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GAELLE MANN - Page 275

  • Caucase : le pape à la rencontre des musulmans, après un accueil glacé des orthodoxes

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    Le pape François assis à côté du patriarche orthodoxe géorgien Ilia II samedi à Mtskheta en Géorgie. - Crédits photo : OSSERVATORE ROMANO/REUTERS

    Le pape François termine ce dimanche un voyage de trois jours dans le Caucase, par l'Azerbaïdjan après un séjour en Géorgie où il a été froidement reçu par des orthodoxes très anticatholiques.

    Par Jean-Marie Guénois, Envoyé spécial à Tbilissi (Géorgie) et Bakou (Azerbaïdjan)

    Le pape François poursuit, ce dimanche, son voyage dans le Caucase, par une dernière étape en Azerbaïdjan. Il doit quitter aux aurores Tbilissi, la capitale de Géorgie, où il a passé deux jours dans l'indifférence populaire et une relative tension avec les orthodoxes largement majoritaires dans ce pays pour rentrer, dans la soirée de dimanche, à Rome. Mais l'accueil des musulmans chiites d'Azerbaïdjan ne pourra pas être pire que celui des chrétiens orthodoxes de Géorgie… Même si la glace a fondu en surface, ces chrétiens ont confirmé leur réputation d'être les plus anticatholiques de toute l'orthodoxie mondiale.

    Le paradoxe est que les musulmans chiites d'Azerbaïdjan se montrent beaucoup plus bienveillants pour la poignée de catholiques - une paroisse, sept prêtres, 570 catholiques recensés! - puisque le grand Mufti du Caucase, Allahs Hukur Pashazade, a financé une partie de leur église catholique de Bakou consacrée en 2007.

    L'Église catholique serait donc mieux accueillie dans le sud du Caucase par les musulmans que par des chrétiens orthodoxes? Oui, probablement mais une nuance près. Les catholiques sont ultraminoritaires dans les deux cas: 2,5 % de la population en Géorgie ; 0,01 % en Azerbaïdjan. Ils sont donc totalement inoffensifs. L'Azerbaïdjan, en frontière avec l'Iran, est musulman à 88 % mais à majorité chiite (62 %). L'islam y est, de plus, en pleine expansion: lors de l'indépendance vis-à-vis de l'Union Soviétique, le 30 août 1991, le pays comptait 17 mosquées, il y en a 2000 aujourd'hui.

    Absence de délégation orthodoxe dans un stade aux trois-quart vide

    Après avoir dit la messe du dimanche dans l'église catholique de Bakou, la capitale d'Azerbaïdjan, le pape François doit rencontrer le président de la République, Ilham Heydar Aliyev. Il visitera, l'après-midi, la grande mosquée flambant neuve - inaugurée en 2014 elle porte le nom du président financeur - pour un entretien avec le grand Mufti du Caucase. Entrevue suivie par une rencontre interreligieuse avec un discours très attendu du pape François qui sera le clou de son 16° voyage hors d'Italie.

    Quel souvenir le pape François emportera-t-il, dimanche soir, dans son avion de retour? Il le confiera peut-être aux journalistes qui l'accompagnent lors d'une conférence de presse aérienne devenue rituelle en rentrant de chaque voyage, mais il est certain que jamais encore, depuis son élection en 2013, le pape François n'aura reçu un accueil aussi froid qu'en Géorgie même s'il a vécu des moments très chaleureux aux contacts de la petite communauté catholique de ce pays.

    L'absence, en particulier, d'une délégation orthodoxe à la messe papale de samedi matin dans le stade - au trois quart vide - de Tbilissi alors que cette présence officielle orthodoxe avait été annoncée par le Vatican, quelques jours avant le départ, comme un pas historique vers une réconciliation, a été plutôt mal vécu par la délégation vaticane.

  • Renaud Camus en conférence à Nantes pour « un appel à la révolte » [interview]

    http://www.breizh-info.com/2016/09/27/50319/renaud-camus-grand-remplacement-nantes-revolte

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  • Un tweet de Donald Trump

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  • L’annulation du référendum d’Allex : le vrai visage de la dictature socialiste

     A Budapest, on pourra voter, à Allex, cela est interdit. La véritable dictature est en France, pas en Hongrie !
    Militant associatif et auteur

    Fondateur de Riposte Laïque

     
     
     

    Plus le temps passe, plus les masques tombent. Ce qui se passe autour de la petite ville de la Drôme, Allex, illustre, mieux que de longs discours, les méthodes du ministre de l’Intérieur et de son préfet Spitz, dans ce département, mais aussi dans toute la France.

    Bernard Cazeneuve, après sa huitième visite à Calais, a donné l’ordre à ses préfets, qu’il transforme en commissaires politiques socialistes, d’installer par tous les moyens possibles, en contournant les maires, les 12.000 clandestins de « la jungle » et de la Région parisienne, qui ne sont présents sur le territoire français que par la soumission complice de ce régime.

    Le 5 septembre, très arrogant, Bernard Spitz explique à la population que cette petite ville de 2.500 habitants devra accueillir, dans le château de Pargaud, pas moins de 90 clandestins, venus de la jungle de Calais. Il explique qu’il n’y a rien à discuter, et que c’est comme cela.

      Sonnée, la population se révolte, et exprime son mécontentement et son refus. Le maire, Gérard Crozier, voulant calmer les esprits, promet à sa population de la consulter par référendum, suscitant l’hostilité des élus de gauche et du Préfet.

    Celui-ci, avec une morgue insupportable, commencera par imposer, une semaine avant la tenue du référendum, la présence de onze clandestins, s’arrangeant pour qu’il y ait femmes et enfants, une image bien éloignée de la réalité de Calais.

    Ne se contentant pas de ce premier camouflet infligé au maire et à sa population, il assignera ensuite le premier magistrat de la ville devant le tribunal administratif, qui osera, avec des arguments plus que discutables, déclarer illégal ce référendum. Le Préfet menaçant le maire, suite à cette décision, d’entrer dans l’illégalité s’il maintenait son initiative, Gérard Crozier a décidé, la mort dans l’âme, d’annuler la consultation populaire qui était prévue.

    Comment mieux illustrer la véritable dictature socialiste qui se met en place, sous la houlette de ce gouvernement, avec les préfets dans le rôle d’exécutants des basses œuvres, contre des populations qui, dans leur immense majorité, comme on l’a vu à Forges-les-Bains, refusent l’invasion migratoire que ce régime veut leur imposer avec la complicité des maires de gauche et des associations immigrationnistes gavées de subventions ?

    Demain, à Louveciennes, une semaine après Versailles, les Franciliens manifesteront contre la politique criminelle de ce gouvernement. Dans la semaine qui vient, dans le cadre de la Quinzaine « Sauvons notre pays » que nous avons impulsée, des manifestations et initiatives militantes se dérouleront à Bordeaux, Calais, Cahors, Pontivy, et se termineront par une grande manifestation de rue, à Montpellier, à l’appel de la Ligue du Midi, avec notamment le Général Piquemal et l’écrivain Renaud Camus.

    Le vrai peuple, ce sont ces Français qui refusent le coup d’État migratoire et le putsch de Cazeneuve et ses préfets.

    Le vrai démocrate, c’est Viktor Orban, qualifié de populiste d’extrême droite par la caste politico-médiatique, qui consultera demain sa population, sur la répartition des clandestins que l’Union européenne veut imposer aux 27 pays de l’Union européenne.

    A Budapest, on pourra voter, à Allex, cela est interdit.

    La véritable dictature est en France, pas en Hongrie !

    BV

  • Débat Trump/Clinton : ce que l'on ne sait peut-être pas

    Trump>Clinton : dans tous les mediats excepté CNN https://t.co/ve0H98zoW2"
    To:

    Selon tous les mediats européens, Clinton fut meilleure que Trump lundi soir, 

     
    Or, tous les mediats américains montrent le contraire, sauf CNN. 
     
    C'est extraordinaire quand on sait que Hillary Clinton dispose des moyens illimités de Wall Street, lequel a accès à la FED qui crée autant de dollars qu’elle veut à partir de rien.

    Le modérateur a posé des questions vicieuses à Trump 19 fois, et seulement 2 fois à Clinton, en évitant toutes les casseroles qu’elle traîne.
     
     Il a interrompu Trump 40 fois, contre 7 fois Clinton. 
     
    Nous arrivons à un point où la corde des menteurs est tellement usée qu’elle n’est plus efficace. 
     
    ll leur faut donc une guerre, comme en 1939, comme en 1917.  Guerre qui se prépare intensément.... 
     
     

     
  • Info – Nouvelle célébration devant l’église Sainte-Rita

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    Dans le cadre de la mobilisation pour l’église Sainte-Rita (15ème arrondissement de Paris), une nouvelle célébration est prévue dimanche 2 octobre, à 11 h. Elle aura à nouveau lieu devant l’église murée, devenue le symbole des nouveaux combats des catholiques.

    Voici l’annonce de l’abbé de Tanoüarn, publiée dans le Metablog:

    Dimanche prochain 2 octobre à 11 H, nous célèbrerons la messe à nouveau devant l’église Sainte Rita murée. Ce geste public est plus que jamais nécessaire

     

    Je dois rencontrer le Promoteur très prochainement. Le propriétaire le met en demeure de payer pour acheter la parcelle à démolir. Lui ne veut pas s’engager sur des sables mouvants. Il ne tient pas à payer pour ne pas construire. Bref il y a tous les éléments d’un vaudeville !

     

    Il est essentiel dans ce contexte que nous soyons très nombreux : on ne détruit pas une église qui marche, non : pas en France tout au moins. C’est la raison pour laquelle il faut qu’à Sainte Rita, tous ensemble, nous montrions que l’église fonctionne. C’est la meilleure manière de faire baisser les prix, en donnant un avenir à cette église. Le 2 octobre est la fête des anges gardiens. Ceux de Sainte-Rita vont avoir fort à faire. Nous devons les aider.

     

    Depuis l’événement médiatique de cet été, nous avons découvert bien d’autres églises en instance de destruction. Sainte-Rita, en plein XVème arrondissement, au coeur de Paris, est devenue un symbole.

     

    Je vous rappelle notre adresse : Sainte-Rita, 27 rue François Bonvin, 75015. Le métro ? Volontaires (sur la ligne 12) Sèvres-Lecourbe (sur la ligne 6) ou Ségur (sur la ligne 10)

    Le combat continue : l’abbé de Tanoüarn doit rencontrer le promoteur. Il semble bien, dans ce dossier, que les choses ne soient pas claires. Pour le plus grand bonheur du maintien de cette église.

    Source: Metablog.

    Riposte Catholique

  • Burkini, terrorisme et invasion, même combat – Par Guillaume Faye

     

     

    01/10/2016 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Le ”burkini”, néologisme issu de ”burqa” et de ”bikini”, est donc un vêtement intégral pour les bains de mer des femmes musulmanes immigrées. Il est curieusement apparu sur les plages françaises du midi après la vague d’attentats musulmans (arrêtons de dire ”islamistes”) de l’été 2016. Ce n’est pas une coïncidence. (1)

    François d’Orcival a formulé l’analyse la plus lucide : « l’offensive des burkinis a commencé dès le lendemain de l’assassinat du père Jacques Hamel et moins de deux semaines après la tuerie de Nice. Qu’est–ce–que cela veut dire ? Ceci : si vous, Français mécréants, ne voulez pas être victimes de la barbarie, alors respectez la susceptibilité des musulmans, acceptez-les tels qu’ils veulent être, avec leurs coutumes et leurs pratiques, leurs tenues vestimentaires et règles alimentaires, oubliez votre satanée laïcité républicaine, méfiez–vous… » (Valeurs actuelles, 25–31/08/2016)

    Le Conseil d’État, agent objectif de l’islamisation

    Le Conseil d’État a donc invalidé la décision de maires de la Côte d’Azur d’interdire le burkini sur les plages. Au nom de la ”liberté” et des Droits de l’homme. Les partisans du djihad se frottent les mains. Selon le Conseil d’État, interdire le ”burkini ” est « une atteinte grave aux libertés fondamentales ».

    La Ligue des droits de l’homme (LDH) et le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), qui est un groupe de pression musulman radical d’islamisation agressive, sont à l’origine de la saisine du Conseil d’État. La LDH est dans son rôle traditionnel de déconstruction de l’identité française et européenne. (2) Le CCIF est le chef d’orchestre de l’affaire des burkinis. Cette association, proche des Frères musulmans, « envenime les situations, imposant sa grille de lecture d’une France raciste et antimusulmane » explique Mohamed Louizi, ancien membre des Frères musulmans qu’il a quittés. Le but offensif du CCIF, qui ne cesse de dénoncer la ”stigmatisation” dont seraient victimes les musulmans, est de faire abroger les lois sur le voile à l’école et sur la burqa, ainsi que de faire appliquer progressivement la loi coranique, la charia, en France.

     

    Interdire le burkini, comme d’ailleurs le voile noir intégral, reviendrait, selon l’opinion des New York Times et Washington Post, à commettre un attentat intolérable contre les libertés individuelles. Le Monde et Libération étaient évidemment sur la même ligne. Le Conseil d’État a suivi cette opinion. Qu’on ne raconte pas qu’il a légiféré selon le droit. Il a légiféré selon l’idéologie ; cette idéologie immigrationniste et islamophile qui vise la destruction du peuple français autochtone comme de ses voisins européens.

    L’ONU est une organisation qui a toujours été favorable à l’invasion migratoire de l’Europe et a toujours défendu les pays arabo-musulmans contre Israël. Son Haut-Commissariat a dénoncé les arrêtés municipaux anti burkini, les qualifiant de « réaction stupide ». La complicité avec l’invasion et l’islamisation de l’Europe est, là encore, évidente.

    Sous des arguties juridiques – absence de troubles à l’ordre public du fait du port du burkini et restriction illégale de la liberté de se vêtir – le Conseil d’ État, en cassant la décision du tribunal administratif de valider l’interdiction municipale de ce burkini, confirme ses positions idéologiques pro–islamisation et pro-immigration. Il est, tout comme bien d’autres institutions judiciaires ou constitutionnelles françaises et européenne, un agent objectif de l’invasion migratoire et de l’islamisation. Un des conseillers d’État cosignataires de l’arrêt, M. Thierry Tuot, est connu pour des positions militantes délirantes pro-immigration et islamophiles. Le Conseil d’État a été dans cette affaire l’ennemi du peuple français, au nom duquel il juge pourtant.

    Le Conseil d’État a donné un signe fort aux djihadistes : au nom des Droits de l’homme, vous avez le droit de nous envahir, d’occuper de plus en plus notre espace public et nous n’avons pas le droit de vous en empêcher.

    La stratégie de l’affaire du burkini : l’intimidation provocatrice

    Le diable se cache dans les détails. D’apparence insignifiante, l’affaire du burkini est de même nature que les revendications du voile partiel ou intégral, des menus halals, des salles de prière dans les lieux de travail, etc. En réalité, au même titre que les attentats ils font partie du djihad, cette guerre de conquête que mènent les musulmans.

    La défense de la ”laïcité” a été invoquée pour interdire le burkini ou le voile intégral. Mais en réalité, cela va bien plus loin que la laïcité ou le respect de l’égalité hommes-femmes. Il s’agit d’un défi lancé à notre identité. La multiplication dans l’espace public de femmes instrumentalisées, voilées dans les rues ou en ”burkini” sur les plages, relève d’un défi ethnique, d’une stratégie d’intimidation : s’afficher comme envahisseurs et occupants à travers une démonstration vestimentaire. D’ailleurs, on remarquera que les hommes font de même : Maghrébins et Africains s’exhibent de plus en plus dans des tenues ”traditionnelles” arabes ou sub-sahariennes. Ce n’est pas innocent.

    Cette ”opération burkini”, évidemment concoctée par les réseaux arabo-musulmans, dont au premier chef le CCIF, est une provocation pure ; car auparavant, les musulmanes voilées et pudibondes (sur ordre de leurs maris) ne fréquentaient pas les plages, et, pour les autres se baignaient en maillot.

    Les incidents de Corse, impliquant le burkini comme prétexte, sont le résultat d’agressions des Maghrébins, avec tentative de privatisation d’une plage, symbole de conquête territoriale avec violences racistes contre des Corses. L’offensive se pare toujours d’une posture défensive. L’agresseur se prétend victime, le raciste antiraciste.

    Il s’agit à la fois d’une menace et d’un test. Pour évaluer notre niveau de résistance. Provocation : comme pour le voile et la burqa, le message est : on est là, de plus en plus nombreux, visibles dans l’espace public. Le Conseil d’État ayant invalidé les arrêts anti–burkini, sa décision a été comprise comme une victoire : ”vous pouvez faire ce que vous voulez, on a peur de vous et on se réfugie derrière le prétexte des Droits de l‘homme et de la liberté”. L’envahisseur éclate de rire.

    Valérie Pécresse, présidente (LR) de la région Île–de–France a réagi : « ce n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, mais un projet politique, un projet de contre–société ». Elle évoque des « pratiques communautaires radicales ». Bonne analyse, mais il faut aller plus loin : l’affaire, en apparence anodine du burkini, participe d’un projet de guerre et d’invasion. Le message des envahisseurs est : ”chez vous, nous sommes chez nous et vous serez de moins en moins chez vous”. Mitterrand, ce collabo invétéré, (du vichysme au socialo–immigrationnisme) avait déclaré : « ils sont chez eux chez nous ». Les dirigeants français, surtout de gauche, ont toujours eu cette fibre pathologique de collaboration suicidaire avec les envahisseurs.

    Les musulmans font cette provocation afin de susciter une réponse répressive et d’obtenir à la fin une victoire, comme celle que leur a offerte sur un plateau les magistrats du Conseil d’État.

    Se revendiquer, s’afficher, intimider, montrer son omniprésence, faire sentir un processus d’invasion ethnique dans des domaines toujours nouveaux, tel est le rôle dévolu à cette stratégie du burkini.

    Le coup du burkini est très habile – et pervers – de la part des arabo-musulmans. Effectivement, ces femmes qui se baignent dans la mer complètement couvertes ne menacent pas la sécurité et, finalement, au nom de la liberté, cette provocation est un piège.

    Personne, par exemple, ne pourrait empêcher quelqu’un de se baigner habillé en costume cravate dans la mer – au nom de la liberté.

    Mais il est stupide, et très désagréable, franchement, de se baigner tout habillé. Ce qui prouve que les femmes musulmanes qui le font (sur ordre évidemment, puisqu’elles sont soumises) n’accomplissent ce geste que dans une visée de provocation et de défi, et non pas par soudain désir de batifoler dans l’eau salée.

    Les Droits de l’homme contre le peuple, instruments de l’invasion

    L’idéologie/religion séculière des Droits de l’homme – qui est un dévoiement de la déclaration des Droits de l’homme et du citoyen– mène à l’impuissance collective, à la paralysie du politique, et s’avère être l’instrument de ceux qui veulent détruire le germen des peuples européens au profit des envahisseurs. Antidémocratique, cette idéologie entérine le gouvernement dictatorial des juges ; notamment ceux de la Cour de Strasbourg. Les Droits de l’homme sont une aubaine pour les terroristes et les voyous musulmans. Le professeur Jean–Louis Harouel, dans son récent essai Les Droits de l’homme contre le peuple (Desclée de Brouwer), remarque que « la très vertueuse religion séculière des droits de l’homme trace aux Européens le devoir de disparaître en souriant pour faire place à d’autres peuples et d’autres civilisations ». Il précise : « l’application des droits individuels, jadis conçus pour protéger un peuple contre les excès d’autorité de ses gouvernants, devient dangereuse pour ce peuple quand se déversent sur son territoire d’autres peuples, surtout dans un climat de guerre entre civilisations ». Ces Droits de l’homme « exposent chaque peuple européen à voir des membres d’un autre peuple s’installer massivement chez lui ». On le voit avec la ”crise des migrants”, véritable invasion organisée des peuples européens sans leur consentement. Les immigrés, majoritairement musulmans, utilisent cette « religion séculière de nature millénariste obsédée par la non–discrimination », avec la complicité des institutions collaboratrices, dont la magistrature et le Conseil d’État, afin de « mettre à profit ces droits pour travailler à le détruire (le peuple de souche hôte malgré lui), pour faire prévaloir leur mode de vie et leurs valeurs, au détriment de ceux du pays d’accueil » ; et même si, paradoxe dialectique, leur culture musulmane est totalement contraire aux droits de l’homme : sexisme, discriminations, totalitarisme liberticide, etc.

    Les envahisseurs se repaissent de nos faiblesses, de nos lâchetés, des collaborations perverses de nos élites masochistes et nihilistes, de nos peurs et de leur impunité. Ils ne reculeront, ne reflueront que le jour où sera répudiée l’idéologie des Droits de l’homme. Le jour où, plutôt que des accommodements, des utopies d’ ”intégration” ou d’ ”assimilation” et de ”vivre ensemble” sera entendu et appliqué le souhait de la majorité du peuple de souche : on n’entre plus et pour ceux qui sont entrés, voici la sortie.

    Duplicité des musulmans et des gauchistes

    Remarquons que Manuel Valls a approuvé (au nom de la ”République”, de la ”laïcité” et surtout de la défense des droits des femmes) les interdictions du burkini par les mairies concernées, contre l’avis du Conseil d’État. Dans son gouvernement, Najat Vallaud–Belkacem, probablement soutenue par le glauque François Hollande, les a contestées. Incroyable rupture et désobéissance au sein d’un gouvernement. Ce désaccord est clairement ethnique. La militante ministre de l’Education nationale, qui est d’origine arabo-musulmane, s’emploie partout et surtout à l’école à défranciser, islamiser, arabiser, africaniser. Avec son sourire désarmant, elle fait son petit djihad soft.

    On remarquera aussi, face à toutes ces manifestations musulmanes de discrimination et d’infériorisation des femmes (coupables d’attirer les hommes si elles ne cachent pas leur corps) le silence complet des mouvements féministes de gauche, LGBT et autres. Leur militantisme gaucho–féministe s’arrête là où commence leur adoration xénophile pour l’immigré musulman et l‘islam, même si ce dernier est homophobe et misogyne par nature. Terrifiante contradiction à laquelle n’échappe pas Najat Vallaud–Belkacem : d’un côté elle introduit à l’école la théorie du genre qui nie les différences sexuées au nom de l ‘égalité hommes–femmes, de l’autre, elle s’oppose à l’interdiction du burkini, ce symbole de l’oppression des femmes ! En réalité, cette incohérence idéologique apparente s’explique par le fait que cette ministre d’origine maghrébine, est une militante offensive à la fois de l’affaiblissement du socle culturel français et de l’implantation invasive de ses coreligionnaires.

    La duplicité, la ruse et le mensonge sont des spécialités de qui l’on sait. Déclarations du président du CFCM (Conseil français du culte musulman), Anouar Kbibech, soulagé par la décision du Conseil d’État d’annuler les interdictions du burkini : « Il y a eu un sentiment général de stigmatisation (mot clé de la langue de bois) voire d’humiliation des musulmans de France, notamment après ce qui s’est passé pour deux femmes musulmanes sur les plages de Cannes et de Nice ». (Elles ont été verbalisées par la police municipale.) Bien que ses coreligionnaire les violent en permanence, il prétend défendre « la solidité des principes et des valeurs de la République ». Utiliser les Droits de l’homme et les principes républicains contre la France pour l’envahir est une constante. « Nous utilisons vos droits de l’homme pour vous envahir», a prévenu une revue musulmane proche de Dae’ch.

    Kbibech a précisé : « Ne nous trompons pas de priorité. Ce qui a tué sur la plage de Nice, c’est le terrorisme et non le burkini ». Terrorisme, mot valise pour ne pas désigner la réalité, le djihad musulman criminel. Autre mensonge du même personnage : « les musulmans de France ont toujours été respectueux des lois et des valeurs de la République ». Ah bon ? Plus c’est gros, plus ça passe…

    Islam de France tolérant et laïc : sinistre gag

    Le problème n’est pas l’assimilation, l’intégration, ni composer avec un ”islam de France”, utopie d’intellectuels hors sol. Impasse totale, ça ne marchera jamais. La création d’une ”Fondation pour l’islam de France”, dirigée par le dinosaure Chevènement, politicien en phase finale, débouchera sur un fiasco complet.

    Non seulement les burkinis vont maintenant se répandre sur les plages et dans les piscines, mais bientôt les Françaises de souche seront-elles interdites de bikini et de maillot de bain dans certains endroits à forte population immigrée, harcelées par des musulman(e)s jouant aux pudibond(e)s choqués ? Cette hypothèse n’est nullement impossible : récemment dans un jardin public, une jeune fille française qui se faisait bronzer en maillot de bain a été agressée et frappée par des femmes arabes voilées qui se considéraient déjà en territoire conquis. La charia risque de s’imposer progressivement, de fait, zone par zone, par la loi du nombre de l’invasion migratoire arabo–afro–musulmane.

    Faut-il une loi pour passer par dessus la tête du Conseil d’État comme le demandent la droite LR et le FN ? Mais elle se heurterait au barrage du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des Droits de l’homme, où siègent les juges collaborateurs et acteurs de l’invasion de l’Europe. Le burkini est donc définitivement autorisé. C’est un signal et un symptôme de plus, symbolique et médiatique.

    En soi, c’est cependant un problème secondaire, l’essentiel, pour aller à la source causale, étant l’arrêt total de l’immigration, la ”remigration” (retour au pays) et la désislamisation ; non pas sous la forme de la construction ridicule et utopique d’un ”islam laïc et tolérant”, – contradiction dans les termes et oxymore (3) – mais de la réduction de la population musulmane, par départs massifs, sous quelque forme que ce soit.

    Guillaume Larrivé, porte parole de LR, a déclaré, à propos de l’affaire du burkini : « les islamistes veulent faire reculer la République ; c’est la République qui doit faire reculer les islamistes ». Mauvaise formulation. Il faut en finir avec ces mentions répétitives de ”République”, faiblardes et purement idéologiques. Car il s’agit plutôt de la Nation, de la France, et d’autres pays voisins, au sens charnel et ethnique. Assez aussi avec ce terme ”islamiste”, alors qu’il s’agit de l’islam arabe coranique authentique. Il aurait fallu dire – mais la droite molle en est incapable – que ”l’islam afro-arabe veut faire reculer la Nation française mais que c’est elle qui doit le faire reculer ”. Quand on a peur de désigner l’ennemi et de se définir soi-même sans complexe, on perd.

    Vers l’affrontement inévitable

    Deux Américains, l’historien Bernard Lewis, auteur de l’essai Le Pouvoir et la Foi. Questions d’islam en Europe et au Moyen –Orient et le journaliste Christopher Caldwell, auteur de Réflexions sur une révolution européenne, ont pronostiqué, que pour des raisons d’immigration massive et de différence démographique de natalité, plusieurs pays d’Europe de l’Ouest, dont la France, deviendront en majorité musulmans avant le milieu du XXIe siècle. Ils ajoutent que pourrait se réaliser ainsi la conquête de l’Europe, un objectif constant de l’islam – arabe ou ottoman– depuis le haut Moyen–Âge. Et il ne s’agit pas uniquement d’un changement civilisationnel et religieux (comme à la fin de l’Antiquité) mais, fait absolument nouveau, d’un changement anthropologique, d’un remplacement de peuple.

    Car le plus grave de tout, j’allais dire pire que les attentats terroristes, c’est évidemment l’invasion migratoire (à 90% musulmane) maghrébine, africaine, moyen–orientale, qui détruit l’existence et l’avenir des peuples européens, qui signe leur disparition et qui est encouragée par les dirigeants français, allemands, européens, soit idiots naïfs, soit plus souvent traîtres nihilistes et collaborateurs. Depuis un an, 1,5 millions de migrants illégaux sont entrés en Europe, sans compter les entrées légales. Sans expulsions. Et ça continue. Pour que le déversement s’arrête et s’inverse, il ne faut pas compter sur les politiciens actuels des partis au pouvoir (pas pour très longtemps…) mais sur des événements sismiques qui sont inévitables et qui vont bouleverser toute la donne.

    1. Ce ”burkini” a été conçu en Australie par une Libanaise musulmane pour ses coreligionnaires.

    2. Le CCIF, tout comme le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) sont des associations de combat ethnique, qui visent moins à défendre leurs communautés, qu’à combattre l’identité française de souche dans un but invasif, en prétextant toutes deux être victimes d’un racisme bidon. Or le CRAN, avec son intitulé, est la seule institution racialiste avouée à être autorisée. Ce scandale n’a jamais été relevé.

    3. Que dirait-on d’un nazisme philosémite, d’un catholicisme athée, d’un libéralisme collectiviste ?

  • Islam : Bernard de La Villardière a osé lever le Tabou !

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    Source : Boulevard Voltaire – « Islam : Bernard de La Villardière a osé lever le Tabou ! »

    Il faut absolument regarder ce reportage qui, depuis sa diffusion, enflamme les réseaux sociaux.

    Tabou : « Interdit d’ordre moral ou religieux frappant des actions, des objets, des lieux. L’enfreindre est sacrilège et exposerait à une sanction lourde des hommes ou des dieux. » Voilà pour la définition du dictionnaire.

    Tabou, c’est aussi le titre du nouveau magazine de Bernard de La Villardière proposé sur M6. Un gros pavé dans la mare du conformisme et de la bien-pensance.

    Pour ce premier numéro : « L’islam en France : la République en échec. »

    Deux heures de reportage pour (tenter de) faire le tour de cette épineuse question, du port du voile au bidonnage de l’État sur les fameux « quartiers dédiés » de nos prisons, en passant par la compromission des élus et le financement détourné des lieux de culte.

    « Dossier Tabou » enfreint donc la règle du silence… et s’expose à la sanction. On accuse La Villardière de « faire du sensationnalisme ». À quoi il répond : « Quand on n’osera plus aborder de front les problématiques un peu vives et qui posent problème, notre pays ne sera plus tout à fait une démocratie. » (20 Minutes). Mais ce qu’il révèle dérange, et fortement. Car « ce qu’on constate à travers ce document c’est qu’il n’y a pas d’islam en France, ni même d’islam de France, mais il y a des islams importés de l’étranger qui se livrent, encore une fois, à des guerres d’influence sur notre territoire ».

    Il faut absolument regarder ce reportage qui, depuis sa diffusion, enflamme les réseaux sociaux. Stéphane Gatignon, le maire de Sevran (ex-PC passé chez EELV) dont la ville tient une place importante dans l’émission, court maintenant les studios de radio et de télé pour dénoncer « la manipulation ».
    Mais les faits sont indéniables. Quand on compte en France 1 radicalisé parti faire le djihad pour 52.000 habitants, c’est 1 sur 3.400 dans sa ville. Un maire qui prête les salles du service municipal de la jeunesse pour y donner des cours de Coran ou qui signe, à dix jours des municipales, un bail avec une école privée salafiste (où les petites filles sont voilées) et l’installe dans des locaux de la ville pour un loyer de 300 euros par mois.

     

    Mise en cause également, la mairie de Paris qui, sous couvert d’un Institut des cultures d’islam, a de fait financé un lieu de culte. Moment édifiant où la nouvelle directrice du lieu, la sénatrice PS Bariza Khiari, déclare benoîtement : « C’est une seconde mosquée de Paris. » Trouvant porte close à la salle de prière, en effet revendue pour une somme symbolique à la mosquée de Paris, elle avoue : « Il faudrait leur demander la clé. On n’est plus chez nous, là ! » Et bien que le hall et les salles d’exposition soient en principe des lieux publics, le représentant de la mosquée expulse La Villardière et son équipe !

    Dans un jeu politique pervers, l’imam du XVIIIe arrondissement admet ainsi en souriant avoir « fait élire Daniel Vaillant », le député PS, grâce aux voix des musulmans de la Goutte-d’or.

    Enfin, les dernières séquences du reportage en disent long sur le bidonnage du ministère de l’Intérieur quant aux fameux « quartiers dédiés » dans nos prisons, là où l’on prétend vouloir « déradicaliser » les terroristes en herbe. On découvre que, dans ces lieux qui coûtent fort cher au contribuable, « on interdit l’accès aux médias, parce qu’on ne veut pas créer la polémique et pour que le public ne se rende pas compte de l’impuissance de l’État ou de son amateurisme », dit Bernard de La Villardière.

    Confirmation, au téléphone, de la dame du ministère : « C’est méga expérimental. »

    Méga, en effet. D’abord, il n’est question que de « désengagement », et seulement auprès de volontaires ! Quant au « désengageur », un brave imam qui parle de « bêtises » (sic) pour désigner les actes terroristes, il confesse avoir 200 détenus à visiter, et ne pouvoir consacrer à chacun que… 10 minutes par mois ! Isolés des détenus de droit commun, les candidats au désengagement peuvent discuter entre eux. Résultat : « Ils se structurent, nomment des émirs, et disent qu’ils s’endurcissent. »

    Menace pas voilée du tout d’un auto-radicalisé qui dispose dans sa cellule de la bibliothèque du parfait salafiste : « Faites attention dans la rue, il pleut bientôt des balles. C’est la guerre. C’est François Hollande qui l’a dit. » Dans moins de quatre ans, celui-là sera sorti de prison.

     

  • Clandestins : à entrée illégale, expulsion légale !

      

    Tribunes libres / 30 septembre 2016 / Étiquettes : /
     

    Edito de Nicolas Bay (30.09.2016)

    Le gouvernement en a unilatéralement décidé ainsi : les migrants clandestins de la « jungle » de Calais seront bientôt répartis sur l’ensemble du territoire national. Hormis l’Île-de-France, déjà totalement saturée, et la Corse, aucune région française n’échappera à cette politique de peuplement.
    À l’heure où le gouvernement s’apprête à réduire une fois de plus les allocations logement pour les Français, à geler les pensions de retraite, on remarquera qu’il trouve, en revanche, les moyens pour loger des milliers de migrants, parfois même dans des châteaux ou des centres de vacances.

    Si François Hollande promet que la France ne sera pas un pays de « campements », ne nous faisons pas d’illusions. Après les premières vagues d’arrivants dans les centres d’accueil, d’autres suivront jusqu’à recréer des « jungles » partout sur le territoire. Et une fois vidée, on ne voit pas bien pourquoi la « jungle » de Calais n’accueillerait pas aussitôt de nouveaux migrants, aucune mesure de lutte contre l’immigration n’étant mise en œuvre. Tout compte fait, on va disséminer les clandestins de Calais sur l’ensemble du territoire pour laisser la place à de nouveaux !

    Le Front National, se faisant une fois de plus le porte-parole d’une majorité de Français mais aussi d’élus des petites communes, refuse catégoriquement ce coup de force. En lançant la charte « ma commune sans migrants », Steeve Briois a ainsi proposé à tous les maires de villes comme de villages de refuser de se faire les complices d’une immigration devenue impossible à intégrer et encore moins à assimiler.

  • France : une princesse saoudienne ordonne de « frapper » et « tuer » un artisan parisien

       Quelques détails sur cette scène d'un autre âge:

     

     « Il faut le tuer, ce chien, il ne mérite pas de vivre », s’est emportée la descendante des fondateurs du royaume d’Arabie saoudite à l’encontre d’un artisan parisien venu effectuer des travaux dans son appartement de l’avenue Foch à Paris, dans le 16e arrondissement. Selon le récit circonstancié de la victime, établi devant les gardiens de la paix, alors qu’il prenait une photo de la pièce où il devait intervenir, la princesse a fait héler son garde du corps armé (…)

    En dépit des explications de l’artisan – il a l’habitude de prendre des clichés avant travaux afin de remettre les objets et meubles à la même place –, le cerbère l’empoigne. Il est accusé de réaliser des photos afin de les revendre à des journalistes.

    L’homme de main de la princesse lui assène un coup de poing sur la tempe avant de lui ligoter les mains. Zélé, le garde du corps ordonne à l’artisan de s’agenouiller et de baiser les pieds de la princesse. Récalcitrant, il est alors mis en joue. Selon les policiers qui ont recueilli le témoignage de la victime, les traces de coups étaient encore visibles au moment où il se confiait aux forces de l’ordre. L’artisan affirme que son calvaire a duré près de quatre heures, avant qu’un troisième larron n’intervienne : il réalise une photocopie de sa carte d’identité et lui enjoint de partir en lui interdisant « l’accès au 16e arrondissement à jamais » !

    Malgré l’adversité, le petit artisan a demandé à être payé et a présenté sa facture de 20 000 euros. En vain. Et les Saoudiens ont conservé son matériel.

    Les mauvais traitements au personnel sont réguliers parmi les riches familles du Golfe, certaines d’entre elles bénéficiant en plus de l’immunité diplomatique. Cela rend aléatoire toute tentative de poursuite judiciaire. À ce stade, le parquet de Paris n’a pas fait connaître la suite qu’il entendait donner à cette plainte.

    Source : http://www.lepoint.fr/faits-divers/une-princesse-saoudienne-ordonne-de-frapper-et-tuer-un-artisan-parisien-28-09-2016-2071859_2627.php#xtor=CS2-239

     

     

    L’opinion de civilwarineurope

    En lisant cet article on a l’impression de lire les premières pages du roman « La mosquée Notre Dame de Paris année 2048 ». Sauf que nous sommes en 2016. Comme quoi la réalité va toujours plus vite que la fiction…

     

  • Un tweet de NOVOpress

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  • Inquiétant! Un militaire français témoigne du communautarisme qui ronge l’armée française

     Il n’hésite pas à citer de exemples de désobéissance aux ordres par des soldats musulmans. Un témoignage effarant…

    En cas de guerre civile en France, l’armée sera-t-elle capable de rétablir l’ordre ? Rien de moins certain quand on écoute ce soldat français.

    L’armée française, en sous effectif, lance des campagnes de recrutement sur tous les supports publicitaires.

    Mais elle attire surtout une large population de jeunes issus de l’immigration cherchant avant tout la sécurité et le confort. Ils ne s’engagent pas par patriotisme mais pour ne plus être au chômage.

    Désobéissance pour ne pas « tirer sur ses frères », prières religieuses dans les chambrées, etc… Un tableau pas très rassurant.

     

    Selon un récent article du Canard Enchaîné la présence croissante de soldats de confession musulmane au sein de l’armée française serait un véritable sujet d’inquiétude au sein des états-majors.

    D’après une source militaire, « les chefs de corps ont reçu une note pour leur demander de veiller au grain et d’indiquer tout signe de radicalisation ». Aussi, quelques recrues auraient d’ores et déjà été mises à l’écart. Outre le risque qu’un militaire engagé dans l’opération Sentinelle (protection du territoire national) ne retourne son arme contre la foule ou ses camarades, l’inquiétude plane également sur les anciens soldats, qui pourraient, une fois retournés à la vie civile, se radicaliser et rejoindre les rangs de l’État islamique. « Un phénomène non mesurable mais qui pourrait avoir déjà touché plusieurs dizaines d’ex-militaires aguerris », précise le Canard.

     

    Si l’on en croit une enquête menée par Christophe Bertossi, de l’Institut français des relations internationales (IFRI), les effectifs de l’Armée française comptent entre 10 et 20 % de soldats musulmans en 2005, pour la plupart d’origine maghrébine. D’après Olivier Roy, politologue spécialiste de l’islam, il y aurait près de 10 % de musulmans sous l’uniforme. « Il suffit de compter le nombre d’aumôniers musulmans pour s’en rendre compte », expliquait-il au Monde des Religions en mars 2015.

    La France étant engagée sur de nombreux théâtres contre des groupes islamistes, ce constat a de quoi soulever des questionnements quant à leur loyauté. D’autant que les exemples de tensions voire de mutinerie existent.

    En 1990, un rapport remis par le colonel Yves Biville, chef du Centre d’études sur la sélection du personnel de l’armée de terre (Cespat), au ministre de la défense de l’époque, Jean-Pierre Chevènement, note « l’attitude intransigeante et revendicative tournant à la provocation » de certains JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine). Évoquant « la surdélinquance au sein même de leur régiment », le rapport cité par Le Monde Diplomatique explique en outre que « les JFOM commettent 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages à supérieurs et 8 fois plus d’insoumission ».

    En 1999, sur le porte-avions Foch, le journal communiste L’Humanité rapporte qu’une soixantaine d’engagés volontaires musulmans ont pris en otage leur officier pour protester contre une punition collective. Cette sanction aurait été infligée à la suite d’une rebellion survenue alors que des Super-Étendards avaient frappé le Kosovo, considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.

    Récemment encore, en 2009, l’état-major a reconnu, auprès de Libération, que « moins de cinq » engagés volontaires de l’armée de terre (EVAT) ont exprimé, en 2008, le souhait de ne pas partir en opérations extérieures« pour des raisons confessionnelles ». Il s’agissait de jeunes musulmans ne souhaitant pas combattre d’autres musulmans en Afghanistan. « Ces cas sont rarissimes (moins de 0,01% des engagés) mais ils existent », précise Jean-Dominique Merchet.

    En 1996, après l’abandon de la conscription par Jacques Chirac, l’armée s’est retrouvée confrontée à des besoins de recrutement et a dû élaborer des stratégies pour séduire également les « minorités visibles » que sont les femmes mais aussi les personnes d’origine étrangère. Depuis, leur nombre ne cesse d’augmenter, au point qu’en 2006, l’institution militaire a dû instaurer une aumônerie musulmane.

    Aujourd’hui, au regard de cette croissance et des antécédents précités, la question de leur loyauté peut effectivement être posée, à l’heure où 300 musulmans (sur un équipage de 3 000) sont engagés à bord du porte-avions Charles de Gaulle au Moyen Orient.

     

    (merci à Dirk) 

  • IGNACE

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    (merci à Dirk)

  • ZAPPING n°4 (du 23 au 29/09/2016)

    FN

  • Les chiffres de l’INSEE confirment le grand remplacement

     

    12h16

    Forte baisse des naissances de deux parents nés en France, augmentation de celles de parents nés à l’étranger : tels sont les enseignements des données détaillées de l’Insee sur les naissances en France. Une tendance qui témoigne du caractère pluriethnique de la France de demain.

    Laurent Chalard est géographe-consultant. Membre du think tank European Centre for International Affairs.


    Atlantico : Depuis 2011, alors que les naissances d’enfants issus de deux parents nés en France diminuent (de 580 756 en 2011 à 535 302 en 2015, soit une baisse de 7,8%), celles d’enfants dont l’un ou les deux parents sont nés à l’étranger sont en hausse de 6,07%. Quels enseignements peut-on tirer de ces tendances quant au visage de la France de demain ?

    Laurent Chalard : Ces évolutions récentes de la natalité, consécutives de la poursuite d’une immigration à un niveau élevé ces dernières années alors que la population née en France vieillit sensiblement, confirment que le renforcement du caractère multiculturel de la France est inscrit dans sa démographie. En effet, qu’on s’en réjouisse ou non, la France des années 2030 sera une France à la population bigarrée, ressemblant de plus en plus aux Etats-Unis, à la différence que les principales communautés ethniques ne seront pas tout à fait les mêmes.

    D’une certaine manière, les Maghrébins en France joueront le rôle des Mexicains aux Etats-Unis, constituant une minorité ethnique importante sur laquelle il faudra compter, alors que les personnes originaires d’Afrique subsaharienne pourraient conduire à l’émergence d’un communautarisme « noir » comme en Amérique.

    Xavier Saincol : Cette tendance est en effet très spectaculaire. Elle souligne le mouvement de fond d’une société dans laquelle les flux migratoires exercent une influence croissante sur la démographie. Elle montre l’attractivité du modèle français pour les populations étrangères. Il est clair que le visage de la France de demain sera de plus en plus diversifié. Comment conserver à la société française sa cohésion ? C’est la grande question du jour que les élites médiatiques et intellectuelles refusent de se poser en niant cette réalité. Il faudra réinventer un modèle qui combine la tolérance vis-à-vis des cultures venues de l’extérieur et la puissance du creuset français par l’école notamment. L’idée d’assimilation totale n’a pas beaucoup de sens. Sauf à entrer dans une logique totalitaire, comment forcer une famille à renoncer à son histoire et à tous les aspects de sa culture ? Donc il faut accepter une dose de différence et de diversité dans la société de l’avenir. Mais en même temps, il est essentiel de renforcer l’autorité des grands principes sur lesquels on ne doit pas transiger : la laïcité, l’égalité homme/femme, la scolarité obligatoire. C’est au prix de ce double impératif, de tolérance et d’exigence que la cohésion de la société française pourra être préservée à long terme.

    Par ailleurs, alors qu’entre 2011 et 2015 les naissances d’enfants de père étranger et de mère française sont restées relativement stables (avec une légère hausse de 1,3%) celles d’enfants de père français et de mère étrangère ont connu une forte augmentation de 9%. Comment expliquer ce phénomène ?
    Laurent Chalard : Ce phénomène correspond tout simplement à un phénomène de rééquilibrage, puisque, jusqu’ici, il y avait (et il y a toujours en 2015) plus d’enfants issus d’un père étranger et d’une mère française que d’un père français et d’une mère étrangère. Ce rééquilibrage s’explique par la féminisation de l’immigration. En effet, nous sommes passés en France d’une immigration à forte dominante masculine pendant les Trente Glorieuses, en particulier chez les personnes originaires du Maghreb, à une immigration beaucoup plus équilibrée entre les sexes depuis les années 1990, avec désormais autant, voire plus, de femmes que d’hommes.

    Néanmoins, si l’on fait remonter la comparaison temporelle plus loin, on remarque que le pourcentage d’enfants nés de deux parents nés en France était de 69% en 1985, soit un niveau comparable à celui de l’année 2015 (70,40%). Quelles sont les différences entre les deux périodes ?
    Laurent Chalard : En fait, la stabilisation des naissances d’enfants nés de deux parents nés en France entre 1985 et 2015 apparaît en trompe-l’œil car l’évolution a été très irrégulière entre les deux dates. Entre 1985 et 1993, les naissances d’enfants nés de deux parents nés en France ont connu une légère baisse, liée à la réduction de la fécondité, puis, entre 1993 et 2000, elles ont connu une hausse de leur nombre, du fait d’une augmentation de la fécondité. Ensuite, elles se sont stabilisées à un niveau légèrement moindre jusqu’en 2011. Depuis cette dernière date, se constate une brusque forte baisse, liée à une diminution de la fécondité, mais aussi à une structure par âge plus défavorable du fait du vieillissement de la population autochtone. Nous sommes donc sur une tendance baissière (les chiffres du premier semestre 2016 s’inscrivent dans la même tendance).

    Cependant, la principale différence entre les deux périodes concerne l’origine de la population. En 1985, la quasi-totalité des enfants nés de deux parents nés en France étaient d’origine européenne, alors qu’en 2015, c’est moins vrai, puisqu’une partie des enfants d’origine extra-européenne ont désormais deux de leurs parents nés en France. Le chiffre de 2015 ne peut donc être totalement comparé avec celui de 1985 si l’on prend en considération le critère de l’origine ethnique de la population et non seulement celui du lieu de naissance. Le nombre d’enfants nés de deux parents nés en France d’origine européenne est probablement un peu moindre en 2015 qu’en 1985.

    (…)

    Atlantico

    Merci à Victoire

  • Hongrie : l'angoisse persistante des villageois à la frontière croate

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    Par Stéphane Kovacs
    Mis à jour le 30/09/2016 à 21h59 | Publié le 30/09/2016 à 17h47

    REPORTAGE - Alors qu'un référendum antimigrants est organisé ce dimanche dans le pays, les 196 habitants de Koros, un village miné par le chômage, sont tous d'accord pour «défendre leur Hongrie».

    Envoyée spécial à Koros (frontière hongro-croate)

    Le soleil vient de disparaître derrière une rangée d'arbres, et le ciel se pare de magnifiques zébrures orangées. Voilà qui illumine le regard vitreux de l'«oncle Pista». Sa journée, il l'a passée assis sur un banc de fortune, juste devant chez lui, au bord de la route. Comme la veille. «Regarder le ciel et les voitures qui traversent le village, c'est à peu près tout ce qu'il y a à faire ici», observe le vieillard édenté.

    Depuis quelques semaines cependant, il y a aussi les publicités rouge-blanc-vert pour le référendum de dimanche, accrochées aux réverbères, qui se balancent au gré du vent. À Koros, 196 âmes esseulées, loin de tout sauf de la frontière croate, tout le monde est d'accord pour «défendre notre Hongrie», comme le demande le premier ministre, Viktor Orban. Et les habitants aimeraient bien «compter, pour l'Union européenne, autant que les migrants».

    Le village n'est qu'à 8 km de la Croatie, et pourtant, aucun de ses habitants n'a jamais vu de réfugié «en vrai». Même l'an dernier, au plus fort de la crise, avant que des clôtures de barbelés ne soient élevées le long des frontières serbe et croate. «À cet endroit, la démarcation, c'est la Drave, une rivière large et dangereuse, explique le maire (indépendant), Laszlo Gotthar. Les réfugiés sont donc passés par des communes voisines. Mais on en a beaucoup entendu parler!»

    «On a vu à la télé comme les migrants avaient l'air agressifs. Comment ils traitent leurs femmes. Et moi, bien sûr que je ne suis pas rassuré : voyez comme je suis petit !»

    Sandor, employé du seul magasin et du bar de Koros

    Cambriolages, cultures saccagées, jardins piétinés, barrières démontées, «les habitants de ces villages n'en dormaient plus, poursuit l'édile. En fait, on n'a pas eu besoin de la propagande du gouvernement, mais juste d'écouter nos voisins pour comprendre que l'on ne voulait pas de ces “sauvages” qui ne pourraient pas s'intégrer chez nous». À plusieurs reprises, ses administrés ont appelé la police, croyant avoir aperçu un migrant… mais ce n'étaient que des fausses alertes.

    Pour répondre à cette peur persistante, le maire a organisé des «forums» avec la population. Depuis début 2015 déjà, la municipalité avait deux gardes champêtres, armés et vêtus d'un uniforme kaki, chargés de surveiller le village. Il y a six mois, 22 caméras ont été installées. «On se sent plus en sécurité, même quand il n'y a pas de migrants!», clame le maire. Ce n'est pas l'avis de tous. «Deux gardes champêtres ne pourraient rien faire face à un groupe de criminels! assène Sandor, 46 ans, employé à la fois du seul magasin et du bar de Koros, qui communiquent. On a vu à la télé comme ils avaient l'air agressifs. Comment ils traitent leurs femmes. Et moi, bien sûr que je ne suis pas rassuré: voyez comme je suis petit!»

    Pour épauler les quelque 10.000 soldats qui protègent les frontières, équipés de drones et d'hélicoptères, l'État cherche à enrôler 3.000 citoyens pour en faire une unité spéciale au sein de la police, des «chasseurs de frontières», armés de fusils et de bombes lacrymogènes. Une campagne de recrutement se déroule actuellement dans tout le pays. La formation de ces citoyens commencera le 1er novembre et durera six mois. À Koros aussi, on a vu les affiches… mais l'espoir est vite retombé. «Personne n'a pu postuler, regrette Laszlo Gotthar. Il faut le bac minimum, parler une langue étrangère…»

    «J'ai compris que les réfugiés avaient quitté leur pays ; c'est triste et on les plaint. Mais je n'ai rien à partager d'autre que deux oies et quelques poules…»

    Gyöngyi, 46 ans

    Tous ceux qui ont fait des études, soupire le maire, ont quitté le village. Et 90 % de ceux qui restent sont au chômage. «Pourquoi les Européens n'investissent-ils pas ici, pourquoi on ne nous met pas une usine Mercedes dans le coin?», fulminent-ils. «Qui se soucie de nous? renchérit le maire. Regardez les employés communaux: avec leurs vieux vêtements troués, ils ressemblent à des migrants, pas vrai?»

    Jardinage, maçonnerie, surveillance, la plupart des chômeurs font des travaux d'intérêt général, condition pour toucher l'allocation d'environ 180 euros par mois. «Pour moi qui ai deux adolescents, cela suffit tout juste pour l'eau, l'électricité, le bus, la nourriture! se récrie Gyöngyi, 46 ans, laissant entrevoir deux chicots noircis. J'ai compris que les réfugiés avaient quitté leur pays ; c'est triste et on les plaint. Mais je n'ai rien à partager d'autre que deux oies et quelques poules… J'ai entendu dire qu'ils avaient une aide financière presque aussi importante que la mienne. Or moi, personne ne va m'accueillir. Où vais-je pouvoir me réfugier si on en prend encore davantage?»

     «On touche le fond, et on voudrait encore nous imposer des gens dont on ne sait rien, qui sont peut-être des terroristes» 

    Gyula, 60 ans

    Dans le bar aux murs lépreux, plus personne n'a les moyens de se payer des verres. On parle du prochain jour de paie, où la municipalité offre à tous ceux qui le veulent un voyage en bus jusqu'au supermarché de la ville voisine - un aller-retour grignoterait déjà près de 10 % de leurs allocations… «On touche le fond, et on voudrait encore nous imposer des gens dont on ne sait rien, qui sont peut-être des terroristes! s'indigne Gyula, 60 ans. Nous aussi on aimerait bien fuir à l'étranger pour qu'on nous trouve un vrai travail!»

    Certains ont hésité à se rendre aux urnes dimanche: «Ils pensaient faire ainsi comprendre au gouvernement qu'ils se sentaient abandonnés, explique le maire. Finalement, je crois qu'en grande majorité, ils iront voter non aux quotas de migrants ; la protection de leur patrie leur tient trop à cœur.» Quant à l'«oncle Pista», il votera aussi, «pour pas que ça change». Lui ne souhaite que de pouvoir continuer, «tranquillement», à «regarder passer les voitures».

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 01/10/2016.

  • "Montpellier sans clandestins" - Montpellier : des activistes d'extrême droite construisent un mur anti-migrants

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    >Société|30 septembre 2016, 21h25|8

     

      
     
     
    SociétéMontpellierRéfugiésDemandeurs D'asileGénération Identitaire
     

    « Montpellier sans clandestins ! (sic) ». C'est le tag inscrit sur le mur de parpaings construit par des activistes d'extrême droite du mouvement Génération identitaire dans la nuit de jeudi à vendredi, a repéré Midi Libre. Le mur, dressé devant un futur centre d'accueil de demandeurs d'asile, a été démonté dans la journée.
     

     

    Les auteurs recherchés


    Sur Twitter, le mouvement Génération identitaire s'est félicité de cette action en publiant une photo accompagnée de la phrase : « Ils ne viendront pas chez nous ». Les auteurs de cette « provocation », selon les termes de la préfecture de l'Hérault, sont recherchés. Le site visé, qui n'est pas encore ouvert, dispose d'une capacité de 97 places. La région Occitanie doit accueillir environ 1000 réfugiés après le démantèlement de la jungle de Calais.

    Génération identitaire, créé en 2012, est la branche jeunes du Bloc identitaire, fondé en 2003 par d'anciens leaders d'Unité radicale, le groupuscule dissous un an plus tôt après la tentative d'assassinat de Jacques Chirac par l'un de ses sympathisants lors du défilé du 14-Juillet. Adepte d'actions très visibles, très présent sur l'internet, le Bloc identitaire défend une vision « ethnique » et « culturelle » de l'identité européenne, avec un discours islamophobe, rappelle Europe 1.

     

    LE PARISIEN

  • Attentat de Nice: le camion du tueur s'est arrêté parce qu'il a calé

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