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GAELLE MANN - Page 276

  • Le visage de Louis XVII

    Reconstitué en 3D à l'âge de sa disparition

  • Mariage pour tous: ils tout lâché!

    Après le ralliement de Sens commun à François Fillon, c’est au tour d’Hervé Mariton de se rallier au candidat du mondialisme Alain Juppé.

    Avocat
     
     
     
     

    À supposer que le mariage pour tous soit l’alpha et l’oméga de la vie politique française autour duquel tout doive s’organiser, force est de constater que les ténors de l’UMP et leurs ouailles de Sens commun ont vraiment tout lâché.
     
    Après le ralliement de Sens commun à l’insipide François Fillon, c’est au tour d’Hervé Mariton de se rallier au candidat du mondialisme Alain Juppé. Condamné pour détournement de fonds publics, exilé au Canada, partisan de l’immigration pour pallier le problème des retraites, complice de la construction de la grande mosquée de Bordeaux et mécène en sa qualité de maire de Bordeaux des associations LGBT, on ne peut pas dire que Juppé incarne ce qu’on appelle la droite des valeurs.
     
    Sur ce sujet, Sarkozy qui, après avoir dit que cela ne coûtait pas cher de dire qu’il abrogerait la loi Taubira, avec ses inimitables mimiques de marchand de tapis, est revenu sur cet engagement.

     

    Mis en difficulté par la découverte des carnets de note de l’ancien ministre du pétrole libyen Choukri Ghanem, retrouvé noyé dans le Danube en avril 2012, dont il ressortirait une série de trois versements destinés à sa campagne présidentielle, on ne peut pas dire que la droite des « valeurs » ait le vent en poupe au sein des Républicains.
     
    Le même Sarkozy qui vient d’affirmer son soutien à Hillary Clinton. On voit mal comment un militant patriote et conservateur pourrait tirer son épingle du jeu dans ces primaires.
     
    Il reste le candidat Poisson, il est vrai beaucoup plus cohérent, tant sur les questions anthropologiques que sur les questions identitaires et de souveraineté. Et si ces primaires avaient un sens, ce serait celui de servir de caisse de résonance à un candidat d’une droite des valeurs authentique, qui ne rechigne pas, par ailleurs, à discuter avec Marion Maréchal et le SIEL ou à se rendre au Rendez-vous de Béziers et, pourquoi pas, à terme à envisager une alliance avec Marine Le Pen.
     
    À cette condition, une telle candidature peut avoir un sens.
     
    Jean-Frédéric Poisson perdrait, en revanche, toute sa crédibilité si, au lendemain des primaires, dans l’hypothèse prévisible où il ne serait pas élu, il appelait à voter pour le vainqueur des primaires.
     
    Imagine-t-on, en pareille hypothèse, Poisson faire campagne pour un Juppé ou un Sarkozy contre Marine Le Pen en échange d’un sous-secrétariat ou même une réinvestiture à Rambouillet ? Autant dire que cela reviendrait à vendre ses convictions contre un plat de lentilles ?
     
    Accordons donc à Jean-Frédéric Poisson le bénéfice de la bonne foi en faisant le pari de l’espérance. Mais ce pari n’est pas inconditionnel : il supposera, au lendemain des primaires, une prise de distance avec des hommes du passé qui ont tous, chacun à leur niveau, contribué au déclin de la France.

    BV

  • Journal TVL DU 30 SEPTEMBRE 2016

  • Une princesse saoudienne ordonne à son garde du corps de frapper et d'humilier un artisan qui faisait des travaux chez elle

    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/violences-sur-un-artisan-le-garde-du-corps-d-une-princesse-saoudienne-en-garde-a-vue_1836015.html

  • VIDEO - Hongrie : dimanche, les citoyens aux urnes pour dire « Non aux réfugiés » (Màj)

     

    20h30

    Les Hongrois se prononceront ce dimanche pour ou contre la directive de Bruxelles sur la répartition des réfugiés entre pays membre de l’Union européenne.

     

    La question sera formulée ainsi : « voulez-vous que Bruxelles prévoit l’immigration en Hongrie de personnes n’ayant pas la nationalité hongroise, ce contre la volonté du Parlement ?  » Le premier ministre Viktor Orbán, qui est à l’initiative de ce référendum, appelle à voter « non« .

     

    Viktor Orban table sur un plébiscite des Hongrois pour sa politique de rejet des réfugiés, soumise dimanche à un référendum en forme de défi à l’Union européenne, dont la seule inconnue et le seul risque politique, réside dans le taux de participation.

    Quelque 8,3 millions d’électeurs sont appelés à valider l’opposition du premier ministre hongrois à la répartition de réfugiés au sein de l’Union européenne.

    Un premier plan de « relocalisation » de 160 000 demandeurs d’asile entre les 28 États membres se met laborieusement en place depuis septembre 2015.

    La Hongrie n’a proposé à ce jour aucune place d’accueil et se considèrera, si le Non l’emporte, comme définitivement affranchie de toute obligation de contribuer à l’effort européen. Viktor Orban a promis de traduire le résultat de la consultation « dans le système légal hongrois », sans donner de détail.

    La Commission européenne affirme de son côté que le référendum n’aura aucun impact juridique sur les engagements adoptés. « Les États membres ont la responsabilité légale d’appliquer les décisions prises », a rappelé cette semaine le commissaire aux Migrations Dimitris Avramopoulos.

    Mais les responsables européens redoutent en creux un nouveau coup porté à la légitimité des projets de l’UE et à l’unité de ses membres déjà malmenées par une succession de chocs, dont la pire crise migratoire depuis 1945 et la décision des Britanniques de quitter le groupe des 28.

    « Si des référendums sont organisés sur chaque décision des ministres et du Parlement européen, l’autorité de la loi est en danger », s’est alarmé cet été Jean-Claude Juncker, le président de la Commission.

    L’intitulé de la question posée aux Hongrois résume ce double défi à Bruxelles et à l’accueil des réfugiés : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non-hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois ? »

    « J’aime la Hongrie comme elle est et je ne veux pas que quelqu’un la change sur un ordre venu de l’extérieur », a encore récemment martelé le chef du gouvernement.

    Les sondages donnent le rejet des quotas d’accueil largement vainqueur, un résultat à même de conforter politiquement Viktor Orban en Hongrie et de peaufiner son image de meneur du camp populiste anti-immigration en Europe. [...]

    Suite sur La Presse Ca.

  • Dimanche les Hongrois aux urnes pour dire Non aux réfugiés

    1157041272253premierministrehongroisviktororban.jpg Orban.jpg

     

    15h38

     

    Viktor Orban table sur un plébiscite des Hongrois pour sa politique de rejet des réfugiés, soumise dimanche à un référendum en forme de défi à l’Union européenne, dont la seule inconnue et le seul risque politique, réside dans le taux de participation.

    Quelque 8,3 millions d’électeurs sont appelés à valider l’opposition du premier ministre hongrois à la répartition de réfugiés au sein de l’Union européenne.

    Un premier plan de « relocalisation » de 160 000 demandeurs d’asile entre les 28 États membres se met laborieusement en place depuis septembre 2015.

    La Hongrie n’a proposé à ce jour aucune place d’accueil et se considèrera, si le Non l’emporte, comme définitivement affranchie de toute obligation de contribuer à l’effort européen. Viktor Orban a promis de traduire le résultat de la consultation « dans le système légal hongrois », sans donner de détail.

    La Commission européenne affirme de son côté que le référendum n’aura aucun impact juridique sur les engagements adoptés. « Les États membres ont la responsabilité légale d’appliquer les décisions prises », a rappelé cette semaine le commissaire aux Migrations Dimitris Avramopoulos.

    Mais les responsables européens redoutent en creux un nouveau coup porté à la légitimité des projets de l’UE et à l’unité de ses membres déjà malmenées par une succession de chocs, dont la pire crise migratoire depuis 1945 et la décision des Britanniques de quitter le groupe des 28.

    « Si des référendums sont organisés sur chaque décision des ministres et du Parlement européen, l’autorité de la loi est en danger », s’est alarmé cet été Jean-Claude Juncker, le président de la Commission.

    L’intitulé de la question posée aux Hongrois résume ce double défi à Bruxelles et à l’accueil des réfugiés : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non-hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois ? »

    « J’aime la Hongrie comme elle est et je ne veux pas que quelqu’un la change sur un ordre venu de l’extérieur », a encore récemment martelé le chef du gouvernement.

    Les sondages donnent le rejet des quotas d’accueil largement vainqueur, un résultat à même de conforter politiquement Viktor Orban en Hongrie et de peaufiner son image de meneur du camp populiste anti-immigration en Europe. [...]

    Suite sur La Presse Ca.

    (merci à Dirk)

  • Hayange (57) : le maire FN prive de local le Secours populaire, jugé trop « pro-migrants »

     

    18h36

    La municipalité (FN) de Hayange (Moselle) menace d’expulser dans les jours à venir l’antenne locale du Secours populaire qui occupait jusqu’à présent un local municipal à titre gratuit, et à qui elle reproche de mener une « propagande pro-migrants », selon des sources concordantes.

    1609292205330102.jpg Fabien.jpg

    Le Secours populaire est prié de quitter les lieux au plus tard vendredi, a dit à l’AFP le maire (FN) Fabien Engelmann, précisant que ce jour-là un huissier de justice se présenterait sur place et qu’ensuite, le cas échéant, une procédure d’expulsion serait lancée. Ces locaux, où sont stockés des denrées alimentaires et des vêtements à destination des personnes à faible revenu, « sont occupés sans bail », par une « succursale du Parti communiste », s’est justifié le maire. « Je n’ai rien contre le Secours populaire », mais (à Hayange) la présidente et le trésorier sont des militants du PC, qui font de la propagande pro-migrants toute l’année » et « utilisent l’image du Secours Populaire pour faire de la politique ».

    (…)

    Le Figaro

    Merci à marine38

  • VIDEO - Nicolas Bay: " France Terre d'asile vit de l'immigration. Les Français en meurent."

    http://www.fdesouche.com/772021-nicolas-bay-fn-france-terre-dasile-vit-de-limmigration-les-francais-en-meurent

    Capture.PNG BAY.PNG

  • Migrants : le PS accuse Stéphane Ravier « d’instrumentaliser ce sujet et de cibler les plus bas instincts »

    1609290116280116.jpg

     

    21h47

    On s’en doutait. La décision gouvernementale de démanteler la « jungle » de Calais (où s’entassent 7 500 personnes), en répartissant les demandeurs d’asile et réfugiés politiques potentiels dans 164 centres d’accueil et d’orientation du pays, n’a pas fini d’agiter l’extrême droite.

     

    [...] Stéphane Ravier (FN) [...] entend bien faire passer sa propre délibération anti-migrant lors du conseil d’arrondissement. « Marseille est fortement concernée et le 7e secteur (…) se verra imposer un flot de migrants », écrit-il. À en croire l’élu FN, cette possible « installation (…) nuit à l’ordre public, asphyxie l’économie locale, et même, « menace l’exercice des libertés individuelles ». [...]

    Il n’empêche : du côté du PS, la proposition indigne. « Alors que sa propre majorité se fracture avec la démission de plusieurs de ses adjoints (…) Stéphane Ravier instrumentalise ce sujet et cible les plus bas instincts pour faire oublier son bilan catastrophique de maire », cogne Stéphane Mari. {…]

    La Provence

  • L'IVG n'est pas un acte anodin

    Posté le 28 septembre 2016 à 22h25 | Lien permanent

     

    Une enquête de Charlotte d'Ornellas (avril 2016) auprès de jeunes femmes qui ont très mal vécu leur avortement :

    "Le ministère de la Santé, sous l'égide de Marisol Touraine, avait lancé, quarante ans après la loi Veil, en septembre 2015, une campagne pour le droit à l'avortement : "L'IVG, c'est mon droit." Six mois après, Charlotte d'Ornellas a enquêté auprès de jeunes femmes qui ont connu cette douloureuse épreuve et que les services du ministère avaient, pour certaines, contactées en vue de témoigner. Mais, finalement, le ministère s'était ravisé : ces jeunes femmes n'étaient pas dans la (gauche) ligne du ministère. Un reportage et des témoignages bouleversants."

    Le Salon Beige

     

  • Désinformation : Ouest France avoue filtrer l'information

    Posté le 28 septembre 2016 à 22h42 | Lien permanent

     

    Dans un article de ce jour sur la "fachosphère", le journaliste Thierry Richard se laisse aller (involontairement ?) à une confidence en évoquant "le filtre des médias traditionnels"... :

    sans-titre.png

    Michel Janva

  • Mort de Shimon Pérès, l’homme de "paix" qui aura apporté la Bombe (française) à Israël

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Mort-de-Shimon-Peres-l-homme-de-paix-qui-aura-apporte-la-Bombe-francaise-a-Israel-41685.html

    A lire absolument

  • Gilbert Collard invité des 4 Vérités

    A écouter!

  • Calais : la république des camps

    26 septembre 2016

     

    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    L’exode de populations fuyant des persécutions, une dictature ou la guerre ne date pas de la « Jungle de Calais » ou de l’afflux massif de Syriens en Europe ces derniers mois. Au printemps 45, ce sont des millions d’Allemands dont des milliers d’ados qui durent fuir la progression des alliés dans l’Allemagne en ruines et qui en moururent.

    C’est Fridtjof Nansen, un norvégien qui permit à des millions d’Européens d’obtenir le statut de réfugiés après la Première Guerre Mondiale avec le passeport pour les apatrides, le fameux passeport Nansen. De nos jours, 17 millions d’humains sont confinés dans des camps de réfugiés soit l’équivalent de la population des Pays-Bas. Le Haut-commissariat pour les Réfugiés est devenue une véritable pieuvre administrative qui surfe en permanence entre le sécuritaire et l’humanitaire pour gérer des zones grises sous le faux air du caritatif. Le camp le plus grand au monde que le Haut-commissariat gère actuellement est celui de Dadaab au Kenya. Cet été, Malala Yousafdai, la plus jeune lauréate du prix Nobel de la paix, a rendu visite aux élèves somaliennes du camp. Ce camp est ouvert depuis vingt-cinq ans et il s’y entasse actuellement jusqu’à 350 000 personnes, 350 000 damnés. Dadaab est en effet une véritable prison à ciel ouvert. A Idomeni, à la frontière entre la Grèce et la Macédoine, ou à Azraq en Jordanie, le contexte est différent mais l’enfermement, le sentiment d’impuissance sont identiques.

    Á Calais, on emménage, on aménage la République des camps

    Dans la « Jungle de Calais », malgré l’évacuation  de la partie sud du camp en février dernier, les installations reprennent et des écoles associatives s’installent . Preuve que les autorités ont bien décidé de la logique des camps, cet été, des jeunes en service civique y ont officiellement été affectés pour effectuer le remplacement des faux « bénévoles » partis en vacances sans doute à Ibiza ! Par ailleurs, l’Education nationale vient d’affecter deux enseignants au centre Jules Ferry dans le Chemin des Dunes pour répondre aux besoins de près de 600 enfants, d’une moyenne d’âge de 14 ans vivant dans le bidonville car il s’agit bel et bien d’un bidonville toléré, organisé, soutenu par le gouvernement français. Les enseignants sont contraints de s’adapter au turn over important parmi les enfants du camp et doivent travailler à partir de 10h30 (on se demande d’ailleurs bien pourquoi si tard ? ) et pendant les vacances. Une soixantaine de réfugiés de Calais ont aussi été réorientés vers l’Amicale laïque de Cancale qui les héberge en lien avec la Préfecture. Ils ont été dotés pour la rentrée de fournitures scolaires gratuites, notamment de livres d’apprentissage du français.

    Pourtant ce week-end, à Tours, on note une inversion de tendance : François Hollande a surpris son monde en exhortant à détruire la jungle de Calais. La déclaration a été faite sur fond de déploiement du programme national pour la création de centres d’accueil pour les migrants illégaux.  « Notre volonté, c’est de démanteler le camp de Calais entièrement » pour en fait lancer dans tout le pays une politique de construction de centres d’accueil et d’orientation des clandestins. La solution de François Hollande consiste donc à reloger les habitants de la Jungle vers d’autres centres français de logements temporaires dans les semaines qui suivent. Elle consiste donc à étendre partout jusqu’en Île de France la logique des camps, à foncer tête baissée dans le grand remplacement programmé de la population européenne.
    Le président de la République s’est donc rendu à  Calais. Entre 6.900 et 10.000 migrants, selon les sources, vivent près de l’Eurotunnel dans cette Jungle qui constitue le plus grand bidonville de France, dont le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait aussi promis début septembre le démantèlement « le plus rapidement possible ». Des bus de nuit seront sans doute affrétés bientôt par les préfectures et débarqueront comme à Elbeuf dans les immeubles du Puchot les populations réfugiées de Syrie, curieusement toutes noires de peau, avec la complicité des élus socialistes locaux, députés et sénateurs compris. Venus d’Erythrée, du Soudan, de Somalie, de Syrie ou d’Afghanistan, les migrants aspirent à quitter la France pour la Grande-Bretagne. Ce ne sont plus des illégaux, ce ne sont plus des clandestins, ce sont des réfugiés de guerre, en fait les nouvelles masses laborieuses « européennes » qui garantiront demain  les grands profits par des salaires de plus en plus misérables et sans droits sociaux.

    C’est le capitalisme qui se renouvelle par l’Eurafrica des pauvres sur le dos de toute la classe moyenne européenne appelée à s’expatrier ou à se saigner pour payer ses impôts et mourir de faim dans des maisons de retraite onéreuses.

    METAMAG

    (merci à Dirk)