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GAELLE MANN - Page 285

  • En quoi la culpabilité occidentale devrait-elle être éternelle ?

     

    Un mécanisme psychologique semble bien animer quelque part cette farce historique, mémorielle.

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    Nouvelliste.
     
     
     
     

    Il y a peu, une connaissance africaine me lançait, dans le cadre d’une discussion animée sur la question migratoire : « L’Afrique n’a pas besoin qu’on l’aide, les Africains ne viennent pas en Europe parce que leur situation économique serait mauvaise, ils viennent s’y rembourser des pillages que vous avez effectués en Afrique. »

    Sur le coup, et vu que nous nous connaissons depuis un certain temps, je ne parvins pas à déceler la part de turlupinade, d’espièglerie, de galéjade, de taquinerie amicale ou de deuxième degré éventuel et, n’ayant reçu nul signe encourageant en ce sens, fus obligé de m’en remettre à l’autre hypothèse : c’était bien du premier degré. Premier degré, d’ailleurs, pratiqué par la plupart des Africains. J’ai beau lui avoir offert précédemment l’ouvrage de Tidiane N’Diaye décrivant le pillage humain de son continent par les Arabo-Musulmans durant quatorze siècles (Le Génocide voilé), rien ne semble y avoir fait : son cerveau, tels certains modernes emballages plastiques conçus en ce sens, reprend implacablement sa forme (anti-occidentale) initiale. Le seul pillage de l’Afrique qui compte, Môssieur, est celui de tes ancêtres occidentaux, donc le tien.

    Je m’interroge depuis longtemps (ou plutôt l’insistance lourdasse de tant de « post-coloniaux » m’interroge) sur la question de savoir en quoi la culpabilité occidentale devrait être éternelle, et à quel moment d’anciens pays colonisés pourraient commencer à endosser une part de responsabilité dans leur situation – je pense, par exemple, à l’Algérie. Un mécanisme psychologique semble bien animer quelque part cette farce historique, mémorielle. Puis je tombai sur cet article publié dans Le Figaro intitulé « Se libérer de la culpabilité mal placée ». Se référant aux individus, le psychanalyste Moussa Nabati y révèle « l’étrange inversion des rôles » touchant les questions de culpabilité et concernant, notamment, des fautes « que l’on n’a pas commises ». « Mais pour que la victime puisse éponger et faire ainsi sienne la faute d’un pervers, il faut un terrain identitaire fragile, victimaire », précise le psychanalyste. Cela ne vous rappelle rien ?

    « Ceux qui, en effet, ont, en raison de leur enfance, développé une sensibilité très grande à la culpabilité auront tendance à l’âge adulte à mettre en place des mécanismes d’autopunition », précise encore Moussa Nabati […] Cela ne vous rappelle rien non plus ? Cette haine de soi qui forme un excellent terreau pour un antiracisme dévoyé, tricheur, revanchard, vicelard et, pour finir, putride, par exemple ? Ces questions historiques m’ont toujours semblé fortement imbriquées dans un fatras psychologique qui semble ne pas tourner rond. Ainsi existerait-il peut-être une dimension de perversion narcissique dans l’idéologie post-coloniale – je veux dire l’idéologie de post-coloniaux- qui leur permet de repousser indéfiniment la part de responsabilité des Africains dans leur propre situation.


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/silviomolenaar/en-quoi-la-culpabilite-occidentale-devrait-elle-etre-eternelle,281500#7gRo80LfCyBPKmCo.99
  • Marine Le Pen veut la démission du chef de la DGSI

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    • Par lefigaro.fr
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    Une semaine après la découverte, à Paris, d’une voiture pleine de bouteilles de gaz, Marine Le Pen a réclamé dimanche la démission du ministre de l’Intérieur et du chef du de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI). «Aujourd’hui nous ne sommes pas protégés par l’Etat», a lancé la présidente du FN lors de “Vie politique”, sur TF1.

    «Dans cette affaire, a commencé Marine Le Pen, nous sommes obligés de constater qu’un riverain a découvert une voiture avec six bonbonnes de gaz à l’intérieur (et que) la police a mis quatre heures à intervenir». «Et lorsqu’on démonte le réseau de jeunes femmes qui constitue cette cellule terroriste, on s’aperçoit qu’une d’entre elles a failli épouser trois terroristes successifs», a poursuivi l’eurodéputée. Et de s’interroger : «Elle n’était pas, elle, particulièrement suivie ? C’est quand même extrêmement inquiétant de se rendre compte de cela».

    «Mensonge d'Etat»

    «L’assassin de Magnanville, celui qui a égorgé un policier et tué sa femme devant leur petit garçon, celui-là avait été condamné pour avoir participé à l’organisation de filières djihadistes. On a mis en place l’Etat d’urgence, on a fait un certain nombre de perquisitions. Pourquoi celui-là ne l’a pas été ?», a encore questionné la candidate à l’élection présidentielle.

    Pour Marine Le Pen, «la multiplication de ces défaillances démontre que la théorie du “loup solitaire” est un mensonge d’Etat puisque à chaque fois on s’aperçoit qu’ils étaient quasiment tous en contact les uns avec les autres».

    «Je considère que c’est une défaillance absolue de l’Etat. C’est la raison pour laquelle j’ai demandé, et je continue de demander, non seulement la démission de Monsieur Cazeneuve, mais aussi permettrez-moi, la démission de Monsieur Calvar, chef de la DGSI», a lancé Marine Le Pen. Qui a conclu : «Une succession d’erreurs telles que celle-là n’est pas admissible».

     

  • VIDEOS. Victime d'un malaise, Hillary Clinton évacuée de la cérémonie du 11 Septembre

    http://www.leparisien.fr/international/victime-d-un-malaise-hillary-clinton-evacuee-de-la-ceremonie-du-11-septembre-11-09-2016-6111943.php

  • 6 septembre 2015: Macron était en Israël

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/6-septembre-2015-Emmanuel-Macron-est-en-Israel-41320.html

    VIDEOS, TWEETS

    Déroulez l'article...

  • Migrants : Londres construit un mur à Calais

     

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    La construction d'un édifice de 4 mètres de haut, entièrement financé par le gouvernement britannique, vise à empêcher les migrants d'accéder à la RN216 et à sécuriser les automobilistes.

    Le projet d'édification d'un mur de 4 mètres de haut à Calais, pour diminuer les tentatives d'intrusions massives de migrants sur la route qui borde la «jungle» (où vivent 7000 à 10.000 migrants selon les sources), est en cours de réalisation. Les travaux préparatoires de fauchage et débroussaillage ont commencé fin août et le chantier, prévu pour 16 semaines, devrait être achevé avant la fin de l'année. Ce mur «anti-bruit, anti-intrusion» est construit sur le long de la RN 216, de part et d'autre de la route. Il prolonge la clôture édifiée entre le port de Calais et le pont de Gravelines, près du campement des migrants, pour aller jusqu'au rond-point de la zone industrielle Marcel-Doret. Ce mur de béton, équipé de caméras de surveillance et d'un système «anti-franchissement type OTAN», est végétalisé sur sa face intérieure, mais pas sur sa surface extérieure, pour éviter «aux migrants de grimper», selon les techniciens de la DIR-Nord, la Direction interdépartementale des routes de la région qui est le maître d'ouvrage. Le maître d'œuvre délégué est la société d'exploitation des ports du détroit (SEPD), qui prendra en charge l'entretien du mur, du système de vidéosurveillance et de l'éclairage.

    Un financement britannique

    D'un coût de 3,2 millions d'euros, selon nos informations, ce projet est entièrement financé par l'État britannique. Il est né dans le cadre des comités franco-britanniques qui, depuis plusieurs mois, travaillent au renforcement de la sécurisation du port et d'Eurotunnel, points de passage vers la Grande-Bretagne. Ce sont déjà les Anglais qui, dans le cadre du plan Cazeneuve, avaient financé les clôtures installées en 2015 le long de la rocade portuaire, pour un coût de 15 millions d'euros (comprenant d'autres travaux de sécurisation comme la mise en eau des terrains entourant Eurotunnel), et celles édifiées dans leur prolongement en juin 2016 pour 770.000 euros.

    Outre la vocation anti-intrusion des migrants, ce mur vise aussi à sécuriser les automobilistes ainsi que les riverains et les agriculteurs du secteur. «Beaucoup de migrants traversent leur propriété ou leurs champs, entrainant de nombreux désagréments», confirme une source préfectorale. Pas question pour autant de diminuer les effectifs de CRS, s'est engagé le sous-préfet de Calais. Le mur «leur permettra de mieux se concentrer sur la partie sud de la rocade et sur l'A16», a-t-il dit, théâtres depuis des mois de tentatives d'intrusions de migrants dans les poids lourds, bloquant la circulation avec des branchages.

    Une pétition anti-mur sur le net

    La symbolique d'une telle infrastructure mais aussi son envergure sur le plan visuel n'ont pas manqué d'engendrer des contestations chez les défenseurs des droits des migrants, les associations ou les militants «No Border».

    Jeudi, la maire de Calais Natacha Bouchart a estimé que la construction du mur n'avait «plus lieu d'être» après l'annonce du gouvernement français de poursuivre le démantèlement du camp. «Il est incohérent et incompréhensible d'annoncer en Angleterre le financement et le démarrage de l'édification du mur végétalisé alors que la semaine dernière, le ministre de l'Intérieur a confirmé le démantèlement rapide de la jungle Nord», a insisté la maire de Calais.

    En Angleterre, une pétition contre la construction du mur a été lancée sur Internet. Mais pour Jean-Marc Puissesseau, président directeur général du port Boulogne-Calais, à l'initiative de ce projet qu'il avait soumis au ministre de l'Intérieur dès décembre 2015, la construction de ce mur est «une satisfaction», «l'espoir de se protéger des assauts des migrants et d'envisager un avenir plus serein». Si toutefois il n'y avait pas de démantèlement de la jungle par les autorités dans les prochains mois, il demanderait au gouvernement français, assure-t-il, «la réalisation totale du mur jusqu'à l'A16».

  • Les identitaires ouvrent la Citadelle, un bar privé en plein cœur de Lille

     

    16h51

    La Citadelle, un club privé douillet comme un estaminet flamand, sera inaugurée le 24 septembre à deux pas de la Grand-Place. Génération identitaire, mouvement de jeunesse d’extrême-droite, aura désormais pignon sur rue.


    C’est un estaminet douillet, avec son comptoir patiné, son chapelet de chopes, ses jeux traditionnels, ses affiches rétro, ses poutres apparentes, sa petite terrasse dans un patio. Ce serait, oui, un estaminet tout ce qu’il y a de plus classique sans ce sweat-shirt « Génération anti-racaille » exposé dans un coin, au-dessus d’une vitrine regroupant des ouvrages de références, tels « Immigration : la catastrophe » ou « Sale blanc ! ». Ce bar cosy du centre de Lille est le nouveau QG de Génération identitaire Flandre-Artois-Hainaut. « Le syndicat de défense des petits blancs », résume dans un sourire son responsable.

    (…) La Voix du Nord

  • Reims: discours de Marine Le Pen aux Assises du Produire en France

    http://www.frontnational.com/videos/discours-de-marine-le-pen-aux-assises-du-produire-en-france/

  • Lettre ouverte à Zeid Ra’ad Al Hussein, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme

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    Monsieur le Haut-Commissaire,

    Je tenais à vous remercier de la lettre ouverte que vous avez cru devoir diffuser à un certain nombre de médias européens. Je ne peux que me réjouir de cette initiative. Comment mieux souligner en effet la pertinence de la cause que vous entendez contrarier, mais contre laquelle vous ne pouvez aligner que des poncifs aussi éculés qu’inexacts ?

    Je m’en voudrais de ne pas vous répondre puisque vous avez cru bon de me nommer expressément au milieu d’éminentes personnalités politiques, mondialement connues, que, pour ma part, je respecte, ne serait-ce que parce que, contrairement à vous, elles sont démocratiquement élues.

    A cette occasion, je voudrais vous rappeler que l’injure, même inspirée par des pensées que vous voudriez louables, témoigne d’une discourtoisie fort peu civile et d’un manque de respect qui va à l’encontre des incantations morales que vous vous plaisez à accumuler.

    Vous observerez que dans les pays démocratiques, la légitimité vient uniquement de l’élection et qu’il n’est pas dans les usages de considérer des élus du peuple comme des « fantaisistes ». Ce qualificatif, parfaitement inapproprié, témoigne d’une perception étrange de la vie politique. Faites attention : en critiquant avec autant de virulence le choix du peuple, c’est le principe même de la démocratie que vous semblez remettre en cause. N’avez-vous donc aucune confiance dans la capacité des électeurs à choisir leurs représentants ?

    Vous me permettrez simplement de vous renvoyer à la Déclaration universelle des droits de l’homme : vous vous en prétendez le défenseur urbi et orbi par la vertu d’une nomination respectable, mais très loin de l’onction du suffrage universel. Il est donc très étonnant de vous voir accuser tout un groupe de personnes du délit de « racisme », par un amalgame anti-juridique au possible, sans qu’elles n’aient été ni condamnées, ni jugées, ni même pour certaines seulement poursuivies de ce fait. Il apparaît que vous méconnaissez les principes de base du droit. Voilà une attitude inquiétante, surtout pour un diplomate ; elle l’est encore davantage lorsque celui-ci se pique de mettre en place des juridictions répressives à l’échelon international.

    Qu’il me soit permis de signaler, sur le sujet du racisme, que je ne me soucie aucunement de la couleur de peau des individus. Ce qui m’intéresse, ce sont leurs idées et, pour ceux qui sont ou aspirent à être français, leur attachement à la France. Les doctrines auxquelles vous imaginez que je souscris me répugnent autant qu’à vous. Sans doute même plus : contrairement à vous, je refuse de laisser définir qui que ce soit par la pigmentation de sa peau.

    Votre lettre est le reflet d’un paradoxe aussi fascinant que fréquent chez l’hyperclasse mondiale à laquelle vous vous glorifiez d’appartenir, cette caste qui méprise les peuples et donc les hommes, leur diversité, leurs richesses spécifiques. Alors que vous ne cessez de proclamer votre amour pour la démocratie et l’humanisme, votre courrier révèle un insupportable mépris pour les gens. Vous aimez l’humanité, mais pas les hommes, la démocratie, mais pas les électeurs. Et vous ne comprenez pas ceux qui refusent d’être les victimes consentantes d’un système qui les broie. Ce sont des personnes, souvent modestes, qui ne sont pas nées avec une cuillère en argent dans la bouche, mais qui ont le courage de se lever. Elles sont toujours dignes de respect, y compris de la part des privilégiés qui portent la morale en bandoulière.

    Vous semblez appeler de vos vœux une société uniformisée, aussi grise que vos costumes, aussi pauvre que vos raisonnements binaires, aussi désespérante que les résultats concrets de votre coûteuse organisation. Nous lui opposons la richesse d’un monde heureux, de sa diversité, du respect de tous les peuples et donc des nations, un grand projet collectif au service de la liberté et de l’égalité des hommes.

    La haine que vous croyez pouvoir déceler chez nous n’est que le reflet des fantasmes qui sont apparemment les vôtres.

    A vouloir ignorer les nations telles que l’histoire et les hommes les ont patiemment construites, vous préparez un monde de conflits ; à vouloir nier la diversité culturelle en pensant fondre tous les peuples dans le même moule, vous ne récolterez que des leçons d’humilité.

    Sachez qu’il n’y a chez nous ni nostalgie, ni ressentiment à l’égard de quiconque, mais le simple désir, exprimé démocratiquement, sereinement et pacifiquement, de protéger et de faire rayonner notre culture, notre mode de vie et notre pays. Nous défendons le droit des peuples à déterminer leur destin et, tout simplement, à continuer d’exister. La simple tolérance devrait vous conduire à admettre la légitimité de cette cause

    Le plus grave dans vos propos, c’est la comparaison avec l’Etat islamique qui relève pour nous, peuples directement victimes de la barbarie terroriste, d’un relativisme dangereux et moralement insupportable. Parce que je n’ai pas envie de minimiser le moins du monde cette entreprise criminelle, je me garderai de tout parallèle. Vous remarquerez simplement avec moi que les visions universalistes trop sûres d’elles-mêmes qui aspirent à créer un homme nouveau ouvrent souvent la voie aux pires atrocités ; même apparemment pacifiques, elles tournent toujours au totalitarisme. Leur incapacité à voir l’homme tel qu’il est et à en accepter la réalité les conduit le plus souvent à réprimer toute opinion contradictoire. Votre agression épistolaire, gratuite, infondée et vaine, en est une illustration. Et c’est la même logique qui vous amène à vouloir criminaliser le blasphème, ce que pour ma part je combats énergiquement : la tolérance dont vous vous érigez garant ne concerne manifestement que les gens qui pensent comme vous et se gardent de toute opinion quelque peu critique. Je crains que votre titre de Haut-Commissaire ne soit devenu dans votre esprit un titre de haut-commissaire politique.

    Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Haut-Commissaire, l’assurance de la considération que je vous dois.

    Marine Le Pen

    Carnets d'espérances

  • Agressions sexuelles contre des femmes en Allemagne par une bande de réfugiés mineurs

     

    Agressions sexuelles Allemagne bande réfugiés mineurs
     
    Armés de bouteilles de bière et de champagne, trois réfugiés mineurs s’en sont pris samedi à Hildesheim, au petit matin, à plusieurs femmes allemandes, essayant de les embrasser de force, de les toucher et de les violer. Aux moins cinq femmes ont fait l’objet de ces agressions sexuelles en bande de la part de demandeurs d’asile adolescents. Agés de 16 ou 17 ans, les jeunes sont hébergés dans un hôtel de la ville, transformé en centre d’accueil, rapporte la presse locale en Allemagne.
     

    Bande de réfugiés mineurs et violeurs en Allemagne

     
    Les victimes étaient des jeunes femmes âgées de 18 à 21 ans déambulant dans la ville aux alentours de 3 heures du matin. La bande de migrants s’est approchée d’elles, leur parlant en anglais. Ils ont essayé de les coincer pour les empêcher de fuir. Ils n’ont pas seulement tenté de les embrasser : par les gestes et les regards, ils ont clairement signifié qu’ils cherchaient à avoir des relations sexuelles avec elles.
     
    Dès l’instant où les jeunes femmes ont montré qu’elles s’y refusaient, résistant vigoureusement, les « réfugiés » sont devenus violents. Ils les ont frappées au visage et leur ont peloté les fesses ; l’une des victimes a même reçu des coups de pieds au ventre. Comme elles résistaient toujours, les jeunes les ont menacées de leur briser des bouteilles d’alcool sur la tête.
     
    Les jeunes femmes n’ont dû leur salut qu’à l’intervention de trois hommes qui se trouvaient dans la rue à ce moment-là et qui ont vu le manège des migrants. Ils n’ont pas seulement appelé la police, ils se sont physiquement interposés pour protéger les Allemandes – leurs compatriotes sans doute – et ont à leur tour essuyé les coups des voyous surexcités jusqu’à ce que les forces de l’ordre arrivent.
     
    Que des hommes – restés anonymes – aient réagi pour venir aux secours de ces jeunes femmes en péril, alors que les récits abondent d’agressions au cours desquelles les spectateurs autochtones restent impassibles ou détournent les yeux, indique peut-être un changement d’humeur de la population en général : une irritation croissante face à des comportements insupportables et de plus en plus arrogants de la part de jeunes qui sont supposés être en Allemagne pour éviter d’être eux-mêmes des victimes dans leur pays d’origine.
     
    Deux des trois agresseurs – un Afghan âgé de 16 ans et un Iranien de 17 ans –ont pu être arrêtés par les forces de l’ordre ; le troisième a réussi à prendre la fuite et la police est toujours à sa recherche.
     
    Les deux jeunes étaient visiblement ivres et l’un d’entre eux a même perdu connaissance pendant l’interrogatoire, vraisemblablement en raison de problèmes circulatoires dus à l’alcool.
     

    Agressions sexuelles de prostituées ?

     
    Alors que les agressions sexuelles se multiplient de la part des migrants arrivés depuis la grande ouverture des frontières décidée l’an dernier par Angela Merkel, surtout en Allemagne, en Autriche et en Suède – une dizaine de femmes ont subi de telles attaques à Essen en Allemagne cette dernière fin de semaine à l’occasion d’un festival – certaines forces de l’ordre leur cherchent toujours des excuses. Ainsi la police suédoise a-t-elle suggéré récemment que les agressions sexuelles ne sont pas imputables aux migrants en tant que tels, mais à la « culture de la boisson alcoolisée » propre à l’Europe.
     
    Serait-ce donc l’Europe qui avilit les braves et innocents réfugiés venus ici avec leur légendaire respect des femmes ? On n’y croit pas une seconde ! Une connaissance même succincte de leur culture islamique d’origine ferait comprendre aux forces de l’ordre que la femme occidentale, aux mœurs libérées et à l’habillement non « halal », est considérée d’office comme une prostituée qui n’a que ce qu’elle mérite, voire ce qu’elle demande quand elle est agressée…
     

    Anne Dolhein

    REINFORMATION TV

  • Boussy-Saint-Antoine (91) : opération antiterroriste, un policier attaqué au couteau, 3 femmes interpellées (Màj)

    http://www.fdesouche.com/764375-boussy-saint-antoine-91-une-femme-attaque-un-policier-au-couteau-intervention-du-raid

  • Joachim Du BELLAY (1522-1560)

      

    Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage

     

    Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
    Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
    Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
    Vivre entre ses parents le reste de son âge !

    Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
    Fumer la cheminée, et en quelle saison
    Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
    Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?

    Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
    Que des palais Romains le front audacieux,
    Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :

    Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
    Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
    Et plus que l’air marin la doulceur angevine.

    Joachim Du Bellay

                                                                            

  • Affaire des shorts : «La police de la vertu islamiste impose ses normes par la violence»

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    • Par Céline Pina
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    Céline Pina. Crédits Photo: Hannah ASSOULINE/Opale/Leemage.

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Des femmes ont été insultées par des jeunes parce qu'elles portaient des shorts. Leurs compagnons qui ont tenté de les défendre ont été frappés. Céline Pina décrypte la violence islamiste qui grandit partout en France contre les femmes.


    Ancienne conseillère régionale d'Ile-de-France, Céline Pina avait dénoncé, en 2015, le salon de «la femme musulmane» de Pontoise. Elle a récemment publié Silence Coupable(éditions Kero).


    À Toulon ce dimanche, deux hommes se sont fait agresser et frapper sous les yeux de leurs enfants, par une bande de jeunes issus de la cité dite «sensible» des Œillets, simplement parce que les femmes qui les accompagnaient étaient en short.

    Toujours à Toulon, le 13 juin 2016, une jeune fille de 18 ans s'était faite insulter et menacer dans le bus de la ligne 3, par une bande de fille de son âge parce qu'elle portait un short.

    Aux cris de «putes» et «vas-y mets-toi toute nue», les jeunes hommes sont venus exercer une police de la vertu que l'on croyait impossible sous nos latitudes. Dans le cas de la jeune fille en short, qui a raconté son agression sur Facebook, à la question «pourquoi vous me traitez de pute parce que je porte un short alors qu'un homme peut se balader torse nu en plein centre-ville sans que personne n'y trouve rien à redire?», les jeunes femmes ont répondu «ben parce que t'es une femme, faut se respecter, sale conne.» Ces gardiennes sourcilleuses de la pudeur des femmes, mais peu de la chasteté de leur vocabulaire par ailleurs, ont tout dit: un homme on doit le respecter, une femme doit se respecter.

    On ne saurait plus clairement exprimer l'injonction à intégrer l'assignation à la pudeur comme une norme sociale et l'autocensure comme une norme comportementale. Une assignation à la pudeur qui plonge ses racines dans l'hypersexualisation du corps féminin et qui explique le rejet du corps de la femme, vu comme intrinsèquement impur et sale.

     

    La question du burkini, la multiplication des voiles intégraux, l'agression des femmes en short et le tabassage de leurs compagnons participent de la même logique. Faire du corps de la femme, un enjeu social et politique, un marqueur de la progression d'une idéologie au sein de la société. Dans les deux cas, c'est au nom de la transgression d'une «pudeur», érigée en norme pour la femme, que les agresseurs sont passés à l'acte. Le corps enseveli de la femme, la visibilité de son invisibilisation marque sa soumission à un ordre social où elle ne doit pas exister dans la sphère publique, car elle y apporte le désordre et le dérèglement sexuel. Le short est vécu par certains comme la marque du refus de cette soumission, des résistances à cette nouvelle norme et les agressions qu'il déclenche témoignent de l'influence que gagnent les islamistes dans certains secteurs, où ils ont imposé leur vision du monde faite de séparatisme sexuel et confessionnel, quand bien même la pratique religieuse serait frustre ou aléatoire. Que les hommes aient été passés à tabac obéit au même processus. Puisque la femme, chez ces esprits rétrogrades appartient aux hommes, ceux qui n'imposent pas à leurs femmes cette nouvelle norme, sont faibles, traîtres à leur sexe et sont donc punit de leur déloyauté.

    C'est par la violence que les islamistes veulent imposer leurs normes. Ces provocations et agressions sont des avertissements envoyés à un mode de vie qu'ils combattent. Un mode de vie, où la reconnaissance de la liberté des femmes n'est pas l'acceptation de leur frivolité, mais la reconnaissance de leur pleine capacité de citoyenne, qui va avec le droit de vivre en société avec les mêmes droits et les mêmes devoirs que les hommes. Ces agressions sont un message politique clair: nous tenons les lieux, nous sommes puissants et prêt à en découdre. Vous ne maintiendrez votre mode de vie qu'à vos risques et périls. Et les tests de résistance comme les passage à l'acte se multiplient, sur les plages et dans les quartiers… La peur et le rejet que cette attitude génère est normale. Elle alimente le vote Front National et ce d'autant mieux si les regards se détournent... À la manifestation organisée à Toulon appelée «marche en shorts» après l'agression de la jeune fille en juin, il n'y avait pas un seul élu…

    On n'éteindra pas la volonté de conquérir le pouvoir de ceux qui se servent de l'Islam pour imposer leur totalitarisme politique (y compris en attisant le feu de la guerre civile) en ignorant la multiplication de leurs provocations, mais en indiquant clairement que certaines attitudes sont séparatistes et inacceptables.

    Une Nation n'est pas une auberge espagnole, ni un monde de bisounours où la tolérance suffirait à éviter tous les conflits. Nous avons tous à nous intégrer au monde commun qu'elle propose et celui-ci a son histoire, ses bornes, ses références et ses exigences. Il arrive ainsi que des revendications soient incompatibles et la notion de conflits de valeurs n'est pas une vue de l'esprit. Ceux qui combattent les fondamentaux de notre contrat social, ou en épousent les provocations violentes ou symboliques, n'y trouveront pas leur place et subiront l'opprobre et la marginalisation, à partir du moment où la manifestation de cet opprobre reste dans le cadre de la loi. Cela n'a rien à voir avec de la stigmatisation et tout à voir avec la justice.

    NdB: Un bon article, malheureusement gâché à la fin par cette dérive - combien absurde - contre le Front National, seul parti politique qui dénonce sans relâche depuis 40 ans l'immigration islamique de masse et ses conséquences mortelles pour l'identité française.

  • Voiture aux bonbonnes de gaz: le commandé était "téléguidé" depuis la Syrie

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/en-direct-voiture-aux-bonbonnes-suivez-la-conference-de-presse-du-procureur-09-09-2016-6107211.php

  • Toulon : agressés parce que leurs femmes portaient des shorts

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    Trois hommes ont été frappés dimanche et deux femmes insultées par un groupe d'une dizaine de jeunes gens, dont deux ont été écroués.

    Publié le | Le Point.fr
     
    En juin à Toulon, une jeune femme avait été agressée parce qu'elle portait un short en jean. Après cette agression, une centaine de personnes s'étaient rassemblées à Toulon pour une "marche en short".
     
     
  • Paris: un megacentre pour clandestins va ouvrir dans le XVIIIème

    http://www.ndf.fr/nos-breves/07-09-2016/paris-un-mega-centre-pour-clandestins-ouvrira-en-octobre-dans-le-18e-ardt/