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GAELLE MANN - Page 1063

  • Mieux vaut être une Femen qu'un Identitaire !

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    Journaliste.
    Fondateur de Reporters sans frontières.

     

    Revenons sur les Femens et leur intervention à Notre-Dame de Paris. Ou plutôt sur les réactions qu’elle a suscitées. Que je sache, si certains – à commencer par les contributeurs de Boulevard Voltaire – se sont scandalisés de ce happening de mauvais goût, si deux plaintes ont été déposées selon le recteur et archiprêtre de la cathédrale – dont l’une pour « profanation d’un espace cultuel » et « profanation d’objets sacrés » -, je n’ai entendu aucune de nos habituelles grandes consciences, personne parmi nos people du monde médiatique exiger un procès, une condamnation, une interdiction. Et c’est fort bien.

    Si Marine Le Pen a dénoncé une provocation « ignoble et lâche » Manuel Valls, notre ministre de l’Intérieur, s’est contenté de parler d’une « provocation inutile ». Et le maire de Paris, Bertrand Delanoë, usant d’à peu près les mêmes termes, d’une « provocation inopportune et déplacée ». Et pourquoi pas.

    Du côté de la presse, si David Abiker et Bruno Roger-Petit ont dit leur désapprobation sur leurs blogs respectifs, pas d’éditoriaux au vitriol, pas de tribunes outrées dans les colonnes de Libération ou du Monde. Le site d’Edwy Plenel n’a pas lancé ses fins limiers sur les traces des éventuels parrains de nos dames, sur ceux qui les financent. Rien. Dans nos bon médias de gauche, même si l’on réprouve de telles méthodes, il ne viendrait à l’idée de quiconque d’aller plus loin qu’un vague froncement de sourcils. Et c’est fort bien.

    La liberté de manifester est garantie par la Constitution, des Déclarations diverses et variées, des Conventions signées et ratifiées. Qu’il s’agisse d’une église, que ces pétroleuses aient badigeonné leur poitrine dénudée de slogans comme « No homophobe », « Crise de la foi », « Bye bye Benoît ! », tout cela ne change pas grand-chose aux yeux de ceux qui sont en charge de l’ordre public. Ils n’en tirent aucune circonstance aggravante pour ces jeunes femmes aux atours fort télégéniques. Et pourquoi pas.

    Mais que ces gens ont peu de mémoire ! Dois-je leur rappeler leurs cris, leur indignation, leurs menaces quand les jeunes du mouvement Identitaire sont allés occuper une mosquée à Poitiers ? Une mosquée en construction. Sans l’ombre d’un fidèle. Mais, que voulez-vous, ils ne sont pas de gauche et ils touchent à l’Islam. Résultat : garde à vue, contrôle judiciaire – avec interdiction de quitter le département ou de rencontrer d’autres membres du mouvement —, et procès en perspective pour quatre d’entre eux. Accusés notamment de « provocation à la discrimination nationale, raciale et religieuse » et « d’organisation d’une manifestation sur la voie publique sans déclaration »… On a même entendu Harlem Désir demander la dissolution du mouvement, rien que ça ! Et Jean-Marc Ayrault, qui n’avait rien d’autre à faire, se fendre d’un communiqué vengeur alors qu’il était en voyage à… Manille.

    Alors, un conseil aux jeunes de Génération identitaire : la prochaine fois, mettez les filles en première ligne et surtout, torse nu. Quant aux aboyeurs de service : pour une fois, soyez conséquents, l’indignation à géométrie variable, ça commence à bien faire.

    Robert Ménard, le 14 février 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • La Serbie ne reconnaîtra pas le Kosovo, même pour intégrer l'Union européenne

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    14/02/2013 -20h20
    BELGRADE (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - C’est une annonce faite par Slavenko Terzic, ambassadeur de Serbie en Russie, au cours d’une conférence de presse, et alors que les négociations d’adhésion de son pays à l’Union européenne doivent s’ouvrir l’année prochaine.

    Le diplomate a ajouté que « la Serbie est prête à accorder la plus large autonomie aux Albanais kosovars, mais ne reconnaîtra jamais l’État artificiel du Kosovo ».

    Rappelons que le Kosovo, séparé du territoire serbe par les forces occidentales, n’a pas été reconnu par l’ONU, une majorité de pays défendant l’intégrité territoriale de la Serbie.

    Crédit photo : DR

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Savoie: harcelé au collège, Matteo s'est pendu à 13 ans - Ses parents portent plainte

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    Page d'hommage à Matteo sur facebook

     

    Les parents de Matteo, l'adolescent de 13 ans qui s'est suicidé vendredi en Savoie, ont porté plainte pour «homicide involontaire» et «non-assistance à personne en danger». Le garçon était en classe de 4e au collège Saint-Exupéry à Bourg-Saint-Maurice.

     

    Sa famille avait déjà porté plainte en 2011 contre deux jeunes de l'établissement qui avaient agressé leur fils dans la cour de récréation, alors qu'il était en 6e.



    Le parquet d'Albertville a indiqué que l'ouverture d'une information judiciaire était envisageable, mais que si tel était le cas, elle ne devait pas l'être avant plusieurs jours, le temps de procéder aux auditions et d'avancer dans l'.

    Amateur de rap, Matteo, retrouvé vendredi après-midi pendu dans sa chambre, avait posté une vidéo sur dans lequel il exprimait son mal-être. »Il y a aussi la discrimination, oui je le crie fort, j'en ai beaucoup souffert, mais il n'y a pas que moi. La vie est une lutte, il faut résister», peut-on entendre.

    Des difficultés relationnelles avec ses camarades

    Le collégien, dont «on avait repéré les difficultés relationnelles avec ses camarades dès son arrivée au collège, avait fait l'objet d'un accompagnement par l'intermédiaire du conseiller principal d'éducation avec qui il avait noué une relation de confiance», a expliqué le directeur de cabinet du rectorat, François Charlon.

    La 5e et le début de 4e s'étaient «bien passés», selon le rectorat, jusqu'à ce qu'il y a une quinzaine de jours le jeune garçon reçoive un coup de poing. «Cet événement serait passé inaperçu dans d'autres circonstances», a relevé le rectorat. «Le père avait pris rendez-vous avec le directeur du collège et une sanction avait été infligée à l'auteur du coup», a précisé M. Charlon.

    Le Parisien - 14/02/13

  • Plaintes contre les Femen sans réponse : Allô Mme Taubira ?

     

     

    Communiqué des cercles des avocats libres sur l’action des FEMEN :

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    Mardi 12 février, un groupe d’activistes se disant appartenir aux « femen » a fait irruption dans la cathédrale de notre Dame, dévêtues, et recouvertes de slogans anti-chrétiens en hurlant des insanités telles que « fuck the pope ». Elles entendaient célébrer la démission de Benoit XVI et prétendaient dénoncer l’homophobie de l’Eglise catholique.

    Ce n’est malheureusement pas la première fois que ces activistes qui se prétendent féministes et qui ont été interdites en Ukraine, se livrent en France et en toute impunité à ce type d’exaction anti-chrétiennes. Le 18 novembre dernier, celles-ci avaient violemment attaqué le cortège des catholiques traditionnalistes qui manifestaient contre le mariage entre personnes du même sexe. Munies d’extincteurs, dévêtues de la même façon et affublées de slogans violemment anti-chrétiens, elles avaient commis par moins de quatre infractions pénales.

    A ce jour, et sauf erreur de notre part, il ne semble pas que la moindre poursuite ait été engagée à leur encontre. A contrario, certains pères de famille qui avaient défendu leur famille en novembre dernier en repoussant les femen ont été placés en garde à vue, mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Les plaintes déposées par les familles contre les activistes FEMEN sont à ce jour toujours sans réponse. Il y a à l’évidence une différence de traitement de la part des autorités politiques et judiciaires qui confine ici à la discrimination et au déni de justice.

    Combien d’agressions faudra-t-il tolérer avant de commencer à appliquer la loi et à défendre les catholiques comme des citoyens ordinaires ? Une telle agression aurait été à l’évidence impensable dans une mosquée. Faut-il rappeler que les jeunes gens qui ont pénétré dans une mosquée en construction en octobre dernier ont été interpellés, placés en garde à vue et placés sous contrôle judiciaire avec une interdiction de sortir du département ? Les FEMEN subiront elles le même sort ?

    Nul besoin d’être grand clerc pour discerner que derrière cette inaction volontaire du Ministère Public toujours prompt par ailleurs à faire la chasse aux idées jugées politiquement incorrectes par les ligues de vertu et la police de la pensée transparaît en arrière fond un climat de christianophobie latent. Le cercle des avocats libres qui regroupe des confrères et des membres des professions judiciaires attachées aux libertés mais également à la justice et l’équité, dénonce cette différence de traitement flagrant et appelle à protester énergiquement mais pacifiquement devant le ministère de la justice pour dénoncer ce traitement manifestement méprisant à l’encontre des chrétiens et demander l’application de la loi. Il communiquera prochainement sur la date et l’heure de ce rassemblement.”

    source Michel Janva

    ALTERMEDI FRANCE 

  • Famille Spanghero: "nous sommes atterrés par ce qui se passe"

    "C'est un traumatisme", résume Walter Spanghero. L'ancien propriétaire du groupe alimentaire éponyme, et son frère Laurent, se disent "attérrés" par le scandale de la viande de cheval, qui éclabousse l'ancienne société familiale. Car c'est bien l'entreprise Spanghero qui est aujourd'hui montrée du doigt.

    "Spanghero savait"

    L'accusation est venue de Benoît Hamon. Jeudi après-midi, le ministre délégué à la Consommation a indiqué, lors d'un point presse révélant les résultats de l'enquête menée par la DGCCRF, que "Spanghero savait qu'il étiquetait de la viande de cheval sous l'étiquette de viande de boeuf" avant de les revendre à la société Comigel, qui fabrique les plats.

    "Le premier acteur de cette filière à estampiller la viande en tant que 'boeuf' était Spanghero", a insisté le ministre, précisant que l'industriel sera poursuivi.

    Dans la foulée, le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll a annoncé la "suspension immédiate" de l'agrément sanitaire de la société Spanghero.

    Le "désespoir" des frères Spanghero

    Du côté de Castelnaudary, dans l'Aude, où siège l'entreprise, les frères Walter et Laurent Spanghero se disent "désespérés". Bien que la société ne leur appartienne plus depuis 2009, ils estiment que leur nom a été sali.

    "Nous sommes affectés", explique Laurent Spanghero. "Ca fait cinquante ans que nous sommes ici, nous travaillons encore et nous somme atterrés par ce qui se passe, dont nous ne sommes pas responsables. Comment voulez-vous ne pas être atterré ? Qu'est-ce qu'on va dire quand nos enfants, nos petits-enfants vont passer dans la rue ? On va dire 'c'est un Spanghero'", se désole-t-il, visiblement très ému.

    "On vit des moments difficiles", poursuit son frère, Walter. "Je pense beaucoup aux personnes qui sont encore dans l'entreprise et qui vont au devant des problèmes parce qu'aujourd'hui, la vie est difficile. Je ne souhaite qu'une chose : qu'ils aient des lendemains heureux. Pour le reste, la justice fera son chemin et on verra bien", lance-t-il, avant d'évoquer un "traumatisme".

    BFMTV - 14/02/13

  • La honte de la République, par Bruno Gollnisch

    le cri munch bis

    Elles ont établi à Paris en septembre 2012, avec l’accord des autorités, « le premier centre d’entraînement » au « nouveau féminisme ». Les prostituées ukrainiennes regroupées au sein du collectif Femen, financé par le milliardaire allemand Helmut Geier, sa compatriote femme d’affaires Beat Schober, et le businessman américain Jed Sunden ont « fêté » hier à leur manière, citons une d’entre elles, « le départ du pape Benoit XVI et la légalisation du mariage homosexuel en France ». Dépoitraillées, couvertes de slogans orduriers et beuglant comme à l’accoutumée leur haine de la religion catholique, les amies de Caroline Fourest se sont livrées à leurs provocations dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Chacun jugera comme il convient des protestations de MM. Valls et Delanoë. Socialistes et progressistes qui ont longuement ovationné mardi à l’Assemblée le garde des Sceaux Christiane Taubira, porteur du projet de loi en faveur du mariage (et à terme de l’adoption) pour les couples homosexuels, adopté en première lecture par 329 voix pour et 229 contre.

    Si quatre députés du groupe socialiste ou apparentés ont voté contre et cinq se sont abstenus, à l’UMP, sous la pression de la « base », seuls Benoist Apparu et Franck Riester ont voté pour. Nathalie Kosciusko-Morizet, Pierre Lelouche, Bruno Le Maire, Edouard Philippe et Nicole Ameline se sont abstenus. Cinq députés UDI ont voté pour, dont Jean-Louis Borloo, Yves Jégo et Jean-Christophe Lagarde.

    Preuve du conformisme du microcosme politico-médiatique, des «mutins de panurge » comme disait le regretté Philippe Muray (une plume de son calibre aurait fait merveille dans la recension de cette nouvelle avancée sociétale de « l’empire du bien »), nos journaux et chroniqueurs ne tarissent pas d’éloge sur Mme Taubira, son intelligence, sa culture, sa fermeté dans les débats, son charme… Bref, l’émule de saints républicains comme Robert Badinter ou Simone Veil, là ou beaucoup de Français ont vu l’étalage d’un sectarisme et d’un extrémisme qui traduisent ses origines politiques. Nous nous souvenons aussi de ce débat de mars 2007 sur le thème de l’immigration ou face à Marine Le Pen et faute d’arguments rationnels, Christiane Taubira était souvent tombée dans l’invective. Position outrancière dans le domaine de la gestion des flux migratoires qui avait conduit le futur ministre de la Justice à signer, en juin 2010, une pétition exigeant la régularisation des travailleurs immigrés en situation irrégulière sur notre territoire…

    Avec cette diction ampoulée, ce ton déclamatoire et le style pompier qu’elle affectionne, Mme Taubira a donc subjugué ses amis et adversaires politiques de l’UMP ; déjà quelques fins connaisseurs de la vie politique française, en font une possible (probable) « première ministrable ». Oubliées les critiques assassines contre celle qui, en se présentant à la présidentielle de 2002, fut désignée comme responsable de l’élimination de Lionel Jospin au premier tour…

    Le quotidien Sud Ouest rapporte les propos de l’ex-président UMP de l’Assemblée, Bernard Accoyer, qui certainement bien fatigué affirme : « Elle est très bonne. Elle sortira bénéficiaire de ce débat. » Il est vrai que Christiane Taubira , Bruno Gollnisch l’avait rappelé et cette dernière en avait fait l’aveu, avait été « draguée » par Nicolas Sarkozy en 2007 qui souhaitait qu’elle entre dans le gouvernement d’ « ouverture » de François Fillon. Nous rappelions aussi à l’occasion de sa nomination dans le gouvernement Ayrault, cet épisode un brin comique ( ?) : invitée quelques temps auparavant sur RMC dans l’émission « Les grandes gueules », elle expliquait, croyant être en off, qu’elle se verrait bien quitter notre pays d’ingrats pour aller faire carrière « au Brésil ou en Afrique du Sud »…

    Mais, aujourd’hui cette nouvelle popularité de Mme Taubira « est confirmée par BVA » croit savoir Sud Ouest puisque un Français sur quatre déclare désormais « avoir une meilleure image » du ministre de la Justice. » « D’elle, on retient sa couleur de peau ajoute gravement cet article – Je suis devenue noire à Paris , confesse-t-elle comme blessée – 61 ans depuis quelques jours, Christiane Taubira, mère divorcée de quatre enfants, est un cri (sic) . Tous les coups reçus n’ont fait que m’érafler, si peu, comparé au supplice intime d’être de ce peuple qui assiste, passif, à son effondrement. Elle parle, bien sûr de sa Guyane qu’elle a trouvé, un jour, « la force de quitter ».

    « C’est d’abord pour cette terre qu’elle s’est battue comme économiste, sociologue, ethnologue. Comme militante indépendantiste et pourchassée (sic), qui votera Balladur en 1993. Comme candidate aux Européennes, sous la bannière de Tapie. Comme socialiste avant de se présenter, au risque de dévier l’histoire, contre Jospin, en 2002. Comme soutien de Montebourg après avoir été chargée d’un rapport par le président Sarkozy .Elle n’hésite pas à contredire son parti, le PRG, sur l’Europe, ou le PS sur les signes religieux à l’école. Les méchantes langues diront d’elle qu’elle mange à tous les râteliers. Christiane Taubira est surtout une incarnation de la liberté, la sienne et celle des autres : l’histoire dira si son nom restera davantage attaché au mariage gay qu’à la loi du 10 mai 2001 qui reconnaît la traite négrière et l’esclavage comme crimes contre l’humanité. »

    Comment ne pas être bouleversé par ce parcours sans tâche : militante anti-colonialiste humaniste, amie de Bernard Tapie, à l’origine d’une loi de repentance, invitant les « métropolitains » à battre leur coulpe pour les crimes de leurs ancêtres ?

    Bruno Gollnisch le relevait lors des débats sur cette fameuse repentance et le masochisme antinational, « tous ceux qui, aujourd’hui, ne se sentent pas Français, se retrouvent et se rassemblent pour se poser en victimes, passées, présentes ou à venir, de la France. Et lui demander de rendre gorge et comptes, devant les tribunaux s’il le faut. Car nos lois, sous prétexte de lutter contre le racisme et l’antisémitisme, confient au juge le droit de dire la vérité historique, et à n’importe quel groupe d’influence celui de tenter de la lui dicter. »

    « Ainsi de la loi Gayssot, de sinistre notoriété, ou encore de la loi Taubira qui ne désigne comme crime contre l’humanité que l’esclavage et la traite transatlantique de Noirs, mais pas les traites transafricaines ou arabo-musulmanes, pourtant identiques dans l’horreur et l’ignominie. »

    « Ainsi, poursuivait-il, aucun discours politique de défense des identités nationales, de fierté de l’Histoire nationale, de lutte contre le déferlement migratoire ou les dangers que fait peser sur la liberté de tous et de chacun l’islamisation en marche de notre continent n’est plus à l’abri des foudres de la police de la pensée. Il y a plus urgent que d’officialiser la dictature intellectuelle et judiciaire de tenants de la préférence étrangère et de la multiculturalité forcée. » Et aucune justification à l’établissement du mariage gay, débat fou qui a monopolisé l’énergie de la classe politicienne alors que notre pays se tord de douleur sous les coups redoublés du mondialisme.

    De fait, il y a une continuité idéologique entre la loi Taubira de 2001 et celle en faveur du mariage pour tous, continuité relevée par Bruno Gollnisch et qui porte le nom de logique communautariste, laquelle conduit à l’atomisation de la France au nom de la défense d’ « intérêts » particuliers. Il s’agit au nom d’une conception bien dévoyée de la politique et plus grave encore, de l’avenir de notre pays, de plaire à des clientèles communautaires dont le cercle de réflexion socialiste terra nova affirme qu’elles sont l’avenir électoral de la gauche

  • Galliano refait parler de lui: s'est-il déguisé en juif hassidique ?

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    sans-titre.png John Galliano  en juif hassidique.png

    La photo fait la Une du tabloïd américain, le "New York Post" : on peut voir le couturier John Galliano portant un manteau et un chapeau et des boucles de cheveux roulées sur les côtés, rappelant la tenue traditionnelle des juifs orthodoxes. Le quotidien dénonce un nouvel "affront" de l'ancien directeur artistique de Dior, congédié après avoir tenu, ivre, des propos antisémites à Paris en 2011.

    Même s'il est resté invisible à la Fashion Week de New York, le couturier John Galliano a de nouveau fait parler de lui mercredi, en raison d'une photo le montrant vêtu d'une tenue ressemblant, selon ses détracteurs, à celle portée par les juifs hassidiques.

    RTL INFO

  • Cavaillon: Charlotte, 14 ans, était-elle esclave chez un couple ?

     

     
    Cavaillon / Publié le jeudi 14 février 2013 à 16H41
     

    La jeune Ivoirienne affirme avoir été achetée dans son village près d'Abdijan

    Le couple où "travaillait" Charlotte est installé rue de la Brèche, en plein centre-ville de Cavaillon.
    Photo L.P.
    Le couple où "travaillait" Charlotte est installé rue de la Brèche, en plein centre-ville de Cavaillon.

    Hier, les policiers de Cavaillon dissimulaient mal une certaine stupéfaction après avoir mis fin à une affaire d'un autre âge. Pour eux, elle avait commencé à peine quelques heures plus tôt, mardi, en fin de matinée, lorsqu'une adolescente s'était présentée au commissariat.

    La jeune fille, âgée de 14 ans, et qui disait se prénommer Charlotte, expliquait qu'elle était Ivoirienne, qu'elle n'avait aucun papier et, surtout, qu'elle avait été achetée à sa famille pour être conduite en France et placée chez un couple cavaillonnais où elle servait de bonne à tout faire.

    Le Cavaillonnais qui l'aurait "achetée"

    En un mot comme en cent, c'est une jeune "esclave" qui venait de se réfugier à l'hôtel de police. Les policiers n'ont pas tardé à se présenter chez le couple -- un Ivoirien et une Française, parents de deux enfants en bas âge -- où "travaillait" Charlotte. Là ils ont assuré avoir pu vérifier les déclarations de la jeune fille. Selon l'adolescente, le Cavaillonnais qui l'aurait "achetée", se serait présenté au début de l'été dernier à Dabou, son village d'origine, tout près d'Abidjan.

    Et il aurait fait son "marché" dans sa famille, la choisissant pour qu'elle puisse s'occuper de la maison et des enfants. Courant septembre dernier, elle arrivait finalement en France. Au total, le Cavaillonnais aurait déboursé 4 500 € (3 M de F CFA) pour faire venir la jeune fille. Chez le couple, où elle n'était pas scolarisée, elle restait à la maison principalement pour s'occuper des enfants.

    Jugement le 15 mars

    Mais, selon ses dires, elle était régulièrement corrigée à coups de ceinture. C'est d'ailleurs à l'issue de l'une de ces corrections, cette fois administrée par un "ami" de son "patron", en fait un ressortissant togolais en situation irrégulière en France hébergé chez le couple, que la jeune fille a pris la fuite. Celle-ci, après avoir été entendue, a été placée dans un foyer de l'enfance à Avignon.

    Le Cavaillonnais présenté hier soir devant le tribunal d'Avignon pour violences volontaires, traite des êtres humains et aide et assistance à l'entrée d'étrangers en séjour irrégulier, a obtenu un délai pour assurer sa défense et ne sera jugé que le 15 mars. En attendant, il a été placé sous écrou. Il a tout de même eu le temps d'expliquer au juge qu'il n'avait jamais acheté l'adolescente mais l'avait au contraire sortie de son village pour qu'elle ait une éducation en France.

    Quant aux 4 500 €, ils n'auraient été payés que pour permettre à Charlotte de quitter son pays. Le prévenu a également assuré que c'est la jeune fille qui refusait la scolarisation. L'ami togolais sera également jugé en mars alors que la compagne du premier a été laissée libre.

    La Provence - 14/02/13

  • Des Identitaires occupent l’occupation d’une église en Autriche

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    13/02/2013 – 12h00
    VIENNE (NOVOpress) – Depuis décembre 2012 une cinquantaine d’immigrés clandestins musulmans occupent la Votivkirche (l’Eglise votive) à Vienne avec l’appui de groupes gauchistes et de Caritas (sa branche française est le Secours Catholique).

    Dimanche dernier, neuf jeunes gens du Identitäre Bewegung Österreich (Mouvement Identitaire Autrichien) ont à leur tour occupé (photo en Une) l’occupation de l’église pour protester contre l’immigration de masse et l’islamisation.

     

    Des Identitaires occupent l’occupation d'une église en Autriche

    Les immigrés clandestins occupant l’église. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

    Devant le risque d’affrontement de la part de groupes gauchistes et des immigrés, la police est intervenue et ces membres du groupe local viennois Wiens identitäre Richtung (WIR) – qui déclarent lutter “pour la préservation de leur identité” – ont quitté l’église.

    Selon l’APA (la plus importante agence de presse d’Autriche) – qui a fait étonnamment des dépêches au ton assez modéré -, Caritas et SOS Mitmensch (l’équivalent du SOS Racisme français) ont parlé d’une provocation délibérée. En tous les cas, avec peu de moyens et sans violences, cette action a eu un grand retentissement dans les médias autrichiens, ce qui n’est pas sans rappeler les actions des identitaires français dont les idées s’implantent avec succès en Autriche.

    Crédit photo en Une : Identitäre Bewegung Österreich, DR. Crédit photo dans le texte : Klaus Werner-Lobo, via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Big Brother : l’UE va-t-elle financer des patrouilles sur Internet ?

      13 février 2013

    Par Ludovic de Danne, conseiller de Marine Le Pen aux Affaires européennes

    A l’approche des élections européennes de 2014, un article du Télégraphe britannique du 3 février dernier, et qui n’a été repris par aucun média français, révèle que le Parlement européen envisagerait de financer, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, des agents ou « trolls » afin de contrecarrer tout ce que des eurocritiques pourraient écrire sur Internet (sites, Twitter, Facebook, etc.).

    Ce journal sérieux aurait eu accès à des documents internes faisant état de propositions de dépenses, d’analyse et de planification, en vue d’une propagande sans précédent : “Une attention particulière doit être accordée aux pays qui ont connu une forte augmentation dans l’euroscepticisme”. L’UE “doit avoir la capacité de surveiller les conversations publiques” et “de comprendre les sujets tendances et avoir la capacité de réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente, à participer et à influencer la conversation, par exemple, en fournissant des faits et des chiffres afin de déconstruire les mythes“.

    Paul Nuttall, député de l’UKIP, a attaqué ces propositions, qui, selon lui, violent la neutralité de la fonction publique européenne en transformant des fonctionnaires en “trolls” afin de traquer sur Internet tout ce qui est considéré comme étant nuisible sur les réseaux sociaux.

    Ces documents ajouteraient : “La crise économique et financière actuelle, ainsi que des taux élevés de chômage, en particulier parmi les jeunes, se traduit par une diminution de la confiance dans les institutions européennes (…) il est évident que l’image de l’Union européenne souffre”. “Afin d’inverser la perception que – l’Europe est le problème -, nous avons besoin de communiquer que la réponse aux défis actuels … est – plus d’Europe et non moins d’Europe- “.

    Au final, ces documents confidentiels révélés par la presse britannique démontrent tout simplement que l’UE fédéraliste, mondialiste et ultralibérale, avoue qu’elle n’a pas assez de partisans, tant dans le virtuel que dans le réel. Il est de toute façon intolérable que celle-ci finance, avec des fonds publics, de faux internautes en vue de contrer la liberté d’expression populaire par un harcèlement idéologique en ligne.

    Front National 

  • Notre-Dame porte plainte contre les Femen

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    Rosace de Notre-Dame de Paris - XIIIème siècle

    Le recteur de la cathédrale a annoncé avoir déposé une triple plainte, mardi, contre les activistes féministes, qui avaient pénétré seins nus dans l'édifice religieux, pour "trouble de l'espace cultuel", "profanation" et "coups et blessures".

    Elles avaient voulu "fêter" à leur manière la démission de Benoît. Huit féministes du mouvement Femen avaient pénétré seins nus dans la nef de Notre-Dame de Paris, mardi, et avaient fait tinter avec des morceaux de bois trois des neuf nouvelles cloches qui y étaient déposées de manière provisoire. Des actes qui avaient scandalisé les visiteurs de la cathédrale et qui ont poussé Monseigneur Jacquin à déposer plainte. "Cette intrusion a été d'une violence inouïe et je pèse mes mots", a expliqué le recteur et archiprêtre de Notre-Dame à France 3 Ile-de-France.

    Il a indiqué avoir porté plusieurs plaintes, dès "mardi après-midi au commissariat du 4e arrondissement" : "une pour "trouble de l'espace cultuel", une autre pour "profanation" et une troisième pour "coups et blessures" sur les gens et les surveillants", a-t-il dit à Métro. "Un de nos surveillants a eu l'épaule démontée, un autre a fait un malaise après avoir été frappé", a-t-il détaillé.

    Si Bertrand Delanoë et Manuel Valls ont condamné l'action des Femen, Mgr Jacquin estime qu'ils sont exprimés bien trop tard : "J'ai trouvé scandaleux qu'à 20 heures, soit neuf heures après les faits, il n'y ait aucune réaction ou condamnation ni de l'Etat ni de la mairie de Paris". Le recteur de Notre-Dame espère que les huit jeunes femmes "seront condamnées" et "qu'elles participeront à la restauration de notre cloche Denis" de manière financière. Dans Le Figaro, il explique aussi que "la cloche Marcel" a reçu des coups "qui ont fait sauté la feuille d'or". Et il a bien l'intention d'obtenir réparation du "préjudice".


    TF1 - 13/02/13

     

     

     

     

     

     

  • La Fontaine Saint-Michel à Paris

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    L'Archange Saint Michel terrassant le Dragon

    Photo prise au flash le dimanche 10 février 2013 à 20h, le monument n'étant pas éclairé par les spots habituels. (Photo EB)

     

     

  • La France lève son veto à l’ouverture d’un chapitre des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne

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    Ahmet Davutoglu et Laurent Fabius

     

    13/02/2013 – 16h30
    BRUXELLES (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - La France accepte d’ouvrir à Bruxelles un nouveau chapitre des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. En effet, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères (ci-dessus), a confirmé à son homologue turc Ahmet Davutoglu que la France allait lever son veto à l’ouverture des négociations sur la politique régionale.

     

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  • Benoît XVI, le Ciel et Malachie : une alchimie dangereuse…

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    Le soir même où Benoît XVI annonçait qu’il déposait sa charge, la foudre s’est abattue sur le dôme de la basilique Saint-Pierre, au Vatican… Cette journée fut un coup de tonnerre, au propre comme au figuré :

     

    Un signe qui, selon certain, se ferait l’écho de la prophétie de Saint Malachie laquelle, datant du XIIe siècle, annonce que le 112e pape serait le dernier pape… et que lui succèderait la fin du monde. Le texte a été publié pour la première fois en 1595, mais pourrait dater d’une époque encore plus lointaine : ce sont cinq pages écrites en latin et attribuées à un moine irlandais du XIIe siècle, Malachie d’Armagh. Celui-ci évoque 112 pontificats et formule pour chacun d’eux un résumé succinct. Voici la traduction du texte concernant le 112e pape, à savoir le successeur de Benoît XVI : « Dans la dernière persécution de la sainte Eglise romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite, et le Juge redoutable jugera son peuple »…

    Contre-info.com

     

  • Un acte nul ? Étranges fautes de latin dans la renonciation de Benoît XVI

     

    13/02/2013 – 13h15
    ROME (NOVOpress) - Dans le court texte de la renonciation de Benoît XVI, tel que l’a officiellement diffusé le Vaticanet tel qu’il a été imprimé dans l’Osservatore Romano, il y a deux solécismes grossiers. C’est ironiquement le philologue communiste (mais scientifiquement très réputé), Luciano Canfora, professeur à l’université de Bari, qui les a relevés dans le Corriere della Sera, sous le titre « Un exemple de latin moderne ».

     

    Dans la première phrase, ut vobis decisionem magni momenti pro Ecclesiae vitae communicem (« pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’Eglise »), il faudrait vita et non vitae, la préposition pro se construisant avec l’ablatif.

    La renonciation proprement dite, declaro me ministerio Episcopi Romae, Successoris Sancti Petri, mihi per manus Cardinalium die 19 aprilis MMV commissum renuntiare (« je déclare renoncer au ministère d’Evêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005 ») est grammaticalement inintelligible : commissum, qui dépend de ministerio, complément du verbe renuntiare, devrait être au datif comme lui (commisso).

    Le quotidien en ligne, La Tecnica della Scuola, a noté de son côté une curieuse coquille sur la date d’effet de cette renonciation, a die 28 februarii MMXIII, hora 29, au lieu évidemment de 20.

    Si l’on écoute l’enregistrement de la déclaration du pape, on constate que Benoît XVI ne fait pas la première faute de latin (il dit bien vita) : il s’agit seulement, comme la fausse heure, d’une coquille, qui reflète la précipitation avec laquelle le texte a été mis en ligne. Elles ont d’ailleurs toutes deux été corrigées dans une version publiée plus récemment sur le site du Vatican.

    On entend très nettement en revanche Benoît XVI dire commissum pour commisso. Cette faute, qui est la plus grave, puisqu’elle porte sur la syntaxe de la phrase et qu’elle concerne la clause essentielle du texte, la renonciation proprement dite, était donc bien dans l’original. Elle figure du reste toujours dans la dernière version officielle.

    Luciano Canfora a déploré « les imperfections d’un texte destiné à passer à l’histoire ». Selon lui, « il est bien vrai que le latin des modernes reflète la richesse et la nouveauté de la langue des modernes, mais certains piliers ne peuvent pas, même en hommage au “nouveau qui avance”, être brisés ».

    Mais il ne s’agit pas seulement de purisme. C’est un principe certain dans le droit canon traditionnel que tout rescrit, bref ou bulle du pape qui contient une faute de latin est nul. Saint Grégoire VII (Registrum 1.33) déclara nul un privilège accordé à un monastère par son prédécesseur Alexandre II, « en raison de la corruption de la latinité », qui constitue « un signe tout à fait évident ».

    La décrétale Ad audientiam du pape Lucius III, qui figure dans le corps du droit canon (Décrétales de Grégoire IX, l. I, titre III, de Rescriptis, c. XI) pose que « la fausse latinité invalide un rescrit du pape ». Le pape interdit de prêter foi à une lettre pontificale « puisqu’elle contient une faute de construction évidente ». La glose (dans le texte officiel corrigé publié sur ordre du pape Grégoire XIII en 1582) explique à ce propos qu’un rescrit du pape « ne doit contenir aucune faute », puisqu’il est « élaboré avec beaucoup de temps ». Une faute de latin constitue une telle présomption de nullité qu’aucune preuve en sens contraire ne peut être admise.

    Dire qu’un texte est nul ne signifie pas nécessairement qu’il s’agisse d’un faux. Mais il a du moins été rédigé sans délibération suffisante : il peut être obreptice et subreptice, comme on dit, c’est-à-dire avoir été obtenu par surprise, en dissimulant de vraies informations ou en en donnant de fausses, ou alors avoir été arraché par des pressions. Bref, une faute de latin et tout particulièrement de construction dans un texte pontifical, c’est l’équivalent ecclésiastique d’ « Omar m’a tuer ».

    Faut-il en conclure que la renonciation de Benoît XVI est nulle ? Il reviendra aux spécialistes du droit canonique d’après Vatican II d’en discuter – je suspecte qu’on ne s’y embarrasse plus autant du latin. On retiendra au minimum qu’un texte d’une telle importance pour la vie de l’Église a été écrit tellement vite, ou sous le coup d’une telle émotion, qu’on n’a pas su y accorder un participe. Étrange.

    Flavien Blanchon

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  • Les Femen devraient se dénuder dans une mosquée

    Les Femens ont encore frappé. Elles se sont dépoitraillées dans la nef de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Pour fêter le départ du Pape Benoît XVI et, au passage, insulter une nouvelle fois l’Eglise catholique.

    Monocibles, les Femens ne sont pas programmées pour viser d’autres "églises" pourtant tout aussi conservatrices. Une mosquée par exemple. Parce que là, convenons-en, à Notre-Dame de Paris, l’intérêt spectaculaire est assez limité. Elles devraient se poser la question, elles qui cherchent à « faire de l’image » pour faire passer leur message, toujours suivies comme par hasard d’une flopée de photographes. Le même show à la mosquée, un vendredi, si les caméras sont bien placées… en une seule prise on met en boîte la scène finale de « Massacre à mains nues 4 », bientôt dans toutes les salles, 100 % hémoglobine !

    Pas si courageuses que ça, les Femens, chair à canon libertaire d’accord, mais pas jusqu’à la mort. Elles recevraient pourtant la correction qu’elles méritent, nos concitoyens musulmans n’ayant pas encore abdiqué, eux, devant l’injonction de tolérance morale et physique.

    Elle s’étaient pourtant opportunément placées à côté des cloches, les supplétives de cette nouvelle charge contre l’Eglise Catholique. Ce qui est plutôt une bonne nouvelle, l’Eglise est donc encore suffisamment pleine de vitalité pour avoir l’honneur d’être attaquée. Le message de l’Evangile est donc toujours une résistance que certains voudraient réduire. Car la seule question est la suivante: qui finance les Femens ? Quand on saura qui les importe d’Ukraine, les héberge à Paris, les paye pour se déloquer en plein hiver et prendre quelques coups, on aura sans doute la réponse à la question suivante : dans quel but ? N’y a-t-il pas un journaliste qui pourrait mener l’enquête et enfin justifier sa carte de presse plutôt que, depuis deux jours, gloser sur la couleur de peau du futur Pape ?

    Edouard Frémy, le 13 février 2013
     
    Boulevard Voltaire
  • Nantes : Un homme s’immole et décède devant Pôle emploi

     

     

    Nantes: Un homme s'immole et décède à Pôle Emploi

    Un homme de 43 ans, chômeur en fin de droits, est mort après s’être immolé par le feu, mercredi midi, devant une agence Pôle emploi, à Nantes.

    Ce mercredi en milieu de journée, un homme qui avait fait part hier de sa volonté de s’immoler par le feu est malheureusement passé à l’acte.

     

    Ce Nantais s’est immolé devant le Pôle emploi de la rue de la Garde, dans l’est de Nantes. Malgré l’intervention rapide des secours, l’homme est décédé.

    Les secours et policiers sont toujours sur place. L’agence est fermée.

    Le quarantenaire avait prévenu de son intention de passer à l’acte pour protester contre le rejet de son dossier, alors qu’il estimait avoir travaillé suffisamment d’heures.

    Sources : Presse-Océan / Ouest-France / Le Journal du Siècle