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GAELLE MANN - Page 847

  • Le CICR arrête une aide d'urgence après confiscation de tentes par Israël 06/02/2014

      

    Le CICR arrête une aide d'urgence après confiscation de tentes par Israël




        Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé jeudi la suspension de la fourniture de tentes aux Palestiniens déplacés par les démolitions israéliennes dans la vallée du Jourdain, à la suite de confiscations de matériel par Israël.

    "Nous avons suspendu la distribution de tentes et d'abris à cause d'une série d'obstacles et de confiscations depuis le début de 2013" par Israël dans la vallée du Jourdain en Cisjordanie occupée, a indiqué à l'AFP un porte-parole du CICR, Jon Martin Larsen.
    "Nous continuerons à distribuer de l'aide après les démolitions de maisons, y compris des nécessaires d'hygiène, de cuisine, et des matelas", a-t-il précisé.

    Selon des sources humanitaires locales, une telle décision de la part du CICR est extrêmement rare.
    Israël a détruit 27 habitations palestiniennes dans la vallée du Jourdain, faisant 147 sans-abri, pour le seul mois de janvier, selon l'organisation israélienne de défense des droits de l'Homme B'Tselem.

    En septembre, un incident avait opposé une diplomate française à des militaires israéliens lors de la confiscation par l'armée de tentes et d'aide humanitaire destinées à des Palestiniens du village de Makhoul, dans la vallée du Jourdain, dont les habitations avaient été démolies.

    La vallée du Jourdain se trouve à 90% en zone sous contrôle total de l'armée israélienne, qui n'y délivre de permis de construire que de manière très restrictive, obligeant les habitants palestiniens à y bâtir sans autorisation, selon les Palestiniens et les organisations de défense des droits de l'Homme.

    Jeudi, 25 organisations dont Oxfam ont dénoncé dans un communiqué commun une augmentation de 43% des démolitions en 2013 par rapport à l'année précédente, à leur plus haut depuis 5 ans.

    "A la lumière de cette tendance inquiétante, nous, organisations locales et internationales, religieuses, humanitaires, de développement et de défense des droits de l'Homme, appelons à nouveau à un arrêt immédiat des démolitions de logements palestiniens et à un accès humanitaire immédiat, entier et sans obstacle aux personnes dans le besoin", est-il écrit dans ce texte.

    Selon le bureau de l'ONU pour l'aide humanitaire (Ocha), 390 structures palestiniennes, y compris non-résidentielles, ont été détruites en 2013, contre 279 l'année précédente.

    http://www.lorientlejour.com/article/853560/le-cicr-arrete-une-aide-durgence-apres-confiscation-de-tentes-par-israel-.html
     
    ALTERINFO.NET
     
  • Bobigny: un homme soupçonné de meurtre libéré faute d'encre dans le fax

    L'histoire d'un suspect libéré à la suite d'une grossière erreur matérielle fait grand bruit à Bobigny. Ce type d'incident n'est pas isolé. Les policiers dénoncent la multiplication des tâches administratives. Christiane Taubira donne son feu vert à l'ouverture d'une enquête.

     

    Le principal suspect dans le meurtre d'un disc-jockey battu à mort en 2011 en Seine-Saint-Denis a été libéré mercredi à cause d'un manque d'encre dans un télécopieur. L'homme est sorti jeudi à 17 heures de la maison d'arrêt de Villepinte à cause, donc, d'un problème de procédure. Le parquet de Bobigny n'avait pas d'encre dans son fax et un papier n'est jamais parvenu à la chambre de l'instruction. La nuit de la Saint-Sylvestre 2011, un père de famille de 33 ans, DJ amateur, avait été frappé à mort par une dizaine de personnes pour avoir refusé l'entrée d'une soirée qu'il organisait au Blanc-Mesnil. Considéré comme le principal suspect, un homme avait été interpellé peu de temps après les faits et écroué. Une seconde personne avait été interpellée en novembre 2012 et placée en détention provisoire également.

    «Ce qui s'est produit à Bobigny peut se passer n'importe où. Ce type d'erreurs arrive à cause de problème de procédure ou d'un souci matériel, explique Michel Bonnet de Synergie Officiers. Le problème, c'est que quand ce type d'erreur se produit, c'est toujours avec des meurtriers, des violeurs, autrement dit des personnes qui ont commis des délits graves. Aujourd'hui, nous sommes débordés par les tâches administratives, on nous demande de multiplier les documents, les procès verbaux, des tableaux, des statistiques. Nous sommes plus des fonctionnaires que des fonctionnaires de police. Il y a 20 ans, pour notifier une garde à vue, il nous fallait 30 minutes. Aujourd'hui, il faut compter 1 heure 30. C'est du temps que l'on ne consacre pas au fond ni à la victime». La ministre de la Justice, Christiane Taubira, a annoncé vendredi à Bordeaux qu'elle donnerait son feu vert à une enquête sur ce dysfonctionnement.

    Libéré à cause d'une erreur de date

    L'histoire de Bobigny n'est pas un cas isolé. Le 21 janvier dernier, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Poitiers avait décidé de libérer d'office Quentin Faucher, soupçonné d'une tentative de meurtre à Niort. L'arrêt sanctionnait une détention jugée illégale depuis 94 jours. Les magistrats avaient estimé que le jeune homme avait été victime d'une atteinte à son droit d'accéder à un juge et qu'il avait été dans l'impossibilité de saisir la chambre de l'instruction de sa demande de mise en liberté à cause de plusieurs erreurs commises par la justice

    En octobre 2012, un homme soupçonné de deux homicides en Seine-Saint-Denis en 2009 et 2011 a été libéré après une erreur de procédure liée au respect du délai légal dans lequel une détention provisoire doit être prolongée, révèlent des sources concordantes. Cet homme de 32 ans est suspecté d'un meurtre à Saint-Ouen le 26 septembre 2009 et a été arrêté en flagrant délit d'assassinat à Pantin le 8 juin 2011. Il a été libéré de la prison de Fresnes où il était écroué à la suite d'une «erreur dans la prise en compte de la date» à partir de laquelle sa détention provisoire devait être prolongée. Dans les affaires criminelles, le placement en détention provisoire d'un suspect doit être renouvelé au plus tard un an après avoir été décidé. Or dans cette affaire, les deux informations judiciaires ouvertes sur ces homicides, qui avaient chacune été accompagnées d'un mandat de dépôt distinct, avaient été jointes.

    En février 2011, un surveillant d'école mis en examen pour des agressions sexuelles sur deux enfants avait été récemment remis en liberté à la suite d'erreurs de procédure. Ecroué en septembre 2010 pour des faits d'agression sexuelle, cet homme de 33 ans avait reconnu avoir commis des attouchements sur deux écoliers de 7 et 8 ans dans une école primaire de Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne, et s'être livré à d'autres actes pédophiles depuis 1998.

    LE FIGARO

  • Sommes-nous capable de durer et d’endurer ?

    Ecrit le 6 fév 2014 à 11:08 par Henri Dubreuil dans Poing de vue

      Sommes-nous capable de durer et d’endurer ?Et de trois. Trois manifestations en trois semaines. La première pour la défense de la vie. La deuxième pour le jour de colère. La troisième pour la sauvegarde de la famille. Plusieurs centaines de milliers de personnes se sont ainsi mobilisées avec des convictions certes différentes mais unies dans leur rejet d’un système nauséabond, déshumanisant et dirigé par des esprits malades. Un système dont l’ultime vue est la fabrication d’un homme neuf, coupé de ses racines biologiques et familiales, rééduqué par l’école, assisté par l’État, apatride, consommateur et inapte à toute réflexion autonome.

    Beaucoup d’optimisme et de joie ont agité les cortèges. Tant mieux, car l’espoir fait vivre. Du moins, il permet d’avancer. Mais il ne serait pas sain de préjuger de l’effondrement prochain d’un système terriblement efficace et animé par une caste dirigeante solidement implantée. La bataille pour la sauvegarde de valeurs devenues ringardes et pourtant bien saines – famille, identité, libre-arbitre, initiative individuelle – ne fait que débuter. Elle s’annonce longue et difficile, car nos adversaires ne sont ni des novices, ni des naïfs. La franc-maçonnerie – visage identifiable parmi d’autres – affiche déjà plusieurs siècles d’histoire au compteur et charrie depuis longtemps cette idée de l’homme neuf. Elle est aujourd’hui fermement incrustée dans tous les piliers du pouvoir : magistrature, enseignement, diplomatie, médias, culture, patronat, cabinets ministériels ou représentation nationale. Elle a lentement mais sûrement tissé une toile dont les ramifications piègent désormais une grande partie des élites.

    Il n’est donc pas question de croire qu’une, deux, trois ou même dix manifestation inverseront le cours de l’histoire. De nouvelles défaites se profilent. PMA, GPA, euthanasie, théorie du genre, fiscalisme, assistanat, fichage, mondialisme, censure, réécriture de l’histoire, enfouissement de notre identité. Tel est le destin de notre pays et de beaucoup d’autres à plus ou moins brève échéance.

    Il est permis d’interpréter un tel propos comme le triomphe d’un pessimisme ravageur et démobilisateur. Pourtant, je m’accroche également à la vieille rengaine de l’espoir qui fait vivre. Je la conditionne cependant à une interrogation. Sommes-nous prêts à durer et à endurer ?

    « L’ogre maçonnique et ses multiples flatulences ne se laisseront pas impunément contrarier. »

    Durer ? Pour espérer renverser ce cours de l’histoire qui nous est si défavorable, il est nécessaire à notre tour de tisser notre toile. Or, tant que toutes ces évolutions restent positivement perçues par le subconscient d’une majorité de citoyens, ce sens de l’histoire ne peut que se prolonger. Il ne s’inversera que lorsque ces folies seront précisément rejetées par cette majorité. Pour ce faire, rien n’est moins nécessaire que l’engagement professionnel massif de jeunes (et de moins jeunes) dans la magistrature, l’enseignement, la haute administration et les médias afin de porter haut et fort nos valeurs, socle de l’indispensable guerre culturelle, elle même préalable nécessaire à toute victoire politique. Le réalisme exige ainsi de considérer qu’il faudra plusieurs années avant d’espérer récolter les fruits de ces efforts. La déchristianisation des esprits et la disparition des références qu’elle a engendrée ne se sont pas accomplies en quelques mois. Elles ont reposé sur des décennies de lutte culturelle et politique de la part de nos adversaires pour laisser place à présent au retour d’une civilisation barbare (loi du plus fort). Une certaines forme de « rechristianisation » de la société, mais surtout la réapparition de valeurs humanistes et respectueuses de l’ordre naturel nécessiteront tout autant de patience et d’engagement !

    Endurer ? Le chemin de la reconquête qui se profile est tout sauf un long fleuve tranquille. L’ogre maçonnique et ses multiples flatulences ne se laisseront pas impunément contrarier. Jusqu’à présent, nous restons ordinairement au stade des railleries et des insultes. Les contestataires de l’ordre établi et de son sens de l’histoire sont publiquement désignés comme réactionnaires ou obscurantistes. Pourtant déjà, les plus critiques subissent la garde à vue politique ou sont clairement ostracisés professionnellement et médiatiquement. Toutefois, tout cela n’est rien à côté de ce que nous pouvons redouter pour demain. Il nous faudra vraisemblablement souffrir la multiplication des arrestations arbitraires, le fichage généralisé, l’interdit bancaire, la mise au ban de la société, voire purement et simplement l’élimination physique. Certains sourient probablement à la lecture de ces lignes. Malheureusement, des esprits malades et malfaisants sont capables de bien des atrocités pour servir leurs idéologies et leurs intérêts.

    Posez-vous cette simple question. En 1984, quel citoyen lambda aurait pu imaginer que la France permettrait trente ans plus tard à un enfant d’être privé de mère tout en disposant de deux pères ? Quel citoyen lambda aurait anticipé un débat sur la location d’utérus ? Quel citoyen lambda aurait pu concevoir que de nombreux sujets (immigration, avortement, homosexualité, communautarisme, réchauffement climatique…) deviendraient des tabous du débat public ? Et si vous souhaitez vraiment vous faire peur, appliquez à notre société actuelle un rythme de changement similaire à celui des dix dernières années écoulées puis imaginez-la en 2050… Vous pouvez frissonner, en effet !

    Alors oui, l’espoir de lendemains qui changent est permis. Mais le principe de réalisme conduit à admettre qu’il faudra du temps, de l’énergie et de la souffrance… à supposer qu’une armée entière d’hommes et de femmes se lève pour reprendre entre ses mains le destin d’une humanité malmenée. Sinon, il ne restera plus que de lointains souvenirs d’un monde révolu. Un monde où l’homme était plus libre qu’aujourd’hui. Un monde où l’homme était fier de ses racines et de sa culture. Un monde où l’homme était élevé tant bien que mal par un père et une mère. Un monde où les plus faibles étaient considérés et non éliminés. Un monde où le travail était respecté. Un monde où la nature était préservée. Un monde certes bien imparfait mais qui ne cherchait pas à s’arroger systématiquement le droit de redéfinir et de contrôler le genre humain. Un monde probablement un peu plus humble, tout simplement…

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Israël fait désormais partie d’« Horizon 2020 » le programme de recherche et d'innovation de l'Union européenne

    Revue de presse
    Publié le 6 Février 2014

     

    Article de Yossi Lempkowicz publié par l’agence European Jewish Press le 5 février 2014

     

    Israël a commencé sa participation au programme de l'UE « Horizon 2020 » et devrait bénéficier de plus de deux milliards de dollars pour la recherche scientifique et renforcer sa position sur la scène internationale actuelle de la science et des technologies du futur. « Horizon 2020 » est le plus grand programme de recherche et d'innovation de l'UE, avec quelque 80 milliards d’euros (107 milliards de dollars) de fonds disponibles sur 7 ans (2014-2020). 

    En plus des investissements privés que cet argent va attirer, le programme promet de grandes avancées, découvertes et premières mondiales… Lire la suite en anglais.

     

    CRIF
  • Municipales : le parti des musulmans veut conquérir Bobigny

    Sélection de la rédaction à lire sur leparisien.fr

    Ils rêvent d'un grand meeting mi-février dans le sous-sol du Sénateur, la brasserie phare de la cité Karl-Marx, en plein coeur de Bobigny... Lire la suite »
     
     
    NOVOPRESS
  • Manifestation pour la dissolution des Femen : ce sera place Vauban

    Posté le 6 février 2014 à 21h46 

      

    ACommuniqué de l'Agrif :

    " Pour des raisons absolument pas crédibles, la préfecture de police de Paris est revenue sur l’attribution de l’esplanade des Invalides pour notre manifestation. Elle nous a fait d’autres propositions totalement inacceptables pour des raisons évidentes. Elle nous a finalement accordé la place Vauban avec promesse d’un élargissement d’horaires permettant à partir de 18h une dispersion qu’elle s’engage à pouvoir se faire sans difficulté. L’Agrif appelle donc tous les manifestants à se rassembler devant sa tribune dès 14h 45 ce samedi 8 février, place Vauban."

    Ce sera une manifestation statique ponctuée de discours.

    Concernant la demande de retrait du timbre FEMEN, vous pouvez rejoindre la page Facebook dédiée.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Valérie Trierweiler en vacances à l'île Maurice avec Mme Sapin et Mme Jugnot

    Sous le soleil de l'Ile Maurice, c'est là que Valérie Trierweiler, l'ex-première dame, a choisi de passer quelques jours de vacances pour effacer ses bleus à l'âme, selon le dernier numéro de Closer, dans les kiosques ce vendredi 7 février. <btn_noimpr>

     

    Un séjour paradisiaque dans l'Océan Indien avec deux bonnes copines.

    Selon nos informations, Valérie Trierweiler se détend à la plage avec Valérie de Senneville, journaliste et épouse de Michel Sapin, le ministre du Travail et de l', et Saïda Jawad, actrice et compagne de .

    Les trois femmes ont loué «un bungalow privatif dans un de luxe de l'île Maurice», décrit Elodie Mandel, journaliste à Closer, dans un extrait publié sur le site internet du magazine people.

    L'ex-compagne de François Hollande est décrite dans les colonnes du magazine «déambulant sur la plage en maillot de bain deux pièces à l’imprimé fleuri». 

    De quoi atténuer sans doute les blessures ouvertes lorsqu'a éclaté «l'affaire Gayet - Hollande». Vendredi 10 janvier, Closer publiait des photos et un article sans équivoque qui révélaient au grand jour la liaison du président de la République avec l'actrice Julie Gayet.

    Samedi 25 janvier, François Hollande officialisait par une déclaration par téléphone à l'Agence France Presse (AFP) sa rupture avec Valérie Trierweiler. «Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler», a-t-il annoncé, en s'exprimant à titre personnel.

    Depuis, tous les attributs symboliques de la «première dame» — une simple appellation qui ne recouvre aucun statut officiel en France —, ont disparu : compte Twitter officiel et rubrique sur le site internet de l'Elysée. Et, selon Closer, le dernier d'entre eux s'est envolé cette semaine : il n'y a plus de voiture blanche banalisée de la police garée en bas de l'appartement de Valérie Trierweiler, rue Cauchy, dans le XVe arrondissement parisien…

        

    LeParisien.fr   - 06 02 14

  • Italie: explosion du nombre de migrants arrivés par la mer

    http://www.directmatin.fr/monde/2014-02-05/explosion-du-nombre-de-refugies-arrives-par-la-mer-en-italie-654966

  • Versaillais et communards rassemblés: l’union sacrée qui effraye la secte

    6 février 2014

    tour de babel bisS’attaquer à «ce qui constitue le socle des valeurs sur lequel se fonde la majorité des familles de notre pays» (Le Bulletin d’André Noël) , saper ce pilier familial, un des rares encore debout, vaille que vaille, au nom d’une idéologie qui exige des Français qu’ils abdiquent frontières, repères et marqueurs identitaires…La gauche «sociétale » n’y renonce pas.  Le Monde titrait dernièrement que le recul du gouvernement sur la «loi sur la famille» s’explique par le fait que « Hollande veut éviter la mobilisation de l’extrême droite » (sic) -elle se concrétisera dans les urnes!-, mais  les députés socialo-écolo-communistes ruent dans les brancards. L’annonce du report de l’examen de ce projet de loi à 2015, accusent-ils à mots plus ou moins couverts, est la signe de la «trahison», de la «démission», de la «capitulation» du social-libéral Hollande devant la «réaction versaillaise».

    Manière d’occulter, soulignons-le au passage, que les versaillais en question, les bourgeois de droite pour faire court, sont aussi sur cette question sur la même longueur d’onde  que les communards, des catégories populaires présentes aussi dans les défilés, sensibles au discours frontiste,  et qui ne votent plus à gauche que de façon résiduelle…

      Plusieurs députés du PS et d’EELV, ont indiqué qu’ils ne renonçaient pas à déposer des propositions de loi visant à  appliquer certaines de ses dispositions les plus problématiques. Thierry Mandon, porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée,  le président de l’Assemblée, Claude Bartolone,  et même le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault l’ont affirmé. Ce dernier a précisé que le travail sur le projet de loi allait « se poursuivre » et serait « mené à bon port ».

     Porte-parole des élus PS, Annick Lepetit, rapporte Le Monde,  est amère: «On aimerait bien que tout le travail effectué ne soit pas perdu… Il y a besoin de mieux comprendre ce qu’il s’est passé hier jusqu’à la décision du Premier ministre. Il n’y avait pas besoin de reprendre dès lundi matin les slogans de La Manif pour tous, de mettre dans le même sac PMA et GPA. »

     Elle n’est pas la seule indique le quotidien: «Furieuse, la fédération lesbienne gay, bi et trans rappelle au gouvernement qu’il n’a rien à attendre des opposants aux droits des nouvelles familles qui par définition grossissent des droites variées, alors qu’électoralement il a tout à perdre de celles et ceux à qui il refuse de nouveaux droits ».

     Il est un secret pour personne que cette loi sur la famille est aussi le fruit des réflexions de certaines loges maçonniques extrémistes. Or, dans cette situation politique chaotique, le gouvernement n’entend pas se priver de l’appui, ou  à tout le moins,  de la neutralité bienveillante des frères.

     Le « blog Franc-maçon » de L’express, tenu par François Koch, rapportait  qu’ «Au cours de la cérémonie de vœux qu’il a offerte aux obédiences maçonniques le 30 janvier (…)  au ministère de l’Intérieur, Manuel Valls a exhorté les francs-maçons à se battre contre les extrémismes, l’extrême-droite, Dieudonné en particulier… et en stigmatisant les attaques indignes de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier».

     « Dans un discours très républicain (sic), où le terme laïcité a été utilisé plusieurs fois, Manuels Valls a souligné le rôle positif de la franc-maçonnerie dans la construction de la République française ». Une manière en effet pour Manuel Valls de rappeler à tous  que les valeurs de «sa»  République sont celles du mondialisme  maçonnique  et  qu’il entend s’appuyer sur les fils de la veuve pour mener à bien sa politique antinationale.

     Une façon aussi  de désamorcer la crise pouvant naître de la reculade gouvernementale (tactique et éphémère ne soyons pas naïfs) sur cette «loi sur la famille». Une volonté de faire «passer le message»,  de flatter, de rassurer les obédiences maçonniques (déjà très bien représentées au sein du gouvernement Ayrault) en sollicitant leur appui contre la vague patriotique et nationale qui ne cesse de prendre de l’ampleur.

     « De mémoire de maçons, souligne François Koch, c’est la première fois qu’un ministre de l’Intérieur offre une cérémonie de vœux aux obédiences. Nicolas Sarkozy l’avait fait, mais en tant que Président de la République».

     «Pour écouter le ministre Valls, boire le champagne et déguster les petits fours, 35 francs-maçons sur les 50 prévus se sont déplacés au ministère de l’Intérieur (Yvette Roudy, Catherine Jeannin-Naltet, Alain Juillet, Jean-Pierre Servel, Roger Dachez, «trois anciens Grands Maîtres : Philippe Guglielmi, Jean-Michel Quillardet Alain Bauer » , conseiller de MM. Sarkozy et  Hollande).

     «Quatre obédiences étaient représentées : le Grand Orient de France (GODF), la  Grande Loge Nationale Française (GLNF), la Grande Loge Féminine de France (GLFF)  et la Grande Loge de l’Alliance Maçonnique Française (GLAMF). »  La GLDF  (Grande Loge de France) et la  FFDH (Fédération Française du Droit Humain) étaient absentes précise M. Koch.

     « Pour le GODF, plusieurs conseillers de l’Ordre représentaient le Grand Maître Daniel Keller (retenu à Brignoles pour une conférence où il expliquait pourquoi un franc-maçon ne peut pas être membre du FN).»

     Cette petite causerie de Daniel Keller dans ce canton conquis par notre ami Laurent Lopez en octobre dernier, a été évoquée par Var-Matin qui a publié un entretien avec le nouveau grand sachem de la secte grande orientale. Chef d’entreprise, marié, père de trois enfants, âgé de  54 ans, homme de gauche mais  non membre du PS, M. Keller, « initié dès 1996 dans la loge d’inspiration anarchiste Vérité Ni dieu Ni maître»,  a été élu à la tête du GODF l’année dernière. Une élection remportée  face au socialiste encarté et haut-fonctionnaire Alain Simon, le candidat qui avait la préférence des apparatchiks du PS.

     Interrogé avec la révérence et la complaisance qui sied à sa dignité, le frère Keller a débité dans Var matin son credo d’humaniste laïcard, masque commode emprunté depuis toujours pour s’attaquer aux valeurs helléno-chrétiennes.« La franc-maçonnerie interpelle les gens de pouvoir pour les mobiliser sur la défense des valeurs fondamentales. Il nous faut être à la source des réflexions sociétales (…)  il faut prôner nos valeurs ouvertement pour faire reculer les extrêmes ».

     En bon propagandiste d’une  république universelle ne pouvant émerger  que sur la ruine des nations et des peuples enracinés, le grand sachem a donc logiquement sorti de son tablier les incantations antifrontistes. « À Brignoles ou ailleurs, explique-t-il,  de gauche ou de droite, la franc-maçonnerie doit être le défenseur de cet esprit républicain, pour éviter un naufrage politique. Le Front National n’est pas francmaçonniquement compatible. » Un avis, rappelons-le qui n’est pas partagé par toutes les obédiences maçonniques.

     Gardons cependant ce trait d’humour pour la fin, M. Keller  a encore tenu à préciser  qu’«On n’entre pas dans la franc-maçonnerie pour faire des affaires, se créer un réseau ou se faire élire (sic) . Nous sommes détachés du politique (sic) . Et, si des hommes politiques ne cachent pas leur appartenance, je doute que fréquenter les loges maçonniques soit compatible avec un emploi du temps de ministre (sic)…».

     En fait d’incompatibilités estime Bruno Gollnisch,  ce sont bien les dogmes extrémistes que M. Keller et ses amis  infusent dans les programmes de l’UMPS, qui  le sont avec les vœux et le attentes des Français. Et c’est cette prise de conscience  de nos compatriotes, qui effrayent les gourous sectaires  pseudo-républicains. Ils ont d’ailleurs raison d’avoir peur, car comme le note Marine Le Pen, versaillais et communards rassemblés, «Unis les Français sont invincibles!».

  • Le lapsus de Valls sur Dieudonné !

     

  • Au péril de l'océan

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    Ce qu'il reste de l'école de surf

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    La villa L'Amélie  va tomber dans le vide

    Soulac - Pointe du Médoc  2013

     

  • Hollande passe sous la barre des 20% de confiance

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    Par Benjamin Bonneau avec Reuters

    Publié le 6 février 2014 à 16h48Mis à jour le 6 février 2014 à 17h03

    SONDAGE - Seulement un Français sur cinq fait confiance au chef de l’État pour "résoudre" les problèmes du pays. C'est une première.

    L’INFO. L’annonce de son "pacte de responsabilité" n’a apparemment pas convaincu les Français. Selon le baromètre TNS SofresSOPRA Group pour Le Figaro Magazine publié jeudi, seulement 19% d’entre eux font en effet confiance à François Hollande pour "résoudre" les problèmes du pays. Une perte de trois points par rapport au mois dernier qui entraîne le président à son plus bas niveau dans ce baromètre.

    "Difficulté du couple exécutif à convaincre les Français". Plus inquiétant pour François Hollande, la perte de confiance est particulièrement nette chez les sympathisants socialistes, qui sont désormais moins de la moitié (49%) à lui faire confiance, en recul de sept points. "Il s'agit du niveau le plus bas enregistré par le président depuis son élection", écrit l'institut. "Dans l'histoire de notre baromètre, seul Jacques Chirac a atteint des niveaux plus bas" avec 16% en juillet 2006, après 11 années au pouvoir, précise-t-il. Et comme Jean-Marc Ayrault n’a que 20% de cote de confiance, l’institut estime que "ces faibles niveaux continuent (...) de témoigner de la difficulté du couple exécutif à convaincre les Français - et même les sympathisants de gauche -, de l'efficacité de leur action, à quelques mois d'échéances municipales qui pourraient s'avérer délicates pour le Parti socialiste".

    Europe 1

  • BPCE : François Pérol mis en examen pour prise illégale d’intérêts

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    Par Les Echos | 06/02 | 15:07 | mis à jour à 20:57

     

     

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    Il était entendu cet après-midi sur son rôle dans le rapprochement des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires, alors qu’il était secrétaire général adjoint de l’Elysée.

     

    L’avenir se complique pour François Pérol. Le président de BPCE, groupe bancaire issu de la fusion des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires, a finalement été mis en examen jeudi pour prise illégale d’intérêts, à l’issue de son audition jeudi par un juge d’instruction. En dépit de cette mise en examen, rien ne contraint, a priori, François Pérol à démissionner.

    Le président a dû s’expliquer sur les conditions de sa nomination à la tête du groupe bancaire. Il devait également détailler son rôle dans le rapprochement des deux banques, alors qu’il était secrétaire général adjoint de l’Elysée, sous Nicolas Sarkozy. Les syndicats CGT et Sud, dont la plainte a déclenché l’affaire, estiment que le fait pour le dirigeant d’avoir pris en 2009 la direction de la future BPCE constitue une prise illégale d’intérêts. Par ailleurs, la loi interdit aux fonctionnaires d’être embauchés par des entreprises sur lesquelles ils exercent une autorité directe.

    Un dossier classé dans un premier temps

    Le parquet de Paris avait dans un premier temps classé les plaintes sans suite, estimant que le rôle de François Pérol avait été d’informer le président de la République et que le secrétaire général de l’Elysée « n’était pas une autorité publique compétente pour intervenir dans le dossier ».

    Mais les syndicats s’étaient alors portés parties civiles et après une nouvelle bataille judiciaire, portée devant la Cour de cassation, l’enquête avait été de nouveau confiée au juge du pôle financier Roger Le Loire. La prise illégale d’intérêts est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 500.000 euros d’amende.

    A lire aussi   :

    Les Echos
     

     

  • Femen : les militantes du RF trouvent leur nouveau local et révèlent un scandale !

     

    Vu sur le site du mouvement :

    « Dans la

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    les militantes RF marquent la zone…

    nuit de mardi à mercredi, les militantes parisiennes du Renouveau Français ont joué l’acte III de l’opposition « Françaises VS Femen ». Ce troisième acte dévoile, comme il se doit, le nœud de l’intrigue.

    Après une enquête assidue, nos militantes ont découvert des éléments pertinents dissimulés par les médias, dont le rôle joué par Julien Boucher, maire PS du XVIIème arrondissement, dans l’hébergement des Femen.

    C’est un véritable scandale qui éclate : celui-ci leur offre gracieusement un gîte, dans un « squat » que les activistes voudraient tenir secret !

    Nous avons donc, sans trop de peine, su exploiter cette piste pour en apprendre davantage. En effet, Julien Boucher est déjà connu des tribunaux pour un jeu trouble de sous-locations illégales et de demandes de subventions suspectes. Il n’en est donc pas à son femen4coup d’essai en hébergeant ces jeunes femmes sous la bienveillance de la mairie de Paris, et l’œil sans doute approbateur de son collègue et ami Bertrand Delanoë.

    Faudrait-il donc que la corruption généralisée soit passée sous silence ?

    Le Renouveau Français dit NON. Nous avons donc trouvé sans peine au 4 rue du port, à Clichy, le nouveau pied-à-terre des hystériques. Nous nous sommes empressés de leur faire l’honneur d’une visite.

    Nous avons eu la courtoisie de les aider à rendre plus visible ce nouveau local au moyen d’une banderole « FEMEN MILICE, PS COMPLICE ». Nous avons également agrémenté la devanture du « squat des effrontés », 35 rue Maurice Ripoche dans le XIVème, lieu de réunion LGBT régulièrement fréquenté et sollicité par les Femen, de quelques messages laissés à leur intention sur le bitume : « FEMEN, PAYE TON LOYER », « FEMMES MAIS PAS FEM’HAINE » et un ironique « LA REVOLUTION OUI, MAIS SUBVENTIONEE ».

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    Graffitis devant le local

    Donner un local aux FEMEN, aux frais du contribuable, c’est se rendre complice des profanations qu’elles opèrent et qu’elles ne manqueront pas de réitérer.

    Rejoignez-nous derrière notre banderole samedi, lors de la manifestation pour la dissolution de ce groupuscule, organisée par l’Agrif. Montrons à nos gouvernants que nous ne sommes pas dupes. Ils vont maintenant devoir répondre de ce soutien inconditionnel offert à une milice enragée d’anti-chrétiennes primaires.

    (Vidéo à suivre) »

    Contre-info.com

  • 6 février 1934

     

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    Dans Notre Avant-Guerre, Robert Brasillach avait écrit :

    "Pour nous, nous n'avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d'une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu'importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n'empêchera pas ce qui a été d'avoir été."

     

    Un peu plus tard, le 5 février 1945 au soir précisément, il écrivait le dernier des Poèmes de Fresnes : "Aux morts de février" :

    "Les derniers coups de feu continuent de briller

    Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.

    Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?

    Je pense à vous ce soir, ô morts de février".

  • La tragédie du "Wilhem Gustloff", dans la nuit du 30 au 31 janvier 1945

    Dans la nuit du 30 au 31 janvier 1945, le "Wilhem Gustloff" est torpillé en
    mer Baltique par un sous‑marin soviétique. A son bord, plus de 10.000
    personnes – dont 4.000 enfants et adolescents – essentiellement des réfugiés
    de Prusse orientale fuyant l’Armée rouge. On ne dénombrera que 1.000
    survivants. Il s’agit de la plus grande catastrophe maritime de tous les
    temps.


    D'autres navires de transport CIVIL seront également coulés par les
    Soviétiques durant cette période : le "General von Steuben", coulé le 10
    février 1945, 3.000 morts, et le "Goya", le 16 avril 1945, 5.000 morts.
    Quant au "Cap Arcona", au "Thielbek" et au "Deutschland", c’est la
    valeureuse Royal Air Force qui, le 3 mai 1945, les enverra par le fond.
    8.000 morts, là aussi essentiellement des réfugiés fuyant la barbarie
    communiste.

     


    Ces crimes de masse ne seront évidemment pas jugés par le Tribunal militaire
    de Nuremberg, un tribunal créé par les Américains le 8 août 1945, soit deux
    jours après le bombardement atomique d’Hiroshima, 250.000 morts, et la
    veille du bombardement atomique de Nagasaki, 150.000 morts...