perdu leur emploi, soit été les cibles de campagnes de dénonciation sur Twitter comme Romain Espino. S’engager, aujourd’hui, pour la défense de l’Europe, peut amener des conséquences sur le plan personnel. Mais c’est un choix que nous faisons, nous sommes prêts à défendre l’Europe jusqu’au bout, quitte à ce que cela nous coûte des emplois ou des études.Quel rôle a joué la fédération toulousaine ?
Les militants toulousains étaient présents lors du week-end de lancement mais également tout au long de la permanence qui a eu lieu. Notre fédération toulousaine de Génération Identitaire est très implantée localement et nous sommes en pleine dynamique, ce qui nous a permis de fournir des militants tout au long de cette mission.Article paru sur le site Infos Toulouse.
Propos recueillis par Mathieu Vergez.
L’opération de Génération Identitaire dans les Alpes, le mois dernier, a suscité énormément de réactions dans la presse et la classe politique. Un mois jour pour jour après les événements, Infos-Toulouse est allé à la rencontre d’Aymeric, un militant toulousain qui a participé à l’opération.
Infos Toulouse: Un mois après, considérez-vous que l’action de Génération Identitaire au col de l’Echelle a atteint son objectif ?
Aymeric : Évidemment ! L’action « Defend Europe : mission Alpes » a été un succès. Un succès médiatique, déjà, puisque nous avons eu un écho considérable dans tous les médias français. Mais c’est aussi une victoire politique, puisque immédiatement après notre action, le Ministre de l’Intérieur a annoncé qu’il dépêcherait des renforts supplémentaires à la frontière au niveau du col de l’Echelle.Donc, malgré l’opprobre jeté sur vous par une partie de la presse et de la classe politique, il y a quand même eu de l’action, derrière ?
Nous avons surtout noté le soutien que la population nous a apporté sur place. Tous les Briançonais et les habitants de Montgenèvre nous ont dit qu’ils étaient heureux que nous soyons là, qu’ils étaient enfin écoutés et pris en compte. Donc, effectivement, le mépris d’une certaine classe politique ne nous atteint pas quand les habitants, eux, nous soutiennent massivement. Il est aussi important de noter que nous avons eu le soutien de beaucoup d’élus, qu’ils soient du Front National ou derrière Nicolas Dupont-Aignan, qui nous a soutenu après la suppression de notre compte Facebook.Lire aussi : Facebook censure Génération Identitaire
Avez-vous l’impression d’avoir réussi à sensibiliser sur la question de l’immigration illégale, au-delà de la classe politique la plus habituée à cette question ?
Oui, évidemment ! Comme je vous le disais, les Briançonais nous soutenaient dans notre action et nous demandait même de la continuer! Ensuite, la question de l’immigration clandestine a fait la une des journaux grâce à notre action, donc oui, notre action a porté ses fruits dans la population.Parmi vos détracteurs, certains vous comparaient aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Qu’est-ce qui vous différencie des zadistes ?
Notre action a été entièrement pacifique. Nous avons simplement matérialisé une frontière au niveau du col de l’Échelle, mené un travail d’enquête auprès de la population, et un travail de surveillance de la frontière en nous appuyant sur l’article 73 du Code de procédure pénale qui autorise tout individu à appréhender un autre individu en flagrant délit. Nous avons agi de manière pacifique, de façon totalement légale, et sans bloquer la circulation des Européens et sans dégrader quoi que ce soit.Comment vivez-vous la diffamation et la calomnie dont vous avez été victimes ?
Le fait qu’une certaine classe politique mondialiste et que certains médias décrient notre action n’est pas une surprise. Évidemment, nous, ce qui nous importe, c’est de défendre l’Europe et les peuples européens. Nous mettons le doigt où ça fait mal, nous sommes des lanceurs d’alertes. Il y a dans notre pays un manque de volonté et de courage politique quant à la lutte contre l’immigration clandestine. Nous, nous dénonçons cela, donc oui, cela gêne. Nous l’avons vu, nous gênons au point qu’il semblerait que l’Etat ait demandé la suppression de nos comptes Facebook. Facebook a lui-même revendiqué cette suppression en disant qu’il ne validait pas les critiques à l’égard des politiques d’immigration, et les arguments qui consistent à restreindre ces politiques. Ces attaques dont nous sommes l’objet montrent bien l’utilité de notre action.Lire aussi : Col de l’Échelle : « La preuve que rétablir nos frontières est possible »
Pendant votre opération sur le col de l’Echelle, une autre opération de la part des antifas italiens s’est effectuée en parallèle non loin, cette fois dans la violence. Les médias en ont très peu parlé. Y a-t-il un deux poids deux mesures vous concernant ?
Le fait que les médias n’en aient pas parlé, c’est très bien. Il ne faut pas donner plus d’importance qu’ils n’en ont à ces gens-là. Il s’agit effectivement de personnes violentes qui font régner leurs lois sur les Briançonais. Comme je vous l’ai dit, la population nous soutenait, mais avaient parfois peur de s’exprimer au grand jour, parce que ces militants font preuve de violence. Je pense qu’à leur égard, l’ignorance est le plus grand des mépris.Subissez-vous d’autres pressions suite à cette action ?
Plusieurs de nos militants ont soit perdu leur emploi, soit été les cibles de campagnes de dénonciation sur Twitter comme Romain Espino. S’engager, aujourd’hui, pour la défense de l’Europe, peut amener des conséquences sur le plan personnel. Mais c’est un choix que nous faisons, nous sommes prêts à défendre l’Europe jusqu’au bout, quitte à ce que cela nous coûte des emplois ou des études.Quel rôle a joué la fédération toulousaine ?
Les militants toulousains étaient présents lors du week-end de lancement mais également tout au long de la permanence qui a eu lieu. Notre fédération toulousaine de Génération Identitaire est très implantée localement et nous sommes en pleine dynamique, ce qui nous a permis de fournir des militants tout au long de cette mission.Article paru sur le site Infos Toulouse.
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Marion Maréchal soigne son non-retour en politique
L’ancienne députée frontiste, qui multiplie les interventions publiques depuis quelques jours, était l’invitée ce jeudi d’une soirée ayant pour thème mai 68.
Ne surtout pas y voir un retour dans la vie politique. Marion Maréchal - désormais délestée du « Le Pen » de son patronyme - invitée vedette de la soirée « Débranchons 68 » organisée par le magazine de droite conservatrice l’Incorrect et les Eveilleurs d’Espérance, a voulu d’entrée de jeu couper court aux spéculations. « A l’époque de Balance ton porc, il est particulièrement mal venu de vouloir faire dire oui à une fille qui n’arrête pas de dire non », a balayé l’ex-députée du Vaucluse. Et de préciser : « Ce n’est pas un retour politicien. Peut-être un retour à la vie publique, mais pour la métapolitique ».
LIRE AUSSI >La nouvelle vie de Marion Maréchal
Un non-retour qui suscite toutefois un véritable engouement. Ils étaient près de 1000 participants à avoir acquitté les 15 euros nécessaires pour participer à cette réunion organisée dans la salle un peu kitch de la « Palmeraie » dans le XVe arrondissement. Plutôt jeunes dans l’ensemble, bien habillés et pour certains d’entre eux, des électeurs… traditionnels de droite.
« Je suis adhérent les Républicains », confie ainsi Emmanuel, 44 ans, venu de Sartrouville (Yvelines). Il a beau être un fan de Laurent Wauquiez, la démarche de Marion Maréchal l’intéresse : « Elle veut rassembler des gens de différents horizons. Depuis la Manif pour Tous, on sait que cela n’a pas de sens de rester chacun dans son coin », précise-t-il. Erik Tegner, qui a renoncé à la présidence des Jeunes avec Calmels (NDLR, la numéro deux des Républicains) a lui aussi fait le déplacement : « Ce n’est pas le FN ici », s’amuse-t-il, tout en assénant : « Marion Maréchal-Le Pen a des points communs avec Laurent Wauquiez. »
LIRE AUSSI >Marion Maréchal explique pourquoi elle ne veut plus être appelée Le Pen
Quelques têtes connues -l’homme d’affaires ex-UMP Charles Beigbeder, le conseiller régional Olivier Bettati, Samuel Maréchal, le père de Marion Maréchal, la députée Emmanuelle Ménard, ou encore Philippe Martel, l’ex chef de cabinet de Marine Le Pen- sont également de la partie. Après avoir poliment écouté la première table ronde sur Mai 68, la salle se réveille vraiment lorsque Marion Maréchal monte sur scène. Son intervention consiste avant tout à vanter les mérites de sa future nouvelle école, l’Issep, qui ouvrira ses portes en septembre. S’emportant au passage contre les grandes écoles « défaillantes » qui forment des « moules à Macron ». Son objectif : sortir « les conservateurs de leur état de zombification ». Histoire d’être, comme elle le résume, « les nouveaux 2068-ards ».
Le Parisien
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Immigration: la Hongrie qualifie de stupide la question d'une journaliste française
Le porte-parole du gouvernement hongrois Zoltan Kovacs qualifie de «stupide» la question d'une journaliste française reprochant au pays de percevoir des fonds de l'UE tout en refusant la solidarité migratoire. - France 24, 29 mai 2018, 11h30