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GAELLE MANN - Page 113

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  • JT TVL 03 novembre 2017

  • Argenteuil : “Mamie Tricot”, 73 ans, violemment agressée à coups de balai

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    / Vendredi 3 novembre 2017 à 10:463
    Photo © XAVIER VILA/SIPA
     

    Agression. Argenteuil est sous le choc. Sa “Mamie Tricot”, du nom de cette retraitée de 73 ans qui, pour joindre les deux bouts malgré sa petite retraite, vend ses tricots dans la rue, a été violemment agressée dans la rue.

    Nos confrères du Parisien rapportent cette terrible nouvelle. “Elle est assise là contre le mur du magasin, sur sa chaise, avec son autoradio, sa poussette et ses cabas plein de pelotes de laine” narre le quotidien. Elle, c'est une retraitée de 73 ans, surnommée “Mamie Tricot”. Elle vend ses créations, car elle n'arrive pas à  ivre avec sa petite retraite. Mais un matin, rien ne se passe comme prévu pour Mamie Tricot. “Un homme l’a agressée à coups de balai. Sans raison particulière, l’homme lui a asséné deux coups, un à l’oreille et à l’autre à l’épaule” explique le Parisien, qui révèle que la police municipale est très vite arrivée sur les lieux.

     
     

    “La mamie a été emmenée au poste pour déposer une plainte avant d’être conduite à l’unité médico-judiciaire” explique également le journal. L'agresseur a été interné en hôpital psychiatrique.

    Elle n'a que deux euros pour vivre

    L'article précise également que Mamie Tricot a de très faibles revenus, d'où l'obligation pour elle de vendre ses tricots. “Après avoir payé toutes ses factures, le loyer, la mutuelle, il lui reste à peine plus de 2 € pour vivre”.

     

    Valeurs actuelles

    NdB: La pauvre, elle ne faisait aucun mal. C'est horrible de lire  ce fait-divers.  Voilà la France en 2017, la France si généreuse envers les immigrés qui lui crachent dessus...

    Et maintenant, que va devenir Mamie Tricot? 

     

     

  • Culture Allemande : « Hansel et Gretel » à l’Opéra de Stuttgart

     

    15h04

    Hansel et Gretel est un conte populaire figurant parmi ceux recueillis par les frères Grimm dans le premier volume des Contes de l’enfance et du foyer (Kinder- und Hausmärchen, 1812, nº KHM 15).

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    (…) Oper Stuttgart

    (Merci à Remigration)

  • Dustin Hoffman accusé à son tour de harcèlement sexuel par une ancienne stagiaire

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    Dustin Hoffman. hiMedia  / 
     

    Anna Graham Hunter avait 17 ans au moment des faits. Mercredi 1er novembre, cette écrivaine a publié une tribune dans le Hollywood Reporter. Elle y raconte comment en 1985 son expérience sur le tournage du film « Mort d’un commis voyageur », de Volker Schöndorff, aux côtés de Dustin Hoffman, s’est transformée en véritable cauchemar. L’acteur américain qui avait à l’époque 48 ans ne s'est pas gêné pour la harceler sexuellement. Son récit est précis et alimenté par des extraits de lettres qu’elle envoyait alors à sa sœur.

     
     

    Depuis que le scandale Weinstein a éclaté en octobre dernier, de nombreuses femmes osent enfin prendre la parole pour dénoncer leurs agresseurs. Cette fois-ci, c’est Dustin Hoffman, âgé de 80 ans aujourd’hui, qui doit répondre de ses actes. Anna Graham Hunter l’accuse en effet de harcèlement sexuel. En dernière année au lycée, elle avait été embauchée en 1985 comme assistante de production stagiaire et devait veiller au confort de la star. Sa première rencontre avec l’acteur a commencé ainsi : « Il m’a demandé de lui faire un massage des pieds dès mon premier jour sur le plateau, ce que j’ai fait ». Elle raconte ensuite comment toute l’équipe du film riait aux blagues salaces de Dustin Hoffman. « Il flirtait ouvertement, attrapait mes fesses et parlait de sexe devant et avec moi. Un matin je suis entrée dans son dressing room pour prendre sa commande pour le petit-déjeuner : il m’a regardée et a souri de toutes ses dents, en prenant son temps. Il a dit fièrement : "Je voudrais un œuf dur…et un clitoris à la coque". Les gens qui l’entouraient ont éclaté de rire. Je suis partie, sans voix. Puis je suis allée dans la salle de bains et j’ai pleuré ».

    Une autre stagiaire harcelée

    Anna Graham Hunter explique que cette situation a duré cinq longues semaines. Elle se rappelle ainsi d’un certain lundi où l’acteur lui avait demandé : « Alors, tu as fait l’amour ce week-end, comme je te l’avais dit ? ». Malgré sa réponse négative, Dustin Hoffman avait lourdement insisté. La jeune femme n’était visiblement pas la seule à recevoir des mains aux fesses. Une autre stagiaire, prénommée Élizabeth, a elle aussi subi le comportement inapproprié de l’interprète de « Rain Man ». Alors qu’elle lui demandait ce qu’il voulait pour le petit-déjeuner, il avait répondu : « Ton sein gauche ». « Tu es dégoûtant », lui avait-elle rétorqué. « Ok, ton sein droit alors », avait-il déclaré.

    L’équipe fermait les yeux

    Quand Anna avait osé se plaindre de cette attitude déplacée à d’autres membres du personnel, on lui avait simplement répondu « que pour le bien de la production, il fallait sacrifier certaines valeurs et juste laisser couler ». Et si l’acteur lui mettait la main aux fesses, elle n’avait qu’à « avoir le sens de l’humour et ricaner ou lui donner une petite tape sur la main ou un truc dans le genre ».

    La réaction de Dustin Hoffman

    Contacté par le Hollywood Reporter, Dustin Hoffman a réagi à ces accusations. Il n’a pas nié les faits et s’est excusé. « J’éprouve le plus grand respect pour les femmes et je me sens mal à l’idée d’avoir pu faire quelque chose qui l’a mise dans une situation inconfortable. Je suis désolé. Cela ne reflète pas qui je suis ».

  • Pourquoi il y aura un second procès Merah

     

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    DÉCRYPTAGE - La justice a condamné jeudi soir Abdelkader Merah et Fettah Malki à 20 et 14 ans de prison. Une décision contestée par le parquet général qui a décidé de faire appel. Selon lui, la cour n'est pas allée assez loin.

    Personne ne semble satisfait du verdict rendu jeudi soir par la cour d'assises spéciale de Paris à l'issue du procès Merah. Moins de 24 heures après la décision des juges de condamner Abdelkader Merah à 20 ans de prison et Fettah Malki à 14 ans, le parquet général a décidé de faire appel de leur condamnation. Pour rappel, l'avocate générale Naïma Rudloff avait requis lundi à l'encontre du frère de Mohamed Merah la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 22 ans de sûreté et 20 ans pour le second accusé.

    » LIRE AUSSI - Le dossier du procès d'Abdelkader Merah

     

    Le parquet général a fait connaître sa décision dans un communiqué envoyé vendredi matin, estimant que les cinq magistrats professionnels qui composaient le jury n'avaient «pas tiré toutes les conséquences juridiques des faits qui lui étaient soumis». Le ministère public regrette notamment qu'ils aient acquitté Abdelkader Merah pour «complicité d'assassinats». Ce dernier a, en revanche, était condamné pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. L'appel porte également sur la peine infligée à Fettah Malki. Le ministère public a tout intérêt à le faire: s'il ne faisait pas appel, les peines infligées aux condamnés ne pourraient être alourdies lors d'un second procès.

    Manque de preuves

    Le verdict rendu par les juges apparait comme un compromis. En étant condamné à 20 ans de prison, Abdelkader Merah a été condamné à la peine maximum pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Par cette condamnation, la cour a voulu sanctionner le militant radical qui était en lien avec son frère au moment des faits et qui a participé au vol du scooter, utilisé par Mohamed Merah lors de ses crimes. Une décision qui va dans le sens de l'avocate générale et des parties civiles. Sauf qu'ils n'ont pas totalement suivi les réquisitions du parquet: les magistrats ont en effet estimé que les preuves manquaient pour reconnaitre Abdelkader Merah coupable de complicité d'assassinats. De quoi, cette fois-ci, donner partiellement raison à la défense, qui en avait fait un des axes majeurs de son argumentaire. Elle avait même plaidé l'acquittement.

    Le second accusé, Fettah Malki, a également été reconnu coupable d'association de malfaiteurs terroriste pour avoir fourni un gilet pare-balles et une arme à Mohamed Merah. Il a été condamné à 14 ans alors qu'il en risquait 20. Dans son cas, les juges ont écouté les arguments de l'avocate générale, sans pour autant suivre à la lettre ses réquisitions. Ils ont en effet considéré que Fettah Malki ne pouvait ignorer la radicalisation de Mohamed Merah et ses motivations terroristes. Un coup dur pour ses avocats qui ont inlassablement tenté de démontrer que leur client n'avait rien à avoir avec le terrorisme.

    «Le mal absolu»

    C'est donc sans surprise que Fettah Malki a annoncé sa volonté de faire appel. «Après, nous verrons bien, à la réflexion, si cet appel doit être maintenu mais, pour l'instant, il a décidé de faire appel», a expliqué l'un de ses avocats Me Etelin. Fettah Malki s'est présenté comme un délinquant qui jouait le rôle de «commerçant» du quartier, insensible aux questions de religion. «On avait pensé qu'on pourrait faire comprendre à la cour qu'elle pourrait retenir une association de malfaiteurs, mais simplement de droit commun, parce que les relations entre Mohamed Merah et Fettah Malki sont des relations de délinquants de quartier». L'avocat estime qu'avec cette décision, «tous ceux qui ont eu des rapports avec les djihadistes pourront être condamnés».

    Tout comme ses confrères de la défense, Me Dupond-Moretti, avocat d'Abdelkader Merah, a jugé sur France Inter que la peine infligée à son client était «lourde» et qu'elle était «intrinsèquement discutable». Il met notamment en cause l'association de malfaiteurs, la qualifiant d'«infraction fourre-tout»: «On y a mis son appartenance à une mouvance islamiste, et c'est à peu près tout ce que l'on peut y mettre». Finalement, «la question est: est-ce qu'un type qui incarne le mal absolu par les temps qui courent peut se voir condamné au bénéfice du doute?», demande-t-il, n'excluant pas de faire appel du jugement. «Il faut que je voie avec Abdelkader Merah, qu'on en discute (…) Je pense qu'on s'oriente vers un deuxième procès», a-t-il précisé.

    Tous ont 10 jours pour faire appel à partir du moment où le jugement a été prononcé. Les parties civiles, qui représentent les victimes, ne peuvent pas faire appel.

  • Twitter désactive le compte de Donald Trump

     

    Par "inadvertance"

    Cette nuit, le compte Twitter du président américain a été désactivé pendant 11 minutes par un employé du réseau social sur le départ. Un tel incident divise les experts en sécurité.

     

    Chez Twitter, les comptes présidentiels ne sont pas à l’abri d’une suspension intempestive. Jeudi 2 novembre dans la soirée, un salarié de l’entreprise, dont c’était le dernier jour de travail, a désactivé le compte de Donald Trump. Onze longues minutes durant, les visiteurs de @realDonaldTrump ont été accueillis par le message : « Désolé, cette page n’existe pas ».

    Après avoir indiqué que le compte avait supprimé par « inadvertance », Twitter a annoncé qu’un employé du service client de l’entreprise était à l’origine de l’incident.

    Il aura fallu près de cinq heures après sa remise en ligne pour que Donald Trump récupère l’ensemble de ses followers. À sa réactivation, son compte n’en comptait plus que 4000, contre les 41,7 millions de départ.

    [...]

    « Il est choquant qu’un employé de Twitter ait pu fermer le compte du Président. Et s’ils avaient tweeté de faux messages ? », s’interroge-t-il Blake Hounshell, avant de poursuivre : « Sérieusement, que se serait-il passé si cette personne avait tweeté au sujet d’une attaque nucléaire sur la Corée du Nord ? ».

    L’incident survient alors que Twitter, au même titre que Facebook et Google, font face à d’importantes critiques. Tous trois ont été auditionnés le 1er novembre devant le Congrès américain, pour ne pas avoir réussi à juguler le flot de fausses informations et de contenus de propagande russe durant l’élection présidentielle américaine.

    Lire l’intégralité de l’article sur lefigaro.fr

  • Nuit d’Halloween en Allemagne : émeutes, agressions sexuelles à Cologne, une école vandalisée par des migrants

     

    19h13

    D’importantes unités de police ont été appelées en renfort pendant la nuit d’Halloween à Cologne et à Essen. La police de Cologne a rapporté mercredi que des groupes d’hommes en état d’ébriété et agressifs venant de pays arabes et d’Afrique du Nord se sont rassemblés devant la cathédrale de Cologne vers 20 heures mardi soir.

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    100 policiers ont été appelés en urgence. La police a vérifié l’identification de plusieurs centaines de personnes, et un grand nombre ont reçu l’ordre de partir. La police a déclaré qu’une intervention précoce avait pour effet de calmer l’humeur «chauffée».

    Un autre point focal pour la police était le périphérique de Cologne. Les files d’attente devant les bars et les restaurants locaux ont donné lieu à des bagarres et la police a dû intervenir. Des agressions sexuelles ont été signalées dans la ville.

    General-Anzeiger


    Schwalbach (All.) : des dizaines de migrants ont vandalisé une école et une garderie, puis ont attaqué la police en leur lançant des pierres. (Source)

  • Marine à Calais après le viol d'une femme par un migrant

    http://www.lavoixdunord.fr/257375/article/2017-11-02/apres-le-viol-d-une-femme-par-un-migrant-bras-de-fer-mediatique-entre-le-pen-et

  • Alger: une ruée impressionnante d'étudiants au Centre Culturel Français

    http://www.fdesouche.com/899945-alger-foule-impressionnante-detudiants-aux-portes-centre-culturel-francais-obtenir-visa

    Ce serait en fait pour passer un test de français afin s'inscrire dans une université française, car selon les étudiants les diplômes algériens ne valent rien...

    + 2 VIDEOS

  • Honteux : la justice ordonne la destruction de la croix de Ploërmel

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    Présent PloermelEn 2006, la mairie de Ploërmel avait érigé une statue de plus de sept mètres de haut représentant Jean-Paul II. Cette statue, de belle facture, était l’œuvre du sculpteur Zourab Tsereteli. Peu de temps après, le groupuscule maçonnique La Libre Pensée et deux (2 !) habitants de Ploërmel lançaient une procédure pour interdire la statue, au motif qu’elle heurterait leur liberté de conscience. En 2015, le tribunal administratif ordonnait la suppression du monument. Mais, coup de théâtre, la cour d’appel administrative de Nantes annulait la décision. Ploërmel pouvait garder son monument.

    Portée devant le Conseil d’Etat, l’affaire vient de donner lieu, en dernier recours, à une décision mi-chèvre mi-chou. La statue elle-même n’est pas remise en cause, elle pourra rester. Mais la croix qui la surmonte doit être détruite, car la loi de 1905 interdit « d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou quelque emplacement public ». La commune est en outre condamnée à verser 1 000 euros à la Libre Pensée.

    Mais la petite ville n’a pas dit son dernier mot. Le maire n’exclut pas de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme :

    « La statue fait partie depuis douze ans du paysage de Ploërmel, ça ne dérange nullement les habitants. C’est au contraire un atout touristique indéniable pour la commune. »

    La statue est un hommage non pas au chef de l’Eglise catholique, ajoute-t-il, mais à l’homme d’Etat qu’était Jean-Paul II. Quant à l’ancien maire, Paul Ancelin, qui est à l’origine de son érection, il explique qu’il voit en Jean-Paul II « le tombeur du communisme ».

    Ce monument est une œuvre d’art

    Il était difficile d’interdire la statue d’un ancien chef d’Etat, alors qu’on continue à en ériger occasionnellement, comme celle de Churchill sur les Champs-Elysées. Difficile aussi de contester un monument pour cause de non-communisme. Restait la référence à la croix, et à la loi de 1905.

    Mais se pose alors une autre difficulté : les droits de l’artiste sur son œuvre.« Cet édifice est une œuvre d’art. Il faut l’autorisation de l’artiste pour la modifier », explique le maire. Zourab Tsereteli pourrait se retourner contre l’Etat français, la censure opérée à l’encontre de son œuvre étant illégale à ce titre.

    Les habitants de Ploermel font bloc derrière leurs édiles. Ici, aux dernières élections municipales, la droite a obtenu 72 %.

    Un mot aussi de l’ancien maire, Paul Ancelin, par qui le « scandale » est arrivé : âgé aujourd’hui de 88 ans, il avait servi en Algérie comme officier parachutiste et s’était engagé pour l’Algérie française, par solidarité avec les pieds noirs et les harkis. Il fut maire de Ploërmel de 1977 à 2008. Il avait conçu l’érection de cette statue comme la conclusion de tous ses engagements.

    Ploërmel est situé non loin du camp de Coëtquidan. Peu après sa première élection, en 1977, Paul Ancelin avait tenu à rencontrer les élèves officiers de réserve. On n’imagine évidemment pas qu’un tel homme puisse être intimidé par deux (2) habitants, une improbable Libre Pensée (sic !), voire même le Conseil d’Etat !

    Francis Bergeron

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 28 octobre 2017

     
  • Communiqué du Front National sur le verdict du procès Merah

     

     
    Communiqués / 2 novembre 2017 / Étiquettes :  /
     

    La cour d’assises de Paris a rendu ce jeudi 2 novembre son verdict dans le procès d’Abdelkader Merah et de Fettah Malki, accusés de complicité dans l’organisation des attentats islamistes de Toulouse et Montauban commis par Mohamed Merah en mars 2012.

    Abdelkader Merah a été reconnu coupable d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, mais non coupable de complicité d’assassinat… Il écope d’une peine de 20 ans avec une période de sûreté aux deux tiers de la peine. Dans les faits, il passera vraisemblablement 13 ans derrière les barreaux au regard de la faiblesse dont fait preuve la justice depuis plusieurs années.

    Dérisoire et incroyablement laxiste eu égard à la gravité du contexte, ce verdict est une injure à la mémoire de toutes les victimes du terrorisme islamiste qui frappe la France depuis 2012. Il a pourtant été très clairement admis par le président de la cour qu’ « il n’est pas contestable qu’Abdelkader Merah a adhéré aux thèses islamistes radicales ».

    Cette affaire réouvre le débat sur le traitement judiciaire de cette idéologie meurtrière. La perpétuité réelle et incompressible doit pouvoir être prononcée pour mettre hors d’état de nuire définitivement les individus liés au terrorisme islamiste.

  • 20 ans pour Merah, 14 ans pour Malki

    http://www.lefigaro.fr/international/2017/10/31/01003-20171031LIVWWW00363-abdelkader-merah-fettah-malki-mohamed-merah-proces-merah-verdict.php

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  • Découverte d'une cavité inconnue au coeur de la pyramide de Gizeh

    http://www.lefigaro.fr/sciences/2017/11/02/01008-20171102ARTFIG00139-un-mysterieux-trou-au-coeur-de-la-grande-pyramide-de-gizeh.php

    + vidéo

  • JT TVL 02 NOVEMBRE 2017

  • Attentat de New York : Trump réclame la peine de mort pour l'auteur

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    Le président des Etats-Unis Donald Trump, le 30 octobre 2017.

    Saipov s'est dit "satisfait de ce qu'il a fait" et a même demandé à pouvoir déployer le drapeau noir de l'EI dans sa chambre d'hôpital.

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    Le président américain Donald Trump a réclamé mercredi sur son compte Twitter que l'auteur de l'attentat de New York, qui a fait huit morts, se voit infliger la peine de mort.

    "Le terroriste de NYC (pour New York city, ndlr) était satisfait et a demandé que le drapeau de l'EI soit accroché dans sa chambre d'hôpital. Il a tué 8 personnes et en a grièvement blessé 12. IL DEVRAIT ETRE CONDAMNE A MORT !", a écrit Donald Trump sur Twitter.

    Le président américain avait déjà évoqué la possibilité d'envoyer Sayfullo Saipov - un Ouzbek de 29 ans arrivé aux Etats-Unis en 2010 - à Guantanamo, la base américaine à Cuba qui sert de centre de détention controversé aux individus accusés d'avoir participé à des entreprises jihadistes.

    New York : l'auteur de l'attentat "était lié" à Daech et s'est radicalisé aux Etats-Unis

     

    Auteur présumé de l'attentat de New York mardi, Sayfullo Saipov, blessé lors de son arrestation et hospitalisé depuis, a déclaré aux enquêteurs être "satisfait" de son acte et demandé que soit déployé dans sa chambre d'hôpital le drapeau noir du groupe jihadiste Etat islamique (EI).

    Saipov a reconnu être l'auteur des écrits en arabe mentionnant l'EI retrouvés à proximité du camion par les enquêteurs.

    Inculpté pour terrorisme, il est déjà cité pour deux chefs d'inculpation fédérale - violence et destruction de véhicules et soutien à une organisation terroriste étrangère -, qui l'exposent à la prison à perpétuité.