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Blog - Page 836

  • Rennes : les 4 miliciens antifas ont été relâchés

     

    Les quatre personnes interpellées samedi soir à Rennes lors de la manifestation violente contre une réunion du Front national ont été relâchées.

    Des policiers avaient été atteints par des jets de pavés, avant de faire usage de gaz lacrymogènes et d'un canon à eau.

    Dans un communiqué, le maire PS de Rennes, Daniel Delaveau, a condamné ces violences, tout en portant la responsabilité sur le FN (sic), qui aurait choisi la provocation en organisant la réunion dans un lieu symbolique des luttes sociales à Rennes...

    "Le Front national, qui n'est pas un parti comme les autres, a choisi de tenir un meeting salle de la Cité, avec le sens de la provocation dont il est coutumier. Ses mensonges et son esprit polémique ne sauraient duper personne".

    Jacques Bompard pose 2 questions écrites au ministre de l'Intérieur et du désordre :

    "M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les violences perpétrées par des groupuscules d'extrême gauche à Rennes le samedi 8 février 2014. Ces groupes violents d'extrême gauche dénommés anti-fas ont pris prétexte de l'organisation d'une réunion publique du Front National dans le cadre de la campagne pour l'élection municipale de Rennes pour ravager le centre-ville de Rennes. Il semble que la violence soit autorisée et légitime aux yeux de Monsieur le ministre de l'intérieur lorsqu'elle est le fait de groupes d'extrême gauche, alors même qu'il organise de véritables rafles de manifestants pacifiques lorsqu'il s'agit d'opposants à la politique gouvernementale, que ce soit lors des nombreuses Manif Pour Tous ou lors du Jour de Colère du 26 janvier 2014. A Rennes, des voitures ont été brûlées, des vitrines saccagées, des pavés et des bouteilles ont été jetées sur les forces de l'ordre, dont cinq membres ont été blessés. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l'intérieur de condamner enfin les groupuscules d'extrême gauche et de mettre fin à l'impunité dont ils jouissent actuellement, et lui demande combien de personnes ont été placées en garde à vue lors de ces incidents de Rennes."

     "M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur l'attaque subie par la librairie Facta dans le neuvième arrondissement de Paris, vandalisée pour la deuxième fois en moins de trois mois. Cette librairie a été vandalisée en marge d'une manifestation d'extrême gauche autorisée par la préfecture de police. Cette manifestation entendait protester contre la montée de la droite. Monsieur le ministre de l'intérieur a condamné de prétendues violences lors de la dispersion de la manifestation du 26 janvier 2014 organisée par le collectif Jour de Colère " alors même qu'il n'y a eu à déplorer, lors de cette manifestation, ni voiture brûlée, ni vitrine brisée. Le saccage d'une librairie n'est pas un acte anodin. Il s'agit d'une atteinte à la culture qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Jacques Bompard est surpris que Monsieur le ministre de l'intérieur, si prompt à dénoncer des violences imaginaires lors de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier et qui avait alors décidé d'arrêter sans motif  250 manifestants pacifiques, n'ait toujours pas condamné les violences en marge de la manifestation d'extrême gauche du 9 février et que les forces de l'ordre n'aient procédé à aucune interpellation malgré cette attaque d'une librairie. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l'intérieur d'agir contre les milices d'extrême gauche qui font régner la terreur et vandalisent régulièrement les centre-ville de Paris ou d'autres grandes villes, au lieu de s'acharner contre les manifestations pacifiques de La Manif pour Tous ou de Jour de Colère qui, en seize mois, n'ont donné lieu à aucune violence réelle puisqu'on ne dénombre ni vitrine brisée, ni voiture brûlée, ni commerce saccagé, leur seul tort étant de s'opposer à la politique du gouvernement socialiste."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Référendum suisse : le peuple a parlé…il parlera en France

     10 février 2014 

    drapeau suisse

    Ils ont laissé le peuple directement s’exprimer! Un scandale aux yeux des garde-chiourmes de l’Europe bruxelloise libre-échangiste, cosmopolite, sans frontières, ouverte à tous les vents… Les Suisses, qui vivent eux dans une véritable démocratie, consultés dans le cadre d’une votation (référendum d’initiative populaire) présentée par l’Union Démocratique du Centre (UDC) d’Oscar Freysinger,  ont donc approuvé ce dimanche la remise en cause des accords de libre circulation conclus par la Confédération helvétique avec l’Union européenne et l’Association européenne de libre-échange (AELE). Concrètement, l’automaticité du  libre accès au marché du travail suisse pour les travailleurs frontaliers, pour les citoyens des Etats membres de l’UE,  est remise en cause et devrait  être renégociée selon le texte approuvé par les participants à ce référendum. Les réfugiés et autres demandeurs d’asile sont aussi concernés par cette mesure alors que la Suisse subit elle aussi très fortement une délinquance d’origine Rom , des mafias des pays de l’Est.

    L’UDC qui a fait campagne en utilisant un slogan simple mais efficace : «La démesure nuit à la Suisse, Stopper l’immigration massive», avance au nombre de arguments en faveur de cet arrêt le fait que depuis sept ans, le solde des immigrants dépasse largement (+80 000) celui des émigrants. «Chaque année, cet accroissement de la population requiert une surface d’habitat et d’infrastructures de la taille de 4 448 terrains de football », constate l’UDC, qui pointe les effets pervers de cette immigration mal maîtrisée : hausse du prix des terrains, augmentation  du chômage (toute relative comparée à celle que nous subissons) et de la criminalité (bien réelle) , pression à la baisse sur les salaires, « perte d’identité culturelle dans la conduite des entreprises »…

     Basé sur le principe de la préférence nationale et précise Polemia dans son étude de cette votation, sur le «l’attribution des autorisations d’immigration (qui)  doit répondre aux intérêts économiques globaux de la Suisse », le texte insiste  aussi sur le fait que «les salariés demeureront à l’avenir la principale catégorie d’immigrants recevant une offre d’emploi en Suisse».

     «Le critère déterminant de la capacité d’intégration est celui des qualités personnelles du demandeur. On n’admet que des immigrants dont on peut penser qu’ils vont s’intégrer dans la société suisse et s’adapter à ses us et coutumes (…). L’indépendance financière prévisible de l’immigrant joue également un rôle déterminant. Il s’agit d’éviter que les immigrants tombent à la charge des institutions sociales suisses ».

     Tant de bons sens patriotique ne pouvait que heurter «Bruxelles». Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, avait multiplié ces dernières semaines les mises en garde aux Suisses leur intimant de ne pas voter Oui à ce référendum.

     « Les résultats de la votation suisse sur l’immigration et l’instauration d’une préférence nationale ont surpris les milieux européens qui estimaient encore, à la veille du scrutin, que le  oui  ne l’emporterait pas» rapporte Le Monde qui fait état  du communiqué de  la Commission   évoquant son « regret »…comme Angela Merkel l’a fait le soir même à la télévision allemande. Pour la Commission, la votation « va à l’encontre du principe de libre-circulation des personnes entre l’UE et la Suisse ».

     La colère de M. Barroso, dissimulée par ce communiqué laconique, est bien réelle. A la hauteur de l’idéologie qui anime ce personnage, lequel symbolise jusqu’à la caricature  l’Europe mondialiste bruxelloise.  Président de la Commission qui fut  aussi le maître d’œuvre dernièrement de «ce Grand marché transatlantique  qui n’a  aucune  urgence ni nécessité absolue, sauf peut-être les espoirs de récompense puisqu’il  lorgne, dit-on, sur le secrétariat général de l’OTAN ou de l’ONU » relevait Bruno Gollnisch.

     M.  Barroso est un adversaire intransigeant de  l’Europe des  patries souveraines, et il s’en prenait encore en juin dernier à la  France en  intimant l’ordre à Arnaud Montebourg de faire taire ses critiques: « Quand il s’agit de mondialisation, de réformes économiques, de l’Europe et ses institutions, certains souverainistes de gauche et d’extrême droite ont exactement le même discours. Il faudrait que certains responsables politiques français abandonnent l’ambiguïté vis-à-vis de l’Europe et la défendent davantage vis-à-vis du nationalisme, du populisme, voir du chauvinisme» (sic).

     Viviane Reding,  commissaire à la justice et aux droits fondamentaux, a elle aussi vivement critiqué ce référendum suisse.  Ce qui n’est pas pour nous surprendre quand on se souvient que cette dernière avait dressé, en 2010, un parallèle particulièrement délirant entre le renvoi annoncé par le gouvernement Fillon  de quelques  Roms et la déportation des Tziganes par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale…

    En France MM Ayrault et Valls ont fustigé le «repli» des Suisses.   Au Parlement européen, l’Autrichien Hannes Swoboda, président du groupe socialiste, a évoqué lui aussi  un «recul inquiétant (…). La Suisse tourne le dos à l’un des éléments les plus importants de sa relation avec l’UE (…). L’immigration n’est pas une menace mais un atout appréciable pour le développement économique et social de tout Etat moderne»(sic).

     Hannes Swoboda est bien évidemment un grand démocrate: très en pointe dans le combat contre les formations patriotiques, voulant priver les groupes de la minorité des droits que se reconnaissent les groupes de la majorité,  il plaide parallèlement pour une relance du  processus d’adhésion de la Turquie dans l’UE. Et ce,  tout en expliquant (dans le journal Profil en novembre 2012) que « l’adhésion turque à l’UE fait de la Turquie un cheval de Troie des États-Unis.»…

     Les Français regardent avec envie leurs voisins suisses qui sont en encore en capacité d’agir sur leur destin, droit dont ils ont été  privés en France, notamment dans le domaine essentiel des flux migratoires non européens.

     Ainsi, après sa première mouture de décembre dernier, le gouvernement a présenté mercredi  44 propositions pour lutter contre les discriminations, s’inspirant du calamiteux principe américain  de la « discrimination positive.»

     Selon le dernier sondage BVA pour i>télé et Le Parisien-Aujourd’hui en France,  67 % des personnes interrogées y sont pourtant  opposées (dont 83 % de sympathisants de droite), alors qu’une majorité de nos compatriotes y était encore  favorable  il y a neuf ans… 77 % des Français sondés estiment que c’est aux personnes d’origine étrangère elles-mêmes de s’intégrer, plutôt qu’à la société de faciliter leur intégration ( 95 %des sympathisants de droite, 56% des sympathisants de gauche).

     La semaine dernière dans Le Figaro, Malika Sorel-Sutter  (ancien membre du collège du Haut Conseil à l’Intégration et de sa mission Laïcité) , réagissait à ces  44 propositions, constatant que  «la philosophie» de cet arsenal anti-discriminations « est la même» que celle des rapports présentés en décembre et qui ont soulevé un tollé ( le rapport de Thierry  Tuot notamment) . « Elle consiste à attribuer la responsabilité de l’échec de l’intégration aux Français qui entraveraient la réussite des immigrés et de leurs descendants et c’est à ce titre qu’il convient de lutter contre les discriminations ».

     «Des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français» indique-t-elle.  Oui, le pouvoir bascule vers la préférence étrangère. »

     « L’axe du rapport est énoncé dans la feuille de route: il ne doit plus y avoir de confusion entre intégration et immigration. Or, ces deux sujets sont inséparables si l’on souhaite véritablement conduire une politique d’intégration! (…) . C’est la consécration de la déresponsabilisation totale des immigrés et de leurs descendants. Clairement, le modèle français d’intégration, qui prend en compte l’existence d’une identité culturelle française, disparaît (…). Le projet est clairement affiché. Il s’agit de rééduquer les Français en leur inculquant ce que la bien-pensance identifie comme la pensée juste

     Rapport dans lequel constate encore Malika Sorel-Sutter, « il n’y a eu aucune volonté de réduire de manière drastique les flux migratoires. Or ils constituent l’un des vecteurs principaux du ré-enracinement des enfants de l’immigration dans la culture de leurs pays d’origine. La feuille de route n’aborde absolument pas ce point crucial sur lequel il est urgent d’agir (…).»

     Avec pour le coup une très grande dose de naïveté et/ou d’aveuglement ( ?), Mme Sorel-Sutter espère que «La droite qui a longtemps gouverné durant ces trente dernières années (fasse)  son examen de conscience et (renoue)  avec la défense des intérêts de la France et de son peuple. Notre modèle d’intégration garantissait la concorde civile. Son abandon engage officiellement la France sur la voie de la libanisation ».

     Faute de référendum (le FN le mettra en place quand il sera au pouvoir), les Français peuvent déjà manifester dans les urnes en mars et juin prochains  leurs refus de cette évolution mortifère. Ils doivent voter affirme Bruno Gollnisch, pour la formation politique qui avait vu juste et qui  a crié dans le désert pendant des décennies… avant que la réalité ne rejoigne nos prédictions les plus sombres.

    Blog de Bruno Gollnisch

  • Les "antifas" attaquent la librairie Facta pour la seconde fois


    Seconde attaque de la librairie Facta d... par ERTV

    Lors de leur manifestation de dimanche à Paris, pourtant encadrée solidement par les policiers, les « antifas » ont attaqué la librairie Facta, brisant ses vitrines.
    Emmanuel Ratier en parle.

    Contre-info.com 10 02 14

  • Le nouveau rêve socialiste

     

    Le nouveau rêve socialiste - Devenir ''narco''

     

    Devenir ''narco''



    Michel Lhomme
    le 09/02/2014
    La sénatrice écologiste Esther Benbassa a présenté sa proposition de loi pour autoriser un "usage contrôlé" du cannabis, déposée au Sénat. A ce jour on ne sait si cette proposition sera mise à l'ordre du jour. 

    Au cours d'une conférence de presse dans une salle de la Haute assemblée, la sénatrice du Val-de-Marne a rappelé que « plus de 60% des jeunes de moins de seize ans ont déjà consommé du cannabis (...) Il y a un danger, et c'est pour cela qu'il faut lever le tabou de la prohibition pour pouvoir le prévenir. Il n'y a pas de bon moment pour aborder les questions de société. On peut en débattre à tout moment ».
     
     
    Il vaut certes mieux pour le système avoir des jeunes « stones » plutôt que des jeunes qui réfléchissent mais surtout la guêpe socialiste n'est pas sans arrière-pensées : la proposition de loi, préconise que "le monopole de la vente au détail du cannabis soit confié à l'administration par l'intermédiaire de débitants désignés comme préposés". Sur le modèle du tabac, l'Etat contrôlerait la distribution de cannabis tout en en interdisant la publicité et la vente aux mineurs. Le texte ne précise pas le montant des taxes qui serait inéluctablement attribué à l'herbe mais stipule une "interdiction de la distribution ou de l'offre à titre gratuit de plantes et produits de cannabis". Comme chez Monsanto, on veut contrôler les semences. L'usage dans les lieux publics, les lieux affectés à un usage collectif et les moyens de transports serait restreint.

    La sénatrice se serait faite aidée, pour rédiger sa loi, par des ''experts et des associations''. Elle explique que, se basant sur le modèle américain (le bon modèle forcément !), la vente pourrait atteindre 23g par jour et par personne. A 10 euros le gramme de cannabis et vu le nombre de fumeurs en France, cela pourrait en effet faire rentrer beaucoup d'argent dans les caisses de l'Etat mais le marché parallèle continuerait, n'en doutons pas un seul instant, d'être florissant ! Y aurait-il alors une nouvelle guerre des gangs entre narcos étatiques et narcos groupusculaires ? La sénatrice s’empressa de chiffrer le nombre d'emplois créés : 35 000 emplois nouveaux mais elle oublie délibérément bien sûr la prise en charge médicale des effets secondaires qui ne manqueraient pas alors d'être attribués à l'Etat.
     
     
    En fait, légaliser la possession et la vente du cannabis rapporterait de un à deux milliards d’euros de taxe par an, a estimé Pierre Kopp, professeur d’économie à l’université Panthéon-Sorbonne – Paris I. Mais l'intervention de la sénatrice est aussi intéressante à plus d'un titre parce qu'elle montre clairement qu'en définitive, le but de la légalisation est envisagé sérieusement comme superbe cadeau électoral de fin de mandat afin de remplir les caisses de l’État. De fait, la mentalité répressive continuerait. A l’évidence, si on libéralisait ou on légalisait le cannabis, il ne devrait pas être vendu aux mineurs (pourtant gros consommateurs), ne devrait pas faire l’objet de publicité ni de consommation publique.
     
    Le seul intérêt de la légalisation, c'est de taxer le cannabis et sans doute même de le taxer fortement de telle sorte que le cannabis soit suffisamment cher pour qu'il n'y ait pas un boom de la consommation. Mais le dilemme serait alors total car comment en même temps rendre attractif le produit étatique, le maintenir suffisamment bon marché pour ne pas stimuler le marché noir.
     
    Comme on le sait, l'effet premier du cannabis sur les fonctions cognitives du cerveau est de se couper de la réalité. N'est-ce pas le rêve de tout pouvoir, de voir sa population non seulement ignorante mais coupée de toute réalité ? La légalisation est donc bien déjà dans les cartons non seulement comme survie financière du système mais aussi comme support idéologique comportemental du régime. 
     
    METAMAG
  • Front National, réaction radicale…: une ligne de crête

     

    sondage bis

    Singulier mélange de mauvaise foi, d’approximations, de  nervosité, de  méthode Coué et de mensonges, c’est peu dire que  la médiocre prestation  hier soir de Manuel Valls invité « vedette »  de l’émission Des paroles et des actes, sur France 2, n’aura pas convaincu les Français. Notamment lors  de son face à face avec Florian Philippot, ou le ministre de l’Intérieur n’a pas brillé, à l’instar d’un Pierre Moscovici également  sur France 2  le 3 février, dans Mots croisés, qui fut sévèrement étrillé par une Marine Le Pen pugnace et en grande forme.  Selon le baromètre de février TNS Sofres/Sopra group/Le Figaro Magazine publié  hier, l’exécutif socialiste poursuit sa descente aux enfers.  Le président de la République  perd encore  trois points de confiance  pour s’établir à 19% et  n’est même plus majoritaire parmi les sympathisants socialistes (49 % lui font confiance, 48 % non). Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault ne fait guère mieux avec 20 % de confiance (- 1 point), tandis que Manuel Valls dévisse lui aussi sévèrement, l’ « obsédé des années trente » perd sept points de cote d’avenir, chutant au niveau de Nicolas Sarkozy (- 1). Marine Le Pen regagne trois points (28 %).

     Ce sondage qui confirme l’évolution de l’opinion enregistrée depuis la victoire de M. Hollande, n’est jamais que la traduction d’une situation économique, sociale, identitaire qui ne cesse de se dégrader. Indicateurs parmi d’autres,  l’INSEE rapporte une baisse  de 2% en 2013 par rapport à 2012,  du nombre de  créations d’entreprises, sans  lesquelles le nombre des chômeurs ne peut que croître puisque ce sont celles-ci qui sont les premières pourvoyeuses d’emplois. Parallèlement,  les investissements étrangers ont chuté de  77% en 2012… tout en progressant fortement chez nos voisins européens  (+25,4%) et plus encore dans les pays membres de l’Union Européenne (+38,1%).

     Une France  paupérisée, ouverte  à  une immigration de  futurs chômeurs et d’assistés  grevant nos comptes sociaux, tandis que dans un mouvement migratoire inverse nos jeunes diplômés, formés dans nos universités et nos écoles financées par nos impôts,  quittent la France dans des proportions jamais atteintes.  Une étude souligne qu’un diplômé sur quatre  de 2013 aspire à aller travailler à l’étranger, ils n’étaient que  13% en 2012.

     Dans ces conditions, et le FN représentant clairement une alternative aux politiques délétères menées depuis des décennies, nous doutons fortement que les  baisses enregistrées par certains sondages des intentions de vote en  faveur  du FN et/ou de la cote de confiance de Marine, se matérialisent dans les urnes. 

     Certes, le Front National marche sur une ligne de crête. Il lui faut continuer à  incarner une certaine radicalité (ce n’est pas un gros mot) qui a fait du Mouvement national depuis trente  ans  le réceptacle du  ras-le-bol populaire,  celui de la France qui gronde, qui tempête, qui proteste, qui aspire à renverser la table de ce Système inique.

      Cette minorité de Français, en expansion constante,  dans laquelle de retrouve aussi la frange la plus politisée de l’électorat national,  est au fait des vraies menées et de la réalité  de l’Etat profond. Ce sont ces Français là, dans toutes leurs diversités et sensibilités,   que l’on a vu dans la rue lors du Jour de colère, manif qui ne saurait être caricaturée, affirme Bruno Gollnisch,  comme elle l’a été bien malhonnêtement dans les médias et par les dirigeants  du PS et de l’UMP.

     Mais la vocation du  FN n’étant pas la protestation mais l’arrivée au pouvoir des idées qu’il défend, il  lui faut   aussi être capable de parler au plus grand nombre. Il doit  attirer à lui, comme il a su le faire dans le passé, comme cela s’est traduit de manière accrue  lors de la présidentielle de 2012 et dans les récentes élections partielles,  un nouvel électorat venant des partis de droite et de gauche. Electeurs néofrontistes,  marinistes  définis comme plus  « modérés »  par certains observateurs de la vie politique.

     Sur le site délits d’opinion, Marion Desreumaux  commente  longuement et intelligemment certaines enquêtes enregistrant un recul du FN et/ou de Marine dans l’opinion. Elle s’interroge sur l’analyse selon laquelle «(n’étant)  plus suffisamment  diabolisé  et ne représentant plus le vote contestataire par excellence, le Front National susciterait moins l’intérêt de ses soutiens, voire pousserait moins d’électeurs à se rendre dans les urnes. L’identité du parti se diluerait sous une forme de respectabilité ne convenant pas nécessairement à son électorat caractérisé avant tout par sa colère  (…) ».

     « Ne pourrait-on pas penser qu’aujourd’hui poursuit-elle, un certain nombre de sympathisants UMP attirés un temps par le FN retourneraient vers leur parti d’origine ou se réfugieraient dans l’abstention, déçus par une Marine Le Pen perçue comme trop proche des autres responsables politiques ? (…). Relevons qu’en octobre dernier, un quart des Français déclarait considérer le FN comme un parti de droite classique, cette opinion étant même particulièrement défendue par les ouvriers (38%) et les plus modestes (37%). Si expliquer le moindre soutien à Marine Le Pen par un sentiment croissant de banalisation du FN est également séduisant, soulignons toutefois que pour l’instant, les sympathisants frontistes demeurent parmi les plus mobilisés pour les futures élections municipales. »

     Soulignons aussi  que la radicalisation, la réaction-droitisation des Français est patente  comme l’a noté Valeurs  actuelles dans son numéro  4026, il y a quinze jours, en faisant état  des résultats de l’enquête annuelle Opinionway et du Centre de Recherche Politique de Sciences Po,  qui n’ont pas été publiés in extenso   dans Le Monde.

     Comme cela a été relayé,  36% des sondés placent Sarkozy en tête des bonnes opinions, Marine Le Pen le talonne avec  34%, loin devant les autres politiciens;   67% pensent qu’il y  trop d’immigrés en France, 50% sont pour le rétablissement de la peine de mort ( 35% en 2011).

     Mais les réponses aux autres questions posées sont aussi instructives du désaveu qui frappe le système ripoublicain :  12% souhaitent que l’armée dirige le pays (!) ; 50% ne croient plus à la démocratie et veulent  « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du parlement ni des élections » pour diriger la France ; 61% sont prêts à manifester ( 30% en 2010) ;  71% ne font pas confiance aux syndicats ; 75% des Français ne font plus confiance à l‘Etat, ni à la république ; 87% jugent que Hollande n’a pas la stature  d’un président ; 88% rejettent catégoriquement  les partis politiques. Le changement radical, ce n’est peut être pas pour maintenant, mais si nous y travaillons en bonne intelligence,  rétablir la démocratie confisquée au peuple français,  cela pourrait être  pour demain.

    Blog de Bruno GOLLNISCH

  • « Journée de retrait de l’école » : Farida Belghoul défie Vincent Peillon et les francs-maçons…

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     PROTEGEONS LA PUDEUR ET L’INTEGRITE DE NOS ENFANTS

    Altermedia

     

    NdB: Pourquoi ces croissants et cette couleur vert islam? L'école de la République est LAÏQUE ! Il ne faudrait pas déraper dans le communautarisme religieux sous prétexte d'enseignement de la "théorie du genre"...

  • Popularité: Valls dévisse de 12 points

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    Jeudi dernier, sur France 2, Manuel Valls assurait «regarder les sondages avec intérêt» mais pas «en permanence», évoquant le mythe de Narcisse pour illustrer sa volonté de ne pas finir noyé dans sa propre image. <btn_noimpr> Grand bien lui en prend : le ministre de l'Intérieur vient de voir sa cote de satisfaction dévisser de 12 points en février dans le baromètre Clai-Metronews-LCI, réalisé par l'institut OpinionWay. Un sondage réalisé avant l'émission «Des paroles et des actes» et publié ce dimanche. La popularité du ministre s'éroderait notamment chez les sympathisants de droite.

    Une popularité en baisse depuis janvier

    Le ministre de l'Intérieur, habitué à la première du podium gouvernemental, s'y retrouve à la cinquième place, sa cote étant passée de 57 points en janvier à 45 en février. Il est devancé par Najat Vallaud-Belkacem, (Porte-parolat, Femmes) en avec 49% de satisfaction (-1), Laurent Fabius (Affaires étrangères), inchangé à 48%, Jean-Yves Le Drian (Défense), qui abandonne 6 points à 45%, et Aurélie Filippetti (Culture, 45%, -2).

    Dans le même baromètre, François Hollande a perdu un point de satisfaction en un mois à 23% et Jean-Marc Ayrault en a gagné un à 26%

    Populaire depuis sa prise de fonction place Beauvau au vu des enquêtes d'opinion, Manuel Valls a enregistré début 2014 une chute mesurée par plusieurs instituts de sondages : -9 points à 48% d'opinions positives chez Harris Interactive, -6 points à 49% dans le baromètre mensuel BVA, -7 pts à 31% pour l'institut YouGov. Il avait aussi cédé la tête du tableau de bord mensuel des personnalités (-7 pts, 61%) Ifop pour Paris-Match, publié le 14 janvier.

    Un ministre moins populaire à droite

    «Pour comprendre cette chute brutale, il faut rappeler que la vague de janvier avait été réalisée juste avant les décisions judiciaires d'interdiction du spectacle de Dieudonné», commente Opinionway. Depuis, ont été «annoncés les résultats de l'observatoire de la délinquance et Manuel Valls est intervenu plusieurs fois sur des thématiques hors de son périmètre ministériel, dénonçant notamment l'émergence d'un tea party à la française. Visiblement, le ministre, qui bénéficiait jusque là d'une forte popularité à droite, a mécontenté cet électorat», selon l'institut.

    «Manuel Valls accuse un effondrement de sa popularité» n'a néanmoins pas manqué de noter Jean-François Copé dimanche soir dans le «Grand jury» RTL/LCI/«Le Figaro». «Ce sont d'abord ces résultats très mauvais qui viennent sanctionner l'action du ministre de l'Intérieur», a commenté le patron de l'UMP, soulignant un «échec terrible de sa politique en matière d'immigration clandestine et de sécurité».

    L'étude a été réalisée du 4 au 6 février par téléphone auprès d'un échantillon de 1.010 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas).

    LeParisien.fr

  • Entretien avec Oskar Freysinger

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    Le dogme islamique est difficilement compatible avec l’État de droit

    Le 9 février 2014

    Dimanche 9 février, les Suisses devront se prononcer « contre l’immigration de masse ». Votre parti, l’UDC, demande que la Suisse limite l’immigration en revenant au système des contingents et renégocie la libre circulation des personnes avec l’Union européenne. Le scrutin s’annonce serré… Pourquoi cette volonté de limiter l’immigration ?

    Parce que le déplacement en masse de nomades du travail met en concurrence les plus faibles d’un pays contre plus faible qu’eux. Les classe moyennes fondent, les prix explosent et le pouvoir d’achat diminue. Un pays souverain doit pouvoir disposer d’un moyen de régulation des flux migratoires.

    Une plainte a été déposée contre l’affiche que vous avez réalisée en vue des votations. « Bientôt 1 million de musulmans ? Par conséquent : stop à l’immigration de masse », peut-on y lire. Le texte est illustré par une courbe en hausse exponentielle et une silhouette en burqa. Pour Matthias Bertschinger (Vert), « cette affiche dépasse non seulement les limites du bon goût, mais constitue aussi une discrimination raciale. On suggère dans cette affiche que les musulmans sont un danger pour la Suisse. Ceux-ci sont donc stigmatisés et blessés dans leur dignité », a-t-il estimé.

    Le dogme islamique est difficilement compatible avec l’État de droit en bien des points. Il faut donc éviter le communautarisme et l’établissement de sociétés parallèles. En régulant l’immigration, on peut augmenter la qualité de l’intégration. C’est une question de survie pour notre culture occidentale.

    En France, à Bobigny, l’Union des démocrates musulmans français va présenter une liste aux prochaines municipales. Quand on leur reproche leur approche « communautaire », ils rétorquent : « En France, il existe un Parti chrétien-démocrate et cela ne choque personne. » Qu’en pensez-vous ?

    Observez bien la situation mondiale : les seules vraies démocraties se situent dans des territoires traditionnellement chrétiens. Parce qu’il « faut rendre à César ce qui est à César » et parce que le « royaume du Christ n’est pas de cette terre ». Bien appliqué, les évangiles aboutissent à des États de droit (où la morale précède le droit et ne découle pas de l’application aveugle d’articles de loi). En gros, on assiste à un affrontement entre une loi d’amour et la loi du talion.

    Vous êtes également attaqué sur la question de votre « double salaire ». Pourquoi ne souhaitez-vous pas reverser, comme la pratique le veut – c’est en tout cas ce qui se fait dans les autres cantons –, vos revenus fédéraux aux caisses cantonales?

    La pratique est très différente d’un canton à l’autre. La loi suisse le veut ainsi. Je n’ai pas à communiquer ce que je fais, à bien plaire, ça ne regarde que moi.

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     

     

  • Dissolution des Femen: des milliers à Paris! 09 02 14

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    Voici le texte de l’allocution prononcée cet après-midi par Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie, lors de la manifestation organisée par L’AGRIF place Vauban à Paris, pour la dissolution du groupuscule antichrétien Femen France.

    Il vous a été dit : « Rendez à César ce qui est à César » et « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu ».

    Et moi je vous dis : « Rendez l’Ukrainienne à l’Ukraine ! »

    En effet, s’il est juste et raisonnable de se rassembler si nombreux aujourd’hui à Paris pour exiger la dissolution du groupuscule atrocement antichrétien des Femen, fondé par l’Ukrainienne Inna Shevchenko, n’est-il pas tout aussi juste et raisonnable que l’Ukrainienne Inna Shevchenko soit déchue de son statut de “réfugiée politique” et sitôt expulsée du territoire national ?

    Et voici pourquoi.

    Le vendredi 17 août 2012, alors qu’un tribunal moscovite venait de condamner trois chanteuses “punk” du groupe Pussy Riot à deux ans de prison pour « incitation à la haine religieuse » lors d’une exhibition odieuse, le 21 février précédent, devant l’iconostase dans la cathédrale orthodoxe du Christ-Sauveur de Moscou, Inna Shevchenko, assistée de plusieurs complices, sciait avec une tronçonneuse, en manière de “représailles”, un Crucifix de 4 m de haut surplombant la ville de Kiev. Ce Crucifix avait été érigée en 2004 par des catholiques en mémoire des millions de victimes ukrainiennes du communisme soviétique, torturées, assassinées, mortes de famine organisée – l’horrible Holodomor. La scène honteuse fut filmée et photographiée. La police de Kiev se rendit sur les lieux, ouvrit une enquête conformément au Code pénal ukrainien, mais ne procéda pas à l’interpellation d’Inna Shevchenko ce qui lui permis de fuir en France ce même mois d’août, munie d’un visa touristique de court séjour de 3 mois. Inna Shevchenko avait donc été prévoyante et le gouvernement français en accordant un visa à une criminelle de droit commun s’est rendu complice de son forfait.

    Peu après son arrivée à Paris, où elle est hébergée provisoirement chez Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Inna Shevchenko peut établir dès le mois de septembre le quartier général et le camp d’entraînement des Femen au deuxième étage de l’immeuble occupé par la salle de concert Le Lavoir Moderne Parisien, subventionné par la Ville de Paris et le ministère de la Culture. C’est dans ce local qu’est concertée, sans doute sous la houlette de Caroline Fourest, la première agression anticatholique et violente des Femen, menées par Inna Shevchenko, contre la manifestation de Civitas à Paris le dimanche 18 novembre 2012. Notons, en passant, qu’à cette date le visa touristique d’Inna Shevchenko avait expiré… Elle était donc en situation irrégulière, mais les protections influentes qui ne lui ont jamais manqué, ont fait que les pouvoirs publics, une fois de plus, ont fermé les yeux sur le statut d’une personne qui, de toute évidence, n’était pas entrée en France pour y faire du tourisme !

    Ce n’est que le 19 février 2013, c’est-à-dire 7 jours après son exhibition scandaleuse avec sept autres Femen dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, qu’Inna Shevchenko, bien conseillée, dépose une demande de bénéfice d’asile politique auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) alors qu’elle est, je le répète, en situation irrégulière en France, qu’elle aurait donc dû être expulsée, et qu’elle n’a pas à être protégée ne risquant dans son pays que d’être traduite devant un tribunal pour un délit de droit commun.

    L’OFPRA, scandaleusement, lui accordera ce statut de “réfugiée politique” le 9 avril 2013, ce qui la met à l’abri de toute possibilité d’extradition vers l’Ukraine pour y répondre de son délit. Signalons qu’il faudra attendre trois mois pour apprendre l’octroi de ce statut…

    Inna Shevchenko est donc, désormais, « placée sous la protection juridique et administrative » de la France et en devient même une icône puisque le 14 juillet  2013, le Président Hollande hilare dévoile, si je puis dire, depuis le Palais de l’Élysée, le nouveau timbre à l’effigie de Marianne dont le visage est inspiré de celui d’Inna Shevchenko. On croit rêver !

    Mais ce n’est pas tout… Comme bénéficiaire du statut de “réfugiée politique”, Inna Shevchenko se voit attribuer le 4 décembre 2004 un « Document de voyage pour réfugié » valant passeport, accordé pour deux ans et qui permet à un réfugié en France de voyager dans certains pays étrangers. Inna Shevchenko inaugurera ce Document quelques jours plus tard, puisqu’il lui permet de se rendre le 19 décembre en Italie puis sur le territoire de l’État du Vatican pour se dépoitrailler place Saint-Pierre et y « avorter publiquement l’embryon de Jésus » comme le dit de manière répugnante un tweet de Femen France de ce jour-là !

    J’arrête ici car j’ai déjà été trop long, pardon !

    Mais voilà pourquoi, et j’y insiste, il faut « rendre l’Ukrainienne à l’Ukraine » !

    Dissolution des Femen ? Oui, mille fois oui ! Mais nous devons aussi obtenir l’abrogation du statut de “réfugiée politique” d’Inna Shevchenko, le non renouvellement de son « Document de voyage pour étranger » et son expulsion immédiate du territoire national en lui souhaitant, par avance, un bon retour en Ukraine !

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  • Manuel Valls doit cesser de protéger les voyous « antifas » qui sont les milices du pouvoir

     

    Front National flammeCommuniqué du Front National

    La violence inouïe des voyous « antifas » qui s’est déchaînée hier soir dans les rues de Rennes contre passants, commerçants et forces de l’ordre au motif que le Front National tenait meeting démontre le caractère extrêmement dangereux et antirépublicain de ces groupuscules extrémistes.

    Manuel Valls est largement responsable de ces violences en lançant systématiquement des messages de compréhension ou de soutien à ces voyous, qu’il utilise comme de véritables milices du pouvoir.

    Son refus tout aussi obstiné qu’irresponsable de dissoudre ces groupuscules violents est perçu par les voyous antifas comme un permis de taper, un permis de casser.

    La dissolution des groupuscules violents dits « antifas » n’est pourtant plus maintenant une nécessité, mais une urgence pour la tranquillité publique, la démocratie et la République.

     

  • Rennes : une émeute organisée par la gauche et l’extrême-gauche [tribune libre]

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    Une réunion publique à caractère électoral, organisée par le Front National, se tenait hier soir à la salle de la Cité dans le centre de Rennes. Cette réunion avait lieu dans le cadre des élections municipales auxquelles le FN participera en présentant une liste menée par Gérard de Mellon. Cette réunion était animée par ce dernier, Gilles Pennelle, secrétaire départemental, et Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du Front National.

    Une rumeur disait depuis plusieurs semaines que cette réunion parfaitement légale et légitime serait empêchée par ces grands défenseurs de la liberté que sont les nervis ‘’antifas’’. Chose promise, chose due ; hier soir les ‘’antifas’’ étaient de sortie mais ils n’étaient pas seuls : des membres du parti trotskyste NPA, du Parti de Gauche, d’EELV (écologistes) et du parti socialiste étaient à leur côté. Selon la préfecture, la contre manifestation aurait rassemblé au maximum six cents personnes mais d’autres sources parlent de deux cents personnes, ce qui semble plus proche de la vérité.

    Cette contre manifestation, qui aurait pu rester pacifique et respectueuse des opinions des uns et des autres, a tourné à l’émeute : affrontement avec les forces de l’ordre, jets de pavés et de projectiles divers, bris de nombreuses vitrines et incendie d’une voiture. La police a été contrainte d’agir très vigoureusement pour interdire l’accès des émeutiers à la salle de la Cité. La réunion a pu se tenir mais de très nombreux sympathisants et membres du FN n’ont pu accéder à la salle du fait de l’émeute.

     Cette émeute illustre une bien triste réalité : l’intolérance profonde de l’extrême-gauche et d’une partie importante de la gauche qui ne supportent pas la contestation de leurs idées. Depuis 1968, nous subissons à Rennes comme dans de nombreuses autres villes ce qu’il faut bien appeler une forme de terreur qui peut prendre la forme d’agressions physiques ciblées comme celle qui a eu lieu la semaine dernière à la faculté Rennes 2 et au cours de laquelle plusieurs personnes ont été aspergées d’ammoniaque par un commando d’extrême-gauche. Cette situation est d’autant plus insupportable que de nombreuses municipalités de gauche ferment les yeux sur l’existence des bandes d’’’antifas’’ qui sont à l’origine de cette terreur.

     Nous avons connu dans les années qui ont suivi 1968, à Rennes comme dans de nombreuses autres villes, une situation de tension créée par les forces de gauche ; cette tension s’était atténuée mais depuis que leur déclin idéologique se fait sentir de manière très palpable (sur tous les sujets importants tels que l’immigration, le protectionnisme, le mariage des homosexuels, l’Union Européenne, l’euro, …..) la population est en opposition avec celle des forces de gauche dans des proportions allant de 55 à 80% selon les sujets), il semble bien que les forces de gauche se radicalisent parce qu’elles perdent pied (toutes tendances confondues, elles ne bénéficient plus que de 35% des intentions de vote). Leurs promesses ne font plus rêver grand monde ; les gauches ont perdu l’électorat ouvrier, elles sont en train de perdre l’électorat catholique et peut-être même l’électorat musulman. Quant aux classes moyennes qui constatent la baisse de leur niveau de vie consécutive à la mondialisation et à la politique monétaire européenne, elles ont commencé à migrer vers le Front National.

    La contestation des poncifs et des lubies d’une gauche qui est de plus en plus clairement l’idiot utile des multinationales n’est plus une contestation portant sur l’économie comme cela fut le cas depuis la guerre mais une contestation de l’ensemble de l’idéologie de la gauche dont les ingrédients essentiels sont l’individualisme, le mondialisme, la négation de toutes les différences et l’idée d’un monde totalement uniforme et sans frontières (c’est très exactement ce dont rêvent les milliardaires et les multinationales).

    La gauche et l’extrême-gauche essaient désespérément d’empêcher la contestation de s’étendre ; elles ont tort et, de plus, elles perdront la partie. Les Bretons, pas plus que le peuple français dans son ensemble, ne se laisseront museler par des idéologues fanatiques.

     B. Guillard

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2014, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

  • La Suisse rejette "l'immigration de masse"

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    + VIDEO  et Tweets

  • Cérémonie d'ouverture des JO de Sotchi - 07 02 14

    http://pluzz.francetv.fr/videos/jeux_olympiques_sotchi_2014_f2

    _,96159975.html

    (pas de code embed avec cette vidéo)

     Merci à hibiscusez-moi

    Regardez cette merveilleuse cérémonie d'ouverture! Elle est vraiment très belle et très émouvante, célébrant la Russie éternelle! Les ballets sont splendides et nous font pénétrer avec la musique dans le rêve de l'Empire russe...

     

  • Jean-Marie Le Pen sur i>TELE - 07 02 14

     
    (cette vidéo ne cessant de s'ouvrir inopinément, sans intervention, j'ai été obligée de la poster en lien  et j'en ai profité pour la réactualiser)

  • Les Suisses ont voté "contre l'immigration de masse" : le référendum a obtenu la double majorité requise 50,3%

    http://www.leparisien.fr/international/suisse-les-citoyens-votent-ce-dimanche-sur-l-immigration-09-02-2014-3573779.php