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GAELLE MANN - Page 277
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NATURE - Comment un petit écureuil échappe à son prédateur !
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Une petite bonne nouvelle dans un océan de mauvaises
mardi 27 septembre 2016
La mairie de Marseille va résilier le bail du terrain sur lequel devait être construite la fameuse grande mosquée, « la plus grande mosquée de France » (salle de prière de 3.500 m2, minaret de 25 mètres diffusant un jet de lumière. Le bail emphytéotique avait été conclu en 2007, pour une durée de 50 ans, avec un loyer de 24.000 € par an. La première pierre avait été posée en 2010. Puis plus rien, parce que l’association « La mosquée de Marseille », en crise permanente, n’a pas les moyens de seulement… enlever le bâtiment existant sur la parcelle. La mosquée aurait dû être livrée ce mois-ci, donc le permis de construire est caduc, et il se dit que l’association ne payait pas le loyer…
Quand Jean-Claude Gaudin s’engageait au point de remettre la clef de la Grande Mosquée, lors de la conclusion du bail emphytéotique, au président de l’association (Nordine Cheikh, négociant en viande halal) en présence de Dalil Boubakeur:
Réception à la mairie lors de l’obtention du permis de construire, en novembre 2009:
Et il y eut l’enthousiaste pose de la première pierre…
Le Blog d'Yves Daoudal -
Aux migrants, la France s’abandonne
Jamais un gouvernement n’avait déployé autant d’ardeurs et d’imaginations pour se soumettre aux injonctions de la Commission européenne pour prendre sa part de migrants : 30 000 sur deux ans ! Auxquels s’ajoutent les 12 000 réfugiés de Calais à répartir dans toutes les régions de France. Pour l’instant, deux régions ne seraient pas concernées : l’Île-de-France et la Corse. Pourtant, d’après des informations révélées par le journal « Valeurs Actuelles », le gouvernement aurait demandé une étude pour installer des campements à Cergy-Pontoise et à Vernouillet… en prévision, et selon les réactions qui pourraient se manifester en province. Autrement dit, s’il n’y a pas trop d’hostilités, on pourra étendre l’accueil, même en Île-de-France. En Corse, c’est moins sûr ! En attendant, les préfets de régions doivent dénicher, sur tout le territoire, dans les coins les plus reculés, des locaux disponibles susceptibles d’être transformés en centres d’hébergement.
Pour faire bonne figure, grâce à la complaisance de son maire, Anne Hidalgo, Paris ouvrira un camp humanitaire dans un ancien entrepôt de la SNCF. Sa réfection coûtera 5,2 millions d’euros à la ville et l’État apportera sa participation : 1,33 million d’euros. Un architecte a été recruté pour s’occuper de l’agencement de « vrais lieux de vie, en quartiers de différentes couleurs avec espaces de restauration et équipés de Wi-Fi »… Dans un premier temps ce lieu accueillera quatre cents personnes, mais sa capacité d’accueil est prévue pour six cents places. Le coût du fonctionnement du pôle « accueil de jour » : 1,2 millions d’euros par an, à la charge de la Mairie de Paris, coût du fonctionnement du pôle « hébergement », 8,6 millions d’euros par an, à la charge de l’État, donc des contribuables, soit 40 euros par personne et par jour. Un autre espace, pouvant accueillir trois cents personnes, est prévu à Ivry-sur-Seine, plus spécialement pour les familles et « les publics vulnérables »… Un bus, gratuit, fera la navette entre les deux campements pour que tous les membres d’une même parenté puissent garder des contacts.
Tout ceci est beau et généreux, sauf que nos gouvernants successifs n’ont jamais prodigué autant d’intérêt et de charité envers nos pauvres et nos SDF. Pourquoi cette débauche de dépenses pour des personnes qui n’ont pas, a priori, la vocation à rester en France et pourquoi cette imprudence à laisser s’établir dans le pays, outre des possibles infiltrés de Daesh, des populations n’ayant pas d’aptitudes particulières à s’intégrer ? Dans le contexte actuel, cela ressemble fort à de la provocation, renforcée par le fait que de nombreuses associations participent déjà à l’installation pérenne de clandestins sur le territoire et qu’elles soutiennent depuis toujours, dans nos quartiers, le remplacement des populations. Et une nouvelle association « aider les réfugiés », viendra prêter main forte au gouvernement : elle peaufinera la répartition des migrants, en formant une chaîne de solidarité partout en France, pour permettre à des particuliers, individuellement, de s’investir dans « l’humanitaire »…
Face à cette volonté d’imposer aux Français une immigration de peuplement, la résistance commence à s’organiser. Steeve Briois, maire FN, d’Hénin-Beaumont, vient de créer une association « ma commune sans migrants », dont la charte énonce tous les moyens légaux permettant aux maires de s’opposer à l’accueil des migrants. Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a lancé une pétition contre la délocalisation de la jungle de Calais et appelle les maires à s’opposer » à multiplier des Calais partout en France ». François Baroin, actuel président de l’Association des maires de France, a simplement demandé que la répartition des migrants se fasse en concertation avec les élus et avec leur accord. De la part des deux derniers, la révolte est plutôt cocasse : ils ont été des militants de l’ancienne UMP, qui est, en grande partie, responsable de l’immigration massive que subit notre pays depuis des décennies.
Pour contrer ce projet fou du gouvernement, qui cassera le particularisme de nos régions, il faut une réaction citoyenne de grande ampleur et une plus grande prise de conscience du danger que représente la répartition migratoire dans toute la France, car l’identité française, déjà très diluée dans un multiculturalisme exubérant, risque de s’effacer définitivement.
NDF
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Patrick Buisson sur Nicolas Sarkozy : secrets d’un livre explosif
"Si j’ai tout enregistré, c’est donc que ce que je dis est vrai"
- Publié le : mardi 27 septembre 2016
- Mots-clés : France; Nicolas Sarkozy; Opinions; People; Politique
- Commentaires : 6
- Nombre de vues : 11 852
- Source : lexpress.fr
- E&R
En 2007, Nicolas Sarkozy avait beaucoup misé sur Patrick Buisson pour accéder à l’Elysée. Le conseiller, aujourd’hui répudié, après être longtemps resté silencieux, publie, en pleine campagne de la primaire de la droite, un livre volumineux pour raconter et réfléchir. Un titre provocateur : La Cause du peuple. En réalité, une bombe.
Son nom est synonyme de scandale. De scandales, plutôt. Patrick Buisson sent le soufre. Son passé de directeur de Minute, il y a trente ans. L’affaire des sondages de l’Élysée, pour laquelle il est mis en examen, de même que plusieurs anciens collaborateurs de Nicolas Sarkozy, et dont les derniers rebondissements montrent qu’elle est loin d’être terminée. Et puis l’esclandre lorsque Le Point révèle, en février 2014, qu’il a enregistré le président à son insu quand il travaillait à l’Élysée. La défense de Buisson bafouille, la condamnation par le tribunal de grande instance de Paris ne tarde pas : il doit verser 20 000 euros à Nicolas Sarkozy et à Carla Bruni pour atteinte à la vie privée et aussi parce qu’il a agi sans le « consentement » de l’ex-chef de l’État, « ce qui constitue un trouble manifestement illicite ». L’ancien conseiller ne manquera pas de remarquer que seule l’épouse encaissera son chèque, pas l’époux.
En septembre 2014 tombe une sentence ô combien plus sensible à ses yeux et à ses oreilles qu’une condamnation de justice. Au 20 Heures de France 2, Nicolas Sarkozy est interrogé à son sujet : « Vous savez, dans ma vie, j’en ai connu des trahisons, dans tous les plans, mais, comme celle-là, rarement... » Il marque un long silence. « Rarement ». Sur le moment, Patrick Buisson vacille. Il se tait. Il se préserve. Il se réserve. Plus tard, il dira : « J’admets la rupture, mais pourquoi la défroque de l’ignominie ? » Il interprétera son exclusion de manière uniquement politique : « Sarkozy sait que la présence de Marine Le Pen au second tour de la prochaine présidentielle est acquise, on jette donc la ligne Buisson aux poubelles de l’histoire. Mon utilité devient nulle. »
« Je ne suis pas Valérie Trierweiler »
Depuis que le quinquennat 2007-2012 s’est achevé, plusieurs éditeurs le sollicitent, notamment Albin Michel, la maison où il a déjà publié plusieurs ouvrages depuis vingt ans. Il a refusé de s’exprimer oralement, il va le faire longuement, dans un livre. L’écriture lui prend plus d’un an. Très vite, il dépose le titre, La Cause du peuple, bien content d’adresser, lui le tenant d’une droite sans complexe, un pied de nez aux maoïstes. Il s’entoure d’un maximum de garanties pour garder le plus longtemps secret le contenu de son ouvrage. Du réviseur au photographe, chacun signe un contrat de confidentialité. Le livre paraît finalement aux éditions Perrin, avec ce sous-titre : L’histoire interdite de la présidence Sarkozy.
En se lançant dans l’aventure, il a une obsession : « Je ne suis pas Valérie Trierweiler ». De fait, la ressemblance entre les deux n’est pas frappante. Il réfute l’accusation du règlement de comptes ou du grand déballage. L’étendue de sa culture politique, qui affleure à chaque page ou presque, l’acuité de ses analyses, aussi contestées qu’elles aient pu l’être, l’incitent à se situer à un autre niveau que celui de « la chronique malveillante ». Pendant qu’il travaille, il veille à respecter les équilibres entre anecdotes et réflexions. Il n’ignore pas que seules les premières retiendront l’attention dans un premier temps, il veut croire que les secondes finiront par obliger la droite à s’interroger sur sa stratégie et sur son idéologie. Alors, il insiste pour souligner qu’il ne dévoile rien qui puisse nourrir la chronique judiciaire – sans doute ce silence d’aujourd’hui vaut-il aussi avertissement pour demain, au cas où Nicolas Sarkozy lui chercherait noise. La première réaction de l’ancien président, le 26 septembre sur Europe 1, est d’une grande sobriété : « Ça ne m’intéresse nullement ».
Lire la suite de l’article sur lexpress.fr
Quelques portraits assassins d’hommes politiques de droite par Sarkozy relevés par Buisson dans un autre article de L’Express... Exemple :
Jacques Chirac n’a ainsi pas toujours eu droit à un hommage respectueux de sa part. La première fois qu’il accueille Buisson dans son bureau de l’Élysée, au lendemain de son élection, Sarkozy a ces mots : « Je la laisse vide, me dit-il en montrant la place qu’occupait rituellement Jacques Chirac sur le grand canapé. Son esprit l’habite, ajouta-t-il. C’est dire si je ne vais pas être trop encombré. »
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VIDEO - Sarkozy: "Je souhaite la victoire d'Hillary Clinton"
http://www.fdesouche.com/771041-nicolas-sarkozy-je-souhaite-la-victoire-dhillary-clinton
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Trois tweets
(Maquette de la grande mosquée et Gaudin posanr la première pierre)
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Deux sondages après le débat Trump/Clinton: Trump gagnant!
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Florian Philippot sur LCP
http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-lcp-48/
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Marion Maréchal-Le Pen face à Jean-Jacques Bourdin
Eblouissante!
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Marine Le Pen reçoit Ruth Elkrief (vidéo intégrale) 26/09/2016
Merveilleuse Marine, si courageuse!
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JOURNAL TVLibertés DU 27 SEPTEMBRE 2016
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MIEGE
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VIDEO Marine Le Pen invitée de Ruth Elkrief
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Dons à la sortie des grandes surfaces
Les collectes d'aliments vont commencer.
Comme chaque année si vous désirez donner, sélectionnez exclusivement des boîtes ou paquets sur lesquels le mot PORC est bien indiqué :
- Choucroute garnie à l’alsacienne
- Petits pois aux lardons fumés
- Petit salé aux lentilles
- Pâté de campagne pur porc
- Pâté de jambon
- Rillettes pur porc
- Soupes de légumes au lard
- Tranches de lard paysan
- Jambon blanc avec couenne
- Cassoulets aux saucisses pur porc
- Etc…
Faire comme ça, c'est aider d'abord les vrais Français dans le besoin, puisque l’État s’occupe déjà très bien de tous les parasites qui votent pour avoir toujours plus.
La solidarité, ça marche aussi comme ça, en donnant la priorité aux Français...
Le porc c'est bon en plus !!!....... De la tête à la queue tout est délicieux
(merci à Dirk)
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L’Union Européenne va donner des cartes bancaires aux réfugiés en Turquie
0h36L’Union européenne a lancé aujourd’hui un plan d’aide de près de 350 millions d’euros pour les réfugiés en Turquie, essentiellement syriens, dont les bénéficiaires se verront remettre des cartes bancaires prépayées.
Le commissaire européen chargé de l’Aide humanitaire Christos Stylianides, en visite à Ankara pour lancer le programme, a estimé que les cartes de débit prépayées donneraient aux réfugiés un « semblant de normalité » dans leur vie. Créditées chacune de 100 livres turques par mois (environ 30 euros), ces cartes permettront aux réfugiés d’acheter de la nourriture, des vêtements, payer pour l’éducation ou le logement ou retirer du liquide aux distributeurs. [...]
Ce programme d’aide, financé par l’Union européenne et ses pays membres à hauteur de 348 millions d’euros sera mis en oeuvre sous la supervision du Croissant-Rouge turc et du Programme alimentaire mondial, avec le soutien des autorités turques. Selon le commissaire européen, l’économie turque en bénéficierait aussi. « L’argent sera dépensé dans les magasins locaux et cela va profiter aux commerces locaux et encourager la cohésion sociale entre citoyens turcs et réfugiés », a-t-il estimé.
Ce plan fait partie d’une aide totale de six milliards d’euros prévus aux termes d’un accord signé en mars entre les pays de l’Union européenne et la Turquie. Ankara s’est engagée en contrepartie à maîtriser les flux migratoires vers l’Europe, où plus d’un million de réfugiés ont déferlé l’an passé. [...]
Merci à francevig
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JOURNAL TVLibertés DU 26 SEPTEMBRE 2016 / La riposte contre les camps de migrants
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« Chère Rihanna... » La lettre de François Hollande à la chanteuse
A lire absolument !
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A l'hôpital, une agression toutes les trente minutes!
NdB: On sait parfaitement - c'est un secret de Polichinelle! - qui sont les auteurs de ces agressions et de ces violences, mais aucun média n'a le courage de l'écrire noir sur blanc!
Pourquoi ces gens ne sont-ils pas arrêtés? Pourquoi tant d'indulgence envers eux?
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Pour l'opposition, la forte hausse du chômage disqualifie Hollande
LE SCAN POLITIQUE- La promesse de François Hollande de se représenter à l'élection présidentielle à la seule condition d'une inversion de la courbe du chômage se fracasse sur de mauvais chiffres.
Il y a des signes qui ne trompent pas... C'est justement ce jeudi à 18 heures que devait être lancé un site internet appelant à la candidature de François Hollande. Patatras... L'événement a été annulé sine die. Et pour cause, à la même heure une mauvaise nouvelle est arrivée du ministère du Travail: +1,4% de chômeurs (+50.200) au mois d'août pour la seule catégorie A. La plus forte hausse depuis janvier 2013. Une annonce qui intervient au pire moment alors que François Hollande accélère, avant d'officialiser ses intentions pour 2017 dans trois mois. Une candidature à un second mandat que le chef de l'Etat a plusieurs fois conditionné à une inversion de la courbe du chômage.
Une promesse que n'a pas oublié la droite. «Confirmation que François Hollande ne se représentera pas», écrit le député Lionnel Luca sur Twitter. «Hollande (sera-t-il) candidat malgré la non inversion?», s'interroge l'ancien ministre Roger Karoutchi. «Alors que le président de la République fanfaronnait le mois dernier sur toutes les télévisions, la forte hausse du chômage en août doit le ramener à la réalité. Faute d'avoir fait des réformes structurelles, le chômage ne peut se replier durablement», tranche le sénateur Jean-Baptiste Lemoyne. Et le député Eric Ciotti de compléter: «Avant de se préoccuper de sa candidature à l'élection présidentielle de 2017, le président de la République, partagé entre méthode Coué et stratégie de l'autruche, serait mieux inspiré de s'atteler enfin à placer notre pays sur le chemin de la réforme afin de lutter réellement contre le chômage, qui, rappelons-le, était le principal engagement du candidat Hollande en 2012».
Quant au sénateur FN Stéphane Ravier, il assène: «Qui peut encore croire les perroquets socialistes du “Ça va mieux”?!» Allusion au slogan lancé par les socialistes dès le printemps dernier. Pour le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, l'avenir du président de la République ne fait pas débat: «Plus que quelques mois avant la retraite de François Hollande. Enfin!»
Conscient du danger qui guette François Hollande, le secrétaire d'Etat Jean-Marie Le Guen s'est mué en démineur. «Je ne crois pas qu'on puisse décider d'une candidature sur le seul critère du chômage», a-t-il lâché sur BFMTV. Quant à la ministre du Travail, elle veut rappeler que «la tendance sur douze mois reste bonne». «Nous restons mobilisés», jure Myriam El Khomri. Pour le gouvernement, cette baisse aurait notamment pour cause les «difficultés rencontrées dans certains secteurs d'activité particulièrement affectés par les attentats de juillet» à Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray. Un argument qui fait déjà bondir le député niçois Eric Ciotti. «Utiliser les attentats (...) pour masquer l'échec de François Hollande est tout simplement indigne!», s'agace le sarkozyste sur les réseaux sociaux, parlant même d'une «faute morale».
LE FIGARO
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Jordan Bardella invité de "Dimanche en Politique" - France 3 Paris/Île-de-France (25-09-2016)
A voir!
BRAVO à Jordan Bardella pour sa maturité politique face à des adversaires qui essaient par tous les moyens de le déstabiliser!