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  • Un syndicat de police allemand éreinte la politique d’immigration de Merkel : « Le sentiment de sécurité s’effondre, on a l’impression que l’État a perdu le contrôle, aucun pays ne tolérerait cela »

     

    21h18

    Rainer Wendt, chef de l’un des plus grands syndicats de police d’Allemagne, a déclaré que les révélations concernant le scandale à l’Office des migrations, qui a accordé indûment l’asile à des milliers de migrants,  n’étaient que la pointe émergée de l’iceberg.

    « Le sentiment de sécurité s’effondre et maintenant les gens ont l’impression que l’Etat a perdu le contrôle. Il y a des centaines de milliers de migrants ici dont nous ne savons pas qui ils sont », a déclaré M. Wendt. « C’est un énorme risque. Aucun pays au monde ne tolérerait cela. »

    (…) Wall Street Journal

  • Berlin : un migrant clandestin camerounais bat à mort une dame de 84 ans à coups de déambulateur (MàJ)

     

    26/05

    A Berlin, une retraitée de 84 ans tuée dans son appartement par un migrant de 23 ans originaire du Cameroun et en situation illégale en Allemagne. La dame avait été retrouvée par son fils morte dans son appartement le 3 mai dernier. L’autopsie a révélé des blessures violentes à la tête et au buste. La retraitée a été tabassée à mort par un jeune Camerounais de 23 ans en situation illégale en Allemagne : la brigade criminelle a arrêté le principal suspect. Selon le journal « Bild », la retraitée aurait été battue à mort avec son propre déambulateur. Toujours selon le même journal, le tueur camerounais serait en situation illégale en Allemagne, après avoir essuyé en 2015 un premier refus suite à sa demande d’asile déposée en Belgique en 2012. Selon les accords de Dublin, il ne serait plus recevable à l’asile sur le territoire européen, de ce fait, le tueur aurait usé d’une fausse identité pour faire une nouvelle tentative outre-Rhin.

    Le suspect est par ailleurs déjà défavorablement connu des services de police, avec une longue liste de délits et crimes qui vont du vol jusqu’à une douzaine de coups et blessures ainsi qu’une agression sexuelle. D’où la question : pourquoi un tel individu se trouve encore sur le sol allemand et n’a pas été expulsé ? Pour seule réponse, l’Office des réfugiés « demande de la compréhension et se cache derrière la protection des données des individus ». L’assassin camerounais, hébergé dans un centre pour sans abri, aurait fait la connaissance de sa victime dans la rue ou dans un parc. Les voisins de la victime ont reconnu le tueur

    Die Welt

     

    (Merci à CathoAlsace)

  • Blois (41) : L’inquiétude des parents à l’école maternelle Jules-Ferry

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    14h02

    Ouverte à la rentrée 2011, l’école Jules-Ferry vieillit fort mal. Les parents redoutent des effets néfastes sur la santé de leurs enfants.

    (…)

     

  • JOURNAL DU 5 JUIN 2018

  • 5 questions sur l'enquête qui vise Alexis Kohler, le bras droit de Macron

     

    5 questions sur l'enquête qui vise Alexis Kohler, le bras droit de Macron
    Alexis Kohler, secrétaire général de l'Elysée sous Macron, à l'Elysée le 16 mars 2018 (LUDOVIC MARIN / POOL / AFP)

    Le parquet national financier a ouvert une enquête portant sur des soupçons de conflits d'intérêts.

    Par L'Obs

     

    Une enquête dans la garde rapprochée d'Emmanuel Macron. Le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler, est visé par une plainte pour "prise illégale d'intérêt", "trafic d'influence" et "corruption passive" déposée vendredi 1er juin au parquet national financier par l'association Anticor.

    L'association anticorruption, qui s'appuie sur des articles de Mediapart, dénonce les liens familiaux et professionnels étroits qui existent entre le bras droit du président Emmanuel Macron et l'armateur italo-suisse MSC (Mediterranean Shipping Company), client important de STX France, les chantiers navals de Saint-Nazaire.

    Elle estime qu’Alexis Kohler a favorisé l’armateur privé impliqué dans des discussions avec l’Etat. Ce qu’il faut savoir pour comprendre l’affaire.

    1Que reproche Anticor à Alexis Kohler ?

    L’association anticorruption dénonce donc ses liens familiaux et professionnels avec MSC. Le numéro 2 de l'Elysée fait, en effet, partie de la famille de Gianluigi Aponte, le fondateur et principal actionnaire de la MSC. Pour être plus précis, la mère d’Alexis Kohler est la cousine germaine de Rafaela Aponte, qui a cofondé MSC avec son mari Gianluigi en 1970.

    Une proximité qui aurait mis ce dernier "à maintes reprises en position de mettre les moyens de l'Etat à la disposition du groupe familial, au mépris des règles et des lois", a estimé Mediapart soulevant des interrogations quant à d’éventuels conflits d’intérêts.

    Ce groupe privé a mené avec l'Etat une série de négociations alors que le haut fonctionnaire occupait des postes stratégiques au ministère de l'Economie. L'armateur italo-suisse est, en effet, l'un des plus grands clients – un temps, l'unique – de STX France, les chantiers navals de Saint-Nazaire. Or, à plusieurs reprises, Alexis Kohler s'est retrouvé ces dernières années à gérer les dossiers STX France, et donc indirectement les affaires de MSC.

    2Pourquoi MSC n’est pas un groupe comme les autres ?

    Comme le rappelle "le Monde", MSC, numéro 2 mondial du transport de marchandises par bateaux porte-conteneurs, qui s’est diversifié dans les croisières, au chiffre d’affaires dépassant les 20 milliards d’euros, est devenu le client principal des derniers grands chantiers navals français, STX France, à Saint-Nazaire.

    "Des chantiers historiques dont l’Etat a tout fait, depuis des années, pour éviter d’abord la disparition, puis le passage sous un complet contrôle italien. A chaque fois, le client MSC était un acteur clé des discussions, ses commandes de paquebots pouvant d’un coup transformer l’avenir de Saint-Nazaire", souligne le quotidien. 

    3Quand les faits auraient-ils eu lieu ?

    La plainte d'Anticor vise plusieurs périodes selon "le Monde" qui y a eu accès.

    La première, au début des années 2000, lorsqu'Alexis Kohler a travaillé pour l'Agence des participations de l'Etat. A ce titre, il a siégé aux conseils d'administration de plusieurs entreprises dont les chantiers STX de Saint-Nazaire entre 2010 et 2012. "Alexis Kohler ne pouvait ignorer qu'il existait un conflit d’intérêts à représenter l’Etat français" chez STX France "alors même que sa famille était propriétaire de l’un de ses principaux clients" estime Anticor. 

    La deuxième période visée concerne les années où il a été directeur adjoint du cabinet du ministre de l'Economie et des Finances Pierre Moscovici, entre mai 2012 et mars 2014, puis lorsqu'il a été directeur de celui d'Emmanuel Macron, entre août 2014 et août 2016. Le chantier de Saint-Nazaire était alors le sujet de nombreuses tractations. 

    Anticor rappelle que le haut fonctionnaire a voulu à deux reprises rejoindre l’armateur après avoir été directeur adjoint de cabinet au ministère de l’Economie. La première fois, en avril 2014, la commission de déontologie s'y était opposée. Non pas au motif de sa proximité avec la famille Aponte mais parce qu’il avait participé à des négociations au conseil d’administration de STX France en tant sur représentant de l’Etat. En août 2016, quand Emmanuel Macron avait quitté Bercy, Alexis Kohler avait finalement obtenu un feu vert et avait rejoint MSC Croisières au poste de directeur financier. Sur cette période, Anticor soupçonne Alexis Kohler d'être intervenu comme cadre de MSC dans une réunion à Bercy en mars 2017 sur la reprise de STX France, alors en faillite. STX France avait finalement fusionné avec son concurrent italien Fincantieri mais MSC n'était pas monté au capital du groupe comme envisagé.

    Resté membre actif de la campagne d'Emmanuel Macron, il avait quitté l'armateur après l'élection présidentielle neuf mois plus tard pour devenir secrétaire général de l'Elysée. 

    Mediapart a aussi révélé qu'Alexis Kohler n'a jamais indiqué à la commission de déontologie de la fonction publique ses liens familiaux avec les actionnaires de MSC. 

    4Comment Alexis Kohler se défend-il ?

    L'Elysée a fait savoir lundi que son secrétaire général Alexis Kohler avait "pris note" de la plainte déposée contre lui par Anticor, qui repose sur "des soupçons totalement infondés jetés sur lui à l'évidence en raison de ses fonctions". Selon la présidence, "cette plainte s'appuie sur des articles de presse [...] qui contiennent de nombreuses et graves erreurs factuelles". 

    "Alexis Kohler a toujours tenu sa hiérarchie informée de ses liens personnels avec l'entreprise MSC. Il s'est systématiquement déporté de toutes les décisions ayant trait à cette entreprise et sa hiérarchie informée a naturellement veillé au conflit d'intérêt potentiel. Dans toutes les fonctions qu'il a occupées à l'Agence des participations de l'Etat (APE), à Bercy et à l'Elysée", ajoute-t-elle.

    5Quelles suites judiciaires ?

    Le parquet national financier a ouvert une enquête visant Alexis Kohler portant sur des soupçons de conflit d'intérêts entre ses postes dans la fonction publique et ses liens avec l'armateur italo-suisse, a-t-il annoncé dans un communiqué ce lundi.

    Cette enquête, confiée à la Brigade de répression de la délinquance économique, a été ouverte "à la suite de la publication de plusieurs articles de presse", a précisé le parquet, sans faire référence à la plainte d'Anticor, qui ajoute que "le procureur de la République financier a diligenté des investigations afin de vérifier si les règles relatives à la mise en disponibilité des agents publics ont bien été respectées".

  • Pascal Jardin: "J'aurais dû mettre mon poing dans la figure de Manuel Valls"

    La vie de Patrick Jardin a basculé le soir du 13 novembre 2015. Ce jour là, sa fille Nathalie, éclairagiste au Bataclan, meurt sous les balles des terroristes islamistes. Patrick Jardin raconte sa rencontre avec Manuel Valls, 48h d'angoisses avant d'apprendre le décès de son enfant. Et il l'affirme : les terroristes ont torturé les victimes du Bataclan.

    A écouter jusqu'au bout

  • Françoise Nyssen veut que, face à une France «hautement réactionnaire», l’audiovisuel public devienne «le miroir de nos différences» et fasse «changer les mentalités »

     

    17h52

    Évoquant le sujet brûlant des «fake news», Françoise Nyssen a ensuite annoncé la création d’une «plateforme commune de décryptage des fausses nouvelles». Adoptant un ton plus résolu, la ministre a ensuite évoqué certaines des missions qu’elle fixait pour l’audiovisuel public, qui devait devenir «le miroir de nos différences». Taxant certains Français de «hautement réactionnaires», l’ancienne éditrice a annoncé que les chaînes et radios du groupe «changer[aient] les mentalités sur le terrain». En plein discours, un clin d’œil était même lancé à Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, pour approuver ses propos de 2015 sur les «mâles blancs» trop nombreux à l’antenne: «Delphine, tu n’es plus seule». Un passage surprenant et qui ne manquera pas de faire réagir.

    Le Figaro

  • Allemagne : un policier tire sur un homme « déchaîné » dans la cathédrale de Berlin (MàJ)

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    17h33
     

    « Vers 16 heures, la police est intervenue en raison d’une personne y causant des troubles, par la suite un officier de police a fait usage de son arme de service », a indiqué une porte-parole de la police, sans plus de précisions. Dans un tweet, la police berlinoise a précisé que le «forcené» avait été touché aux jambes. La police enjoint aussi les internautes à éviter les spéculations.

    (…) Le Parisien


    Un policier allemand a fait usage de son arme à feu contre un homme dans la cathédrale de Berlin dimanche, rapporte la presse allemande précisant que les circonstances de l’incident restent pour l’instant peu claires.

    Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent des policiers armés bouclant les abords de la cathédrale et deux ambulances stationnées devant l’entrée de l’édifice.

    « Un coup de feu a été tiré dans la cathédrale de Berlin », a dit une porte-parole de la police sans fournir de précisions.

     

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    Arjan Koenders@ArjanKoenders1
     
     

    Large number of armed police at ongoing incident at Berliner Dom.

  • La mairie LR de Compiègne (60) finance le repas du Ramadan. Appel à la prière qui résonne dans le quartier, agent municipal proche des salafistes…

     

    15h04

    L’appel à la prière résonne dans le quartier du Clos-des-roses, à Compiègne. Mouhssine Assiz, en khamis, la longue tunique, et barbe drue, annonce ainsi le coucher du soleil et la rupture du jeûne. À 21 h 50, ce samedi 2 juin, l’Iftar, ce repas du soir pris durant le mois du Ramadan, peut débuter.

     

    « C’est comme un repas de quartier ; il n’y a pas d’acteurs religieux ; je suis moi-même un simple croyant, ingénieur, directeur d’une usine Saint-Gobain à Thourotte », précise ce trentenaire. À deux pas de lui, un bidon métallique fait office de barbecue, les tablées pour plus 200 convives sont dressées sur la place du marché, par une douzaine de jeunes gens. « Le deuxième service événementiel de Compiègne », loue Benjamin Belaïdi, à l’origine de la première édition.

    Ce dîner est soutenu par la municipalité : logo de la Ville sur les affiches, matériel communal mis à disposition, présence d’animateurs des quartiers, subventions aux associations organisatrices… Compiègne en fait-elle trop au regard de la loi de 1905, aux textes sur la laïcité et de la jurisprudence du conseil d’État ?

    « Pour Noël, c’est naturel de faire un repas. L’Iftar doit devenir aussi naturel. Pas seulement entre musulmans. L’an passé, une association catholique était présente », revendique Abdoulaye N’diagye, secrétaire de Jeunesse Avenir Doré, association née dans le quartier. « C’est plus culturel que cultuel », se dit convaincu Romain Rayez, membre de l’UDI et coprésident du Conseil de développement pour Compiègne.

    (…) Un banal banquet républicain, alors ? Pas vraiment. Aux beignets et jus de bissap, concoctés par les mères de famille africaines, s’ajoutent, par exemple, les faitouts fumants de boulgour, cuisinés par les bénévoles de l’une des mosquées de Compiègne, celle des turcophones. À table, les convives échangent ainsi sur leurs pratiques religieuses : la prière à 23 heures à la mosquée, le dernier thé avalé juste avant les premières lueurs du jour, parfois les horaires du travail aménagés pour ce mois de carême jeûne...

    Et Mouhssine Assiz ne cache pas son espoir qu’un tel repas soit de nature « à montrer les vraies valeurs de l’islam ». Désir louable pour des croyants, mais assez peu neutre. « Je ne suis pas soumis à la neutralité. Je ne suis pas là en tant qu’agent du service public, mais comme militant associatif », argumente Benjamin Belaïdi, salarié municipal et déjà à l’origine d’une marche pro-Gaza et d’une collecte pour Barakacity, une ONG réputée salafiste.

    De son côté, le maire Philippe Marini (LR) banalise volontiers et la manifestation, et la contribution de la ville « C’est une sorte de fête des voisins. La Ville rend service. C’est tout à fait justifié. » Et s’il n’était pas présent sur la place Baudelaire, samedi soir, c’était qu’il était à la mosquée, celle quai du Clos-des-roses. « L’imam m’invite, il a la courtoisie de le faire, j’y réponds. C’est pour manger un couscous et il est plutôt bon, en général », commente le maire sur le même ton patelin.

  • JOURNAL DU LUNDI 04 JUIN 2018

  • La France black-blanc-beur vingt ans après, par Guy Rouvrais

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    Il y a donc vingt ans, dans l’euphorie de la victoire de la France au Mondial de football, médias et politiques célébraient aussi celle de la France black-blanc-beur. Tous les clivages étaient effacés, les jeunes des banlieues fraternisaient avec ceux des beaux quartiers, une nouvelle France allait donc jaillir du triomphe de l’équipe nationale, effaçant la couleur des joueurs et leur origine pour communier dans la fête déferlant sur les Champs-Elysées. Ce que les politiques et les milliards déversés dans les banlieues n’avaient pu obtenir, voilà qu’un ballon, divine surprise, allait apporter la paix et la concorde, car, comme le disait alors Jospin, « rien ne sera plus comme avant »… L’intégration n’était plus un vœu mais une réalité. Las ! Trois ans plus tard lors du match France-Algérie, les tricolores mènent largement 4-1, le terrain est envahi par de jeunes partisans de l’Algérie, ils ne brandissent plus le drapeau français mais celui du pays de leurs pères, frappé du croissant ! Ce n’était qu’un début.

    Vingt ans après, c’en est bien fini du mythe d’une France black-blanc-beur et du salut par le ballon rond. C’est le communautarisme qui règne dans les « quartiers » sous la coupe des salafistes et des vendeurs de drogue. Ceux qui croient encore au foot n’y voient qu’un moyen d’y faire fortune, les Blacks et les Beurs qui font partie de l’équipe de France ne sont enviés que pour les salaires colossaux perçus dans leurs clubs respectifs.

    Aujourd’hui, nous voyons des réunions dont les mâles blancs, comme dirait le chef de l’Etat, sont exclus pour n’être ouvertes qu’aux « racisés », noirs ou maghrébins, qui se considèrent toujours comme « colonisés ». C’est la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte qui, après avoir dénoncé « une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans », élimine progressivement ces hommes-là. C’est le CSA qui, au nom de la « diversité » demande que les antennes reflètent celle du pays et que l’on y trouve plus de personnes « perçues » comme noires et ce dans les rôles valorisants.

    Toutefois, dans l’équipe de France, rien n’est changé depuis 1998 et, là, l’exigence de diversité ne s’applique pas davantage aujourd’hui qu’hier. Les deux tiers sont « blacks » ou « beurs », ce qui ne semble pas représenter la diversité du pays où il y a plus d’un tiers de Blancs. Mais là, on fait remarquer que ce qui compte, c’est le talent, la compétence, l’habileté dans le jeu. On tremble à l’idée de ce que cela sous-entend à savoir que certaines « races » – quoiqu’elles n’existent pas, sauf dans la Constitution – seraient plus douées que d’autres ? Et cela expliquerait que les Blancs soient en minorité dans l’équipe nationale. Attention ! N’allez pas appliquer cela à d’autres disciplines et prétendre que s’il y a peu de Noirs en équitation ou dans le tennis, c’est parce que les Blancs y sont meilleurs ! Non, là, c’est parce que ce sont des sports « bourgeois » auxquels les fils de famille blanche interdisent à ceux « issus de la diversité » d’avoir accès, les « discriminant » par l’argent. Ainsi, tout s’explique…

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 5 juin 2018

  • Élections en Slovénie : le conservateur « anti-migrants » Janez Janša est largement en tête, selon les premières estimations (MàJ VIDEO)

     

    0h35

    Le Conservateur Anti-Migrants Janez Janša arrive largement en tête des élections en Slovénie avec 24.4% des voix. Marjan Sarec est 2ème avec 12.7% et le Premier Ministre sortant Miro Cerar fait 9.8%. L’immigration a été un thème central de la campagne.
    – Euronews, 4 juin 2018, 00h04


    Les nationalistes du Parti démocratique slovène (SDS) sont sans surprise arrivés en tête dimanche des élections législatives. Avec 24,4% des voix, le parti anti-immigration a nettement devancé le parti de centre-gauche LMS du maire de Kamnik, Marjan Sarec (12,6%)

  • Lille (59) : un jeune homme de 23 ans tabassé à mort à coups de crosse à son domicile et devant sa mère

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    20h07
     

    Le jeune homme a été enterré, vendredi. La police enquête sur le meurtre d’un Lillois de 23 ans, lundi, à son domicile, dans le quartier de l’Epine, à Lille-Hellemmes, rapporte La Voix du Nord. Jason, surnommé Doui, a été frappé à mort par plusieurs individus qui se sont introduits chez lui.

    Selon les premiers témoignages, les agresseurs sont arrivés armés et masqués dans l’appartement que la victime occupait avec sa mère. Cette dernière a été tenue en joue par certains, tandis que les autres s’acharnaient sur Jason à coups de crosse. Le jeune homme est décédé peu de temps après, des suites de ses blessures.

     

  • Européennes : Dupont-Aignan repousse la main tendue de Marine Le Pen

     

    Européennes : Dupont-Aignan repousse la main tendue de Marine Le Pen

    LE SCAN POLITIQUE - La présidente du nouveau Rassemblement national avait invité son homologue de Debout la France à nouer un pacte en vue des élections de 2019. Ce dernier lui oppose pour l'instant une fin de non-recevoir.

    Cela ressemble à un premier revers pour le nouveau Rassemblement national. Actant le nouveau nom de son parti, choisi pour incarner la volonté d'unir les «patriotes» de tous horizons, Marine Le Pen avait lancé jeudi une première ligne en adressant une lettre ouverte au souverainiste Nicolas Dupont-Aignan l'appelant à un pacte en vue des européennes. Mais ce dimanche, le président de Debout la France, a repoussé la main tendue de l'ex-candidate à la présidentielle. «Sa proposition n'est pas du tout à la hauteur de l'enjeu historique qui est devant nous. Aujourd'hui, c'est non à la cuisine politicienne», a-t-il déclaré lors de l'émission Dimanche en politique sur France 3.

    Concrètement, Marine Le Pen souhaiterait faire liste commune avec Debout la France et rédiger à quatre mains une charte de transformation de l'Union européenne. Une telle alliance «nous permettrait de sortir en tête» des élections européennes, a-t-elle estimé au cours de son discours prononcé vendredi soir devant environ 200 cadres du mouvement. «L'enjeu, c'est comment on va refonder l'Europe et sauver la France. Ça nécessite un projet», a répondu Nicolas Dupont-Aignan, refusant de «partir aux européennes sur un programme bancal et pas clair».

     

    Le patron de Debout La France veut «sortir du seul tête à tête avec Marine Le Pen» et défendre avant toute chose le travail «sérieux» mené avec sa propre plateforme de rassemblement, baptisée les Amoureux de la France, et à laquelle le Parti Chrétien-Démocrate (PCD) et le CNIP ont adhéré. «On part d'abord du projet: qu'est-ce qu'on veut pour les Gafa, pour les frontières... Une fois que ce projet sera achevé, c'est-à-dire à la fin de l'été, je l'enverrai à tous les responsables politiques: Laurent Wauquiez, Marine Le Pen... J'espère qu'elle aura travaillé de son côté, qu'elle aura clarifié sa position sur l'euro notamment».

    Faire porter le chapeau de la division

    De quoi agacer Marine Le Pen, invitée ce dimanche du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. «Je lui avais proposé lorsqu'il m'a soutenue au second tour de l'élection présidentielle d'être mon premier ministre et il avait accepté. Il n'aurait pas accepté si nous n'avions pas fait le bilan des positions très proches que nous avions dans ce que nous voulons pour le pays et face à une Union européenne carcérale. Je vais attendre avec grand intérêt de voir le projet de Nicolas Dupont-Aignan mais nous avons déjà travaillé ensemble, et l'euro faisait partie des sujets communs de la présidentielle», a-t-elle répliqué.

    «Nous devons montrer que nous ne nous servons pas des européennes comme d'un tremplin en vue des présidentielles», a encore ajouté la présidente du Rassemblement national. «Si malgré les discours sur le rassemblement qu'il fait en toutes circonstances, [il] souhaite partir seul, nous rassemblerons quand même des gens qui viennent de l'ancienne droite ou de l'ancienne gauche», a-t-elle poursuivi, cherchant à faire porter à son homologue la responsabilité de la désunion.

    «Personne ne me fera passer, notamment aux yeux des électeurs FN, comme un diviseur», a répliqué Nicolas Dupont-Aignan. «Il y a beaucoup de gens qui apprécient ma façon, peut être plus sérieuse, moins flamboyante, de faire de la politique», a ajouté celui qui vient d'enregistrer le ralliement de l'eurodéputé Bernard Monot, cheville ouvrière du programme économique de Marine Le Pen pour la présidentielle. Reste que Debout La France pèse peu dans un rapport de force face au Rassemblement national: dans le dernier sondage Harris interactive, le mouvement est crédité de 6% des intentions de vote aux européennes contre 17% pour celui de Marine Le Pen.

    Le Figaro

     
  • Dix-huit mois de prison dont neuf mois ferme requis contre la maire LR d'Aix-en-Provence Maryse Joissains-Masini, à son arrivée au tribunal (Montpellier) / © Photo Pascal Guyot/AFP

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    Maryse Joissains-Masini, à son arrivée au tribunal (Montpellier) 

    Le procureur du tribunal correctionnel de Montpellier a requis dix-huit mois de prison dont neuf mois ferme et 10 ans d'inéligibilité contre la maire LR  d'Aix-en-Provence, qui comparaît pour favoritisme. Selon le magistrat, les faits sont "parfaitement caractérisés".

     

    Dominique Sie, le procureur du tribunal correctionnel de Montpellier, a requis dix-huit mois de prison dont neuf mois ferme et 10 ans d'inéligibilité lundi soir contre la maire LR  d'Aix-en-Provence jugée à Montpellier pour la promotion indue de son chauffeur et l'embauche par complaisance de certains proches. 
    Le procès avait été délocalisé à Montpellier à la demande du parquet aixois pour "la bonne marche de l'administration".
    Pour le procureur de Montpellier, les faits de détournement de fonds publics et de prise illégale d'intérêts pour lesquels Maryse Joissains-Masini est poursuivie sont "parfaitement caractérisés": ils sont "d'une gravité extrême car ils sont le contraire de la probité attendue d'un élu", a-t-il précisé.

    Douze mois de prison dont six ferme et une interdiction d'exercer dans la fonction publique pendant 5 ans ont par ailleurs été requis contre le fils du chauffeur de la maire, Christophe Achouri, 41 ans, accusé de "concussion" pour avoir bénéficié d'emplois de complaisance aux sein de structures sportives où selon l'enquête il aurait brillé par son absence.

    Une promotion éclair

    Maryse Joissains-Masini est maire d'Aix-en-Provence et présidente de la Communauté du Pays d'Aix depuis 2001, et députée de 2002 à 2012.
    Elle a été mise en examen en 2014, notamment pour l'embauche d'une collaboratrice chargée de la maltraitance animale, la promotion éclair de son chauffeur et deux emplois pour les enfants de ce dernier.
    Une lettre anonyme avait alerté le parquet d'Aix-en-Provence en 2012, qui avait alors diligenté une enquête. 
    Au terme des investigations, il apparaissait "un somptueux mélange d'autocratie, de népotisme et de désinvolture dans l'engagement des deniers publics", tant à la mairie qu'à la communauté du pays d'Aix.

    Maryse Joissains-Masini avait exigé la promotion d'Omar Achouri, son chauffeur et conseiller, âgé aujourd'hui de 65 ans, alors qu'il figurait à la 50e place sur une liste dressée par ordre de mérite.

    Il a un engagement total que j'ai voulu récompenser par une promotion sociale

    a assuré la maire, soulignant "la capacité à régler les problèmes" de son chauffeur harki, décrit comme un "personnage clef du système de clientélisme" aixois par différents hauts responsables administratifs
    de la ville.

    La promotion de M. Omar Achouri était erronée de manière criante

    a assené le procureur, estimant que l'élue avait voulu "gratifier un proche" avec lequel elle avait "une relation forte".
    Il est également reproché à l'élue l'embauche à son cabinet de la Communauté du Pays d'Aix d'une militante de la cause animale, Sylvie Roche, 50 ans, ce qui n'entrait pas dans les compétences communautaires.

    "Le contrôle, c'est moi...."

    Maryse Joissains-Masini, qui défend la cause animale depuis les années 1970, a mis en avant le "savoir-faire avec les animaux maltraités" de Sylvie Roche, assurant que sa décision d'en faire un collaborateur de cabinet pour la communauté de communes du pays d'Aix relevait de son "pouvoir discrétionnaire"
    sans avoir à passer par un vote.

    L'autorité territoriale, c'est moi, le contrôle, c'est moi

    a martelé l'élue aixoise à la barre.
    Sylvie Roche et Omar Achouri, placés sous le statut de témoin assisté, ont bénéficié d'un non-lieu.
    Avant la fin du procès, la maire d'Aix-en-Provence a assuré avoir été une élue "intègre" et "rigoureuse". 

    Mon territoire a besoin de moi, de mon honnêteté, de ma rigueur...

    a-t-elle affirmé.
    La défense a plaidé la relaxe de la maire d'Aix et du fils de son chauffeur.
    La décision a été mise en délibéré au 18 juillet. 
     
    Franceinfo
  • Le portrait-robot de l’homme suspecté du meurtre de Kévin, à Mourmelon-le-Grand (51)

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    21h31
     

     

    Voici, selon nos informations, le portrait-robot qui a été diffusé, ce dimanche, auprès des riverains par les gendarmes de la Brigade de recherche (BR) de Châlons-en-Champagne et la Section de recherche (SR) de Reims. Ce jeune homme serait le principal suspect dans le meurtre du jeune Kévin 17 ans, tué dans le parc du Bois des Sœurs, à Mourmelon-le-Grand, samedi après-midi

    Toute personne susceptible de fournir des informations pour faire avancer l’enquête et permettant d’identifier l’individu est invitée à contacter la gendarmerie de Mourmelon-le-Grand au 03.26.66.10.33.

     

    Ce dimanche matin, les enquêteurs ont poursuivi l’enquête de voisinage en présentant ce portrait-robot aux riverains. Ils étaient toujours à la recherche de l’arme du crime et de l’auteur des coups, qui s’est acharné sur l’adolescent, originaire de Mourmelon-le-Grand, en portant « une vingtaine de coups au total, avec cette arme blanche », indiquait le substitut du procureur de la République de Châlons-en-Champagne.

    D’après le témoignage de l’amie de Kévin – présente au moment de l’agression – il s’agirait « d’un homme d’origine maghrébine, de grande taille, qui avait la tête couverte lors de l’agression et portait un pantalon treillis », rapporte le magistrat.

     

  • Le nouveau ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini : « Le bon temps pour les clandestins est fini : préparez-vous à faire les valises » Par Koba le 03/06/2018

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    11h12
     

    Pozzallo (Italie) – Matteo Salvini, le chef de la Ligue devenu cette semaine ministre de l’Intérieur, se rend dimanche en Sicile pour marteler le discours anti-immigration qui l’a porté au pouvoir.

    (…) La dernière arrivée remonte à vendredi soir, quelques heures après la prestation de serment de M. Salvini: 158 personnes, dont neuf enfants, sont arrivés à Pozzallo après avoir été secourus au large de la Libye par un navire humanitaire, dans une opération coordonnée par les gardes-côtes italiens.

    Mais désormais, « le bon temps pour les clandestins est fini: préparez-vous à faire les valises« , a prévenu M. Salvini samedi soir lors d’un meeting à Vincenza (nord).

    « Les Etats doivent recommencer à faire leur travail et plus aucun vice-passeur ne doit accoster dans les ports italiens« , a-t-il aussi prévenu, dans une attaque claire contre les ONG de secours en mer, qu’il accuse régulièrement de complicité avec les réseaux de passeurs.

    Luigi Di Maio, le chef de file du M5S, a lui aussi traité ces ONG de « taxis de la mer« , même si le discours de son mouvement reste plus tempéré que celui de la Ligue sur l’immigration.

    Pour trouver rapidement des fonds, il réclame « un bon coup de ciseaux dans les cinq milliards d’euros » consacrés chaque année à l’accueil des demandeurs d’asile.

    (…) L’Express


    Un entrepreneur, électeur de Matteo Salvini (Lega) : «Les questions de fiscalité et de sécurité sont intimement liées. La réduction de la dépense publique liée à l’immigration permettra un allègement de la fiscalité, et en plus nos quartiers seront plus sûrs.»
    – France 24, 3 juin 2018, 10h05

  • Mourmelon (51) : à cause d’un « échange de regards », un jeune garçon de 17 ans est tué d’une vingtaine de coups de couteau dans le dos

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    21h06
     

    Selon le parquet de Chalons-en-Champagne, l’altercation serait due à un « échange de regards ». Le mis en cause a pris la fuite et est activement recherché. 

    Un jeune homme de 17 ans a été poignardé à mort samedi à Mourmelon-le-Grand, dans la Marne, par un homme qui a pris la fuite alors qu’il se promenait dans un parc avec une amie, a indiqué une source judiciaire.

    Samedi, vers 15 heures, dans cette petite ville entre Reims et Chalons-en-Champagne, le jeune homme se promène avec une amie dans un parc. « Un échange de regards ne se passe pas bien »avec un autre garçon et l’agresseur présumé « aurait essayé de prendre le sac à main » de la jeune fille, selon le parquet de Chalons-en-Champagne.

    « L’altercation redouble et le jeune se prend des coups de couteau dans le dos », avant de succomber, d’après un premier récit de la jeune fille faite aux enquêteurs et relaté par le parquet. Le mis en cause, qui n’est pas identifié, a pris la fuite. Il est activement recherché par la Brigade de recherche (BR) de Chalons-en-Champagne et la Section de recherche (SR) de Reims.

    Europe 1

    NdB: Peut-on encore vivre en France sans risquer sa vie?