GAELLE MANN - Page 115
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TARIQ RAMADAN : L’INCROYABLE TÉMOIGNAGE GLAÇANT DE HENDA AYARI
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La croix de la statue de Jean-Paul II mobilise les internautes contre son retrait
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Le pouvoir espagnol investit les institutions catalanes
À compter de ce lundi, Madrid doit gérer les affaires de la région. Les dirigeants indépendantistes démis ont, énigmatiques, annoncé une «opposition démocratique».
À Madrid
Carles Puigdemont est-il président de la République catalane qui a été proclamée vendredi soir par le Parlement autonome? Ou est-il le président du gouvernement régional destitué, comme l'atteste le décret publié samedi matin au journal officiel espagnol? Aucun pays au monde n'ayant reconnu la déclaration d'indépendance, et la plupart des partenaires européens s'y étant explicitement opposés, la réalité du Boletín Oficial del Estado semble encore s'imposer à tous, si ce n'est aux sécessionnistes. Le principal intéressé, en tout cas, ne dit rien de sa condition. Ou si peu. Lors d'une allocution télévisée diffusée samedi à 14 h 30, Puigdemont s'est brièvement adressé à ses concitoyens. Résumant en trois minutes et trente secondes ce qu'il a appelé «une journée historique», l'ex-président, selon la loi en vigueur, s'est contenté de juger: «Les citoyens de notre pays savent parfaitement que dans une société démocratique, ce sont les Parlements qui choisissent et qui destituent les présidents.»
La mention la plus explicite à son titre n'est pas sortie de la bouche de Puigdemont, mais de l'image précédant son apparition à l'écran. TV3, la chaîne publique régionale qui transmettait le discours, a inscrit la description suivante: «Message du président de la Generalitat», le nom des institutions catalanes, une fonction dont il pouvait se prévaloir jusqu'à samedi matin. Cette définition a valu à TV3 les remontrances de Madrid.
Pour le reste, Puigdemont a appelé ses troupes à «une opposition démocratique» à l'application de l'article 155 de la Constitution, qui place la Catalogne sous la tutelle de Madrid dans l'attente de la tenue d'élections régionales, le 21 décembre prochain. Une expression que chaque indépendantiste est laissé libre d'interpréter à sa guise, alors que nul, à ce stade, ne connaît la stratégie à suivre, ne serait-ce qu'à partir de ce lundi. Une analyste politique très proche des dirigeants indépendantistes reconnaissait sur Twitter sa confusion. «Pardonnez-moi, mais je n'ai pas compris le sens de la déclaration du président Puigdemont. Où est-on?» écrivait Pilar Rahola avant d'effacer son message.
Les 200.000 fonctionnaires catalans doivent-ils, comme le leur demande l'Assemblée nationale catalane (ANC), l'une des deux grandes associations indépendantistes, «refuser d'obéir aux instructions données dans le cadre de l'article 155 et contraires au cadre juridique»? Les députés catalans peuvent-ils tenir leur Chambre pour dissoute comme l'indique le journal officiel ou participer au bureau de l'Assemblée convoqué par la présidente ce mardi? Ou faut-il encore suivre l'idée de Jordi Sánchez, le dirigeant de l'ANC, qui, de la prison de Soto del Real, réclame l'activation de l'Assemblée des élus de Catalogne, un groupe composé de 4 000 responsables publics sécessionnistes, essentiellement des conseillers municipaux, et censé pouvoir se substituer aux institutions catalanes vidées de leurs dirigeants? Quant au gros des troupes indépendantistes, doivent-elles aller protéger physiquement les institutions catalanes de l'intervention de Madrid et utiliser les techniques de «résistance pacifique» enseignées notamment par les comités de défense de la République qu'a montés la CUP (extrême gauche indépendantiste)?
À moins que Puigdemont ne choisisse une dernière option, qui semble pour l'heure improbable: le secrétaire d'État aux Migrations du gouvernement belge et membre du parti indépendantiste flamand N-VA, a jugé qu'un asile politique n'était «pas irréaliste». Le premier ministre belge a rectifié les propos du secrétaire d'État, mais le Parti populaire (PP, droite), la formation de Mariano Rajoy, a eu le temps de juger la proposition «inacceptable».
Après les interrogations tactiques immédiates, il sera encore temps de répondre à une question stratégique: faut-il participer aux élections régionales, convoquées par Madrid le 21 décembre? En choisissant de limiter sa mise sous tutelle au nombre de jours strictement nécessaire pour organiser le scrutin, Rajoy a tendu un piège aux indépendantistes, qui auront du mal à présenter son intervention comme autoritaire. S'ils participent au scrutin, ils enlèvent toute valeur à la proclamation de la République et ne s'assurent même pas de renouveler leur majorité. Un sondage publié ce dimanche parEl Mundo donnait indépendantistes et partisans de l'unité de l'Espagne au coude-à-coude. S'ils boycottent les élections, ils s'autoexcluent des seules institutions catalanes reconnues en dehors de leur monde.
Vendredi soir, le drapeau espagnol avait été enlevé du bâtiment de la délégation du gouvernement régional à Gérone, là où Puigdemont avait enregistré son message. Dimanche après-midi, il flottait encore sur le toit du Palau de la Generalitat, le siège du gouvernement catalan à Barcelone.
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Le Gouvernement ne met pas un terme au financement du djihad par la sécurité sociale
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Renaud Camus contre la Shoah : Élisabeth Lévy lit l’acte d’accusation à Alain Finkielkraut
- Publié le : dimanche 29 octobre 2017
- Mots-clés : Antiracisme; France; Immigration; Judaïsme; Justice & Droit; Politique; Seconde Guerre mondiale
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- Source : E&R
L’air de rien, le commissaire politique Élisabeth Lévy lit sur RCJ ce 29 octobre 2017 l’acte d’accusation de son comparse Alain Finkielkraut. Mais quel crime a donc pu commettre le philosophe ? Le crime d’amitié pour un homme, Renaud Camus, qui s’est illustré avec des saillies pas très réglementaires en regard du catéchisme dominant. Dernière sortie en date, alors qu’on croyait le Renaud calmé sur les juifs :
« Le génocide des juifs était sans doute plus criminel mais paraît tout de même un peu petit bras auprès du remplacisme global »
280 signes ou une petite phrase qui lui valent 2 plaintes pour contestation ou apologie de crimes contre bla bla bla, il faudrait d’ailleurs que le correcteur d’orthographe du logiciel Word inclut ce genre d’expression en entier, tant on les utilise aujourd’hui.
- Lecture de l’acte d’accusation
Et la question du commissaire politique à l’accusé (A.F.) :
Je vous demanderai bien sûr sur si cet épisode a eu raison de votre loyauté ou si vous pardonnez vraiment tout à la littérature
Attention à ce que tu vas répondre, Finky, c’est un piège de la Lévy ! C’est à 2’37 seulement que l’accusé répond en bégayant. Mais avec une préparation écrite. On sent le combat intérieur entre l’Amitié et le Shoatisme, le moment est solennel, presque historique.
Rappelons que Renaud Camus était très défendable par la droite prosioniste française tant qu’il s’en prenait aux méchants Sarrazins qui envahissent notre pays, mais que la moindre vanne sur la Shoah lui vaut un procès de Moscou automatique. Dans l’heure. Comparution immédiate !
Ce genre de procès médiatique a plus de poids que les procès classiques des 17e, 18e ou 21e chambres. Dans ces derniers cas, tout est jugé d’avance dans les loges, attention, pas les loges maçonniques, mais les loges de juges, là où ces agents objectifs du pouvoir profond se maquillent en juges de la République qui défendent le faible contre le fort. Ils reçoivent leurs ordres des courroies de transmission du pouvoir profond et les appliquent à la lettre.
Les déboires de Renaud Camus ont commencé en mai 2000, lorsqu’il a, dans son Journal que peu de monde lisait (ce n’est pas une critique mais un constat), il avait déclaré que la communauté juive était surreprésentée à Radio France (extrait de L’Obs) :
Dans son ouvrage publié en avril [2000], Renaud Camus a écrit : « Les collaborateurs juifs du “Panorama” de France Culture (émission aujourd’hui disparue) exagèrent un peu tout de même : d’une part, ils sont à peu près quatre sur cinq à chaque émission, ou quatre sur six, ou cinq sur sept, ce qui, sur un poste national ou presque officiel constitue une nette sur-représentation d’un groupe ethnique ou religieux donné ; d’autre part, ils font en sorte que une émission par semaine au moins soit consacrée à la culture juive, à la religion juive, à des écrivains juifs, à l’État d’Israël et à sa politique, à la vie des juifs en France et de par le monde, aujourd’hui ou à travers les siècles. »
Des propos qui ont été condamnés par le PDG de Radio-France Jean-Marie Cavada, la directrice de France Culture Laure Adler, mais aussi par la ministre de la Culture Catherine Tasca ou le MRAP.Depuis, après une campagne de presse socialo-sioniste intense, il est retourné dans sa coquille, une coquille en forme de château, et a viré sa cuti (politique) pour endosser le rôle de pourfendeur du « grand remplacement » en cours. Tout allait à nouveau bien jusqu’à ce moment précis où plaça la Shoah en second dans l’ordre des menaces gravissimes qui pèsent sur la civilisation et la culture européennes, qui lui sont chères. C’est bien cette nouvelle armure islamophobe qui l’a protégé pendant les années qui ont suivi sa relégation médiatique.
Comme quoi le lobby dominant peut pardonner, d’un pardon relativement chrétien. Enfin presque parce qu’on n’est pas sûr que Renaud Camus se relèvera de cette seconde campagne médiatico-shoatique. Mais peut-être, comme beaucoup de personnalités du monde politique, à partir d’un certain âge, ou d’un âge certain, se sent-on des envies de dire enfin ce qu’on a sur le cœur, en somme une confession tardive...
Depuis ses deux tweets incendiaires (ou que la presse a incendiés), Renaud se débat dans les affres de l’argumentation. Un combat perdu d’avance, dès qu’on commence, en substance, par « je ne suis pas antisémite » ou « mais bien sûr que la Shoah c’est le crime des crimes c’est pas c’que j’voulais dire attendez y a maldonne ouille aïe non ! » :
Communiqué n° 2020, vendredi 27 octobre 2017
Sur la nouvelle « affaire Camus »
Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) observent avec un effarement stupéfait les poursuites engagées contre Renaud Camus, leur président commun, par l’Union des Étudiants Juifs de France, par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT et par SOS-Racisme. Ces officines accusent Renaud Camus de contestation ou d’apologie de crime contre l‘humanité pour les deux « tweets » suivants :
« Au regard des remplacistes à la Trudeau, Macron ou suédois, Hitler ne paraîtra pas moins criminel mais peut-être plus franc, plus net »
« Le génocide des juifs était sans doute plus criminel mais paraît tout de même un peu petit bras auprès du remplacisme global »
Le sens de ces deux tweets est le même et il est, dans les deux cas, parfaitement clair : le génocide des juifs était plus criminel et plus nettement tel que l’actuelle substitution ethnique en Europe et en Amérique ; qui, elle, est plus insidieuse et plus large. On peut déplorer la trivialité de l’expression “petit bras”, sans doute imposée par la contrainte des cent quarante signes ; mais, de toute évidence, il n’y a dans l’une et l’autre phrases pas la moindre contestation de la réalité de l’holocauste, et son apologie encore moins, qui seraient au demeurant parfaitement contraires à tout ce qu’on sait de Renaud Camus et à tout ce qu’il a écrit cent fois.
Le parti de l’In-nocence et le NON estiment que ces accusations ahurissantes, et dont on peut constater d’évidence, d’un coup d‘œil, la totale absence de fondement, ne font que refléter la détermination des diverses officines de la collaboration à empêcher toute mention du Grand Remplacement, à nier son caractère de génocide par substitution ou de suicide assisté, très assisté, provoqué, et à faire en sorte qu’il puisse être mené jusqu’à son terme en silence. Il s’agit manifestement de faire taire, sous n’importe quel prétexte, une des voix qui le dénoncent le plus ardemment. À cet effet tous les moyens sont bons, même les plus déloyaux et bas. Mais cette fois l’absurdité va trop loin, elle est trop manifeste aux yeux de tous, elle ridiculise par sa grossièreté ceux qui la promeuvent et elle déshonorerait à jamais les juges qui la sanctionneraient.
- 10e minute, Finky lâche son copain
Malgré cette (auto)pétition lancée en sa faveur, le lâchage de son « ami » Finkielkraut – « je souffre plus encore de voir Renaud Camus s’égarer de cette manière. [...] Avec ses analogies et ses raccourcis il creuse sa propre tombe, il est à lui-même son propre fossoyeur (de 10’41 à 10’46) » – pèsera beaucoup plus lourdement dans la balance des juges.
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VIDEO - SCANDALE : LA CAF A SPONSORISÉ LES TERRORISTES QUI ASSASSINENT NOS ENFANTS
http://www.bvoltaire.com/scandale-caf-a-sponsorise-terroristes-assassinent-nos-enfants/
Ecoutez!
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VERMEER (1659)
La jeune fille avec un verre de vin
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Eric Zemmour: "Ce qui arrive en Catalogne..."
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Les nouveaux Français chantent La Marseillaise (vidéo)
http://breizatao.com/2017/10/28/nouveaux-francais-marseillaise/
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"Puigdemont en prison!"
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Ploërmel: la croix de la statue de Jean-Paul II devra être retirée (Conseil d'Etat)
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Alain Drach, les Rothschild et le cerf abattu à bout portant dans une propriété privée
L’affaire est sensible, aussi allons-nous rester dans le factuel, autant que faire se peut.
Nous sommes le samedi 21 octobre 2017 à Lacroix-Saint-Ouen, dans l’Oise, quand soudain, quelque chose d’inhabituel se produit. Un cerf franchit la barrière d’une propriété privée et se réfugie dans une descente de garage. Il s’avère qu’il cherche à échapper à un équipage de chasse à courre, connu dans le coin, celui de La Futaie des amis. Les badauds accourent, les chasseurs cernent l’animal, un homme franchit la barrière de la propriété, essaye de déloger l’animal, puis l’abat à bout portant, au grand dam des témoins.
Les gendarmes appelés témoignent de la légalité de cet abattage. Pour eux, « les chasseurs font jouer leur droit de suite ». Le maître d’équipage, en gros le meneur de la chasse, argue qu’« un cerf aux abois est un animal dangereux ». Il estime qu’en abattant l’animal coincé, il a épargné « la voisine qui vient tous les jours ouvrir les volets ». Pourtant, les propriétaires, joints sur leur mobile pendant la scène par un témoin, assurent qu’ils ne voulaient pas que le cerf soit abattu. Mais Alain Drach, fort de son principe de précaution, est passé outre.
Alors, goût du sang ou simple fin de chasse un peu foireuse ? C’est là où l’affaire se corse. Quand cela avait lieu en 1850 aux abords de la forêt de Compiègne, personne n’y trouvait à redire, puisque les chasseurs étaient des nobles. Mais en 2017, les réseaux sociaux sont passés par là : Alain Drach reçoit, d’après lui, « 150 menaces de mort ». Il porte plainte.
« J’ai reçu 150 menaces de mort. Un internaute a mis mes coordonnées sur une affiche noire, avec ma tête dessus et le mot “assassinat” et c’est parti en vrille. J’ai reçu 500 messages sur Messenger, 50 SMS, 150 mails… J’ai déposé une lettre recommandée pour exiger que soient retirés les propos diffamatoires tenus à mon encontre. Je me réserve le droit de porter plainte. J’ai rendez-vous dès demain avec les gendarmes. On peut ne pas aimer la chasse, ne pas la connaître… Mais on ne peut pas dire des choses fausses et encore moins proférer des menaces de mort. Là, ça dégénère. »
Question : est-ce le chasseur qui est visé ou le fils de Monique de Rothschild ? Car il faut le dire, Alain est un Rothschild. Ce qui ne fait pas de cette affaire un match entre « juifs » et « antisémites ». Ce sont les amis des animaux qui ont déclenché cette bataille sur l’Internet, et ils ne lâchent pas prise, parfois avec une certaine violence dans les propos.
Ceux qui connaissent la Bardot et sa fondation savent qu’elle ne transige pas avec la souffrance animale. Elle déteste la chasse, et ne se prive pas de « tirer » à vue sur les chasseurs, surtout ceux qui font fi de la souffrance animale.
Alain Drach, lui, persiste et signe. La chasse a ses codes qui échappent au tout-venant, ou aux manants. Le monde dans lequel il baigne n’est pas le monde d’en bas.« De 1990 à 2000 j’ai eu le bonheur d’allier passions et profession en dirigeant le développement international de la marque Holland & Holland. Non pas au seul niveau de la fabrique d’armes de luxe mais à celui de la création d’un univers et d’un style. »
La marque Holland & Holland appartient à la famille Wertheimer, des industriels de confession juive originaires d’Alsace, et considérés comme les plus riches exilés fiscaux français en Suisse. Ces propriétaires de la marque Chanel, entre autres, sont assis sur une fortune de 21 milliards d’euros. Ils ont récemment défrayé la chronique parisienne en s’emparant de la maison d’édition de La Martinière.
C’est maman – Monique de Rothschild – qui a inculqué le plaisir de la chasse à son fils Alain. C’est elle qui a remonté l’équipage de La Futaie des amis et ce, en 1961. Laissons la parole au site Sputniknews en français, qui a publié un article sur la grande passion familiale en 2013 :
« Ces “amis” de la Baronne ont regroupé en meute une centaine de chiens de chasse anglo-français. Des chiens de race évidemment… Les chemins forestiers de son domaine ont été barrés pour éviter la présence des gueux habitant les environs. Madame peut donc, deux fois par semaine, s’amuser avec son équipage à chasser les cerfs et autres animaux de nos bois.
Il ya une bonne dizaine d’années, la baronne se faisant âgée donna les “rênes” de l’équipage à son fils. Cependant, hors de question pour Madame de rater le spectacle de la vènerie (terme officiel de la chasse à courre).
La chasse à courre s’avère toutefois dénoncée comme un héritage sanglant et désuet par des associations de protection des animaux. Ce plaisir douteux est d’ailleurs souvent réservé à une caste de nobles et de fortunés qui n’a rien à apprendre des roturiers locaux et de leur cause animale incompréhensible pour ces châtelains.
Avec Madame la Baronne et sa descendance, cette chasse à courre semble pourtant atteindre des sommets dans l’horreur et la souffrance du gibier qui a le malheur de croiser le chemin de ces véritables psychopathes déguisés en chasseurs. »
Et de citer le cas où, le 15 janvier 2015, un cerf vint se faire massacrer en plein Compiègne, devant les habitants ébahis, avec leurs enfants... Description de la scène :
« Ils voulaient égorger de la manière la plus immonde un cerf, bel animal hébété, perdu et résigné. Ils lui ont d’abord jeté des pierres pour qu’il reste acculé le long de la clôture, puis avec une barre de fer, ont essayé de lui faire plier les pattes arrières ; deux hommes lui ont attrapé les bois, lui tordant la tête jusqu’à terre pendant que le troisième lui enfonçait une lame dans le cou, ceci à plusieurs reprises. Ne parvenant pas à finir l’animal, toujours debout et blessé, ils l’ont tiré sur plusieurs mètres pour l’égorger loin des regards indiscrets. »
Le site de poser la question de l’éducation à la cruauté pour les hommes de la dominance, qui seraient ainsi délestés de tout sentiment envers les animaux ou les humains.
L’année suivante, un cerf se réfugie dans une propriété, et les propriétaires, présents, s’opposent à l’halali.« Il s’ensuivit une colère monstre de la baronne qui arriva en tout-terrain chez les propriétaires et vitupéra contre ces manants qui osent interférer dans le libre exercice sanglant des veneurs et du maître d’équipage. Des insultes sont lancées et provoquent l’intervention de policiers qui débarquent et neutralisent l’accès à la propriété où l’animal s’est réfugié. Le cerf s’échappe miraculeusement par l’arrière, reprenant le chemin à l’envers sous l’applaudissement des habitants. L’animal fut sauvé. »
La fin de l’interview d’Alain Drach dans Le Courrier Picard du 23 octobre 2017 est savoureuse :
Le Courrier picard : « D’après des voisins, les propriétaires ne souhaitaient pas que le cerf soit tué dans leur jardin. Qui a pris la décision de mettre fin à la vie de l’animal ? »
Alain Drach : « Les gendarmes, avec mon accord – cela devenait trop dangereux –, que ça plaise ou pas aux propriétaires. »
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La face sombre et perverse d'Yves Saint-Laurent. Dessins interdits en France.
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CARENCO, PRÉFET “STALINIEN”!
Dire que Jean-François Carenco, actuel préfet d’Ile-de-France, a un goût prononcé pour la provocation relève presque de l’euphémisme tant ses dérapages sont nombreux. Dernière incongruité en date ? Alors que de nombreuses communes refusent de se voir imposer par l’Etat des centaines de clandestins et sont aujourd’hui au bord de l’explosion, ce proche de Borloo, avec la morgue et le mépris du peuple typiques de l’énarque, n’a rien trouvé de mieux à déclarer au sujet des maires protestataires que « beaucoup gueulent », mais « je m’en fous » !
Ouvrez, ouvrez la porte aux migrants…
Intervenant lors d’une conférence de presse, ce préfet aux méthodes staliniennes a en effet expliqué la semaine dernière qu’il ne comptait pas changer de tactique pour la mise en place des 79 centres d’hébergement attendus en IDF. En effet, a-t-il précisé, « je ne vais pas commencer à en parler six mois à l’avance. Je préviendrai trois mois à l’avance. Après, ce sera à chaque préfet de communiquer ou pas ». Et pas question de traîner, a ajouté Carenco. Car, « si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. (…) Le flux risque d’augmenter ? Ce n’est pas un problème, a-t-il expliqué. Le monde est comme ça ».Et qu’importe la colère des communes concernées : le préfet s’est dit prêt à « passer outre l’avis des maires ». Car, a-t-il confié, « beaucoup gueulent » mais « je m’en fous ».
Devoir de réserve ? Connais pas !
Il faut dire que Carenco n’est plus à un dérapage près. Invité en 2014 sur la radio Lyon Première, celui qui était alors préfet du Rhône n’avait pas hésité à s’asseoir sur son devoir de réserve en déclarant vouloir combattre le FN « au nom de la cohésion nationale, de l’Europe et de la paix ». Des propos qui avaient poussé ce dernier à rappeler très justement que « le préfet Carenco n’a jamais exercé sa fonction dans la neutralité ». Qu’en 2013, déjà, lorsque sa fédération du Rhône, à la suite d’une nouvelle dégradation de son local, lui avait demandé d’intervenir, le préfet lui avait répondu : « qui sème le vent récolte la tempête » ! Et à demander – en vain – à Hollande de « prendre toutes les mesures qui s’imposent » à l’encontre de Carenco qui, « faisant fi de son devoir de réserve, se mue ainsi en activiste politique ».Un activisme qui devait même le conduire devant un juge d’instruction pour « injure publique », après avoir déclaré au sujet de manifestants anti « mariage » gay que « la République sera plus forte que ces imbéciles »…
Franck Deletraz – Présent
Pour la démission du Préfet Carenco
Carenco “s’en fout” des opposants aux camps de migrants : Génération Identitaire Paris demande sa démission !
La semaine dernière, lors d’une conférence de presse, le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a affiché son mépris devant l’inquiétude soulevée par la question des migrants clandestins du camp de Stalingrad. De sa réponse transpirait un dédain non dissimulé pour ses administrés : « […] Beaucoup gueulent pour la forme. Je m’en fous. […] » et sa volonté de poursuivre son plan de distribution des migrants à travers la région « le plus vite possible » et, si besoin, en « pass[ant] outre l’avis des maires ».
Loin de la démagogie aveugle de M. le préfet, Génération Identitaire Paris est pleinement conscient des enjeux identitaires, sécuritaires et sociaux que représente cette invasion migratoire pour les Franciliens.
Les propos de monsieur le préfet illustrent l’immense déconsidération des élites mondialistes et immigrationnistes pour le peuple français
Génération Identitaire Paris demande la démission du préfet Jean-François Carenco et réclame de son successeur le respect des prérogatives attachées à la mission de prefet : l’application stricte de la loi et donc l’expulsion de tous les clandestins.
Signer la pétition.
Délit D'images
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Tomio Okamura : « Nous pensons que l’intégration des musulmans en Tchéquie est impossible »
11h05INTERVIEW – Le patron de l’extrême droite tchèque, d’origine japonaise, défend une «politique patriote» qui n’obéisse pas aux vœux des oligarques de son pays et de Bruxelles.
LE FIGARO. – On vous dit grand admirateur de Marine Le Pen, est-ce vrai?
Tomio OKAMURA. – Mon parti, le SPD, est membre de la fraction européenne «Europe des nations et des libertés», dont le moteur est le Front national et sa présidente, Marine Le Pen. On se réunit régulièrement avec elle, et aussi le Parti de la liberté autrichien, le parti du Néerlandais Geert Wilders et Matteo Salvini, de la Ligue du Nord italienne. Je connais personnellement Marine Le Pen et je l’aime bien. Nous avons des points communs: promouvoir la démocratie directe via le référendum, défendre une politique patriote, qui réponde aux vœux des citoyens et non à ceux des oligarchies des partis et de Bruxelles. Nous sommes aussi pour que l’Europe redevienne aussi sûre qu’avant.
Il y a très peu d’immigrés et pas de musulmans en République tchèque. Mais vous plaidez pour une immigration zéro et voulez interdire l’islam, ce qui n’est pas conforme à la Constitution… Ce sont les difficultés du multiculturalisme qui vous ont poussé à cette approche extrême?
-Je parle du danger de l’islam et de l’immigration excessive depuis déjà cinq ans. L’islam est une idéologie expansionniste et hostile, un racisme religieux qui dit que les fidèles sont supérieurs aux infidèles. Cette religion prône la supériorité des hommes sur les femmes, ce qui est en contradiction avec la Constitution tchèque. Nous voulons protéger nos traditions judéo-chrétiennes et la sécurité des citoyens tchèques. Nous pensons que l’intégration des musulmans est impossible
Vous voulez aussi sortir de l’Union européenne. N’est-ce pas très dangereux pour la Tchéquie, qui a une histoire tourmentée?
-Je ne comprends pas votre question! Quand la Hongrie a été confrontée à une vague d’immigration illégale, son premier ministre en a appelé à l’Union européenne et à l’Otan, qui n’ont rien fait. Résultat, Viktor Orban a construit une clôture. Je constate que l’Allemagne est devenue un partenaire à risques car le courant politique dominant d’Angela Merkel est en opposition avec la vision des pays du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, Slovaquie, République tchèque). C’est avec eux, et l’Autriche, que nous devons établir le dialogue pour garantir notre sécurité. (…)
Merci à valdorf
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JOURNAL TVL DU 27 0CTOBRE
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Dans une vidéo pour son homologue tchèque , Marine Le Pen évoque « une submersion migratoire programmée »
22h02Marine Le Pen parle dans une vidéo destinée à son homologue tchèque, Tomio Okamura, de « submersion migratoire programmée par l’Union européenne », à l’occasion des dernières élections en République Tchèque. Elle avait pourtant gommé ce type de discours à l’occasion de la campagne présidentielle de 2017.
Membre du groupe politique européen Europe Nation et Liberté (ENL) fondé par Marine Le Pen, le Tchèque Tomio Okamura a diffusé sur sa chaîne vidéo Youtube un message de soutien de la présidente du Front national le 20 octobre, à l’occasion des élections législatives en République Tchèque les 20 et 21 octobre.
Dans cette vidéo visionnée par 50 000 personnes, Marine Le Pen tient une ligne dure sur l’immigration et parle de « submersion migratoire organisée » par les dirigeants européens.
La cheffe du FN y développe ses thèmes politiques habituels : peuples européens opprimés par l’Union européenne, rejet de tout modèle multiculturaliste, trahison des élites et peur du fondamentalisme islamiste. Elle cite Milan Kundera et Vaclav Havel, deux figures de l’Histoire de ce pays.
Elle développe cependant un discours plus tranchant qu’habituellement sur les immigrés : « tout comme vous, nous refusons cette submersion migratoire programmée par l’Union européenne qui prend la forme, en République Tchèque, d’incroyables vagues de migrants incessantes, auxquelles se résignent, quand elles ne les appellent pas, vos prétendues élites corrompues et soumises », explique-t-elle dans cette vidéo.
(…)
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JOURNAL TVL DU 26 0CTOBRE 2017
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Michel Audiard a écrit des textes antisémites dans des revues collabos
RÉVÉLATIONS La revue «Temps Noir» dévoile des écrits antisémites publiés dans plusieurs revues collaborationnistes en pleine Seconde Guerre mondiale par le célèbre dialoguiste Michel Audiard...
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Apprécié pour ses talents de dialoguiste, Michel Audiard, la plume, entre autres, des Tontons flingueurs, a également écrit des textes qui font moins l’unanimité. En effet, la revue Temps Noir, parue aujourd’hui, affirme qu’il aurait écrit des propos antisémites dans plusieurs revues collaborationnistes en pleine Seconde Guerre mondiale et que son nom apparaît sur une fiche d’adhésion au mouvement Collaboration datée de 1942.
Et ce n’est pas la première fois que le nom du dialoguiste, mort à l’âge de 65 ans en 1985, est associé à la collaboration. En 1980, le livre Les collaborateurs, de Pascal Ory mentionnait déjà ses publications dans L’Appel. L’Appel, revue collabo dirigée par Robert Courtine, un « ardent collaborateur », antisémite violent, également chroniqueur dans Au pilori et Pariser Zeitung. Son lien avec Michel Audiard ? Il lui a permis de « passer quelques contes et nouvelles dans L’Appel », confie Michel Audiard à la police en 1944.
Le « petit youpin de Joseph Kessel »
En 1943, Michel Audiard écrit une nouvelle, Le Rescapé du Santa Maria, récit humoristique d’un trois-mâts conquis à l’abordage. Le propriétaire du bateau est Jacob Brahm, qui se définit par « une veulerie suante » et « une odeur de chacal ». On lui demande : « Juif, hein ? – Juste un tout petit peu, du côté de mon père. » Un autre homme, Ephraïm, est « une synthèse de fourberie ». Un antisémitisme diffus, qui correspond bien au style de la revue.
Puis Michel Audiard devient critique de théâtre. Il soutient l’auteur Jean-Pierre Liausu, qui plaide pour l’arrêt des « machinations de la juiverie omniprésente » dans le théâtre et dans le cinéma, déteste Léon Blum « chez qui se putréfient toutes les essences judéïques » et constate que, dans le monde du spectacle, « le juif a triomphé ». Le jeune journaliste écrit, en soutien à l’auteur : « Le monde qu’il est convenu d’appeler "artistique" et qui demeure dans sa majorité le plus coquet ramassis de faisans, juifs (pardonnez le pléonasme), métèques, margoulins… » Dans sa rubrique littérature, Audiard critique le « petit youpin Joseph Kessel » et Elsa Triolet qui a cette « prédilection pour tout ce qui est veule, fangeux, équivoque ».
Une adhésion à son insu
Une fiche d’adhésion au groupe Collaboration, numéro 74.208, datée de 1942, a été retrouvée. Ce groupe milite pour une Europe allemande. Interrogé par la police en mars 1947, Michel Audiard affirme que son adhésion s’est faite « à son insu », et qu’il n’a jamais signé. Nul ne sait si c’est vrai.
Plus tard, il tape sur les résistants en étrillant les films qui privilégient « les Don Juan du macadam, les pédérastes intellectuels, les résistants vaudevillesques et les aventurières en panne d’affection ». En revanche, il aime Disney et souligne l’existence d’un « authentique chef-d’œuvre : Les Dieux du stade, de Leni Riefenstahl ». Des écrits pas très connus qui éclairent le réalisateur d’un nouveau jour…
20Minutes
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92 députés d'extrême droite font une entrée remarquée au Bundestag
92 députés d’extrême droite font leur entrée au parlement allemandL’AfD (Alternative für Deutschland ou Alternative pour l'Allemagne) est désormais le troisième groupe politique du parlement, en Allemagne, depuis l’entrée de ses 92 députés, dont la ligne politique affiche une forte direction nationaliste.
Une référence aux nazis dès le premier discours
Outre l’aspect historique de leur arrivée au Bundestag, les députés de l’Afd ont provoqué la polémique, notamment en citant Hermann Göring (l’une des figures les plus importantes du parti nazi durant la seconde guerre mondiale) dès leur première intervention dans l’hémicycle.
Traditionnellement, le discours d’ouverture du Bundestag est prononcé par le doyen des députés, dans ce cas Wilhelm von Gotberg, âgé de 77 ans. Mais l’homme politique a perdu ce privilège pour avoir ouvertement qualifié l’holocauste de mythe, et le discours a finalement échu à Hermann Otto-Solms, 76 ans, plus vieux député non pas en terme d’âge mais d’ancienneté au parlement.
Le vice président du parti de l'AfD, était déjà intervenu plus tôt dans l’année pour faire l’apologie de la Wehrmacht, l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. "Si les Français ont le droit d’être fiers de leur empereur et les Britanniques de l’amiral Nelson et de Churchill, alors nous avons le droit d’être fiers des performances des soldats allemands durant la Seconde Guerre mondiale", avait déclaré Alexander Gauland.
Une politique nationaliste avant tout
Les objectifs de l’AfD sont très clairs, leur élection étant le résultat du mécontentement d’une partie de la population qui a vu arriver plus d’un million de demandeurs d’asile. "Nous voulons récupérer notre pays, c'est inscrit dans notre programme. Je ne veux pas abandonner l'Allemagne face à une invasion d'étrangers issus de cultures étrangères", affirme le vice-président du parti, décrivant du même coup clairement sa ligne politique.
Franceinfo 26.10.2017