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Blog - Page 1314

  • Laurent Gbagbo conteste la légalité de son transfert à La Haye

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    L'ex-homme fort d'Abidjan, qui comparaît devant la CPI pour crimes contre l'humanité, dénonce un «enlèvement». 

    La défense de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, manifestement prise de cours par l'annonce subite de son transfèrement, mardi dernier, vers le siège néerlandais de la Cour pénale internationale (CPI), entend maintenant reprendre l'initiative. Me Emmanuel Altit, qui doit l'assister ce lundi lors de sa première comparution, s'est rendu vendredi à La Haye pour définir une stratégie de défense avec l'ancien chef d'État. Il dit y avoir rencontré un détenu «sous le choc» mais «résolu à dénoncer un enlèvement qui viole toutes les règles du droit international» .

    S'il semble délicat pour Laurent Gbagbo de contester la compétence de la CPI - il l'a formellement reconnue en signant, le 18 avril 2003, un courrier réclamant une enquête sur la tentative de coup d'État dont il avait été la cible six mois plus tôt -, ses conseils entendent démontrer que les droits de la défense n'ont pas été respectés dans la procédure de transfèrement. À entendre Me Altit, les avocats ivoiriens de l'ex-président auraient été convoqués mardi à Korhogo, localité du Nord où il était détenu depuis son arrestation, le 11 avril, par les combattants pro-Ouattara, sous le prétexte «fallacieux» d'une audience portant sur de présumés «crimes économiques». «Sur place, ses conseils ont découvert l'existence du mandat d'arrêt international émis le 23 novembre par le procureur Ocampo. Malgré leur insistance, les magistrats de la chambre d'accusation ont refusé de recevoir leur mémoire et d'entendre leur plaidoirie. L'après-midi même, Laurent Gbagbo s'envolait pour Rotterdam avec pour tout vêtement une chemisette et un pantalon qu'il porte aujourd'hui encore», s'étonne Me Altit, qui entend demander la remise en liberté de son client.

    «Justice de vainqueur» 

    L'argument, dont la pertinence juridique reste à débattre devant la CPI, promet de trouver écho sur la scène politique ivoirienne, où une partie des partisans de Laurent Gbagbo boycottent le processus de réconciliation engagé par le président Ouattara. Dénonçant un «hold-up politico-juridique», ils accusent le nouveau pouvoir d'appliquer une «justice de vainqueur» visant à travers l'ancien chef d'État un adversaire politique qui, même détenu à l'autre bout de la Côte d'Ivoire, menaçait d'empoisonner les législatives convoquées le 11 décembre prochain.

    Dans le camp Ouattara, on soutient au contraire que «la détention et le transfert de Laurent Gbagbo se sont effectués dans le strict respect de son intégrité physique et de ses droits». En septembre, le président ivoirien avait justifié dans un entretien au Figaro son choix de saisir la CPI, affirmant : «[Il] a plongé la Côte d'Ivoire dans une crise sans précédent qui a fait des milliers de morts. Nous n'avons pas la capacité de juger de tels crimes.» Entre l'élection présidentielle du 16 décembre 2010 et sa chute, Laurent Gbagbo est soupçonné d'avoir planifié et coordonné des exactions qui ont fait plusieurs milliers de morts. De graves exactions imputées aux partisans d'Alassane Ouattara, notamment dans l'ouest du pays, sont aussi visées par l'enquête de la CPI. À ce jour, le nouveau pouvoir ivoirien n'a pas clairement indiqué s'il accepterait de livrer d'éventuels suspects issus de son camp.

    Le Figaro - 03/12/11

  • En 2012, les ouvriers votent pour Marine Le Pen

    *

    Dans le reportage ci-dessus diffusé dans le journal télévisé sur France 2 ce mercredi, on apprend que les ouvriers voteront en masse pour la candidate qui prend la défense de la France et des Français. Les ouvriers et employés ne mâchent pas leurs mots concernant Marine Le Pen.

    Une jeune femme déclare : « Le fait qu’elle soit franche et qu’elle dit les choses clairement ! » Une autre, c’est « la France aux français ! ». Un ouvrier qui a voté par le passé Mitterrand dit avoir été déçu par la gauche et la droite et être très attentif au programme de Marine Le Pen. Sans sourciller, il avoue qu’« elle s’approche du peuple ». Même les syndicats sont obligés d’en arriver à la même conclusion politique dans le domaine industriel : gauche-droite c’est le bilan d’une même politique mondialiste qui n’a pas protégée les ouvriers français.

    03/12/11

  • Bachelot toujours pleine d'esprit !

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    Bachelot est vaccinée contre la crise: jugez de  son élégance à la sortie d'un conseil des ministres, en novembre 2011

    Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités, et Valérie Trierweiler, compagne de , ont échangé quelques mots aigres mardi dernier lors d’un grand dîner destiné à lever des fonds pour lutter contre la famine dans la Corne de l’Afrique.

    « Comment vont se comporter vos amis durant la campagne présidentielle? » interroge la journaliste. Réponse sans fard de Bachelot : « Ils seront très méchants! »
     
    Le Parisien - 03/12/11

     

     

  • Crise: Sarkozy va-t-il devoir "investir massivement dans des forces anti-émeutes ?" !

    Hier soir au Zénith de Toulon, Nicolas Sarkozy a prononcé son soixante-quinzième discours sur la crise depuis 2007. Dans cette même salle, il y a trois ans, alors que la crise des subprimes, l’effondrement de la banque new yorkaise Lehman Brothers déclenchait le krach mondial, le chef de l’Etat avait multiplié les promesses non tenues. Rappelez-vous, il avait fait état de sa volonté de réaffirmer le rôle de l’Etat protecteur intervenant quand il le faut dans la sphère économique ; argué de son souhait de mettre au pas « les spéculateurs » en donnant la primauté à « l’entrepreneur », d’encadrer la pratique des « bonus », de « refonder le capitalisme à la lumière de la crise actuelle ». Dans cette optique déclarait-il, « il faudra imposer aux banques de financer le développement économique plutôt que la spéculation, » voire même «  remettre à plat tout le système financier et monétaire mondial, comme on le fit à Bretton Woods après la Seconde Guerre Mondiale ». Rien de moins !

     Pareillement, Nicolas Sarkozy avait clamé qu’il garantirait la sécurité des épargnants, qu’il « (n’accepterait) pas qu’un seul déposant perde un seul euro parce qu’un établissement financier se révèlerait dans l’incapacité de faire face à ses engagements», son refus de « (conduire une) politique d’austérité parce que l’austérité aggraverait la récession », son refus d’augmenter les impôts et les charges.

    Quelques heures avant son entrée hier  au Zénith sous les applaudissements des adhérents et sympathisants de l’UMP, les élus de la majorité présidentielle votaient en faveur d’une trente-cinquième nouvelle  taxe depuis 2008, en l’espèce l’augmentation de la TVA pour les logements sociaux, la consommation d’eau, la collecte des ordures ménagères, les tickets de bus, les billets de train…

     Jeudi soir  sur Europe 1, Marine Le Pen, qui progresse dans le dernier sondage LH2 (19,5% des intentions de vote, contre 26% pour Nicolas Sarkozy et 29,5% pour François Hollande en repli de trois points) a jugé avec la sévérité qu’il mérite le show toulonnais du président de la République.

     La candidate nationale a relevé que « ce discours qui devait être l’un des plus marquants de son quinquennat, a été le vide sidéral, une succession de poncifs dont en réalité les seules mesures concrètes ont été l’annonce d’une Europe à la schlague, c’est-à-dire l’Europe qui entraîne la perte de notre souveraineté». « Les choses sont claires aujourd’hui: M. Sarkozy prend la tête de l’intégration fédéraliste et de l’abandon de toute souveraineté française ».

     Le commissaire européen affaires économiques et monétaires, Ollie Rehn, l’a déclaré ces derniers jours de manière plus directe que le champion de l’UMP hier soir : « L’union économique et monétaire devra être complétée par une intégration (politique et économique) plus profonde ou nous aurons à accepter une désintégration progressive de plus d’un demi-siècle d’intégration européenne ». Pour faire passer la pilule de cet effacement programmé de notre indépendance nationale, Alain Juppé a manié, à l’instar du ministre polonais des Finances, Jacek Rostowski, que nous citions sur ce blog le 29 novembre, le spectre de la guerre. La fin de la monnaie unique conduirait à « l’explosion de l’Union européenne elle-même ». « Dans cette éventualité, tout devient possible, même le pire » a déclaré M. Juppé. Une intervention de l’Otan se profile pour faire taire les récalcitrants?

     Le site du journal britannique Mirror évoquait hier les efforts des principales banques centrales le 30 novembre (Banque d’Angleterre,  Réserve fédérale américaine –Fed-,  Banque centrale européenne et les banques centrales du Canada, du Japon et de la Suisse) qui souhaitent accroître leur capacité à fournir de la liquidité pour soutenir le système financier mondial. Il s’agit d’éviter un un effondrement du crédit (le fameux « credit crunch ») , comme l’avait connu l’économie mondiale en 2008, période où les établissements financiers limitaient quantitativement leurs prêts, même aux emprunteurs les plus solvables.

    Le Mirror citait encore « un responsable du G20 » qui a déclaré sous le sceau de l’anonymat: « Ceux qui cherchent (une aide financière) doivent être prêts à renoncer à certaines de leurs compétences en matière de politique fiscale et subir une réforme douloureuse. Les promesses et les discours ne suffiront pas. les ménages font devoir face à une décennie perdue des revenus en baisse et des coupes sauvages. »

    Et cet article de conclure, avec une « causticité » toute britannique : « Quel beau cadeau de Noël Nicolas Sarkozy va faire aux Français : perte d’indépendance budgétaire et fiscale ; et coupes sévères et douloureuses dans le système social français. Il va falloir investir massivement dans des forces anti-émeutes ! »

     Vous l’aurez compris, Bruno Gollnisch est au nombre des 86% des sondés estimant selon le baromètre TNS-Sofres-Le Figaro Magazine de décembre que « les choses ont tendance à aller plus mal ». Mais contrairement à un certain nombre d’entre eux, il sait que ce déclin n’est pas  une fatalité,  que l’Europe bruxelloise supranationale et mondialiste n’est pas  un horizon indépassable.  Le chemin pour reprouver notre prospérité passe en effet par une refondation de l’Europe conforme à son génie, celle des patries et des souverainetés nationales  retrouvées.


    Blog de Bruno Gollnisch - 02/12/11 

  • Les actes de violence antisémite ont augmenté de plus d'un tiers cette année en Australie

     

    Selon une étude présentée lundi 28 novembre 2011 à Melbourne aux médias, les actes de violence antisémite ont augmenté de plus d'un tiers cette année. Ainsi, "la violence antisémite a augmenté de 31% en Australie au cours de la dernière année" selon Jeremy Jones, directeur des affaires communautaires locales, qui a également conduit l'étude.
     
    "En 2011, il ne s'est pas passé une seule semaine sans que des Australiens de confession juive ne soient agressés ou menacés, du seul fait de leur identité". L'étude recense un total de cinq cent dix sept cas, allant de l'agression physique à des formes diverses de harcèlement ("courriers haineux, graffitis, tracts, appels téléphoniques"). 
     
    Jones a également souligné la démultiplication des sites Internet australiens, et des nombreux forums, où des appels à la haine antijuive ont libre cours. "Le temps est venu de comprendre", a estimé Jones au cours d'un entretien accordé au quotidien israélien Haaretz, "qu'Internet ne doit plus être considéré comme une sorte de réalité alternative".
     
    Photo (Jeremy Jones, directeur des affaires communautaires locales australiennes) : D.R.
     
    Source : Haaretz
     
     
     02/12/11
  • L'UMP bientôt dans son siège à 40 millions d'euros !

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    (Cliquer sur la photo)

    Un déménagement sans tambours ni trompettes. D’ici deux semaines, l’UMP va discrètement quitter son siège de la rue La Boétie (VIIIe) pour s’installer dans des locaux flambant neufs achetés rue de Vaugirard (XVe). Une page de l’histoire du parti se tourne, après dix ans passés dans les beaux quartiers, à seulement deux pas de l’Elysée.

     

    De l’autre côté de la Seine, dans un arrondissement plus populaire, l’UMP va prendre possession d’un ancien garage de 5500 m2 entièrement réhabilité après un an et demi de travaux, avec salle de conférences de 800 places et cinq étages de bureaux baignés de lumière naturelle.

    Hier encore, en passant devant les barrières qui masquent en partie la façade en verre, difficile de croire que le parti allait y déposer ses cartons d’ici peu. « On en est pourtant au stade des finitions, essentiellement la peinture, explique un cadre. Le 15 décembre, tout le monde va commencer à faire ses cartons.

    Le lundi 19, l’ensemble du personnel (NDLR : une centaine de personnes) aura émigré rue de Vaugirard. » En revanche, pas de champagne ni de cotillons en perspective. « Vu le contexte de la , on ne va pas faire d’inauguration en grande pompe… ça serait mal vu. L’heure est à la sobriété », souligne-t-on.

    Confiée à l’architecte Jean-Jacques Ory, spécialiste de la restructuration des grands bâtiments, la réhabilitation du nouveau siège aura tout de même coûté 21 M€, auxquels s’ajoutent 19 millions pour l’acquisition de l’immeuble. Soit un de 40 M€, financés à hauteur de 5 millions sur les fonds propres de l’UMP et 35 millions répartis sur un crédit immobilier de quatorze ans. Une somme colossale que le parti présidentiel, jusqu’à présent locataire de son siège, considère malgré tout comme une affaire. « Actuellement, nous déboursons 4 M€ de loyer par an. Rue de Vaugirard, nous serons propriétaires, ça change tout, justifie un autre permanent. Et puis, le remboursement mensuel du prêt correspondra à la somme que nous dépensons actuellement pour louer l’immeuble de la rue La Boétie. »

    Selon nos informations, le nouveau siège pourrait même servir de base arrière, pendant la campagne, au candidat Sarkozy. Ce dernier, a priori, ne prendra pas de grand QG comme il l’avait fait en 2007, rue d’Enghien. « Il aura tout de même des locaux pour lui, une sorte d’antenne présidentielle, en dehors de l’Elysée. Mais pas plus, car l’essentiel de sa campagne s’organisera au parti », assure-t-on à l’UMP.

    Le Parisien - 03/12/11

  • Jeannette Bougrab: "Je ne connais pas d'islamisme modéré"

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    Dans une interview au «Parisien» - «Aujourd'hui en France» à paraître ce samedi, Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse, s’inquiète du succès des partis islamistes au Maroc, en Tunisie et en Egypte. Fille de harki, elle pousse un coup de gueule contre la montée de l’islamisme après le arabe.

    Une voix isolée au sein du .

    En Tunisie, au Maroc et en Egypte, on assiste à une poussée des islamistes. Cela vous inquiète-t-il ?
    JEANNETTE BOUGRAB.
    Oui. C’est très inquiétant. Je ne connais pas d’islamisme modéré.

    Il ne faut pas croire ceux qui se présentent - ou que l’on qualifie - de « modérés » ?
    Non. L’égalité ne peut pas être à géométrie variable. L’Etat de droit se mesure notamment en fonction du degré ou du respect des droits des femmes et je n’accepte pas l’idée qu’on puisse fonder une Constitution sur la charia, système religieux fondamentalement inégalitaire. La n’est pas un supermarché où l’on pourrait prendre uniquement ce qui nous fait plaisir.

    Ces « modérés » disent que la charia peut n’être qu’une source d’inspiration...
    Il n’y a pas de charia light. Je suis juriste et on peut faire toutes les interprétations théologiques, littérales ou fondamentalistes que l’on veut, mais le droit fondé sur la charia est nécessairement une restriction des droits et libertés, notamment de la liberté de conscience, car l’apostasie est interdite. Il n’est pas possible de se convertir. Les mariages mixtes ne sont pas reconnus. Une femme musulmane ne peut pas se marier avec un non-musulman. Aux yeux de certains, ce n’est peut-être pas grave si des femmes doivent désormais être voilées ou si demain elles n’ont plus les mêmes droits. Pas pour moi. Je ne transige pas sur cette question de l’égalité juridique. Et il faut être attentif au double langage.

    Le discours de la diplomatie française, plutôt mesuré envers ces régimes, devrait être plus ferme ?
    Je ne suis pas ministre des Affaires étrangères. Je réagis en tant que citoyenne, en tant que femme française d’origine arabe. Je sais le prix qui a été payé par les gens qui sont restés de l’autre côté de la Méditerranée, notamment au moment du terrorisme islamiste qui a fait plus de 200 000 morts en Algérie. Je suis d’ailleurs contente de voir qu’à Alger une loi est adoptée pour interdire la constitution de partis politiques par les anciens du FIS.

    Alain Juppé a félicité les dirigeants d’Ennahda en Tunisie et du Parti de la justice et du développement au Maroc…
    Il ne s’agit pas de rompre les liens diplomatiques avec le Maroc. En 2003-2004, dès les premières années de son règne, Mohammed VI a modifié la Moudawana (Code de la famille) pour réduire la polygamie, la répudiation et interdire les mariages précoces. Va-t-on revenir sur ces textes ? En Egypte, on a vu les violences dont sont victimes les chrétiens coptes. Aujourd’hui, sur la place Tahrir, des femmes sont agressées parce que ce sont des femmes. Ben Ali ou Moubarak avaient agité le chiffon rouge des islamistes pour obtenir le soutien des pays occidentaux. Mais il ne faudrait pas tomber dans l’excès inverse. Moi, je ne soutiendrai jamais un parti islamiste. Jamais. Au nom des femmes qui sont mortes, de toutes celles qui ont été tuées parce qu’elles ne portaient pas le voile.

    La France aurait-elle dû être plus exigeante au moment où les nouvelles autorités libyennes ont parlé de charia ?
    Le président de la République a assuré que la France serait très vigilante sur la question du droit des femmes et de la liberté religieuse. Les manifestations d’ouvriers, de femmes, de jeunes qui se déroulent en ce moment à Tunis ou au Caire, pour réclamer le respect des principes d’égalité et de laïcité, montrent que les choses ne sont pas jouées. Je me refuse à croire qu’il y aurait une sorte de malédiction sur ces pays arabes, que le choix devrait se résumer entre les dictateurs et l’islamisme, entre la peste et le choléra.

    Mais il y a eu des élections…
    Parfois la dictature est venue des urnes. Je fais partie de celles qui estiment qu’on peut interdire des partis politiques fondés sur des pratiques qui portent atteinte à une Constitution. C’est ce qui se passe en Allemagne avec l’article 21 de la loi fondamentale. L’histoire a montré aux Allemands que la démocratie peut être fragile.

    Plus de 30 % des Tunisiens de France ont voté pour Ennahda aux législatives…
    Oui et cela montre un vrai échec. Alors que les jeunes en Tunisie ont risqué leur vie pour la liberté, les forces conservatrices sont aussi venues de France. Je trouve choquant que ceux qui ont les droits et libertés ici aient donné leur voix à un parti religieux. Je pense à ceux qui, dans leur pays, ont été arrêtés, torturés pour défendre leurs convictions. On leur a en quelque sorte volé la révolution.

    Le Parisien - 02/12/11

  • Drame de la misère à Orléans: EDF lui coupe l'électricité, il meurt dans l'incendie provoqué par une bougie


    Incendie à Orléans : la voisine de la victime... par BFMTV

    Ce chômeur qui ne payait plus ses factures est mort quelques heures seulement après le blocage de son compteur.


    Un homme âgé de 54 ans a péri dans l'incendie de son appartement, à Orléans. Une bougie mal éteinte serait à l'origine du drame survenu dans la nuit de mercredi à jeudi, nous apprend RTL.

    La victime, chômeur, vivait seule depuis 5 ans dans ce modeste appartement du centre-ville. Il ne payait plus ses loyers ni factures d'électricité depuis des mois, a indiqué la police.

    EDF avait d'ailleurs coupé l'électricité de son logement, quelques heures seulement avant l'incendie. L'homme avait allumé plusieurs bougies pour pouvoir s'éclairer...

    Le corps carbonisé par les flammes a été extrait des décombres jeudi matin.

    Le Post - 02/12/11

     

  • Plusieurs centaines de policiers manifestent à Marseille

     
     

    La Provence - Publié le vendredi 02 décembre 2011 à 14H25

     

    500 à 600 policiers (nationaux et municipaux) ont manifesté devant la préfecture en soutien à leur collègue qui est dans le coma.

    Photo Thierry Garro

    Plusieurs centaines de policiers ont manifesté  aujourd'hui devant la préfecture des Bouches-du-Rhône, à Marseille, pour soutenir leur collègue d'Aix-en-Provence grièvement blessé au cours d'une fusillade avec des cambrioleurs. Le policier, membre de la brigade anti-criminalité (BAC), a été blessé à la tête et à l'épaule de trois balles de kalachnikov. Il se trouve dans un état critique à l'hôpital Nord de Marseille.

    "L'appel à manifester est parti spontanément chez tous les policiers des Bouches-du-Rhône. Il s'agit d'exprimer notre solidarité avec notre collègue et sa famille, mais aussi notre ras-le-bol face à une délinquance de plus en plus violente", a déclaré Fabrice Hiller, secrétaire régional du syndicat SGP-Police. "Nous nous retrouvons face à des armes de guerre et à la folie de ceux qui les emploient comme si nous étions au Far West ou dans un jeu vidéo. A Marseille aujourd'hui, on retrouve l'usage de kalachnikov quasiment tous les jours. Là, c'est un policier qui est tombé, mais demain ce pourrait être une famille", estime-t-il.

    Les manifestants, tous membres des services de sécurité publique des Bouches-du-Rhône, étaient présents en civil et en dehors de leurs heures de service. "On est tous avec Eric. On est touché dans notre chair, il a été victime d'une tentative d'assassinat", a raconté un membre de la BAC d'Aix-en-Provence qui a tenu à rester anonyme. "Il s'est retrouvé face à un tireur embusqué qui a ouvert le feu avec une arme de guerre. C'est une scène de guérilla, aucun policier ne s'était jamais retrouvé dans cette situation en France", poursuit-il.

    L'équipage de la BAC dont faisait partie la victime avait pris en chasse dans la nuit de dimanche à lundi le véhicule de cambrioleurs qui avaient fracturé trois magasins alimentaires dans le département. Les cambrioleurs avaient alors ouvert le feu sur la voiture de police sur l'autoroute A7 à proximité de Vitrolles, abattant un de leurs complices par accident.

  • SIDA en France: 69% des couples hétérosexuels contaminés au VIH en 2010 sont nés à l'étranger

    Des données interprétées sous le titre suivant par la presse française : « L’épidémie de Sida stable en France »…
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    (…) Sur les quelque cinq millions de tests de dépistage réalisés en 2010, environ 10.800 ont révélé une contamination par le VIH et près de 6.300 personnes ont découvert leur séropositivité à cette occasion. Un nombre qui, après avoir diminué entre 2004 et 2007, semble s’être stabilisé depuis. Alors que les nouvelles contaminations par le VIH étaient estimées à environ 7.000 en 2008, ces chiffres signifient qu’ « on n’arrive pas à faire reculer le nombre de nouveaux cas », a déclaré Eric Fleutelot, directeur général adjoint de Sidaction. Mais, souligne-t-il, ils indiquent aussi qu’il n’y a « pas de généralisation de l’épidémie à toute la population ». Europe 1.

     
    Les 2 500 hétérosexuels nés à l’étranger représentent la majorité des découvertes chez les hétérosexuels (69%). Il s’agit essentiellement de personnes nées en Afrique subsaharienne (76%).

    Cliquer pour agrandir :

     La région Ile-de-France concentre 44% des nouveaux cas. Autre point noir en terme de nouvelles infections, la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane représentent 9% du total des nouveaux cas. Le Point.fr

    Les personnes contaminées par rapports hétérosexuels

    En 2010, ce sont 3 600 personnes contaminées par rapports hétérosexuels qui Lire la suite…

    DéFrancisation - 02/12/11

  • Le Sénat rejette le budget immigration, asile et intégration 2012 le jugeant insuffisant...

    Le budget consacré à l’immigration ne connaît ni la crise, ni la rigueur…

    Le Sénat, à majorité gauche, a rejeté le budget immigration et asile 2012

    Le Sénat a rejeté vendredi les crédits consacrés à l’immigration et à l’asile dans le projet de budget 2012, la gauche éreintant le ministre de l’Intérieur Claude Guéant qui a rappelé son objectif de limiter l’immigration légale et de réformer le droit d’asile

    Dans le projet de budget, la mission immigration, asile et intégration voyait ses crédits augmenter de 12,1 % en autorisations d’engagement, pour atteindre 561 millions, et de 12,6 % en crédits de paiement, pour 632 millions d’euros.

     
    La sénatrice Esther Benbassa n’a pas hésité à rappeler les années 30.

    Plusieurs intervenants ont parlé de «dotation insuffisante» faisant remarquer qu’au cours des dernières années les crédits réellement consommés ont dépassé les prévisions.

     

    La sénatrice Esther Benbassa (EELV) a évoqué les années 30

    Après avoir observé que le budget consacre 85 millions d’euros pour la lutte contre l’immigration clandestine et 41 millions pour l’intégration, la sénatrice Esther Benbassa (EELV), a dénoncé «l’acharnement du gouvernement à faire primer les expulsions sur le « vivre ensemble »».
    «Faute d’un projet crédible de lutte contre le chômage, les inégalités et la crise, vous avez opté pour la voie dangereuse d’une idéologie anti-étrangers, anti-immigrés, anti-arabe et antimusulmane distillée jour après jour», a accusé la sénatrice qui n’a pas hésité à rappeler les années 30.

    «C’était aussi une époque de crise, le lendemain d’un krach dévastateur. Le bouc émissaire, alors, était le Juif. Chacun sait comment cette histoire s’est terminée. La comparaison, c’est vrai, a ses limites. Et l’histoire ne se répète pas, certes. Mais les comportements xénophobes, eux, oui. On ne joue jamais impunément avec le feu», a-t-elle mis en garde.

    Source : Libération

    Défrancisation - 02/12/11

  • La "gouvernance" contre la démocratie

    L’ordre politique européen s’est forgé au cours de l’histoire autour de différents principes que l’on nomme aujourd’hui « démocratie » pour faire court, mais qui sont en réalité beaucoup plus anciens :
    - le respect de la souveraineté des Etats et aussi de la personne des gouvernants, même en cas de guerre ;
    - le consentement des citoyens à la guerre ;
    - la définition d’un ordre judiciaire propre, découlant des législations adoptées par les citoyens et fondé progressivement sur l’égalité juridique des citoyens ;
    - le consentement aux dépenses de l’exécutif, et par conséquent à l’impôt qui les finance, par ceux qui y sont soumis.

    Auteur : Michel Geoffroy - le 30 Novembre 2011

    Polémia

  • Louis Aliot et Gilbert Collard interviennent dans "Histoire immédiate" au sujet de l'ascension du Front National


    Histoire immédiate - débat avec Louis Aliot et... par nationspresse

    A la suite d’un documentaire diffusé sur France 3 à 20h30, le 30 novembre 2011, au sujet l’ascension du Front National, Louis Aliot, vice-président du Front National en charge du Projet et Directeur opérationnel de la campagne de Marine Le Pen en charge du Pôle Rassemblement national, et Maître Gilbert Collard, président du Comité de soutien pour la campagne de Marine Le Pen, étaient les invités de l’émission / débat « Histoire immédiate » présentée par Samuel Étienne.

    02/12/11

  • Quel est le nom de cette ville ?

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    (Cliquez sur la photo)

  • Discours de Toulon II - Sarkozy joue sur la "peur" et plaide pour un nouveau traité européen

    Lire l'article : http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/candidats/discours-de-toulon-sarkozy-plaide-pour-un-nouveau-traite-europeen-01-12-2011-1747765.php

    + Discours intégral  et vidéo

    01/12/11

  • La Norvège refuse de collaborer avec Israël

     

    La revue technique «Teknisk ukeblad» rapporte que la Norvège a rejeté une demande d'Israël d'envoyer une mission d'étude dans le pays pour se renseigner sur le modèle de développement du secteur pétrolier norvégien:
     
    «Après la découverte de grandes quantités de gaz en mer au large d'Israël l'année dernière, le pays est désireux de développer son industrie des hydrocarbures. Au début de l'année, l'ambassade d'Israël à Oslo a demandé la permission du gouvernement norvégien d'envoyer une délégation en Norvège pour étudier le modèle norvégien», relate le magazine. Le ministère des Affaires étrangères a refusé, évoquant la politique norvégienne concernant les zones maritimes dont la juridiction n'est «pas établie ou est controversée».
     
    Cette réponse du gouvernement norvégien a été fortement critiquée. Pour rappel, la Norvège collabore sans difficultés avec des pays comme le Soudan et le Turkmenistan.
     
     
    Source : Israel What (traduit par philosemitisme.fr)
     
     
    Le Crif  - 01/12/11