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GAELLE MANN - Page 345

  • Calais : bagarre géante entre migrants afghans et soudanais. Une vingtaine de blessés (MàJ vidéo)

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  • La loi travail relance la lutte des classes et la CGT pour faire le lit de la gouvernance mondiale

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    Le blocage des raffineries, des centrales nucléaires et des transports par la CGT est une grande victoire de la loi travail. Celle-ci ne vise pas en effet à relancer l’économie, mais la lutte des classes : c’est un leurre pour détourner l’attention du peuple français de l’invasion en cours et mieux le mener, toutes frontières ouvertes, vers la gouvernance mondiale.
     
    Quand on voit en ce mois de mai l’économie française au bord de l’arrêt, juste quand Christine Lagarde, patronne du FMI, nous annonçait qu’elle allait mieux, la tentation est grande de prendre François Hollande pour un crétin, Manuel Valls pour un psychorigide, et Myriam El Khomry, l’inventeuse de la loi travail, pour une pouliche soumise au principe de Peter. L’implacable Martinez exulte, la CGT triomphe, l’une après l’autre les raffineries ferment leur robinet, les centrales nucléaires menacent de couper le courant, et, côté SNCF, la grève se prépare sérieusement ; nous ne serons pas déçus du voyage la semaine prochaine. Alors, nos dirigeants seraient-ils des amateurs, comme on l’entend ici ou là, incapables de mesurer la résilience des travailleurs, oublieux des leçons de l’histoire (il ne faut pas provoquer la gauche en mai), des apprentis sorciers qui auraient rallumé la lutte des classes par mégarde ?
     

    La lutte des classes, joker de la gouvernance mondiale

     
    Il me semble que cette interprétation pèche par naïveté et que le gouvernement au contraire maîtrise parfaitement le calendrier de la manœuvre – il ne pouvait pas ne pas prévoir les réactions qu’elle engendre. De même qu’il a laissé sciemment œuvrer les casseurs dans les manifestations qui ont accompagné la lente élaboration de la loi travail pour faire monter la pression et susciter un besoin d’ordre, de même a-t-il volontairement provoqué un tollé sur sa gauche pour déplacer les projecteurs de l’actualité de la question identitaire et nationale où l’invasion les fixe sur la question sociale. Tout le monde est content, Mélenchon et son front de gauche, les frondeurs, Nuit debout, les syndicats, etc. Ce peuple de gauche enfin réuni, retrouvé, se joue dans sa tête un remake de mai 68 qui rajeunit ses vieilles articulations.
     
    Le phénomène s’apparente à ce qui s’est passé en Espagne avec Podemos, à ce qui a été raté en France avec Stéphane Hessel et ses indignés, à ce qui marche en Grèce avec Syrisa. Il est significatif que l’Union européenne et le Fonds monétaire international se soient mis d’accord pour donner une rallonge à Alexis Tsipras : l’homme qui a sauvé Bruxelles et l’euro en fournissant aux Grecs un ersatz d’insurrection nationale méritait bien un bakchich. D’une façon non moins instructive, c’est un nomade apatride écologiste antinational, Van der Bellen, qui a sauvé le système de l’hydre populiste en Autriche. La question d’ensemble qui se pose aux élites mondialistes confrontées à la révolte des peuples est : comment juguler la poussée populiste ? Quelle alternative trouver? Et la réponse aujourd’hui passe par la gauche. Le joker du mondialisme est l’altermondialisme, qui se présente en antimondialisme.
     

    La loi travail nécessaire si les frontières restent ouvertes

     
    Voyons maintenant de plus près comment cela se passe pour la loi travail. Dans son premier état, elle comprenait des dispositions véritablement propres à libérer les entreprises françaises du carcan où elles se trouvent prises, si bien que les syndicats patronaux, perplexes, n’ont pas osé l’approuver trop fort, et qu’ici même nous nous sommes demandés quelle était son intention. Cette loi travail arrivant en fin de mandat ne pouvait porter d’effets suffisamment tôt pour que le candidat Hollande en bénéficiât dans sa campagne présidentielle, et elle ne pouvait manquer de susciter la colère de ce qui subsiste de socialistes convaincus en France. Et c’est bien ce qui s’est passé. Tout ce qui fait profession d’être à gauche et de « défendre les travailleurs » n’a cessé de hurler au scandale depuis que le contenu de la loi a été connu.
     
    Faut-il en conclure que Manuel Valls et Myriam El Khomry ont manqué de pédagogie, comme ils l’ont prétendu ? Au contraire. La présentation de la loi travail dans son premier état et le long gymkhana qui l’a menée à son état actuel ont été l’occasion d’une double communication assez subtile. La loi travail I disait aux entrepreneurs et à la droite raisonnable : dans un système mondial aux frontières ouvertes dont nous ne sortirons pas, et qui établit par péréquation un socialisme planétaire, nous permettons aux entreprises françaises de souffler, de survivre, nous leur donnons un peu de mou.
     

    Comment Valls et Hollande relancent la lutte des classes

     
    Aujourd’hui, il ne subsiste pas grand-chose des bonnes velléités affichées dans le projet initial. La loi travail II sert surtout de muleta pour agacer le taureau syndical et le troupeau du peuple de gauche. Mais elle fait encore passer deux messages. Auprès des entrepreneurs et de la droite raisonnable, elle dit : deux ou trois éléments résiduels le prouvent, j’ai initié un processus, si on veut faire quelque chose pour améliorer l’économie, il faudra aller dans ce sens en cas d’alternance, refaire en mieux ce que le courageux Valls a manqué par amateurisme (Elle a donc pour fonction d’interdire une autre hypothèse, la fermeture des frontières, et c’est un cadeau fait à la droite raisonnable censée lui succéder, une preuve manifeste de la collusion maçonnique gauche-droite). Auprès du peuple elle susurre : le libéralisme, voilà tout le mal, il faut se révolter contre les patrons, la flexibilité du travail, la précarité – en lui faisant oublier que la précarité et la ruine ne viennent pas de la liberté d’entreprendre mais de l’abaissement des frontières.
     

    Vous avez le choix : gouvernance mondiale ou gouvernance mondiale

     
    Ainsi les partisans de la gouvernance mondiale par la collaboration avec le grand capital s’opposent-ils aux partisans de la gouvernance par la lutte des classes, schéma qui reproduit la valse à deux temps lancée par les socialistes et les communistes en 1920 et renouvelée par l’altermondialisme depuis le premier forum social mondial de Porto Alegre en 2001. Et le but de cette dialectique est de détourner l’attention des peuples de la vraie menace qui pèse sur eux : la disparition par l’ouverture des frontières.
     
    Dans cette entreprise de résurrection de la lutte des classes pour faire oublier le déplacement des ethnies et précipiter la fin des nations, les élites mondialistes accentuent la question sociale en Europe et singulièrement en France. Et rendent artificiellement aux syndicats l’importance que le peuple leur dénie. Le spectre de la grève générale requinque en particulier une CGT moribonde. D’après une étude parue en 2007, les syndiqués en France, un million sept cent mille salariés sont syndiqués, soit 7 % de la population active, dont un peu moins d’un tiers à la CGT. Les auteurs s’étonnent que notre pays soit, parmi les plus développés, celui qui compte à la fois le moins de syndiqués et le plus d’organisations syndicales, et constatent le poids politiques que gardent celles-ci.
     

    La loi travail requinque une CGT et un syndicalisme moribonds

     
    Il s’agit d’un phénomène artificiellement entretenu par le pouvoir politique. Comme les autres syndicats, la CGT est en baisse constante, moins que dans les années quatre-vingt, mais de manière encore très sensible. Dans le secteur de l’énergie qui est son bastion, moins de 20 % des salariés y sont affiliés, contre plus de 50 % voilà encore vingt ans. Cela suffit pour tout bloquer, comme au temps où le politburo de l’URSS décidait une aide d’urgence à la CGT à la demande de son secrétaire général d’alors, Henri Krasucki. Mais la situation de la centrale syndicale est catastrophique. Alors que tout le monde à l’époque connaissait un Léon Jouhaux, un Georges Séguy, le nom de Philippe Martinez ne disait rien à personne avant la loi travail. Le dernier secrétaire général de la CGT dont on se souvienne est Thierry Lepaon, épinglé parce que des travaux de 100.000 euros dans son appartement de fonction et de 30.000 euros dans son bureau avaient été réglés par les cotisants syndiqués – la CGT lui a encore versé 150.000 euros depuis son départ en 2015.
     
    Manuel Valls et François Hollande ont donc choisi de remettre en selle un syndicalisme sans appui populaire et complètement dévalué pour agiter le fantôme de la lutte des classes et masquer ainsi l’invasion et la ruine en cours. Par cette manœuvre, ils méritent bien de la future gouvernance mondiale, et la loi travail peut être qualifiée malgré les apparences de parfaite réussite.
     

    Pauline Mille

    Réinformation TV

  • Manifestation à Paris de GENERATION ID Flandre Artois Hainaut: "On est chez nous!"

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  • Hollande désigné "homme d’État mondial" de l’année

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Hollande-designe-homme-d-Etat-mondial-de-l-annee-39578.html

    Un prix fondé par un rabbin américain...

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  • Loi travail : les manifestations émaillées de nouvelles violences (vidéo)

    http://bcove.me/fbd0y0c1

     

     

    VIDÉO - De nombreuses échauffourées ont eu lieu à Paris, Nantes, ainsi qu'à Bordeaux, où un commissariat a même été attaqué par les casseurs. Les forces de l'ordre ont procédé à 77 interpellations.

     

    La place de la Nation, à Paris, noyée sous les gaz lacrymogènes, un commissariat attaqué par des dizaines d'énergumènes à Bordeaux, des jets de projectiles, des voitures de police endommagées, des vitrines brisées et partout des tags vengeurs, comme ce «Nike les CRS» inscrit à la bombe de peinture sur la devanture d'une concession automobile saccagée, au cœur de la capitale, boulevard Diderot, sans que la police ne puisse s'interposer. Force est de constater que la tension ne faiblit pas sur le terrain depuis le début de la fronde contre la loi El Khomri.

    Le bras de fer entre le gouvernement et les durs de la CGT, mais aussi de FO ou de SUD, qui réclament le retrait pur et simple de ce texte, s'est donc traduit, ce jeudi, par de nouveaux heurts, en marge des cortèges qui ont défilé dans toute la France. Les casseurs se sont déchaînés, s'insérant dans le flot des salariés en colère, qui condamnaient toutefois ces débordements «intolérables».

    La mobilisation a été de taille, même si la distorsion entre les chiffres donnés par les autorités et ceux des syndicats ne laisse pas d'étonner: de 18.000 à 19.000 manifestants à Paris, selon la Préfecture de police, contre 100.000, assure Force ouvrière. Mais sur le terrain, à Paris, les estimations de la police semblaient tout de même plus proches de la réalité que celles des centrales syndicales.

    La police a compté 6000 manifestants à Toulouse, contre 20.000 selon d'autres sources. La manifestation interdite de Nantes a réuni environ 2 000 personnes, celle de Bordeaux, qui a dégénéré à la suite d'une interpellation, plus de 3000 personnes. À Marseille, des milliers de manifestants se sont également rassemblés. Un incident a eu lieu vers midi, non loin de là, à Fos-sur-Mer, où un automobiliste, excédé par un barrage filtrant, a délibérément renversé avec sa voiture un syndicaliste qui l'empêchait de passer, le blessant gravement à la tête. Dans l'ensemble du pays, les forces de l'ordre ont recensé 153.000 manifestants, la CGT 300.000, près du double.

     

    Au ministère de l'Intérieur, l'attaque en règle du commissariat des Capucins, à Bordeaux, a beaucoup choqué. L'entourage du ministre a fermement condamné ces actes. Les manifestants jetaient des plots de stationnement sur la façade du bâtiment, mais aussi des objets métalliques. Ils ont brisé les vitres de plusieurs véhicules de police. Une victime, venue porter plainte, a même été légèrement blessée par les jets de projectiles.

    La police ne sait-elle plus protéger ses implantations? Patrice Ribeiro, le secrétaire général de Synergie-Officiers, regrette cette dérive. «Les manifestants savaient qu'ils n'avaient pas à craindre de riposte, puisque c'est aujourd'hui la consigne. Et pourtant, nous disposons des moyens pour disperser une foule agressive, avec les grenades de désencerclement ou les lanceurs de balles de défense.»

    Enrayer ce cycle de violences

    À Paris, la police avait procédé, en fin de journée, à trente-six interpellations. Neuf personnes ont été légèrement blessées. À Nantes, les casseurs étaient une vingtaine tout au plus. Particulièrement agressifs, ils s'en sont pris à deux agences bancaires et ont mis le feu à des poubelles. Seulement cinq vandales présumés ont été appréhendés. Au total, sur l'ensemble des villes, soixante-dix-sept personnes ont été interpellées, selon le ministère de l'Intérieur. Quinze policiers ou gendarmes auraient été blessés.

    Comment enrayer ce cycle de violences? Le commandant Ribeiro considère, pour sa part, que «les violences dureront tant que la justice se montrera incapable de prononcer des décisions à la hauteur des faits».

    Ce syndicaliste policier fait référence aux arrêtés d'interdiction de manifester que le juge administratif a retoqués en bloc à Paris, le 17 mai dernier.

    Il se scandalise également de la décision du juge judiciaire qui, mardi dernier, a conduit à la libération de trois des quatre hommes mis en examen dans l'enquête sur des violences contre la police, le 11 mai dernier. Des incidents au cours desquels un véhicule de police a été incendié, quai de Valmy, à Paris, alors que deux agents se trouvaient à l'intérieur.

    LE FIGARO

  • Loi Travail: Florian Philippot en duplex sur BFM TV

    https://youtu.be/YAaevua402s

    Philippot dit la vérité sur la crise que nous subissons: la CGT communiste se nourrit de la colère des Français pour répandre le chaos dans notre pays gouverné par les petits fonctionnaires de Bruxelles.

  • Marine Le Pen sur les enjeux humains de la crise migratoire et l'irresponsabilité de l'UE

    Aux côtés de nos alliés européens, Marine Le Pen s’est exprimée à l’occasion d’une conférence de presse organisée par le groupe Europe des Nations et des Libertés et qui portait sur le thème « Les enjeux humains derrière la crise migratoire : l’irresponsabilité de l’UE » (26/05/16)

  • IGNACE

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  • Stéphane Ravier interpelle Manuel Valls sur l'interdiction de l'UOIF

    Lors de la séance de questions au gouvernement du Sénat, Stéphane Ravier a demandé à Manuel Valls si son gouvernement était disposé à combattre l’islamisme radical en interdisant notamment l’UOIF ! (26/05/16)

  • Eric Cantona déverse sa haine antifrançaise contre Didier Deschamps

    http://fr.novopress.info/201310/eric-cantona-deverse-haine-antifrancaise-contre-didier-deschamps/

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  • Robert Ménard : « Oz ta droite ! c’est ose la résistance ! Sois fier d’être français ! »

     

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste, fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     
     

    Robert Ménard, à 48 heures du Rendez-vous de Béziers, on a l’impression que c’est déjà une grande réussite. Près de 2.000 inscrits, des dizaines de journalistes, la présence de nombreuses personnalités, le tout sous le parrainage de deux des principaux médias de droite, Valeurs actuelles et Boulevard Voltaire. Vous vous y attendiez ou vous ne faisiez que l’espérer ?

    J’en étais certain. Il y a dans le pays une insatisfaction qui s’apparente aux grands mouvements d’opinions précédant toute révolution. Quelle sera cette révolution, quand, avec qui, cela évidemment, je l’ignore. Mais le fait est là : tout le monde attend qu’il se passe quelque chose. Naturellement, c’est la même atmosphère à droite. Majoritaire dans les idées, nous sommes minoritaires dans les médias, dans les institutions. Rien n’atteste que nous gagnerons en 2017.

    Dans ce contexte, toute initiative d’envergure, de conciliation nationale, ne peut que recevoir une large adhésion, susciter une vive curiosité.

    Vous annoncez aujourd’hui Oz ta droite ! Oz ? Kesako ? Ce n’est pas du français…

    Ce n’est pas du français, mais c’est très français ! C’est une formule énergique, qui dit clairement les choses. Il ne suffit pas de battre la gauche. Il faut dire que seules des idées de droite peuvent sauver notre peuple du grand remplacement. Aujourd’hui, être de droite, c’est être de France. Oz ta droite !, c’est ose la résistance ! Sois fier d’être français, ne baisse plus la tête devant la gauche et ses interdits.

    Plus sérieusement, un parti de plus ?

    Pas du tout ! Ni un parti, ni un club, ni un mouvement politique… Si je critique les divisions de la droite, ce n’est pas pour ajouter la mienne. Oz ta droite ! ce sera une sorte de mouvement citoyen autour d’une centrale d’agit-prop. Nous ne demanderons pas aux gens où ils ont une carte, s’ils en ont une ! Un exemple : les candidats à la primaire des républicains veulent être président de la république ? Eh bien, nous serons là pour voir si leurs engagements de campagne correspondent aux mesures de salut public qui sortiront de notre week-end. Autre exemple : si une nouvelle affaire Black M apparaît, nous serons en pointe pour organiser le combat et le diffuser auprès du plus grand nombre. Nous nous donnerons les moyens pour ça.

    Voilà, en résumé, ce que nous voulons faire : ancrer la droite dans le camp patriote et le camp patriote dans la droite. Battre la gauche partout. Tout faire pour l’emporter en 2017.

    BV - 26 05  2016 

  • La Fête des mères remplacée par la « Fête des gens qu’on aime » !

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    26/05/2016 – PRIGNAC-ET-MARCAMPS (NOVOpress avec Infos Bordeaux) : A l’école maternelle de Prignac-et-Marcamps, en Gironde, la Fête des mères est remplacée par la « Fête des gens qu’on aime » ! Les parents en ont été informés par ce mot dans le cahier de liaison des enfants :

    « Chers parents, au vu de situations familiales délicates de certains enfants, nous avons décidé de fêter la “fête des gens que l’on aime” et non pas les traditionnelles fêtes des mères et pères. Chaque enfant a donc créé avec son enseignante deux objets qu’il offrira aux personnes de son choix. Les deux objets seront ramenés à la maison en même temps cette semaine. Cordialement, les maîtresses. »

    Les maîtresses en question sont la directrice de l’école, Julia Pinard, et Elise Lambert, l’instit des moyenne et grande sections. L’affaire a été révélée par la mère d’un enfant scolarisé, qui a publié le message sur son compte Instagram, trouvant l’initiative « géniale parce qu’elle prône l’amour avant tout »,

    Cette « alternative plutôt ingénieuse », explique Femme actuelle, « devrait plaire aux enfants issus de familles monoparentales, homoparentales, adoptés ou encore ceux n’ayant jamais connu leur père/mère », énumération qui oublie toutefois de mentionner les enfants élevés par des transgenres, ce qui n’est pas loin de la discrimination…

    Contactée par un journaliste, Julia Pinard affirme : « Notre devoir de réserve ne nous permet pas de communiquer sur ce sujet. Cependant, toute l’équipe enseignante est ravie de lire des retours et commentaires positifs sur cette initiative. »

    Nous suggérons à Mme Pinard de demander maintenant à ce que l’établissement qu’elle dirige soit débaptisé, cessant ainsi d’arborer ce nom odieusement réactionnaire et discriminatoire d’école « maternelle ».

    Prignac-et-Marcamps

  • Paris : des logements sociaux vont voir le jour dans le très chic 8ème arrondissement

    A l’horizon 2018, soixante-seize logements sociaux et un foyer de jeunes travailleurs vont être construits dans le 8ème arrondissement de la capitale, a annoncé la Ville de Paris mercredi. La première pierre du futur immeuble devant accueillir les 76 logements à bas coût a été posée à quelques centaines de mètres de l’avenue des Champs-Elysées. A terme, cette zone proposera près de 140 logements sociaux.

    Avec ce projet, la Ville de Paris poursuit son engagement de construire des logements à bas prix dans l’ouest parisien. Ian Brossat, adjoint PCF au logement de la Maire de Paris présent lors du dépôt de la première pierre, a réaffirmé la volonté de la Ville de construire au total 7.500 nouveaux logements dans des « zones déficitaires ».

    BV

  • Israël – Les écoles chrétiennes menacées appellent à l’aide

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    Israël propose que les écoles chrétiennes deviennent publiques.  Le Bureau des Ecoles chrétiennes s’y refuse, arguant qu’une telle disposition porterait atteinte à l’identité même de ces écoles.

    Les écoles chrétiennes d’Israël sont en danger. Après une grève très suivie en septembre 2015 contre une baisse drastique de subventions, le gouvernement israélien de Benyamin Netanyahu avait fait des promesses. Elles n’ont pas été tenues.

    En septembre 2015, les écoles chrétiennes d’Israël s’étaient mises en grève pendant 27 jours, après la diminution drastique du budget alloué par le Ministère israélien de l’Education. De 65% il y a quelques années, ce budget était tombé à 29%. Elèves, parents et professeurs avaient dénoncé une véritable discrimination à leur encontre, et réclamé une égalité de traitement avec les écoles juives, lesquelles bénéficient de 100% de subventions de l’Etat. Les autorités israéliennes s’étaient alors engagées à transférer 50 millions de shekels aux écoles chrétiennes. Une commission mixte avait également été mise sur pied en vue de négocier d’autres points litigieux. Mais aujourd’hui, le Bureau des Ecoles chrétiennes en Israël affiche son mécontentement. L’année scolaire est sur le point de se conclure, et Israël n’a tenu aucun de ses engagements. Les écoles sont en danger immédiat d’effondrement financier.

    Devant cette impasse, le BCE  lance un appel à tous ceux «qui connaissent l’importance des écoles chrétiennes en Israël d’apporter leur aide et leur soutien», en s’adressant directement aux autorités concernées, afin que les promesses faites en septembre soient tenues.

    Source Radio Vatican

    Riposte Catholique

  • GB : un immigré attaque plusieurs jeunes Blancs à l’acide. L’un a perdu un oeil.

     

    Police have released a CCTV still of a man wanted in connection with an acid attack on five teenagers as they waited for a train

    L’agresseur, filmé par une camera de surveillance (photo diffusée par la police)

    Un groupe de jeunes Britanniques attendait son train à la gare d’Ockendon (Essex, Grande-Bretagne), quand ils ont été soudainement attaqués : ils ont été aspergés d’un liquide corrosif par un assaillant qui s’est ensuite enfui.

    La police a diffusé une photo de ce dernier (ci-contre) pour tenter de le retrouver.

    L’individu a approché les cinq victimes qui attendaient sur le quai, en cachant une de ses mains derrière son dos. Après un bref dialogue avec eux, il a brandi une bouteille de derrière son dos et a ensuite aspergé d’un liquide inconnu les victimes.

    Puis il a rejoint son groupe d’environ neuf amis et ils sont partis.

    L’un des adolescents a perdu l’usage d’un oeil tandis que l’autre est sévèrement brûlé. Les trois autres adolescents sont aussi blessés mais plus légèrement, et ont pu quitter l’hôpital.

    Source Dailymail

    Graphic images shared online show the horrific injuries endured by five teenage boys who were attacked with acid as they waited for a trainThe photographs show at least three boys with severe burn marks to their faces and headsThe same teen has visible injuries to the surface of his face

     

  • Jean-Yves Le Gallou : « La remigration est indispensable et faisable »

     

     

    25/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Dans le dernier numéro de Minute, Jean-Yves Le Gallou explique que la remigration est « indispensable et faisable ». Le créateur de la fondation Polémia, interrogé à l’occasion de la sortie de son livre : Immigration, la catastrophe – Que faire ?, explique comment cette remigration pourrait être mise en œuvre. Extrait de ce long entretien qui peut être commandé ici.

    Minute 2772 CouvMinute : Etes-vous favorable à ce que l’on appelait autrefois l’expulsion des étrangers et que l’on appelle aujourd’hui la remigration ? Et est-elle faisable ?

    Jean-Yves Le Gallou : La remigration est indispensable et faisable, dès lors que la volonté politique est là, même si la tâche peut paraître immense. Je vais utiliser une image : si vous allez en Irlande et que l’on vous sert un très grand verre de bière, d’un litre par exemple, vous allez vous demander comment le boire. La bonne méthode, c’est de commencer à boire progressivement et vous allez voir que le verre va se vider, lentement mais sûrement.

    Pour la remigration, c’est la même chose : il faut commencer par le commencement, c’est-à-dire par l‘expulsion des clandestins, qui n’ont absolument rien à faire ici, poursuivre par l’expulsion des criminels et des délinquants, qui n’ont plus rien à y faire non plus dès lors qu’ils ont enfreint nos lois, et puis il faut continuer, et vous verrez que ce n’est pas si ardu que cela paraît.

    Il y a environ quatre millions d’étrangers qui disposent de titres de séjour. Or ces titres de séjour ne sont pas définitifs : par nature, ils sont provisoires, ils ont en quelque sorte une date de péremption. Il suffit donc de ne pas les renouveler. Une fois que vous avez fait ça, vous avez déjà accompli beaucoup de travail. Donc commençons par cela.

    Ensuite, vous avez les binationaux. Là, la question qui se pose est de savoir s’ils ont une simple appartenance administrative à la France, auquel cas ce n’est peut-être pas tout à fait suffisant, ou s’ils ont aussi une appartenance affective, une appartenance culturelle. Mais cela, ce sera dans un deuxième temps.

    Ce n’est pas parce que ce deuxième temps va être plus délicat qu’il faut s’interdire le premier temps.

    Minute : Est-il possible de renvoyer des gens de façon massive ? Y a-t-il des exemples dans l’histoire ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il n’y a pas de besoin de remonter très loin. Tout le XXe siècle est marqué par des déplacements massifs de populations.

    A la fin de la Première Guerre mondiale, un million et demi de Grecs ont été évacués d’Asie mineure ! On ne peut même pas parler de remigration puisqu’ils étaient là depuis des millénaires, mais le transfert a eu lieu.

    A la fin de la Deuxième Guerre mondiale, où des millions de gens ont été déplacés et ont quitté des endroits où leurs ancêtres étaient depuis non pas seulement des dizaines d’années mais des centaines d’années. Ces expulsions, précisons-le, avaient été décidées par les puissances sorties victorieuses de la guerre.

    Plus récemment encore, il y a bien sûr eu l’exode des pieds-noirs.

  • 140 000 ans avant « Homo sapiens », Néandertal s’aventurait au fond des grottes

    http://www.lemonde.fr/archeologie/article/2016/05/25/140-000-ans-avant-homo-sapiens-neandertal-s-etait-approprie-le-monde-souterrain_4926458_1650751.html

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  • Autriche : patience, ce sera pour la prochaine fois, par Guy Rouvrais

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    Il y a eu un long soupir de soulagement dans les sacristies de la secte bruxelloise : le candidat de « l’extrême droite » n’est pas devenu président de la République autrichienne. Libéraux et socialistes, quoique leurs champions aient été balayés dès le premier tour, se sont joints au chœur des vitriers qui se félicitent de ce que là-bas, comme ici, un « plafond de verre » empêcherait la droite nationale de l’emporter.

    Ce peuple autrichien que ces belles âmes européistes étaient prêtes à vouer aux gémonies hier devient admirable aujourd’hui car il a résisté au « repli » et à « l’intolérance », grâce, comme dit Le Monde, à un « sursaut citoyen », l’autre moitié des électeurs n’étant pas des citoyens mais des factieux.

    Il s’en est donc fallu de 31 000 voix pour que les Autrichiens soient rejetés dans les ténèbres extérieures de la bien-pensance européenne. Cela tient à peu de chose d’être un grand peuple ou un ramassis de minables populistes : quelques suffrages en plus ou en moins !

    Après le « ouf ! » sonore des capitales européennes, nous eûmes droit aux propos convenus sur « l’avertissement » venu de Vienne, comme en France quand le Front national bat un nouveau record électoral. Et puis on continue comme avant. Mais cela s’arrêtera, le jour est proche où ce ne sera pas le « vent du boulet » qui frappera nos européistes, mais le boulet lui-même.

    Ce sera pour la prochaine fois, demain ou après-demain : la défaite de l’Europe de la technocratie bruxelloise est en marche, elle ne s’arrêtera plus. En Autriche, bien sûr, mais ailleurs aussi en Europe, à l’Est déjà, en Pologne, en Hongrie, en Slovaquie, à l’Ouest bientôt, en France, au Danemark, en Hollande, en Finlande, en Suède et même en Allemagne, où le parti souverainiste Afd a déjà recueilli 11 % des voix alors qu’il n’existait pas il y a trois ans, il sera présent au Bundestag lors des prochaines élections législatives.

    Ils peuvent encore gagner à l’arraché pendant quelque temps, comme à Vienne, mais les peuples ont déjà tranché, c’est pourquoi les hiérarques de Bruxelles font tout pour éviter qu’ils ne prennent la parole et n’exècrent rien tant que le référendum, où ils sont régulièrement désavoués. Ils ont déjà perdu, parce qu’ils ne comprennent pas ce qui se passe sur le Vieux Continent.

    Que disent-ils aux électeurs pour les dissuader de quitter le Titanic européen ? Qu’ils vont être ruinés, que les cours de la Bourse vont choir, que leurs économies fonderont tandis que le chômage va galoper et les prix bondir, sans compter que les Chinois ne feront de nous qu’une bouchée, etc. Ils parlent économie et gros sous, PIB et cash-flow. Ils disent aux peuples : « Vous allez perdre de l’argent », les peuples répondent « Nous ne voulons pas perdre notre âme » : notre identité, notre foi, notre culture, nos traditions, nos aigles et nos croix, l’empreinte des siècles sur nos paysages et nos visages, la poussière de nos routes où nos ancêtres ont marché et par lesquels nous sommes. Nous ne voulons pas disparaître dans le maelström de la mondialisation à la sauce bruxelloise, ni abandonner nos territoires à ceux venus d’ailleurs pour devenir étrangers chez nous. A la fin, c’est toujours l’âme des peuples qui gagne car c’est elle qui résiste. 

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent n° 8614 daté du 25 mai 2016

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    http://www.lefigaro.fr/societes/2016/05/25/20005-20160525ARTFIG00246-nucleaire-de-possibles-coupures-d-electricite.php

     "Ca va mieux"