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  • Discriminations : les juifs éthiopiens d’Israël menacent d’une «intifada noire»

    16h49

    Des heurts ont éclaté vendredi soir, dans le centre de Jérusalem, entre plusieurs centaines de Juifs d’origine éthiopienne et la police israélienne. Les manifestants étaient venus protester contre le récent passage à tabac d’un soldat issu de leur communauté, et dénoncer les discriminations dont ils s’estiment victimes.

    Cette confrontation sans précédent intervient après la diffusion d’une vidéo filmée dimanche par une caméra de vidéosurveillance dans une rue de Holon, une localité située au sud de Tel Aviv. A l’image, un jeune soldat d’origine éthiopienne, Damas Pakedeh, est pris à partie par un policier qui lui demande de s’éloigner avant de le rouer de coups, visiblement exaspéré par sa réticence à obtempérer.

     

    La foule en colère, qui tentait d’approcher la résidence du premier ministre, a jeté des pierres et des bouteilles en direction des forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes et assourdissantes. La manifestation, qui avait débuté dans l’après-midi, a paralysé le centre-ville jusque tard dans la soirée.

    Source

    Merci à fran95_5

     

  • Malgré les perturbations, Marine Le Pen se projette dans la «bataille» de 2017

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    Home LE SCAN Les verbatims            

      • Par Jim Jarrassé
      • Mis à jour le 01/05/2015 à 13:59
      • Publié le 01/05/2015 à 13:50

     

                                                       

    LE SCAN POLITIQUE - Souhaitant faire oublier la brouille avec son père, la présidente du FN a livré un message d'espoir à l'attention de ses sympathisants.

     

    Un premier mai maudit pour Marine Le Pen? La démonstration de force à laquelle souhaitait se livrer la présidente du FN pour son traditionnel défilé n'avait pas débuté sous les meilleurs auspices, entre les bravades de Jean-Marie Le Pen et l'irruption à deux reprises de militantes Femen. Lesquelles l'ont notamment interrompue alors qu'elle débutait son discours, place de l'Opéra. Un temps décontenancée, Marine Le Pen a ensuite retrouvé le fil de son discours, et tenté de délivrer un message d'espoir à ses militants en se projetant dans le combat présidentiel de 2017.

    «L'heure va être à l'action et nous devons nous y préparer. A l'aveuglement et l'inertie se substitueront le courage et l'action», a déclaré Marine Le Pen à la tribune, devant un grand panneau frappé du slogan «la France fait front». «Ne soyez pas anxieux ou abattus, soyez juste impatients. Les forces qui montent sont irrésistibles, comme un instinct de survie», a encore lancé la présidente du FN. «Des obstacles se dresseront devant nous, la bataille politique sera âpre, rien ne nous sera épargné, c'est une certitude. Mais nous triompherons de tout cela et, de ces batailles, naîtra une Nation libre, fière, confiante, où il fera à nouveau bon vivre!». «La France sera sauvée par une enfant du peuple», a-t-elle ajouté.

     

    Un message optimiste qui a succédé à un diagnostic très sombre sur la situation politico-économique du pays. «Immigration, dette, déficit, mondialisation sauvage, politique pénale, impôts, école, santé... La France est hors contrôle», a lâché Marine Le Pen au début de son discours. À qui la faute? A «l'eurodictature», d'abord, qui provoque selon elle chômage et austérité. «Le trou noir de l'UE avale tout. Rien ne s'arrange, tout empire. Il faut rompre avec l'Union européenne, il faut retrouver notre souveraineté», a exigé la patronne du FN.

    Hollande, Sarkozy, Valls: la «caste des politiciens» au pilori

    Au «système» de la «caste des politiciens», ensuite. «Il se braque, se raidit, il va plus loin encore dans ce saccage délirant, dans la division des Français, dans l'oubli de la France. Il ne travaille plus qu'à sa propre survie, au risque de mettre fin à la France», accuse-t-elle. La dénonciation d'une «UMPS» personnifiée par Nicolas Sarkozy et François Hollande, que Marine Le Pen attaque avec un même degré de violence. Leur principal tort, selon la présidente du FN? Avoir laissé «une immigration massive s'installer alors qu'il n'était plus possible d'assimiler des immigrés en si grand nombre». «Ils ont inculqué aux enfants de l'immigration la haine de la France, le mépris de ses valeurs et de son histoire. Ils ont laissé s'installer l'idée que les lois de la République étaient optionnelles, négociables, nos valeurs discutables», a-t-elle accusé.

    Autres cibles de Marine Le Pen: Manuel Valls, un «opportuniste qui profite de la menace islamiste pour faire passer ses lois liberticides», ou encore Najat Vallaud-Belkacem et sa «funeste réforme» du collège, qui «est à l'éducation ce que BHL est à la philosophie».

    Sous les cris de «Marine présidente» et «on est chez nous», la présidente du FN a voulu à nouveau démontrer la dynamique de son parti. «Nous avions raison sur tout: cela relativise la violence des attaques dont nous sommes l'objet», a-t-elle dit. En guise de préambule, Marine Le Pen a livré un hommage à Jeanne d'Arc. «Elle n'avait pas attendu l'égalitarisme des sexes pour monter à cheval et manier l'épée. (...) Jeanne d'Arc n'avait pas espéré la parité pour commander aux hommes et prendre la direction d'une armée. (...) A l'instar de Jeanne, nombreuses sont les femmes illustres qui ont marqué le roman national de leur empreinte.»

    LE FIGARO

  • Bientôt un lycée islamique à Toulouse ?

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    01/05/2015 – TOULOUSE (NOVOpress)
    Dans la ville de Toulouse, les musulmans veulent construire une école islamique et ont fait un appel aux dons à cette intention. Leur but est que les élèves, une fois la classe de troisième terminée dans leur collège musulman, intègrent le futur lycée islamique plutôt que de suivre des cours à domicile ou d’intégrer un lycée public classique.

    220 000 euros ont déjà été récoltés sur le million d’euros nécessaire à ce lycée confessionnel musulman qui a pour nom de code “Groupe scolaire ALIF”.

    Malgré la multiplication de ces initiatives communautaires, beaucoup vont encore vouloir nous faire croire que l’islamisation de la France est une simple rumeur.

    Crédit photo : capture d’écran de la présentation du Groupe scolaire ALIF


  • Premier mai du Front National, incidents mineurs avec les Femen

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    01/05/2015 — FRANCE (NOVOpress)
    Quelques incidents mineurs ont émaillé le défilé du premier mai du Front National

    Le temps est maussade en ce premier mai, ce qui n’a empêché ni l’habituel défilé du Front National, ni le discours de sa présidente, Marine Le Pen… ni quelques tensions.
    Tensions entre la présidente et le président d’honneur, Jean-Marie Le Pen. Ce dernier n’a pas défilé en compagnie de sa fille et est monté brièvement sur la tribune pour se faire acclamer par la foule des militants, s’éclipsant avant le discours de sa fille.
    Les FEMEN se sont également invitées à deux reprises à la manifestation, une première fois au moment du dépôt de gerbe aux pieds de la statue, une seconde en surgissant d’un balcon pour interrompre le discours de Marine Le Pen. Dans les deux cas, les agitatrices ont rapidement été maîtrisées et évacuées. « Il y en a qui vont devoir aller se rhabiller », a ironisé la présidente du FN à l’arrivée du service d’ordre. « Cette recherche du buzz permanent me dégoûte, comme elle dégoûte les Français et je m’en extrais avec délectation et gravité » a-t-elle rajouté.
    Les trois militantes Femen ayant interrompu le discours de Marine Le Pen, leur accompagnateur, ainsi que trois chargés de la sécurité du FN ont été entendus dans le cadre d’une audition libre et n’ont pas été placés en garde à vue.

    Le discours de Marine Le Pen a été fortement axé sur les dangers que le communautarisme fait subir au pays, sur l’immigration ainsi que sur la responsabilité des partis dits « de gouvernement » (UMP / PS) et de l’Union Européenne dans la situation que nous subissons, appelant ses militants au courage dans le combat qui les attend.

    crédit photo : G. Bouchet/Front national via WikiCommons (CC)

  • JOYEUX 1ER MAI !

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  • 30 avril 1863 – Bataille de Camerone

    18h48

    La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes libérales du gouvernement mexicain le 30 avril 1863 lors de l’expédition française au Mexique.

    Le Récit de Camerone est lu devant les troupes dans chaque régiment de la Légion étrangère tous les 30 avril, jour anniversaire de la bataille, et fête de la Légion.

    « L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut designée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.

    Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.

    Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.

    Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.

    À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.

    Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

    L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

    « Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.

    « On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.

    Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

    L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.

    En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

    « Ils furent ici moins de soixante
    opposés à toute une armée,
    sa masse les écrasa.
    La vie plutôt que le courage
    abandonna ces soldats Français
    le 30 avril 1863.
    à leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

    Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

  • « Voir des migrants s’installer en pleine campagne, ce n’est pas banal »

    11h31

    Pour désengorger la ville de Calais (Pas-de-Calais), une quarantaine de demandeurs d’asile venus notamment d’Afrique de l’Est ont élu domicile à Pouilly-en-Auxois, un petit village de 1 600 habitants, en Côte-d’Or. Reportage.

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    Depuis bientôt trois mois, Pouilly-en-Auxois (Côte-d’Or) vit au rythme d’une cohabitation inédite. Depuis l’arrivée début février d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, les 1 600 habitants de ce petit village bourguignon oscillent entre craintes et bonnes surprises. Il faut imaginer le choc pour cette commune rurale, qui a vu débarquer d’un coup une vingtaine de migrants, venus s’installer en bordure du village. « Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai éclaté de rire », raconte une voisine, jeudi 23 avril. « Voir des migrants s’installer en pleine campagne, ce n’est pas banal », ajoute dans un sourire la jeune femme de 34 ans.

    L’ancienne caserne de la gendarmerie, en bordure du village, accueille désormais 40 migrants. Imaginé par l’Etat pour désengorger la ville de Calais, ce nouveau foyer géré par la société Adoma peut accueillir jusqu’à 60 personnes. L’expérience est une première en la matière. Corinne Fournier, la responsable du centre, n’a pas d’autre exemple sur lequel s’appuyer pour favoriser l’intégration des demandeurs d’asile dans ce territoire rural : « Notre rôle est d’abord de leur apporter un accompagnement social et administratif. En trois mois, ils ont déjà récupéré une humanité, ils dorment, se lavent et se sentent en sécurité. » [...]

    « Ils ont des avantages que les Français n’ont pas »

    Sur la place du village, entre la boulangerie et le bureau de tabac, beaucoup d’habitants ne cachent pas leur hostilité. « Je ne suis pas raciste, mais, avant d’aider des gens à des milliers de kilomètres, la France ferait mieux de s’occuper de ses propres enfants qui crèvent dans la rue », s’énerve une habitante. « Ils ont des avantages que les Français n’ont pas, c’est une injustice criante. »

    Les demandeurs d’asile touchent l’allocation temporaire d’attente, fixée à 11,45 euros par jour (soit un peu moins de 350 euros par mois). Et si les passants reconnaissent que les migrants du centre restent « tranquilles et discrets », beaucoup pointent du doigt ces aides sociales. « J’élève mon petit garçon malade avec 420 euros par mois, et eux, on leur donne tout… », proteste Céline, 31 ans, qui explique avoir voté Front national pour la première fois aux élections départementales. A Pouilly, le FN est arrivé en tête du premier et du second tour.

    « On ne peut pas accepter toute la misère du monde »

    « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde. » La phrase de Michel Rocard revient très souvent dans la bouche des habitants. Elle est aussi inscrite sur un tract du Parti de la France. Ce mouvement d’extrême droite et ses militants se sont invités à Pouilly, début avril. « Ils sont allés dans le centre Adoma pour coller des affiches et se sont mis à boire des bières devant le bâtiment », raconte Bernard Milloir, le maire du village, sans étiquette.

    Les premières semaines, Bernard Milloir a reçu de nombreuses lettres pénibles à lire. Des insultes qui se sont multipliées après l’épisode des crêpes au château de Chailly, évoqué notamment par Le Bien public. Cet hôtel quatre étoiles a invité les migrants pour la fête de la Chandeleur. La réception et l’implication du maire, qui a accompagné les demandeurs d’asile en voiture, ont provoqué des remous.

    « Nous ouvrir un peu l’esprit »

    Les paroles échangées vont parfois loin. « A leur arrivée des migrants, une personne âgée m’a demandé si je n’avais pas peur qu’ils violent ma fille… », raconte une commerçante. Plus récemment, les travailleurs du centre d’accueil ont eu la désagréable surprise de découvrir leurs pneus crevés.

    « La bêtise vient d’une méconnaissance des migrants et de leur situation », veut croire un habitant. Si une partie de la population reste sur ses gardes, certains se sont fortement mobilisés pour accueillir les nouveaux résidents avec le concours des associations caritatives. Marylin, une mère de famille de 39 ans, porte un regard bienveillant sur leur arrivée : « Ça peut nous faire du bien, nous permettre de nous ouvrir un peu l’esprit. » Dans cette optique, Adoma a prévu vendredi 24 avril une soirée de rencontres avec les habitants pour laquelle chaque demandeur d’asile a préparé des plats de son pays.

    « Avec un ballon, on parle tous la même langue »

    Dans le foyer, seuls deux migrants comprennent bien le français. Pour améliorer la communication, les résidents suivent des cours dispensés par 23 bénévoles du centre social. Bernard Van Vlaenderen, un vétérinaire à la retraite, vient deux fois par semaine pour transmettre quelques bases à un groupe d’une dizaine de personnes.

    « En France, on roule à droite, à droite. » Dans un mélange de français et d’anglais, Bernard fait un point sur la sécurité routière. Le centre vient de recevoir une donation de huit vélos et la responsable s’inquiète pour la sécurité des migrants.

     

    Mercredi, le club de football de Pouilly a accueilli pour la première fois une douzaine de demandeurs d’asile lors de son entraînement. Un match amical a été organisé entre deux équipes mélangeant joueurs du club et migrants. « Ce soir, pendant au moins deux heures, vous faites partie du club de foot de Pouilly, tout le monde vous accueille les bras ouverts », lance Samuel Charreau, l’entraîneur, avant d’être traduit en arabe par l’un des migrants.

    Le club de foot de Pouilly souhaite désormais leur proposer de revenir chaque semaine à l’entraînement et d’intégrer éventuellement l’équipe en septembre. « Avec un ballon, on parle tous la même langue, et j’espère que cette initiative permettra de changer un peu le regard des habitants », confie Samuel Charreau.

    France TV Info

  • Viols en Centrafrique : des soldats du Tchad et de Guinée équatoriale incriminés (MàJ)

    21h05

    30/04/15

    Viols en Centrafrique : des soldats du Tchad et de Guinée équatoriale incriminés

    Des soldats tchadiens et de Guinée équatoriale sont également accusés par un rapport de l’ONU d’abus sexuels sur des enfants en Centrafrique, où des militaires français sont déjà mis en cause, selon une ONG jeudi. Il s’agit de trois soldats tchadiens et deux équato-guinéens, a précisé à l’AFP la codirectrice de l’ONG américaine AIDS-Free World, Paula Donovan, qui a consulté le rapport et l’a communiqué au journal britannique The Guardian.

    (…) Le Point


    Viols en Centrafrique : l’enquêtrice de l’ONU interrogée par la justice française

    L’immunité de cette fonctionnaire des Nations-Unies n’a pas été levée comme le réclamait le parquet de Paris. Mais elle a témoigné par écrit pour confirmer ses accusations.

    (…) Nouvel Obs


    29/04/15

    Les faits se seraient produits entre décembre 2013 et juin 2014, à Bangui, la capitale de la République Centrafricaine. Dans un camp de réfugiés près de l’aéroport, où des milliers de personnes ont fui les combats. Au printemps 2014, l’ONU lance une enquête : des militaires français sont soupçonnés d’abus sexuel sur une dizaine d’enfants. Les faits sont tus, et l’ONU garde le silence sur l’affaire. Jusqu’à l’intervention d’une responsable humanitaire, qui a contacté le Guardian pour révéler le dossier au grand jour.

  • La citation du jour (Julius Evola)

     

    Philippe Delbauvre

     

    Varia
    La citation du jour (Julius Evola)
    « Il est important, il est essentiel que se constitue une élite, qui, dans un recueillement soutenu, définira, avec une rigueur intellectuelle et une intransigeance absolue, l’idée en fonction de laquelle il faut s’unir, et affirmera cette idée sous la forme, surtout, de l’homme nouveau, de l’homme de la résistance, de l’homme debout parmi les ruines. S’il devait nous être donné de surmonter cette période de crise et d’ordre vacillant et illusoire, c’est à cet homme, et à lui seul, qu’appartiendrait l’avenir. Mais quand bien même le destin que le monde moderne s’est créé, et qui maintenant est en train de l’emporter, ne pourrait-il être contenu, grâce à de telles prémisses les positions intérieures seront tenues : en quelque circonstance que ce soit, ce qui devra être fait sera fait, et nous appartiendrons à cette patrie qu’aucun ennemi ne pourra jamais occuper ni détruire. »

    Julius Evola
     
    VOXNR
  • NAUFRAGES DE CLANDESTINS ET FALSIFICATION DE LA GEOGRAPHIE

     

    NAUFRAGES DE CLANDESTINS  - Quand les immigrationnistes falsifient la géographie

    Quand les immigrationnistes falsifient la géographie



    Jean Pierinot
    le 28/04/2015
    modifié le 28/04/2015 à 16:32h
    Les immigrationnistes mentent. Le site italien Voxnews a relevé qu'après le dernier naufrage de clandestins, tous les médias italiens avaient évoqué à l’unisson « un massacre dans le canal de Sicile ». La presse française a fait de même. 

    « Le décompte macabre des morts dans le canal de Sicile se poursuit », c’est ainsi que Le Monde a commencé son article à faire pleurer dans les lofts. « Naufrage meurtrier dans le Canal de Sicile », ont ensuite titré Les Échos. « Canal de Sicile » encore dans Le Parisien et dans Libération. Le Figaro a remporté la palme en expliquant avec assurance que le bateau avait fait naufrage « en plein milieu du canal de Sicile ». 

    Or il suffit de regarder une carte pour constater que le naufrage a eu lieu à 60 milles nautiques des côtes libyennes, 100 milles de la Tunisie (qui n’a pas levé le petit doigt) et … 250 milles du canal de Sicile, lequel sépare la Sicile de la Tunisie.

     

    On veut bien faire la part de l’ignorance des journaleux. Mais, comme le souligne Voxnews, la distorsion est tout sauf innocente. Le message qu’il s’agit en effet de faire passer est clair : « C’est arrivé dans le canal de Sicile, donc ça doit être de notre faute. Parce que “ça doit l’être”. Parce que vous devez vous sentir coupables : ceux qui commandent comptent là dessus ». Et de fait, les mêmes médias qui redessinent allègrement la géographie titrent aussi sur « l’Europe démunie », « l’Europe sommée d’agir », « l’Europe au pied du mur ». 


    Si les médias se contentaient de parler, conformément à la vérité, de « naufrage au large de la Libye », l’effet serait tout autre et puis surtout, cela nous amènerait en France forcément à parler du responsable : Nicolas Sarkozy. 
     
    METAMAG
  • Israël fait sa propagande au Népal tout en laissant Gaza en ruines

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Israel-fait-sa-propagande-au-Nepal-tout-en-laissant-Gaza-en-ruines-32628.html