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GAELLE MANN - Page 368

  • Pour lutter contre l’État islamique, l’Union européenne propose d’engager des djihadistes “repentis”

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    18/04/2016 – EUROPE (NOVOpress)
    Comment lutter contre l’État islamique ? le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme, y est allé de sa petite idée. Dans un entretien accordé au journal The Guardian, Gilles de Kerchove propose tout simplement d’engager des djihadistes “repentis” (sic).

    Selon lui :

    Certains rapatriés n’ont pas de sang sur les mains. Ils peuvent expliquer ce qu’ils ont vécu, qu’ils pensaient rejoindre un califat envers lequel ils avaient une opinion positive, mais qu’ils ont rencontré des personnes qui ont abusé sexuellement ou violenté d’autres personnes.

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    NdB: Une idée bisounours,  particulièrement grotesque et  dangereuse!

  • Les dix péchés capitaux du Patriote, par Antonin Campana

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    Publié par Antonin Campana sur 18 Avril 2016, 15:57pm

    Catégories : #Perspectives Autochtones

     

    Péché n°1 : il veut ignorer la nature réelle du régime politique en place

    Le patriote n’a pas compris que les politiques mondialistes d’immigration et de grand remplacement étaient dans la nature du système républicain. Il pense naïvement que ces politiques sont en quelque sorte accidentelles et découlent des mauvais choix de politiciens plus ou moins incapables ou corrompus.  

    Péché n°2 : il pense que des élections peuvent tout changer

    Cette erreur découle logiquement de la précédente. Puisque la République n’est pas par nature mondialiste, il suffit d’en changer le personnel dirigeant pour lui donner une nouvelle orientation.

    Péché n°3 : il croit que la République est la France

    A la fin du XIXe siècle, les patriotes furent les derniers à accepter l’identification machiavélique d’un régime politique à la nation de Jeanne d’Arc ; au XXIe siècle, seront-ils les derniers à comprendre que la République entretient avec la France la relation d’un vampire avec sa victime ?

    Péché n°4 : Il ne croit pas ce qu’on lui dit

    Le patriote « refoule » ce qui le dérange. Il refuse de croire un Philippot quand celui-ci répète que le FN est un parti politique républicain qui ne fait pas de distinction en fonction des couleurs de peau, des origines ou des religions… Sinon pour qui voter ?

    Péché n° 5 : Il reste dans le cadre

    Le patriote a compris que les Autochtones seront bientôt minoritaires au sein du corps électoral. Il a compris que, « démocratiquement », des étrangers décideront bientôt de son destin. Mais il semble en état de sidération, dans l’incapacité psychologique de chercher des solutions qui sortent du cadre politique responsable de cette situation.

    Péché n°6 : Il espère un événement providentiel

    Ne sachant que faire, le patriote espère une crise économique, une guerre civile, un bouleversement majeur qui rebattent les cartes  et changent la situation à l’avantage de son peuple. « Ça va péter » est son acte de foi.

    Péché n°7 : il espère un homme (ou une femme) providentiel

    Variante de l’évènement providentiel, l’espérance en l’homme providentiel ressort de la pensée magique. Comment un sculpteur pourrait-il faire un chef d’œuvre avec de la poussière ? Il faut d’abord reconstruire le peuple pour qu’un artiste en politique puisse le sublimer. D’abord la dissidence, ensuite la Providence.

    Péché n°8 : Il croit que « c’est foutu »

    Le patriote est trop bien renseigné pour être un optimiste, aussi sombre-t-il souvent dans le pessimisme le plus stérile. Il ignore que tout est possible dans une Europe qui compte encore plusieurs centaines de millions d’Autochtones.

    Péché n°9 : Il veut tout, maintenant

    Le patriote veut la rémigration, le retour des nations, une société identitaire… mais immédiatement, sans passer par des étapes qui aurait un « effet cliquet », sans avoir à s’organiser pour cela, sans bâtir de stratégie de rassemblement… Faire comme le CRAN, le CRIF ou les Kanaks de Nouvelle-Calédonie ? Très peu pour lui, le patriote est au-dessus de ça : il n’est pas « communautariste » !

    Péché n°10 : Il se trompe d’époque

     Comme Barrès autrefois, le patriote d’aujourd’hui aspire à une résurrection de la France éternelle. Mais depuis 30 ans au moins, ce n’est plus de France qu’il est question –existe-t-elle encore ?- mais de notre peuple dans le melting-pot dissolvant : pouvons-nous encore le sauver, et comment ?

     

    Antonin Campana

    Terre Autochtone

     

  • Les 99 ans du Chemin des Dames, un anniversaire sans officiels (rediffusion)

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-99-ans-du-Chemin-des-Dames-un-anniversaire-sans-officiels-38906.html

    + 3 VIDEOS dont La Chanson de Craonne

     

    Le 16 avril 1917 débute la tragique offensive aux 350 000 victimes

    Samedi, une marche silencieuse a rassemblé plus de mille anonymes pour les 99 ans du Chemin des Dames. Un événement pour lequel aucun officiel n’a fait le déplacement.

     

    Il fait encore nuit noire. Une nuit nuageuse et humide. Il y a 99 ans il neigeait mais la même lueur annonçant le jour pointait au même endroit au pied du ciel, vers l’est en direction de Reims. Ils sont plus de mille à attendre sur la route au coin d’un bois. Pas un seul officiel n’a fait le déplacement. Pas un seul ministre. Pas même le secrétaire d’État aux Anciens combattants. Pas même un président de conseil général ou un élu régional. Pourtant c’est ce matin, il y a 99 ans, à 5h30 précises que l’armée française s’élançait à l’assaut improbable du Chemin des Dames.

    Ici, devant Craonne, et sur un front de 30 km. L’assaut, voulu et planifié par l’état-major français, conçu pour percer le front allemand, comme les Allemands l’année précédente avaient imaginé le faire devant Verdun, fut un fiasco. 300 000 morts français au moins – en fait personne ne connaît le chiffre exact des pertes aujourd’hui encore. 10 morts par mètre sur toute la longueur de ce petit front. Un fiasco devenu un tabou. Depuis 99 ans, à part Lionel Jospin en 1997, pas un seul élu national n’a osé faire le déplacement à Craonne. Comme si une malédiction devait les y poursuivre...

     

    Une marche de plusieurs jours pour le centenaire

    Sur la crête du Chemin des Dames trois lueurs et des fusées sonnent le départ de cette marche silencieuse.. Les mille de ce matin avancent à travers champs. Les colzas sont en fleurs. Le jour se lève. Froid et sombre. Noel Genteur, l’ancien maire de Craonne, agriculteur habité par la guerre de 14, propose des haltes. En quelques scènes d’une histoire qu’il connaît par cœur il fait revivre le front.

    Voir les vidéos

     

     

  • Heidegger : le philosophe qui brûlait les livres

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    Rémy Valat, auteur, essayiste ♦

    « La vie, dans sa force primitive, est plus profonde et plus pleine que le processus de connaissance, et toute notre philosophie souffre bien sûr encore de se laisser dicter les problèmes qui continuent de la préoccuper par des connaissances reconnues – de telle sorte qu’ils sont d’emblée biaisés et souffrent de paradoxes…. C’est dans le radicalisme seulement que tout ce qui est grand prend racine ». Martin Heidegger, lettre à son épouse, Elfride Heidegger, 13 septembre 1919.

    Une biographie fait le point sur un sujet controversé : Martin Heidegger, l’homme et son œuvre . Guillaume Payen, docteur en histoire, chercheur associé au centre Roland Mousnier (CNRS-Paris Sorbonne) et chef du pôle histoire du centre de recherche de l’École des officiers de la Gendarmerie nationale, a travaillé pendant douze années sur un sujet difficile et polémique.

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    J’ai pu lire ici ou là sur internet des critiques négatives à l’encontre de ce travail qui « ose » s’attaquer au grand Heidegger en somme. Même si les recherches post-doctorales de Guillaume Payen ont été financées par la Fondation pour la mémoire de la Shoah (nous nageons, il est vrai en lisant ce livre entre les lignes, dans l’océan de la bien-pensance), la biographie Martin Heidegger. Catholicisme, révolution nazisme ne mérite pas le dénigrement : il s’agit au contraire d’une étude très documentée et argumentée. Les connaissances linguistiques de l’auteur en allemand lui ont permis de consulter des archives inédites et des publications produites en cette langue et de rectifier sans les surinterpréter les termes allemands difficilement traduisibles en français avec toute leur portée et leur sens.

    L’auteur est parvenu à dépeindre honnêtement, grâce à l’abondance des sources brutes produites par Heidegger lui même, l’univers mental du philosophe. Quel que puisse être l’avis du lecteur sur Martin Heidegger le travail de Guillaume Payen est une base solide et de qualité pour asseoir sa propre réflexion.

    La pensée d’Heidegger est le fruit d’une évolution personnelle et d’une époque radicales : une philosophie qu’il faut malheureusement- pour en apprécier la saveur- dissocier du penseur. Martin Heidegger était un être porté par l’ambition et l’orgueil, un opportuniste sélectionnant ces relations (même intimes) pour les mettre à son service, pour les rejeter ensuite si nécessaire et sans vergogne : après avoir été le protégé d’Edmund Husserl, Heidegger se séparera de son mentor sitôt assis à sa place (1928), sans oublier Karl Jaspers. N’assumant pas son passé politique, il minimisera son rôle en qualité de recteur de l’université de Fribourg (1933-1934) : de l’application des mesures raciales (sanctionnant Elisabeth Blochmann, un enseignante nationaliste et patriote née de parents juifs) à l’autodafé des livres interdits par le régime nazi, Heidegger, l’homme cultivé, le philosophe prend une part active et même anticipe les décisions ministérielles. Si le philosophe radical et révolutionnaire a produit des monuments de la philosophie, l’homme ivre de démesure n’est jamais devenu le guide spirituel de l’Allemagne.
    Faut-il pour autant brûler Heidegger ? Certes, non. Guillaume Payen tort le cou aux allégations d’Emmanuel Faye qui affirme que le philosophe a introduit le nazisme dans la philosophie, c’est plutôt le contraire. Heidegger, comme Ernst Jünger, sont aussi le fruit de l’expérience de la guerre, de la « primitivité de l’existence » : « Aujourd’hui et ces dernières semaines, à un moment où l’on se voit réduit à sa plus simple et sa plus originelle existence (Existenz) tous les critères de choix mesquins et les ménagements inspirés par la crainte sont balayés – dans la primitivité de l’existence (Dasein), le sens ultime donné aux choses se rapproche (de nous) avec une immédiateté, une force et une univocité en conséquence » (lettre à Elfride, 4 septembre 1918). Ils sont aussi le produit d’un amour de la patrie, du Heimat (le terroir, le chez soi…).
    Heidegger restera pour la postérité un des plus grands philosophes contemporains, dont l’influence n’est pas démentie et la lecture du livre de Guillaume Payen me porte à croire que Martin Heidegger, pour avoir pataugé dans la boue de la médiocrité de la condition humaine, a cependant mis dans son travail philosophique le meilleur de son « être », de son intuition sur l’essence des choses. De l’autre côté du Rhin, Martin Heidegger, comme Karlfried Graf Dürckheim ou maître Eckhart (dont Heidegger était épris de l’œuvre) sont autant d’étoiles lointaines indiquant une voie dans la nuit noire de la mort spirituelle qui guette l’Occident.

    METAMAG

  • Nuit Debout : bienvenue en A-France, par Gabriel Robin

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    La « Nuit Debout » porte en elle les germes du totalitarismeLa maladie infantile du communisme, ou le gauchisme, célèbre essai de Lénine, attaquait frontalement les membres de la Troisième Internationale, Européens de l’Ouest accusés de manquer de souplesse et d’intelligence tactique en fondant tous leurs espoirs sur le « seul sentiment révolutionnaire ». Ce conseil amical aux organisations communistes occidentales, nées de l’espoir suscité par la révolution russe, ne fut pas toujours suivi. Référence du marxisme-léninisme, l’ouvrage est encore étudié de près par les penseurs qui se revendiquent directement de cette école ou s’en réclament les héritiers.

    Ainsi, le philosophe Frédéric Lordon, à l’origine du mouvement « Nuit Debout » (il se défend néanmoins d’en être le porte parole officiel) semble avoir décidé de confronter à l’expérience du terrain les idées politiques qu’il développe dans son dernier ouvrage, Imperium. Malheureusement pour lui, comme souvent, les mouvements idéalistes se dissolvent au contact de la réalité. Très vite, « Nuit Debout » est devenu le vortex de tout ce que la France compte de « gauchistes » pour reprendre l’expression du camarade Ilitch.

    La gauche alternative européenne est en train de redécouvrir les Etats-Nations, la souveraineté. Elle n’a pas renoncé à son idéal internationaliste mais constate, avec beaucoup de retard sur les courants populistes de droite, que seule la nation constitue un rempart contre la contestation de la souveraineté populaire par les féodalités économiques transnationales. Cela ne vaut pourtant toujours que pour les « têtes », le susnommé Lordon, ou l’ancien ministre grec de l’Economie, Yanis Varoufakis. Les masses petites-bourgeoises qui campent place de la République n’ont pas conscience de cette terrible lutte idéologique. Ne vous y trompez cependant pas, les post-marxistes ne sont pas opposés au cosmopolitisme ou au mondialisme, ils défendent une autre vision de l’utopie « sans-frontièriste ». Ils ne veulent de barrières qu’économiques, et pour un temps seulement.

    Il suffit de se pencher sur l’accueil qui fut réservé hier au philosophe Alain Finkielkraut, pourtant venu en simple observateur place de la République, pour révéler la supercherie. Immédiatement agressé physiquement, conspué, insulté, traité de « fasciste », voire de « sale juif » selon certains témoins… Chantre d’un nouvel enracinement aux accents barrésiens, Alain Finkielkraut n’était pas au goût des foules hurlantes de la « Nuit debout ». Lesquelles foules s’abandonnent à des luttes « sociétales », symétriques de celles dont les néo-libéraux se font les promoteurs acharnés : féminisme de revanche, combats anti colonialistes d’arrière garde dans l’esprit des Indigènes (sic) de la République… Certaines réunions de Nuit Debout étaient même interdites aux Blancs…

    Si les créateurs de Nuit Debout entendent lutter contre la mondialisation des échanges économiques, ils n’entendent pas lutter contre la mondialisation des échanges humains. Les « migrants » sont, pour eux, les nouveaux « damnés de la terre ». En poussant un peu, ils pourraient même devenir les rédempteurs d’un monde occidental considéré comme « impur » pour les tenants de l’eschatologie du marxisme culturel.

    C’est bien là que le bât blesse : la « Nuit Debout » porte en elle les germes du totalitarisme. Leur idéal de pureté tient en un monde sans l’histoire, sans le passé, expurgé des « substances » – qualifiées de fictions –, délivré des mythes – forcément générateurs de rapports de domination. Donc, sans Alain Finkielkraut qu’il fallait expulser pour purifier les lieux.

    Le dieu égalitarisme veille à ce qu’aucune tête ne dépasse. D’ailleurs, l’expulsion d’Alain Finkielkraut avait tout d’une Nuit de Cristal. Quel est le tort de l’académicien aux yeux de ces gens ? Défendre un pays charnel. Il le fait pourtant sans excès, et même, à mon goût, avec une forme de timidité que je qualifierais, presque, de coupable. Mais c’est déjà bien trop aux yeux des participants de la Nuit Debout. La souveraineté populaire de Nuit Debout n’existe qu’en opposition à la souveraineté enracinée des patriotes français. Les participants de la « Nuit Debout » peuvent toujours hurler « Vive l’A-France ! » ; cela restera vain car les peuples historiques ont soif de permanence.

    Gabriel Robin

    Gabriel Robin est secrétaire général du Collectif Culture, Libertés et Création du Rassemblement Bleu Marine.

    Texte paru sur Boulevard Voltaire sous le titre :
    « Alain Finfkielkraut expulsé de Nuit Debout. Bienvenue en A-France »

  • Le Grand Jury du 17 avril avec Marion Maréchal-Le Pen (2ème partie)

    http://dai.ly/x453rih

    Avec brio et humour Marion répond à toutes les questions!

  • Finkielkraut : "On a purifié la place de la République de ma présence"

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Finkielkraut-On-a-purifie-la-place-de-la-Republique-de-ma-presence-38915.html

    + VIDE0

    Nuit de Cristal Debout ?

  • Étienne Chouard : "Les prétendus antifas sont une police de la pensée"

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Etienne-Chouard-Les-pretendus-antifas-sont-une-police-de-la-pensee-38922.html

  • Au parlement européen, les Républicains prennent position pour l’entrée de la Turquie et pour l’immigration de masse

      

    Communiqués / 16 avril 2016 / Étiquettes : , /
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    Communiqué de presse du Front National

    Lors de la session parlementaire de cette semaine à Strasbourg, les députés européens des Républicains se sont prononcés pour l’immigration de masse vers l’Europe et pour la poursuite des négociations devant mener à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

    Les députés des Républicains, à quelques exceptions près, ont voté en faveur du rapport Metsola-Kyenge sur « la situation en Méditerranée et nécessité d’une approche globale de la question des migrations de la part de l’Union européenne », rapport immigrationniste à l’extrême.

    Les élus LR ont notamment voté contre l’amendement 1 du groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL) qui souligne l’efficacité de la politique australienne en matière d’immigration illégale.

    Ils ont voté contre l’amendement 2 du groupe ENL qui dénonce les frontières ouvertes de l’Union européenne.

    Ils ont voté pour le paragraphe 23 du texte, en faveur de la participation obligatoire des États membres à la réinstallation de réfugiés. Idem pour le paragraphe 46, qui souligne le « droit » des bénéficiaires d’une protection internationale de s’installer dans l’État membre de leur choix.

    Ils ont voté contre l’amendement 6 ENL qui souligne la souveraineté des États membres en matière de mesures contre l’immigration illégale (sauf Arnaud Muselier qui a voté pour, et Nadine Morano qui s’est abstenue).

    L’amendement 7 ENL vise à arrêter les négociations en vue de l’adhésion de la Turquie à l’UE. Les Républicains ont voté contre.

    Les élus LR ont également voté contre l’amendement 8 ENL qui souligne que l’immigration de masse n’est pas une solution aux problèmes démographiques.

    Quant au rapport annuel sur la Turquie, les députés LR (à l’exception d’Alain Cadec) ont voté contre l’amendement 1 du groupe ENL qui rejette la reprise des négociations en vue de l’adhésion de la Turquie.

    Ils ont voté contre l’amendement 10 ENL exigeant la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie (encore à l’exception de Cadec), alors que certains élus de gauche et d’extrême gauche ont soutenu cet amendement, comme Jean-Luc Mélenchon, José Bové et Eva Joly.

    Ils ont voté contre l’amendement 15 ENL, qui s’oppose à la libéralisation des visas pour les 80 millions de citoyens turcs.
    Ils ont voté contre l’amendement 17 ENL qui s’oppose à ce que le turc devienne une des langues officielles de l’Union européenne.

    Sur des thèmes fondamentaux comme l’immigration et l’adhésion de la Turquie, les députés européens LR votent avec la gauche de façon quasi-systématique. Ils trompent les Français en leur faisant croire qu’ils offrent une alternative au gouvernement socialiste. Le Front National est la seule force d’opposition réelle au service des Français, à l’Assemblée nationale comme au Parlement européen.

  • Louis Aliot sera présent au Rendez-Vous de Béziers de Robert Ménard

     

     

    17/04/2016 – France (NOVOpress) : Marion Maréchal-Le Pen l’a annoncé lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI : Louis Aliot, vice-président du Front national et compagnon de Marine Le Pen, sera présent au Rendez-Vous de Béziers qui fera de la ville de Robert Ménard, du 27 au 29 mai prochain, la capitale de la droite française.

    Le plateau de ces journées se complète peu à peu de personnalités puisque François Guillaume, ministre de l’Agriculture du gouvernement Chirac sous la première cohabitation (1986-1988) et député de Meurthe-et-Moselle (RPR-UMP) de 1993 à 2007, membre de Debout la France, a rejoint la liste des participants : il interviendra à la table ronde sur l’Europe, « fin de la France ou instrument de puissance ? », en compagnie de François Billot de Lochner, président de la Fondation de service politique, et de l’essayiste et consultant international Hervé Juvin.

  • Askolovitch adoube le pape François mais pas le peuple français

    http://dai.ly/x44vabz

     

    Faut-il comprendre que la France n’est plus chrétienne aux yeux du journaliste ?

    Lors de son Édito du samedi 16 avril 2016 sur i-Télé, Claude Askolovitch a remis un brevet de gauchisme mondialiste au pape François – transformant au passage la charité chrétienne en humanisme immigrationniste – tout en déplorant le « déficit d’humanité » des peuples et des gouvernements européens.

     

    « Quand le pape fait honte à l’Europe »

    NdB: Le Christ n'a pas lavé les pieds des lépreux, mais ceux de ses douze Apôtres

  • Julien Sanchez dénonce l’invasion migratoire et ses conséquences!

    https://youtu.be/pCAyMaA1aoA

    Devant le Conseil Régional Languedoc-Roussillon, Julien Sanchez dénonce la folie et la démagogie de la politique pro-migrants dont les Français ne veulent pas.

    DélitD'images

  • Nigel Farage: l'armée du peuple l'emportera sur cette Union Européenne anti-démocratique

    13 avril 2016, Nigel Farage, leader du parti UKIP, dénonce l’Union Européenne non démocratique et  ridiculise Jean-Claude Juncker sur la crise des migrants : « Ce que nous observons, c’est que les patrons de l’UE sont allés faire des courbettes devant Erdogan, qui s’est joué de vous tous et qui piétine les droits de l’Homme à tous les niveaux. Et monsieur Juncker de nous dire que nous faisons des progrès… ».

    Sous-titres français

    DélitD'images

  • L’ex-chancelier allemand Helmut Kohl estime que l’Europe ne peut « devenir une nouvelle patrie » pour les migrants

     

    23h49

    Avant sa rencontre avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán mardi l’ancien chancelier Helmut Kohl (CDU) a critiqué l’ouverture de la frontière pour les réfugiés.

    « La solution réside dans les régions concernées. Il n'est pas en Europe. L’Europe ne peut devenir une nouvelle patrie pour des millions de personnes dans le besoin», a écrit Kohl dans la préface de l’édition hongroise de son livre «Par souci de l’Europe », comme le « Tagesspiegel am Sonntag « a rapporté. (…)

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  • VIDEO - Nuit Debout : « C’est un urinoir géant », témoigne une commerçante de la place de la République

    https://youtu.be/yeuL2XcAJto

     




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    Odeurs d’urine, tags, vitrines cassées… Les commerçants du quartier autour de la place de la République à Paris attendent désormais la fin du mouvement Nuit Debout. Les citoyens présents sur la place depuis le 31 mars soulignent quant à eux que les débordements ne sont en rien liés à leur mobilisation...

    NDF

  • Attentats de Bruxelles: 44 personnes toujours hospitalisées

    Vendredi 15 avril, 44 victimes des attentats terroristes perpétrés le 22 mars à Bruxelles étaient toujours hospitalisées en Belgique, dont 23 placés sous soins intensifs.

    Une semaine après les attentats qui avaient fait 340 blessés, 94 personnes étaient encore hospitalisées. 

    Les attentats jihadistes avaient par ailleurs fait 32 morts.

    BV

  • De la propagande djihadiste retrouvée chez des chauffeurs du Parlement européen

     

    Des CD faisant la "propagande" de l'organisation État islamique ont été découverts dans les effets personnels de deux chauffeurs travaillant pour le Parlement européen, à Bruxelles et à Strasbourg, ce qui leur a valu de perdre leur emploi, affirme samedi l'hebdomadaire allemand Der Spiegel. L'hebdomadaire, qui cite des sources proches du dossier, établit un lien avec la récente décision du Parlement européen de ne plus faire appel à des prestataires de service pour conduire les élus et de se doter de sa propre flotte de chauffeurs. 

    Une résolution en ce sens a été votée cette semaine par les eurodéputés réunis en séance plénière à Strasbourg. Le sujet est controversé parmi les élus car cette flotte "maison" implique le relèvement de 50% de l'enveloppe transports, à environ 10 millions d'euros annuels.  Mais le Parlement européen, qui explique ce changement par des raisons de sécurité, soupçonne, selon Der Spiegel, que les cas de ces deux chauffeurs ne sont pas isolés, d'autres employés de sociétés prestataires étant susceptibles d'être liés à l'organisation jihadiste.

    "Le Parlement européen ne fait pas de commentaires sur les questions de sécurité", a réagi une porte-parole jointe par l'AFP à Bruxelles. Elle a précisé que la création à terme de 110 postes de chauffeurs s'inscrivait pour l'instant dans le cadre des "lignes directrices" du budget 2017, le vote final du budget ne devant intervenir qu'à l'automne prochain. Il y a deux raisons à ce changement, a ajouté la porte-parole : "On veut que les chauffeurs bénéficient d'une meilleure sécurité sociale, et on veut aussi savoir exactement qui travaille pour nous, qui est susceptible d'entrer dans les bâtiments" , à Bruxelles et Strasbourg.

    Selon un responsable de la société Biribin Limousines, qui s'occupe des chauffeurs du Parlement à Strasbourg et en partie à Bruxelles, "aucun chauffeur n'a été licencié. Il n'y a jamais rien eu de trouvé dans nos voitures". Les informations du Spiegel sont un "tissu de mensonges", affirme-t-il. Cette compagnie, dont le siège est à Paris, a 85 voitures à Strasbourg et 35 à Bruxelles. "La phase d'internalisation très récente du Parlement n'a rien à voir" avec un problème de sécurité qui impliquerait un de leurs chauffeurs, a précisé un autre responsable de la société.

    Le 6 avril, le Parlement européen avait reconnu que l'un des kamikazes des attentats de Bruxelles -en l'occurrence Najim Laachraoui- avait effectué en 2009 et 2010 des jobs d'été dans ses murs, employé par une entreprise de nettoyage sous contrat avec l'institution.
     
    LE FIGARO