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Pologne : deux jeunes Israéliens filmés se dénudant dans un ancien camp d'extermination allemand
© Agencja Gazeta Source: ReutersDes visiteurs du camp de Majdanek le 22 août 2012, en Pologne (image d'illustration).Pris sur le fait par des caméras de surveillance, deux étudiants israéliens ont été arrêtés par les agents de sécurité du musée de Majdanek alors qu'ils se dénudaient dans cet ancien camp de la mort allemand. L'un deux a été conduit au commissariat.
Alors qu'ils suivaient une visite destinée à sensibiliser ses participants aux atrocités de la Shoah, deux étudiants israéliens ont été filmés le 10 août en train de se dénuder dans le camp de Majdanek, situé dans l'est de la Pologne.
Si l'un deux a reçu un simple avertissement, l'autre, qui a baissé son pantalon en tournant le dos aux baraquements du camp, a été conduit au commissariat de la ville de Lublin, où il a été informé qu'il serait poursuivi pour «offense à un monument ou à un lieu de mémoire». En effet, selon la législation polonaise, la profanation d'un monument ou d'un lieu public qui commémore un événement historique ou une personne, est passible d'une amende ou d'une peine de prison. Le jeune homme de 17 ans n'a fourni aucune explication sur son acte.
Les deux adolescents ont été renvoyés chez eux en Israël, pendant que le reste de leur classe a poursuivi son voyage censé durer une semaine supplémentaire.
Dans un communiqué, le ministère israélien de l'Education a condamné le comportement des deux jeunes, affirmant vouloir traiter cet incident «avec sévérité». Selon des propos rapportés par The Time of Israël, le texte du communiqué précise que des mesures seront prises contre les deux étudiants : «Ils ont été renvoyés chez eux et l'institution a l'intention d'entamer des poursuites disciplinaires à leur encontre.»
RT
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Le Pont du Gard: un chef-d'oeuvre de l'humanité !
Pont du Gard
Histoire de l'aqueduc
Au premier siècle de notre ère, Nîmes, colonie prospère, voit sa population approcher des 20 000 habitants. Au pied du mont Cavalier, la fontaine de Nemausus ne suffit plus pour alimenter en eau potable les besoins quotidiens de la ville, mais aussi les thermes, les fontaines et les nombreux jardins. On décide de construire un aqueduc pour acheminer l'eau provenant de la source d'Eure à Uzès vers le site nîmois : 50km de canalisations à percer et enfouir sous la terre. Sur le tracé de l'ouvrage le Gardon fut un obstacle sévère, résolu par la construction du Pont du Gard.
Ouvrage utilitaire, le Pont du Gard était aussi un oeuvre de prestige, sensée marquer la supériorité de la civilisation romaine urbaine, alors au faîte de sa puissance et de son épanouissement.
Le plus gros du chantier dura de 10 à 15 ans sous les règnes de Claude et de Néron, et moins de cinq ans pour le Pont du Gard. L'ensemble de l'aqueduc compte plusieurs centaines de mètres de tunnels, trois bassins et une vingtaine de ponts, dont le Pont du Gard reste le plus spectaculaire.
L'aqueduc proprement dit est un chef-d'œuvre d'ingénierie, témoignage de l'extraordinaire maîtrise des constructeurs anciens : le dénivelé n'est que de 12 m pour une longueur totale de 50 kilomètres, soit une inclinaison moyenne de 24 cm/km ou encore 0,24 mm/mètre.
Ces chiffres éloquents permettent de prendre la mesure de la prouesse technique réalisée par les ingénieurs romains qui ont donc dû faire preuve d'une grande précision pour permettre à l'eau de s'écouler par gravité jusqu'à Nîmes.
Il serpentait dans les garrigues sur près de 50 km, contournant les collines ou les traversant par des conduits souterrains, franchissant les vallons par des ouvrages aériens.
La construction du Pont nécessita 21 000 m3 de pierres, roches calcaires extraites dans les carrières romaines situées à proximité du site antique. Toutes les fondations, ancrées dans la roche, lui permirent de résister aux assauts du temps et aux crues redoutables du Gardon, les célèbres gardonnades.
Il reste de nombreux vestiges de l'aqueduc dans la campagne environnante. Des sentiers balisés autour du Pont du Gard vous permettront de les découvrir. -
Aquarius : à peine débarqués, des migrants victimes de viol instrumentalisés par la gauche
Franceinfo pense avoir trouvé le moyen imparable de clouer le bec à ceux qui disent, partout en Europe, que la solution aux problèmes de l’Afrique n’est certainement pas l’émigration organisée, dans des conditions douteuses, d’une grande partie de sa population vers l’Europe, une Europe par ailleurs incapable d’assurer sans heurt l’intégration des millions d’immigrés précédents, comme le montre le développement des communautarismes. Jeudi, elle a diffusé un témoignage-choc de l’un des migrants de l’Aquarius révélant des pratiques barbares de viols sur les femmes et les hommes en Libye. Les mots sont crus, les réalités horribles.
« En plein désert, ils nous ont rattrapés. [Notre guide] « a subi des abus. Ils l’ont sodomisé à tour de rôle. Ce n’était pas beau à voir. Ils prennent des comprimés pour booster leur libido, pour faire du mal. Ils vont vous détruire au maximum. »
Franceinfo présente ce témoignage ainsi dans son titre : « un rescapé de l’Aquarius brise le tabou des viols sur des hommes en Libye. »
Plusieurs remarques s’imposent.
D’abord, cette réalité n’est plus un tabou depuis qu’il y a un an un reportage l’a brisé. Oui, les passeurs africains et musulmans de Libye se comportent en véritables bourreaux et esclavagistes sanguinaires vis à vis des migrants provenant d’Afrique noire. La documentariste Cécile Allegra avait établi dans son enquête que la pratique systématique du viol fut d’abord le fait des milices sous Kadhafi avant d’être ensuite utilisée par ces passeurs. On est donc stupéfaits qu’à aucun moment devant ce témoignage personne ne pose la question du « ils », des responsables. Comme si cela gênait.
Ensuite, cette réalité, loin d’inciter à la complaisance pour ces migrations dans lesquelles les ONG de l’Aquarius ne sont que le maillon d’une triste chaîne, devrait au contraire inciter nos gouvernants, au lieu de se démener tous les deux jours pour savoir où vont débarquer les Aquarius, à aller vraiment mettre de l’ordre en Libye. Où en est le projet mirobolant qu’Emmanuel Macron nous avait vendu il y a un an ?
Enfin, il se serait bon que toutes les bonnes âmes qui veulent nous faire avaler leur politique migratoire à coup d’émotions aient aussi la même émotion, la même réactivité et le même militantisme quand il s’agit de femmes – ou d’hommes – européens qui sont agressés sexuellement, comme ce fut le cas à Cologne, par des hommes maghrébins le 31 décembre 2015, et, régulièrement depuis lors, par des migrants. Si je me souviens bien, il avait fallu plusieurs jours aux médias français pour commencer à s’intéresser à la parole des femmes agressées de Cologne. Dans les deux cas, il s’agit de viols et au minimum d’agressions sexuelles odieuses. La différence de traitement n’en est que plus scandaleuse.
La gauche ne parvenant plus à nous vendre sa politique migratoire par la raison ne compte plus que sur l’émotion. Sauf que cette émotion, sélective et univoque, respire l’instrumentalisation grossière et ne persuade plus que les convaincus.
Il faut cesser de pleurer sur les victimes – et surtout davantage sur les unes que sur les autres –, voir plus loin que le bout de son émotion et enfin s’attaquer aux responsables et aux causes. Mais là, pas certain que la gauche veuille regarder la réalité en face.
BV
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BFM TV veille au bon déroulement des vacances du couple Macron
BFM TV a planté sa tente devant l’entrée du fort de Brégançon. Rester sans nouvelle du « Grand Tout » durant ces longs jours ronge les nerfs de la rédaction tout entière. Que fait-il ? Que dit-il ? La piscine est-elle bien sécurisée ? Un accident est si vite arrivé. Du grillage, il faut un grillage autour, c’est obligatoire. D’après les photos, il n’y en a pas. Quel souci !
Soudain, le presque miracle a lieu. Brigitte, l’épouse du « Grand Tout », surgit juchée sur une bicyclette aux lignes épurées, un condensé de vélo qu’elle consent à arrêter pour répondre aux questions de la journaliste-planton, de faction 24 heures sur 24 aux abords de la propriété. « Alors ? Qu’en est-il ? De grâce, quelques mots », implore la campeuse de BFM TV… « C’est magnifique, il a beaucoup de travail, donc il travaille, il se détend, donc il est en pleine forme. » Ouf… « On ne prévoit rien. Il voit, il travaille et quand il a fini, euh… il adapte la détente au travail. » Il est incroyable. Quand il a fini de travailler, il s’arrête. Mais encore ? « Là, les enfants arrivent, donc on va reprendre des horaires, parce que là, pour l’instant, nous n’en avons pas. » « C’est la vie de bohème. Coucher à point d’heure, lever à midi, on mange ce qui traîne, Emmanuel ramène des poissons rouges de la piscine, on les fait griller. Comme un retour à la vie sauvage, la vie en communauté. On s’est acheté des tuniques à fleurs. Mais, Dieu merci, les enfants arrivent pour nous sauver de cette dérive. Nous avons caché les pétards sous la moquette, balancé la guitare à la mer. » La journaliste traduit mentalement les propos de Brigitte Macron. Que de turpitudes en ce fort ! Quel homme aux multiples facettes.
Interprétant la venue des enfants comme un coup d’arrêt aux errements estudiantins du couple et, donc, à la vraie détente qui détend, l’illuminée de BFM TV lance alors : « Finies, les vacances ? » Ce à quoi la première dame pédalante répond in petto : « Non, c’est sympa aussi, mais c’est différent. Plus cadré. » Finie, la rigolade. Confirmation du vrai coup dur des vacances. Les mômes qui rappliquent. Baignade en costume trois pièces pour maintenir un minimum de sérieux auprès des enfants qui pourraient aller raconter n’importe quoi à la campeuse de BFM TV. Quelques simulacres de débarquement de migrants dans la piscine avec des Lego. Il faut toujours les amuser, vous savez ce que c’est. Lancer d’attaché-case. Des vacances, mais en plus cadré. Et puis les dossiers à examiner le soir, à la lueur du phare qui tourne au loin. Noir, lumière, noir, lumièr. « Travailler dans ces conditions n’est pas évident, dites-le à vos téléspectateurs. Il n’y a pas de phare dans les alentours de Brégançon ? Ah, zut ! Il faudra qu’on en fasse installer un. La présence du « Grand Tout » doit être signalée aux navires de passage. »
Puis Brigitte Macron s’en est allée sur son vélo futuriste, suivie de près par son garde du corps personnel, sans barbe ni cheveux. Look réglementaire exigé après l’affaire dont nous tairons le nom par respect pour la quiétude des vacances du couple traqué par BFM TV. La campeuse de la chaîne a ensuite allumé son réchaud et s’est fait réchauffer une boîte de cassoulet. Dur métier.
BV - Pascal Célérier
Excellent! Très drôle!
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Rosenheim (All.) : une jeune femme violée en rentrant chez elle par deux demandeurs d’asile somaliens
20h06Rosenheim (Allemagne) – Un nouveau cas de viol brutal secoue la région. Une jeune femme a été violée en rentrant chez elle par deux Somaliens.
Au petit matin du 3 août, une femme originaire de Rosenheim a été violée par deux hommes. 72 heures après que le crime a été connu de la police, les deux présumés violeurs ont été arrêtés.
Les deux hommes de 27 et 30 ans ont été placés en détention provisoire.
La victime, âgée entre 20 et 30 ans, rentrait chez elle lorsque deux individus l’ont suivie et ont commencé à l’importuner avant de l’agresser et de la violer collectivement dans une allée.
Les deux hommes sont de nationalité somalienne et vivent dans la région en tant que demandeurs d’asile.
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Allemagne: des femmes dénoncent la violence des migrants
Merci à GAUVAIN
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Salvini pointe du doigt les contraintes imposées par l'UE, après la catastrophe de Gênes
© Tony Gentile / ReutersMatteo SalviniRome a annoncé de premières mesures après le terrible effondrement d'un viaduc, qui a fait des dizaines de morts. Dans le viseur du gouvernement, la société gérant le tronçon d'autoroute, mais aussi les contraintes budgétaires imposées par Bruxelles.
Le 14 août, le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini s'est interrogé sur les conséquences, en matière de sécurité de ses concitoyens, des contraintes budgétaires européennes, peu après le terrible effondrement d'un pont autoroutier à Gênes, qui a fait des dizaines de morts.
«Si des contraintes externes nous empêchent de faire des dépenses pour avoir des routes et des écoles sûres, alors, cela amène à se demander s'il fait sens de suivre ces règles», a déclaré Matteo Salvini, cité par le média américain Bloomberg. Dans une allusion à peine voilée aux règles fixées par l'Union européenne, il a ajouté : «Il ne peut y avoir de compromis entre les règles fiscales et la sécurité des Italiens.»
Le dernier bilan de la catastrophe s'élève à 39 morts, 15 blessés et plusieurs disparus, selon les autorités italiennes. Parmi les victimes se trouvent quatre Français, selon le Quai d'Orsay.
La société Autostrade dans la tourmente
Outre cette pique destinée à Bruxelles, la société gérant le tronçon d'autoroute qui s'est écroulé le 14 août est elle aussi dans le viseur des autorités. «Les responsables ont un nom et un prénom, et ce sont Autostrade per l'Italia», avait commenté le vice-Premier ministre Luigi Di Maio, ajoutant que le viaduc s'était effondré parce que la maintenance n'avait pas été faite.
Le 15 août, après un Conseil des ministres extraordinaire, le chef du gouvernement, Giuseppe Conte, a fait savoir lors d'une conférence de presse : «Nous avons déjà annoncé que nous allions lancer la procédure de révocation de la concession de la société Autostrade.» Il n'a en revanche pas précisé si la déclaration concernait toutes les autoroutes gérées par le groupe, ou uniquement le tronçon de Gênes.
«Nous laissons les responsables des enquêtes pénales faire leur devoir mais nous ne pouvons pas attendre la justice pénale [...] Nous avons l'obligation de faire voyager tous les citoyens en sécurité, donc nous avançons et nous révoquerons la concession parce qu'il n'y a pas de doute [...] qu'Autostrade avait le devoir et l'obligation, l'engagement, d'assurer l'entretien de ce viaduc et la sécurité de tous ceux qui voyageaient dessus», a encore déclaré Giuseppe Conte.
L'état d'urgence décrété pour 12 mois
Rome a en outre décrété, à l'issue du même Conseil des ministres, l'instauration d'un «état d'urgence pour 12 mois» à Gênes, à la demande du président de la région.
Le chef du gouvernement italien a fait valoir : «Nous avons débloqué, pour la mise en place des premières interventions, 5 millions d'euros du fonds d'urgence nationale. C'est une première mesure du gouvernement face à cette tragédie.»
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Londres : Salih Khater, 29 ans, d’origine soudanaise, fonce sur les grilles du Parlement britannique, plusieurs piétons percutés (MàJ)
0h30Lecteur vidéo00:0000:1015/08/2018
Le terroriste est un immigré soudanais qui a tourné dans Londres pendant des heures avant de foncer sur des cyclistes devant le Parlement, blessant 15 personnes
On apprend que Salih Khater, 29 ans, connu de la police, est venu à Londres lundi soir en voiture, depuis son appartement de Hall Green (Birmingham). Il est arrivé peu après minuit et a tourné plusieurs heures, notamment autour de sites touristiques (…). Il a ensuite conduit pendant 90 minutes autour de Whitehall et Westminster, laissant penser qu’il aurait pu être à la recherche de groupes de touristes à cibler.
L’attaque intervient 17 mois après que Khalid Masood a tué 5 personnes sur le pont de Westminster avant d’assassiner l’agent de police Keith Palmer.
Salih Khater n’a pas prononcé un mot depuis son interpellation (…). Mais on a appris dans la soirée qu’il s’agissait d’un immigré connu de la police (…), né à l’étranger mais qui avait obtenu la citoyenneté britannique.
Il a percuté une cycliste qui est restée immobile sur la chaussée, souffrant probablement d’une atteinte à la hanche, tandis que d’autres cyclistes blessés sont restés au sol au milieu de leurs vélos gisant par terre.
Un homme et une femme, tous deux cyclistes, ont été brièvement admis à l’hôpital pour des blessures sans gravité (…).
14/08/2018
Le terroriste présumé a été arrêtéSon véhicule a foncé sur les cyclistes et les piétons peu après 8h30 ce matin [7h30 heure locale], blessant trois personnes.
Le suspect, qui aurait un peu moins de 30 ans, ne serait pas connu des services de renseignement britanniques ni du contre-espionnage, et ne se montre pas coopératif avec leurs agents.
Une femme est actuellement prise en charge à l’hôpital pour des blessures sérieuses mais son pronostic vital n’est pas engagé.
« Etant donné qu’il s’agit apparemment d’un acte délibéré, la méthode et le choix du site, nous traitons cet incident comme un incident terroriste. »
Neil Basu, chef du contre-terrorisme (Scotland Yard)Personne d’autre ne se trouvait à bord du véhicule, où aucune arme n’a été retrouvée.
Le suspect, qui n’a pas été formellement identifié mais qui habiterait la région de Birmingham, est détenu dans un commissariat du sud de Londres, tandis que son véhicule, une Ford Fiesta grise, est actuellement fouillé.
La vidéo de la BBC montre le moment où le véhicule traverse un terre-plein au milieu de la route, avant de percuter des barrières de sécurité. On peut y voir un agent de police sauter par-dessus une autre barrière pour se mettre à l’abri.
Deux personnes ont été hospitalisées, tandis qu’une troisième, légèrement blessée, a été soignée sur place.
Une des personnes hospitalisées, un homme, a déjà pu quitter l’hôpital.
Plusieurs piétons ont été blessés ce mardi matin quand une voiture a foncé sur les barrières de sécurité devant le Parlement du Royaume-Uni à Londres, a annoncé la police britannique qui a arrêté le conducteur.
« A 07h37 aujourd’hui, une voiture est entrée en collision avec les barrières devant le Parlement. Le conducteur a été arrêté par les policiers présents sur place. Plusieurs piétons ont été blessés« , a déclaré la police sur Twitter.
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BONNE FËTE DE L'ASSOMPTION A TOUTES ET A TOUS ! 15 AOUT 2018
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15 août, Fête de l’Assomption : 10 février 1638, Louis XIII consacre le royaume de France à la Vierge Marie
11h21La fête de l’Assomption est célébrée le 15 août. Ce jour est férié depuis 1638, le roi Louis XIII souhaitait alors remercier la Vierge d’avoir réalisé son souhait d’avoir un enfant, celui qui deviendra Louis XIV.
Le 10 février 1638, en son château de St-Germain-en-Laye, Louis XIII décidait de consacrer le royaume de France à Notre-Dame. C’est le fameux « vœu de Louis XIII » en remerciement de la grossesse de son épouse Anne d’Autriche après vingt-trois ans de mariage.
Mais la date du 15 août en elle-même ne doit rien au hasard. « Si l’Eglise a fixé la date au cœur de l’été, c’est parce qu’elle est la fête du temps des moissons, la fête du temps où l’on s’arrête, où il y a un point d’équilibre entre le printemps et l’hiver. Le soleil est à son zénith, les fruits sont abondants, la fécondité est à son maximum. Tout cela symbolise Marie« , explique à Europe 1 Jean-François Colosimo, historien des religions.
Les Écritures saintes du christianisme disent peu sur la façon dont la Mère du Christ a quitté sa vie terrestre mais une tradition s’est installée dès les premiers siècles de l’Église à Jérusalem – toujours à cette date du 15 août – pour célébrer la «dormition» de la Vierge. Ce terme de «dormition» de la Vierge signifiant son mystérieux endormissement dans la mort et sa montée, selon la foi chrétienne, corps et âme, au ciel.
Ce sont les Églises chrétiennes orthodoxes qui ont tout d’abord conservé intacte cette tradition qui inspire de nombreuses icônes et où elle demeure une très grande fête. Elle s’est ensuite transmise à l’Église latine au cours du premier millénaire jusqu’à être définie comme un dogme catholique par le pape Pie XII en 1950.
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«Irresponsable et court-termiste» : la droite révoltée par l’accueil de migrants de L'Aquarius
NdB: Mais pourquoi ne pas les accueillir à Brégançon? C'est bien assez grand, il y a des cuisiniers, et une magnifique piscine toute neuve pour se délasser après leur errance en Méditerranée.
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Les urinoirs d’Anne Hidalgo : une mise en boîte
Bien visible, elle est rouge comme un camion de pompier, tout neuf et prêt pour la parade.
Méfiez-vous des apparences. Cette teinte vive n’est pas la seule caractéristique la distinguant des bornes à incendie : la lance attendue n’est pas celle que vous croyez !
C’est nouveau à Paris. C’est l’éclosion de l’été, selon le poète stipendié. C’est une verrue dans un site classé, pour un couple de touristes attachés aux rives de la Seine.
La provocation n’est pas anodine, analyse l’expert en communication, avant d’ajouter que Dame Hidalgo est « sans doute loin d’avoir épuisé son sac à malices ». Ce commentateur avisé nous apprend que le geste peut avoir pour objectif d’occuper la scène tout en étant éloignée (en vacances ?), à moins qu’il faille détourner l’attention d’un dossier noir.
À en croire une signalisation toute nouvelle, la boîte rouge serait un « uritrottoir ». C’est écrit en toutes lettres sur un panneau situé en hauteur. Pragmatique, madame Michu commente à haute voix : « Ils ne pouvaient pas écrire Vespasienne parce qu’il n’y a pas de fente pour les pièces. »
L’objectif financier est donc exclu. L’intérêt serait écologique. L’urine collectée serait récupérée quotidiennement et utilisée comme fertilisant. « Fer-ti-li-sant, c’est ce que j’avais dit à l’agent », insiste mon voisin de comptoir. Maigret l’enseignait : toujours aller prendre la température au zinc le plus proche.
L’histoire de l’assoiffé était banale. Il avait omis de prendre ses précautions à la fermeture du bar. Les exigences de la nature l’avaient surpris en pleine rue. Il avait cru bien faire en arrosant un parterre. Le képi avait vu la chose sous un angle différent : atteinte à la pudeur, exhibitionnisme.
La loi n’existerait donc plus. « Non, elle sert à arnaquer les braves travailleurs », intervient le tavernier. Il insiste pour verser au dossier une larme supplémentaire. Les règles d’hygiène auxquelles il est astreint ne sont pas respectées et l’absence de lavabo va entraîner une dispersion des germes.
Sur le trottoir, une maman insiste pour que son petit garçon confirme qu’il s’est bien lavé les mains « comme la maîtresse l’a montré à l’école » qui se trouve à vingt mètres.
La boîte rouge sera-t-elle un obstacle sur le chemin des urnes ?
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Londres : attentat ou accident ? Que s'est-il passé au Parlement ? - Pour le moment, c'est encore le "brouillard"...
Tôt dans la matinée ce mardi 14 août 2018, une voiture a foncé sur les barrières du parlement britannique à Londres (Royaume-Uni), faisant plusieurs blessés. Le conducteur a été arrêté, il est "suspecté d'acte terroriste".
L'ESSENTIEL
Ce mardi 14 août 2018, sur les coups de 7h37 - 8h37 heure française -, une voiture a foncé sur les barrières du parlement britannique à Londres, au Royaume-Uni, faisant deux blessés légers. Le conducteur du véhicule a été arrêté et les services antiterroristes ont pris en charge l'enquête. Pour autant, aucune piste n'est pour l'heure écartée. Toutefois, peu avant midi, la police a fait savoir que l'individu en question était soupçonné "d'acte terroriste".
EN DIRECT
18:19 - Que sait-on sur l'identité du suspect de Londres ?
FIN DU DIRECT - Si l'homme au volant de la voiture qui a percuté ce mardi matin les barrières du parlement britannique après avoir blessé plusieurs passants lors de sa trajectoire a été arrêté dans la foulée, il semble que l'enquête le concernant soit désormais au point mort. Arrêté pour "suspicion de terrorisme", l'individu qui ne souhaiterait par ailleurs pas coopérer avec les forces de l'ordre n'aurait toujours pas été identifié, selon un responsable de la police dont BFM TV rapporte les propos ce mardi. On estime qu'il aurait entre 25 et 30 ans, rapporte de son côté franceinfo.
16:38 - La personne conduisant le véhicule n'est pas sortie", confie une passante
Parmi les témoins de l'incident qui aurait fait trois blessés légers, selon la BBC, ce mardi 14 août à Londres, devant le palais de Westminster, une passante s'est confiée à l'agence britannique Presse Association. "Je marchais de l'autre côté [de la route ndlr.]. J'ai entendu du bruit et quelqu'un a crié. Je me suis retournée et j'ai vu une voiture grise roulant très vite près des barrières, peut-être même sur le trottoir", a rapporté Ewalina Ochab, avant de préciser : "La personne conduisant le véhicule n'est pas sortie."
15:37 - Le chef de l'opposition réagit
Le chef de l'opposition officielle, Jeremy Corbyn, a également réagit ce mardi 14 août. Sur Twitter, le leader du Parti travailliste a déclaré : "Mes pensées sont avec ceux qui ont été blessés ce matin à l'extérieur du Parlement dans ce qui est traité comme un incident terroriste. Nos remerciements vont à nos services de secours qui ont répondu immédiatement. Leur courage nous garde en sécurité, jour après jour."
15:04 - Le conducteur de Westminster ne serait pas connu des services anti-terroristes
La BBC rapporte également ce mardi 14 août que le conducteur, arrêté après avoir foncé dans les barrières du parlement britannique dans la matinée et soupçonné d'acte terroriste, ne serait pas connu du MI5, le service de renseignement responsable de la sécurité intérieure du Royaume-Uni, ni de la police anti-terroriste. Pour l'heure, l'individu n'a pas pu être officiellement identifié. Ce dernier refuserait par ailleurs de coopérer, comme l'a signalé lors d'une conférence de presse Neil Basu, commissaire-adjoint de la police londonienne.
14:43 - Westminster : un troisième blessé ?
Les services de secours londoniens évoquaient ce mardi matin peu après l'incident survenu à Westminster avoir pris en charge deux personnes. Ce mardi après-midi, la BBC fait, elle, état de trois personnes blessées, rapportant que le véhicule en question aurait dévié dans des cyclistes et des piétons, peu après 7h30 (heure locale). Les jours des blessés ne seraient en tout cas pas en danger, même si la BBC rapporte tout de même qu'une femme serait hospitalisée pour des blessures sérieuses.
14:03 - Donald Trump réagit à "l'attaque terroriste" de Londres
Le président américain n'a pas mâché ses mots ce mardi. Après Theresa May, Donald Trump a tenu à réagir publiquement à l'incident survenu à Westminster. "Une autre attaque terroriste à Londres... Ces animaux sont fous et doivent être traités par la ténacité et la force !", a-t-il déclaré sur Twitter. Pour rappel, si le conducteur arrêté est suspecté "d'acte terroriste", les forces de l'ordre britanniques ne semblent pas pour l'heure dans la capacité d'indiquer clairement qu'il s'agit d'un acte terroriste. Aucune revendication n'a par ailleurs été mentionnée.
13:47 - En 2017, Londres avait été victime d'une vague d'attentats
Un homme en voiture, fauchant plusieurs passants sur son chemin, si les faits ne sont pas encore avérés, l'incident de Westminster n'est pas sans rappeler celui survenu quasiment au même endroit en mars 2017. À l'époque, Khalid Masood, un homme âgé de 52 ans, avait en effet percuté plusieurs passants en roulant à pleine vitesse sur le pont de Westminster avant de poignarder un policier vers le parlement. Cinq morts et de nombreux blessés étaient alors à déplorer. Et ce n'est pas la seule attaque dont avait fait les frais le Royaume-Uni cette année-là. Un vague d'attentats, parmi lesquels quatre avaient alors été revendiqués par le groupe État islamique, a fait pas moins de 36 morts et de 200 blessés en 2017.
13:26 - Les forces de l'ordre appellent les éventuels témoins à la coopération
Alors que le principal suspect ne souhaiterait pas coopérer, les forces de l'ordre, à l'occasion de la conférence de presse donnée en fin de matinée, ont demandé à tous les témoins, qui pourraient avoir des photos ou des vidéos de l'incident survenu à Westminster ce mardi 14 août au matin, à leur communiqué ces éléments. Éléments qui, ils l'espèrent, pourraient permettre de faire avancer l'enquête.
13:17 - Pas d'arme retrouvée pour le moment
Dans son dernier communiqué, la police a déclaré que l'homme était seul à bord du véhicule, comme le rapporte BFM TV. Et la police de préciser au sujet de l'incident survenu à Westminster ce mardi matin : "Aucune arme n'a été trouvée à cette heure". Pour rappel, l'homme a été arrêté par les forces de l'ordre. Selon les dernières indications du commissaire-adjoint, l'individu ne souhaiterait pas coopérer.
13:09 - "Il s'agirait d'un acte délibéré", rapporte le commissaire-adjoint de la police londonienne
Également lors de la conférence de presse qui s'est tenue peu avant 13 heures ce mardi, le commissaire-adjoint de la police londonienne, Neil Basu, a rapporté que l'homme arrêté aurait entre 25 et 30 ans. "Il s'agirait d'un acte délibéré", a-t-il annoncé, ajoutant au passage que "la scène est bouclée. Elle est considérée comme une scène de crime".
12:54 - "Le suspect ne coopère pas", a confié le responsable de la police
Une conférence de presse se tient actuellement à Londres. Que s'est-il passé à Westminster ce mardi matin ? Les enquêteurs tentent désormais d'en savoir plus, mais selon Neil Basu, commissaire-adjoint de la police londonienne, la tâche s'avère compliquée : "Le suspect ne coopère pas", a-t-il notamment fait savoir. Et d'ajouter : "Notre objectif est de connaître ses motivations."
12:41 - Les blessés seraient des cyclistes
Le service d'ambulance de Londres a rapporté avoir pris en charge deux personnes après qu'une voiture a foncé sur les barrières du palais de Westminster ce mardi matin. En ouverture de journal de midi, France 3 rapporte que dans sa course folle, le conducteur aurait percuté des cyclistes. "Deux sont à l'hôpital", déclare le journaliste de France 3. Aucun ne serait en danger de mort.
12:31 - "Il n'a rien fait pour éviter les gens", confie un témoin
Un autre témoin des faits survenus ce mardi 14 août au matin à Westminster en semble convaincu : c'est un acte volontaire. "À mon avis c'était délibéré. Il n'a rien fait pour éviter les gens. Il a foncé tout droit", confie un homme au micro de France 3. Un peu plus tôt dans la matinée, une passante avait également rapporté que "la personne conduisant le véhicule n'[était] pas sortie". Pour l'heure, la police a simplement fait savoir que l'homme arrêté était "soupçonné d'acte terroriste".
12:22 - La Première ministre britannique réagit
Quelques heures après qu'un homme au volant d'une voiture a foncé dans les grilles du parlement britannique, blessant légèrement deux personnes au passage selon le dernier bilan en date, la Première ministre britannique a réagi. "Mes pensées sont avec les blessés de l'incident de Westminster et mes remerciements vont aux services de secours pour leur réponse immédiate et courageuse", a confié Theresa May.
12:07 - Les forces de l'ordre déployées en nombre après l'incident au parlement britannique
Aux abords des lieux de l'incident survenu mardi matin devant le parlement britannique, les forces de l'ordre sont en nombre. Ici et là, les policiers s'assurent que le périmètre reste bouclé. Outre les policiers, les pompiers et les secours britanniques ont été dépêchés sur place. Pour le moment, le quartier reste bouclé et la station de métro de Westminster fermée.
L'internaute
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Le port de Sète attend le feu vert du gouvernement pour accueillir l'Aquarius et ses 141 migrants
© Guglielmo Mangiapane Source: ReutersLes migrants à bord de l'Aquarius en août 2018L'Aquarius continue de faire parler de lui et d'interroger les politiques migratoires européennes : à son bord, 141 migrants venus d'Erythrée et de Somalie, mais aucun port n'est prêt à les accueillir... Sauf celui de Sète en France.
Jean-Claude Gayssot, ancien ministre communiste des Transports et actuellement président du port de Sète (Hérault), a annoncé dans un entretien accordé à France Bleu le 13 août que l'institution qu'il dirige était prête à accueillir les 141 migrants secourus en mer Méditerranée par le fameux navire Aquarius le 11 août.
Jean-Claude Gayssot a précisé : «La seule condition, c'est d'abord le feu vert des autorités françaises. Je comprends que les choses sont complexes, y compris qu'il faut combattre les passeurs. Mais là, il s'agit de vies humaines. Tout doit être second par rapport à l'humain, par rapport à sauver des vies, des familles, des femmes et des enfants.»
Le bateau, affrété par l'association SOS Méditerranée et qui s'était trouvé au cœur d'une polémique au mois de juin pour son engagement en butte avec les politiques migratoires de pays européens tels que l'Italie et Malte, est de nouveau à la recherche d'un «port sûr». Il a été refusé une nouvelle fois par les autorités italiennes et maltaises et se trouve dans l'attente de savoir quel port l'acceptera. A son bord se trouvent 141 migrants secourus au large de la Libye qui proviennent principalement de Somalie et d'Erythrée, selon un communiqué de l'ONG.
Gauche, RN et une députée LREM veulent qu'Emmanuel Macron prenne position
En France, à gauche de l'échiquier politique, l'on presse Emmanuel Macron de faire un geste en faveur de ces migrants. A la pointe de ce combat, le candidat malheureux à l'élection présidentielle 2017, Benoît Hamon qui dirige le mouvement politique Génération·s. Dans un communiqué, il «demande solennellement à Emmanuel Macron d'ouvrir un port français [à l'Aquarius], aujourd'hui et pour ses prochaines missions».
Et Benoît Hamon de dénoncer une dérive de la part du président de la République, qui «cède en réalité avec une faiblesse et une complicité coupables aux pressions de monsieur Salvini [ministre de l'Intérieur italien] et de l’extrême-droite européenne et française».
Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national (ex-Front national), en a également appelé à la responsabilité du chef d'Etat français, mais a pour sa part estimé que, dans cette affaire, le président du port de Sète s'arrogeait des prérogatives qui ne lui revenaient pas entièrement : «Ce n'est pas au communiste Jean-Claude Gayssot, président du port de Sète, de décider de notre politique migratoire en accueillant l'Aquarius. L’Etat doit enfin envoyer le signal de fermeté qui s’impose et fermer nos ports à ces navires de migrants !»
Plus étonnant dans le paysage politique marcheur, Sonia Krimi, une élue LREM de la Manche, a choisi de monter au créneau sur le sujet, alors qu'elle était interrogée par FranceInfo : «Les étrangers ne sont pas un paillasson pour les politiques français pour s'essuyer les pieds.» Et de rabrouer toute tentation d'opportunisme électoral : «Il ne faut pas que les politiques entrent dans un jeu "Moi j'accueille, moi je suis plus sympa que l'autre", car la vie des gens n'est pas un jeu.»
Selon les informations de L'Obs, la députée, qui est originaire de Tunisie et n'a été naturalisée française qu'en 2012, se qualifie elle-même de «migrante économique.» Sonia Krimi s'était déjà fait entendre à propos de l'Aquarius par le passé et s'était également indignée de la politique migratoire menée par le gouvernement d'Edouard Philippe. Cependant, plutôt que de voter contre la loi asile-immigration, elle avait préféré s'abstenir. Emmanuel Macron, en villégiature d'été au fort de Brégançon, est resté silencieux sur cette nouvelle affaire Aquarius.
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Jean-Claude Gaudin doit demander à l’État de fermer le Port de Marseille à l’Aquarius et ses clandestins !
Communiqué de Stéphane Ravier, Sénateur des Bouches-du-Rhône
Depuis hier, le navire l’Aquarius, affrété par l’ONG SOS-Méditerranée, recommence son opération de communication en demandant aux ports européens de l’accueillir, après avoir récupéré quelques centaines de migrants clandestins au large des côtes libyennes. En juillet déjà, après que Matteo Salvini, Ministre de l’Intérieur italien, a décidé de fermer ses ports à tous les bateaux qui ramènent volontairement ces clandestins en Europe, l’Aquarius faisait escale à Marseille, sans que le Maire de notre ville, Jean-Claude Gaudin (LR) n’y trouve rien à redire. Pire encore, alors que je l’interpellais sur ce sujet lors du Conseil de la Métropole Aix-Marseille, dont il est le président, Jean-Claude Gaudin se félicitait ouvertement d’accueillir des migrants dans la cité phocéenne “avec ses amis maires d’arrondissements”, mais s’obligeait à le faire discrètement pour “ne pas faire le jeu du Rassemblement National”.
Alors que plusieurs enquêtes ont été ou sont encore ouvertes sur les liens existant entre les ONG soi-disant humanitaires et les mafias de passeurs en Afrique, et que même Emmanuel Macron a affirmé que le bateau de Lifeline “faisait le jeu des passeurs”, les responsables politiques doivent faire preuve de la plus grande prudence vis-à-vis de ces organisations suspectes. Je prie donc Jean-Claude Gaudin de demander expressément à l’État de fermer le port de Marseille à l’Aquarius : notre ville ne doit pas être complice d’un éventuel trafic qui encourage une immigration massive que les Français ne veulent plus subir ! Je ne doute pas que Renaud Muselier, président (LR) du Conseil régional, et Martine Vassal, présidente (LR) du Conseil départemental, soutiendront ma démarche, en tant que membres du Conseil de surveillance du Port de Marseille-Fos.
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Fichage sur Twitter...
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L'effroyable effondrement d'un pont autoroutier à Gênes cause la mort de dizaines de personnes
Des dizaines de morts sont à déplorer après l'effondrement d'une section du viaduc de l'autoroute A10 à Gênes, en Italie, ce 14 août, selon les services d'urgence. Selon un premier bilan, 30 victimes sont à déplorer.
Une section du viaduc de l'autoroute A10 à Gênes s'est effondrée le 14 août, causant des «dizaines» de morts, selon le porte-parole des services de secours cité par l'agence de presse italienne Adnkronos. «Une immense tragédie», a commenté le ministre italien des Transports Danilo Toninelli. «La France est aux côtés de l'Italie» et «se tient prête à apporter tout le soutien nécessaire», a assuré ce même jour sur Twitter Emmanuel Macron. «Nos pensées vont aux victimes, à leurs proches et à tout le peuple italien», a également fait savoir le président de la République, qui a posté ce même message traduit en italien.
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VIDEO - Le viaduc d'une autoroute s'écroule à Gênes
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Londres: une voiture fonce sur les barrières de sécurité du Parlement et fait plusieurs blessés