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Blog - Page 840

  • Le 8 février, manifestation nationale pour la dissolution du groupuscule FEMEN

     

    manifestation-8-fevrier

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, appelle à manifester samedi à 15h aux Invalides pour demander la dissolution des Femen. Il dénonce les méthodes de Manuel Valls :

    « Il faut bien comprendre la cynique et odieuse manipulation dialectique de M Valls et de la gauche. Le gouvernement est aux abois. Sa politique économique et sociale est un échec. La menace catastrophique se précise. Pressentant qu’ils ne resteraient sans doute pas longtemps au pouvoir, les ministres les plus idéologues de la déconstruction nihiliste de la personne humaine et de la société s’empressent d’imposer au pays des lois et mesures qu’ils espèrent irréversibles.

    Sous le vieux prétexte révolutionnaire d’émancipation de l’individu, tout doit être mis en œuvre pour le déraciner et le rendre en toutes choses dépendant de la collectivité, donc de l‘État. Et d’abord par la planification du « laisser naître » et donc des avortements, du « laisser mourir » et donc des euthanasies.

    À la pointe de la poursuite ultime de l’utopie socialiste dans la plénitude génocidaire de la famille, de la société, de la patrie, de l’humain, à la pointe de cette utopie égalitariste et broyeuse de toutes les réalités dans l’égalité de la mort sont les ministres Christiane Taubira, Najat Vallaud-Belkacem et Vincent Peillon, tandis que le ténébreux Manuel Valls se veut l’éradicateur de toutes les résistances du Vrai, du Beau, du bien, de l’homme réel, de la vérité et de la liberté.

    Il s’agit, comme dans les totalitarismes du nazisme, du communisme, comme dans toutes les vieilles utopies socialistes de tout soumettre à l’État dévoreur et d’abord le sort et l’éducation des enfants. Pour cela, il faut briser la famille, il faut selon l’expression des grands ancêtres rousseauistes, jacobins et marxistes, nazis, faire de l’école « une machine à régénérer l’espèce humaine ». Il faut que l’homme et non le Dieu créateur décide de la vie… et surtout de la mort.

    Pour briser les résistances, tout est bon et notamment les plus vieilles et grossières ficelles de l’amalgame, des provocations suscitées, des manipulations dialectiques.

    La manœuvre stratégique tient en quelques mots aussi brefs qu’une répudiation prononcée par François Hollande : marteler que sont d’extrême-droite, que sont fascistes, racistes, antisémites (etc, etc…) les réactions de santé sociale et de liberté, des personnes, des familles, du pays réel, du pays libre.

    Pour cela bien sûr, le ministère de l’Intérieur et les officines de propagande médiatique disposent toujours de quelques groupuscules d’extrémistes, d’imbéciles antisémites, de crétins racistes, bien utiles pour la manipulation dialectique. Mais surtout, au besoin, et autant qu’il le faut, on en sécrète, on en forme, on en invente.

    L’AGRIF lutte contre le racisme anti-français (que les Français soient blancs, jaunes, ou noirs, arabes ou juifs). Elle lutte particulièrement contre le racisme qui n’a cessé de croître, encouragé par les idéologues et les médias de la gauche : le racisme de haine anti-chrétienne. Mais aujourd’hui elle se bat contre le déni d’humanité, le déni véritable de la dignité humaine que diffusent les idéologues et leurs propagandistes. Elle lutte contre le racisme anti-humain du nihilisme socialiste. Les Femen en sont une sorte de section d’assaut, jusqu’ici encouragée, financée, protégée.

    Et cela demeure. Même si au gouvernement on est bien obligé de désavouer leurs excès de forcenées, ce que Manuel Valls a appelé en des mots révélateurs « des provocations inutiles » (sic !). Mais on se garde bien de procéder à leur dissolution. Car elles sont comme la quintessence activiste et idéologique de la stratégie de haine anti-chrétienne du pouvoir, et des relais médiatiques de toute la gauche socialo-communiste et pseudo-écologique avec Caroline Fourest et Fiammetta Venner pour locomotives.

    Sans doute, la plupart, hallucinées, conditionnées, manipulées, sont-elles à plaindre. L’AGRIF les combat avec force mais sans haine. La dissolution de leur groupuscule les libèrera peut-être. C’est une exigence de paix civile et de respect pour les chrétiens et tous les Français attachés au respect de leurs compatriotes et des monuments du culte catholique.

    Après des dizaines de milliers de signatures des pétitions qui l’exigent seule une immense manifestation l’imposera. On y démontera le mécanisme de la corruption de la République en « république femhaine ». Paisiblement mais vigoureusement et joyeusement. »

    ALTERMEDIA

  • Amendement introduisant la théorie du genre à l'école élémentaire

    « Cet amendement a pour objet l’intégration dans la formation dispensée dans les écoles élémentaires d’une éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la déconstruction des stéréotypes sexués. Il s’agit de substituer à des catégories telles que le « sexe » ou la « différence sexuelle », qui renvoient à la biologie, le concept de « genre », qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites ».

    Source: Le Salon Beige

    ALTERMEDIA

     

  • Famille: la reculade du gouvernement


    Manuel Valls : "Le gouvernement s'opposera à... par rtl-fr

    Par Isabelle Ficek | 03/02 | 17:03 | mis à jour le 04/02 à 08:49  

       

    L’exécutif a exclu lundi tout amendement parlementaire introduisant la PMA. Il a ensuite annoncé que le projet de loi ne serait pas examiné cette année. « Nous ne repoussons aucunement le projet de loi à l’aune de la manifestation », mais parce qu’il n’était « pas prêt », a assuré Najat Vallaud-Belkacem mardi matin.

     

    « Que les choses soient claires: nous ne repoussons aucunement le projet de loi à l’aune de la manifestation. Nous repoussons l’examen de ce projet de loi parce que de fait, il n’est pas prêt », a dit mardi matin mardi la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.

    « L’hystérisation autour de ce projet de loi, notamment du fait de la Manif pour tous qui s’est appuyée sur des fantasmes, des peurs imaginaires pour hystériser le débat, est préoccupante et problématique et nous ne voulons pas que ce projet de loi prospère dans ce type de conditions. Nous voulons au contraire qu’il soit discuté dans la sérénité, dans la concertation », a-t-elle poursuivi, sur France 2.

    « Ce projet de loi famille sera bien examiné, il sera examiné sur les sujets dont nous avons toujours dit qu’ils en seraient la composante essentielle », a-t-elle ajouté, en citant « l’adoption », les « tiers et en particulier les beaux-parents », « la protection de l’enfance », des thèmes qui « méritent quand même autre chose que la série de fantasmes à laquelle nous avons eu droit ce dimanche », selon Mme Vallaud-Belkacem.

    Cela ressemble pourtant à un enterrement de première classe. Même si, au sein de l’exécutif, on s’efforce d’en banaliser l’annonce officielle. Et on tente, non sans quelques circonvolutions, de ne pas lier ces funérailles à la mobilisation obtenue dimanche par la Manif pour tous contre ce qu’elle a appelé la « familiphobie » du gouvernement.

    En fin d’après-midi lundi, Matignon a fini par annoncer que le projet de loi sur la famille , qui devait être présenté en Conseil des ministres en avril, ne serait finalement pas examiné en 2014. Officiellement en raison des « travaux préparatoires qui doivent se poursuivre » et d’un « calendrier parlementaire déjà dense ».

    Sans aucun doute, aussi, pour repousser aux calendes grecques – et en tout cas après les municipales, les européennes et les sénatoriales – des débats qui non seulement divisent les Français mais également la majorité.

    Lundi matin déjà, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, avait assuré sur RTL que le gouvernement s’opposerait à des amendements parlementaires à la loi famille sur la GPA (gestation pour autrui). Une légalisation à laquelle François Hollande avait déjà fermé la porte mais qui demeure une crainte pour la Manif pour tous.

    Il avait aussi affirmé que le gouvernement refuserait tout amendement sur la PMA (procréation médicalement assistée). Un refus qui n’avait jamais été énoncé aussi clairement, même si, relève un ministre, « François Hollande n’a jamais été très fan de ces sujets et a même eu le sentiment pendant la campagne d’avoir été piégé par une partie du PS ».

    « La PMA était déjà morte »

    Si Jean-Marc Ayrault avait écrit sur Twitter en janvier 2013, que « la PMA mérite un débat en tant que tel, c’est pourquoi elle figurera dans le projet de loi famille », François Hollande s’en était ensuite remis à l’avis du Comité consultatif national d’éthique, sans cesse reporté. « La PMA était déjà morte, la différence, c’est qu’on le dit », abonde un député PS.

    Ce refus de tout amendement introduisant la PMA a provoqué le mécontentement du président du groupe PS à l’Assemblée Bruno Le Roux, très engagé sur ce dossier. « Il en avait même fait un élément de son autorité sur le groupe », observe un député socialiste. Bruno Le Roux misait, comme une partie des parlementaires PS, sur le projet de loi famille pour porter la PMA.

    « Je ne renonce à aucune ouverture de nouveaux droits aujourd’hui dans notre pays », a-t-il lâché lundi matin sur Radio Classique. Avant de voir Matignon confirmer les propos de Manuel Valls et remiser le projet de loi famille tout en assurant « poursuivre les travaux ».

    Un report qui crée de nouvelles tensions à gauche et dans une majorité qui a déjà dû avaler le pacte de responsabilité. « Le vrai débat de fond sur la PMA, il faudra bien un jour que nous l’ayons dans la majorité », estime un député PS. « Ce renoncement est consternant », a tonné la secrétaire nationale des Verts, Emmanuelle Cosse. Quant au leader du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, il a appelé à des « élections punition », déplorant une « gauche trompée » par ce report.

    La présidente de la Manif pour tous, Ludivine de la Rochère, s’est en revanche empressée d’y voir « une victoire ». Et la droite, embarrassée par le mouvement, a retrouvé lundi de l’oxygène. « Le gouvernement est passé du cafouillage à la panique ! » s’est réjoui le patron des députés UMP à l’Assemblée Christian Jacob.

    VIDEO - Manuel Valls sur RTL : « Le gouvernement s'opposera à d'éventuels amendements visant à légaliser PMA et GPA »

    Les Echos.fr

     

  • Loi sur la famille: des parlementaires PS et Verts se rebiffent...

    http://www.leparisien.fr/politique/loi-sur-la-famille-des-parlementaires-ps-et-verts-se-rebiffent-04-02-2014-3558807.php

    Une reculade!

  • Des racailles s'en prennent à un jeune Français handicapé (vidéo)

    http://www.contre-info.com/des-racailles-sen-prennent-a-un-francais-handicape

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    Le genre de scène qui se déroule tous les jours, dans la « France d’après »…

  • La piéride du chou

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  • Nicolas Sarkozy : «Je ne peux pas ne pas revenir, c'est une fatalité» - 11 12 13

    Nicolas Sarkozy, en mars dernier. Crédits photo : Virginia Mayo/ASSOCIATED PRESS

    Selon l'hebdomadaire Le Point, l'ex-président perçoit son retour comme une «fatalité» et ne se prive pas pour critiquer son propre camp. Son entourage dément.

     

    L'ancien président de la République ne fait semble-t-il plus mystère de sa volonté de revenir dans l'arène politique. Dans son édition datée de jeudi, Le Point reprend les mots que Nicolas Sarkozy prononce désormais ouvertement devant ses visiteurs: «La question n'est pas de savoir si je veux ou ne veux pas revenir. Je ne peux pas ne pas revenir. Je n'ai pas le choix. C'est une fatalité. Une fatalité». Un désir que l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin et l'ex-président du Sénat, Gérard Larcher, ont eux aussi cru percevoir quand ils lui ont rendu visite, dans ses bureaux du 77, rue de Mirosmesnil, à Paris. Même son de cloche chez son ancien ministre de l'Ecologie: «Il veut revenir, ce n'est plus une révélation», confie Jean-Louis Borloo à l'hebdomadaire.

    Ce n'est pas la première fois que les médias se font l'écho des spéculations sur l'ambition du prédécesseur de François Hollande. Selon un article d'Atlantico publié le 19 novembre dernier, Nicolas Sarkozy aurait confié à son ancienne équipe: «Les amis, la situation politique dépasse toutes nos espérances. J'espère que vous êtes prêts car d'ores et déjà, je vous le dis, c'est pour nous!». Quelques mois plus tôt, le magazine Valeurs actuelles reprenait lui-aussi les propos de l'ancien chef de l'Etat: «Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus “avez-vous envie?”, mais “aurez-vous le choix?” (…) Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie. Par devoir. Uniquement parce qu'il s'agit de la France.»

    Selon l'enquête du Point, Nicolas Sarkozy ne se priverait par ailleurs pas pour attribuer les bons et les mauvais point à ceux qui occupent le terrain, notamment dans son propre camp: François Fillon serait ainsi qualifié de «traître», Laurent Wauquiez d'«ingrat», Xavier Bertrand de «boudeur» et Jean-François Copé de «Harlem Désir de droite».

     

    Certains toutefois, comme Daniel Fasquelle, ne cachent pas leur enthousiasme: «Moi je suis plutôt heureux, et c'est le cas de beaucoup de Français et de députés, de savoir que Nicolas Sarkozy n'exclut pas la possibilité d'un retour», estime le député UMP cité par France Info. Selon un sondage Ifop pour Le Figaro Magazine, 71% des sympathisants UMP souhaitent en tout cas que Sarkozy soit le candidat du parti pour la prochaine présidentielle. «L'homme dérange encore mais je pense que l'image négative va finir par s'estomper et il apparaîtra réellement comme un recours», affirme pour sa part le député de la Manche Philippe Gosselin, interrogé par la radio.

    LE FIGARO

  • Le martyre d'un chaton: son tortionnaire, Farid Ghilas, condamné à un an ferme

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    Soigné pour une fracture à la SPA de Marseille

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/lancer-de-chat-le-tortionnaire-condamne-a-un-an-de-prison-ferme-03-02-2014-3555589.php

    «Il a agi avec une perversité particulière et un sadisme marqué qui a révulsé la planète entière (...) avec une absence de toute barrière morale et un sadisme froid», a dénoncé le procureur Emmanuel Merlin avant que le juge ne suive ses réquisitions.

     

     

     

  • Italie : Electrolux veut payer ses salariés 700 euros par mois

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    03/02/2014 – 18h00
    ROME (NOVOpress)
    – «Massacre salarial», «Traitement de choc à la polonaise», « Chantage indigne »… Telles sont les réactions suscitées en Italie par la proposition faite par Electrolux à ses salariés. La multinationale suédoise d’électroménagers a en effet proposé aux salariés de ses entreprises d’accepter une baisse de leur salaire pour éviter la fermeture pure et simple de leur usine.

    Pour s’aligner sur les salaires des ouvriers polonais, Electrolux envisage une baisse de 700 à 800 euros pour des salaires qui s’élèvent à peine à 1.400 euros. Suite à cette annonce, plusieurs sites de production sont en grève.

    Face à cette provocation qui pourrait créer un terrible précédent dans le monde du travail, les syndicats se sont mobilisés, ainsi que certains mouvement politique comme Casapound Italia, qui a tapissé le pays de banderoles (photo) rappelant que l’Italie n’était pas le Bangladesh et que personne ne pouvait vivre dignement avec des salaires aussi bas.

    Lire la suite

  • La cathédrale catholique des Stockholm profanée par les Femen

    http://www.christianophobie.fr/breves/stockholm-les-femen-interrompent-une-messe-dans-la-cathedrale-catholique

  • Communauté juive, "théorie du genre" et désinformation : Vincent Peillon se lâche en Israël

     

    INFO PANAMZA. Jeudi soir, le ministre de l’Éducation nationale a tenu des propos stupéfiants lors d’un entretien accordé à un média israélien. La preuve en images.

    Connaissez-vous i24news ? Cette nouvelle chaîne israélienne à vocation internationale a été fondée par un ancien cadre de France 24 (Frank Melloul) en tandem avec le propriétaire de Numericable (Patrick Drahi). Le média tout-info, décliné en trois langues (anglais, français, arabe) se présente explicitement comme l’adversaire d’Al Jazeera : il s’agit, pour ses responsables, de donner à voir une « meilleure image » d’Israël auprès de l’opinion publique.

    Jeudi 30 janvier, la chaîne recevait Vincent Peillon, le ministre de l’Éducation nationale en visite officielle dans la région.

    Curieusement, ses propos tenus hier n’ont été rapportés par aucun média français en dépit des nombreux liens, professionnels et amicaux, des cadres de la chaîne avec la caste journalistique parisienne.

    Panamza vient combler cette lacune en vous proposant de découvrir les extraits révélateurs de cet entretien.

      

    Trois éléments d’information inédits ressortent du passage de Vincent Peillon sur i24news :

    - Juifs de France : interrogé sur l’afflux de Français juifs en Israël, le ministre a exprimé une réponse étonnamment laconique. « La communauté française est appelée à s’élargir », a fait savoir Vincent Peillon. Même François Hollande, l’homme qui s’est déclaré « prêt à entonner un chant d’amour pour Israël et pour ses dirigeants », avait contredit Benyamin Netanyahu en octobre 2012 quand le Premier ministre avait encouragé les juifs de France à venir en Israël. Dans le cas de Vincent Peillon, aucun bémol : il ne déplore pas cette émigration et se contente simplement de la constater.

    - « Théorie du genre » : dans ce débat sociétal qui fait rage depuis la « Journée de retrait de l’école », le ministre a utilisé un mot singulier pour caractériser les établissements scolaires concernés. « Foyers d’infection » : telle est l’expression employée par le membre du gouvernement pour désigner ces écoles dans lesquelles des parents d’élèves ont retiré leur enfants.

    - Désinformation : de plus en plus décontracté au cours de cette interview complaisante, Vincent Peillon lâche presque une confidence inattendue, se félicitant d’« essayer de cacher aux médias » les nombreux incidents relatifs à des comportements présentés comme anti-républicains (parmi lesquels figurent nommément le geste de la quenelle et le départ d’apprentis djihadistes en Syrie).

    Lire la suite de l’article sur panamza.com

     

    À ne pas manquer, sur E&R :
    - « Vincent Peillon a-t-il favorisé le recrutement de sa fille à l’ambassade de France en Israël ? »
    - « Ligne Azur : quelle approche de la sexualité M. Peillon propose-t-il à nos enfants ? »

  • Affaire Merah : absence de coopération israélienne

     

    Les juges antiterroristes enquêtant sur l’affaire Merah n’ont reçu aucune réponse à la demande de coopération qu’ils ont adressée il y a plus d’un an à Israël, où le « tueur au scooter » s’était rendu, a indiqué aujourd’hui un avocat de la famille d’une victime.

    C’est « assez surprenant dans ce dossier parce on voit bien qu’il y a des relations très étroites entre les deux gouvernements à travers des commémorations », a estimé Me Olivier Morice à l’issue d’une rencontre avec les magistrats enquêtant sur les tueries de Toulouse et Montauban. « Nous espérons que le gouvernement israélien va répondre (...) parce qu’il est indispensable que les magistrats puissent être en possession de toutes les informations qui seraient susceptibles d’être à charge concernant Mohamed Merah mais aussi sa famille », a-t-il poursuivi.

    [...] L’avocat s’est en revanche félicité de l’accueil positif par les Etats-Unis de la commission rogatoire internationale qui leur a été adressée. « Il semble que les autorités américaines ont fait savoir qu’elles regardaient d’un oeil plutôt favorable cette demande de coopération notamment pour exploiter les mails de Mohamed Merah », a indiqué Me Morice.

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

    E&R

  • Les années 30 Monsieur Valls? Peut-être bien - Par Bruno Gollnisch

    allegorie de la france bis

    500 000 manifestants à Paris et 40 000 à Lyon (respectivement 80 000 et 20 000 selon les annonces opérées par les services de Manuel Valls): les défilés contre la «familiophobie» du gouvernement, et notamment la théorie du genre, l’ABCD de l’égalité, ont été un succès. Une mobilisation à laquelle se sont jointes de très nombreuses familles sympathisantes du FN (également des personnalités comme Marion Maréchal-Le Pen à Paris et le candidat frontiste FN/RBM à Lyon Christophe Boudot), s’inscrivant dans la droite ligne des précédentes contre la politique d’une majorité sous l’influence des extrémistes du lobby LGBT. Autant dire que nous n’avons pas été surpris par le sondage de l’institut BVA paru hier dans Le Parisien. Celui-ci indique que le très sectaire, dogmatique et virulent Vincent Peillon, est considéré comme un «mauvais ministre de l’Education» par 62% des personnes interrogées. Si comme le notait Gustave Le Bon, « l’éducation est l’art de faire passer le conscient dans l’inconscient», chacun conviendra que les menées éducatives de ce gouvernement sont une illustration de plus de la guerre culturelle, d’intoxication menée contre le peuple Français et ses valeurs. Ce sujet est tout sauf anodin ou secondaire.

    Ce raidissement des Français, nous y reviendrons, frappe de désarroi les partis du Système et la présence dans ces manifestions d’élus UMP courant derrière leurs électeurs ne doit pas nous faire oublier que les évolutions (involutions) que l’on constate sur les questions familiales et éducatives ont été préparées et mises en place par des ministres UMP; chacun se souvient notamment du calamiteux Luc Chatel.

    Marine Le Pen le relevait plus largement lors de son passage à Bordeaux cette fin de semaine, sur les terres de notre ami Jacques Colombier, «l’UMP va de posture en posture. Il est dans la contradiction permanente avec lui-même» et «passe sa vie à monter au créneau sur des sujets qu’il a pourtant soutenus et votés.»

    Alors bien sûr, les figures du PS ont tenté la contre–attaque en nous serinant un air bien connu selon lequel les opposants aux menées de la gauche sont forcément des abrutis, des fascistes, des ignorants ou des menteurs.

    Le ministre et porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a reproché aux partisans de la Manif pour tous leurs « revendications imaginaires»! Le ministre déléguée à la famille, Dominique Bertinotti, a estimé que «les manifestants sont l’expression d’une partie de cette France traditionaliste qui a voulu mobiliser sur la désinformation, les peurs, les rumeurs». Même son de cloche du patron du PS, Harlem Désir, qui a dénoncé « les manipulations et les mensonges sur lesquels une frange réactionnaire essaie de cimenter une opposition à la politique du gouvernement, avec le soutien irresponsable » d’élus UMP.

    Dans Les Echos, l’ éditorialiste Cécile Cornudet cite encore un «ministre de Bercy» qui juge «très inquiétant (que )la société se radicalise», tandis que l’ex garde des Sceaux PS Robert Badinter, fulmine devant l’incapacité qui a été celle de la gauche à se rassembler pour une « grande manifestation de protestation » après le Jour de colère de la semaine dernière. Notons au passage que le CRIF de Marseille, antenne présidée par Michèle Teboul, a bien tenté ce dimanche, avec le soutien de l’UMP et du PS, un rassemblement contre Dieudonné mais celui-ci a été un bide complet attirant péniblement quelques centaines de personnes.

    Dans le JDD, Manuel Valls analyse cette fronde des familles contre la politique gouvernementale comme « la constitution d’un Tea Party à la française». Une référence au mouvement, réactionnaire et droitier, qui a débordé l’aile droite du Parti républicain aux Etats-Unis, dont l’ampleur a surpris nombre de pontes de cette formation politique.

    Non ce n’est pas vrai, a répliqué Frigide Barjot , au motif que les manifestants de ce dimanche étaient… des « honnêtes gens» ! (sic). C’est « la majorité (qui) attise les divisions pour essayer de faire émerger à droite une espèce de Tea Party », a avancé le député sarkozyste Henri Guaino. Bref , «sans boussole, PS et UMP sortent les armes, s’accusent réciproquement du malaise ambiant ». « C’est toi qui y es ! », ironise encore Cécile Cornudet.

    Mais évoquer le Tea party n’est pas assez anxiogène et frappant pour les Français, aussi M. Valls, dans son entretien au JDD, va plus loin. «S’engouffrant dans la crise de projet et de leadership de la droite, et face au recentrage du Front National, analyse-t-il, une droite conservatrice et réactionnaire s’est libérées. Avec l’opposition au mariage pour tous, elle a décuplé ses forces. Elle occupe la rue car elle considère que la gauche au pouvoir n’est pas légitime Face à ce phénomène, la droite républicaine a donc une responsabilité : se démarquer clairement des mouvements qui n’acceptent pas la démocratie et les choix du Parlement. »

    Et le ministre d’évoquer  des « forces obscures » à l’oeuvre,  « une  fronde des anti : anti-élites, anti-Etat, anti-impôts, anti-Parlement, anti-journalistes… Mais aussi et surtout des antisémites, des racistes, des homophobes… Tout simplement des anti-républicains», jugeant le climat comparable avec celui des « années 1930 ».

    Alors Bruno Gollnisch tient à rassurer M Valls : les manifestants ne sont pas des factieux haineux voulant pendre les membres du gouvernement aux réverbères. Si la référence aux années 30 est légitime ce serait plutôt pour noter que ce gouvernement sous prozac et piloté par un obsolète et désastreux logiciel progressiste et euromondialiste, s’acharne surtout à désarmer notre pays face aux ravages de la mondialisation. Comme le gouvernement Blum aveuglé par son sectarisme, son pacifisme bêlant et criminel, fut très largement responsable de la chute de la troisième république et de la débâcle de 40.

    Ce gouvernement est à l’image d’une société française en pleine décadence et que les figures de la gauche ont tant contribué à façonner, celle que décrivait Philippe Murray. Soit « le tableau d’une humanité qui s’écroule sans fin, mais qui chante sa perte avec une énergie que nulle autre société avant elle, n’avait mise à chanter ses victoires. »

    Mais la réaction au déclin se fait plus forte au fur et à mesure que nous approchons de l’abîme, et c’est cette course contre la montre qu’il nous faut gagner. « Avec nous avant qu’il soit trop tard » reste bien une des slogans les plus pertinents du Front National. Bruno Gollnisch l’a souvent dit, la décadence morale est le plus grand danger qui menace l’existence même de notre pays, car c’est d’elle dont procède tout le reste.

    Le Lyonnais Alexis Carrel le disait autrement, «nous savons aujourd’hui que la vertu à un caractère obligatoire, car elle n’est pas autre chose que la soumission aux lois fondamentales de la vie. Et à ces lois l’homme ne peut se soustraire qu’en s’exposant lui-même, son pays et sa lignée, à la dégénérescence et à la mort»Réflexions sur la conduite de la vie »).

  • Proposition de loi sur l'article 68 : Béatrice Bourges met un terme à son jeûne

     Après une semaine sans manger :

    B"Je mets un terme à mon jeûne car nous avons obtenu aujourd'hui la réponse que j'attendais : une proposition de loi organique a été déposée ce matin pour rendre applicable l'article 68 de la Constitution qui prévoit la destitution du Président de la République.

    J'ai accompli d'abord un jeûne spirituel,  en tant que catholique. Ce jeûne était d'abord un témoignage de foi offert pour la France.

    J'ai aussi accompli un jeûne politique. Je souhaite aujourd'hui qu'il conduise les députés à prendre position. Ça s'adresse particulièrement aux députés de l'opposition qui critiquent le gouvernement mais ne font rien en réalité pour s'opposer à lui.

    Je leur adresse ce message : les élections sont maintenant dans quelques semaines. Soit ils sont pro gouvernement et ils ne signent pas cette proposition de loi ; soit ils sont contre le gouvernement, et ils signent la proposition de loi organique déposée aujourd'hui.

    Nous allons mettre tout en oeuvre pour qu'ils fassent le bon choix."

    La proposition de loi sera déposée par Jacques Bompard.

    A ceux qui l'ont soutenue, elle écrit :

    "Chers amis,

    0En ce lundi 3 février, j'ai la grande joie de vous annoncer la victoire obtenue grâce au soutien sans faille que vous m'avez témoigné. Une proposition de loi portant sur les règles d'application de l'article 68 de la Constitution a été déposée. Elle ouvre la voie à la réunion du parlement en Haute Cour de justice pour prononcer une possible destitution du Président de la République. Sans cette disposition législative, la Constitution restait, sur ce point, lettre morte. Dans une république comme la France, cette anomalie était un véritable déni de démocratie. J'ai accompli une petite partie du chemin. Je vous laisse poursuivre ce combat avec la certitude qu'ensembles, nous pouvons faire reculer le système mortifère qui cherche à étendre sur la France ses principes destructeurs : dissolution de la famille, destruction de la filiation, marchandisation des enfants, propagande idéologique à l'école, condamnation à mort des plus faibles, mais aussi abolition de notre souveraineté, ruine de notre économie, asservissement des contribuables, atteinte à nos libertés fondamentales...

    La voie est maintenant tracée : il faut à la France des élections anticipées ! Pour les obtenir, la destitution du Président de la République est notre arme institutionnelle. Je vous engage donc à faire pression sur vos députés pour qu'ils signent la proposition de loi organique qui a été déposée aujourd'hui à l'Assemblée. Rendez-vous sur le site www.destitution.fr et faites suivre à votre député la lettre type qui vous est proposée.

    Nous entamons aujourd'hui une nouvelle phase de notre combat : un véritable test de la volonté politique de nos députés de respecter la démocratie. Il ne doit pas y avoir échappatoire possible. La loi organique qui leur est proposée vient parachever les institutions de la Vème République, restée inachevée depuis 56 ans. Cette situation ne doit plus durer. Un député qui refuserait de soutenir cette proposition posera un acte anti-démocratique. Les électeurs jugeront.

    Chers amis, je veux aussi vous remercier tous. Je sais que parmi vous, plusieurs ont également adopté l'arme - pacifique par excellence - du jeûne pour la France. Ils poursuivent cette action non violente et déterminée qui a été la mienne pendant huit longues journées. Qu'ils soient tout spécialement remerciés. Ma gratitude va à la première d'entre eux : Josyane, ma compagne de jeûne depuis dimanche 26 janvier. Mes remerciements vont aux bienfaiteurs, donateurs et veilleurs qui m'ont procuré la sécurité matérielle dont j'avais besoin quand je passais mes journées dans la rue, face à l'Assemblée nationale. La victoire d'aujourd'hui démontre l'efficacité du jeûne, qui a désarmé la propagande adverse, qui a déjoué les tentatives de me faire taire ou de m'incarcérer. En vous confiant le relais du combat à mener, je ne déserte pas. Je vais juste reprendre mes forces. Et je vous donne rendez-vous très bientôt pour prolonger la lutte jusqu'au printemps que nous appelons sur la France."

    Place Edouard Herriot, Béatrice Bourges a été interrogée par la télévision polonaise (Polish Public Television) et par France Inter :

     

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    Jour de Colère, qui annonce des manifestations régionales, précise que cette proposition de loi organique portant sur l’application de l’article 68 de la Constitution a été́ déposée ce lundi 3 février sur le bureau de l’Assemblée.

    "Cette proposition de loi ouvre la voie à une possible saisine de la Haute Cour de justice par les parlementaires, en vue de déférer le Président de la République pour « manquements à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat ».

    La procédure de destitution du Président de la République est prévue par l’article 68 de la Constitution de 1958. Elle donne aux députés et aux sénateurs, réunis en Haute Cour de justice, la capacité́ de prononcer cette destitution. Toutefois, le texte de 1958 prévoyait que l’article 68 soit complété par une loi organique qui n’a jamais été votée depuis 56 ans. Cette situation incroyable pose de manière aigüe la question de la vie démocratique en France.

    [...] Il s’agit d’une victoire de la non violence et de la démocratie!"

    Michel Janva

    Le Salon  Beige  03 02 14

    NdB: "il faut à la France des élections anticipées !" : pour élire QUI ? Sarkozy ou Marine Le Pen ?

     

     

     

     

  • Dieudonné interdit de séjour en Angleterre !

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    LONDRES (Reuters) - L'humoriste français Dieudonné, qui entendait manifester son soutien au footballeur de West Bromwich Albion Nicolas Anelka, est interdit d'entrée au Royaume-Uni, a-t-on appris lundi auprès du ministère anglais de l'Intérieur.

    L'attaquant français de WBA fait l'objet de poursuites de la part de la Fédération anglaise de football pour avoir réalisé une "quenelle" sur le terrain, geste popularisé par Dieudonné et considéré comme antisémite par les autorités françaises.

    "Nous pouvons confirmer que Monsieur Dieudonné fait l'objet d'une interdiction de séjour", a déclaré un porte-parole du ministère anglais de l'Intérieur, le Home Office.

    Le ministère précise qu'il se réserve le droit d'exclure de son territoire tout individu pour raison de sécurité ou de politique publique.

    Anelka dément que sa "quenelle" soit "un signe nazi ou antisémite" et soutient avoir fait ce geste pour dédicacer à son "ami Dieudonné" un but marqué avec son club contre West Ham en match de Premier League.

    S'il est reconnu coupable d'avoir violé la règle de la Fifa qui interdit "les gestes insultants ou indécents sur les terrains de football", le joueur risque une suspension de cinq matches au minimum.

    Sous l'impulsion du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, plusieurs villes françaises ont interdit en janvier des représentations du spectacle "Le Mur" de Dieudonné, dont la teneur est jugée antisémite par les autorités.

    Le polémiste a finalement été autorisé à reprendre sa tournée après avoir renoncé à ce spectacle pour en présenter un autre consacré à l'Afrique...

    Andrew Osborn et William James, avec Marion Douet à Paris, édité par Sophie Louet

    Yahoo!Actualités  03 02 14

  • Limites et incohérence de la Manif pour tous : le cas Farida Belghoul

     

    « Certains fidèles lecteurs se sont demandés pourquoi nous n’avions pas organisé un direct permettant de suivre la « Manif pour Tous » à Paris et à Lyon ce dimanche. La raison est simple, nous voulions disposer du recul nécessaire pour traiter ce sujet délicat. « Délicat » ? Oui, parce qu’au-delà de l’euphorie qui règne chez certains dès que la foule est dans la rue, il faut analyser les faits et se poser quelques questions.

    Farida Belghoul indésirable selon Ludovine de La Rochère

    Initialement, les responsables de la Manif Pour Tous de Lyon avaient proposé à Farida Belghoul de prendre la parole ce dimanche. Mais la direction nationale de la LMPT a intimé l’ordre à son antenne lyonnaise de ne pas faire monter Farida Belghoul à la tribune. Déjà, la semaine dernière, invitée à la télévision, Ludovine de La Rochère avait désapprouvé l’initiative de Farida Belghoul et des Journées de retrait de l’école (JRE).

    Farida Belghoul a pourtant montré un joli courage pour mobiliser les parents contre la théorie du genre. Elle ne s’est pas limitée aux slogans, elle est parvenue à transposer la volonté en acte en entraînant quantité de parents derrière elle, au point d’obtenir jusqu’à 40% d’absentéisme dans certaines écoles selon les chiffres officiels.

    Avec ce résultat inespéré, suivi de la colère du gouvernement, Farida Belghoul n’a obtenu qu’un seul soutien franc, celui de Civitas, suivi de deux tweets intéressés de Christine Boutin.

    La Manif pour Tous et les musulmans

    La direction de la Manif Pour Tous n’a de cesse de répéter qu’elle est aconfessionnelle. Malgré l’évidence que les catholiques ont toujours prédominé parmi les marcheurs, ceux-ci sont priés de ne jamais s’afficher en tant que catholiques.

    Pour atténuer cette prédominance des catholiques, la Manif Pour Tous a depuis longtemps cherché à mettre en avant quelques musulmans. Au risque de basculer dans la plus totale incohérence avec la prétendue démarche aconfessionnelle revendiquée.

    Les manifestations d’hier n’ont pas fait exception et les comptes Twitter de la LMPT n’ont pas manqué de relayer avec enthousiasme des photos de manifestants ostensiblement musulmans.

    Au final, ces musulmans ne sont-ils pas simplement instrumentalisés par la Manif pour Tous ? Ils sont les bienvenus pour une simple question de tactique de communication envers les médias.

    Mais Farida Belghoul, la musulmane qui peut se targuer d’une réussite dans le combat mené pour la défense de la famille est, elle, interdite de prise de parole et priée d’aller voir ailleurs pour ne pas perturber le message lisse et aseptisé défini par les « communicants » de la LMPT.

    Banderole « Familles en Colère » prohibée

    La direction de la Manif pour Tous n’a pas manqué non plus de faire savoir qu’elle n’avait que mépris et horreur pour les partisans du Jour de Colère.

    Elle l’a démontré en interdisant l’une ou l’autre banderole « Familles en Colère » que quelques braves gens avaient apportées.

    Délit de faciès

    La direction de la Manif Pour Tous ne veut plus non plus des militants nationaux ou identitaires qui ont pourtant naguère constitué une grande partie de son service d’ordre. Au point de donner sa bénédiction aux arrestations préventives de manifestants « repérés ».

    Mise en avant de l’UMPS

    La direction de la Manif Pour Tous continue de n’accorder d’intérêt aux élus politiques que s’ils proviennent des partis qui alternent au pouvoir et qui, pourtant, portent une lourde responsabilité dans les lois et les projets de loi que l’on prétend combattre.

    Ambiance qui assure la stérilité de la mobilisation

    Au final, que retient-on de ces manifestations d’hier ? Certes, incontestablement, la Manif Pour Tous est encore capable de faire descendre des foules de bonne volonté dans la rue. Mais la direction de la Manif Pour Tous est aussi responsable de la neutralisation de ces foules. La manifestation ne devrait jamais être un but en soi mais un simple moyen en vue d’obtenir un agir chez ses participants. Or, la direction de la Manif Pour Tous semble au contraire vouloir conditionner la foule à se contenter de slogans et de parades aseptisées et stériles qui ne bénéficient qu’à la notoriété de quelques organisateurs et de quelques politiciens en étroite connivence avec les organisateurs.

    Tout ça pour ça ? »

    Lu sur media-presse

     

    Contre-info.com

     

  • Marseille : Farid le tortionnaire du chaton condamné à un an de prison ferme

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    Marseille / Publié le Lundi 03/02/2014 à 07H17 - mis à jour à 16H34
     

    Farid, le Marseillais de 24 ans qui a projeté un chaton contre un mur de la cité de la Maurelette (15e) et diffusé les images sur Internet, vient d'être condamné à un an de prison ferme

     

     Farid, le Marseillais de 24 ans qui a martyrisé Oscar, un chaton de 5 mois en le projetant contre un mur de la cité de la Maurelette (15e) et diffusé les images sur Internet, vient d'être condamné à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Marseille, conformément aux réquisitions. Il n'a par ailleurs plus le droit de détenir un animal.

    Il était jugé cet après-midi en comparution immédiate pour "actes de cruauté ou de maltraitance envers un animal", après deux nuits en prison, et risquait jusqu'à deux ans de prison et 30 000 euros d'amende.

    Au cours de l'audience, le prévenu, hébété, a regretté son geste cruel à plusieurs reprises sans toutefois parvenir à s'expliquer. Lors de la diffusion des deux vidéos choc, le prévenu a gardé les yeux au sol, écrasé par la honte et une centaine de regards réprobateurs.

    Le procureur Merlin avait insisté sur le fait que "les animaux n'étaient pas de vulgaires objets", qu'ils étaient des "êtres vivants dotés de sensibilité".

     

    La vidéo des violences, publiée sur le web, a suscité une vague d'indignations européennes, voire mondiales, et plusieurs appels à la vengeance contre l'auteur des violences et son complice vidéaste se sont multipliés.

    Plus de 200 personnes, accompagnées de chiens ou de chats, se sont également rassemblées cet après-midi devant le tribunal, réclamant "justice pour Oscar".

    Depuis, l'animal a été récupéré par son maître et pris en charge par la Société protectrice des animaux, qui lui a apporté des soins, notamment pour une fracture à la patte. 

    La Provence - 03 02 14