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Blog - Page 616

  • Sophie Montel (FN) vs Frédéric Barbier (PS) sur France 3 Franche-Comté

    http://www.frontnational.com/videos/sophie-montel-sur-france-3-franche-comte-3/

  • Le petit tram de Stuttgart

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    Le cochon-tram passe devant le Musée du cochon de Stuttgart!

  • Une lettre à Pôle emploi

    Madame, Monsieur

     


     Je me permets de contester modestement ma radiation de la liste des demandeurs d'emploi, j'ai refusé plusieurs emplois je le concède mais j'ai des excuses qui me semblent acceptables.
      La première offre ne correspondait pas à mon profil, la deuxième était rémunérée très au-deçà de ce que je suis en droit d'attendre, toujours en fonction de mon profil, venons en à cette troisième proposition, certes le salaire est conforme à mon attente, oui le poste correspond à mon profil, mais j'ai refusé et voici ce qui a motivé ce refus :
      - Longtemps j'ai travaillé à Limoges... puis j'ai été limogé
      - On m'a vanté la mobilité et étant de bonne volonté, j'ai donc retrouvé un emploi à Vire... et j'ai été viré
     - Un miracle s'est produit, j'ai travaillé à Lourdes.... malheureusement j'ai été lourdé.....

    Vous comprendrez aisément pourquoi je refuse cette place que vous me proposez à Castres.

     

  • Le lycée musulman Averroès accusé de dérives islamistes

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    Une classe du lycée Averroès à Lille

    Un enseignant de l'établissement modèle lillois Averroès, sous contrat avec l'État, dénonce une laïcité flouée, un antisémitisme ambiant et une proximité avec l'idéologie des Frères musulmans..

    Un pavé dans la «vitrine» Averroès? La démission de Soufiane Zitouni, 47 ans, professeur de philosophie au lycée Averroès, annoncée au grand public par le biais d'une tribune de l'intéressé dans le journal Libération du 6 février porte un coup à l'établissement lillois modèle.

    Car ce lycée, portant le nom du philosophe musulman andalou du XIIe siècle, est le symbole de la synthèse réussie entre Islam et la République laïque. Il est le premier établissement musulman privé à avoir passé, en 2008, un contrat avec l'État (au même titre que les établissements catholiques, juifs et laïques privés).

    «Une façade», selon Soufiane Zitouni, qui dénonce une laïcité flouée, un antisémitisme ambiant, une élève évoquant même «la race juive maudite par Allah», et une proximité avec l'idéologie des Frères musulmans. Il explique ainsi n'avoir pu trouver un seul livre d'Averroès dans le centre de documentation de l'établissement, quand on y trouve en revanche des ouvrages des frères Ramadan. «Les responsables de ce lycée jouent un double jeu avec notre République laïque: d'un côté montrer patte blanche dans les médias (…) et ainsi continuer à profiter des gros avantages de son contrat avec l'État, et d'un autre côté, diffuser de manière sournoise et pernicieuse une conception de l'islam qui n'est autre que l'islamisme, c'est-à-dire, un mélange malsain et dangereux de religion et de politique», assène-t-il.

    «Les responsables de ce lycée jouent un double jeu avec notre République laïque.»

    Soufiane Zitouni

    Le 15 janvier, au lendemain des attentats, l'enseignant avait publié une première tribune dans Libération. «Ce Prophète caricaturé, insulté, moqué, mais surtout ignoré, est aussi Charlie, expliquait-il. Pourquoi tant de musulmans manquent aussi cruellement d'humour, de recul, de sérénité?»

    Aucune remarque alors du côté de la direction du lycée, qui opte pour la libre expression. Mais certains parmi les professeurs et élèves y voient un «blasphème». Jusqu'à cet échange avec «une élève récidiviste, raconte Soufiane Zitouni. Elle a expliqué en substance que les gens de Charlie n'étaient pas si innocents et les frères Kouachi pas si fous». Propos qu'il rapporte à la direction. «Ils m'ont expliqué que certains sujets étaient sensibles et m'ont invité à mettre de l'eau dans mon thé à la menthe…» sourit-il.

    «Accusations sans fondement»

    «Nous sommes profondément choqués. Il s'agit d'accusations sans fondement. Du bavardage.»

    Makhlouf Mamèche, directeur adjoint du lycée

    Du côté d'Averroès, c'est l'indignation. D'une même voix, les enseignants sous le choc se disent «salis». La direction a tenu hier une conférence de presse et annoncé son intention de porter plainte pour diffamation contre l'enseignant démissionnaire. «Nous sommes profondément choqués. Il s'agit d'accusations sans fondement. Du bavardage», s'insurge Makhlouf Mamèche, directeur adjoint du lycée, en charge de l'enseignement privé à l'Union des organisations islamistes de France (UOIF). Ce dernier est par ailleurs président de la toute jeune Fédération nationale de l'enseignement musulman (Fnem), qui recense deux établissements sous contrat (Averroès et le groupe scolaire al-Kindi à Lyon) et une trentaine d'autres hors contrat (3 000 élèves au total). La Fnem a été créée en mars 2014, en partenariat avec l'UOIF, laquelle est présidée par Amar Lasfar, recteur de la mosquée de Lille-Sud. «L'enseignement musulman en France va prouver qu'il peut former dans l'espace public des citoyens éclairés et responsables, des femmes et des hommes qui ont réussi leurs vies sociales et professionnelles et, dans la sphère privée, de bons musulmans», expliquait à l'époque Makhlouf Mamèche. L'affaire Averroès ne risque-t-elle pas d'éclabousser la fédération? Dans le cadre de la grande mobilisation de l'école pour les valeurs de la République, celle-ci était reçue pour la première fois rue de Grenelle par Najat Vallaud-Belkacem, au lendemain des attentats. Pour l'heure, le rectorat a annoncé qu'il avait demandé, «en accord avec le directeur de l'établissement», la mise en place d'une «mission d'inspection afin de vérifier le respect des termes du contrat d'association signé avec l'État». Dans le cadre de ce contrat, conformément à la loi Debré, le lycée est déjà régulièrement visité. Il se doit de suivre les programmes scolaires, en échange de quoi les salaires des enseignants sont financés. Et son «caractère propre» - tout ce qui relève de la «vie scolaire» - respecté.

    C'est en dehors des cours qu'un des responsables du lycée, lors d'un discours de remise des diplômes 2014, aurait expliqué «en présence de mécènes du Qatar» qu'«un jour, il y aura aussi des filles voilées dans les écoles publiques françaises», raconte encore Soufiane Zitouni. L'enseignant d'origine algérienne, né à Roanne, a passé une vingtaine d'années dans des établissements catholiques sous contrat, avant de rejoindre Averroès en septembre dernier. En prélude à toute discussion, il explique qu'il se réclame du soufisme, ce courant mystique de l'islam qui met l'accent sur l'expérience intérieure. Il estime que les professeurs d'éthique ou de culture islamique du lycée enseignent un dogme.

    Par le biais d'une autre tribune publiée sur le site L'Obs Le plus, le 20 janvier», Sofiane Meziani, l'un de ces professeurs d'éthique, a répondu à Soufiane Zitouni. «Le prophète, contrairement aux justifications de mon collègue, n'aurait accordé aucun crédit, ni aucune attention à l'humour de «Charlie Hebdo. (…) Charlie cultive l'abject ; le prophète, lui célébrait le beau»

    En arrêt-maladie depuis 15 jours, le professeur de philosophie a écrit à Najat Vallaud-Belkacem le 30 janvier. Il espère une nouvelle affectation. Sereinement. «Les soufis ne craignent que Dieu».

    LE FIGARO

     

  • Vaucluse : Imed Rezgui, le violeur de Séguret, écope de 30 ans de réclusion

    15h52

    La cour d’assises a retenu hier la volonté homicide d’Imed Rezgui. Hier, au second jour de son procès pour viol et tentative de meurtre, le 15 octobre 2012 à Séguret, sa jeune victime, 17 ans au moment des faits, a été appelée à la barre pour se lancer dans le plus bouleversant des récits.

     

    « Je me souviens juste qu’il a pris un coussin, qu’il l’a mis sur mon visage. Je me débattais, j’essayais de me tourner vers la gauche pour respirer. Je savais que j’allais mourir. Voyant que j’arrivais à résister, il a enlevé le coussin, il a mis ses mains autour de mon cou… Puis mes bras, mes mains ne répondaient plus. Là, je me suis dit : « c’est comme ça que je vais mourir. Rezgui, il m’a volé mon insouciance, une part de ma jeunesse. Mais ce qu’il ne m’a pas volé, c’est cette force qui est en moi, et qui est éternelle. Je suis là pour dénoncer ce meurtrier, ce prédateur sexuel… cette barbarie ».

    Source

    Merci à Lilib

    FDS

  • Pour la députée européenne Cécile Kyenge « L’Europe a besoin d’ouvrir davantage ses frontières »

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    21h16

    INTERWIEW / Cécile Kyenge n’est plus ministre de l’Intégration en Italie depuis février 2014. Mais elle n’a pas mis fin à son engagement politique. En tant que députée européenne, elle reste très impliquée dans les dossiers concernant l’asile et l’immigration. Elle garde également un œil avisé sur l’Afrique depuis le Parlement européen, où elle a reçu « Jeune Afrique ». (…)

    Plus offensive, la députée européenne se bat toujours afin que son continent d’adoption trouve une solution à l’afflux de migrants venus des pays du Sud. Au Parlement européen, elle s’est notamment fait l’ambassadrice d’une approche prenant en compte le sauvetage des centaines de milliers de personnes tentant d’accoster aux frontières de son continent d’adoption. (…)

     

    Quelque 200 000 migrants ont fait naufrage sur les côtes d’Italie en 2014. Face à ce phénomène, que peut faire l’Europe ?

    Cécile Kyenge : L’approche que l’Europe utilise aujourd’hui doit être rediscutée. Jusqu’à présent, elle était centrée sur le volet sécuritaire. Mais nous devons absolument prendre en compte la question du sauvetage de la vie humaine. C’est le sens de la résolution que le Parlement a votée en janvier. Le problème est également financier. Le projet Mare Nostrum, qui avait permis de sauver en mer environ 170 000 migrants, avait été mis en place par la seule Italie pour 9 millions d’euros par mois. Depuis le 1er novembre 2014, il a été remplacé par le programme Triton, qui n’investit que 3 millions d’euros, alors que 19 pays y participent.

    Est-ce uniquement un manque de moyens financiers ou l’Europe paie-t-elle également la faiblesse de sa politique étrangère commune ?
    (…) L’Union européenne doit également établir la capacité d’accueil de chaque État-membre par rapport à ses revenus.

    « La gauche ne doit pas avoir peur d’aborder les thèmes liés à l’immigration et la sécurité. Il faut ouvrir les frontières, ne pas remettre en cause l’espace Schengen et investir sur l’intégration. »

    Quelle réaction auriez-vous si les Français portaient le Front national au pouvoir en 2017 ?

    Ce serait terrible. Je crois que les Français vont tout faire pour que cela n’arrive pas mais Marine Le Pen est très rusée. Elle n’utilise pas le même langage que les responsables de la Ligue du Nord, en Italie, qui sont brutaux. Mais la base est toujours la même : « il faut fermer les frontières ». C’est là-dessus qu’il faut critiquer le projet du Front national et de tous les autres populismes.

    « Au contraire, l’Europe a besoin de les ouvrir encore plus du point de vue économique, démographique, social… Elle a évité le déclin démographique grâce à l’immigration. Une culture refermée sur soi-même est condamnée à l’extinction. »

    Marine Le Pen a déclaré récemment au Parlement européen que les filières d’immigration pourraient être infiltrées par des réseaux terroristes. Qu’en pensez-vous ?

    Cette analyse est vraiment de très bas niveau. Le danger n’est pas l’origine de la personne, c’est la violence, c’est la haine. Beaucoup de personnes en Europe n’ont jamais mis les pieds dans un pays étranger et se sont pourtant converties à la cause terroriste. (…)

    Vous étiez le dimanche 11 janvier à Paris pour la marche en soutien aux victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo. Pourquoi y avoir participé ?

    J’étais à Paris pour dire : « On ne peut pas utiliser la violence pour éliminer la liberté d’expression ». Ceci dit, je n’étais pas d’accord avec toutes les caricatures de Charlie Hebdo. Il y a des limites, là où commence le respect envers les autres. Si on veut construire une société où les diversités apprennent à se respecter et à vivre ensemble, il faut qu’on trouve une ligne rouge à ne pas dépasser. J’ai été très attaquée lorsque j’étais au gouvernement italien. Cela avait dérapé et j’avais essayé de lancer un débat sur les limites à ne pas franchir. C’est important qu’on puisse l’avoir aujourd’hui.

    Source

    FDS

  • 6 février 1934

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    Pour nous, nous n'avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d'une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu'importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n'empêchera pas ce qui a été d'avoir été."

    Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

     

  • Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n° 391

    Quel plaisir d'écouter Jean-Marie Le Pen !

  • Chute du patron de la PJ parisienne : on reparle de franc-maçonnerie

     

    « Suspecté d’avoir renseigné l’ancien patron du GIGN, Christian Prouteau, avant son interpellation dans une affaire d’escroquerie et de corruption, Bernard Petit tombe en compagnie de trois autres responsables policiers, connus pour leur affiliation à la Grande Loge nationale de France.

    Les « tuyaux » échangés entre frères trois-points, qui pénalement s’analysent en une « violation du secret de l’enquête et de l’instruction », scellent le destin de celui qui était l’un des flics les plus puissants de France, depuis un peu plus d’un an seulement. A 59 ans, la carrière de ce « grand professionnel », comme l’avait présenté Manuel Valls lors de sa nomination, s’achève dans l’inconfort du bureau d’un juge d’instruction. »

    Il avait débuté sa carrière comme inspecteur, et avait gravi les échelons (grâce au copinage maçonnique?), devant notamment en 2007 « le patron de la Division des relations internationale (DRI) de la police nationale, la nouvelle dénomination du SCTIP, le Service de coopération technique international de la police, une responsabilité traditionnellement attribué à un haut gradé franc-maçon. » [sic]
    Il devint ensuite n°3 de la PJ puis, « au terme d’une lutte de pouvoir sans merci au sein des couloirs du ministre, Bernard Petit est choisi en décembre 2013 par Manuel Valls, alors à l’Intérieur [et lui-même franc-maçon – NDCI], pour remplacer le patron de la PJ parisienne, Christian Flaesch. Celui-ci, coupable (déjà !) d’avoir conseillé sous le manteau l’ancien ministre Brice Hortefeux, avant son audition par ses services dans l’affaire de l’éventuel financement libyen de Nicolas Sarkozy, venait d’être démis de ses fonctions. »

    Le journaliste du Nouvel Obs poursuit : « Chevelure impeccablement cranté, costume bien coupé, fines lunettes et voix douce, Bernard Petit, policier réputé de gauche, avait coiffé sur le poteau plusieurs concurrents moins bien introduits. Premier patron de la PJ parisienne qui n’était pas issu du sérail du « 36 », Petit pouvait également compter sur ses relations maçonniques pour s’imposer dans une maison où, selon les spécialistes, au moins un quart des officiers sont affiliés à une loge. »

    « Ses appuis politiques et fraternels l’avaient aidé à survivre à deux scandales retentissants ayant récemment ébranlés le « 36 » : d’abord une affaire de viol commis dans les locaux même du Quai des Orfèvres en avril 2014 et dans laquelle sont impliqués trois policiers de la PJ éméchés. Puis, cet été, la disparition de 52 kilos de cocaïne dans la salle des scellés de la Brigade des Stups. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, novice en matière de police, avait préféré rejeter la responsabilité de ces graves dérapages à des défaillances individuelles, protégeant ainsi Bernard Petit, réputé pour son zèle à appliquer les consignes de la Place Beauvau. »

    Mais « l’affaire des « tuyaux » transmis à Christian Prouteau, l’ancien chef des « gendarmes de l’Elysée » sous François Mitterrand, ne permet plus au ministre de temporiser. Avec la mise en cause concomitante de son fidèle adjoint Richard Atlan, que Petit avait recruté au temps de la Division des Relations Internationales (DRI), la PJ parisienne chère au Commissaire Maigret se retrouve temporairement orpheline. Et durablement déstabilisée. »

    Cela nous rappelle une affaire remontant à un an, lorsque le contrôleur général de la police Jean-Yves Adam a été mis en examen, le 7 février, pour « corruption, violation du secret professionnel, banqueroute et abus de biens sociaux  ». Rien que ça.
    Ayant débuté sa carrière aux renseignements généraux, il avait été notamment directeur du premier district de la Direction de la Sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) de la Préfecture de police de Paris (avec 2000 policiers sous ses ordres).
    Comme l‘avait indiqué l’Express (7 fév. 2014), « il a pu échapper aux poursuite judiciaires pendant plusieurs années grâce à ses « amitiés fraternelles » . Autrement dit, grâce à des complicités nouées avec des policiers franc-maçons. »

    On se remémore aussi ce que Jacques Ravenne et Éric Giacometti, deux écrivains francs-maçons, déclaraient dans une interview à La Dépêche en novembre 2013 :

    « il y a beaucoup de policiers francs-maçons.
    On dit que 75 % des hauts fonctionnaires de la place Bauveau sont maçons
    .
      »

  • François Hollande essaie de s'exprimer, mais personne ne comprend...

     

    François Hollande au naturel, sans discours préparé, sans oreillette et sans prompteur, ça donne une phrase incompréhensible !

    Contre-info.com - 06 02 15

  • Une journée du voile islamique dans les rues de Lyon !

     

     

     

    06/02/2015 – LYON (NOVOpress)
    La journée World Hijab Day, une initiative d’origine new-yorkaise, s’est notamment développé depuis 3 ans dans les pays anglo-saxons. Il s’agit pour les musulmans de “sensibiliser” la population sur la question du voile islamique.

    Cette année, dans les rues de Lyon, des femmes voilées ont ainsi proposé à des femmes non-musulmanes de porter le hijab. Cette initiative intervient quelques jours après la distribution gratuite de coran par des salafistes dans les rues parisiennes.

    Il fallait refuser fermement!

  • Procès du Carlton: le témoignage qui pourrait innocenter DSK

    http://www.leparisien.fr/dsk-la-chute/video-proces-du-carlton-le-temoignage-qui-pourrait-innocenter-dsk-06-02-2015-4511629.php

    + VIDEO

    De toute manière, il ne peut pas être coupable!

  • L'INTERVIEW CHOC D'ERIC ZEMMOUR DANS LA REVUE ELÉMENTS

     

    L'INTERVIEW CHOC D'ERIC ZEMMOUR DANS LA REVUE ELÉMENTS -

     



    Bruno Guillard*
    le 04/02/2015
    Aujourd’hui Eléments est l’une des plus anciennes revues d’idées d’expression française. Elle paraît sans interruption depuis près de 40 ans. Cette revue s’est donnée pour objectif, selon ses propres termes, «d’interroger, numéro après numéro, l’histoire et les arts, de mettre en perspective les recherches scientifiques et les travaux des philosophes, d’analyser les mouvements d’idées et d’offrir une tribune à tous ceux dont le travail contribue à identifier, raffermir et faire croître les racines d’un futur européen qui est notre passion commune.»

    Dans sa dernière livraison (numéro 154 – Janvier/Mars 2015), dont on conseillera vivement la lecture à tous ceux qui s’intéressent au mouvement des idées, on pourra lire, outre les rubriques habituelles, un remarquable article d’Alain de Benoist consacré « au grand bouleversement contemporain des idées », un article de Fabrice Valclérieux consacré au philosophe Michel Onfray, un autre de Pierre Bérard (« L’Ukraine, la Russie, l’Occident et le destin de l’Europe »), un très bel interview de l’écrivain breton Philippe Le Guillou et enfin la réponse de Charles Robin à Charles de Négroni concernant la notion de « décence commune » (Georges Orwell).

    Mais c’est bien sûr l’exceptionnel interview qu’Eric Zemmour a accordé à Alain de Benoist qui retient l’attention. A des années lumières de la superficialité de ceux réalisés par les journalistes des médias du Système, celui publié par Eléments va au fonds des choses.

    Zemmour : « Marx a fait une analyse brillantissime et prophétique du capitalisme » 

    Ainsi, par exemple, quand l’auteur du Suicide français affirme : « Marx a fait une analyse brillantissime et prophétique du capitalisme, qui se mondialise et qui détruit toutes les structures traditionnelles en se déployant. Il n’y a rien à enlever. Comme tous les lettrés de cette époque, Marx avait de surcroît le sens du style et de la formule quand il dénonçait les « eaux glacées du calcul égoïste ». Il ne faut pas faire l’impasse sur Charles Maurras. Il est intéressant en tant que critique de son temps, de la Troisième République, aboulique, ingouvernée et ingouvernable. Le général de Gaulle lui doit énormément, notamment son analyse de la France seule, qui marque à mon sens  la dernière partie de son mandat présidentiel. Effectivement, les enjeux d’aujourd’hui renvoient davantage à Marx qu’à Maurras, même si la question de la souveraineté nationale reste essentielle, mais dans un contexte radicalement différent. Le clivage droite-gauche s’étant littéralement évaporé au contact de la mondialisation, nous revenons au clivage de la place et du balcon, qui était celui des petites cités et des villes italiennes avant l’instauration du clivage droite-gauche issu de la Révolution française. La nouveauté, c’est que les citoyens qui occupent la place ne peuvent en aucun cas prétendre accéder au balcon. Le dit  balcon étant désormais à New-York, Singapour ou Shanghai. Comme le milliardaire américain Warren Buffet a eu la franchise de le dire, je pense que nous sommes en train de vivre une nouvelle lutte des classes, car évidemment elle existe bel et bien, et les riches sont en train de la gagner. La situation est d’autant plus alarmante que la France cumule une lutte des classes économique avec une lutte ethnique sur son sol. Cette division géographique entre immigrés de fraîche date, immigrés plus anciens et Français de souche est la conséquence d’une séparation culturelle, voire civilisationnelle à l’intérieur de nos frontières. Les deux conflits s’imbriquent et le rendent explosif ».

    Lutte de classes et lutte ethnique 

    Cette analyse est extrêmement importante parce qu’elle inscrit la problématique actuelle dans une perspective inattendue, celle d’une lutte ethnique doublée d’une lutte des classes dans laquelle s’affrontent la « Nouvelle Classe » mondiale et les peuples qu’elle domine économiquement et politiquement. Cette «Nouvelle Classe» qui martyrise les peuples a renoncé à toute nationalité et à toute appartenance ; elle est devenue étrangère aux peuples dont ses membres sont issus. Notons que la lutte ethnique est une conséquence de l’immigration de masse qui est organisée par la «Nouvelle Classe» (pour faire baisser les salaires et pour satisfaire son idéologie du métissage). Lutte ethnique et lutte des classes sont donc de ce fait intimement liées ; c’est ce que Mélenchon et ses épigones ne veulent pas comprendre, tout comme les « libéraux-conservateurs » d’ailleurs. Ces derniers ne voient que la lutte ethnique tandis que Mélenchon ne voit que la lutte de classes. Seul le discours du Front national est perçu par les électeurs comme intégrant le fait que ces deux luttes vont de pair, ce qui explique sans doute la raison de son succès.

    Vous avez dit droitisation ? 

    Pour les médias de l’oligarchie la « zemmourisation des esprits » est l’autre nom de la « droitisation » de notre pays. Le problème c’est que le concept de « droite » est aujourd’hui synonyme de « droite libérale » et que le libéralisme n’est pas seulement de droite mais aussi de gauche. Comme l’a bien montré Michéa, le libéralisme de « droite » et le libéralisme de « gauche » sont complémentaires et indissociables (de ce point de vue, les médias de « gauche » et les « libéraux-conservateurs » commettent la même erreur en voyant une opposition droite/gauche là où il n’y a qu’une continuité libérale).

    Ce n’est pas à une « droitisation » que nous assistons mais à une sécession à l’égard des élites oligarchiques libérales auxquelles une grande majorité des peuples européens reprochent à la fois l’inféodation aux puissances d’argent et une politique de destruction de leurs cadres culturels de vie traditionnels. Comme l’a bien exprimé le philosophe Vincent Coussedière, le populisme du peuple (qui est souvent très différent de celui des partis dits populistes) est fondamentalement une réaction visant à la conservation de la sociabilité et de la culture populaires lesquelles sont menacées par la politique menée par l’oligarchie libérale mondialisée en même temps que sont menacés les salaires, les emplois et les systèmes de protection sociale sur fond d’insécurité culturelle laquelle est une conséquence de l’immigration.

    L’obsolescence du clivage droite/gauche est de plus en plus évidente et Eric Zemmour a raison de penser que nous allons assister à la cristallisation d’un bloc libéral UMPS qui fera face au Front National (c’est la dernière solution dont les libéraux disposent pour se maintenir provisoirement au pouvoir). Cette évolution très probable concrétisera la nouvelle ligne de fracture idéologique qui sépare les patriotes (ceux qui pensent l’humanité en termes de différences et d’enracinement) des mondialistes (ceux qui la pensent en termes d’unification généralisée et de nomadisme). Cette ligne de fracture traverse les sociétés européennes mais elle sépare aussi, au plan géopolitique, les états patriotes (Chine, Inde, Russie…) des états mondialistes (l’Occident inféodé aux Etats-Unis) et constitue le clivage essentiel du XXIème siècle lequel prend une tournure très conflictuelle en Ukraine.

    La défaite idéologique de la gauche

    Il est devenu évident pour une part croissante des élites de gauche que cette dernière a perdu le combat idéologique ; ainsi Jean-Christophe Cambadélis a dit que la gauche avait perdu ce combat depuis déjà dix ans ! Ce qu’il convient de préciser c’est qu’elle a perdu ce combat non pas parce que la droite ou les populistes l’auraient gagné mais parce que il est devenu évident pour une majorité de Français que le discours de la gauche est totalement déconnecté du réel et que son idéologie s’oppose profondément à ses intérêts et à ses valeurs. D’une façon générale, la droite n’a pas produit grand-chose au plan intellectuel depuis soixante ans ; la « droite libérale » s’est rapprochée naturellement de ses cousins libéraux libertaires de gauche (au grand dam des « libéraux-conservateurs » qui perdent pied) et les populistes n’ont rien produit de très consistant dans le domaine des idées (c’est leur très grande faiblesse).

    La dénonciation, par les populistes, des maux liés à l’immigration et aux errements libéraux de l’Union Européenne fait mouche, tout particulièrement chez les ouvriers et employés qui sont les perdants de la « mondialisation heureuse » ; mais il ne peut pas y avoir de victoire politique durable sans victoire décisive au plan culturel/philosophique et là, tout reste à faire ; au-delà des péripéties électorales, l’affirmation d’un nouveau corpus philosophique et culturel qui devra se substituer à celui des élites soixante-huitardes est une nécessité absolue. Eléments, qui est en première ligne depuis plus de quarante ans, occupe une place de choix au sein du mouvement de contestation de l’ordre libéral/libertaire.

    Eric Zemmour, Le suicide français, Editions Albin Michel, 544 pages, 22.90€

    Eléments n°154, Janvier-Mars 2016 : Eric Zemmour, accords et désaccords, spécial 96 pages, 5.95€

     
     
    METAMAG
  • Le procès DSK du Carlton de Lille : l'aspect maçonnique

     

    Toute la presse relaie le procès qui s'ouvre en ce moment, visant Dominique Strauss-Kahn et treize autres prévenus pour proxénétisme.

    Rappelons que dans leur décision du 19 décembre 2012, où ils confirment les mises en examen pour « proxénétisme aggravé commis en bande organisée », les magistrats de la Cour d’appel de Douai affirment au sujet de la franc-maçonnerie :

    "Celle-ci apparaît dès l’origine de la procédure être un des liens unissant plusieurs des protagonistes dont la plupart s’en sont d’ailleurs ouverts spontanément en le présentant comme un lien social parmi d’autres venant s’ajouter à celui de la police, de la politique ou du monde de l’entreprise."

    Les magistrats soulignent que c’est en raison des liens maçonniques existants entre eux qu’Eric Vanlerberghe [ancien policier devenu détective privé] avait informé André Orsini [chef de division à la sous-direction de l’information générale] de la mise en cause de René Kojfer dans une affaire de proxénétisme une quinzaine de jours avant que l’affaire ne sorte dans les journaux.

    Parmi les personnes mises en examen, 6 au moins sont francs-maçons. 4 appartiennent au Grand Orient de France :

    • René Kojfer, 70 ans, ex-chargé des relations publiques de l’hôtel Carlton ;
    • Francis Henrion, 46 ans, ancien directeur de l’établissement;
    • Emmanuel Riglaire, 44 ans, avocat ;
    • David Roquet, 44 ans, ex-cadre d’une filiale d’Eiffage (entreprise de travaux publics).

    Les trois premiers faisaient partie de la même loge lilloise (les Amis réunis), le quatrième étant affilié à la loge Thémis de Cambrai.

    Le commissaire divisionnaire Jean-Christophe Lagarde est membre de la Grande Loge de France.

    Fabrice Paszkowski, 45 ans, patron d’une entreprise du secteur paramédical, il fait partie de la Grande Loge traditionnelle et symbolique Opéra (GLTSO).

    Posté le 2 février 2015 à 15h35 par Michel Janva |

  • « Contre la barbarie, je n’entends pas la voix des musulmans s’élever… »

    Entretien avec  Prêtre Curé de Maaloula, Syrie

     
    Curé de  Maaloula, village chrétien martyr, le père Toufik est en France jusqu’au 12 février. Pour témoigner de la catastrophe actuellement en cours.

    Pouvez-vous nous raconter le drame qu’a vécu Maaloula ?

    Avant Noël 2012, l’armée syrienne s’est retirée du village. Maaloula est devenu une sorte de no man’s land entre les terroristes islamistes et les forces gouvernementales. En février 2013, pour la première fois, des gens de Maaloula ont commencé à manifester contre l’État. Ils étaient armés. Ils n’étaient pas encore franchement pro-islamistes même si on sentait quelle était leur motivation. Ils ont fini par prendre la partie haute du village où se situait le monastère dans lequel je suis également moine. Je n’y suis pas retourné. Et puis des personnes ont été enlevées, on basculait dans autre chose. Néanmoins, je percevais que, dans le camp terroriste, il n’y avait pas vraiment de chef.

    Comment a réagi la population ?

    Nous espérions une médiation, un retour au calme. Le leader des musulmans locaux (1/3 de la population, NDLR) a tenté de dialoguer avec les terroristes, mais ils n’ont rien voulu entendre. Le 4 septembre, ils ont attaqué, avec un kamikaze dans un pick-up, un barrage de l’armée à l’entrée de Maaloula. Plusieurs militaires ont été tués. Le lendemain, j’ai pris la décision de faire évacuer la population, mais les gens m’avaient devancé. Lors de l’attaque finale, trois de nos jeunes paroissiens, dont mon sacristain, ont été tués lors d’un affrontement avec les rebelles… Il a fallu attendre le mois d’avril pour que l’armée reprenne le village. C’est un combat purement idéologique, car Maaloula n’a pas d’intérêt stratégique ou militaire. Les islamistes ont clairement voulu détruire ce village symbole, où l’on parle encore l’araméen, la langue du Christ !

    Qu’avez-vous trouvé à votre retour au village ?

    Je suis revenu le 20 avril. C’était un village fantôme… Des ruines, une immense tristesse. Plus de 300 maisons avaient été détruites, incendiées. Quelques personnes se sont réinstallées dans les bâtiments habitables. Nous avons dû attendre plusieurs jours avant de reprendre le culte. Mais il a repris !

    Au vu de tous ces massacres répétés, y a-t-il un avenir pour les chrétiens en Orient ?

    C’est notre devoir de rester, de vivre même avec ceux qui nous tuent. Le Seigneur décidera. En Syrie, c’est particulier, car malgré notre statut minoritaire, nous n’avons jamais vécu avec un sentiment d’insécurité. À Maaloula, il n’y avait pas eu d’émeutes antichrétiennes depuis 1925, du temps de la révolte contre les Français. Je dois préciser qu’ici, il y a une forme avancée de citoyenneté. Mais il faut avouer que depuis quelques années, il y a un véritable changement, quelque chose de palpable, difficilement définissable dans le comportement des musulmans… Ils ont commencé à avoir de l’argent, beaucoup plus qu’avant. On ne sait pas d’où venait cet argent. Ils ont changé dans leur attitude. C’était étrange…

    Selon vous, la manipulation vient d’ailleurs ?

    Oui. Ce n’est clairement pas une révolution intérieure. Les terroristes ne proposent rien à part leur charia. Ce n’est pas un choix local, une puissance manipule de l’extérieur. Il y a un commandeur, dans l’ombre. C’est très complexe. Et puis je ne comprends pas la politique de la France. Elle est totalement paradoxale : au Mali, vous luttez contre les islamistes, chez nous, vous les armez. Les Syriens sont profondément déçus de cette attitude. Mais vous commencez à en payer les conséquences chez vous.

    Vous dites aussi être déçu de l’attitude des musulmans.

    Oui. Les bons musulmans sont incapables de dire à haute voix leur opposition à cette barbarie prolongée partout dans le monde. Ils laissent se propager le chaos. De mon côté, en tant que chrétien, j’estime que nous ne pouvons vivre bien que dans l’ordre et la discipline. Sans cela, ce qu’on appelle le « vivre ensemble » n’est qu’une chimère.

    Le père Toufik Eid fera une tournée de conférences en France afin de témoigner de la situation des chrétiens en Syrie.

    – 5 février à Toulon (20 h 00, cathédrale de Toulon)
    – 9 février à Lyon (20 h 00, restaurant Sainte Russie)
    – 10 février à Paris (20 h 00, paroisse Saint-Christophe-de-Javel)

    ALTERMEDIA

  • Florian Philippot sur RTL - 05 02 15


    Florian Philippot - RTL - 5 février 2015 par hurraken75

    Excellent, droit au but !

    Florian Premier ministre!