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GAELLE MANN - Page 609

  • Deux tweets de Jean-Matie Le Pen

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  • Tweet de Florian Philippot

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  • Le septième jour

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    Eugène Delacroix

    Si nous étions au XIXe siècle, les Français auraient déjà dressé des barricades et pris les armes...
    Éditorialiste
     
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    Dimanche 23 mars 2015 : le Front national arrive en tête des élections départementales. Le parti qui représente une majorité d’ouvriers, de jeunes et d’habitants de la France périphérique confirme sa place : premier parti de France. Mais aussi première cible de la classe dirigeante de ce pays.

    « Coup de semonce », « avertissement », titre la presse officielle : Dans une « élection sans enjeu national », les Français ont adressé un « signal » au pouvoir. Relativisant, espérant encore et toujours qu’une pirouette leur permettra de se rétablir avant 2017. Même si les sondages confirment au fil des mois la présence du candidat FN au second tour, en position de le remporter à 5 % près. En 1985-86, la mort de Coluche, le chantre du « tous pourris », a eu un curieux écho : la franche montée du FN. À la mort des figures de Charlie Hebdo en 2015 correspond une seconde marche. Eh oui, ceux qui rigolent des grosses blagues lourdes votent aussi Le Pen. Ainsi est le Gaulois.

    Jamais ils ne partageraient le pouvoir avec ce peuple gouailleur. Pendant 40 ans, ils ont exclu, claqué la porte à tour de rôle sur les doigts des Français en hurlant : « Pacte républicain ! » Le bon peuple a pris son mal en patience en regardant ses mains sanguinolentes. Si nous étions au XIXe siècle, les Français auraient déjà dressé des barricades et pris les armes. Depuis déjà deux mois, ils fourbissent les arguments et aiguisent les éléments de langage. Les discours sont en place dans les cabinets ministériels. Ils ont décuplé les efforts, exploitant chaque événement, le moindre chiffre, tous les faits divers, du plus sordide au plus scandaleux. Profanation ici : « Ce sont des Français de souche. » Statistique du jour : « Le chômage baisse. » Attentat là-bas : « Il faut lutter contre l’islamophobie. » Dans un salon professionnel, la consigne de vote claque comme un ordre donné d’un coup de menton : pas de vote FN ! Et à chaque fois, la même menace, le même ignoble chantage : ce sera nous ou le chaos. Ce sera nous ou la ruine. Si vous votez FN, vous aurez le désordre. Si vous votez FN, vous n’aurez plus de sous. La menace ne prend plus.

    La menace ne prend plus, la ruine est déjà consommée. Cette clique tape honteusement dans la caisse depuis 40 ans pour financer sa gabegie. Chaque année, ce sont 3 ou 4 % de découvert qui se cumulent. Ouf ! Bruxelles leur a donné jusqu’en 2017 pour descendre à 3 % ! Tétanisés sur les commandes, ils vont continuer de nous précipiter en vrille, comme drogués à l’adrénaline de la chute vertigineuse. Ils ne lâcheront le manche qu’au dernier moment pour sauter en parachute doré juste avant que l’avion ne percute la planète. Après la catastrophe, ils atterriront comme des fleurs pour constater le désastre et admonester les quelques survivants : « On vous l’avait bien dit ! »

    La menace ne prend plus, car le désordre des mœurs et le chaos urbain sont votés. Doucement, comme une infiltration d’eau, ils ont envahi la France d’en bas, celle des quartiers désertés devenus des ghettos à l’envers, qui excluent les petits Blancs, les Français. Ces zones où s’imposent petit à petit un salmigondis de lois et de règles disparates, celles de l’étranger, celles de l’islam, celles de la jungle. Ces petites villes délaissées, appauvries, désindustrialisées, où l’on ferme les hôpitaux et les gares, où survit un sous-prolétariat exclu, loin de tout, de Paris, de ses mariages homos, et de sa riche banlieue, qui offre des vacances au ski à des dealers et des vice-présidences de parti politique à des sans-papiers.

    Alors, oui, la menace et le chantage ne fonctionnent plus et la France vote Front national massivement.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Les remplaçants ?

  • Amnésiques impénitents

    vendredi 27 février 2015

     

    Qu’ils soient de droite ou de gauche, thuriféraires des « grands ancêtres » ou promoteurs du bonnet phrygien, tous ces politiciens qui condamnent, avec une si belle unanimité, les « barbares » qui détruisent les sculptures du musée de Mossoul (dont beaucoup sont manifestement des reproductions en plâtre*), oublient une fois de plus (ils avaient déjà fait le coup pour les Bouddhas de Bamyan), que les jihadistes qui, conformément à la doctrine islamique, détruisent tout ce qui n’est pas musulman, et de toute façon toute représentation humaine, n’ont jusqu’à présent pas détruit un millième de ce qui fut détruit pendant la Révolution française.

    Ce sont des centaines de statues, de hauts et bas-reliefs, des centaines de fresques, qui furent détruites par les héros de la révolution et de la république. Des centaines et des centaines de chef-d’œuvre de l’art chrétien roman, gothique, de la Renaissance, de l’art classique.

    En l’occurrence, en matière de barbarie, messieurs les politiciens, vos ancêtres et modèles sont de nombreux crans au-dessus des jihadistes. Et la France est hélas la plus mal placée pour faire la leçon.

    * Saddam Hussein ne lésinait pas sur les "reconstitutions" pour montrer la splendeur de la Mésopotamie antique, son chef-d'oeuvre étant celle de Babylone, digne des plus beaux péplums...

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Départementales: Marine Le Pen veut faire du FN "le maître de l'élection"

    Ite, missa est : à trois semaines d’élections départementales où il est certain de faire sensation, le Front National a délivré samedi une dernière exhortation à ses candidats, lors d’une grande convention tenue dans le 15è arrondissement parisien. Après une matinée dédiée à des tables rondes thématiques et à la formation des candidats, environ 2000 personnes étaient présentes dans la salle Equinoxe pour entendre le discours de Marine Le Pen. 

     

    Après avoir fait copieusement siffler la plupart des représentants de la majorité comme de l'opposition, la présidente du FN a consacré une grande partie de son discours à railler l’UMP et le PS. « Ils ont ressuscité le programme commun, en trois points : lutter contre le FN, attaquer le FN, combattre le FN, a-t-elle moqué. Nous sommes plus que jamais le centre de gravité de la vie politique française ». Marine Le Pen a posé son parti en « seul véritable opposant » : « L’UMP a fait le choix de se taire. Sarkozy est inaudible, (…) il se vautre dans le luxe des palais du Moyen-Orient », allusion aux conférences rémunérées de l’ex-chef de l’Etat. 

    Une lecture des résultats avant tout nationale

    Quant aux départementales, la leader frontiste souhaite faire de son parti le « maître de l’élection » : « Si nous arrivons à dépasser la barre des 20%, alors nous atteindrons un seuil fracassant : celui qui permettra la qualification de nombre de nos candidats. Et alors nous pourrons peser dans la balance et influencer la politique des départements ». Marine Le Pen a rappelé les priorités de son parti au niveau local : maintien des départements, assistance aux personnes âgées, « refus du prosélytisme islamique » dans les structures liées à la petite enfance...

    Elle a toutefois suggéré que sa lecture des résultats à venir serait avant tout nationale : « Ce n’est pas de l’élection de Jean-René Lemou, conseiller départemental socialiste, qu’on va se souvenir, mais du score du Front National ». Façon d’anticiper sur la donne probable à l’issue du scrutin : un FN en tête au premier tour en nombre de voix (jusqu’à 30%, prédisent les enquêtes d’opinion), mais sans doute pas gagnant au second en nombre d’élus. De quoi, tout de même, conserver le label « Premier parti de France » revendiqué depuis les européennes de 2014, et dont le parti ne perd pas une occasion de se gargariser. De quoi, aussi, amorcer au mieux la marche vers 2017, échéance que rappelaient les « Marine présidente » projetés sur les murs de la salle et scandés par les militants.

    Dominique ALBERTINI

    LIBERATION

  • VIDEO - Israël reconnaît avoir utilisé du phosphore blanc à Gaza durant "Plomb durci" (2009)

     

    Dans son premier rapport exhaustif sur l’offensive à Gaza, l’Etat hébreu assure avoir employé l’agent chimique de manière légale pour former des écrans de fumée, et non comme arme contre les civils. Ce que contestent les organisations humanitaires.

    Israël fait machine arrière. Après avoir nié pendant des mois avoir utilisé des munitions au phosphore blanc lors de son offensive sur Gaza en début d’année, le gouvernement admet dans un rapport, publié jeudi, en avoir finalement fait usage. Mais cette utilisation a été en tout point conforme au droit international en la matière, martèlent les autorités israéliennes dans ce premier document exhaustif sur l’opération « Plomb durci ». L’agent chimique n’a été utilisé que pour former des écrans de fumées pour protéger l’avancée de ses soldats, explique-t-on côté israélien en réponse aux organisations humanitaires et aux Palestiniens. Ceux-ci accusent l’État hébreu d’avoir violé le droit international de la guerre, lors de « Plomb durci » et avoir sciemment détruit des biens et tué des civils.

    Les munitions au phosphore n’ont jamais été tirées contre les civils, à l’intérieur de zones d’habitation, ce qui aurait constitué une violation du droit, affirme le rapport. Le phosphore cause en effet de grave brûlures de la peau, des muscles, voire des os. Sa combustion ne s’arrête que lorsqu’il est privé d’oxygène. Mais, affirme le rapport,« il ne paraît pas y avoir de morts documentées à Gaza résultant de l’exposition au phosphore blanc lui-même ».

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

    E&R

  • Parlementaires français à Damas : «Bachar el-Assad n’est pas l’ennemi de la France»

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    29/02/2015 – FRANCE (NOVOpress via FigaroVox)
    La rencontre à Damas de quatre parlementaires français avec Bachar el-Assad a déclenché la colère de François Hollande et Manuel Valls.
    Renaud Girard est grand reporter international au Figaro. Il a couvert les grands conflits des trente dernières années. Il donne son avis sur cette initiative diplomatique.

    C’est une initiative qui répond à une visite de trois députés syriens l’année dernière à l’Assemblée nationale. Cette visite avait été organisée par un Syrien chrétien d’Alep qui pour l’anecdote était le fils du chef du comité gaulliste en Syrie en 1940 à Alep. Ils ont eu raison de faire ce voyage, ne serait-ce que pour se rendre compte de l’état de la route entre la frontière libanaise et Damas, de l’état de la capitale. Il faut bien comprendre que la diplomatie ne se fait pas avec ses amis. C’est l’art de parler à ses adversaires ou à ses rivaux. On peut reprocher beaucoup de choses à Bachar el-Assad, mais ce n’est pas une raison pour ne pas lui parler. Car Bachar el-Assad incarne la Syrie: il n’incarne certainement pas 95% de la population, mais rien ne prouve qu’en cas d’élection réellement libre, il n’emporterait pas la majorité.

    (…)

    Nicolas Sarkozy et Alain Juppé ont fait l’énorme erreur de fermer l’ambassade, qui était pour nous la place où nous pouvions parler au régime et surtout obtenir des renseignements. Le gouvernement français par la voix de Laurent Fabius traite la Syrie comme si elle était l’ennemie de la France. Bachar el-Assad n’est pas l’ennemi de la France. Il n’a jamais pris un Français en otage.

  • Le Parlement européen confie la politique d’immigration à Kyenge Kashetu

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    28/02/2015 – BRUXELLES (NOVOpress)
    Elle est l’emblème et la figure de proue du Grand Remplacement en Italie et en Europe. L’Italo-congolaise Cécile Kyenge Kashetu (photo), ancien ministre de l’intégration du gouvernement de gauche d’Enrico Letta, est désormais député européen.

    L’ardoise de 54.000 euros en voyages et restaurants qu’elle avait laissée en quittant le gouvernement italien, ses courses avec voiture officielle et gardes du corps dans les boutiques chic de Rome, tout cela a été recouvert d’un voile pudique. Kyenge est plus que jamais une grande autorité morale. Au Parlement européen, elle s’est immédiatement mise à militer pour « une approche prenant en compte le sauvetage des centaines de milliers de personnes tentant d’accoster aux frontières de son continent d’adoption » – car, à l’en croire, Mare nostrum et « Triton » n’allaient pas encore assez loin.Au début du mois, dans un entretien à Jeune Afrique, depuis son luxueux bureau bruxellois « égayé des couleurs mozambicaines de son canapé », elle rappelait son programme, qui est toujours le même : « Il faut ouvrir les frontières, ne pas remettre en cause l’espace Schengen et investir sur l’intégration ».

    On comprend l’émoi causé en Italie à l’annonce que le Parlement européen vient de faire de Kyenge un des deux rapporteurs (avec la Maltaise Roberta Metsola) du « rapport d’initiative stratégique sur la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’Union européenne vis-à-vis des migrations ». Ce rapport « conduira dans les prochains mois à l’approbation d’une résolution qui constituera la position officielle du Parlement européen sur l’immigration ».

     

    L’intéressée s’est félicitée de cette nomination « intervenue à une large majorité des députés européens ». « Nous devons, a-t-elle précisé, dépasser l’approche en termes d’urgence selon laquelle le sujet a toujours été abordé jusqu’ici. Le flux des migrants qui traversent les frontières sud de l’Europe est un fait structurel et transnational […] qui doit être abordé en mettant au centre avant tout la défense de la vie humaine ».

    « Fait structurel », c’est-à-dire permanent ; « défense de la vie humaine », comprenez remorquage des bateaux de clandestins jusqu’aux côtes italiennes. Le quotidien Il Giornale commente avec raison : « Pendant que Kyenge étudie ses dossiers, les passeurs font déjà la fête. 2015 sera encore pour eux une année en or ».

    Crédit photo : Maurizio Lupi, via Flickr, (cc).

  • Ils se préparaient au djihad armé, enfin le procès des cavaliers d’Allah – Et interview de Fabrice Robert

    http://fr.novopress.info/183110/se-preparaient-au-djihad-arme-enfin-proces-cavaliers-dallah-interview-fabrice-robert/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

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  • Gaspard Koenig : « Si la loi Gayssot avait été votée dans les années 50, on n’aurait jamais découvert la vérité sur le massacre de Katyń » (attribué aux nazis par le tribunal de Nuremberg)

     

      Au début du mois de février, « 28 minutes » (Arte) organisait un débat sur le thème : « Procès Dieudonné : une démocratie doit-elle tolérer l’intolérable ? » avec l’insupportable Corinne Lepage, avocate et présidente de Cap 21, le courageux Gaspard Koenig, philosophe et président du think tank Génération Libre (défenseur de la liberté d’expression, il se fait traiter de « négationniste » par Corinne Lepage) et Raphaël Liogier, sociologue, philosophe et directeur de l’Observatoire du religieux.

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  • Tout naturellement...

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  • Boris Nemtsov, homme politique russe, a été assassiné à Moscou.

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    International
    23:11 27.02.2015(mis à jour 00:35 28.02.2015)
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    Boris Nemtsov, homme politique russe, a été assassiné vendredi soir au centre de Moscou, ont rapporté les médias russes.

    "On lui a tiré quatre coups de feu dans le dos, causant sa mort", a déclaré une porte-parole du ministère russe de l'Intérieur, Elena Alexeïeva, à la chaîne de télévision Rossia 24.

    Boris Nemtsov se promenait avec une « amie d'Ukraine » sur un pont sur le fleuve Moskova situé non loin du Kremlin, au centre de Moscou. La jeune fille a été interpellée par la police. Les forces de l'ordre, citées par RIA Novosti, ont indiqué que plusieurs personnes avaient été témoins de l'assassinat.

    La police a bloqué l'accès au pont, où Nemtsov a été abattu. Des journalistes sont présents sur le lieu du drame.

    SPUTNIK



    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150227/1014945611.html#ixzz3Szx1V3Ld

  • L'opposant russe Boris Nemtsov tué par balle en plein Moscou

     

    27 Févr. 2015, 23h23 | MAJ : 28 Févr. 2015, 01h04

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    Il se promenait avec une jeune femme sur le Grand Pont de pierre, juste à côté du Kremlin, quand un homme tirant d'une voiture l'a abattu de quatre balles dans le dos. L'opposant russe, Boris Nemtsov, a été tué par balles à 55 ans en plein centre de Moscou dans la nuit de vendredi à samedi.

     

    Selon son porte-parole, Vladimir Poutine a aussitôt réagi, estimant «que cet assassinat brutal portait les marques d'un meurtre commandité et avait tout d'une provocation». Le président russe a également demandé au Comité d'enquête, au ministère de l'Intérieur et au FSB (ex-KGB) d'enquêter. «C'est une terrible tragédie pour tout le pays», a pour sa part déclaré l'ancien ministre des Finances de Vladimir Poutine, Alexeï Koudrine.

    «Devant moi, je vois le corps de Boris»

    «Une voiture s'est approchée, quelqu'un a tiré des coups de feu, dont quatre l'ont touché dans le dos, causant sa mort», selon le ministère de l'Intérieur. «Pas moins de six ou sept coups de feu ont été tirés sur Boris Nemtsov par un inconnu circulant en voiture», a précisé un responsable du Comité d'enquêtes.

    Plusieurs personnes ont été témoins de la scène, dont un proche de Boris Nemtsov, l'opposant Ilia Iachine. «Devant moi, je vois le corps de Boris. Il y a beaucoup de policiers autour», a-t-il confié à l'agence de presse Ria Novosti. Un important dispositif policier a été déployé sur les lieux, dont les accès ont été bloqués.

    Ancien vice-Premier ministre de Boris Eltsine, libéral, Nemtsov était une figure de l'opposition russe. Très critique à l'égard du pouvoir en place, il appelait le parti de Vladimir Poutine, «le parti des voleurs», dénonçant notamment la corruption des élites. Il avait récemment confié à la presse que sa mère était très inquiète, estimant que le président russe pourrait le faire tuer.

    Cofondateur, avec Boris Nemtsov, du mouvement libéral Solidarnost, l'ex-champion d'échec Garry Kasparov s'est dit «anéanti», multipliant sur Twitter les messages cinglants à l'égard du pouvoir en place. Se remémorant l'assassinat de la journaliste Anna Politkovskaya en 2006, il accuse directement Vladimir Poutine, estimant que le président russe a «des océans de sang sur les mains». 

    LE PARISIEN

  • S’il l’emporte en PACA, Jean-Marie Le Pen pourrait passer la main à Gollnisch

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    18h13

    Marine Le Pen plaide pour la mise en place d’un ticket : Jean-Marie Le Pen mènerait campagne des régionales pour que Bruno Gollnisch prenne ensuite les commandes.

     

    « Je suis la meilleure locomotive pour les régionales » avait estimé, bravache, Jean-Marie Le Pen en novembre 2014. Le président d’honneur du FN est bien décidé à donner son dernier baroud électoral en décembre prochain, en portant les couleurs de son parti en PACA pour les élections régionales. Marine Le Pen, qui aurait préféré une candidature de Marion Maréchal-Le Pen, s’est résignée à la laisser mener campagne. Mais pas forcément à le laisser gérer la région.

    Mercredi dernier, en marge de sa conférence face à l’association de la presse parlementaire (AJP), Marine Le Pen s’est laissée aller à quelques confidences. « Jean-Marie Le Pen m’a grillé la politesse », raconte-t-elle au sujet de sa volonté de s’engager dans les élections régionales, avant de préciser: « C’est assez fréquent ». Mais à 86 ans, elle n’imagine pas le laisser tenter seul l’aventure. « S’il l’emporte, il ne sera pas président de la région, mais je pense qu’il faut le dire aux électeurs avant», a-t-elle glissé aux journalistes présents.

    (…) Le Figaro

    FDS