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Respect!
PARIS (AFP) - Nelson Mandela, l'ancien président sud-africain et lauréat du prix Nobel de la paix, a été accueilli lundi après-midi par le président français Nicolas Sarkozy à sa descente d'avion à l'aéroport parisien d'Orly.
Selon la présidence française, le fait que M. Sarkozy aille chercher lui-même M. Mandela à l'aéroport, alors que ce dernier n'est plus chef d'Etat et effectue en France une visite privée, est un fait "exceptionnel".Visiblement fatigué, Nelson Mandela, qui est âgé de 89 ans, s'appuyait sur une canne pour marcher, son épouse mozambicaine Graça Machel à ses côtés.
Le président l'a accompagné jusqu'à son hôtel, dans le centre de Paris, avant de regagner le palais Elysée.
Libéré en 1990 après 27 ans d'emprisonnement, Nelson Mandela était devenu le premier président noir d'Afrique du Sud en 1994 après la fin du régime d'apartheid.
Fils d'une famille royale Thembu Xhosa, Rolihlahla Mandela est né le 18 juillet 1918 dans le village de Qunu, au bord de la rivière Mbashe au Transkei (Cap-Oriental).
Son père était Hendry Mphakanyiswa Gadla, chef de tribu Xhosa de Tembu. À l'âge de sept ans, Rolihlahla Mandela devint le premier membre de la famille à suivre une scolarité. C'est un professeur méthodiste qui lui donne le prénom occidental de Nelson.
Biographie succincte à compléter et à vérifier: j'avais lu quelque part, et je ne suis pas la seule, que Mandela était en fait un métis de Noir et de Jaune (père ou mère asiatique) ?
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Les racailles font désormais la loi dans Paris
C'est la deuxième fois cette semaine que des bandes de jeunes s'affrontent en pleine rue dans le centre-nord de Paris. La Police commence à s'inquiéter... Il serait temps!
De violentes bagarres entre bandes de jeunes ont eu lieu hier après-midi dimanche 2 septembre près de la gare du Nord à Paris, entraînant l'arrestation de dix-huit personnes, dont onze mineurs. En fin d'après-midi, les affrontements ont commencé dans une boîte de nuit, la Casa 128, rue La Fayette dans le Xe arrondissement, fréquentée notamment par des jeunes des banlieues nord de Paris, avant de se poursuivre dans la rue.
Une première intervention des forces de l'ordre, dépêchées en nombre, a permis la dispersion des bandes et une première vague d'arrestations. Mais certains jeunes se sont repliés sur les environs de la gare du Nord, où ils ont repris leurs affrontements, dans et aux abords de la gare. Une nouvelle intervention policière a mis fin aux heurts, qui n'ont fait ni blessés ni dégradations, selon la Préfecture de police.
Un important dispositif policier restait en place à la gare du Nord en début de soirée, pour « calmer les esprits », a précisé une source policière. Et on fait installer encore plus de caméras...
Pour la deuxième fois cette semaine, des bandes de jeunes s'affrontent en pleine rue dans le centre-nord de Paris pour des règlements de comptes et des différends "commerciaux" portant sur le trafic de drogue, les vols à l'arraché, etc..Deux bandes ont été identifiées: Def' Mafia (dont le chef serait un certain Kevin, 18 ans) et GDN ( Le quartier de la Défense et la Gare du Nord), composées d'individus violents et certains de leur impunité. (Pourquoi sont-ils si certains de leur impunité?)Dans la nuit de lundi à mardi dernier, des jeunes venus de banlieue parisienne s'étaient déjà violemment battus dans le quartier de Pigalle, notamment avec des armes blanches, des machettes et des tranchoirs, et la police avait placé treize personnes en garde à vue. (Ont-elles été relâchées depuis?)MAM, la ministre de l'Intérieur, et Fillon sont manifestement incapables de protéger Paris de ces maffias ethniques, armées et organisées, qui créent de graves troubles à l'ordre public et portent atteinte à la sécurité des personnes et des biens.Les médias dans leur ensemble donnent peu de détails: ils s'efforcent visiblement de rassurer et "d'étouffer". Mais nous ne devons pas nous leurrer: ces CPF sont réputés "insaisissables", formant des "nébuleuses qui se font et se défont"... Bref, il y a clairement aveu d'impuissance des Pouvoirs publics à éradiquer ces bandes dangereuses issues de l'immigration.
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Jeux de sable
(Photo Gaëlle Mann - août 2007) -
Le petit sniper
(Photo Gaëlle Mann - août 2007) -
Avant la rentrée
Plage de St Cyr-Les Lecques - août 2007(Photo Gaëlle Mann) -
Abderrahmen le mytho?
Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Mahmed Abderrahmen, le patron du Franprix de Saint-Denis placé sous protection policière après avoir été agressé plusieurs fois depuis deux mois dans le quartier du Franc-Moisin, affirme avoir été « menacé » par un motard armé hier vers 8 h 30 dans le Val-de-Marne. Selon ses déclarations, il aurait été suivi par deux hommes à moto alors qu'il se rendait de son domicile jusqu'au marché de Rungis pour y faire ses achats. A un feu rouge, le passager aurait brandi une arme de poing.
Le commerçant n'aurait pas été blessé mais se serait réfugié, « après avoir roulé comme un fou », dans une caserne de pompiers. Ces derniers l'ont conduit « en état de choc » dans un hôpital proche, où il se trouvait encore hier soir, toujours sous protection policière.
La sûreté départementale du 93 a été saisie d'une enquête afin de vérifier ses déclarations et de retrouver des témoins, mais n'a pas pu l'interroger hier. « On ne peut pas remettre en cause les agressions dont il a été victime, dit un enquêteur, mais on ne comprend pas bien pourquoi il prévient les médias avant la police. » L'intéressé, joint hier après-midi, répond « faire plus confiance aux médias qu'à la police pour faire bouger les choses ». (A-t-il vraiment tort sur ce point?)
Le comportement de Mahmed Abderrahmen suscite aussi des interrogations chez certains élus. La municipalité de Saint-Denis appelle à manifester contre la violence au Franc-Moisin le 4 septembre prochain, mais quelques-uns de ses membres avouent avoir des doutes. « On ne peut pas remettre en cause les agressions dont il a été victime - le quartier en connaît -, mais le personnage est difficile à cerner », confie un élu. « Je suis complètement perdu », plaide le commerçant.
La direction nationale de Franprix n'a pas encore réagi, mais un franchisé dit être « surpris par l'ampleur prise par cette affaire ». « On peut s'interroger sur l'incroyable acharnement dont il est victime, ajoute un policier. Il possède ou a possédé d'autres magasins, notamment dans le Val-de-Marne et en Seine-et-Marne, où il a connu des faits de violence similaires. » En février 2005, sa supérette de Dammarie-les-Lys a été dévalisée par une bande encagoulée. Et à l'époque, il tenait déjà les mêmes propos dans la presse. « C'est normal quand on ne se laisse pas faire, quand on est propriétaire d'un magasin », rétorque-t-il.
« Il était toujours très suspicieux, voire agressif, avec les jeunes qui entraient dans le magasin », témoigne un ancien client de son magasin de Vitry. « Ce qui lui arrive n'est pas surprenant », assure un boulanger de cette même ville, qui évoque « un beau parleur, qui a un talent fou pour la mise en scène et la comédie ». A Rungis, un de ses fournisseurs dénonce également un « mauvais payeur ». Le commerçant réfute toutes ces accusations. « Je n'ai jamais eu de problème avant de venir m'installer à Saint-Denis. »Source: Le Parisien
Photo: Mahmed Abderrahmen dans son magasin
On se souvient des commerçants français "de souche" qui ont été tués dans leur magasin par des racailles... A l'époque, on essayait d'étouffer au maximum ces crimes, de ne pas leur faire de publicité... Mais il s'agit maintenant de commerçants issus de l'immigration et on s'inquiète davantage en haut lieu. Quoiqu'ils ne doivent pas trop crier au loup, car cela finit par faire vraiment mauvais effet...
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Libye: les promesses de Cécilia aux enfants malades
Après la libération des infirmières bulgares, les petits malades du sida attendent toujours les visas promis par Cécilia Sarközy pour se faire soigner en Europe.
On a beaucoup écrit sur le calvaire, bien réel, des infirmières bulgares en Libye. Accusées par la justice de Kadhafi d'avoir « volontairement » inoculé le virus du sida à près de 450 enfants (le nombre varie) de l'hôpital pédiatrique de Benghazi, elles ont été torturées puis laissées plus de huit ans dans les prisons libyennes. Très tôt, les scientifiques du monde entier ont rejeté la thèse du complot bio-terroriste et penché plutôt « pour une contamination liée au partage de matériel jetable et des mauvaises conditions d'hygiène ».
Sans innocenter les soignants, la Libye a fini par céder sous la pression internationale et sur la base d'accords diplomatiques. (armement, centrale nucléaire EPR...)
Au matin de la libération des infirmières, l'intérêt de l'affaire s'est alors déplacé sur les compensations obtenues par le Guide de la révolution libyenne, l'ennemi d'hier devenu subitement fréquentable. Mais jamais jusqu'à présent le voile n'avait été levé sur le côté libyen de l'affaire. D'abord, parce qu'il est difficile pour les médias de travailler dans ce pays. Ensuite, parce que les familles se taisent. C'est parce qu'elles ont le sentiment aujourd'hui d'être les grandes oubliées des négociations que certaines osent briser le silence. Bien sûr, le prix du sang leur a été versé. A l'exception de 14 familles qui auraient refusé, toutes ont reçu 1 million de dollars du fonds spécial de Benghazi. Cette somme permet largement de financer un traitement sous antirétroviraux à vie.
Mais à Benghazi, des enfants, dont l'état s'aggrave de jour en jour, attendent et espèrent encore de la France et de l'Europe. Malgré les moyens mis à leur disposition, les médecins libyens restent impuissants devant certains développements du virus. Leurs collègues occidentaux sont leur seul secours. Des visas qui permettront à ces jeunes malades d'être soignés à Paris, Toulouse, Rome ou Marseille dans des conditions optimales leur ont été promis. Mais rien ne vient.
Le docteur Kambraki, pédiatre au centre antisida, a nourri beaucoup d'espoirs après la visite de Cécilia Sarközy.
Les promesses faites à l'occasion de sa visite hantent les mémoires. Elle est vue ici comme le porte-parole de la France. Ce statut donné par les Libyens pourrait relancer le débat sur l'opportunité ou non de l'entendre devant la commission d'enquête, comme l'exige le PS.(Source: Le Parisien)
(Photo: Cécilia Sarközy et Claude Guéant le 24 juillet à Sofia)
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Les Français champions du Web
Avec 79% d'internautes connectés au haut débit, la France est largement en avance sur la moyenne européenne (72%). Les internautes français sont même de véritables accros du Web, puisque 64% d'entre eux se connectent tous les jours et 34% plus de dix heures par semaine. Encore mieux, ils ne se contentent pas de surfer d'un site à l'autre puisque 20% des internautes français lisent régulièrement des blogs et un sur dix y écrit des commentaires.
Résultats d'une enquête internationale menée par l'institut d'études Forrester, réalisée auprès de 50.000 personnes de 16 ans et plus, dont plus de 8.000 en France, représentatives de la population dans sept pays européens.
(Source: Le Parisien)
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