La commission de Bruxelles est-elle criminelle ?
Michel Lhomme
le 22/05/2015
modifié le 22/05/2015 à 15:56h
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Interrogé par la BBC le 17 mai dernier, un conseiller du gouvernement libyen (celui qui est reconnu à l’étranger, actuellement basé à Tobrouk), Abdul Basit Haroun, a affirmé avoir discuté avec des passeurs. Ceux-ci lui ont dit avoir transporté des combattants de l’État islamique sur leurs bateaux remplis de migrants. D’après Abdul Basit Haroun, si l’EI n’organise pas lui même le trafic de migrants, il autorise les passeurs à exercer leur activité contre une commission de 50 % sur chaque émigré clandestin à destination du continent européen. Le trafic de migrants qui a pris des proportions démesurées grâce à la collaboration des autorités européennes est donc une source de revenus importante pour l’État islamique dans sa stratégie visant à imposer par un déchaînement de violence l’islam des origines, y compris en Europe.
Mais l’EI ne se contente pas de prélever des impôts sur le trafic de migrants. D’après le conseiller du gouvernement libyen, il embarque aussi ses commandos terroristes sur les embarcations des passeurs. Des passeurs qui auraient expliqué à Abdul Basit Haroun que, outre les candidats à l’immigration clandestine en Europe inscrits sur leurs listes de passagers, ils ont à emmener des groupes de personnes non inscrites, sur ordre de l’EI. Ces groupes se distinguent des autres passagers par le fait qu’ils se tiennent à l’écart et qu’ils ne montrent aucune peur pendant la traversée contrairement aux autres personnes.
Néanmoins, comme le fait remarquer Abdul Basit Haroun, les équipages des navires européens envoyés pour aller récupérer ces migrants entassés sur des embarcations surchargées ne font pas la différence entre les colons plus ou moins pacifiques fuyant la pauvreté ou la guerre dans leur pays et les envahisseurs belliqueux de l’EI débarqués en Europe pour y attendre le moment favorable. Sans parler du fait, même si Abdul Basit Haroun ne le dit pas, que les colons musulmans constitueront avec leurs enfants un futur vivier de recrutement pour l’EI puisque l’Arabie Saoudite et le Qatar se chargeront d’en endoctriner une partie à l’islam pur et dur dans les mosquées que nos élites corrompues par l’argent du pétrole les autorisent à financer et gérer sur notre territoire.
Si nos grands médias, comme France 24 et Le Point, et aussi la BBC qui a pourtant réalisé cette interview, cherchent à relativiser, et même à décrédibiliser, les propos tenus par ce conseiller du gouvernement libyen, on ne doit pas oublier que c’est l’État islamique en Libye lui-même qui a prévenu les Européens qu’il enverrait ses djihadistes en Europe sur les bateaux de migrants.
Peut-être serait-il temps de nous souvenir de la phrase prononcée en 1974 par le président algérien de l’époque, Houari Boumédiène, au Sommet islamique de Lahore ?
« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
D’après l’agence européenne Frontex, chargée de coordonner la surveillance des frontières de l’UE, ils sont déjà 60 000 à avoir tenté la traversée cette année. L’année dernière, environ 220 000 ont réussi. Or, les affirmations de cet Abdul Basit Haroun sont d’autant plus crédibles que l’Espagne a elle aussi signalé à plusieurs reprises l’année dernière la présence de djihadistes parmi les personnes qui pénètrent illégalement sur son territoire à Ceuta et Melilla, ces deux enclaves espagnoles en Afrique du Nord, frontalières avec le Maroc. L’agence Frontex a elle aussi prévenu cette année qu’il était possible que des combattants étrangers se joignent aux immigrants clandestins pour pénétrer en Europe. Il en va de même pour le gouvernement italien qui a exprimé sa crainte d’une présence de musulmans djihadistes sur les bateaux d’immigrants clandestins.
Et qui étaient d’ailleurs ces quinze musulmans qui ont jeté des chrétiens à la mer pendant la traversée ?
Nos médias mainstream prétendent que le gouvernement libyen voudrait nous faire peur pour nous pousser à intervenir et que l’EI a meilleur compte à faire appel aux islamistes déjà présents en Europe, mais on peut très bien imaginer que des combattants soient envoyés pour mieux former les apprentis-terroristes qui vivent parmi nous et pour préparer des actions de plus grande ampleur. La meilleure défense, ce serait de débarquer les migrants repêchés en Méditerranée dans leurs ports d’origine, et pas de les disséminer dans l’UE par un système de quotas. L’hypocrisie des Européens est sans bornes quand ils prétendent avoir besoin d’une autorisation de l’ONU. Pour démolir l’État libyen et faire assassiner Kadhafi, les gouvernements français, britannique et américain n’ont pas demandé l’avis de l’ONU. En effet, le mandat de l’ONU qui leur avait été accordé les autorisait uniquement à empêcher l’aviation libyenne de voler. Il est d’ailleurs bien dommage d’avoir agi de la sorte, car le colonel Kadhafi était devenu notre meilleur allié dans la lutte contre l’immigration clandestine.
Source : interview d’Abdul Basit Haroun dans l’émission Investigates de la radio BBC 5 Live (en anglais, à partir de 4 min 50 s)
L’annonce vient d’être faite dans un communiqué du Front national. Le conseiller municipal d’oppostion de Plescop, Fabrice Dervouët quitte l’UDI pour le FN.
Bertrand Iragne, secrétaire départemental du Front national du Morbihan annonce le ralliement au FN de Fabrice Dervouët, ancien président des Jeunes UDI du Morbihan et conseiller municipal sur la commune de Plescop.
« J’ai quitté l’UDI parce que je ne me retrouvais plus dans ce parti, ni dans aucun autre à part le FN. Le centre va se morfondre dans l’UMP. Si à Plescop, on vote FN à 20 %, ça vaut dire que les gens veulent que ça change », explique Fabien Dervouët.
Fabrice Dervouët avait annoncé sa candidature aux dernières élections départementales avant de se retirer.
Un questionnaire sur l’immigration et le terrorisme a été envoyé par le gouvernement hongrois à tous les ressortissants du pays âgés de plus de 18 ans.
Vendredi, le Haut-Commissariat de l’ONU pour les droits de l’homme a fait part de son inquiétude sur ce questionnaire envoyé la semaine dernière.
« Nous sommes choqués par le message d’introduction du Premier ministre, suggérant un lien entre migration et attaques terroristes, y compris l’attaque qui a eu lieu à Paris début janvier de cette année », a indiqué une porte-parole du Haut-Commissariat lors d’un briefing à Genève.
Selon le Haut-Commissariat, le message de Viktor Orban indique également que les migrants économiques représentent « une nouvelle menace » pour la Hongrie et que le pays doit décider comment « se défendre contre les immigrants illégaux« , a ajouté la porte-parole.
Le Haut-Commissariat pour les droits de l’homme « rappelle aux autorités hongroises qu’elles ont le devoir au titre du droit international humanitaire de combattre la xénophobie et la discrimination« . [...]
Le Haut-Commissariat s’est également déclaré « très inquiet » par les récents appels du Premier ministre hongrois à ouvrir un débat sur un possible rétablissement de la peine de mort. « Toute tentative de rétablir la peine de mort en Hongrie serait un terrible revers dans la lutte globale contre la peine capitale« , a-t-elle conclu.
Il y a 130 ans décédait l’un des plus grands auteurs français, tour à tour poète, romancier, critique, journaliste, homme politique et auteur de théâtre.
Le 22 mai 1885, Victor Hugo s’éteint. Celui qui a 16 ans, poète précoce, avait écrit « Je serai Chateaubriand, ou rien » a finalement réussi à dépasser son prestigieux modèle. Considéré comme l’un des plus grands écrivains du 19e siècle, Victor Hugo c’est plus qu’une plume de génie, c’est aussi un engagement politique. Un engagement qui le conduira à défendre la liberté de la presse, l’enseignement pour tous, ou bien encore les Etats-Unis d’Europe… A sa mort, la dépouille d’Hugo est installée dans un corbillard des pauvres, comme il l’avait demandé. Et quelques jours plus tard, la troisième république lui organisera des funérailles nationales, son cercueil sera exposé à l’Arc de triomphe avant d’être portée au Panthéon, accompagné par une foule de 2 millions de personnes… La mort de Victor Hugo, c’était il y a 130 ans.
A la caisse d’un super marché une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche alors de ne pas se mettre à « l’écologie » et lui dit:
« Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources! »
La vieille femme s’excusant auprès de la caissière expliqua:
« Je suis désolée, nous n’avions pas de mouvement écologique dans mon temps. »
Alors qu’elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta:
« Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens.
C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps! »
La vieille dame se retournant admit qu’à l’époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de limonade et de bière au magasin qui les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises.
À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées,
mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l’époque, on lavait les couches de bébé avec du savon ; on ne connaissait pas les couches jetables ni les lingettes.
On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000 watts à l’heure.
On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.
À l’époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une soeur à l’autre.
C’est vrai ! on ne connaissait pas le mouvement écologique
À l’époque, on n’avait qu’une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.
Dans la cuisine, on s’activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
À l’époque, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon ; on n’avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées.
À l’époque, on travaillait physiquement; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l’époque, on buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif ; on n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu’on voulait prendre de l’eau.
On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l’époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l’école au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.
À l’époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers à jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.
ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON SAC PLASTIQUE ET TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE !!!!!!
La vieille dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l’environnement.
Sousesprit
Marine le Pen l’a annoncé lors d’un bureau politique devant une quarantaine de personnes : « J’ai appris que Manuel Valls étudie la question de l’interdiction du Front national. Il a commandé une note juridique à ses services pour savoir si son interdiction est juridiquement possible. »
Sous quels prétextes ? Prêt russe ? Financement douteux de l’association Jeanne ? Il nous semble que d’autres partis politiques épinglés pour bien pire sont encore bien vivaces. Pour des violences contre des journalistes, peut-être ? La violence de certains antifas à l’encontre de policiers a-t-elle jamais fait interdire le Parti socialiste ?
Bref, on l’a compris : le peu qu’ils trouveraient sera repris jusqu’à l’abrutissement par l’ensemble des médias. Et s’ils n’ont décidément rien à se mettre sous la dent, la République – mais à d’autres époques, il est vrai – n’a pas toujours rechigné à faire preuve d’inventivité.
Qui plus est, cela signifierait-t-il la révocation des maires élus sous la bannière Front national ? De tous les conseillers municipaux ? Peut-être même celle de Robert Ménard pourtant non encarté ? Celle des députés Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen ? Envisager de supprimer le parti politique de France qui arriverait en tête des élections présidentielles en 2017 – entre 29 % et 31 % selon l’IFOP, et entre 29 % et 33 % pour CSA -, Manuel Valls est-il fou ?
Donc, la diabolisation du FN ne fonctionnant plus, il faut le supprimer. Et après ?
Inutile d’imaginer descendre par millions dans la rue, le gouvernement n’interdirait pas son opposant politique pour autoriser des manifestations visant à le réhabiliter. Et quand bien même le PS – par cynisme – donnerait son accord, à quoi cela servirait-il ? À rien.
Passer outre ? Quand on se rappelle les gazages à la Manif pour tous, le traitement des « mères veilleuses » à Rodez ou encore celui de David Van Hemelryck pour cause de dirigeable ressemblant à une quenelle, on hésite. Les Français frontistes, et ceux qui sont simplement attachés à la liberté d’opinion, ne le feront pas. Trop conscients, aussi, que le moindre dérapage justifierait alors précisément l’interdiction du FN.
Que leur reste-t-il, aux sympathisants FN ? La possibilité de s’abstenir aux présidentielles de 2017 ? Cela ne sera plus le cas si le souhait de Claude Bartolone de rendre le vote obligatoire est exaucé. Il y a toujours la liberté de voter blanc ou nul, en dessinant la tête à Toto sur un bulletin, me direz-vous. Quelle liberté !
Mais rien n’est joué. Les défenseurs des valeurs républicaines croient maîtriser les conséquences de l’interdiction du Front national ? Qu’ils se méfient quand même.
… mais cela réveillera-t-il pour autant les dirigeants européens angéliques ?
NdB: Ce n'est pas un scoop: toute personne normalement intelligente s'en doutait!
Seul le faux pape qui à Lampedusa s'efforçait de culpabiliser les Italiens de souche et l'Europe entière.
Le mondialiste du Vatican avait tout faux et Marine Le Pen avait tout juste!
Reportage de la chaîne en ligne suisse et germanophone Medien Klagemauer TV, diffusé le 23 décembre 2014 et consacré aux responsabilités du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale
E&R
D’après plusieurs sources, la présidente du Front national, Marine Le Pen aurait informé une quarantaine de cadres de son parti de la volonté du pouvoir de mettre un terme à la progression de la formation patriote.
Ainsi, Manuel Valls aurait commandé une note juridique à ses services afin d’étudier la faisabilité de l’interdiction du parti de Marine Le Pen. Après les procédures juridiques visant le financement du FN et les emplois des assistants parlementaires des eurodéputés frontistes, il s’agirait là d’une nouvelle étape dans la volonté du Premier ministre d’écarter la menace de voir le parti fondé par Jean-Marie Le Pen évincer le candidat socialiste du second tour des élections présidentielles de 2017.
Un climat de chasse aux opposants alimenté par l’avocat Éric Dupond-Moretti (actuellement dans le prétoire pour défendre la cause des accusés dans le troisième procès de « l’affaire Outreau »), qui estimait au micro de France Inter le 6 mai dernier que « le FN n’est pas un parti républicain, il faut l’interdire ».
Interrogé à ce sujet, l’ancien ministre UMP Éric Wœrth a fait part de sa désapprobation quant à l’initiative du locataire de Matignon :
« Le FN est un parti. Tant qu’il reste dans les valeurs constitutionnelles de notre République, il n’y a aucune raison. Ce n’est pas seulement le FN. Toute organisation qui briserait le droit constitutionnel, qui irait sur un terrain juridique impossible, serait interdite. C’est vrai pour tout le monde. Le Front national véhicule des idées d’extrême droite, mais qui sont autorisées. Ce type de débat, ça fait monter le FN parce que ça énerve les gens. Je suis à l’opposé de ce qu’il propose (...) mais il est autorisé par la République. C’est un adversaire en tant que parti. L’interdire, c’est autre chose. Peut-être que M. Valls se dit qu’il est incapable de faire baisser le Front national par d’autres méthodes. »
Il semble que, du musellement des adversaires du mariage homosexuel à la menace qui plane aujourd’hui sur le FN en passant par la loi sur le renseignement, la répression menée par le pouvoir contre ses opposants ne connaisse plus de limites.
Manuel Valls réfléchit-il à une stratégie pour interdire le Front national ? C'est en tout cas ce qu'a affirmé Marine Le Pen devant les cadres du parti lors du dernier bureau politique du FN, le 4 mai dernier. Confirmant une information de Valeurs actuelles, publiée jeudi 21 mai, un cadre du FN présent ce jour-là confie à francetv info : "Cela m'a interpellé, je ne vois pas comment cela peut être possible."
Selon le FN, Manuel Valls aurait donc commandé une note juridique à ses services pour étudier l'éventualité d'une interdiction du parti de Marine Le Pen. Un scénario qui n'effraie pas le cadre frontiste Wallerand de Saint-Just. "S'il tente de faire ça, on ne sera plus à 30%, mais à 60%, cela nous serait extrêmement profitable", confie-t-il à francetv info.
Contacté par francetv info, Matignon a démenti l'information de Valeurs actuelles en réfutant l'idée d'une quelconque action du Premier ministre pour interdire le parti d'extrême droite : "Cette brève repose sur une thèse loufoque et infondée." De son côté, Marine Le Pen n'a pas encore répondu à nos sollicitations.
francetvinfo