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GAELLE MANN - Page 611

  • Rassembler les patriotes pour « la France d’après » l’UMPS. Par Bruno Gollnisch

    25 février 2015

     

    la liberté guidant le peuple gros plan

    Nicolas Sarkozy affirmait en  juillet 2006  «que les Français attendent une France d’après,   une France où l’expression Français de souche aura disparu». Les Français attendent surtout  une  inversion des flux migratoires, l’arrêt de la politique d’immigration de peuplement menée par l’UMPS qui empêche toute assimilation,  justement parce qu’ils  entendent rester eux-mêmes, maîtres chez eux. Lors du dîner du Crif lundi soir, François Hollande a repris cette expression pour la fustiger lorsqu’il a évoqué le saccage par un groupe d’adolescents  mené par un militant  d’extrême gauche (ce qu’il n’a pas précisé…)  du cimetière juif de Sarre-Union, « dévasté par de jeunes lycéens, Français de souche, comme on dit». Libération  rapporte que l’utilisation du terme  lui a pourtant valu des critiques : « une expression très connotée, dont l’emploi par le président est une faute, a jugé l’ex-ministre Aurélie Filipetti, entre autres. De son côté, la présidente du Mouvement des jeunes socialistes, Laura Slimani, a dénoncé un brouillage intellectuel (sic).  (…°) François Hollande a lui-même réagi mardi lors d’une conférence de presse à l’Elysée : Pour ceux qui m’ont écouté hier soir, il n’y avait pas de doutes à avoir, a-t-il assuré. Je me suis justement distingué de cette expression ».  Interrogée par l’Afp, Marine a noté comme beaucoup de nos compatriotes  qu’«on a l’impression que (M. Hollande) est content que quelque chose qui soit éminemment critiquable émane de Français d’origine française»…

     Une  identité française qu’Alain Juppé aimerait aussi voir disparaître. Après Manuel Valls se déplaçant au Salon de l’Agriculture pour exhorter la France de terroirs et des clochers de ne pas voter FN, il  s’est à son tour répandu sur son blogue pour supplier nos compatriotes de ne pas s’extraire du carcan UMPS qui conduit notre pays à la ruine.

     Comme il le fait désormais régulièrement, sur la même longueur d’onde que son rival Nicolas Sarkozy ou qu’un   François Fillon qui, dans un entretien  récent  sur France Inter pronostiquait une guerre civile si le FN arrivait au pouvoir, il appelle  de ses vœux à une « offensive » contre « la montée régulière du FN dans l’opinion ». Il  invite  ainsi à « ne pas jouer l’avenir de (nos)  enfants et de  (notre)  pays à la roulette russe ».

     C’est incidemment  pourtant le reproche que l’on peut lui faire puisqu’il a œuvré, lorsqu’il fut le catastrophique Premier ministre de Jacques Chirac, (p)artisan d’une fuite en avant,  au  bradage de notre souveraineté à une entité bruxelloise non viable. Un jeu de roulette russe dont  il s’est aussi  rendu coupable vis-à-vis du peuple libyen en  cautionnant  en 2011 la  liquidation du régime de Kadhafi avec les résultats épouvantables que l’on constate,  au nom d’intérêts  bien obscurs qui n’étaient pas, en toute hypothèse, ceux de la France.

     Fort de son bilan désastreux, M. Juppé se croit donc  de nouveau autorisé à   dénoncer de manière particulièrement  grotesque mensongère et caricaturale  « l’imposture du Front National », «le tsunami de la sortie de l’euro», « la gabegie budgétaire », « le mythe de l’immigration zéro » et  « le risque de monter les Français les uns contre les autres » !

     Rallier les Français des deux rives, poursuivre l’œuvre de réconciliation   nationale, bâtir un pôle patriote, souverainiste en capacité demain d’être majoritaire c’est pourtant l’œuvre inlassablement poursuivie par le FN. Une mission essentielle à l’origine  d’ailleurs  de la création de notre Mouvement  par Jean-Marie Le Pen en 1972, FN auquel s’agrégèrent au fil du temps et dés les années 80,  anciens du PC, du PS, du RPR, de l’UMP…

     C’est pourtant toujours un sujet d’étonnement dans les médias si l’on en juge par les réactions ce matin au déplacement hier, rapporte notamment le Huffington  Post, de Marine Le Pen, Louis Aliot et Gaëtan Dussaussaye (FNJ) à la conférence  de presse du  mouvement Agir pour la France (APF).

     Une petite structure regroupant d’« anciens cadres du Rassemblement pour la France (RPF) et du Mouvement pour la France (MPF) de Charles Pasqua et de Philippe de Villiers ». « Après avoir rallié d’anciens chevènementistes, obtenu le soutien d’anciens gaullistes via le Siel »,  la présidente du FN a donc obtenu à cette occasion  le « soutien sans condition »  des membres de l’APF  « pour la présidentielle de 2017 ».

     « Seule exception notable à cette convergence patriotique: Debout la France, le parti politique fondé par Nicolas Dupont-Aignan, refuse toujours de saisir la main tendue de Marine Le Pen en vue d’une alliance électorale. Un refus qui laisse d’ailleurs la présidente du FN « dans un abîme de perplexité tant il lui semble difficile de trouver des différences programmatiques notables entre leurs deux formations politiques. A part un ego qui pourrait le pousser à considérer qu’il a sa chance »…

     Sur le site du journal  L’opinion, Béatrice Houchard  s’interroge : « Le gaullisme est-il soluble dans le Front National ? Fondé par des nostalgiques de l’Algérie française, le parti de Jean-Marie Le Pen a surtout un ADN anti-gaulliste ».

     « N’y-a-t-il pas un grand écart de voir d’anciens gaullistes rejoindre un FN fondé en 1972 par des nostalgiques de l’Algérie française et des anciens de l‘OAS (Organisation de l’armée secrète qui combattirent le général De Gaulle)? »  se demande pareillement  l’article du Huffington Post.

     « On n’a pas demandé aux Résistants quelle était leur couleur politique, réplique (très justement)  Henry Afonso, président de l’Union gaulliste et membre d’Agir pour la France ». Et l’on sait   d’ailleurs, ouvrons ici une parenthèse,  que les époques troublées  peuvent difficilement  s’appréhender  de manière  manichéenne, binaire.  Voir notamment la remarquable «  Histoire critique de  la Résistance»  de Dominique Venner ou  encore l’ouvrage de l’historien Simon Epstein, « Un paradoxe français : Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance »,  pour  connaître la part essentielle que les hommes et les femmes appartenant  à la  droite nationale, au courant maurrassien, jouèrent  dans la résistance à l’occupant.

     Et non pas  seulement, selon la légende officielle,  des démocrates-Chrétiens, des  socialistes ou des communistes, hommes de gauche dont beaucoup rallièrent aussi le régime de Vichy. On connait la  réflexion lapidaire  de De Gaulle : « Je n’ai trouvé à Londres que la cagoule (mouvement clandestin d’extrême droite des années 30, NDLR)  et la synagogue ».

     L’article du  Huffington Post  rapporte également les propos de  « Daniel Fedou, coordinateur de l’APF, et ancien compagnon de route de Paul-Marie Couteaux » : « Nous avons avec le FN trois points communs fondamentaux : il faut sortir de l’euro; il faut stopper l’immigration; il faut dénoncer les accords de Schengen, (…) » lequel  souligne à l’adresse des pontes de l’UMP : « On ne peut pas se dire gaulliste quand on s’est assis ainsi sur la souveraineté populaire ». 

     « Le passé (lepéniste) ( ?)  reste dans l’opinion nationale. Nous serons là pour rassurer les Français s’ils venaient à douter »,  a ajouté M.  Fedou ». De notre côté, et Bruno Gollnisch l’a souvent dit, nous serons également là pour rassurer nos compatriotes  nationaux,  les pieds-noirs, les harkis, leurs descendants, les inviter à  dépasser les traumatismes d’hier, les plaies toujours vives des crimes du gaullisme, au nom de l’intérêt supérieur  de  notre nation. Fort du  plus grand dénominateur  commun qui rassemble les Français de bonne volonté : la défense de notre souveraineté  et identité nationales à laquelle Charles De Gaulle, par ses écrits et certains de ses actes, avait manifesté son attachement.

     « Le passé est le passé. Il est temps de déposer les vieilles armes qui rouillent au placard », a affirmé hier  avec raison  Marine Le Pen. Ne rien oublier certes, mais avancer vers l’avenir sur le même chemin  pour  la France et les Français d’abord.  Pour que la voix  d’une  France libre, porteuse d’une vision du monde  alternative   au système mondialiste à tuer les peuples,  si singulière dans le concert des nations, ne s’éteigne pas  et traverse encore les siècles. C’est bien  pour la renaissance de   cette  France là, la France d’après l’UMPS,  que  nous luttons.    

  • Suède : capitale occidentale du viol

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    11h55

    En 1975, le Parlement suédois a décidé à l’unanimité de transformer la Suède autrefois ethniquement homogène en un pays multiculturel. Quarante ans plus tard, les conséquences dramatiques de cette expérience apparaissent : les crimes violents ont augmenté de 300%.

    Si l’on regarde le nombre de viols, l’augmentation est encore plus importante. En 1975, 421 viols ont été signalés à la police, en 2014, 6 620 viols l’ont été. C’est une augmentation de 1472%.

    La Suède est maintenant à la deuxième place sur la liste mondiale des pays au taux de viol le plus élevé. Selon une enquête de 2010, la Suède, avec 53,2 viols pour 100 000 habitants, n’est surpassée que par le minuscule Lesotho, situé en Afrique australe, qui a quant à lui un taux de 91,6 viols pour 100 000 habitants.

     


     Comment se fait-il alors, qu’en 2008, le voisin de la Suède, le Danemark, n’avait qu’un taux de 7,3 viols pour 100 000 habitants comparativement à celui de la Suède qui était quant à lui de 53,2 viols pour 100 000 habitants?

    La législation danoise n’est pourtant pas très différente de celle de la Suède et il n’y a aucune raison évidente pour que les femmes danoises soient moins enclines à signaler un viol comparativement à leurs voisines suédoises.

    En 2011, 6 509 viols ont été signalés à la police suédoise contre seulement 392 au Danemark. La population du Danemark est environ moitié moins importante que celle de la Suède, de sorte que même en ajustant les proportions démographiques, la différence entre les deux pays reste très significative.

     

    Depuis 2000, il n’y a eu qu’un seul rapport de recherche sur la criminalité des immigrés en Suède. Il a été réalisé en 2006 par Ann-Christine Hjelm de l’Université de Karlstads (Suède). Il est apparu qu’en 2002, 85% des personnes condamnées à au moins deux ans de prison pour viol dans le Svea hovrätt, une Cour d’appel suédoise, étaient nés à l’étranger ou étaient des immigrés de deuxième génération. 

     

    En cas de viol collectif, coupables et victimes sont le plus souvent jeunes et dans presque tous les cas, les auteurs sont issus de l’immigration, la plupart d’entre eux sont originaires de pays musulmans.

    Dans un nombre incroyable de cas, les tribunaux suédois ont montrés de la sympathie pour les violeurs et ont acquittés les suspects qui affirmaient que la jeune fille voulait avoir des relations sexuelles avec six, sept ou huit hommes à la fois.

    FDS

  • [Chez nos confrères] « Français de souche » : les identitaires sont-ils en train de gagner la bataille des mots ?

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    25/02/2015 – PARIS (via Le Rouge & le Noir)
    Le monde politique et médiatique français est en émoi. En cause, une expression employée par François Hollande dans son discours au dîner du CRIF. Revenant sur la profanation du cimetière juif de Sarre-Union par des jeunes proches des idées antifascistes, le chef de l’État a parlé d’un « cimetière dévasté par de jeunes lycéens, Français de souche comme on dit ».

    « Français de souche »

    Ce sont ces mots, « Français de souche », qui sont au cœur de la polémique. Plusieurs ministres, députés, personnalités politiques ou médiatiques sont montés au créneau dès hier soir et toute la journée pour dénoncer l’emploi de ce terme. « Je n’emploie jamais cette expression et d’ailleurs je bloque systématiquement sur les réseaux sociaux ceux qui se revendiquent de cela » déclare Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale. « Français de souche : plus qu’une maladresse, une faute » pour Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la Culture.

    Pourquoi tant de remue-ménage ? La réponse est elle aussi donnée par Aurélie Filippetti : « en utilisant ce terme il lui donne une légitimité qu’il n’avait jamais eue encore ». Car il faut bien comprendre que ce terme de « Français de souche » fait peur. Et le voir employé dans la bouche du président français est une victoire pour l’extrême-droite car il signifie que le mot a été accepté par les français, y compris par ses élites, même si elles ne l’emploient que pour le dénoncer. Et de même, la presse, avec un empressement qui relève presque de la panique, s’est immédiatement attachée à dénoncer ce terme : « Français de souche : pourquoi l’expression accaparée par l’extrême-droite n’a pas de fondement historique » titre par exemple le Huffington Post.

    La « bataille des mots » du PS

    « Gagner contre le Front national, c’est d’abord gagner la bataille des mots » déclarait Manuel Valls à l’université d’été du PS de La Rochelle en Aout 2013. Voir un président français socialiste parler de français de souche est, en soi, une claque pour le PS.

    Il ne faut pas se leurrer pour autant. Le français de souche n’existe dans la bouche des hommes politique de gauche uniquement quand il s’agit de le stigmatiser (collaboration, colonisation, profanation…).

    Cette « bataille des mots » se joue à la télévision, dans les médias et dans les discours politiques. C’est là qu’est le paradoxe : le PS, pourtant bien placé pour en contrôler le jeu, semble impuissant à empêcher certains termes, opinions et polémiques d’émerger dans le débat politique. L’hyper-médiatisation d’expressions propres à la gauche : “vivre-ensemble”, “éviter l’amalgame”, “stigmatisation”, “discrimination”, “tolérance”, … ne prend pas, quand les termes ne sont pas purement et simplement détournés de leur sens par une partie de la population française. Les débats restent obstinément centrés depuis plusieurs années sur les questions d’identité, d’immigration et d’islamisation.

     

    Français de souche, grand remplacement et remigration

    Ces mots n’existaient pas dans le vocabulaire politique et médiatique il y a dix ans. Si l’histoire derrière le terme « Français de souche » est ancienne, son sens actuel est récent et intimement rattaché au site Fdesouche (dont la presse évoque aujourd’hui l’influence dans ses différents articles ayant trait à la polémique soulevée par les propos de François Hollande). Le terme vise principalement à distinguer les Français « de souche » de ceux dits « de papiers ».

    En dix ans le terme a fait son apparition dans les milieux dits d’extrême-droite, sur les réseaux sociaux, dans la bouche des militants, puis progressivement dans les médias et dans les discours et débats des hommes politiques (en commençant par ceux les plus à droite pour atteindre jusqu’à la bouche critique de Jean-Luc Mélenchon).

    Ce terme, fortement lié à l’identité est en train d’en tirer deux autres vers la même lumière médiatique.

    Le « grand remplacement », théorisé par l’écrivain Renaud Camus, s’est d’abord développé dans les milieux identitaires jusqu’à faire depuis un an des sorties médiatiques de plus en plus nombreuses. Employée par Eric Zemmour, Ivan Rioufol, Jean-Marie Le Pen, Aymeric Chauprade, Marion Maréchal-Le Pen, … l’expression désigne, pour reprendre la définition qu’en donne la benjamine de l’assemblée nationale, « un effet de substitution sur certaines parties du territoire de ce qu’on appelle les Français de souche par une population nouvellement immigrée ».

    Le député de la Ligue du sud, Jacques Bompard, a même introduit ce terme à l’Assemblée Nationale en déposant une proposition de loi sur la « lutte contre le grand remplacement » [8]. Une rapide recherche dans l’actualité montre à quel point ce terme est maintenant régulièrement employé par les médias depuis plusieurs mois, y compris dans Libération, Le Monde, Le Nouvel Obs, L’Express, …

    Le troisième terme qui s’impose actuellement est celui de « remigration ». Promu par le Bloc Identitaire, il désigne une inversion de flux migratoires, non pas dans sa population globale, mais un flux inverse au flux qui a conduit des individus à quitter leur pays d’origine pour venir s’installer en France. Il s’agit donc d’un retour au pays de personnes ayant immigré en France au cours des dernières décennies.

    Bien souvent présenté dans les media comme un « fantasme », la remigration seraient aux portes du FN d’après Libération. En effet, le terme attire de plus en plus les militants FN et même certains de ses dirigeants.

    Déjà médiatisée par Eric Zemmour, la remigration attire aussi Aymeric Chauprade, ce qui n’a pas manquer de faire bondir à chaque fois SOS Racisme.

    Les nombreux débordements lors des rencontres sportives de l’Algérie, puis des manifestation pro-palestiniennes durant l’été dernier ont donné à Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire l’occasion d’appeler, avec un certain écho médiatique outré, ces populations immigrés à retourner chez elles : « Ce que nous vous proposons, c’est une remigration dans la dignité sur le sol de vos ancêtres et l’intérêt de nos deux peuples (…) Vous, Algériens avez tout à gagner à vous ré-enraciner. Car l’identité hors-sol n’existe pas ».

    De même, les tragiques attentats de début janvier en France et ceux de février au Danemark poussent la population à s’interroger sur la possibilité réelle d’un vivre-ensemble.

    Le premier ministre a voulu une bataille des mots, il est en train de la perdre. A force de dénoncer en permanence ces termes sans proposer une quelconque alternative, les media et les politiques les apprennent aux Français. Ceux qui ignoraient ou sentaient confusément que l’immigration est de plus en plus présente et qu’il faudra bien y trouver une solution reçoivent avec joie ces termes que les media leurs font découvrir en pensant les combattre. Gagner la bataille des mots c’est dans le même temps gagner la bataille des idées. Les identitaires sont-ils en train de gagner la bataille des mots ?


  • Accusé de financer «le lobby LGBT», David Douillet pousse un coup de gueule

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    Le député UMP des Yvelines, David Douillet Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA / Le Figaro

    LE SCAN POLITIQUE - Avec sa réserve parlementaire, le député UMP des Yvelines a subventionné «Le Refuge», une association qui vient en aide aux jeunes homosexuels rejetés par leurs parents. Depuis, il est harcelé par des électeurs.


     

    «La coupe qui était déjà bien pleine a débordé». David Douillet, l'ex-judoka aujourd'hui député UMP des Yvelines est indigné par les réclamations de certains de ses électeurs. Ces derniers harcèlent le bureau du parlementaire pour demander des explications quant à la subvention versée à l'association «Le Refuge», qui aide les jeunes homosexuels rejetés par leurs parents.

    Grâce à sa réserve parlementaire, l'élu a versé une subvention de 2000 euros au Refuge en 2014. Une initiative qui est intervenue après que David Douillet a régulièrement été taxé d'homophobie. Mais aujourd'hui, ce ne sont les plus associations LGBT qui critiquent le député... Sur son blog, David Douillet raconte: «Ce (mercredi) matin un homme a téléphoné à mon bureau, à l'Assemblée Nationale, pour se scandaliser que je finance ‘le lobby LGBT'». Il poursuit, interloqué: «Parce que j'ai choisi de venir en aide à des jeunes en rupture familiale, dont certains ont été jetés à la rue par des parents ne supportant pas leur homosexualité, dont certains ont déjà tenté de se donner la mort tellement leur souffrance était grande, alors pour cela, on vient maintenant me taxer de ‘financer le lobby LGBT'?!!»

    «Pauvre France»

    «Pauvre France, dont les enfants ne savent même plus distinguer un lobby qui milite pour des changements, que j'ai combattus, des heures et des heures, des nuits et des nuits à l'Assemblée (mariage homosexuel, PMA, GPA…) d'une association qui vient au secours de ceux dont la vie même est en danger», écrit David Douillet. Et d'asséner, en anaphore: «Pauvre France, dont les enfants se croient grands parce que ceux qu'ils regardent sont à genoux, et qui ont oublié le vrai sens du mot Fraternité».

    L'élu «revendique ce soutien à une association qui vient en aide aux jeunes homosexuels», n'y voyant «aucun lobby, juste de l'humanité, de la fraternité. Serait-ce trop?» «On peut avoir combattu le mariage homosexuel sans être homophobe», juge-t-il encore.

    L'ancien sportif «refuse de croire que nous en sommes arrivés à un point où les causes que nous défendons nous imposent de lutter contre une partie de nos concitoyens». Et de conclure son billet: «Pauvre France, ceux qui se prétendent tes meilleurs gardiens t'entraînent dans l'abîme de leur bêtise».

  • Au CRIF, ce 23 février, Hollande nous a déclaré la guerre !

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    François Hollande nous faisait honte, maintenant il nous fait peur. Son ennemi n'est plus la finance mais les Français qui aiment la France.
    Ancien chef d'entreprise
     
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    François Hollande nous faisait honte, maintenant il nous fait peur. S’exprimant, hier, à l’occasion du 30e dîner du CRIF sur les profanations du cimetière juif de Sarre-Union par une bande d’adolescents menée par Pierre B., un antifasciste notoire qui a cependant saccagé les tombes aux saluts et aux cris de « Heil Hitler », « Sales juifs » ou encore « Sale race », le président de la République s’est pour ainsi dire empressé – une fois n’est pas coutume – de nommer les origines de ces jeunes : « des Français de souche, comme l’on dit ».

    Par ses propos visant – comment en douter ? – à faire accroire l’antisémitisme comme étant l’apanage des Français d’origine française, non seulement le représentant de la République occulte très malhonnêtement l’antisémitisme qui sévit parmi les jeunes musulmans des banlieues – de plus en plus fréquemment évoqué par certaines personnalités – mais il valide le parallèle odieusement fallacieux émis par des Bruno Le Maire, des Jean-Christophe Cambadélis, des Philippe Bies et autres Cohn-Bendit, entre les attentats, les profanations juives et l’engouement de plus en plus avéré des compatriotes pour le Front national…

    François Hollande (sur la même ligne que Barack Obama) – qui choisissait de parler de « 21 personnes » décapitées par l’État islamique sans jamais nommer la religion chrétienne à laquelle elles appartenaient -, ce lundi, a atteint l’apogée dans le désamour qu’il éprouve pour le peuple français. Ce soir-là, les Français étaient, une fois de plus mais une fois de trop, traités d’antisémites par celui qui est censé les représenter.

    Ce 23 février, François Hollande nous a tués. Nous ? Les Français de souche mais pas seulement : tous les Français. Vous savez, ceux – d’origine et d’adoption – qui aiment leur France ; ceux qui ne volent ni ne violent ni n’assassinent personne. Ceux qui ne commettent pas d’actes répréhensibles, et qui ne crieront jamais « Allahu Akbar », comme ceux qui tirent à la kalach’ sur des caricaturistes ou des clients d’un supermarché casher.

    Un discours clairement antipatriote du républicain Hollande pour la 30e du CRIF, dont le président Roger Cukierman lui-même, quelques heures plus tôt, dénonçait l’antisémitisme d’une partie des jeunes de banlieues. Quand ce dernier décrit le Front national comme étant « un parti qui ne commet pas de violence ».

    Mieux : Cukierman voit en Marine Le Pen « une personne irréprochable ». Eh bien, en dépit de propos qui auraient dû le jeter illico en pâture aux socialistes et intimer à son chef de meute d’annuler sans autre forme de procès un dîner à 900 euros – paraît-il – ce dernier, devant un parterre de personnalités françaises de confession juive, se pose comme le président de Français ataviquement antisémites.

    Qui plus est, un président pour qui les attentats de janvier ont eu lieu les 5, 6 et 7 janvier au lieu des 7, 8 et 9. Sans importance, les dates ? Alors pas d’importance, non plus, de retenir celle de la grande « Marche d’union nationale » ? Peut-être bien qu’être Charlie, pour Hollande, ne présente aucun intérêt…

    « Les propos racistes et antisémites ne relèveront plus du droit de la presse mais du droit pénal », conclura-t-il. Mais pas les propos antifrançais ?

    Au CRIF, ce 23 février, Hollande nous a déclaré la guerre. Son ennemi n’est plus la finance mais les Français qui aiment la France. « La République n’aime pas ses enfants », écrivait ici-même, il y a deux jours, François Teutsch. La preuve par neuf par le « marcheur républicain » Hollandesescu…

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • « Je suis Copte aussi » : grand silence et malaise après la sortie de Léa Salamé ce samedi dans « On n’est pas couché »

      

    Grand silence et malaise dans « On n’est pas couché », samedi soir sur France 2, au moment où Léa Salamé s’exclame : « Je suis Copte aussi ».

    La remarque est tout simplement ignorée par Laurent Ruquier qui s’empresse de passer à la suite.

    NDF

  • Italie : « Appartement à vendre, 6.000 euros de rabais aux non-Européens »

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    24/02/2015 – PADOUE (NOVOpress)
    C’est une annonce qui fait du bruit. À Battaglia Terme, petite ville de la province de Padoue, en Vénétie, un Italien a mis en vente un appartement (70 m2, « meublé en style ethnique ») en affichant un panneau ainsi conçu : « Appartement en vente au rez-de-chaussée. De préférence pour acheteurs Roms – Roumains – Chinois ». Et encore, pour être plus concret, ce panneau-ci, accroché sur la grille de l’immeuble : « Particulier vend appartement au rez-de-chaussée. Rabais de 6.000 euros aux étrangers non-membres de l’Union européenne, Roumains, Chinois et Roms » [la Roumanie fait pourtant partie de l'Union européenne depuis le 1er janvier 2007, N.d.T.] (image en Une). Le prix de base est de 130.000 euros, ce qui, pour 70 m2 au rez-de-chaussée à Battaglia Terme, n’est pas précisément donné.

    En l’absence de toute réaction des autorités, des inscriptions indignées ont été rajoutées sur le panneau extérieur : « Ici c’est l’Italie », « Raciste », « Honte »… (image en Une) Jeudi dernier, la section de Padoue du parti nationaliste Forza Nuova a affiché de son côté une banderole : « Halte au racisme anti-italien ». « La discrimination mise en œuvre par le propriétaire de cet appartement, a accusé Luca Vardanega, secrétaire local de Forza Nuova, est le fruit de la semence sinistre que l’État italien plante tous les jours contre les Italiens. Nous en avons assez de la manière dont ce gouvernement impose le favoritisme pro-immigrés ».

    Interrogé par le journal local, Il Mattino di Padova, le vendeur a commencé par se défendre en expliquant : « Ma mère est croate, d’ethnie rom, et c’est pourquoi, pour des raisons familiales, je préfère traiter avec des étrangers non membres de l’Union européenne, y compris justement les Roms. Il n’y a rien de mal là-dedans, je ne suis pas raciste ».

    Puis il a utilisé l’argument d’autorité suprême – ou censé tel : « Le pape François dit qu’il faut aider ceux qui sont dans le besoin. C’est justement ce que je veux faire, j’évalue et je me réserve de faire un rabais à ceux qui veulent acheter mon appartement et qui sont le plus dans le besoin ».

    Car des Italiens et des Européens dans le besoin, c’est bien connu, il n’y en a pas. Sinon, le pape François en parlerait…

    Crédit photo : copie d’écran du dernier lien cité. DR.

  • Abattage rituel en France : « Cela concerne 50% du boeuf, 95% de l’agneau et 20% à 40% du poulet »

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    Après la crise de la vache folle et le «chevalgate», on pensait que la viande dans nos assiettes était sans danger et contrôlée… Détrompons-nous. L’enquête d’Anne de Loisy sur la filière de la viande en France dresse un constat alarmant.

    « Pour des raisons économiques les industriels pratiquent de plus en plus l’abattage rituel. Quand vous achetez un morceau de boeuf, un sur deux est abattu de façon rituelle, pour l’agneau on est quasiment à 95%, pour le poulet on est entre 20 et 40%. »

    « 20% des abattoirs ne sont pas conformes sur le plan sanitaire. »

    L'abattage rituel devient de plus en plus la norme.

     

    FDS

  • Les catholiques, citoyens de seconde zone en France

     

    Lundi soir, François Hollande, président de la République, était l’invité d’honneur du dîner annuel (à 900 euros par personne) du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    Durant son discours, François Hollande s’est longtemps apitoyé sur la profanation du cimetière juif de Sarre-Union. Il a longuement insisté sur le fait que les auteurs de ce saccage étaient des « Français de souche » mais il ne s’est pas souvenu que l’un d’entre-eux était un militant « antifasciste » notoire.

    Le président de la République n’a pas non plus estimé utile de faire la moindre allusion aux tombes chrétiennes profanées et aux crucifix arrachés des stèles à Tracy-sur-Mère, à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse ou à Saint-Beat.

    Pour la seule année 2014, le ministère de l’Intérieur a recensé des actes de profanation dans 206 cimetières chrétiens, 6 cimetières juifs et 4 carrés musulmans. Mais les tombes chrétiennes n’intéressent ni les élites politiques ni les journalistes. D’ailleurs, pour le député socialiste et ex-ministre Michèle Delaunay, « il n’y a pas de cimetières catholiques ».

    Du 1er janvier au 15 février 2015, nous avons relevé au moins 45 lieux de culte catholiques profanés !

    Le 3 février 2015, Vivette Lopez, sénatrice UMP du Gard et maire de Mus, posait une question écrite au ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve à propos de la recrudescence des profanations des lieux de culte chrétiens et notait :

    « Les statistiques gouvernementales en la matière indiquent que la religion catholique est bien largement la plus visée par les insultes et attaques que toutes les autres confessions. »

    Aussi, la sénatrice souhaitait connaître « les dispositions qu’entend mettre en œuvre le gouvernement afin de condamner fermement tout acte perpétré contre les lieux de culte chrétiens ». La réponse risque de se faire attendre...

    . N’est-ce pas le Premier ministre Manuel Valls qui a déclaré que « le départ de 100.000 juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de 100.000 chrétiens » (propos rapportés dans Libération du 22 janvier 2015 par l’écrivain israélien Yehoshua) ?

    Et quand François Hollande s’émeut de « l’assassinat sauvage de 21 ressortissants égyptiens, otages de Daech en Libye », il ne croit pas utile de relever qu’ils étaient coptes, donc chrétiens, et que c’est pour cette raison qu’ils ont été décapités.

    Combien de temps encore faudra-t-il que les catholiques de France subissent ce mépris éhonté de la part des « élus de la Nation » ?

     

    Alain Escada, président de Civitas
     
    E&R
  • La fin de la liberté d'expression sur Internet au menu du dîner du CRIF

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-fin-de-la-liberte-d-expression-sur-Internet-au-menu-du-diner-du-CRIF-31303.html

     

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    + 3 VIDEOS

  • Intervention d'Eléonore BEZ (FN) à la séance plénière du Conseil Régional PACA le 20 février 2015

    http://tv.regionpaca.fr/index.php/page/conseil

    Ordre du jour: RECHERCHE - Rapport 22 - de  4' 58"  à 5' 00" (après l'intervention de  Bernard MOREL)

     

  • Le Mont Saint-Michel filmé par un drone: un merveilleux spectacle !

    http://www.dailymotion.com/video/k3K8fPEjWTk2Oba6G7s?start=5

    (pas de code d'intégration)

    A regarder en mode plein écran

    Contre-info.com 23 02 15