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EN DIRECT. EgyptAir : la Marine égyptienne trouve de nouveaux restes humains et débris
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Verdun : et maintenant le couac Pétain !
20/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Après le scandale Black M, va-t-il y avoir un scandale Pétain ? Dans L’Opinion, Jean-Dominique Merchet, spécialiste des questions militaires, révèle que François Hollande envisage de faire carrément l’impasse sur le rôle du général Pétain dans la bataille de Verdun lors de la commémoration du 29 mai !
« Commémorer Verdun, c’est aborder la question de celui qui y commanda les troupes françaises, le futur maréchal Pétain. Exercice délicat pour un chef de l’État, auquel le général De Gaulle ne s’était pas soustrait lors de la commémoration du cinquantenaire en 1966 : “Si, par malheur, en d’autres temps, dans l’extrême hiver de sa vie et au milieu d’événements excessifs, l’usure de l’âge mena le maréchal Pétain à des défaillances condamnables, la gloire que, vingt-cinq ans plus tôt, il avait acquise à Verdun, puis gardée en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée, ni méconnue par la patrie.“
« Si l’historien Antoine Prost estime qu’il n’y a “pas une virgule à changer“, les milieux officiels estiment que parler de Pétain “est un message qui n’est pas d’une très grande actualité “. »
Jean-Dominique Merchet confirme par ailleurs que la venue de Black M avait été validée par le gouvernement et n’est donc pas du fait du maire de Verdun :
« Les textes provocateurs de l’artiste n’étaient pas forcément les plus adaptés à l’événement mais ils étaient dans le domaine public quand les autorités politiques, y compris au secrétariat d’État aux Anciens combattants, ont approuvé l’idée de ce concert. »
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Nos ancêtres les Gaulois, par P.-E. Blairon (article complet)
Statue équestre de Vercingétorix par Bartholdi à Clermont-Ferrand
Nos racines sont celtes. Pourquoi renier nos parents biologiques ?
Un événement sans précédent s’est produit en mai 2016 depuis la naissance d’internet et des réseaux sociaux qui en sont devenus la principale manifestation. Pour la première fois, une mobilisation citoyenne - le meilleur de notre nation - a fait reculer le pouvoir. Il s’agit bien sûr de l’affaire de ce rappeur noir antifrançais que nos gouvernants souhaitaient voir « chanter » pour la commémoration du centenaire de la grande tuerie de Verdun où des centaines de milliers de nos soldats ont trouvé la mort.
Dévoilée par le site Fdesouche, l’information déchaîna la colère des internautes, notamment sur Facebook, et la révolte, appuyée par Marion Le Pen, fut menée principalement par deux autres bretons, agissant indépendamment l’un de l’autre, Boris Le Lay et Yann Vallerie, jusqu’à la victoire. Attendons cependant l’issue finale de cette tragi-comédie - une bouffonnerie – où les principaux représentants de l’Etat - le Président de la République lui-même - n’hésitent pas à profaner ce que le peuple français doit avoir de plus cher : sa mémoire et le respect qu’il doit à ses ancêtres morts pour sauvegarder l’intégrité de son sol.
Cette réaction d’ampleur inattendue – des dizaines de milliers de messages téléphoniques et électroniques reçus en mairie de Verdun et à la sous-préfecture locale - ont secoué l’arrogance satisfaite de ceux qui pensaient qu’ils pourraient se moquer de tout et surtout d’un peuple qu’ils croyaient avoir endormi à tout jamais par medias serviles interposés.
Dans quels tréfonds de leur mémoire sont allés chercher tous ces Français levés d’un seul bloc indigné ? Quel archétype chargé d’une belle santé venue du fond des âges s’est brusquement et impérieusement imposé à ces patriotes de tous bords pour qu’ils trouvent l’énergie de faire lâcher prise à ces fossoyeurs de la France ?
Ils étaient tout simplement portés par la conscience réveillée des racines les plus anciennes du peuple français, justement celles qui ont fait bouger nos Bretons : nos racines gauloises, autrement dites celtes.
Est-ce le signe d’une renaissance prochaine ? car cette triste affaire n’est que l’une des nombreuses opérations de harcèlement que mènent nos politiciens de gauche et de droite pour éradiquer de notre mémoire tout ce qui a fait la gloire de notre pays. Est-ce que nous avons là touché le fond, ce qui nous permettrait de remonter ?
Depuis des années, nous écoutons ces politiciens (de gauche et de droite), médias, publicitaires, « artistes » et autres chantres de l’uniformisation répéter l’antienne du « métissage » pour semer la confusion sur les origines de la France afin de mieux la dépouiller de son identité. Et c’est ainsi qu’on a pu entendre des déclarations de nos gouvernants qui auraient fait pleurer de rire (ou pleurer tout court) n’importe quel écolier des années 50 ou 60.
Non, les racines de la France ne sont pas musulmanes comme l’affirmaient Jacques Attali ou Jacques Chirac, elles ne sont pas plus juives, selon les dires de Nicolas Sarkozy, et le ramadan n’est pas « une fête qui fait partie du patrimoine culturel français » comme le prétend le maire de Paris, Anne Hidalgo.
Elles ne sont pas non plus « helléno-chrétiennes » ou « judéo-chrétiennes ».
Les racines sont ce qui nous ramène au plus loin de notre passé et au plus profond de notre vérité et elles ne sont pas fluctuantes. Elles sont le socle immuable de notre croissance.
Il est sot et inconséquent de penser que nous pourrons construire notre avenir sans avoir recours au passé, aux fondements de notre culture ; un arbre déraciné ne pousse plus, ne produit aucun fruit ni fleur et meurt rapidement. Revenir aux sources, ce n’est pas revenir en arrière, c’est boire à l’eau de notre enfance, qui est la plus pure et la plus prometteuse d’avenir. Pêgê : c’est un terme grec qui signifie la source, le point fixe d’où proviennent toutes choses.
Les racines de la France sont gauloises, c’est-à-dire émanant du peuple celte qui s’est établi à partir du VIe siècle avant J.-C. sur la totalité du territoire français actuel et une partie de l’Italie du Nord – Milan est une ville gauloise - et qui s’est battu pour son indépendance contre l’envahisseur romain sous la bannière de son héros, Vercingétorix.
Ce substrat ethnique originel a, certes, varié tout au long des siècles qui ont suivi son implantation avec les nombreuses migrations de nos cousins indo-européens qui ont traversé notre territoire et y ont laissé leur trace. Des greffes nombreuses, spirituelles avec le christianisme et la monarchie, techniques et politiques avec les Romains, philosophiques avec les Grecs, ont réussi et ont permis à la France de devenir le phare de l’Europe… jusqu’à la Révolution qui a détruit une grande partie de notre patrimoine humain (les Vendéens), architectural, artistique, spirituel et culturel. Nous n’oublions pas d’associer à cette catastrophe nationale la République dont on n’ose penser que les « valeurs » dont elle se réclame se résument au symbole qui l’a vu naître : la guillotine.
Les universitaires de tous bords (et même du nôtre) évaluent avec condescendance la civilisation celte sous prétexte qu’elle n’a pas utilisé l’écriture (volontairement, pour ne pas figer la mémoire de leurs étudiants, les druides proscrivaient l’écriture) et qu’elle n’a pas laissé de grandes œuvres architecturales ou civilisationnelles.
« En fait – et cela pendant plusieurs siècles – l’Université et en général les Lettres, ont délibérément ignoré le monde celtique. En-dehors des pays anglo-saxons, on ne s’est intéressé aux Gaulois qu’à l’instant où on pouvait les appeler Gallo-Romains ; il était communément admis que la seule histoire digne de ce nom était celle de Rome et du monde antique, et le cliché des armées de Jules César apportant aux Gaulois le flambeau de la Civilisation persiste encore dans nos manuels scolaires[1]. »
Remarquons au passage que ceux des Gaulois qui se seront le plus vite soumis aux Romains deviendront les « Gallo-Romains », remerciés pour avoir composé avec l’occupant et adopté toutes ses valeurs. En 1945, on les appelait des « collabos ».
Régine Pernoud parlait au passé et ce texte de notre grande historienne date déjà de 1962.
De nos jours, on n’apprend plus aux enfants français ce que sont « nos ancêtres les Gaulois » ; et ceux « de l’Université » qui se targuent actuellement d’être spécialistes en histoire, philosophie ou science politique ne s’abaisseraient pour rien au monde à parler des Gaulois afin de s’insérer dans le monde féroce des intellectuels (de gauche, inévitablement) dans l’espoir d’en être reconnus. Tout se passe, dit Jean-Louis Brunaux « comme si l’on avait honte de l’héritage encombrant que nous ont légué nos grands historiens nationalistes, Jules Michelet, Henri Martin, Camille Jullian…, qui, en des périodes troublées et marquées par l’anti-germanisme, ont fait des Gaulois non seulement les premiers Français mais aussi les premiers fondateurs d’une nation attachée à son territoire[1]. »
La civilisation celte, tout en raffinements, circonvolutions et pointillisme dans les moindres manifestations de sa culture qui s’en référait constamment à la nature et au monde cosmique s’opposait à la force brute du monde romain, l’Ordre mondial de l’époque, et à la raison grecque dont Descartes fera un rationalisme et Comte un positivisme qui produiront des Français quelquefois dogmatiques, psycho-rigides et arrogants. C’est en tout cas l’image qu’ils donnent bien souvent d’eux à l’étranger. Bien sûr, cette présentation à l’emporte-pièce est forcément manichéenne ; mais des milliers de livres ont été écrits sur le sujet auxquels on se reportera. Ces livres étant, malencontreusement, écrits quasi-exclusivement sur le monde gréco-latin, un petit effet de balancier ne fait pas de mal…
Même si les Romains et les Grecs, nos frères et voisins indo-européens, ont créé et véhiculé de grandes cultures auxquelles nous avons largement emprunté, nous ne sommes pas pour autant les fils d’Homère ou ceux de la Louve.
Et il y a comme quelque chose de pathétique et d’indigne à vouloir se réclamer de civilisations qui ne sont pas les nôtres simplement parce qu’elles ont eu la réputation d’être supérieures à la civilisation celte (ou gauloise, si vous préférez, mais c’est exactement la même chose), alors qu’elles sont différentes, la civilisation celte s’adressant plus à l’intuition intellectuelle et à la métaphysique et se rapprochant ainsi d’un Pythagore ou du bouddhisme.
Vous viendrait-il à l’esprit de renier vos parents (vos parents biologiques, comme on dit maintenant) sous prétexte que la vie de votre voisin vous semble plus adéquate à celle que vous aimeriez mener parce qu’il a une plus belle voiture que celle de votre papa ?
Les Français ne pourront jamais résister aux diktats mondialistes qui consistent à détruire les soubassements essentiels de leurs traditions si eux-mêmes ne revendiquent pas leurs propres racines d’une manière claire et affirmée. Encore faut-il qu’ils les connaissent. Ici même se situe le grand combat des années à venir.
La Renaissance (qui, comme son nom ne l’indique pas, fut le début du déclin tout comme les Lumières l’avènement de la nuit) se piquait de retourner aux connaissances de l’Antiquité ; sur le même mode folklorique, la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe vit la naissance d’une « celtomanie » entretenue par le mouvement romantique dont Salomon Reinach, cité par Régine Pernoud, a pu dire qu’ « elle a servi de contrepoids à la tendance universitaire de s’occuper exclusivement des Juifs, des Grecs et des Romains ».
N’allons pas chercher ailleurs notre héritage, nous n’avons pas à rougir de la spiritualité de nos druides anciens, de la vaillance de nos guerriers, de l’ingéniosité et de la persévérance de nos paysans, de la créativité de nos artisans et de nos artistes qui ont donné à la France son élégance et sa place dans le monde.
[1] Jean-Louis Brunaux, Les Gaulois, Les Belles Lettres
[1] Régine Pernoud, Les Gaulois, Editions du Seuil
Pierre-Emile BLAIRON
couv. de La Roue et le Sablier,
Statuaire :
- dessin du Janus bifrons de Roquepertuse (Velaux, Bouches-du-Rhône), sanctuaire celte salyen du 5e siècle avant notre ère,
- guerrier-héros dit bouddha de Roquepertuse (idem)
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Florian Philippot sur BFM-TV: "C'est une tentative de meurtre, d'homicide volontaire"
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Nos ancêtres ? Rien n’a changé, ce sont toujours les Gaulois !
N’allons pas chercher ailleurs notre héritage.
Les fossoyeurs de la France qui sont au pouvoir n’ont de cesse de falsifier la mémoire de notre peuple, voire de la souiller ; à preuve l’épisode tragi-comique de la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun où nos « élites » n’avaient rien trouvé de plus symbolique que d’inviter à cette occasion un « rappeur » noir antifrançais.
Cette triste affaire n’est que l’une des nombreuses opérations de harcèlement que mènent nos politiciens de gauche et de droite pour éradiquer de notre mémoire tout ce qui a fait la gloire de notre pays. Ils semblent aussi s’être ligués pour semer la confusion sur les origines de la France afin de mieux la dépouiller de son identité, et c’est ainsi qu’on a pu entendre des déclarations de nos gouvernants qui auraient fait pleurer de rire (ou pleurer tout court) n’importe quel écolier des années 50 ou 60.
Non, les racines de la France ne sont pas musulmanes, comme l’affirmaient Jacques Attali ou Jacques Chirac, elles ne sont pas plus juives, selon les dires de Nicolas Sarkozy, et le ramadan n’est pas « une fête qui fait partie du patrimoine culturel français », comme le prétend le maire de Paris, Anne Hidalgo.
Elles ne sont pas non plus « helléno-chrétiennes » ou « judéo-chrétiennes ».
Les racines sont ce qui nous ramène au plus loin de notre passé et au plus profond de notre vérité et elles ne sont pas fluctuantes. Elles sont le socle immuable de notre croissance.
Les racines de la France sont gauloises, c’est-à-dire émanant du peuple celte qui s’est établi à partir du VIe siècle avant J.-C. sur la totalité du territoire français actuel et une partie de l’Italie du Nord, et qui s’est battu pour son indépendance contre l’envahisseur romain sous la bannière de son héros, Vercingétorix.
Ce substrat ethnique originel a, certes, varié tout au long des siècles qui ont suivi son implantation avec les nombreuses migrations de nos cousins indo-européens qui ont traversé notre territoire et y ont laissé leur trace. Des greffes nombreuses, spirituelles avec le christianisme et la monarchie, techniques et politiques avec les Romains, philosophiques avec les Grecs, ont réussi et ont permis à la France de devenir le phare de l’Europe… jusqu’à la Révolution, qui a détruit une grande partie de notre patrimoine humain, architectural, artistique, spirituel et culturel.
Les universitaires de tous bords (et même du nôtre) évaluent avec condescendance la civilisation celte sous prétexte qu’elle n’a pas utilisé l’écriture (volontairement, pour ne pas figer la mémoire !) et qu’elle n’a pas laissé de grandes œuvres architecturales ou civilisationnelles.
Nous ne sommes pas pour autant les fils d’Homère ou de la Louve.
N’allons pas chercher ailleurs notre héritage, nous n’avons pas à rougir de la spiritualité de nos druides anciens, de la vaillance de nos guerriers, de la créativité de nos artisans et de nos artistes qui ont donné à la France son raffinement et sa place dans le monde.
Boulevard Voltaire
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Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur la prorogation de l'état d'urgence
Intervention de Marion Maréchal-Le Pen, Député du Vaucluse, à l’Assemblée Nationale pour expliquer les raisons de l’abstention sur la prorogation de l’état d’urgence.
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VIDEO - Qui a réellement élaboré la loi El Khomri ?
Les experts européens de la "section France"
Qui a réellement élaboré le projet de loi sur la réforme du Travail ? Initiée sous Sarkozy, portée par Myriam El Khomri, les origines technocratiques et supranationales de cette loi tant décriée ne peuvent plus être ignorées.
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Voiture incendiée : la préfecture de police connaissait les agresseurs
Des "fils de bonne famille" de l’Action antifasciste Paris-banlieue
- Publié le : jeudi 19 mai 2016
- Mots-clés : Antifa; Forces de l’ordre; France; Justice & Droit
- Commentaires : 12
- Nombre de vues : 6 745
- Source : itele.fr
- E&R
Parmi les cinq personnes gardées à vue, deux frères de 21 et 32 ans appartiennent au groupe Action antifasciste Paris-banlieue. Le plus jeune, Antonin, avait fait un recours devant le Tribunal administratif contre l’interdiction de manifester mardi dernier émise par le préfet. Le TA avait annulé cette interdiction.
Ils ont entre 19 ans et 32 ans. Ils sont connus des services de police et sont décrits comme appartenant à la mouvance contestataire radicale, dixit le jargon des services de renseignement. Selon nos informations, les cinq gardés à vues, soupçonnés d’avoir attaqué et incendié mercredi 18 mai à Paris une voiture de police dans laquelle circulaient deux agents, sont des activistes issus de deux mouvances différentes : les Anarchos-Autonomes et le groupe Action antifasciste Paris-banlieue (AFA), une structure autonome d’ultra gauche.
C’est grâce à une note des Renseignements de la Direction de la préfecture de Police (DRPP) et un travail de vidéo surveillance que ces activistes présumés ont pu être interpellés par le deuxième district de la PJ parisienne. Des perquisitions ont eu lieu et ont permis de découvrir des équipements anti-manifestation, comme des casques.
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L’INCROYABLE vidéo qui buzze depuis hier !
« Tout le monde vous déteste, enc**** de militaires ! »
C’est en hurlant de tels slogans qu’une meute enragée a voulu pénétrer dans le musée de l’Armée.
Cette vidéo tourne sur les réseaux sociaux depuis hier.Il faut la faire tourner partout, qu’elle soit vue par tous les Français patriotes.
Partagez cette page le plus possible.BV
NdB: D'où sortent ces gens qui ont tant de haine ? Qui les paie pour leur sale boulot ? On remarque qu'ils ne s'en prennent jamais à l'Elysée ni aux ministères.
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Se faire un flic, par Caroline Parmentier
Le jour même où les policiers manifestaient en France contre la haine anti-flics, deux d’entre eux ont échappé de justesse à une tentative de meurtre.
Mercredi vers midi, 150 individus encagoulés et masqués font irruption aux cris de « Flics, porcs, assassins » et « Tout le monde déteste la police » place de la République où se tient le rassemblement des policiers. Ils sont repoussés à coup de fumigènes.
Un peu plus loin, quai de Valmy, une quinzaine d’entre eux s’en prend alors très violemment à un véhicule de police dont ils défoncent les vitres. Les deux occupants : une gardienne de la paix et un adjoint de sécurité de la compagnie du périphérique qui reviennent de mission, sont frappés à coups de poing, de barres de fer et de tuyaux et parviennent à sortir in extremis tandis que les assaillants jettent un engin incendiaire à l’intérieur du véhicule qui s’embrase entièrement. Cet acte de terrorisme se passe toujours « en plein état d’urgence ».
Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte. Quatre agresseurs âgés de 19 à 21 ans ont été interpellés. Trois d’entre eux avaient fait l’objet de la part de la préfecture de police de Paris d’une interdiction de paraître dans les manifestations en raison de leur violence. Mais ces arrêtés ont été cassés par le tribunal administratif. La justice administrative a en effet suspendu mardi neuf arrêtés sur dix émis par le préfet de police. Ces magistrats n’ont sans doute pas supporté que l’on empêche les bons militants antifascistes d’aller cogner ces porcs de flics.
De Jean-Jacques Bourdin sur RMC à 20 Minutes, les journalistes ont chaudement salué le « sang froid » et la maîtrise de ce policier qui, alors qu’on l’attaque, qu’on le frappe et que l’on manque de le griller vif, n’a pas fait usage de son arme de service et se contente de parer les coups courageusement. Ils auraient été les premiers en effet à crier à la bavure, si l’un des petits barbares avait pris une balle dans l’orteil.
Alors que la voiture de police était en train de brûler, une pancarte en carton « Poulets rôtis, prix libre » a été déposée sur le sol à quelques mètres du véhicule par les casseurs. Pourquoi se priveraient-il ? Puisque jour après jour on continue comme ça : dans l’impunité la plus complète, la violation quotidienne de l’état d’urgence, les rues de nos villes saccagées par les milices d’extrême-gauche, et les arrêtés contre les tueurs de policiers cassés par la justice.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent n° 8611 daté du 20 mai 2016
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Les Français sous les bombes Alliées, 1940-1945
Publié parTallandier
Aulnoye, Avignon, Bordeaux, Boulogne-sur-Mer, Brest, Cagny, Calais, Cannes-La Bocca, Chartres, Cherbourg, Clermont-Ferrand, Creil, Le Creusot, Dunkerque, Gennevilliers, Juvisy-sur-Orge, Laon, Lens, Lille, Lisieux, Le Mans, Mantes, Marseille, Modane, Montluçon, Nevers, Nice, Noisy-le-Sec, Orléans/Les Aubrais, Reims, Saint-Lô, Sète, Somain, Tergnier, Toulouse, Tours, Trappes, Villeneuve-Saint-Georges…
Au moins 57 000 Français sont morts sous les bombes entre 1940 et 1945. Peu de régions françaises échapperont à cette pluie de feu et d’acier, qui fera près de 74 000 blessés et détruira quelque 300 000 habitations.
S’appuyant sur les archives françaises et britanniques, ainsi que sur des témoignages inédits, l’historien Andrew Knapp, spécialiste des stratégies aériennes durant la Seconde Guerre mondiale, lève ici un tabou : les Américains et les Anglais ont-ils tout fait pour éviter le sacrifice de tant de vies ? Fallait-il bombarder la France ? Toutes les frappes étaient-elles pertinentes ? Parfois imprudents, souvent solidaires, partagés entre le deuil, la colère et l’espoir, les Français touchés par les bombardements méritent le plus grand respect pour ce qu’ils ont enduré.(Merci à Nelly) -
De nouvelles images exclusives de la tentative de meurtre des deux policiers dans leur voiture par des ordures d’extrême gauche
NDF
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Brexit : « La City hurle avant d’avoir mal », analyse Éric Zemmour
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Manifestation « On est chez nous ! » : l’interview d’Arnaud Delrieux de Génération Identitaire
19/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Génération identitaire appelle à se joindre à une manifestation le 28 mai à Paris autour du mot d’ordre : « On est chez nous ! » Arnaud Delrieux, président de Génération identitaire, nous en explique l’importance.
Novopress : Quel est le sens de cette manifestation ?
Arnaud Delrieux : L’année qui vient de s’écouler a été particulièrement traumatisante pour les Français, et d’une manière générale pour les Européens. L’entrée de plus de 1,5 million de migrants, conjuguée aux multiples attentats perpétrés par l’État Islamique en France et en Belgique, démontrent une violente accélération des événements : l’immigration et l’islamisation sont en passe de modifier profondément ce qui fait l’identité française.
Cette manifestation est un appel à tous les Français qui craignent à juste titre de voir leur culture et leur identité peu à peu effacée sous les coups de boutoirs de l’immigration et de la pression islamiste. Depuis trop longtemps, la France a généreusement donné, accueilli, tendu la main, pour ne recevoir en retour que haine, mépris, attaques terroristes et viols massif à Cologne. Tout a été fait, et rien n’a fonctionné.
Il est désormais temps d’affirmer notre volonté à rester maîtres chez nous, ainsi que notre attachement à notre mode de vie, à notre identité. C’est le sens que nous donnons à cette manifestation : on est chez nous, et nous sommes bien décidés à le rester !
Pourquoi une manifestation ?
Depuis trop longtemps la rue a été laissée à la gauche, qui a toujours réussi à faire triompher ses idées même quand la droite était au pouvoir (200 000 entrées par an sous Nicolas Sarkozy). Le peuple de droite doit se décomplexer et descendre lui aussi dans la rue. Le mouvement de La Manif Pour Tous a prouvé que des mobilisations étaient possibles pour défendre des principes essentiels et des valeurs classées à droite.
Même si les questions d’immigration et d’islamisation sont des produits hautement inflammables, et que peu de politiques n’osent y toucher – bien que convaincus du chaos qui nous guette –, nous estimons que c’est notre rôle, de défricheurs, d’avant-garde politique, que d’habituer les Français à descendre dans la rue pour défendre leur identité.
La gauche doit savoir que ces sujets ne sont plus tabous, et qu’elle devra en répondre devant les Français en colère !
Vous parlez beaucoup d’identité. Cette manifestation n’est-elle pas aussi un appel pour réclamer plus de souveraineté ?
Absolument. Néanmoins il nous apparaît clair que sans identité, la souveraineté n’est qu’un outil, un contenant vidé de son contenu. Quel intérêt de défendre la souveraineté et l’indépendance de la France, si sa population a été africanisée et islamisée ?
De Gaulle, qui inspire un nombre croissant de souverainistes, avait toujours affirmé que « sans français, la France ne serait plus la France ». C’est pour cela que l’identité est notre priorité absolue aujourd’hui.
Vous attendez beaucoup de jeunes à cette manifestation ?
Notre manifestation est ouverte à tous les amoureux de la France et de notre civilisation. Nous nous attendons effectivement à une surreprésentation de la jeunesse dans nos rangs. Car oui, la jeunesse française de 2016 est majoritairement patriote, oui elle aime son pays, oui elle est attachée à son histoire et à son héritage, et non elle ne se réjouit pas de voir chanter Black M qui « baise la France » pour fêter le centenaire de Verdun, où nos arrière-grands-parents se sont sacrifiés pour défendre notre liberté.
Ce virage de la jeunesse, qui vote désormais massivement pour les formations patriotes, est un signe encourageant pour l’avenir. Génération Identitaire est d’ailleurs le premier mouvement de jeunesse sur Facebook, devant… le Front national de la jeunesse !
Un dernier mot pour conclure ?
À tous les Français qui partagent nos inquiétudes pour l’avenir de notre pays et celui de nos enfants : sortez de votre torpeur, n’oubliez pas qu’ici c’est notre terre et que vous n’avez pas à vous sentir coupable de quoi que ce soit.
On vous a appris à ne pas vous rebeller et à tout accepter sans broncher. La facture vous a été présentée, celle des 130 victimes des attentats de Paris, tuées par des enfants de l’immigration dopés à la haine de la France, à la haine de ce que nous sommes en tant que peuple.
Il est temps de vous faire entendre, avant qu’il ne soit trop tard : on est chez nous ! Rendez-vous le 28 mai à Paris !
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Egyptair: la Grèce dément la découverte de débris
Le comité grec de sécurité aérienne dément la découverte de débris de l'avion d'Egyptair qui a disparu des radars dans la nuit de mercredi à jeudi.
"Le ministère de l'Aviation civile a reçu une lettre du ministère des Affaires étrangères égyptien confirmant la découverte de débris du vol MS804", avait pourtant indiqué EgyptAir dans la soirée, précisant que "des gilets de sauvetage et des morceaux de plastique" flottaient en mer.
» EN DIRECT - Vol EgyptAir : des débris retrouvés selon la compagnie -
Le Grand Maître du Grand Orient de France en conférence dans une école catholique
Le Salon Beige nous informe que la directrice d’un collège catholique en Gironde a décidé d’inviter parents d’élèves et professeurs à une conférence donnée par Jean-Michel Quillardet, ancien Grand Maître de la loge franc-maçonne du Grand Orient de France (GODF). Cette conférence a lieu à Sainte-Foy-la-Grande.
Pourtant, l’Eglise a rappelé maintes fois qu’il n’est pas possible d’être catholique et franc-maçon.
Certains professeurs et parents d’élèves, s’étant légitimement offusqués d’une telle invitation, ont reçu cette réponse hallucinante de la part de la directrice :
« Réponse donnée l’année dernière, suite à une annonce de conférence de la Loge :
Hélas l’Eglise n’est pas détruite à cause de la Franc-Maçonnerie. Ne leur donnez pas autant de pouvoir ! Mais plutôt à cause de ses guerres et scandales internes…
Certains d’entre vous m’ont fait part avec honnêteté d’ailleurs, de leur « étonnement » pour ma transmission concernant la conférence de la loge Maçonnique du Grand Orient de France (…) Votre étonnement est de bon aloi puisque la réflexion commence avec l ‘étonnement ! Ce docteur ès sciences intervient sur l’Humanisme dont les valeurs sont enseignées à nos élèves et partagées par toutes les religions et les personnes de bonne volonté… Mr Portnoff est franc-maçon comme l’étaient Mozart, Flemming , Montesquieu… L’Ethique d’Ouverture qui est la mienne exclut d’exclure qui que ce soit ; en outre, vous me connaissez, je suis réfractaire à tout diktat. Faisons comme si ce monsieur Portnoff était un publicain ! «
Cette réponse est tout à fait éclairante sur la trahison de certains responsables d’écoles catholiques.
Il est possible de joindre l’enseignement catholique de Gironde au 05.56.43.66.80 ou à l’adresse courriel suivante : ddec33@orange.fr.
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EN DIRECT. Vol EgyptAir : des débris de l'appareil ont été retrouvés
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Journal du Jeudi 19 mai 2016 Terrorisme / Les djihadistes infiltrent les aéroports Ennemi infiltré. L’information a été passée sous silence dans les media français
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