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GAELLE MANN - Page 902

  • Manifestation des policiers devant l'Assemblée Nationale - "On a des rats dans nos commissariats!"


    BFM Story: manifestation des policiers devant l... par BFMTV

  • Nos soldats seraient des mercenaires…

     

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    Selon le Courrier Picard, Richard Trépant, maire de Jussy (Aisne), a refusé la minute de silence en mémoire des sept soldats français tués au Mali, en 2013 alors que ce même jour François Hollande recevait dans l’intimité les familles de ces mêmes soldats. Le motif : on ne rend pas hommage à des mercenaires.

    C’est à se demander si ce maire connait seulement la définition du mot mercenaire. Le terme vient du latin mercenarius, lui-même dérivé du mot merces qui signifie salaire. Un mercenaire est un combattant de métier qui est recruté moyennant finance par un État, une entreprise, un mouvement politique ou toute autre organisation légale ou non, en dehors du système statutaire de recrutement militaire d’un pays. C’est l’armée française, sous les ordres de François Hollande, qui est intervenue au Mali et non quelques ex-militaires français. Doit-on en déduire que François Hollande est aussi un mercenaire ? Décidément, la cote de François Hollande est pire que ce que l’on croyait, si même un élu arrive à sous-entendre que le Président serait un mercenaire au service du Mali. D’autre part, les salaires même avec primes ne sont pas non plus mirobolants.  De par leur statut, les militaires français ne sont donc pas des mercenaires.

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    ALTERMEDIA FRANCE-BELGIQUE

  • Fronde sociale et fiscale: les préfets sonnent l'alarme

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    EXCLUSIF - Le Figaro révèle la teneur de leur dernière synthèse confidentielle, adressée aux plus hautes autorités le 25 octobre, sur ce qui se passe dans les départements. Elle décrit «une  société en proie à la crispation, à l'exaspération et à la colère».

     

    Les préfets alertent le gouvernement. Le Figaro a eu connaissance de leur dernière synthèse sur le climat économique et social, datée du 25 octobre dernier. Un document confidentiel réalisé tous les mois par le secrétariat général du ministère de l'Intérieur et adressé aux plus hautes autorités de l'État, jusqu'à l'Élysée. Il compile les observations de ces grands commis dans chacun des 101 départements français.

    La précédente synthèse, datée du 27 septembre 2013, avait été communiquée aux dirigeants de la majorité. Elle évoquait la crise rurale et le «discours antifiscal» en termes plutôt sibyllins. Mais la synthèse des préfets du 25 octobre, de 4 pages, dont nous reproduisons les principaux extraits, ne risquait pas de filtrer officiellement tant les mots employés sont explicites. Comme si la haute fonction publique avait décidé de ne plus retenir totalement sa plume.

    «Partout sur le territoire, les préfets dressent le même constat d'une société en proie à la crispation, à l'exaspération et à la colère», révèle la note. Sur la fiscalité, les préfets évoquent le caractère «fédérateur» de la «contestation de l'action gouvernementale» auprès des professionnels et des particuliers. «Lorsque les uns dénoncent la “volatilité et la lourdeur des règles fiscales qui freinent le développement des entreprises”, les autres remettent en cause la légitimité de l'impôt», exposent les auteurs du document, citant notamment sept départements, de la Haute-Savoie à la Loire-Atlantique, le propre fief de Jean-Marc Ayrault. «Sur le front de l'emploi, l'embellie estivale a été de courte durée», risquent encore les préfets, à rebours du discours gouvernemental. Mais ces représentants d'une vieille institution mise en place par Napoléon sont là pour dire la vérité. Ils décrivent ainsi, face aux «annonces successives de liquidations judiciaires et de plans sociaux (qui) marquent chaque jour de nouveaux esprits», le «climat douloureux» et même «un sentiment d'accablement». Et de poursuivre: «D'ores et déjà, ce mélange de mécontentement latent et de résignation s'exprime de façon éruptive à travers une succession d'accès de colère soudains, presque spontanés, et non au sein de mouvements sociaux structurés.» Comme le constatent visiblement les préfets du Calvados, de la Lozère ou de l'Orne.

    Selon cette synthèse, «de plus en plus, les revendications sont portées en dehors du cadre syndical, à travers des actions plus radicales: grèves de la faim, blo­cages de longue durée, dégradations et menaces de perturbation de grandes manifestations culturelles ou sportives ont pris le pas sur les défilés en ville.» Les préfets de Paris et Rouen insistent sur cette évolution. À lire tout ce qui remonte place Beauvau, «la situation sociale laisse peu de place à l'opti­misme», disent les préfets.

    Une doléance en filigrane

    Dans la deuxième partie de leur rapport secret aux plus hautes instances du pays, ils déclarent que «la journée nationale d'action du 22 octobre contre l'écotaxe a démontré que le mécontentement ne se limitait pas à la Bretagne». Ils citent alors 23 départements, de l'Ain à la Somme, où «agriculteurs, entrepreneurs, professionnels du bâtiment, transporteurs, tous sont mobilisés pour faire part de leur inquiétude quant à l'entrée en vigueur, le 1er janvier 2014, de l'écotaxe poids lourds.» Leur analyse économique est limpide: «Partout sur le territoire, les arguments développés étaient sensiblement les mêmes. Le principal sujet de préoccupation est le renchérissement des coûts de production, notamment dans l'agroalimentaire.» Les préfets du Cantal, du Loir-et-Cher et du Puy-de-Dôme font remonter que «les produits français seraient taxés plusieurs fois lors du circuit de transformation, contrairement aux produits d'importation déjà transformés».

    Les préfets émettent également une doléance en filigrane: qu'on les laisse démonter les portiques écotaxe avant qu'ils ne soient tous détruits. Le message est ainsi exprimé: «La contestation a pris la forme d'opérations coups-de-poing de bâchage de portiques, dont les préfets rappellent la grande vulnérabi­lité à des actes de malveillance.»

    La synthèse du 25 octobre indique aussi que «les préfets notent que la mobilisation s'étend à des territoires ou des secteurs jusque-là préservés.» Et de mettre en exergue neuf départements où ces hauts fonctionnaires mettent en garde, de l'Aisne à la Charente, en passant par la Sarthe ou la Côte-d'Or, en Bour­gogne. Loin, bien loin de la Bretagne et de ses «bonnets rouges».

    Un grand préfet, contacté par Le Figaro, confirme à la date d'aujourd'hui ce que ses collègues et lui-même prédisaient il y a maintenant un peu plus de deux semaines dans cette note. «On se focalise sur la Bretagne, mais certains points du territoire connaissent des difficultés encore plus grandes, comme la Nièvre, le Cher ou l'Indre

    Le secrétariat général du ministère de l'Intérieur évoque, pour sa part, dans sa synthèse, un risque d'extension de la fronde rurale. «Fait rare, indique-t-il dans sa note confidentielle, il semblerait que les grands groupes du monde agro­alimentaire se soient réunis pour évoquer de nouvelles pistes de contestation, ce qui augure d'une mobilisation de plus grande ampleur et dans la durée.» En Bre­tagne, quoi qu'il en soit, la réponse du gouvernement avec son "pacte d'avenir" n'a pas encore convaincu. «Le rejet est unanime», constate froidement le préfet local, à en croire ce rapport. Et la contestation fait tache d'huile, inexorablement, malgré les efforts déployés à Paris. C'est cette bombe à retardement que François Hollande et Jean-Marc Ayrault s'évertuent à désamorcer. Pour l'heure, sans grand succès. Le tandem exécutif ne pourra dire, en tout cas, qu'il n'a pas été averti. L'administration a parfaitement fonctionné en prenant le pouls du terrain.


    Les mots chocs du rapport

    • Contestation

    «La fiscalité est devenue le principal moteur de contestation de l'action gouvernementale»

    • Accablement

    «Face à l'accumulation (des) mauvaises nouvelles, il règne un climat douloureux, un sentiment d'accablement qui empêche de se projeter dans un avenir meilleur. C'est sur ce terreau que prospèrent les ferments d'une éventuelle explosion sociale, et le slogan récent de la Capeb (Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment, NDLR) sonne comme un avertissement: “Attention, un jour, ça va péter.”»

    • Mobilisation spontanée

    «En Bretagne, l'annonce du pacte d'avenir n'a pas permis d'apaiser la contestation qui semble franchir un nouveau palier. Le rejet est unanime, la plupart des responsables politiques s'expriment désormais en faveur d'un moratoire, l'opinion publique se rallie à la cause des opposants, et la mobilisation des acteurs économiques est désormais spontanée.»

    • Extrémisme

    «Les préfets appellent l'attention sur la difficulté qu'ont les élus et les corps intermédiaires à produire du sens et donner confiance (…). Ce climat de pessimisme et de défiance alimente le discours des extrêmes sur l'impuissance des pouvoirs publics.»

    • Exaspération

    «L'ampleur de la polémique (sur l'affaire Leonarda, NDLR) est apparue comme complètement déconnectée des préoccupations quotidiennes des citoyens, plus inquiets de la situation économique et sociale, ce qui n'a pas manqué d'aviver leur exaspération.»

     

    LE FIGARO - 13/11/13

  • La ficelle de l’antiracisme était trop grosse

     

    « Je n’ai jamais été scout. Taubira non plus, à en juger par sa difficulté à allumer un feu, préparé, il est vrai, avec de pauvres brindilles et un pétard mouillé. En guise de « brindilles », elle a utilisé une candidate du Front national aux municipales à Rethel (Ardennes) qui l’avait comparée à un singe et une gamine qui, à Angers, l’a traitée de guenon en brandissant une peau de banane, peut-être avec le secret espoir qu’elle glisserait dessus, comme dans une BD de Boule et Bill… Horreur!

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    Les cheveux de Madame le ministre s’en sont dressés sur sa tête, sons sens politique aigu s’est réveillé comme jamais et des frémissements de bonheur courroucé lui ont couru le long de l’échine jusqu’au croupion. « Ils » avaient osé! Ne restait qu’à ressortir le vieux pétard mouillé de l’antiracisme pour allumer une affaire d’Etat à partir de ces non-événements.

    Qui sème le vent récolte la tempête: les attaques contre Taubira, si malencontreuses soient-elles dans leur formulation, s’expliquent principalement par la détestation qu’elle s’est attirée en travaillant à légaliser le « mariage » entre personnes de même sexe. Mais l’occasion est belle de ressortir des cartons la sempiternelle accusation de racisme pour intimider ses adversaires et remobiliser le gogo bobo. « Cela renvoie évidemment à ses parents, au cadre familial, à l’éducation », a déclaré dans « Libération » le garde des Sceaux à propos de la fillette qui l’a injuriée. Les journalistes embrayent: les responsables, ce sont toujours les parents! Voilà qui va sûrement faire plaisir à Marisol Touraine, dont le fils est en prison pour avoir braqué une femme à son domicile, et à Laurent Fabius, dont le fils Thomas connaît lui aussi quelques démêlés avec la justice…

    Au fait, dans quelle mesure l’éducation dispensée par Christiane elle-même n’explique-t-elle pas qu’un jour de 1996, son fils Lamine ait lui-même été trouvé en possession de menus objets dérobés au cours d’émeutes à Cayenne? Voilà une réputation laminée! La ficelle de l’antiracisme était-elle trop grosse? La manipulation n’a d’abord pas fonctionné. Dame Tautau s’en est plainte lors d’un entretien accordé le 5 novembre à « Libération »: « Les réactions n’ont pas été à la mesure […] Ce qui m’étonne le plus, c’est qu’il n’y a pas eu de belle et haute voix qui se soit levée pour alerter sur la dérive de la société française. » La grande et belle voix n’a pas tardé à répondre: du haut de l’Elysée, Flanflan-la-Tulipe en personne a condamné l’hydre raciste, ce qui n’avait plus été fait depuis au moins le mois de juin dernier – une éternité! [...] »

     

    ALTERMEDIA FRANCE-BELGIQUE

  • Messieurs les élus, le 11 novembre, cessez le feu !

     12 novembre 2013   NP Info Provence-Alpes-Côte d'Azur                                                  

    Marion Marechal Le Pen

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, députée Front National de la troisième circonscription du Vaucluse

    Au lendemain des cérémonies commémoratives du 11 Novembre, moments dans lesquels l’esprit d’apaisement, de réconciliation et de cohésion nationale devrait prévaloir sur toute autre considération, Marion Maréchal-Le Pen tient à faire part de son écœurement vis-à-vis des bassesses pratiquées par certains élus locaux.

    Bien qu’élue députée du Vaucluse, certaines mairies ne l’ont pas conviée à assister aux cérémonies au mépris des règles protocolaires. D’autres l’ont empêchée de se faire représenter lors des dépôts de gerbe, usage pourtant répandu et admis dans toute la France. Des présidents d’associations patriotiques et d’anciens combattants ont également subi des pressions lorsqu’ils faisaient preuve de courtoisie et de politesse à l’égard de leur représentante à l’Assemblée nationale ou de son suppléant.

    Cette attitude, de la part d’élus qui se disent « républicains et démocrates », est en totale contradiction avec leurs prétendues valeurs. Elle est à la fois insultante pour les élus du Front National et pire, pour le peuple. Enfin, elle est symptomatique d’une peur non dissimulée de fin de règne imminente.

  • Florian Philippot sur les heurts du 11 Novembre - LCI

  • Soutien de Marine Le Pen aux policiers qui manifestent ce jour

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Marine Le Pen apporte son plein soutien aux policiers, nombreux à manifester aujourd’hui pour dénoncer des conditions de travail indignes.

    La police, comme la gendarmerie, est victime depuis des années, sous l’UMP comme le PS, d’une politique de démotivation, de précarisation et de réduction des effectifs inacceptable.

    Derrière les discours fermes des ministres de l’Intérieur successifs, jusqu’au piteux Manuel Valls, se cache systématiquement une politique d’aggravation des conditions de vie et de travail de nos forces de l’ordre. Une politique qui les appauvrit. Une politique qui va jusqu’à les mettre en danger dans l’exercice de leur fonction.

    Marine Le Pen demande à ce que la sécurité soit enfin considérée comme une politique publique prioritaire, et que les moyens nécessaires à l’exercice de leur mission soient accordés aux forces de l’ordre. En cinq ans, il conviendra de rétablir les effectifs à leur niveau de 2005, Nicolas Sarkozy ayant supprimé plus de 12 000 postes dans la police et la gendarmerie.

    Elle demande aussi la mise en place de la présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre : l’Etat doit beaucoup aux victimes et aux forces de l’ordre, pas aux délinquants et criminels.
    Enfin, l’indemnité de sujétions spéciales de police (ISPP) doit évidemment rester en l’état.

  • Le dernier fabricant français de pianos va fermer

         13 novembre 2013

    C’est une annonce symptomatique de cette époque de mondialisme et de nullité politique.

    Et c’est la fin d’une épopée artisanale et artistique étalée sur deux siècles.
    La manufacture de pianos Pleyel, dernière à fabriquer des pianos en France, devrait en effet fermer ses portes à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) «d’ici à la fin de l’année».
    «Dans une indifférence quasi générale, les prestigieux Ateliers Pleyel ont annoncé l’arrêt de l’activité du site de Saint-Denis», a annoncé la Confédération française des métiers d’art (CFMA) dans un communiqué.

     

    Contre-info.com

  • La Serbie contre le Nouvel ordre mondial – par Laurent Glauzy

     

    Quatorze années se sont écoulées depuis la déclaration de guerre de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) à la Serbie. Dans la nuit du 24 au 25 mars 1999, l’OTAN déclenchait contre la Yougoslavie des frappes aériennes, qui ont duré soixante-dix-huit jours. Plusieurs milliers d’infrastructures, d’hôpitaux, d’écoles, de logements furent bombardés. Il fut dénombré 3 500 morts et 12 500 blessés.

    Cette attaque, conforme aux plans du Nouvel ordre mondial, constitue la seconde étape de la guerre de Yougoslavie qui a causé deux cent mille morts et 3 millions de personnes déplacées, de 1991 à 2001.

    C’est la première fois, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, qu’un conflit armé réapparaît au cœur de l’Europe. À cette occasion, la Serbie fut agressée par une armée de coalition. Naturellement, les raisons de cette attaque ne rendent pas du tout compte des intentions réelles des États-Unis et de l’Europe. Après avoir aidé les forces séparatistes de Krajina (entité serbe autoproclamée de Croatie) et de Bosnie, l’Occident justifia son intervention sous prétexte d’éviter une « catastrophe humanitaire » au Kosovo.
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    Contre-info.com

  • Que s'est-il vraiment passé sur les Champs Elysées lors du défilé di 11 Novembre ? (Bonnets rouges)

    Publiée le 11 nov. 2013

    Selon les médias de masse des manifestants "d'extrême-droite" auraient provoqué et agressé les forces de l'ordre. Notre équipe était sur place, et la réalité est bien loin de ce qui vous a été présenté...

    Pour information, l'un des jeunes arrêté, Antoine D. paraîtra demain 12 novembre en comparution immédiate au Palais de Justice de Paris, pour le coup de pied porté à un CRS...

    (merci à Dirk)

  • Pathétique

     

    Première Guerre mondiale : les commémorations commencent mal pour l’Élysée

     
     
      
     
    Extrait du journal hebdomadaire de "La Voix de la Russie" du 11 novembre 2013 

    E&R

    (merci à anonyme)

  • Brest: la permanence du Front National vandalisée par l'extrême gauche sous les yeux de la police

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    12/11/2013 – 09H00 Brest (Breizh-info.com) – Samedi, la permanence du Front National de Brest a été attaquée par une soixantaine de militants identifiés comme appartenant à l’extrême gauche. L’ouverture, début septembre, rue Anatole-France, dans le centre de la ville, de ce local n’avait pas manqué de provoquer une montée d’adrénaline parmi l’extrême gauche locale.
    Depuis deux mois, de nombreux tags ornaient la façade du local, mais les choses se sont accélérées samedi dernier, puisque la porte a été fracturée et un bloc de béton projeté à travers les vitres. Le tout en marge d’une manifestation organisée par un « collectif antifasciste » qui appelait à manifester pour « montrer au Front National qu’il n’est pas le bienvenu à Brest La Rouge » (sic).
    Visages masqués par des cagoules, les « antifas » de « Brest la Rouge », armés pour certains de chaînes et de bâtons, ont pu agir en toute impunité. Les policiers présents sur place les ont en effet laissé se positionner devant l’entrée du local pour en interdire l’accès aux sympathisants et adhérents frontistes. Une conseillère municipale Europe-Ecologie les Verts, Julie Le Goïc, s’est vantée sur Twitter d’avoir participé à cette « descente ». Aucune interpellation n’a bien entendu été effectuée.
    Le secrétaire départemental du Finistère du FN, Éric Dechamps, a annoncé le dépôt d’une plainte, la quatrième en un mois.

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    En juin dernier, 200 manifestants appartenant à la mouvante d’extrême gauche brestoise (CNT, SCALP, autonomes, anarchistes, redskinheads etc.) avaient pu défiler tranquillement dans les rues de Brest, armes blanches à la main – bâtons, tessons de bouteille, ceintures cloutées…) pour rendre un dernier hommage à Clément Méric, ce militant « antifa » brestois décédé après avoir reçu un mauvais coup alors qu’il « chassait » des militants d’extrême droite.
    Toujours à Brest, en 2011 ces mêmes « antifas » avaient bien failli tuer un jeune couple« , simplement parce qu’ils étaient soupçonnés, à tort, d’appartenir à « l’extrême droite ». Sans suites judiciaires.

    À l’image de Rennes, où les agressions émanant de groupuscules clairement identifiés à l’extrême gauche se multiplient, il semblerait que des milices particulièrement violentes puissent agir en toute impunité sur Brest. « Ils ont pignon sur rue, ils fréquentent, les bars de la place Guérin », confie un sympathisant FN. « En juin, ils organisaient plusieurs fois dans la semaine des patrouilles à la recherche de personnes à agresser. À Saint-Renan, ils louent même une salle plusieurs fois dans l’année pour y organiser des concerts. » Certains policiers et gendarmes travaillant dans l’agglomération brestoise avouent « en avoir par-dessus là tête » des agissements de cette mouvance.

    À quelques mois des élections municipales, la municipalité socialiste brestoise ne semble pas vouloir prendre la mesure de ces troubles répétés à l’ordre public et à la sécurité des habitants. De quoi donner du grain à moudre aux opposants à François Cuillandre … en plus de tous les autres dossiers déjà très chauds.

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2013, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

  • Une dernière demeure secrète, en Italie, pour le nazi Erich Priebke

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    Le scoop est signé Ezio Mauro, directeur du quotidien La Repubblica, et son récit s'étale sur trois pages dans l'édition du 7 novembre.

    Le criminel nazi Erich Priebke, responsable du massacre des fosses Ardéatines, à Rome, en mars 1944, mort à 100 ans le 11 octobre, a finalement trouvé une sépulture sur le sol italien.

    Cette dépouille dont personne ne voulait a finalement été ensevelie discrètement dans un cimetière pénitentiaire dont le nom n'a pas encore été révélé.

    Depuis le 11 octobre, la question des obsèques et de la sépulture d'Erich Priebke, responsable du massacre de 335 civils en représailles à un attentat, embarrassait l'Italie.

     UN CADAVRE ENCOMBRANT

    Ni l'Allemagne où il était né, ni l'Argentine où il avait vécu sous une fausse identité, ni la ville de Rome où il avait perpétré ses crimes, ni l'Eglise qui lui a refusé une cérémonie religieuse, ni les cimetières militaires allemands parce qu'il n'était pas mort au combat, ne voulaient de l'encombrant cadavre de ce capitaine nazi, condamné à la prison à vie en 1998 et assigné à résidence en raison de son âge et de son état de santé.

    Orchestré par son avocat, Paolo Giachini, proche de l'extrême droite, ce feuilleton à rebondissements a atteint son apogée le 15 octobre, à Albano Laziale, petite commune proche de Rome, lorsque des prêtres, d'une communauté intégriste, tentèrent d'organiser des obsèques, déclenchant des heurts entre des militants d'extrême droite et la population locale.

    LA DÉPOUILLE DANS UN AÉROPORT MILITAIRE

    Depuis, la dépouille était enfermée à double tour dans un hangar de l'aéroport militaire de Pratica del Mare, à une trentaine de kilomètres de la capitale.

    "Il y avait deux hommes à bord de la voiture qui s'est présentée à 3 h 45 du matin à l'aéroport, écrit Ezio Mauro. Quand elle est entrée, elle a été enregistrée comme un simple break, quand elle est ressortie, c'était un corbillard." A bord, dans la nuit du 26 au 27 octobre, sous une couverture, le cercueil d'Erich Priebke effectue son dernier voyage.

    Après deux heures de route, une escorte se joint au convoi funèbre. Le voyage est encore long. Arrivé au cimetière de la prison, deux hommes s'emparent de pelles et de pioches et creusent une tombe, loin des regards. Deux heures plus tard, tout est terminé.

    UNE TOMBE ANONYME

    Au téléphone, le directeur du quotidien de centre gauche raconte : "Je suis parti d'une évidence. On ne pouvait pas garder un corps aussi longtemps dans un hangar. J'ai donc travaillé sur cette conviction. J'ai cherché, interrogé, et puis j'ai vu des documents attestant du transfert du corps de Priebke. Mardi matin j'ai su où il était enterré, j'y suis allé l'après-midi même et j'ai écrit mon papier dans la nuit. Je ne révélerai pas le lieu de son inhumation pour éviter qu'il devienne un but de pèlerinage des néonazis ou qu'il soit profané. Mais il était important que les Italiens sachent que cette histoire était arrivée à sa conclusion."

    C'est donc en prisonnier, ce qu'il était au regard de la loi italienne, qu'Erich Priebke repose. Seuls quelques chiffres gravés sur la croix d'une tombe anonyme attestent de l'identité du défunt. Ce numéro est tenu secret dans une enveloppe scellée conservée par le fonctionnaire qui a mené et conclu l'opération. Il a été communiqué aux deux fils d'Erick Priebke, au cas où ils viendraient s'y recueillir.

     

    LE MONDE - 07/11/13

  • L'agresseur du maire UMP de Châteaurenard ne serait pas un "déséquilibré"...

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    Bernard Reynès

     

    L'agresseur du maire de Châteaurenard a été examiné mardi par un médecin psychiatrique qui a conclu à l'absence d'altération de son discernement.

    L'homme, dont la garde à vue a été prolongée de 24 heures mardi matin, a été vu par un médecin psychiatre de l'hôpital de Montfavet, qui a conclu qu'il avait la "parfaite responsabilité" de ses actes.

    Aucune altération de son discernement

    Selon l'expert, il n'y a "aucune altération, aucune abolition de son discernement", a indiqué le substitut du procureur de Tarascon Alexandre Rossi. 

    L'homme de 33 ans va donc "vraisemblablement être déféré demain (mercredi) devant le parquet d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) pour tentative d'homicide sur personne chargée de mission de service publique" pour ce qui concerne le maire (UMP) Bernard Reynès, et pour "violences avec armes" pour les deux autres membres du conseil municipal agressés. 

    Ces trois élus ont été agressés à l'arme blanche en pleine cérémonie du 11 novembre par cet homme, interpellé immédiatement après et placé en garde à vue. 

    "Des courriers à caractères conspirationniste"

    Selon les premiers éléments, il avait "abreuvé de nombreux services de l'Etat de courriers" à caractère "conspirationniste", visant notamment le précédent chef de l'Etat, et dans la même logique, aurait décidé de s'en prendre à un élu du même bord politique, a expliqué M. Rossi.

    Il aurait profité du rassemblement politique proche de son domicile, à l'occasion des cérémonies du 11 novembre pour perpétrer cette agression. 

    Mardi matin, M. Reynès avait jugé que cette agression était le symbole d'un "République qu'on ne respecte plus" et qu'il ressentait "un climat qui est très lourd, un climat d'agressivité, une souffrance générale". 

    Les élus "en bonne forme"

    L'élu a reçu trois coups de couteaux dans le dos, mais aucun organe n'a été perforé. Selon la mairie, les trois élus sont "en bonne forme".

    Un rassemblement de soutien est prévu devant l'Hôtel de ville mercredi à 17h.

     

    Ouest-France - 12/11/13

     NdB: C'est une première! Les auteurs de ce type d'agression à l'arme blanche sont presque toujours présentés par les médias comme des "déséquilibrés", des "irresponsables"...  

     

     

     

     

     

     

  • Marine Le Pen sur i>TELE (2)

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  • Marine Le Pen sur i>TELE

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  • Commission européenne : la Bulgarie et la Roumanie n’entreront pas dans la zone Schengen en 2014

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    Aujourd'hui, 19:55

         

     

    Par La Voix de la Russie | La Bulgarie et la Roumanie ne vont pas pouvoir adhérer à l'espace Schengen en 2014, car l'Union européenne « n'est pas prête à s’élargir », a indiqué le porte-parole de la Commission européenne, Frédéric Vincent.

     Un certain nombre d'experts considèrent que la principale raison de ce refus d’intégrer les deux Etats l’année prochaine est lié à la levée des restrictions en matière de l'arrivée des travailleurs-migrants dans les pays occidentaux de l’UE depuis les « nouveaux pays européens ». A cela s’ajoute une campagne de propagande dans les médias allemands et britanniques qui décrit les conséquences négatives de cette étape de cette mesure dans le contexte de la dépression économique et la hausse de chômage.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2013_11_12/Commission-europeenne-la-Bulgarie-et-la-Roumanie-n-entreront-pas-dans-la-zone-Schengen-en-2014-9040/