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GAELLE MANN - Page 288

  • L'union européenne va chercher les migrants en Afrique

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    En seulement trois jours, 13.000 clandestins ont été récupérés en Méditerranée et escortés jusqu’aux ports italiens.

     

    Journaliste

    résidant en Italie

     
     
     Les arrivées de migrants provenant d’Afrique et en direction du
     
    continenteuropéen sont en passe de subir une accélération considérable.

    Cette affirmation n’est pas l’opinion de qui voudrait alimenter les craintes de nos concitoyens, mais bien une réalité induite par l’extension aux eaux territoriales libyennes du mandat des opérations de sauvetage de l’Union européenne (mandat Sophia) : c’est à quelques milles du littoral africain que les navires, qu’ils soient italiens, danois ou britanniques, etc., vont désormais chercher les clandestins.

    La preuve ? En seulement trois jours, 13.000 clandestins ont été récupérés en Méditerranée et escortés jusqu’aux ports italiens.

    Un beau geste qui, faisant éviter des kilomètres de périlleuse navigation, permettrait de sauver de nombreuses vies ? Non. Puisque la solution pour éviter les décès n’est pas de sécuriser les traversées mais d’empêcher les départs ! Sécuriser les traversées signifie inciter les migrations, et donc multiplier considérablement aussi bien les morts et les viols sur le chemin par la porte libyenne que les noyades ; les flottes européennes ne pouvant faire face à toutes les tentatives.

    Les dirigeants à l’origine de cette nouvelle opération en sont conscients : c’est juste qu’ils n’ont que faire de la vie de ces hommes. Derrière le paravent de leur hypocrite humanitarisme, les intérêts économiques et politiques grouillent.

    Et pendant ce temps, leurs acolytes les médias tamponnent la situation en déplaçant ce phénomène sur le registre sentimental, exhibant les images des rares femmes et enfants qui composent les masses de clandestins. Ainsi, en Italie, pour faire passer la pilule de ces 13.000 nouvelles bouches à nourrir – dans un contexte de grave crise économique, rappelons-le, de chaos migratoire dans toutes les régions, et alors que des milliers de citoyens victimes du récent séisme sont sans domicile –, c’est le sauvetage de deux petits jumeaux prématurés qui fait la une. Voilà le mythe des familles de réfugiés fuyant la guerre rétabli. Voilà comment dévier l’attention du téléspectateur qui ne saura jamais que la marée humaine débarquée à Palerme, le 31 août, était composée à 77 % d’hommes majeurs venant d’Afrique noire.

    Mais surtout, cette nouvelle opération confirme que la politique bruxelloise en matière d’immigration entend pérenniser cette submersion démographique. On gère l’aspect logistique des flux, on ne se demande jamais comment tarir ces flux.

    Au-delà de la question fondamentale de la survie de la civilisation européenne – et donc de la diversité des peuples de la planète -, même les partisans d’un monde sans frontières devront s’interroger sur la perpétuation d’un phénomène qui incorpore des populations à démographie explosive dans un espace restreint aux ressources limitées. L’Europe étant déjà le continent le plus densément peuplé, et les Africains ne souhaitant visiblement pas infléchir leur taux de natalité – comme le démontre un récent sondage au Nigeria où les femmes désirent encore avoir 9 enfants et les maris 11. Une réflexion sur le long terme qui ne peut être ignorée.


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/audreydaguanno/lunion-europeenne-va-chercher-les-migrants-en-afrique,280608#42skBLt9Of3OKhb0.99
  • Eléonore Bez répond à M. Ramadan !

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  • Femmes voilées interdites et femme aux seins nus lynchée: soumission !

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    Grotesque République en phase active de Grand Remplacement

     

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    Jean Ansar, journaliste ♦

    On monte un fait divers en épingle pour en occulter un autre

    Pendant des jours nos médias se sont déchaînés pour défendre deux femmes voilées et accabler le restaurateur qui leur avait interdit son établissement. L’homme qui s’était énervé verbalement a dû s’excuser et on eut droit au défilé des musulmans choqués et bien sûr plaidant pour le vivre ensemble et le respect.

    Voila un fait divers utile au lobby médiatique pro-musulman.

    Plus facile en effet pour la propagande officielle que de traiter le lynchage d’une «  Marianne aux seins nus » comme dirait l’autre. Sur cette agression, on ne désigne pas les agresseurs, leurs motivations, on affirme que ce n’est pas clair et le maire lui-même manifeste une prudence qui montre de qui on a peur.

    Pire de tout ce lynchage aurait été exploité par l’extrême_droite parce que les deux voilée,s privées de salade, ne l’ont pas été par l’extrême-gauche.
    Un refus de servir face à un lynchage… les médias sont bien sûr horrifiés par l’atteinte à la dignité des musulmanes et non pas à la vie menacée de la baigneuse aux seins nus et de sa famille.

    Marianne pourtant a les seins nus explique Manuel Valls de plus en plus lucide pour les uns, islamophobes pour les autres. Les seins nus certes mais jusqu’à quand ?

    Tiens on prend un pari.

    On verra bientôt des citoyens musulmans demander des Mariannes non dévêtues par respect pour leur conception religieuse de la pudeur et de la femme. Et l on verra nos maires, enfin certains se coucher pour éviter les problèmes et les condamnations médiatiques. Manuel Valls a donné aux islamistes un nouvel angle d’attaque pour s en prendre aux valeurs de sa république.

    On peut prendre le pari qu’ils ne s’en priveront pas. Et on couvrira les seins que les tartuffe de l’islam ne sauraient voir.

    METAMAG

  • VIDEO - Le ras-le-bol des commerçants de Calais!

    http://www.ndf.fr/nos-breves/02-09-2016/on-en-souffre-on-dit-stop-le-ras-le-bol-des-commercants-de-calais/

  • VIDEO - Montreuil (93) : la rentrée au collège Paul Éluard pour les élèves « Non Scolarisés Auparavant »

    http://dai.ly/x4rkjyn

     

    19h44

    Ils sont venus d’Afrique sub-saharienne ou du continent indien: au collège Paul Éluard, en banlieue parisienne, ils sont une quinzaine tout juste arrivés en France pour faire leur rentrée dans l’une des classes NSA (enfants « non scolarisés auparavant »).

    NdB: Dans leur cas, il  s'agit plutôt d'une "entrée" scolaire...

     

  • Le procureur Molins révèle que 577 djihadistes recherchés sont dans la nature

     

    13h24

    Le procureur de Paris estime que l’affaiblissement de l’Etat islamique en Syrie et en Irak renforce le risque de nouveaux attentats en France. Il met en garde contre la menace du retour des combattants djihadistes français.

     

     

    La France doit faire face à un risque terroriste renforcé, avertit le procureur de Paris François Molins dans une interview donnée vendredi au Monde. «Paradoxalement, l’affaiblissement de l’État islamique en zone irako-syrienne constitue un facteur qui renforce le risque d’attentat», juge-t-il. «On voit bien dans l’histoire du terrorisme que quand les organisations terroristes sont en difficulté sur zone, elles recherchent l’occasion de commettre des attaques à l’extérieur.»

    Il met particulièrement en garde contre la menace représentée par les combattants djihadistes français. «Le deuxième facteur inquiétant tient à ce qu’on pourrait appeler la menace du retour: on sera à un moment ou à un autre confronté au retour d’un grand nombre de combattants français et de leurs familles», ajoute-t-il.

    Actuellement, autour de 2000 Français sont partis, en transit ou souhaitent se rendre en Syrie, dont 700 sont sur zone, selon les services de renseignements. Sur le plan judiciaire, le parquet suit aujourd’hui 324 dossiers, contre 136 en 2015 et 26 en 2013, explique François Molins. Dans le détail, le procureur compte 183 enquêtes préliminaires et 141 informations judiciaires.

    «Seuls 25 dossiers ont été jugés ou sont en attente de jugement, ce qui donne une idée du travail qui nous attend», précise-t-il. «Au total, 982 individus font ou ont fait l’objet d’enquêtes judiciaires pour du terrorisme islamiste: 280 sont aujourd’hui mis en examen, dont 167 sont en détention, et 577 font l’objet d’un mandat de recherche ou d’un mandat d’arrêt
    Durcissement «considérable» de la politique pénale

    (…)

    Enfin, il juge «absolument impossible» le placement en rétention des personnes fichées «S» comme le préconisent plusieurs candidats à la primaire des Républicains dont l’ex-chef de l’Etat Nicolas Sarkozy. «Il ne peut y avoir de détention préventive en dehors d’une procédure pénale», souligne le procureur. «C’est le socle de l’état de droit. On ne peut pas détenir quelqu’un avant qu’il ait commis une infraction.»

    Source

    Merci à Gargamax125

  • JOURNAL TVL DU 02 SEPTEMBRE 2016

  • Arrêté pour exhibition sexuelle, le vice-président du Modem revient sur ses aveux

    6089641_robert-rochefort-castorama_1000x625.jpg Modem.jpg

     

    >Faits divers|Zoé Lauwereys (@zlauwereys)|02 septembre 2016, 19h53 | MAJ : 02 septembre 2016, 23h03|48

    Robert Rochefort (ici en 2010) a été surpris par un vigile dans une très mauvaise position.  

    (LP/FREDERIC DUGIT.)
     
     
    Zoé Lauwereys (@zlauwereys)
     
     
     

    Selon une information de RTL, Robert Rochefort a reconnu s'être masturbé à proximité d'adolescentes dans le magasin Castorama de Vélizy-Villacoublay. Il aurait été libéré dans le cadre d'une procédure de plaider-coubable. Interrogé ce vendredi sur BFM, le vice-président du Modem reconnaît avoir été placé en garde à vue mais nie les faits. 

    Robert Rochefort, 60 ans, vice-président du Modem, a été interpellé mercredi pour exhibition sexuelle dans le Castorama de Vélizy-Villacoublay (Yvelines). Selon les informations de RTL qui révèle l'information, il aurait été trouvé par un vigile «en train de se faire plaisir» -de se masturber, dit l'AFP- dans les rayons du magasin de bricolage, à proximité de deux adolescentes de 14 et 17 ans. Il aurait eu le sexe sorti du pantalon mais les jeunes filles n'auraient rien vu et n'auraient pas porté plainte.

     

    Il a d'abord reconnu les faits


    Le directeur du Castorama a immédiatement alerté la police et l'élu européen de la circonscription du Sud-Ouest a été placé en garde à vue. L'interrogatoire a duré 4 heures, à l'issue desquelles, il aurait reconnu les faits d'exhibition sexuelle et évité donc un procès selon la procédure du plaider-coupable.

     

    Il a expliqué aux policiers avoir «avoir besoin de se masturber» quand il était «en situation de stress». RTL précise que pour ces faits, il pourrait être condamné à une amende et faire l'objet d'une injonction de soins. Il a été libéré après sa garde à vue. 

       

    «J'ai reconnu des choses fausses»


    Interrogé ce vendredi par BFM TV.com, l'élu revient sur ses aveux et nie les faits. «Je suis sous le choc. Ce que dit RTL n'est pas exact. Si c'était exact, je ne serais pas libre. Je ne me suis jamais exhibé devant des enfants, se défend-il. Je me suis fait piéger car je n'ai pas voulu passer la nuit en garde à vue. Est-ce que j'ai paniqué, est-ce que j'ai eu peur  ? J'ai reconnu des choses fausses», a-t-il dit. Précisant qu'il avait été «menacé», il a annoncé vouloir prendre un avocat. 

    LE PARISIEN

  • La France est un royaume

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  • Levée de fonds record pour Hillary Clinton

    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2016/09/01/97002-20160901FILWWW00431-levee-de-fonds-record-pour-hillary-clinton.php

  • C'est en France et chez Leclerc

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  • JOURNAL TVL DU 1er SEPTEMBRE 2016

  • L'élection de Clinton entraînerait la guerre, selon Marine Le Pen

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    01/09/16 à 13:34 - Mise à jour à 13:34

    Une élection de la démocrate Hillary Clinton à la tête des Etats-Unis entraînerait des "conflits mondiaux", a déclaré sur la chaîne CNN la dirigeante de l'extrême droite française, Marine Le Pen, qui soutient le républicain Donald Trump.

    © Reuters

    "Je crois qu'Hillary Clinton, c'est la guerre. Hillary Clinton, c'est la dévastation, c'est le déséquilibre du monde", a lancé la présidente du Front national (FN) dans cette entretien réalisé en français et diffusé mercredi.

    Hillary Clinton à la tête des Etats-Unis, "ce sont des choix économiques qui sont ravageurs pour le bonheur de mon peuple", poursuit-elle. "Ce sont des choix géostratégiques qui vont engager à des conflits mondiaux qui risquent d'être très lourds."

    Marine Le Pen, elle-même en lice pour la présidentielle française de 2017, a fait le parallèle entre sa candidature et celle du magnat de l'immobilier Donald Trump, à qui elle avait déjà apporté son soutien en juillet.

    "Nous ne sommes pas du sérail, nous ne participons pas du système, nous ne dépendons de personne, nous n'allons pas prendre d'ordres auprès de telle puissance financière ou de tels intérêts de multinationales", a-t-elle assuré.

    A huit mois de la présidentielle en France, tous les sondages assurent que Marine Le Pen, dont le parti progresse à chaque élection depuis quelques années, se qualifiera pour le second tour, comme l'avait fait son père, le tribun Jean-Marie Le Pen en 2002.

    Le candidat républicain Donald Trump est actuellement distancé dans les sondages par Hillary Clinton, bien qu'une nouvelle étude Fox News montre un resserrement des intentions de vote pour le scrutin de novembre.

  • Donald Trump exclut toute régularisation de clandestins s'il est élu président

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    01/09/16 à 06:23 - Mise à jour à 07:04

    Source: Belga

    Donald Trump a proposé mercredi un véritable arsenal répressif contre l'immigration clandestine lors d'un discours applaudi par la base conservatrice, quelques heures après avoir rencontré dans une ambiance plus apaisée le président mexicain.

    Donald Trump © Belga

    Le candidat républicain à la Maison Blanche a notamment contredit le président Enrique Peña Nieto, qui a affirmé sur Twitter que le Mexique refuserait quoi qu'il arrive de financer la construction du mur que Donald Trump promet de construire à la frontière pour tarir le flot de clandestins en provenance d'Amérique latine.

    "Le Mexique paiera pour le mur, croyez-moi, à 100%", a déclaré Donald Trump lors d'un grand meeting consacré exclusivement à l'immigration clandestine à Phoenix, dans l'Arizona, frontalier du Mexique.

    Quelques heures plus tôt, à Mexico, Donald Trump avait vanté lors d'une courte conférence de presse les qualités de l'"incroyable" peuple mexicain et témoigné de son admiration pour les Américains d'origine mexicaine.

    Lors de cette visite éclair de trois heures, à l'invitation du président Peña Nieto, M. Trump a tenté de convaincre les Américains de sa stature d'homme d'Etat, avec une certaine réussite: c'était la première fois qu'il rencontrait, en tant que candidat, un dirigeant étranger.

    "L'immigration illégale est un problème pour le Mexique ainsi que pour nous", avait-il déclaré, cherchant à trouver un terrain d'entente, notamment sur le trafic de drogues.

    "Beaucoup de vies pourraient être sauvées des deux côtés de la frontière" a dit M. Peña Nieto, qui a tout de même fait valoir que les Mexicains vivant aux Etats-Unis méritaient "le respect de tous".

    Mais la visite surprise a été vivement critiquée au Mexique, où Donald Trump est impopulaire.

    "Voici la phrase qui résume la visite de #Trump à Mexico: Humiliation à domicile", a tweeté la chroniqueuse Denise Dresser.

    Le parti de gauche PRD a déploré sur Twitter "la honteuse et déplorable image présidentielle donnée par Enrique Peña Nieto".

    - Expulsions massives -

     

    A Phoenix, Donald Trump a mis la barre à droite et dénoncé pendant une heure et quart le coût et le danger de l'immigration clandestine, ruinant les espoirs de ceux qui pensaient que le milliardaire adopterait un ton, sinon un programme, plus conciliant afin de remonter sa cote auprès des électeurs modérés.

    Il est actuellement distancé dans les sondages par la démocrate Hillary Clinton, bien qu'une nouvelle étude Fox News montre un resserrement des intentions de vote, sous le coup de l'affaire des messages de l'ancienne cheffe de la diplomatie.

    La semaine dernière, Donald Trump avait entr'ouvert la porte de régularisations pour les familles de clandestins résidant ici depuis 15 ou 20 ans, avant de faire machine arrière.

    Mercredi, dans une salle chauffée à blanc, il a longuement cité des affaires de meurtres perpétrés par des clandestins, comme cet homme de 90 ans battu à mort dans sa propre maison.

    Puis le candidat républicain a décliné un plan en dix points pour réformer le système d'immigration. Et il a exclu toute régularisation pour les 11 millions de clandestins présents aux Etats-Unis.

    "Notre message au monde sera: vous ne pourrez pas obtenir de statut légal ou devenir citoyen des Etats-Unis en entrant illégalement dans notre pays", a-t-il déclaré.

    Il commencera par expulser, "dès la première heure", deux millions de clandestins "criminels". Il annulera les décrets de régularisation temporaire signés par Barack Obama.

    Donald Trump entend tripler le nombre d'agents du service fédéral d'immigration (ICE) et créer 5.000 postes de policiers aux frontières, en plus des quelque 20.000 existants.

    Le républicain veut aussi renforcer les contrôles sur les visiteurs pour empêcher le dépassement de visas, réformer le système de visas et limiter le regroupement familial.

    Comment les clandestins installés ici depuis des années et sans casier judiciaire pourront-ils obtenir des papiers?

    "Ils auront un moyen et un seul: retourner chez eux et faire une demande de ré-entrée, selon les règles du nouveau système d'immigration que je viens de décrire", a expliqué Donald Trump.

    Dans "plusieurs années", a-t-il ensuite dit, une fois le mur construit et l'immigration clandestine tarie, des "mesures appropriées" pourraient être envisagées pour les personnes qui resteraient.

    "Il n'y a pas d'autre Donald Trump. Il n'a pas changé", a réagi Hillary Clinton.

    "Ce discours est une occasion manquée", a regretté le directeur du National Immigration Forum et militant d'une réforme migratoire Ali Noorani. "L'Amérique vaut mieux que la véhémence de Donald Trump contre les immigrés".

    Mais à droite de la droite, on se réjouissait. L'activiste Ann Coulter a estimé qu'il s'agissait du "plus beau discours jamais prononcé".