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GAELLE MANN - Page 1066

  • 435 000 pétitions ce soir : le rendez-vous avec le CESE est pris pour vendredi 15 février à 9h00

     

    Lu sur le site de Philippe Brillault, mandataire pour la pétition :

    Sans-titre"Le rendez-vous avec le CESE est pris : vendredi 15 février à 9H.

    Poursuivons la mobilisation ! On ne lâche rien, encore 65 000 pétitions à réunir !!!!

    La date de clôture des envois est fixée au 12 février.
    Télécharger, imprimer et signer la pétition CESE + l’Appel au Référendum à adresser à la Manif Pour Tous, 15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY

    Demain pas de dépouillement pour des raisons de disponibilité de la salle. Reprise du dépouillement 10h Dimanche."

    Philippe Carhon

    Le Salon Beige - 08/02/13

  • C'est Lévy qui a tué Chokri

    09/02/2013

    C'est Lévy qui a tué Chokri




        Le terroriste Bernard-Henri Levy, c’est ainsi que doit être appelé cet instrument qu’Israël a utilisé pour mener son entreprise de déstabilisation des pays arabes dans le cadre de l’alliance diabolique entre les sionistes et les wahhabites. Tout ce qui s’est passé depuis que les Occidentaux, à son instigation, ont commencé à intervenir dans cette partie du monde, dévoile le caractère criminel de ce pseudo-intellectuel. Les victimes en sont les peuples arabes d’abord, mais aussi les citoyens de pays occidentaux dont les dirigeants se sont coalisés pour semer le désordre et le chaos en Libye, en Tunisie, en Egypte et en Syrie, avec l’ambition d’étendre leur opération à l’Algérie. Le premier choc fut ressenti lors de l’attaque, le 11 septembre, du consulat américain à Benghazi qui entraîna la mort de l’ambassadeur des Etats-Unis, puis, tout récemment, impact direct de la situation en Libye, l’agression contre le complexe de gaz algérien de Tiguentourine (In Amenas) et la prise d'otages qui coûtèrent la vie à 37 étrangers qui travaillaient sur ce site. Et maintenant, c’est l’assassinat d’une figure marquante de l’opposition populaire en Tunisie, Chokri Belaïd. Derrière tous ces crimes, il y a l’œuvre de Bernard-Henri Levy, le terroriste. La communauté internationale et les peuples arabes, en premier lieu, doivent engager les démarches pour le traduire devant les juridictions internationales compétentes qui traitent des affaires de terrorisme. Les intellectuels, les syndicalistes, hommes politiques, journalistes et plus généralement tous ceux qui se sentent révoltés par les agissements du terroriste BHL et de leurs conséquences non seulement dans les pays touchés par le pseudo-printemps arabe mais aussi dans le Nord-Mali, doivent lancer une pétition internationale pour le traîner devant les tribunaux et le juger pour incitation au terrorisme.   

    http://www.algeriepatriotique.com/content/cest-levy-qui-tue-chokrihttp://www.algeriepatriotique.com/content/cest-levy-qui-tue-chokri

    ALTERINFO

     

     

  • Mali: la France prise la main dans le sac

    08/02/2013

    Mali : La France prise la main dans le sac




        Alors qu’elle est engagée avec son armada au nord du Mali pour traquer les terroristes, la France vient d’être prise la «main dans le sac», comme étant l’un des financiers indirect d’Al Qaida dans le Sahel.

    Cette grave révélation faite aujourd’hui par l’ancienne ambassadrice des États‑Unis à Bamako (2002 à 2005) Vicki J. Huddleston, tombe comme un cheveu sur la soupe de la France qui bombe le torse grâce à ses maigres succès militaires en terre malienne.

    Et sur le plateau d’un média français, I>Télé, en l’occurrence, que l’ex responsable des Affaires africaines au département d’État a révélé le pot aux roses.

    «Il y a deux ans, Aqmi a pris des Français en otages dans une mine d’uranium au nord du Niger. Pour faire libérer ces otages, la France a payé une rançon d’environ 17 millions de dollars», soutient la diplomate américaine dans une déclaration qui s’apparente à une pierre dans le jardin de la France. Elle a aussi précisé que ces rançons ont été payées «indirectement».

    L’ex ministre de l’intérieur sous Sarkozy, Claude Guéant s’est en effet empressé de nier que l’Etat français ait versé une quelconque rançon pour faire libérer les otages. Or, Mme Huddleston suggère justement que cette somme faramineuse (17 millions de dollars soit 12 millions d’euros) a pu être payé «indirectement», c’est-à-dire via la compagnie Areva qui employait les captifs.

    La diplomate américaine souligne que : «C’est le chiffre dont j’ai entendu parler et que j’ai vu écrit noir sur blanc».

    Les "dollars de la mort" de Sarkozy

    Mieux encore le payement des rançons n’est pas une spécialiste française puisque Mme Huddleston enfonce beaucoup de pays européens (qu’elle n’a pas cité) qui auraient versé 89 millions de dollars entre 2004 et 2011 pour obtenir des libérations d’otages.

    La diplomate américaine qui semble vouloir régler ses comptes à la France voire à l’Europe enfonce encore le clou, en retraçant l’itinéraire de ces rançons avant d’arriver aux mains des terroristes d’AQMI.

    «Elles ont (les rançons) terminé entre les mains du gouvernement malien et ensuite elles sont retournées, du moins une partie, aux salafistes», a‑t‑elle précisé, ajoutant que «cet argent alimente la trésorerie d’Aqmi pour acheter des armes et recruter».

    Voilà qui ne manquera pas de donner froid dans le dos à la France qui voudrait jouer les redresseurs des torts au Mali alors que c’est grâce à ses millions d’euros que AQMI et le MUJAO ont acquis un matériel de guerre pour lancer leur «conquête» du nord du Mali.

    Jusque là, la France a toujours nié avoir versé la moindre rançon pour résoudre des prises d’otages à l’étranger. On s’en souvient de la fameuse transaction effectuée par la France via le président Amadaou Toumané Touré poçur récupérer l’espion Pierre Camatte en contrepartie de la libération par les autorités maliennes d’alors de quatre dangereux terroristes dont deux algériens. L’affaire avaient même provoqué une crise diplomatique entre Alger, Nouakchott d’un côté et Bamako de l’autre. Tout le monde avait compris alors que Paris a payé le prix fort pour récupérer son espion que Sarkozy est aller personnellement chercher à Bamako.

    Un tir «ami» contre la France

    La France a tout de même refusé de reconnaître la transaction. Alger a poursuivi son lobbying qui avait abouti à la criminalisation du payement des rançons considérée à juste titre comme un financement indirect du terrorisme.

    Voilà maintenant que l’implication de la France est clairement confirmée et par un haut responsable d’un pays «ami».

    Par cette mise en accusation même tardive, la diplomate américaine envoie un message subliminal à la France et ses responsables, qu’ils sont quelque part complices de ce qui se passe aujourd’hui au nord du Mali.

    Il est alors tout à fait logique que l’armée française se charge aujourd’hui de réparer les dégâts qu’elle a pu provoquer grâce à ses millions d’euros qu’elle a généreusement offert aux terroriste d’AQMI.

    L’Algérie qui a fait de la condamnation du versement de rançons aux groupes terroristes un principe non négociable bien que cinq de ses diplomates sont encore aux mains des terroristes, s’en trouve réconforté dans sa démarche face au conflit malien.

    Pour la France qui joue actuellement l’«héroïne» au Mali, ces sulfureuses révélations constituent un coup très dur pour sa réputation. Elle passe ainsi du statut de «libérateur» du Mali à celui peu glorieux de financier d’AQMI.

    A la décharge du président François Hollande, ces versements dans les comptes d’AQMI ont été effectués du temps de Nicolas Sarkozy. Mais pour le coup, c’est la France de gauche comme de droite qui est éclaboussée.   

    http://www.algerie1.com/actualite/mali-la-france-prise-la-main-dans-le-sac/http://www.algerie1.com/actualite/mali-la-france-prise-la-main-dans-le-sac/
     
    ALTERINFO

     

     

  • Papouasie-Nouvelle-Guinée: une femme brûlée vive pour sorcellerie par des villageois

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    Ils l'accusaient d'avoir utilisé ses pouvoirs pour tuer un enfant de six ans...

    La police et les pompiers sont arrivés trop tard. Jeudi, une femme a été brûlée vive par des villageois de la province de Western Highlands, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L'information est rapportée par le Post Courier, un journal local.

    Kepari Leniata, 20 ans, était accusée par les villageois d'avoir utilisé la sorcellerie pour tuer un enfant de six ans, mort à l'hôpital d'une mystérieuse maladie. Deux membres de la famille du jeune garçon ont mené la chasse. La femme a été torturée avec des barres métalliques chauffées à blanc et aurait reconnu tremper dans les arts obscurs. Elle a ensuite été déshabillée, traînée pieds et poings liés, recouverte de pétrole et brûlée sur une pile d'ordures.

    Un problème récurrent

    Les autorités ont indiqué qu'elles traiteraient l'affaire comme un meurtre et que les coupables seraient arrêtés.

    Les exécutions tribales sont un problème sur cette île du Pacifique où la sorcellerie fait partie de la culture populaire. Le premier ministre, Peter O'Neill, a condamné «un acte ignoble». «Les meurtres barbares pour des soi-disant actes de sorcellerie se multiplient dans certaines parties du pays», a-t-il déclaré, promettant que justice serait rendue.

    P.B.
    20minutes - 07/02/13
  • Marseille : des frères jumeaux au coeur d'une affaire de viols en série

     
     Publié le samedi 09 février 2013 à 10H47
     

    Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir abusé de six femmes entre septembre et janvier

    Le premier viol s'était produit sur ce parking.

    Le premier viol s'était produit sur ce parking en septembre dernier. La victime avait chuté de ce muret. Malgré sa fracture du bras, la vielle dame de 76 ans n'avait pas été épargnée.

    Photo F.Speich

     

    Des Machiavel ou des fous dangereux ? Un innocent ou deux coupables ? Ils sont frères jumeaux et risquent de donner le tournis aux enquêteurs et à la justice. Les deux hommes se retrouvent depuis mercredi au coeur de la tourmente judiciaire.

    La brigade des moeurs de la Sûreté départementale a interpellé les deux garçons de 24 ans à leur domicile de la Belle-de-Mai (3e) après avoir acquis de nombreux éléments les mettant en cause dans six viols et agressions sexuelles, commis entre septembre 2012 et janvier 2013.

    Agression d'une femme de 76 ans

    Problème : les frères sont jumeaux monozygotes. En d'autres termes, ils partagent la même apparence physique, mais aussi et surtout des caractéristiques ADN identiques. Largement de quoi troubler le travail d'investigation qui demeure d'autant plus fondamental que les actes que les suspects auraient commis se révèlent extrêmement graves.

    Le 11 septembre dernier , l'un ou l'autre a agressé une femme de 76 ans, alors qu'elle raccompagnait une amie, dans le quartier des Arnavaux (15e), après un loto. L'auteur des faits avait d'abord fait chuter la victime, basculant derrière un muret haut d'1,5 m et se fracturant le bras. Malgré la blessure et les cris de la septuagénaire, l'homme avait imposé une fellation à la vieille dame.

    Viols en série

    Les prélèvements génétiques et les éléments recueillis sur place n'avaient rien donné et le criminel restait introuvable. Deux mois plus tard, nouvelle agression, impasse Sylvestre, à Saint-Just (13e). Cette fois, la proie est une femme de 30 ans. Selon un mode opératoire identique à l'agression précédente, la victime est abordée, la nuit, alors qu'elle marche seule sur le trottoir.

    Maintenue, elle est encore forcée à pratiquer une fellation. Là encore, l'enquête ne donne rien. Mais bientôt, tout s'accélère. Après un troisième viol similaire , encore aux Arnavaux (14e), le 4 décembre, le ou les suspects changent de quartier et sévissent boulevard Gilly (10e), le 4 janvier, puis cours Gouffé (6e), le 17 et boulevard Chave (4e), trois jours plus tard.

    Une photo d'un homme, récupérée

    Une forme de frénésie sexuelle et criminelle qui offre aux enquêteurs des éléments nouveaux. Le mode opératoire similaire les conduit sur la piste d'un violeur en série. Les analyses ADN confirment leurs craintes, même s'ils ignorent encore qu'ils ont affaire à des frères jumeaux. Une victime a fourni un signalement. Avec l'aide de la RTM et d'une victime, ils vont faire un bond dans leurs investigations.

    Une photo d'un homme est récupérée grâce au système de vidéoprotection d'un bus. Le suspect est formellement reconnu par la victime. Mardi, la brigade des moeurs décide de passer à l'action. Dans la voiture d'un des deux suspects, elle met la main sur des vêtements, rigoureusement identiques à ceux immortalisés sur le cliché.

    Les éléments sont accablants, mais restent à déterminer les responsabilités. Hier soir, à la fin de la garde à vue, rien ne semblait encore faire pencher la balance vers l'un ou l'autre. Ils filaient droit vers deux mises en examen et un mandat de dépôt, pour un destin commun. Du moins pour l'instant.

    La Provence

  • Mali: un second attentat-suicide évité de peu

    sans-titre.png Carte Mali.png

    Deux jeunes portant des ceintures bourrées d'explosifs ont été arrêtés samedi matin à l'entrée de Gao, au lendemain du premier attentat suicide recensé au Mali, dans cette même ville du Nord récemment reprise aux groupes islamistes armés.

    Ils portaient des ceintures bourrées d'explosifs mais, heureusement, ils ont été arrêtés samedi matin à Gao avant de se faire exploser. "Nous avons arrêté tôt aujourd'hui deux jeunes, un Arabe et un Touareg. Ils avaient une ceinture d'explosifs et ils étaient sur le dos de deux ânes", a déclaré Oumar Maïga, le fils du chef du village local.

    Les deux jeunes ont été pris sur la route menant à Bourem et à Kidal, à l'entrée nord de la ville de Gao (1200 km au nord-est de Bamako), là même où un homme s'est fait exploser vendredi dans un attentat suicide visant des militaires maliens, blessant légèrement l'un d'entre eux (voir notre vidéo : Mali : premier attentat suicide à Gao).

    Des villages pro-islamistes

    Jeudi, le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), qui a revendiqué l'attentat de vendredi, a annoncé avoir créé "une nouvelle zone de conflit", promettant d'attaquer des convois, de poser des mines et "d'organiser des kamikazes".

    Plus grande ville du nord du Mali, Gao a été reprise le 26 janvier par les soldats français et maliens aux islamistes. Mais depuis vendredi, la ville semble en état de siège : aussitôt après l'attentat suicide, soldats et gendarmes maliens se sont affairés à renforcer les postes aux entrées de la ville, constatait ainsi un journaliste de l'AFP. "Dès qu'on sort de plus de quelques kilomètres de Gao, c'est dangereux" a, pour sa part, confié un officier malien.

    Selon des sources militaires françaises et maliennes, plusieurs des villages entourant Gao sont acquis à la cause des islamistes.

    09/02/13
  • La Liberté guidant le peuple vers la vérité sur le 11/9 : un acte politique ?

    sans-titre.png La liberté.png

    Lire l'article : http://lejournaldusiecle.com/2013/02/08/ae-911-la-degradation-du-tableau-de-delacroix-etait-un-acte-politique/

    +VIDEO

  • Londres : un conseiller municipal suspendu pour avoir comparé la burqa à un sac-poubelle

    sans-titre.png  burkas et sacs poubelle.png

      

    07/02/2013 – 20h00
    LONDRES (NOVOpress) - Le scénario est désormais classique. Un type pas spécialement subtil poste sur Internet une plaisanterie politiquement incorrecte. Les gros médias la découvrent, le dénoncent, donnent son nom et sa profession, le mettent au pilori. Les associations communautaristes s’en mêlent, la police et la justice interviennent, ses collègues et amis se hâtent de prendre leurs distances, la mort sociale n’est pas loin.

     

    La dernière personne, outre-Manche, à payer très cher son sens de l’humour est Chris Joannides, conseiller municipal conservateur du district londonien d’Enfield. Sur sa page Facebook (photo ci-dessus), il avait posté une photo d’une femme en burqa, flanquée de sa fille, également en burqa, et de deux sacs-poubelles. Légende : « Je l’ai rencontrée là et je lui ai dit qu’elle avait trois beaux enfants. Elle n’avait pas à se mettre en rage et à me menacer. C’était juste une erreur ! »

    Le Guardian a consacré tout un article à ce « racisme contre les musulmans ». Selon Azad Ali, président du Muslim Safety Forum, « c’est un exemple choquant de l’islamophobie institutionnalisée et normalisée. Nous comptons que le Parti conservateur prendra une position vigoureuse contre ce comportement, et qu’il prouvera que ses efforts en direction de la communauté noire et des minorités ethniques ne sont pas purement symboliques. Nous suivrons en outre cette affaire avec la police de Londres et veillerons à ce que toute la rigueur de la loi soit appliquée ».

    Le groupe conservateur au conseil municipal d’Enfield a immédiatement suspendu Joannides. Le conseil pourrait de son côté prendre des mesures disciplinaires. Le Guardian souligne que l’affaire survient au moment précis où David Cameron cherche désespérement des solutions pour accroître la très faible popularité du Parti conservateur parmi les électeurs des minorités ethniques.

    Joannides paraissait à l’origine un choix habile, puisqu’il est Chypriote grec d’origine, et qu’Enfield abrite des milliers d’électeurs de cette communauté. Las, le district compte aussi de nombreux Chypriotes turcs et la page Facebook de Joannides contiendrait aussi « des choses propres à offenser les personnes qui ont un héritage chypriote turc ». Quand le communautarisme électoral devient un casse-tête…

    Chris Joannides avait refusé de répondre aux journalistes du Guardian et s’était contenté de supprimer sa page facebook. Il a depuis tenté de se justifier dans le Daily Mail : « Je ne suis pas, n’ai jamais été, et ne serai jamais islamophobe. J’appartiens moi-même à une minorité ethnique et je suis parfaitement conscient des préjugés auxquels les gens peuvent être exposés. Les commentaires que j’ai faits étaient contre le terrorisme et le fondamentalisme islamiques, y compris la diabolisation des femmes, c’est-à-dire quelque chose qui concerne le monde entier, à la lumière des attaques terroristes contre l’Occident depuis le 11 septembre ». Ces explications assez laborieuses n’ont pas apaisé la polémique. D’après la seule habitante d’Enfield interrogée, ou du moins citée, par le Daily Mail, une certaine Samantha Cox, les propos du conseiller « pourraient sembler inoffensifs, mais ils sont incroyablement insultants ».

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Mariage gay: l'adoption plénière adoptée en séance plénière

    Publié le 06 février 2013 à 12:00

     

    Comme si de rien n’était, pendant que les journaleux de France et de Navarre comparaient les « triangles roses » aux « triangles noirs » en se demandant lesquels étaient les plus « nauséabonds », l’Assemblée Nationale a voté en catimini l’ouverture de l’adoption plénière aux couples homosexuels. Pour ceux qui l’ignorent encore, ce type d’adoption entraîne une reconnaissance de filiation. Autrement dit, les couples homosexuels seront dorénavant les « parent 1 » et « parent 2 » d’un enfant adopté, par-delà les générations, ce qui dépasse l’exercice d’une simple tutelle. Les livrets de famille nouveaux consacreront donc cette révolution anthropologique qui, en accordant un « enfant pour tous », prive les enfants adoptés de liens avec leurs parents biologiques.

    Quoi qu’on en pense, ce n’est pas une mince affaire. Et pourtant, Frigide Barjot a eu maille à partir avec une presse sourde et aveugle à ses revendications. L’adoption plénière, connais pas ! Le communiqué de presse des organisateurs de la Manif pour tous s’est vu boudé par la quasi-totalité des médias, à l’exception de votre serviteur et de quelques autres inconscients qui ne craignent pas de joindre leur voix au concert de la méchante France catholique, blanche, noire, antillaise, musulmane, juive… dont on distingue de moins en moins les contours bigarrés.

    Au fait, petit détail qu’évoque Barjot dans son dernier communiqué de presse, 55% des Français se disent opposés à l’adoption plénière pour tous. Une paille pour les parlementaires de la majorité… ou une poutre ?

    Manuel  Moreau

    Causeur.fr
  • La France a payé pour libérer des otages 17 millions de dollars


    "La rançon a été payée indirectement" par Europe1fr

    Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des Etats-Unis, affirme que la France a payé pour libérer des otages. Un document exclusif I-Télé. Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.europe1.fr/International/La-France-a-paye-pour-ses-otages-1408163/

  • Grèce : face à la gabegie et à l’immigration, l’Aube dorée s’impose au… biceps

    sans-titre.png Aube dorée 1.png

    Distribution de vêtements et de nourriture par l'Aube dorée à la partie des Grecs en voie de clochardisation

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    Manifestation anti-Aube dorée en janvier à Athènes

     

    8 février 2013

     

    C’est devenu le paradoxe grec. Fin janvier, à Athènes, des milliers de gauchistes ont manifesté contre les “ratonnades” d’immigrés illégaux organisées par le parti « néo-nazi » Aube dorée… Mais rien n’y fait ! Malgré ces protestations, le parti le plus radical du paysage politique grec continue sa course en avant.

     

    Le parti Aube dorée, groupusculaire tout au long des années 2000, entré au Parlement en juin 2012 avec 7 % des voix, est désormais crédité de 13 % d’intentions de vote, devenant la troisième force politique du pays ! Un succès que l’on ne peut séparer d’un discours ultranationaliste et de méthodes musclées, sur fond de démission des autorités.

    L’Aube dorée a commencé sa longue conquête électorale dans le quartier athénien d’Agios Panteleimonos, connu pour accueillir un grand nombre d’étrangers. Face aux multiples violences et perturbations causées par les immigrés illégaux, touristes et badauds finissaient par déserter ce coin populaire de la capitale. Même les riverains n’osaient plus sortir de chez eux…

    Grèce : Face à la gabegie et à l'immigration, l’Aube dorée s’impose au… biceps

    Aube dorée

    Jusqu’à ce que l’Aube dorée constitue des patrouilles et entreprenne de nettoyer l’endroit par la force. « Avant que les membres du parti viennent s’en prendre aux immigrés pour assurer notre sécurité, personne ne sortait après 17 heures. On tremblait de peur », avouent Pavlos et Vaguélia, deux habitants du quartier interrogés par des journalistes suisses interloqués.

    Véritable porte d’entrée de l’immigration irrégulière à destination de l’Union européenne, la Grèce est terrassée par la crise (le chômage vient d’atteindre 26 %) et l’insécurité. Dans ce contexte, nombre d’immigrés illégaux venus bénéficier du système social ont versé dans la délinquance et la criminalité. L’Etat, lui, est accusé de ne pas jouer son rôle. Yiannis tient un kiosque dans le quartier depuis six ans. Selon lui, « la Grèce se passerait bien d’Aube dorée… si seulement la police était plus efficace ! Je l’ai appelée plusieurs fois car des immigrés volaient ma marchandise. Elle n’est jamais venue. L’Aube dorée comble donc le vide de l’Etat à sa manière. »

    La Grèce prête pour le grand saut ?

    Entre les chasses à l’homme contre les dealers et les proxénètes ou les attaques de marchands à la sauvette, le parti multiplie les actions violentes. Mais cela ne choque plus ! Georges Contogeorgis, professeur de sciences politiques à Athènes, sans légitimer ces méthodes, les replace dans leur contexte: « Il ne suffit pas de blâmer le succès d’Aube dorée, il faut essayer de comprendre. En agissant sur le terrain, le parti répond aux inquiétudes de la société que les autres politiques ignorent, enfermés derrière leurs privilèges. »

    Si l’Aube dorée souffre de son image, les membres du parti s’en nourrissent pour inverser la tendance. Artémios Mathéopoulos, député Aube dorée de Thessalonique analyse le succès de son parti: « Nous n’avons pas peur de parler des problèmes et de proposer des solutions concrètes pour aider notre pays. Les politiques et les médias nous accusent d’être violents et déforment la réalité car ils ne savent pas à qui s’en prendre. Mais les sondages montrent que cela ne marche pas. Contrairement aux politiques mises en place depuis toujours, nous ne volons pas le peuple et ne mentons pas. Nous sommes la solution et pas le problème d’une Grèce devenue dépendante. »

    Face à une asphyxiante politique économique dictée par la technocratie bruxelloise, l’Aube dorée a, une fois de plus, décidé d’agir sur le terrain pour aider une population en voie de clochardisation.

    En véritable ONG, le parti ouvre les portes de ses locaux, désormais implantés partout en Grèce. La préférence nationale y est appliquée avec soin. Et cela marche! Après avoir prouvé sa nationalité, chacun peut venir y chercher des sacs de nourriture et de vêtements. Si Artémios Mathéopoulos assure que le parti a toujours agi ainsi, l’entrée d’Aube dorée au Parlement a favorisé une meilleure organisation et permis d’accroître les moyens.

    « Chacun de nos députés donne 3000 euros, pris sur son salaire, afin que nous puissions aider davantage les Grecs. » Après la mise en place d’une banque de sang, le parti vient de créer une sorte de Pôle emploi pour aider les chômeurs. Là encore, priorité nationale, solidarité et proximité sont les maîtres mots: « On connaît les gens qui viennent dans nos locaux et si je sais que, parmi eux, il y a un électricien, je ferai appel à lui et non à un inconnu », explique le député.

    Grâce à ces actions sécuritaires et sociales, fondées sur la solidarité nationale, ainsi que sur la critique pertinente d’un Etat démissionnaire et de partis ayant fait la preuve de leur incompétence, l’Aube dorée rassemble largement au-delà des fanatiques et des déçus d’une société mise à mal. Elle devient même une alternative possible au Système. Selon le politologue et historien anglais Antony Beevor, « si une nouvelle crise se préparait avec la troïka (FMI, BCE, zone euro), le gouvernement d’Antonis Samaras [ndlr: qui ira prochainement demander une nouvelle aumône à Berlin], n’y résisterait sans doute pas: ce serait alors un vrai saut dans l’inconnu pour Athènes. »

    Patrick Cousteau

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 6 février 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Crédit photos : Aube dorée.

     

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • L’énorme scandale de la destruction profanatrice de l’église Saint-Jacques d’Abbeville

    sans-titre.png Eglise d'Abbevile.png

     

     

    À la benne municipale…

    Comme l’écrivait Michel Janva du Salon Beige : « L’État n’entretient pas les biens qu’il a volés. Alors il finit par les détruire »… C’est la logique du système depuis plus de deux siècles, depuis les « biens nationaux » jusqu’aux « inventaires ». Sommes-nous en Chine communiste, en Corée du Nord ou dans un califat taliban ? Car, nous précise toujours le Salon Beige, cette destruction scandaleuse s’accompagne d’une véritable profanation car l’évêque d’Amiens, Mgr Jean-Luc Bouilleret, n’a jamais été saisi d’une demande de désaffection de cette église d’Abbeville, toujours consacrée. C’est une violation flagrante par la municipalité, avec l’aval de la préfecture, de la loi dite de « séparation ». Une profanation qui s’est accompagnée de nombreux sacrilèges comme ce grand crucifix jeté à la benne à ordures par les employés municipaux. Voyez ce commentaire de l’abbé Jean-Louis Brunel, curé d’Abbeville et vicaire épiscopal du diocèse d’Amiens. L’évêque devrait évidemment faire un procès à la municipalité et organiser une cérémonie de réparation, à l’exemple de son confrère du Togo

    « La démolition du chœur de l’église Saint Jacques d’Abbeville a consterné beaucoup d’Abbevillois après des mois pour ne pas dire des années de silence sur l’avenir de cet édifice. Je suis blessé par cette décision précipitée. Je l’ai apprise, comme beaucoup d’Abbevillois, par la presse et la télévision après le coup de pelle irréversible ! A ce jour, l’église Saint Jacques est toujours affectée au culte catholique. Nous attendons des dispositions de réparation ou de demande de désacralisation. Ainsi est la loi républicaine. Pourtant, aucune décision de ce type n’a été prise par la municipalité d’Abbeville. Je ne préjuge pas de la fragilité avérée de l’édifice qui menaçait depuis longtemps déjà. Je m’étonne de la décision précipitée, sans même avertir les premiers concernés, ne serait-ce que par respect pour la mémoire collective que représente cet édifice. Ce n’est pas une église qu’on “éventre”, c’est une communauté chrétienne et au-delà que l’on méprise et que l’on blesse de la sorte. (…) Faut-il souligner les images bouleversantes sur la chaine régionale non seulement d’un mur qui s’effondre, mais d’un Christ en croix emmené dans une benne des services techniques, sans ménagement, pour être “inhumé” dans les caves du musée. Le statuaire de cette église s’y trouve déjà, déménagé sans préavis il y a plusieurs années. La démolition, programmée depuis longtemps semble-t-il, atteint durement le cœur des Abbevillois. »

    Il s’agit là, je le répète d’un énorme scandale dont il va nous falloir nous occuper…

    Observatoire de la christianophobie

  • Maréchal Alphonse JUIN, 2 juillet 1962

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    Alphonse Juin, maréchal de France  (1888-1967)

     

    « ... Que les Français, en grande majorité aient, par referendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger : cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
    La France est en état de péché mortel.
    Elle connaîtra un jour le châtiment. »
  • 1963-2013 Présence de Jean BASTIEN-THIRY, cinquante ans après...

    sans-titre.png Jean Bastien-Thiry.png

    Pour le 50ème anniversaire de la mort du

     

    Colonel Jean BASTIEN-THIRY


    fusillé le 11 mars 1963 au Fort d’Ivry,

     

    le Cercle Jean Bastien-Thiry, sa famille et ses amis vous invitent :


    - Le samedi 23 février de 9h30 à 18h30 :

     

    à la journée-colloque « Bastien-Thiry, 50 ans après »

     

    au Forum de Grenelle,

     

    5 rue de la Croix Nivert,

     

    75015 Paris,

     

    participation aux frais : 5€,

     

    renseignements sur le site www.bastien-thiry.fr

     

    Réservez en écrivant au Cercle Jean Bastien-Thiry (poste ou courriel)

     

     
    - Le dimanche 10 mars à 15 heures :

     

    à la cérémonie au cimetière de Bourg-la-Reine (92)

     

    sur la tombe de Jean Bastien-Thiry

     

    - Le lundi 11 mars à 18 heures :

     

    à la messe célébrée en l’église Sainte Odile

     

    (2 av. Stéphane Mallarmé, 75017 Paris)

     

     
    Cercle Jean BASTIEN-THIRY – B.P.70 – 78170 La Celle St Cloud

     

    Courriel : basthiry@aol.com
     
     
    Source Le Bourricot

     

  • CHIMULUS

    sans-titre.png CHIMULUS.png

  • Florian Philippot sur i>TELE - 07/02/13

  • La guerre au Mali "va durer plusieurs années" - Interview d'Alain Rodier

    Ancien officier du renseignement français, Alain Rodier est un spécialiste du terrorisme et de la criminalité organisée. Avec ou sans la France, la guerre menée au Mali contre le terrorisme sera nécessairement longue.

    TF1 News. François Hollande a déclaré vouloir "détruire les terroristes". Est-ce un objectif réalisable à court terme ?

    Alain Rodier. Non. Il ne faut pas rêver. Il y a des déclarations politiques. La réalité est souvent différente. Une guerre est courte quand elle ne dure pas plus de trois mois. Elle est longue dès lors qu'elle se compte en trimestres. On sait quand l'opération militaire a commencé. On ne sait en revanche absolument pas quand elle va se terminer. Pour la simple raison qu'on ne maîtrise pas l'ennemi auquel on fait face. Une fois que les trois villes du Nord (Gao, Kidal, Tombouctou) auront été libérées, il faudra faire en sorte que l'adversaire qui est infiltré partout ailleurs n'ait pas un pouvoir de nuire trop grand. Nous sommes en face de beaucoup d'inconnues.

    • TF1 News. Quels sont les points forts d'Aqmi et des autres groupes armés implantés au Mali ?

    Alain Rodier. Ils sont très fluides, très mobiles, avec leurs véhicules légers. Ils bénéficient de caches au Nord-Mali, dans lesquelles ils peuvent se réapprovisionner en carburant. Ce problème, qui est essentiel, n'est pas assez mis en avant. Si les forces françaises parviennent à bombarder ces caches, elles porteront un grand coup à l'ennemi. Les combattants qui composent les différents groupes armés ne sont pas très nombreux. Entre 3000 et 6000 hommes d'après les estimations. Mais ce petit nombre les sert quand il s'agit de s'évanouir dans la nature. Pour échapper aux frappes aériennes, qui constituent pour eux la plus grande menace, ils ont tendance à se mélanger à la population. Une des grandes craintes de l'état major français est un raid de l'ennemi sur Bamako. Quatre ou cinq hommes qui s'infiltreraient jusqu'à la capitale malienne pour y commettre un attentat. Ca ne serait pas étonnant.

    • TF1 News. Le Mali peut-il devenir l'Afghanistan de demain ?

    Alain Rodier. Non. Il y a trop de différences avec le théâtre afghan. Le nombre de combattants engagés n'est pas le même. Les distances sont différentes. Et contrairement à l'Afghanistan où certaines populations sont favorables aux talibans, les populations maliennes ne sont absolument pas favorables à Aqmi. Le risque principal qui guette la France reste néanmoins l'enlisement. L'offensive des terroristes vers le sud a été bloquée, c'était la première partie de la mission. Il reste maintenant à libérer le nord du Mali. Mais le mot libération est un grand mot. En réalité, cela consiste à terme à reprendre les trois localités (Gao, Kidal, Tombouctou) et ensuite à les tenir. Les troupes africaines qui prendront le relais de la France pourront s'atteler à cette tâche là qui n'est pas très compliquée. Mais pour ce qui est des centaines de kilomètres de désert qui entourent les trois villes, personne ne les tiendra. Les trois villes devront ensuite être réapprovisionnées. Or tenir des milliers de kilomètres de routes est quasiment impossible. Il faudrait escorter les convois. Mais cela n'empêchera pas les embuscades.

    • TF1 News. La guerre au Mali semble donc partie pour durer.

    Alain Rodier. Oui, elle va durer plusieurs années. Mais pas forcément avec la France. La libération des trois villes du nord, la formation des forces maliennes - de manière à ce qu'elles puissent tenir ces trois villes - et la remise en selle d'un gouvernement digne de ce nom à Bamako paraissent un objectif réalisable à partir duquel la France pourra se mettre en retrait.

  • Guerres de Vendée : Reynald Secher prépare un documentaire sur la Virée de Galerne

     

    L’historien Reynald Secher a projeté de réaliser un documentaire historique et télévisé sur la Virée de Galerne. Cette virée, c’est celle que les vendéens, après la défaite de Cholet, vont entreprendre sur la rive droite de la Loire, en terre chouanne. Du 18 octobre au 23 décembre 1793, après avoir franchi le fleuve, ils vont poursuivre leur campagne jusqu’à Granville, avant de regagner la Loire. Ils seront massacrés avant de la franchir, au Mans d’abord, puis à Savenay, ainsi qu’en témoigne d’ailleurs un protagoniste de l’époque, le général républicain Westermann :

    « Il n’y a plus de Vendée, elle est morte sous notre sabre libre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’avez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… »

    Le documentaire construit à partir du récit d’un témoin de cette marche tragique s’articule autour d’interventions d’historiens et de responsables d’associations qui entretiennent la mémoire de ces événements.

    En cette année anniversaire de la Contre-Révolution, le souvenir de cette geste vendéenne, épopée hors du commun qui finira en tragédie, sera l’occasion de revenir sur l’extermination délibérée, planifiée et légiférée dont seront ensuite victimes les vendéens du sud de la Loire, alors même qu’ils ne représentaient plus aucun danger pour la république. Un ressort idéologique à cette extermination de masse : la volonté de bâtir un homme nouveau. Des événements sur lesquels nous aurons l’occasion de revenir au cours de cette année…

    Contre-info.com

  • Mutinerie sur une base militaire à Bamako

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    BAMAKO (Reuters) - De violents échanges de tirs sur une base militaire de Bamako ont opposé vendredi l'armée malienne à des mutins issus d'une unité de parachutistes fidèles à l'ancien président Amadou Toumani Touré, déposé en mars 2012 par un coup d'Etat d'officiers subalternes.

    Cet incident survient alors que l'armée malienne, avec l'aide des forces françaises et africaines, tente de reconquérir l'intégralité du nord du Mali tombé à la suite du putsch de mars 2012 entre les mains de rebelles touaregs puis d'islamistes armés.

    Pris de panique, les habitants du quartier de Djicoroni-Para ont fui lorsque les premiers coups de feu ont retenti en provenance de la caserne militaire des parachutistes, située sur les rives du Niger, dans l'ouest de la capitale malienne.

    Des unités de l'armée malienne appuyées par des blindés ont encerclé la caserne, d'où s'élevait de la fumée.

    Cette fusillade a fait au moins un mort, selon les médias officiels.

    Après plusieurs heures de combat, le calme est finalement revenu.

    D'après des officiers maliens, des "bérets rouges" fidèles à Amadou Toumani Touré avaient reçu l'ordre de rejoindre d'autres unités pour combattre les islamistes armés dans le nord du pays. Les parachutistes ont exigé d'être déployés ensemble au sein d'un même régiment et c'est pour cette raison qu'ils ont affronté la police militaire.

    "UNE HONTE"

    Ces combats entre militaires maliens ont suscité la colère de nombreux habitants de Bamako, qui savouraient jusque-là dans la fierté et le soulagement les rapides progrès accomplis par les forces françaises et africaines face aux islamistes armés dans le nord du pays.

    "Je ne comprends pas comment, au moment où les forces françaises et africaines sont ici pour mener notre guerre à notre place (...), des soldats maliens, au lieu d'aller combattre au front, se battent pour une querelle stupide", dit Assa, une habitante de l'ouest de Bamako, en fuyant la fusillade.

    "C'est une véritable honte. Ça me donne envie de renoncer à ma nationalité malienne", a-t-elle ajouté.

    Depuis le coup d'Etat de mars 2012, l'unité d'élite des "bérets rouges" a été marginalisée et certains de ses membres ont été arrêtés après une tentative de contre-coup d'Etat en mai.

    Les combats entre ces parachutistes et les forces du capitaine Amadou Sanogo, le chef des putschistes, avaient alors duré plusieurs jours et fait au moins 27 morts.

    "Le chef d'état-major avait pris des mesures disciplinaires contre certains parachutistes et certains d'entre eux n'étaient pas contents de la décision alors ils se sont levés ce matin et ont commencé à tirer", a dit un responsable du ministère malien de la Défense à Reuters.

    Des membres des familles des parachutistes ont aussi affronté la police militaire vendredi à jets de pierres.

    Tiemoko Diallo et Adama Diarra, Jean-Stéphane Brosse, Tangi Salaün et Bertrand Boucey pour le service français.

    Yahoo!Actu - 08/02/13