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  • La Suède à la recherhce d'un sous-marin mystérieux qui serait ni russe ni néerlandais

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Suede-a-la-recherche-d-un-sous-marin-mysterieux-28626.html

    + VIDEO et CARTE

  • Zapping télé: Jean-Marie Le Pen a de la sympathie pour Eric Zemmour, clash chez Ruquier entre Léa Salamé et Mélenchon, etc...


    Jean-Marie Le Pen a "de la sympathie" pour Eric... par lezapping

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  • Pas-de-Calais: 6 mois de sursis pour un ado de 19 ans déguisé en clown menaçant...

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    Sa petite blague avait déclenché un vent de panique vendredi soir à Douvrin (Pas-de-Calais). En comparution immédiate pour violences avec préméditation et violences avec arme, un habitant de 19 ans a été condamné ce lundi par le tribunal de Béthune à six mois de prison avec sursis assortis de 105 heures de travail d’intérêt général, selon la Voix du Nord. 

    Ce jugement a valeur d'avertissement et d'exemple alors que les apparitions de personnes grimées et menaçantes semblent se multiplier dans la région depuis plusieurs jours. Le coupable, qui prépare un CAP et se destine à la boucherie, est le premier à avoir été traduit en dans le Nord/Pas-de-Calais

    Vers 22 heures vendredi, cet ado était sorti de chez lui maquillé et armé d'un morceau de bois qu'il agitait comme une arme. <btn_noimpr> Il avait d'abord effrayé un enfant de 6 ans avant de se diriger vers un parc de la commune où un groupe d’ados était en train de discuter.
     
     


    Une course-poursuite s'en était suivie avec le gérant d'une friterie qui avait dégainé un pistolet à billes pour faire fuir l'agresseur. Il sera lui jugé plus tard pour port d'arme prohibé.

    Une autre affaire se dégonfle

    Parmi les nombreux cas de clowns malfaisants signalés à la police dans le nord de la , celui d'Arras (Pas-de-Calais) semblait peu plausible dès le début de l'.

    Une fillette de 12 ans avait déclaré vendredi soir avoir été agressée par un clown dans le centre-ville. Alertés, les sapeurs-pompiers s'étaient portés à son secours. Mais son témoignage a depuis été contredit par cinq témoins selon le parquet de la ville.



    LeParisien.fr

    NdB: Cet "ado" a 19 ans, il est donc majeur!

  • Des clowns effrayent les enfants dans le nord de la France

    20/10/2014 à 14:44

    Source: L'Express

    Dans le nord de la France, des clowns arpentent villes et villages pour effrayer les habitants, surtout les enfants. Et s'en vanter ensuite sur les réseaux sociaux. Une interpellation a eu lieu vendredi. Le phénomène inquiète les pouvoirs publics.

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    © iStock

     

    Après les défis qui consistaient à boire cul-sec une bouteille d'alcool ou se jeter à l'eau sur simple demande d'un "ami", une nouvelle occupation fleurit sur Facebook: se déguiser en clown et effrayer les habitants de sa ville. Cette "plaisanterie" est pour le moment concentrée dans le nord de la France, de la Picardie au Nord-Pas-de-Calais.

    La Voix du Nord répertorie des dizaines de cas, sans toujours savoir s'il s'agit d'une rumeur. Le clown se présente généralement à l'entrée d'une école ou d'un collège pour faire peur aux enfants. Plus grave, il brandit parfois une arme. Ainsi, le 16 octobre, à Liévin (Pas-de-Calais), des écoliers affirment avoir vu quatre clowns avec une tronçonneuse les guetter depuis la grille avant de s'enfuir en voiture.

    Samedi dernier, la Voix du Nord affirmait que la direction départementale de la sûreté publique (DDSP) du Nord avait relevé 27 cas rien que pour la journée de jeudi et sur le seul territoire du Nord.

    Un phénomène mondial

    L'idée de se déguiser ainsi pour faire peur à la population n'est pas née dans le Nord. Loin de là. En 2013, un Anglais avait suscité la paranoïa à Northampton, à 100 kilomètres de Londres. Il apparaissait régulièrement vêtu en clown et portant des ballons à la main. Mais lui ne pourchassait pas ses victimes.

    La figure du clown tueur est également un motif récurrent du cinéma et de la littérature d'horreur, dont la principale figure s'incarne dans le héros du livre de Stephen King, Ça.

     

  • A Marseille, "le trafic de drogue générerait 10 à 12 M€ par mois" (2)

     

     
    Marseille / Publié le Lundi 20/10/2014 à 14H58 - mis à jour à 18H34
     

    Deux reporters de "La Provence" ont sillonné les cités, se faisant passer pour des "clients" pour mieux comprendre le marché de la drogue

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    À Marseille, rien qu'à la Police Judiciaire 70 enquêteurs, épaulés par la quarantaine de leurs collègues de la Brigade de recherche et d'intervention, analysent, surveillent, décomposent le trafic qui génère des millions d'euros chaque mois dans la cité phocéenne.

    Infographie Sébastien Bagnis

     

    Dans le cadre de notre enquête sur les trafics de drogue dans les cités de Marseille, voici un nouvel éclairage avec l'analyse de la police judiciaire marseillaise qui estime que le trafic de stupéfiants "générerait 10 à 12 millions d'euros par mois".  

    Pour rappel, le premier volet concernait le reportage réalisé par La Provence au coeur même des réseaux installés dans les quartiers nords de la ville.


    Le 18:18 - OM : le Vélodrome, une forteresse... par LaProvence
     


    Cette guerre est sans fin. Les politiques le savent, les enquêteurs aussi, les dealers surtout le savent. Oui mais voilà, même perdue d'avance, la police s'affaire à la mener tous azimuts, à remporter quelques batailles au prix de mois d'enquête, pour contenir le phénomène et préserver au mieux santé et sécurité publiques quand des milliers de consommateurs s'approvisionnent chaque jour dans les cités de Marseille.

    Des fonctionnaires en tenue et leurs collègues de la Bac qui tentent de gêner le ronron des vendeurs, "les charbonneurs", aux enquêteurs de la sûreté départementale et ceux de la Police Judiciaire qui eux s'acharnent à taper plus haut, et faire tomber des têtes de réseaux, rapidement remplacées, tous les niveaux de la police sont impliqués dans cette guerre aux dealers présentée comme l'enjeu numéro un, puisqu'à l'épicentre de la délinquance générale. Le patron de la police nationale, Jean-Marc Falcone, en visite à Marseille jeudi, l'a encore rappelé aux services.

    À Marseille, rien qu'à la Police Judiciaire 70 enquêteurs, épaulés par la quarantaine de leurs collègues de la Brigade de recherche et d'intervention, analysent, surveillent, décomposent le trafic qui génère des millions d'euros chaque mois dans la cité phocéenne. Le directeur interrégional de la Police Judiciaire, Christian Sainte, son adjoint, Fabrice Gardon et Sébastien Lautard, chef des stups, ont accepté, de faire le point en exclusivité pour La Provence.

    La Castellane et le reste du monde

    A Marseille, le trafic de drogue générerait 10 à 12 M€ par mois - 2
     

     

    Cette immense cité enclavée du 16e arrondissement constitue depuis des années ce qui se fait de mieux -- ou de pire, c'est selon -- dans le trafic marseillais. Six réseaux y cohabitent en bonne intelligence, autour d'un deal mythique, celui de la Tour K. En 2013, la Police Judiciaire a démantelé l'un d'eux, saisissant des documents comptables évoquant des chiffres d'affaires allant jusqu'à 50 000 euros par jour.

    Actuellement, entre 2500 et 3000 clients se fourniraient quotidiennement dans cet ensemble HLM qui bénéficie de son emplacement à la sortie de l'autoroute du littoral, un accès facile pour Vauclusiens et Alpins notamment. "Il y a une cinquantaine de guetteurs, qui travaillent en 3-8, et donc 24 heures sur 24. Même si le deal cesse de fonctionner entre 4h et 8h, les choufs restent pour éviter que la police ne rentre", assure la PJ. Alors que la Castellane tient le haut du panier, les trafics d'une dizaine d'autres cités tournent aussi à plein régime, avec 1500 à 2000 clients par jour : Font-Vert, Bassens, Air Bel, Frais-Vallon, Plan d'Aou, les Oliviers, Picon-Busserine, la Paternelle, Campagne-Levêque...

    Un cran en dessous, avec 500 clients quotidiens environ, on retrouve les deals du Castellas, de la Solidarité -- récemment mis à mal par la Police Judiciaire --, Val Plan, le parc Kalliste, la Savine, la Bricarde, La Maurelette, la Viste et Félix Pyat. Par un calcul, évidemment approximatif, basé sur la fourchette basse de ces données, on peut alors considérer le trafic marseillais brasse au moins 20 000 clients par jour...

    D'où vient cette drogue ?

    Pour satisfaire les besoins de cette masse de clients, les patrons de la PJ estiment que trois tonnes de cannabis par mois doivent être acheminées. Les caïds marseillais se servent majoritairement en produits marocains, via l'Espagne.

    "On trouve rarement une équipe qui fait tout, de l'approvisionnement à la vente. Désormais il y a des spécialistes des contacts au Maroc, d'autres du transport etc. Récemment, on a même eu un Français qui s'était installé en Espagne et qui proposait une formule 'All Inclusive' : il prêtait un appartement sur place aux chefs de réseaux marseillais, il remplissait lui-même les caches aménagées des voitures et proposait un chauffeur qui remontait toute la came à Marseille. Zéro risque pour les dealers !"

    De vrais chefs d'entreprises, mais sans code du travail

    Les patrons de deals, à la manière de PDG, gèrent de véritables entreprises tenues d'une main de fer : trouver des partenaires pour l'approvisionnement, placer des gérants de confiance, recruter guetteurs, charbonneurs, coupeurs et conditionneurs, nourrices et garder l'oeil sur tous ces employés pour éviter les "carottages", et ambitions incontrôlées.

    Les punir le cas échéant, ne s'appuyant ni sur un code du travail ni sur des juges prud'homaux, mais plutôt sur la peur et s'il le faut une rafale de Kalachnikov. "Chaque jour, les chefs de réseaux passent dans la cité pour remettre en place ceux qui déraillent", précise la PJ. S'ils ont une main de fer pour ceux qui sont à leur service, les caïds savent aussi se montrer plus que généreux avec les habitants de la cité. "Certains achètent le silence en distribuant des survêtements de sport aux minots, des téléphones neufs à des pères de famille en galère, aident certaines familles pour mieux qu'elles soient à leur merci si besoin. En 2012, durant l'été, ils avaient même installé des piscines gonflables à Val Plan et Bassens pour faire plaisir aux gosses !"

    Ils savent aussi fidéliser leur clientèle : "Au Castellas, il y a peu, les vendeurs faisaient un petit pack 'shit, feuilles OCB et briquet' ! Et puis dans certaines cités, certains mettent carrément en place des panneaux avec les différentes résines de cannabis et herbes avec le prix". Enfin, ces patrons savent s'adapter aux envies de leur clientèle : "On a vu un gros retour de la cocaïne ces derniers mois : plus un point de deal n'en propose pas désormais. Comme cette drogue s'est démocratisée, ils se sont rapidement adaptés", poursuit la PJ. Enfin, les patrons ne laissent pas leur place, acquise de haute lutte, comme ça.

    Même écroués, ils tentent de garder la maîtrise. "Quand on arrive à les incarcérer, il y a trois solutions : soit ils parviennent à placer des mecs à eux et gèrent depuis leur cellule, soit une équipe se propose de reprendre le point de deal contre un bail, soit il y a une OPA hostile et là ça finit en règlement de comptes", détaille la PJ.

    Les stups, épicentre de la délinquance

    "Dans une affaire à la Maurelette, on avait interpellé des clients : il y avait un coursier, une infirmière, un vendeur automobile, un chirurgien et un dentiste !", sourit l'un des patrons de la PJ.

    Parce que se droguer est devenu commun, parce qu'à 50-60 euros le gramme de coke et à 10 euros la barrette de shit (trois joints maximum), certains y laissent leurs aides sociales, d'autres leurs économies, et puis il y a ceux qui volent et braquent pour une dose. "Certains font des arrachages de colliers pour se faire 50 euros et acheter du shit, d'autres braquent un commerce ou des gens à leur domicile et investissent dans de plus grosses quantités pour les revendre et faire des bénéfices. Une majorité de faits de délinquance sont au final reliés aux stups", assurent les trois limiers.

    Alors que faire ?

    "Lutter, non pas pour éradiquer le trafic, mais le contenir. Leur vie n'est pas enviable, ils brassent du fric mais l'angoisse de se faire carotter, celle d'être tué et enfin celle d'être écroué est permanente. Reste que la prison ou la mort sont des risques qu'ils ont intégrés. Ce qui leur fait mal c'est quand on saisit tout ce qu'ils ont acquis grâce à la drogue..."

    La Provence

  • Marseille : reportage au coeur des cités de la drogue

     

    Marseille / Publié le Lundi 20/10/2014 à 07H08 - mis à jour à 10H56
     

    Deux reporters de "La Provence" ont sillonné les cités, se faisant passer pour des "clients" pour mieux comprendre le phénomène.

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    A la cité les Micocouliers, la vente se fait "sur la place publique", devant une épicerie...

    Photo Patrick Nosetto

     
     

    Un reportage sur les trafics dans les cités de Marseille. Un de plus. Quel intérêt ? C’est vrai que tout semble avoir été dit sur les marchés florissants de la drogue. Mais cette fois, nous avons décidé d’approfondir. Ou plutôt d’élargir en allant au contact des trafiquants, en jouant les acheteurs pour mieux les approcher et comprendre. Bassens, Castellas, Micocouliers, Paternelle, Lauriers, Solidarité et Castellane. Combien sont-ils par réseau ? Règnent-ils sur la cité ? Puis que proposent-ils ? À quel prix ? Reportage...

    Par où commencer ? Le trafic est si florissant. Les dealers sont partout. Cap sur le 15e. Notre périple débute par une cité tristement réputée. Bassens où les guetteurs sont aux aguets lorsqu’ils aperçoivent notre véhicule. Alors qu’on décide de sortir à deux, c’est le blocage. Un jeune d’environ 17 ans s’interpose et lance : "Oh, vous faites quoi là ? Si c’est pour toucher (acheter, dans le jargon du deal), il y en a un qui reste dans la voiture, l’autre qui y va, c’est la règle.

    L'ambiance est tendue

    Sous bonne escorte, on s’avance vers un hall d’entrée, où se tient un autre jeune. "Tu veux quoi ? On a du bon shit. C’est qui lui là-bas dans la voiture, c’est ton père ? T’es jamais venu toucher ici toi", indique-t-il, partagé entre instinct commercial et méfiance. L’ambiance est tendue.

    On repart rapidement avec trois barrettes de shit pour 30 euros, alors que les guetteurs semblent de plus en plus circonspects. Direction le Castellas (15e), où l’accueil est radicalement différent. Un jeune d’une vingtaine d’années, casquette et survêtement du Real Madrid, nous oriente avec le sourire vers une petite impasse. "Vous pouvez pas vous tromper, tout droit, après le snack", lance-t-il, jovial, avant de nous demander une faveur étonnante. "Tenez, voici 2 euros, quand vous voyez mon collègue, dîtes lui de m’acheter une part de pizza, et donnez-la moi quand vous redescendez. Vous êtes cool merci !" Ça donne faim le deal.

    La vente sur la place publique

    On s’engouffre dans un cul-de-sac plus loin. Là, un vendeur déboule, synchro ! Cette fois, on demande un pochon d’herbe. "On est en rupture, mais on a du shit, de la CC (cocaïne), et de l’héroïne très pure, à 150 euros le gramme", clame-t-il. On lui prendra finalement une petite barrette de shit à 10 euros. "Merci, revenez quand vous voulez et dites à mon collègue que pour la pizza c’est mort, le snack est fermé".

    En partant, on recroise le guetteur qui s’approche et nous glisse un petit bout de shit. "C’est cadeau, à bientôt".

    On reprend la route vers Les Micocouliers (14e), un haut lieu du trafic. L’atmosphère y est pesante. Trois jeunes qui squattent une vieille voiture sans permis s’approchent, menaçants. On baisse la vitre conducteur. "Soulevez-vos t-shirts, montrez-nous vos poches !", intime l’un d’eux. Au cas où on serait armés. "Je vais vous fouiller le coffre", ajoute-t-il. Après avoir montré patte blanche, on roule vers le haut du quartier jusqu’à un magasin qui n’a d’alimentation que le nom. Là, des ados en survêts de foot nous accostent, sympas. Un pochon d’herbe svp ! "C’est 20 euros, je vous cherche ça. Vous ne voulez pas de la coke, 80 euros le gramme ?" On refuse et il s’éloigne pour chercher le pochon dans un vieux frigo placé sur le trottoir, au vu de tous les habitants. C’est ce qui s’appelle régner sur la cité. "Vous verrez, c’est de la bonne. Revenez me voir si besoin, je travaille toute la journée, et même le soir".

    On enchaîne avec la Paternelle (14e) et son décor apocalyptique...

    Retrouvez la suite de ce reportage dans notre Edition Abonnés. Mais aussi : "Le trafic générerait 10 à 12 millions d'euros par mois" et "Voilà comment tout a commencé, à la fin des années cinquante"

     

    La Provence

  • Un petit test amusant et rapide: Quel pays est fait pour moi ?

    http://mintechapps.com/country/fr/index.php?c=France+&img=http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d4/EU-France_%28without_insert%29.svg/1024px-EU-France_%28without_insert%29.svg.png&utm_source=facebook&utm_medium=facebook_share&utm_campaign=coutryapp

     Test trouvé sur le blog de Pharamond dont voici le lien:

    http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2014/10/17/pampa-5470682.html

     

    Merci Pharamond!

     

     

     

     

     

  • Hervé Mariton, un Français de souche…sépharade!

    Posté le 19 octobre 2014admin                    

    J’en suis encore tout chamboulé.

    Avant-hier, alors que je moulinais sur mon vélo d’appartement histoire de fatiguer mes mollets tout en regardant une rediffusion de “C dans l’air” consacrée à la manifestation du week-end dernier, j’ai appris une nouvelle si extraordinaire que j’ai failli basculer la tête la première au-dessus de mon guéridon.© Christophe Morin / IP3 . France, Paris le 11 septembre 2012. Seance de questions au gouvernement a  l' Assemblee nationale, en presence de Herve Mariton

    En toute fin d’émission, le rédacteur en chef du Figaro Magazine, afin de démontrer la diversité des personnes soutenant la démarche des participants à la Manif pour tous, a cru bon d’asséner comme preuve ultime de son assertion,  qu’Hervé Mariton était d’origine juive.

    J’ai d’abord cru à une mauvaise blague.

    Quoi, Mariton, ce héraut de la Manif pour tous, ce pourfendeur du mariage gay, ce prétendant à la présidence de l’UMP, ce binoclard à la tête d’instituteur de province, ce fieffé politique à la langue acérée, ce défenseur de la famille en danger, cet étendard du conservatisme à la française sentant bon la naphtaline, ce député de la Drôme, cet ancien vice-président de la commission pour la trufficulture, était juif ?

    Encore tout chancelant, le cœur palpitant d’une angoisse indescriptible, l’esprit aux abois, j’ai filé tout droit me renseigner sur Wikipédia.

    J’ai bien cru m’évanouir de surprise.

    Car non seulement il s’avérait bel et bien que le sbire du Figaro Magazine n’avait pas énoncé une bêtise, ce qui déjà constituait une surprise en soi, à savoir que le Mariton, juif, il l’était bel et bien, qu’il ne s’en cachait d’ailleurs nullement, mais que de surcroît sa mère était une Pied-noir répondant au doux nom de Yolaine Benkemoune.

    Martinon était un fils Benkemoune.

    J’avoue n’en être toujours pas revenu.

    Passe encore qu’il fut, suite à un drôle concours de circonstances - mariage arrangé, alliance entre familles antagonistes, adoption contrariée – un travesti d’ashkénaze, un juif putatif née d’une mère versée dans l’art de cuire la carpe farcie, mais un séfarade pur jus, un fils Benkemoune, un Hervé Benkemoune en puissance, voilà qui m’apparaissait tout aussi incongru que si je venais d’apprendre la nomination de Dieudonné à la tête du CRIF.

    Ou que Jean-Marie Le Pen s’adonnasse tout les soirs à une séance de danse du ventre sur des chansons d’Oum Kalsoum, en hululant toutes les cinq minutes des youyous à même de fendre son service à couscous.

    En farfouillant peu à peu dans son arbre généalogique, plus à une surprise près désormais, bien décidé à tirer au clair toute cette sombre affaire, je finis par découvrir que son grand-père se prénommait Chalom Benkemoune et sa grand-mère Lucienne Ackrich.

    Mes papillotes se détricotèrent d’elles même.

    Hervé Chalom Benkemoune dit Hervé Mariton.

    Lire la suite de cet article : http://blog.slate.fr/sagalovitsch/2014/10/13/herve-mariton-un-francais-de-souche-sepharade/

    Laurent Sagalovitsch

    TRIBUNE JUIVE

  • Gaza : Des témoignages hallucinants (Tribunal Russell)

                                                                    

    Publié par Gilles Munier sur 11 Octobre 2014, 15:59pm

     Gaza : Des témoignages hallucinants (Tribunal Russell)

    Revue de presse : Informations Palestine (n° 065 - 9/10/14)*

    …(…)… Les chiffres figurant dans le rapport final [du Tribunal Russell sur la Palestine –NDLR] attestent de l'ampleur de l'agression : 700 t de bombes larguées, (soit 2 t/km2), contre 50 t en 2112, et 43.000 obus ; carpet bombing (tapis de bombes), sous-munitions à fléchettes, bombes au phosphore blanc et de type thermo-barique... armes pour la plupart non conventionnelles, fabriquées aux Etats-Unis ou Israël, destinées à tuer le plus grand nombre possible de personnes et à causer aux survivants le maximum de souffrances. Le dénombrement des victimes prouve que les civils ont été visés plus encore que les combattants : pour 66 soldats israéliens tués, 499 combattants palestiniens ; pour 7 civils israéliens, 837 Palestiniens (soit 119 Palestiniens pour 1 Israélien). Il y a eu 11.231 blessés graves dont 3312 enfants et 2120 femmes, des immeubles entiers ayant été détruits pour, en principe, atteindre un responsable du Hamas. Des mosquées et des écoles, dans lesquelles la population avait espéré trouver refuge, ont été bombardées, les Israéliens affirmant que des dépôts de roquettes ou des combattants y étaient dissimulés mais aucun des témoins interrogés n'a pu confirmer cette assertion.

    Au contraire, des séquences projetées ont montré comment les militaires israéliens ont pris en otage des familles et se sont installés dans leurs maisons, arrêtant et torturant des hommes supposés connaître l'entrée des tunnels, exécutant sommairement des hommes du seul fait qu'ils connaissaient l'hébreu et donc qu'ils pouvaient avoir des relations avec des personnes installées en Israël, en utilisant d'autres comme boucliers humains pour progresser dans les tunnels, etc.

    Des bombardements se sont abattus aussi sur des établissements de santé qui auraient dû rester hors d'atteinte : 17 hôpitaux sur 32 ont été endommagés et 58 cliniques. Comme on demandait au Dr Mads Gilbert, chirurgien norvégien, s'il était exact que certains hôpitaux avaient servi de refuge à des combattants, il a répondu négativement ajoutant : "Si j'avais vu un homme armé dans l'hôpital où j'opérais, je lui aurais demandé immédiatement de quitter les lieux". Au total, 144 médecins, infirmiers ou ambulanciers, ont péri lors de Protective Edge...

    A ces atteintes aux personnes, il faut ajouter l'envoi de missiles à l'intérieur d'un grand nombre d'établissements industriels (au moins 128 sur 300) dont une savonnerie, une menuiserie, une fabrique de charpentes métalliques, la plus importante confiserie, désormais hors d'usage, et la destruction d'au moins 18.000 unités d'habitations. Israël ayant élargi de 600 à 1500 mètres le terrain vague situé à la limite de son territoire (du côté palestinien bien sûr), 68% des terres arables ont été rendues improductives.

    Ces faits ont été attestés par des Israéliens, journalistes ou anciens militaires et il a été question, par ailleurs, du déferlement de haine à l'endroit des "Arabes", présentés par certains rabbins ou hommes politiques comme des ennemis à anéantir ou des animaux nuisibles. Il n'est pas étonnant que, finalement, que 95% des Israéliens auraient approuvé Protective Edge, que 3% seulement en auraient déploré les excès. (…)

    *Source : Retour sur la cinquième session du Tribunal Russell sur la Palestine (Bruxelles, les 24 et 25 septembre 2014 – Extrait)

    FRANCE-IRAK ACTUALITE

  • Le FN se voit en leader dans le Vaucluse

     

    Le Pontet / Publié le Dimanche 19/10/2014 à 05H37
     

    Marion Maréchal-Le Pen a fait sa rentrée politique hier au Pontet. La députée n'a pas caché la volonté du parti de ravir la présidence du Conseil général.

    Politique - Actualités - Le FN se voit en leader dans le Vaucluse
    Marion Maréchal Le Pen, au côté de Joris Hébrard, est venue "délivrer un message d'espoir" aux militants vauclusiens du FN, hier au Pontet.

    Photo b.S.

     
     

    Ce n'était pas vraiment - contrairement à l'intitulé de l'invitation - une réunion de rentrée de la députée pour présenter son activité parlementaire mais bel et bien celle de la patronne du FN en Vaucluse.

    Marion Maréchal- Le Pen avait symboliquement choisi Le Pontet, où les élections municipales viennent d'être annulées, pour soutenir le maire Joris Hébrard, qui devra probablement entrer de nouveau en campagne dans les prochaines semaines, mais aussi pour "donner un message d'espoir" aux militants, qui étaient environ 300 hier réunis au complexe de Fargues.

    "Le FN est aujourd'hui représenté dans toutes les assemblées, nous avons quasiment remplacé l'UMP au niveau national, se réjouit Marion Maréchal-Le Pen. Aux Européennes, le Vaucluse est le 5e meilleur département. Même si des ambitions personnelles nous ont privés d'un sénateur, le Vaucluse est un département qui compte et le FN est l'avenir de ce département".

    "Joris Hébrard sera mieux élu"

    La députée, benjamine de l'Assemblée nationale, avait invité le benjamin du Sénat, David Rachline, maire de Fréjus. Un autre symbole, celui d'un FN "new look", où, contrairement aux autres formations politiques, les jeunes cadres ont trouvé toute leur place.

    Au Pontet, il va falloir revoter pour (ré)élire le maire. Et cela n'a pas l'air d'inquiéter Marion Maréchal-Le Pen. "Je suis très sereine. Joris Hébrard sera réélu et mieux élu. C'est un maire apprécié et il n'a rien à se reprocher dans l'organisation de ces élections. C'est l'UMP, ici, qui est le pompier et le pyromane. Et n'oublions pas que Joris Hébrard a hérité d'une dette de 50 millions d'euros".

    De son côté, le maire FN mise sur son mini-bilan et "le travail bien fait" pour sa future campagne. "Je vais mettre le paquet, car les Pontétiens trouvent injuste de revoter", certifie le maire qui rit de "l'alliance UMP-PS en train de se dessiner. Le socialiste Miliani Makhechouche, qui a comme seul programme de chasser le FN de la ville, quémande l'amitié de Claude Toutain. Et Frédéric Quet, s'il y a quelque chose à la clé, il fera aussi attelage".

    La Provence

  • Ebola/Fabius : maintenir les vols vers la France pour éviter la dissémination en Afrique

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    20h55

    Pour le ministre des Affaires étrangères, suspendre les liaisons aériennes avec l’Afrique favoriserait les « transports sauvages ».


    Après que les syndicats d’hôtesses et de stewards d’Air France ont exigé « la fermeture de la desserte de Conakry » en Guinée, Laurent Fabius est monté au créneau. « Couper les ponts » en arrêtant les liaisons aériennes avec les pays d’Afrique touchés par Ebola serait une « sottise énorme ».

    Et pour cause, cela engendrait des « transports sauvages » qui dissémineraient davantage le virus, a affirmé dimanche à Pékin Laurent Fabius.

    Mais M. Fabius a donc mis en garde contre ce « faux bon sens », préférant au contraire l’option « contre-intuitive » de « contrôles draconiens ». « Une réaction spontanée pourrait être de dire 'là-bas il y a une épidémie et donc il faut couper absolument tous les liens'. Mais tous les spécialistes nous disent que, du point de vue même médical, ce serait une sottise énorme », a déclaré dans une conférence de presse le chef de la diplomatie française. « S’il n’y a plus aucune possibilité (de prendre l’avion), les gens vont sortir du pays en contrebande -si j’ose dire-, ils iront prendre l’avion dans un autre pays et, s’ils sont porteurs du virus, personne ne les contrôlera », a-t-il assuré. …

    Le Point

    Revoir : Mensonges d’Etat : l’affaire du sang contaminé

    FDS

  • Le plug a été démonté et remballé: Libération parle d’une prochaine « exposition sadico-anale »)

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    23h57

    Pour sa réouverture, prévue le 24 octobre, la Monnaie de Paris présentera une grande exposition sadico-anale de Paul McCarthy, dont le titre, «Chocolate Factory» (usine à chocolats), fleure déjà bon.

    Une provocation de Libération ?

    Source


    Après son agression et le saccage de sa statue gonflable place Vendôme, l’artiste américain Paul McCarthy jette l’éponge. Sa sculpture qui faisait polémique, sa forme pouvant autant faire penser à un immense sapin de Noël qu’à un « plug anal », a été remballée samedi.

    France info

    FDS

    Mais quel adulte normal peut s'intéresser à une exposition sadico-anale et scatologique? A ces immondices qui puent la démence?

  • L’Europe avalise l’infanticide

     Par / le 18 octobre

    2014          foetus-MPI

    Le lecteur me permettra de citer une expérience personnelle. Nous avions en commun ma mère médecin et moi une patiente dont l’intelligence avait la taille d’un poids chiche. Elle présentait une béance du col utérin. Quand elle était enceinte, pour maintenir la grossesse, je lui faisais un cerclage du col. Mais si elle ne voulait pas de l’enfant, elle attendait simplement que celui-ci tombe tout seul de son utérus. Nous recueillions alors des bébés absolument minuscules et non-viables. Les larmes aux yeux nous voyions ces pauvres petits chercher désespérément à trouver leur respiration. Ma mère qui craignait le froid pour elle-même les entourait de coton. Nous les baptisions et nous les confions à la miséricorde divine.

    Il se présente qu’un certain nombre de pays dont la France permettent des avortements immédiatement avant le terme de la grossesse. Rappelons que le Conseil d’état en France avait décrété que tant qu’un enfant n’était pas sorti du sein de sa mère et n’avait pas respiré, il était une sorte de non-être. Ni minéral, ni végétal, ni animal et même pas humain.

    Or des situations comme celle décrite ci-dessus peuvent arriver dans le cadre des avortements légaux. Après des manœuvres abortives ratées, des fœtus peuvent arriver au monde tout à fait vivants. Ils sont alors considérés comme des enfants et doivent bénéficier de l’aide de la médecine. Or en Angleterre, ces enfants sont étouffés, jetés aux ordures comme déchets hospitaliers ou dans l’incinérateur alors qu’ils ont toutes les chances de survivre. Au moins 66 cas de ce genre ont été rapportés l’an dernier. Ce sont des infanticides légaux. L’Europe peut-elle les accepter ?

    Le 31 janvier dernier un député espagnol du Parti Populaire Européen, Ange Pinto a soumis cette question au Comité des Ministres du Conseil de l’Europe. Cette demande devait être appréciée en fonction de la Convention européenne des droits de l’homme. Apparemment, la réponse est tombée le 9 juillet après des mois de retard. C’est « Non ! ». Les sinistres ont montré une réticence à affronter le fait que les nouveaux-nés sont laissés agoniser sans soins, ou sont euthanasiés illégalement, ce qui soulève la question de l’avortement tardif au-delà du seuil de viabilité. Leur réponse à la question 655 de M. Pintado était qu’il y avait « un manque de consensus entre eux » sur cette question. Réponse à la Ponce-Pilate. « Je me lave les mains du sang de cet innocent ».

    À ce stade, plusieurs délégations nationales ont suggéré une nouvelle réponse réaffirmant le principe fondamental du droit à la vie, l’interdiction des traitements inhumains et dégradants, et le droit d’accès aux soins de santé de chaque personne, sans discrimination en ce qui concerne les circonstances de la naissance. D’autres ont demandé que soit redéfini un seuil de viabilité du fœtus ; lequel avait été fixé par le code Napoléon à six mois de grossesse soit 28 semaines) alors que pour l’Organisation Mondiale de la Santé il est de 22 semaines. Peine perdue ! La patate chaude sera peut-être refilée au Conseil de l’Europe qui à la demande d’un particulier fera éventuellement cesser le massacre qui continue…

    MEDIAS-PRESSE-INFO

  • Les thèses d’Eric Zemmour dans le collimateur de Manuel Valls

    18h45

    Manuel Valls a vivement critiqué dimanche 19 octobre, sans le nommer, le polémiste Eric Zemmour, déplorant notamment ses affirmations selon lesquelles le régime de Vichy aurait sauvé des juifs durant la seconde guerre mondiale.

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    Le premier ministre s’est indigné dans un discours devant ses alliés radicaux de gauche à Paris :

    « Qu’aujourd’hui, dans le débat public, on puisse considérer comme normal, comme un élément du débat, qu’on puisse considérer que Vichy, son régime, ait sauvé des juifs, sans que cela ne suscite pas d’indignation du fond du peuple, montre bien que nous avons un combat majeur à donner. »
    Au-delà de la question de Vichy, le premier ministre s’en est pris plus largement « aux adversaires de la République » et « aux discours sur le déclin de la France ». Quand ceux-ci « prospèrent aujourd’hui, il nous faut mener une bataille d’idées dont on n’a pas encore pris la mesure », a-t-il affirmé.

    « UNE VISION TRISTE ET RANCE »

    Manuel Valls, qui s’est lancé depuis plusieurs semaines dans une croisade contre le « French bashing » (les moqueries contre la France), s’en est pris à « un discours qui rabaisse notre pays, qui voudrait nous ramener à une France qui aurait été heureuse dans les années 1950, qui nie ce qu’est la réalité du monde ».

    A cette vision qu’il juge « triste, enfermée sur elle-même, rance, qui n’est pas celle de la France », Manuel Valls a opposé « les valeurs de la République, une France ouverte sur le monde, une France généreuse » de « l’égalité, la liberté et la fraternité ».

    Le Monde

     

    FDS