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GAELLE MANN - Page 900

  • Des loups entre eux

     

    Synthèse sur l’affaire du "trésor nazi"

    Tout ce qu’il faut savoir sur l’affaire des 1 406 œuvres découvertes dans l’appartement munichois de Cornelius Gurlitt, deux semaines après la divulgation de l’affaire par le journal allemand Focus. Six experts viennent d’être nommés par l’État fédéral et la Bavière. Seules 25 œuvres ont été rendues publiques.

    L’affaire du trésor nazi, tel que la presse a fini par la surnommer, est complexe à plus d’un titre. Et elle n’a pas fini de soulever les questions. Sous la pression des médias, des associations juives, de l’opinion internationale et du département d’État via l’ambassade américaine à Berlin, le gouvernement allemand a affirmé vouloir accélérer les recherches d’éventuels ayants droit. L’État fédéral et la Bavière ont convenu de la création d’un groupe d’au moins six experts alors qu’une seule historienne était active jusqu’à présent. On ne sait si des membres de groupes de restitution juifs y figureront. [...]

    [La maison d’enchères Lempertz] continue de focaliser les regards. The New York Times par exemple ne s’est pas fait faute de rappeler l’implication de l’enseigne dans la plus grande escroquerie en matière de falsification d’œuvres d’art en Allemagne depuis 1945 : l’écoulement de tableaux du célèbre faussaire Wolfgang Beltracci. Il y a un an Lempertz a été reconnue coupable à ce propos de « manquement au devoir de diligence » par le parquet de Cologne. [...]

    Pourquoi le Congrès juif mondial veut-il faire monter la pression ?

    Le président du Congrès juif mondial a appelé Berlin. Il réclame la publication d’un inventaire complet des œuvres concernées. « S’il ne se passe rien, nous ferons monter la pression », a-t-il ajouté. Déjà, une pétition circule sur l’Internet. Treize des pièces de la liste des 25 communiquées du fonds Gurlitt viennent d’être revendiquées comme ayant appartenues à Fritz Salo Glaser, avocat juif de Dresde (le ville de Hildebrand Gurlitt) qui a survécu à la déportation et est mort en 1956… L’avocat de sa belle-fille se demande quand et comment ces treize œuvres sont sorties de la collection. Pendant l’époque nazie ou après, quand la famille a vendu pour payer nourriture et logement. Dans ce cas serait-ce un cas de spoliation postwar ?

    Comment et pourquoi Anne Sinclair est-elle mêlée à l’affaire Gurlitt ?

    Auparavant d’autres héritiers potentiels s’étaient encore plus rapidement manifestés. Comme Anne Sinclair, petite-fille de Paul Rosenberg, collectionneur et galeriste, grand marchand de Picasso entre 1918 et 1939. En 1939, ce dernier avait dû fuir à New York en laissant beaucoup de ses biens. L’avocat d’Anne Sinclair réclame au moins Femme assise de Henri Matisse [photo en tête d’article]. Une des rares toiles dont l’image sur écran a été brièvement montrée lors de la conférence de presse du 5 novembre, à Augsburg.

    Lire l’intégralité de l’article sur lefigaro.fr

     

    E&R

  • Bruxelles valide le budget national : la France réduite à l’état de province

     

    Front National flammeCommuniqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Ce jour est un jour noir pour la France. La Commission européenne vient de valider le budget de la nation conformément aux nouveaux pouvoirs que lui ont transférés l’UMP et le PS – depuis les votes du Two-Pack et du Pacte budgétaire (TSCG) – et plaçant de fait la France sous tutelle budgétaire.

    Outre la forme, qui rappelle que les Français ont été dépossédés de leur souveraineté, cette validation révèle sur le fond une réalité particulièrement inquiétante. Elle confirme que ce n’est pas l’intérêt du peuple qui a été défendu dans ce budget mais bien celui des banques et de la grande finance.

    Tous les efforts financiers engagés l’ont été pour sauver l’euro et le système bancaire en général (plans de renflouement à répétition, Mécanisme européen de stabilité, etc.), au détriment des ménages, des entreprises et de l’État.

     

    C’est donc un budget frappé de sceau de l’austérité et de l’hyperfiscalité qui a été validé par la Commission européenne, sa véritable inspiratrice.

    Comme si cela ne suffisait pas, cette humiliante validation annonce également des sacrifices futurs toujours plus importants. La Commission européenne estime en effet que les « réformes structurelles » engagées par la France sont encore trop « limitées » et que les coupes budgétaires dans les grands ministères devront se poursuivre, mettant en péril le fonctionnement normal de l’État.

    Le Front National se battra pour rendre à la France sa pleine et entière souveraineté budgétaire. Nul ne peut décider à la place du peuple français les grandes orientations de son budget et donc de sa politique. Il en va du consentement à l’impôt, principe républicain élémentaire. De même, nous procèderons aux économies nécessaires sur la mauvaise dépense publique à commencer par le coût de l’Union européenne, l’immigration, la fraude sociale, la fraude fiscale mais aussi les dérives des collectivités territoriales.

  • Bruxelles valide le budget national : la France réduite à l’état de province

     

    Front National flammeCommuniqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Ce jour est un jour noir pour la France. La Commission européenne vient de valider le budget de la nation conformément aux nouveaux pouvoirs que lui ont transférés l’UMP et le PS – depuis les votes du Two-Pack et du Pacte budgétaire (TSCG) – et plaçant de fait la France sous tutelle budgétaire.

    Outre la forme, qui rappelle que les Français ont été dépossédés de leur souveraineté, cette validation révèle sur le fond une réalité particulièrement inquiétante. Elle confirme que ce n’est pas l’intérêt du peuple qui a été défendu dans ce budget mais bien celui des banques et de la grande finance.

    Tous les efforts financiers engagés l’ont été pour sauver l’euro et le système bancaire en général (plans de renflouement à répétition, Mécanisme européen de stabilité, etc.), au détriment des ménages, des entreprises et de l’État.

     

    C’est donc un budget frappé de sceau de l’austérité et de l’hyperfiscalité qui a été validé par la Commission européenne, sa véritable inspiratrice.

    Comme si cela ne suffisait pas, cette humiliante validation annonce également des sacrifices futurs toujours plus importants. La Commission européenne estime en effet que les « réformes structurelles » engagées par la France sont encore trop « limitées » et que les coupes budgétaires dans les grands ministères devront se poursuivre, mettant en péril le fonctionnement normal de l’État.

    Le Front National se battra pour rendre à la France sa pleine et entière souveraineté budgétaire. Nul ne peut décider à la place du peuple français les grandes orientations de son budget et donc de sa politique. Il en va du consentement à l’impôt, principe républicain élémentaire. De même, nous procèderons aux économies nécessaires sur la mauvaise dépense publique à commencer par le coût de l’Union européenne, l’immigration, la fraude sociale, la fraude fiscale mais aussi les dérives des collectivités territoriales.

  • Bruxelles valide le budget national : la France réduite à l’état de province

     

    Front National flammeCommuniqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Ce jour est un jour noir pour la France. La Commission européenne vient de valider le budget de la nation conformément aux nouveaux pouvoirs que lui ont transférés l’UMP et le PS – depuis les votes du Two-Pack et du Pacte budgétaire (TSCG) – et plaçant de fait la France sous tutelle budgétaire.

    Outre la forme, qui rappelle que les Français ont été dépossédés de leur souveraineté, cette validation révèle sur le fond une réalité particulièrement inquiétante. Elle confirme que ce n’est pas l’intérêt du peuple qui a été défendu dans ce budget mais bien celui des banques et de la grande finance.

    Tous les efforts financiers engagés l’ont été pour sauver l’euro et le système bancaire en général (plans de renflouement à répétition, Mécanisme européen de stabilité, etc.), au détriment des ménages, des entreprises et de l’État.

     

    C’est donc un budget frappé de sceau de l’austérité et de l’hyperfiscalité qui a été validé par la Commission européenne, sa véritable inspiratrice.

    Comme si cela ne suffisait pas, cette humiliante validation annonce également des sacrifices futurs toujours plus importants. La Commission européenne estime en effet que les « réformes structurelles » engagées par la France sont encore trop « limitées » et que les coupes budgétaires dans les grands ministères devront se poursuivre, mettant en péril le fonctionnement normal de l’État.

    Le Front National se battra pour rendre à la France sa pleine et entière souveraineté budgétaire. Nul ne peut décider à la place du peuple français les grandes orientations de son budget et donc de sa politique. Il en va du consentement à l’impôt, principe républicain élémentaire. De même, nous procèderons aux économies nécessaires sur la mauvaise dépense publique à commencer par le coût de l’Union européenne, l’immigration, la fraude sociale, la fraude fiscale mais aussi les dérives des collectivités territoriales.

  • Florian Philippot invité d'Europe 1 : "Le quinquennat de Hollande est déjà fini" - 16/11/13


    Florian Phillipot "Le quinquennat de Hollande... par Europe1fr

  • Narbonne: une collégienne de 13 ans agressée par un groupe de filles parce qu'elle refusait de "baisser les yeux"

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    Collège Victor-Hugo à Narbonne

     

    http://www.leparisien.fr/languedoc-roussillon/narbonne-agressee-parce-qu-elle-refusait-de-baisser-les-yeux-16-11-2013-3321699.php

  • L’Etat promeut davantage l’avortement et s’attaque aux consciences !

     

    Le « rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes relatif à l’accès à l’avortement volontaire dans les territoires » a été remis le 7 novembre 2013 au ministre des Droits des femmes.

    Ses rédacteurs ont été largement invités dans les gros médias pour déverser leur propagande pro-mort. Un de leurs leitmotiv était qu’il fallait faire de l’IVG « un acte médical comme un autre ».
    C’est bien sûr absurde et surtout, il ne s’agit pas d’un acte médical tout court ! Dans une inversion toute satanique des mots, les modernes veulent oublier que la médecine est là pour guérir.
    Donner la mort, mettre un terme à la vie – qui n’est pas une maladie -, n’a rien de médical.

    Au sujet de ce rapport, voici ce que nous communique l’AGRIF :

    « Celui-ci commence par un état des lieux qui est d’emblée une manipulation puisqu’il affirme que l’avortement est un « événement assez courant de la vie sexuelle et reproductive d’une femme puisque 1 femme sur 3 y aura recours dans sa vie ». De fait 2 femmes sur 3 n’y aura donc pas recours ce qui ne fait pas de cet événement un acte si courant que cela puisque les 2 tiers des femmes ne le connaitront pas. Mais tout est permis pour faire accepter l’inacceptable, ce qui est évident lorsqu’on analyse les 3 recommandations du rapport qui doivent faire de l’avortement un droit à part entière et qui est en fait un véritable retour à la barbarie.
    Lire la suite

     

    Contre-info.com

  • Suicide d'une collégienne de 13 ans harcelée et menacée de mort: ses parents portent plainte contre l'Education nationale


    Nora Fraisse : "Aujourd'hui, les bons élèves... par Europe1fr

    Témoignage de la mère de Marion

     

    Victime de harcèlement dans son collège, l'adolescente s'est suicidée. Ses parents dénoncent les dysfonctionnements au sein du collège.

    «Une démarche pour les autres enfants et pour faire face au silence de l'Éducation nationale», explique la maman de Marion. Les parents de cette adolescente de l'Essonne qui s'est suicidée à 13 ans en février après avoir été victime de harcèlement dans son collège, ont déposé jeudi une nouvelle plainte auprès du tribunal de grande instance de Paris.

    La famille de Marion se constitue partie civile pour violences, menaces de mort, provocation au suicide, homicide involontaire, non-assistance à personne en danger. «Nous demandons la nomination d'un juge d'instruction pour faire toute la lumière sur ce qui s'est passé», a précisé Nora Fraisse, la mère de Marion, sur Europe 1. Et d'ajouter: «Nous avons, du fait de notre enquête personnelle, trouvé des preuves accablantes contre le collège, démontrant un grave dysfonctionnement. Nous portons également plainte contre les élèves qui sont nommés dans la lettre d'adieux de Marion». Leur plainte vise aussi l'Education nationale.

    Dans sa lettre, Marion, scolarisée au collège Jean-Monnet à Briis-sous-Forges, décrit les insultes et les menaces dont elle a fait l'objet. La veille de sa mort, la jeune fille avait téléphoné des toilettes de l'école. Elle déclarait à ses parents se sentir mal et devoir rentrer. «Elle était attendue le lendemain au collège par les harceleurs. Pour lui faire la peau», affirme Nora Fraisse. Marion avait déjà subi, les années précédentes, des pressions mais les responsables de l'établissement avaient réagi. Cependant, l'année dernière, le principal et le principal adjoint ont changé. La composition des classes est aussi en cause: la classe de 4e de Marion était impossible à gérer pour les enseignants. D'après Nora Fraisse, «débordés, ils ont refusé les conseils de discipline» et n'auraient pas réagi quand sa fille a été insultée en cours. Des demandes de changement de classe n'ont pas non plus abouti.

    «On va faire de toi un chalumeau»

    Les tensions n'ont pas pris fin avec la disparition de Marion. D'autres élèves ont également été la cible de brimades. Sur Europe 1, sa mère dit avoir recueilli des témoignages de ces collégiens eux aussi très brillants. Elle mentionne ainsi le cas d'«une jeune fille, qui a été prise à partie à plusieurs reprises, qui a été bloquée dans les vestiaires également, avec un briquet et un déodorant en lui disant: ‘on va faire de toi un chalumeau'». «On espère que Marion ne sera pas morte pour rien et que son cas permettra à d'autres parents et aux institutions de prendre conscience qu'il se passe des choses très graves au sein de nos établissements scolaires», espère la mère de Marion. Pour elle, «aujourd'hui, les bons élèves sont stigmatisés» par leurs pairs.

    Les parents de Marion vont aussi déposer jeudi au ministère de l'Éducation nationale une cinquième lettre à l'attention de Vincent Peillon. Dans ce courrier, ils listent une série de «dysfonctionnements» du collège et demandent au ministre une inspection approfondie de l'établissement. Pour leur avocat, Me Père, l'administration a commis une double faute dans cette affaire: «la première, d'ordre pénal, tient aux manquements de l'Education nationale à ses obligations de surveillance dans le collège. La seconde faute est morale car l'Éducation nationale nous oppose depuis le drame un silence dédaigneux». Les parents de Marion expliquent n'avoir reçu aucune marque de sympathie des enseignants de l'établissement. Ils voudraient aussi obtenir le rapport de l'enquête administrative. Au ministère, on explique sous couvert d'anonymat attendre les conclusions de l'enquête de la gendarmerie sur l'affaire.

    «La vie ne continue pas mais le combat ne fait que démarrer», a promis la famille de Marion. Depuis le suicide de leur fille, les parents ont multiplié les démarches. Outre la plainte annoncée jeudi, ils avaient auparavant déposé deux plaintes à la gendarmerie puis auprès du parquet d'Evry. Fondamentalement ce que la famille de Marion réclame, ce sont de vraies sanctions pour les harceleurs. «Ceux de Marion sont connus du collège et agissent en toute impunité», rappelle-t-elle.

     

    LE FIGARO - 14/11/13

     

  • Palestine: Tsahal arrête des enfants de 5 à 9 ans !

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/15/97001-20131115FILWWW00630-palestine-l-armee-israelienne-arrete-des-enfants.php

  • Epargne: le taux du livret A peut encore baisser...

    Le livret A, qui est le produit d'épargne préféré des Français, pourrait voir sa rémunération à nouveau diminuer, lors de la prochaine révision de son taux, le 1er février prochain, selon des informations du quotidien Les Échos.

    Si l'inflation se maintient à ses niveaux actuels, le livret A devrait voir son taux baisser de 1,25 % à 1 % voire même 0,75 % à partir du selon l'application stricte de la formule de calcul de sa rémunération. Le produit d'épargne populaire devrait ainsi enregistrer sa troisième baisse consécutive en un an.

    LE FIGARO  15/11/13

  • AU SECOURS - Les garde-rouges de l’antiracisme reviennent !

    AU SECOURS   - Les garde-rouges de l’antiracisme reviennent !

     

    Michel Lhomme
    le 14/11/2013
    « Le patriotisme aujourd’hui, c’est toujours l’amour des siens, ce qui n’a rien à voir avec le nationalisme qui est la haine des autres », a ainsi martelé jeudi le chef de l’Etat dans les salons de l’Elysée, dans une expression fumeuse, délibérée et en même temps terrible pour le niveau politique qu’il témoigne d’un Président de la République, confondant allègrement la Nation, la République et la Patrie au sujet de la mobilisation générale de 14, lors du lancement des commémorations prochaines de la Grande Guerre.
      
    Il a rajouté au cas où on ne l’aurait pas très bien compris : « C’est la défense de la République, de ses valeurs et de sa promesse. » Cette opposition arbitraire entre le patriotisme et le nationalisme dans une définition sabordée de la République à propos du premier conflit mondial ne nous surprendra pas : elle est partisane et socialiste mais qu’un chef d’Etat la reprenne devant un parterre de militaires et d’officiels interpelle et laisse perplexe. Une telle intervention ne peut que diviser les Français. Elle reprend la seule bouée de sauvetage qui reste aux solfériniens, l’antiracisme de combat. 

    On se demandera toujours comment en France, un sentiment aussi noble et aussi respectable – la lutte contre toutes les formes de racismes – a pu faire l’objet, dans les dernières décennies, d’une telle récupération politique, utilisant sciemment, délibérément, violemment et dogmatiquement l’accusation de racisme pour disqualifier toute parole adverse.
     
    L’antiracisme est l’ultime arme du pouvoir, une arme rhétorique mais la rhétorique ne répare jamais la réalité. Au contraire, elle la manipule et la dénie. En faisant triompher un nouveau manichéisme politique d’une vision sociale en « noir et blanc », utilisée pour bâillonner tout contradicteur importun, le gouvernement et le parti socialiste créent les conditions d’une guerre civile qui serait pourtant évitable par l’intelligence française des rapports humains et ce, même dans une socialité difficile. L’adversaire devient l’ennemi public numéro un. Il est diabolisé, démonisé. Du fait même de la nature violente de l’idéologie antiraciste, le « de souche » est mis au ban de la cité, interdit de parole et de pensée. Il lui sera demain impossible de répondre aux accusations mensongères qui vont être avancées à son encontre.
     
    Ce sont les procès de Moscou et la censure de l’internet en préparation, le totalitarisme de la moraline cosmopolitique, la pire des inquisitions, l’inquisition bien pensante et humaniste. Les socialistes, au nom de principes supérieurs dont eux seuls détiendraient le monopole, refusent en réalité toute forme d’échange argumenté. Sous l’apparence d’une prise de position courageuse, ces procédés de diabolisation de l’adversaire sont une atteinte pure et simple à la cohérence et à la solidité de la raison et surtout une déformation illégitime du réel, paralysant tout renouveau de la pensée à venir. Car au-delà des amalgames nauséabonds, des reductio ad hitlerum disqualifiant les contradicteurs, au-delà des atteintes au débat public et à la liberté d’expression dont est porteur l’antiracisme actuel, on voit se développer la pensée des œillères, une vision du monde fautive qui se serait arrêtée aux Mercédès discrètes de Carpentras c’est-à-dire rétroactivement dans les landes des années 80, du côté de Latché.
     
    L’antiracisme défend en fait l’idée que l’homme est un être abstrait, un simple sujet rationnel qui peut se choisir, se définir de toute sensibilité et de toute culture particulière. Il est la pire version du monothéisme d’Etat et du néo-capitalisme conduisant pour autant directement à la ségrégation future. Dans les villes américaines, les zones culturelles se juxtaposent les unes aux autres et ne se rencontrent quasiment jamais. On y construit des quartiers avec des murs et des grilles électriques que seuls les livreurs de pizzas sont autorisés à franchir. L’idéologie antiraciste n’est finalement qu’un universalisme assimilationniste et intégrateur, une néo-colonisation à l’envers, l’idée suprêmement orgueilleuse de vouloir encore n’imposer qu’une seule culture au monde mais comme une imposition délibérément octroyée dans la culpabilité et le ressentiment, comme pour réparer sa faute. Les nouveaux curés de l’enseignement laïc en viennent ainsi à condamner leur propre culture pour mieux porter aux nues celles des autres, renversement illogique et mortifère qui privera toute une jeunesse de repères historiques permettant justement de mesurer et d’apprécier l’altérité radicale de l’autre culture. 

    Etre optimiste : la société civile est forte 

    Depuis les années 80, la France a profondément changé. La France populaire est beaucoup plus forte et battante que la France des élites. Il nous faut être vigilant et remettre allègrement en cause le manichéisme outrancier de la politique intérieure d’où qu’il vienne. L’idéologie antiraciste qu’on a réactivée cette semaine ne cesse depuis trente ans de paralyser toute la réflexion, tout le débat intellectuel français. Il nous faut dénoncer ces garde-rouges de l'idéologie compassionnelle, ces nouveaux col-mao de la jeunesse, pseudo-obsédés du vivre ensemble et leur rappeler Proudhon : ‘’chaque fois que j’entends le mot “humanité” je sais qu’ils veulent tromper”. 

    Il faut clamer qu’il est possible d’adopter une position humaniste, tout en défendant les intérêts supérieurs de la nation. Cela s’appelle être républicain mais depuis des lustres, les solfériniens se torchent avec la République qu’ils ont vendu aux marchands et à Bruxelles. Il faut préciser que si le « grand remplacement » est aujourd’hui possible, c’est que, par-delà l’ampleur numérique réelle des flux migratoires, ceux-ci ont trouvé en face d’eux une stratégie politique concertée, une offensive de décérébration éducative et d’avilissement menée sous l’égide de l’Education nationale et de la télévision, de la publicité et de la « nouvelle philosophie » deleuzienne et néo-spinoziste. Ceux qui, hier, ont encouragé, justifié et organisé (médiatiquement, politiquement, philosophiquement) l’immigration et qui appellent aujourd’hui à la « vigilance citoyenne» se muent en fait en étranges croisés noirs de la « laïcité » qui, le soir, exciteraient les prolos « celtes » contre les  victimes du déracinement que sont les Musulmans et les Sarrazins.
     
    Ce qui s’opère actuellement dans l’ambiguïté des discours ambiants doit être scrupuleusement annoté pour témoigner demain de ce qu’il adviendra. L’idéologie gouvernementale orchestre aujourd’hui la prorogation idéologique et intellectuelle de son pouvoir en suscitant des situations de guerre civile ou de guérilla larvée sur le thème ethnique et ce, pour maintenir les populations dans un état de peur permanente (terrorisme, délinquance, crise économique…) et leur faire ainsi accepter demain le coup de force anti-électoral accompagné de tous les reculs sociaux et sociétaux imaginables qui seront proposés bien sûr comme des ersatz de « sécurité », de « flexisécurité », d’écotaxe, ou autres avatars progressistes. 

    Certains du coup se targueraient de nous asséner que nous n’avons aucune vertu de compassion, aucun sens de l’hospitalité mais c’est que nous sommes, manque de pot, rimbaldien : «  ce qui fait ma supériorité, c’est que je n’ai pas de cœur ».
     
    METAMAG 

  • De l’engagement humanitaire au récit : Le martyre du Kosovo, un livre de Nikola Mirković

    Livre_Nikola_Mirkovic.jpg

    « Rien ne fait mieux écrire que d’écrire sur ce que l’on aime » disait l’écrivain Paul Léautaud. Et c’est peut-être la clé de voûte du premier livre de Nikola Mirković, Le martyre du Kosovo. De sa plume accrocheuse procède un amour aux racines multiples pour le Kosovo-Métochie.

    Le martyre du Kosovo propose un éclairage nouveau sur l’histoire turbulente de la province balkanique. La grille de lecture originale de l’auteur se nourrit de sources hétéroclites mêlant analyses et témoignages de toutes parties et de tous pays. Un regard ouvert qui dissipe page après page la brume des préjugés pour laisser apparaitre une réalité plus contrastée, moins convenue. En revisitant les événements tournants du Kosovo-Métochie depuis la construction de l’Empire serbe au Moyen-âge jusqu’au péril de son état moderne, l’histoire du Kosovo martyr se prépare.

    D’origine franco-serbe, Nikola Mirković signe un récit marquant également inspiré de son vécu. Depuis 1999, l’engagement personnel de l’auteur pour la défense des Serbes du Kosovo et la réhabilitation de leur histoire s’inscrit dans le prolongement du souvenir de la fraternité des peuples français et serbe dans lequel il a grandi. Rien d’étonnant alors que le chemin de celui qui fut d’abord « bouclier humain » en 1999 sur les ponts de Belgrade contre les bombes de l’OTAN croise la route, quelques années plus tard, de l’association Solidarité Kosovo.

    Depuis lors, le dévouement efficace et fidèle de Nikola Mirković a contribué à conduire Solidarité Kosovo dans les défis d’une décennie d’engagement humanitaire au secours des Serbes du Kosovo. Du bénévole opiniâtre à l’écrivain humaniste, une constante guide l’itinéraire de Nikola Mirković : faire connaitre le sort d’un peuple martyr, celui des Serbes du Kosovo.

    Introduit par Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro Magazine, Le martyre du Kosovo est disponible sur commande auprès des librairies, sur Internet et directement auprès des Éditions Jean Picollec, 47 Rue Auguste Lançon 75013 Paris, France (Tél. : 01 45 89 73 04) au prix de 20€ TTC frais de port compris.

     

    SOLIDARITE KOSOVO

  • Les Français jugeront, Madame Taubira !

    15 novembre 2013  

    urne_vote

    La croissance économique a encore chuté au troisième trimestre (-0,1%), 17.000 emplois industriels ont été liquidés dans notre secteur marchand selon des données provisoires publiées hier par l’Insee. L’industrie et la construction sont les secteurs les plus frappés. Sur un an, ce sont plus de 107 000 emplois qui ont été détruits au total par la politique euromondialiste du gouvernement Ayrault, parfaite décalque de celle des gouvernements Juppé, Jospin, Raffarin, Fillon… Selon un sondage YouGov pour le Huffington Post et iTélé, publié également jeudi, la popularité de François Hollande a encore chuté de 6 points, s’établissant à 15 % des personnes interrogées qui portent un jugement favorable sur son action, de même que celle de Jean-Marc Ayrault. Nous comprenons mieux à cette aune, la divine surprise que constitue pour la gauche l’affaire Taubira-Minute, et plus largement la diversion bien venue de la lutte contre le racisme.

    Un petit répit, car cet écran de fumée se dissipera rapidement et n’empêchera pas la fronde à venir des artisans-commerçants. Eux aussi se cabrent et se révoltent de manière bien légitime contre le matraquage fiscal confiscatoire, notamment l’augmentation à venir de la TVA qui les prive toujours plus avant du fruit de leur labeur.

    Alors certes, SOS racisme, la Licra, le Mrap ont porté plainte contre Minute, les officines et autres politiciens positionnés sur le juteux créneau de l’antiracisme subventionné, donnent de la voix, s’égosillent, en font des tonnes, pour masquer la panique d’un Système bien incapable de répondre aux attentes et aux vœux des Français.

    Une caste qui a abandonné la politique au sens noble du terme depuis longtemps –elle a confié le destin de la France à l’entité euromondialiste bruxelloise- pour se vautrer dans le «sociétal », les leçons de bon goût, une bien-pensance qui n’est que le cache-sexe de son impuissance.

    Comme toujours, comme souvent, le sens de la mesure n’est pas le fort des gardiens du dogme dont la balourdise sentencieuse hérisse au final le poil des Français et produit des effets inverses à ceux qui sont recherchés.

    Les cris d’indignations des Copé, Royal, Juppé (ce dernier n’avait rien trouvé à redire à la sortie de Chirac sur « le bruit et l’odeur » d’une famille nombreuse immigrée), des communistes, des centristes, de l’UMPS, du CRAN etc, comme l’avait prédit avec sagacité Christiane Taubira, ont surtout profité à Minute. Selon un reportage diffusé avant-hier sur RTL, les numéros de l’hebdomadaire se sont arrachés et ont été épuisés en très peu de temps chez les kiosquiers;

    Selon son directeur de publication, Jean-Marie Molitor, «cette Une est de mauvais goût mais c’est de la satire, et ce n’est pas un délit en France. » «Cette hystérie collective me dépasse, mais c’est une jolie publicité ». « Il n’y avait rien de méchant dans l’article contre Mme Taubira, qui, intelligente, a compris que cela ne méritait pas (de faire un procès) ».Un journaliste de Minute rapporte encore l’Afp, ajoute que « c’est une couverture composée d’éléments de langage courant. On se doutait que SOS racisme porterait plainte, mais nous avons prévu le coup du point de vue judiciaire. Nous sommes difficilement condamnables. »

    Quant à la lecture des commentaires sur les réseaux sociaux, sur les sites des journaux ayant pignon sur rue faisant état de cette Une de Minute, elle est elle aussi assez instructive.

    Les internautes s’apitoient moins sur le sort de Mme Taubira qu’ils ne pointent son sectarisme hautain, son autisme militant lors de la mobilisation des Français contre le mariage et l’adoption pour les couples homos, le laxisme gauchisant de sa catastrophique réforme pénale, son passé de militante indépendantiste. Et plus largement encore les outrances haineuses d’une certaine gauche qui crie aujourd’hui au retour de la Bête immonde pour tenter de sauver ses privilèges en 2014

    L’Agrif de Bernard Antony n’a pas manqué de réagir à cet «hourvari médiatique» : « Pareille indignation ne s’est pas exprimée lorsque par exemple un Jean-Marie Le Pen était caricaturé sous la forme d’un étron dans le journal Libération ou, dans Charlie-Hebdo, mis en scène dans d’abominables compositions».

    Comme l’ont rappelé Marine et Bruno Gollnisch comme le disait déjà Jean-Marie Le Pen, la France qui accueille sur son sol des millions d’immigrés, originaires notamment du continent africain, est certainement « le pays le moins raciste du monde ».

    Cela n’empêche pas les médias de tancer nos compatriotes qui seraient de parfaits salauds xénophobes. L’ex élu socialiste de Bretagne, le binational franco-togolais Kofi Yamgnane, ancien secrétaire d’État des gouvernements d’Edith Cresson et de Pierre Bérégovoy, marié avec une bretonne et s’étant défini comme « un breton d’après la marée noire », a même apporté mercredi sur France Info sa petite contribution au procès des Français de souche.

    Il ne s’est pas contenté d’exiger de « fermer Minute qui n’est pas un journal républicain » (sic). Il a aussi expliqué complaisamment, lui qui a été élu et réélu pendant près de vingt ans par des électeurs quasi exclusivement blancs et catholiques, que « la France a toujours été raciste». Il faut se pincer pour le croire !

    Invitée mercredi soir du journal de France 2, Christiane Taubira s’est pour sa part livrée plus précisément à une attaque en règle contre les Français qui font confiance à Marine Le Pen et au Front National.

    Le ministre de la Justice a estimé que la condamnation par Marine et Florian Philippot de la Une de Minute relevait de « l’hypocrisie» et de la « lâcheté ». Bref, les électeurs frontistes sont des débiles qui ne rendent pas compte de la tortueuse duplicité de la direction du FN.

    « Tant que le FN ne va pas renier tout son héritage, tout ce qui fait son identité profonde… Je pense que ce sont des accommodements, des positions opportunistes », a-t-elle expliqué.

    Le fils de « montagnard kabyle harki » et «nationaliste » français Kader Hamiche, a publié jeudi sur son blog une excellente tribune sur cette affaire Taubira-Minute.

    « Comme toujours, écrit-il il faut, pour voir de quoi la sauce est faite, en écarter l’écume. De quoi s’agit-il exactement ? A l’évidence, on est en plein combat de l’anti-France contre la tentation des Français de voir dans le Front National et Marine Le Pen la solution aux maux de notre pays (…) Il est vrai que l’enjeu est de taille. Le procès en racisme fait aux électeurs du FN est d’abord destiné à susciter des scrupules de dernière minute chez les électeurs de gauche tentés par la bascule. »

    Kader Hamiche souligne aussi que « le ministre de la Justice dit clairement qu’on peut condamner les gens non seulement pour ce qu’ils font ou disent mais également pour ce qu’on pense qu’ils pensent. C’est l’éternel procès en sorcellerie fait au FN, premier parti de France à avoir fait élire des Arabes ! ».

    « Mieux, si l’on peut dire, ces gens veulent nous imposer une certaine définition de la République, la leur, en nous interdisant, ce qui est normal pour des internationalistes, d’envisager telle politique contraire à leur idéologie. On interdit déjà aux Français de penser que la France a une identité qui lui est propre ou de préférer la civilisation occidentale romaine-chrétienne à d’autres ; vous verrez que, avant longtemps, on nous refusera le droit d’être contre l’Europe. Le mouvement est d’ailleurs déjà en marche dans certains pays, comme la Grèce, où il existe un projet de criminalisation des opinions anti-européennes. »

    Notons encore que sur la plateau de France 2, Mme Taubira a dit vrai quand elle a dressé le constat de la guerre livrée part le Système UMPS à l’opposition, nationale et patriotique : «Il y a un affrontement de valeurs profond, cet affrontement est tout à fait normal. Nous allons livrer bataille parce que nous avons des batailles sémantiques et culturelles à livrer, nous avons des conquêtes politiques à refaire et nous sommes bien déterminés à le faire », a-t-elle conclu.

    Dont acte Mme Taubira, nous aussi ! Les Français trancheront.

     

    BRUNO GOLLNISCH

  • Découverte d'une abbaye à Aurillac, un site dix fois plus important que Cluny

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    Posté le 15 novembre 2013 à 15h58 | Lien permanent 

     

     

    AurTout simplement extraordinaire

    "Un monastère vieux de dix siècles a été découvert sur le chantier d'un projet immobilier à Aurillac, dans le Cantal, rapporte jeudi le quotidien La Montagne. Pour les archéologues, l'état de conservation retrouvé est meilleur que les vestiges de l'abbaye de Cluny.

     Des bâtiments du XXIe siècle auraient dû être construits sur ce site. Le quotidien La Montagne révèle jeudi que des fouilles préalables à ce projet situé sur l'îlot Saint-Géraud, dans le Cantal, ont mis au jour le monastère de l'abbaye bénédictine d'Aurillac, fondée par le comte Géraud au IXe siècle.

     Ou plutôt celui qui a été construit sur ses vestiges en bois, à la fin du XIe siècle, explique le journal. "Cette découverte, qualifiée d'exceptionnelle, a exhumé les bâtiments conventuels des moines, c'est-à-dire leurs lieux de vie comme le dortoir, le scriptorium, le réfectoire... construits autour d'un cloître que les archéologues devinent sur un côté du chantier de terrassement."

    Vidéo et photos.

    Lahire

    Le Salon Beige

  • Pétition à Laurent Fabius : plus aucune aide pour les tueurs de chrétiens syriens!

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    http://www.christianophobie.fr/petitions/petition-a-laurent-fabius-plus-aucune-aide-pour-les-tueurs-de-chretiens-syriens

     

    Je viens de signer cette pétition, même si elle ne sert à rien...

  • Le fondateur du site "Hollande-demission.fr" a été arrêté

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-fondateur-du-site-Hollande-demission-fr-arrete-21332.html

     + VIDEO

  • Netanyahou: "J'espère que la France ne fléchira pas face à l'Iran"

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    INTERVIEW EXCLUSIVE - À la veille d'accueillir François Hollande pour sa première visite d'État en Israël, de dimanche à mardi, le premier ministre d'Israël a accordé un entretien au Figaro. Il salue la position «cohérente et déterminée» de Paris sur le dossier nucléaire.

     

     

     

     

    LE FIGARO - En observant la façon dont se sont déroulées les négociations sur le nucléaire iranien, le week-end dernier à Genève, diriez-vous que la France est devenue pour Israël un allié plus fiable que les États-Unis?

    Benyamin NÉTANYAHOU- Les États-Unis demeurent pour nous un allié important, et même le plus important. Mais notre relation avec la France est également très spéciale. Sur le dossier iranien, nos deux pays défendent des positions communes depuis de nombreuses années, quelle que soit la majorité au pouvoir, et nous poursuivons ce partenariat essentiel avec le président Hollande. De même qu'il a montré une réelle détermination et beaucoup de courage dans le combat qu'il a engagé contre l'islamisme radical au Mali, nous saluons sa position cohérente et déterminée sur le dossier iranien. Nous espérons que la France ne fléchira pas.

    De quelle sorte d'accord seriez-vous prêt à vous satisfaire?

    La communauté internationale a dit de manière très claire ce qu'elle attend de l'Iran. Si vous voulez de l'énergie nucléaire civile, très bien. Si vous voulez des armes atomiques, c'est non. Cette position s'est exprimée dans diverses résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, qui appellent l'Iran à démanteler les infrastructures permettant de fabriquer des armes nucléaires. En clair, ce pays ne peut disposer ni de centrifugeuses, ni de réacteur à eau lourde. Pourtant, les Iraniens ont bravé ces résolutions. Ils avaient 170 centrifugeuses en 2005, ils en ont aujourd'hui 18.000. Ma conviction est qu'on ne doit pas baisser la garde face à un régime qui aide Bachar el-Assad à tuer des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants innocents en Syrie, qui répand le terrorisme à travers le monde, qui arme le Hezbollah, le Hamas et le Djihad islamique avec des milliers de roquettes destinées à frapper les villes israéliennes et qui appelle, enfin, à la destruction d'Israël ainsi qu'à la subversion dans de nombreux pays.

    Retrouvez l'intégralité de l'interview dans Le Figaro de demain et dès 22 heures dans la version digitale.

     

  • Haute-Savoie: le préfet et des policiers de la BAC attaqués par 30 jeunes et aspergés de gaz lacrymogène

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    Le préfet de Haute-Savoie, Georges-François , et des policiers de la BAC de nuit (brigade anticriminalité) ont été violemment pris à partie dans un quartier sensible de Thonon (Haute-Savoie), dans la nuit de jeudi à vendredi, par une trentaine de jeunes.

    Le représentant de l'Etat accompagnait les en patrouille dans le quartier de Collonges lorsque tout a dérapé vers 22h30, selon les informations du Dauphiné Libéré.
     
     
    Les policiers repèrent un jeune de 19 ans bien connu de leurs services pour trafic de drogue. Les agents s'approchent et le contrôlent. Il détient 100 g de cannabis. 

    Mais l'individu refuse de monter dans la voiture banalisée de la BAC et se met à crier. Une trentaine de jeunes fondent sur les policiers, rouent de coups un des fonctionnaires alors qu'il est à terre. Les émeutiers vont jusqu'à tenter d'extraire l'autre agent de la voiture, sans y parvenir. C'est à ce moment qu'un voyou projette du gaz lacrymogène qui atteint le préfet.

    Le frère du dealeur a été interpellé pour outrage, provocation à la rébellion et rébellion en réunion. Celui qui a aspergé les fonctionnaires de gaz lacrymogène a été interpellé ce vendredi matin.


    LeParisien.fr - 15/11/13

    Pourquoi les policiers ne tirent-ils pas au moins en l'air ? Et les "gazeuses", elles ne sont que pour les honnêtes gens ?