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  • Al-Assad: les combats en ce moment en Syrie sont "fatidiques" - 01/08/2012

     

    Al-Assad: les combats en ce moment en Syrie sont "fatidiques"




    DAMAS, 1er août (Xinhua) -- Le président syrien Bachar al-Assad a déclaré mercredi que les troupes de l'armée luttaient dans des combats "fatidiques" car les "ennemis" utilisent des éléments internes pour déstabiliser la Syrie, alors que la mission d'observation de l'ONU a confirmé que les rebelles armés étaient en possession d'armes lourdes, dont des chars à Alep.

    Devant l'armée syrienne, à l'occasion du 67ème anniversaire de sa fondation, M. Assad a déclaré que les ennemis de la Syrie utilisaient les agents internes comme "pont" pour nuire à la stabilité et à la sécurité de la Syrie et "faire plonger nos potentiels économiques et nos compétences scientifiques".

    Le président s'est exprimé à ce propos, car son pouvoir connait des difficultés en interne comme à l'extérieur, les rebelles armés par l'Occident étant engagés dans une guerre d'usure contre les bastions du gouvernement dans la capitale Damas et la province d'Alep au nord, plateforme de l'économie syrienne.

    Les derniers rapports sur les combats à Alep, qui ont commencé il y a six semaines, montrent que les rebelles ont en leur possession des missiles surface-à-air turcs. Le Premier ministre turc a d'ailleurs récemment déclaré que les Syriens "seraient bientôt libérés du régime avec du sang sur leurs mains".

    Par ailleurs, la Mission de supervision de l'ONU en Syrie (la MISNUS) a confirmé que les rebelles armés, pour la première fois, étaient en possession d'armes lourdes, notamment de chars, comme à Alep.

    Mercredi, Sausan Ghosheh, porte-parole de la mission, a déclaré: "Nous détenons des informations... il y a eu une forte utilisation d'armes lourdes dont des chars et mitraillettes", ajoutant que " hier (mardi)... nous avons vu des tirs émanant d'avions".

    A Alep, l'agence de presse officielle syrienne SANA a rapporté mercredi que les forces militaires avaient pourchassé des groupes terroristes armés dans le nord de la ville. Des dizaines de terroristes auraient alors été tués et blessés, certains de nationalité arabe.

    Les affrontements à Alep ont également été marqués par la participation d'une tierce partie. Les informations montrent que des centaines de Jihadistes affiliés à Al-Qaïda et à des groupes similaires ont réussi à entrer récemment en Syrie pour exploiter le chaos.

    Le journal Guardian a rapporté les propos d'un leader rebelle qui déclarait: "Al-Qaïda est désormais à plusieurs endroits en Syrie, ils travaillent séparément, ils sont même à Alep. Nous ne travaillons pas avec eux. Ils ont des combattants syriens et arabes et ont leurs propres cibles et armes".

    "Il y a différents groupes radicaux. Nous ne traitons pas avec eux", a-t-il poursuivi.

     

    http://french.news.cn/monde/2012-08/02/c_131754493.htm http://french.news.cn/monde/2012-08/02/c_131754493.htm    

     

    ALTERINFO.COM

     

  • Syrie - Massacre de loyalistes par des rebelles "islamistes" de l'ASL

    Des rebelles "islamistes" de l’Armée syrienne libre (ASL) ont exécuté mardi des partisans du régime à Alep, selon des images postées sur Youtube.

    La vidéo montre des hommes retenus dans une salle et qui de toute évidence ont été torturés avant d’être conduits dehors entourés d’hommes armés surexcités criant : « Allah est le plus Grand ».

    Les rebelles entourent l’un des captifs, au visage ensanglanté et presque nu, avant de le mettre face à un mur. D’autres sont alignés à côté de lui alors que les combattants scandent toujours « Dieu est le plus grand ».

    Ces derniers mitraillent alors les prisonniers, identifiés comme membres de la tribu des Barri, puissant clan sunnite de la région d’Alep qui sont fidèles au régime de Bachar al-Assad. Après leur forfait, ils reviennent encore pour tirer de nouveau sur les cadavres.

    Ces massacres comme bien d’autres vont être mis sur le compte des troupes régulières, grâce à la propagande et à la désinformation servies par Rami Abdel Rahmane, chef de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), une officine installée à Londres, qui a imposé depuis le début des événements ses bilans et infos sur la Syrie à l’ensemble des rédactions occidentales.

    http://www.algerie1.com/actualite/syrie-massacre-de-loyalistes-par-les-rebelles-islamistes-video/ http://www.algerie1.com/actualite/syrie-massacre-de-loyalistes-par-les-rebelles-islamistes-video

    ALTERINFO.COM - 01/08/12

     

  • Israël cherche à somaliser la Syrie (Pressse russe du 1er août )

    sans-titre.png presse russe.pngKomsomolskaïa pravda
    Israël cherche à somaliser la Syrie


    Israël contrôle les rebelles en Syrie et ne craint pas le chaos qui s'y installe, écrit mercredi 1er août le quotidien Komsomolskaïa pravda. Contrairement à l'opinion que les Israéliens préfèrent le régime d'al-Assad solide et conservateur, ils cherchent en réalité à "somaliser" la Syrie, à la diviser en régions hostiles selon le scénario irakien.

    C'est la conclusion à tirer de l'enregistrement de la conversation du ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman et du premier ministre Benjamin Netanyahu avec le président Vladimir Poutine pendant sa récente visite en Israël. Le document écrit en hébreu permet de comprendre ce que veut Israël et ce que veut la Russie dans le conflit syrien.

    Voici les thèses les plus intéressantes:

    Netanyahu a proposé à Poutine d'aider Bachar al-Assad à partir. "Vous pouvez vous-mêmes nommer le successeur [d'al-Assad] et on le soutiendra", a déclaré le premier ministre israélien au président russe. "Mais à une seule condition – le successeur choisi doit rompre ses relations avec l'Iran." Vladimir Poutine a répondu qu'il n'avait personne à proposer pour succéder à Assad. "Et vous?", a-t-il demandé. "Non, a répondu Netanyahu, mais nous allons y réfléchir et on vous tiendra au courant."

    Prendre les paroles de Netanyahu pour argent comptant signifie qu'Israël n'a rien contre le fait que la Syrie demeure dans l'orbite russe, pourvu qu'elle rompe ses relations avec l'Iran, a déclaré un ancien diplomate russe en commentant les propos du premier ministre israélien. Autre conclusion plus sinistre – Israël dispose de leviers de contrôle des rebelles en Syrie et est capable de les forcer à accepter la candidature qui lui convient.

    Mais cela pourrait être un ballon d'essai, un test pour Poutine afin de savoir s'il acceptera de laisser tomber al-Assad, un moyen de déterminer qui est considéré par Vladimir Poutine comme son homme à Damas. Apparemment, c'est ainsi que le président russe a pris cette proposition.

    Nous ne soutenons pas à tout prix al-Assad, aurait déclaré Poutine. Avant la révolte il se rendait plus souvent à Paris qu'à Moscou. Nous n'avons pas de plans secrets concernant l'avenir de la Syrie.

    Selon l'ex-diplomate russe, Vladimir Poutine a expliqué une nouvelle fois que la Russie ne défendait pas al-Assad, mais Moscou estime que le peuple syrien doit décider lui-même de son sort.

    Le premier ministre Netanyahu a critiqué les fournitures de systèmes antiaériens modernes russes en Syrie, car les missiles sol-air russes en Syrie pourraient transformer tout le territoire israélien au nord de Tel-Aviv en une zone de non vol.

    Poutine aurait répondu en promettant de ne pas fournir de systèmes sol-air S-300 en Syrie. Netanyahu a également fait remarquer que les informations sur les missiles étaient envoyées par la Syrie au Hezbollah. Poutine a promis de faire cesser les fuites. "Nous avertirons les Syriens que s'ils n'arrêtent pas, nous réagirons immédiatement, y compris via l'ONU."

    L'ex-diplomate russe a déclaré que ce sont des concessions significatives qui ont fait une grande impression sur le dirigeant israélien. Mais derrières ces concessions se cachent apparemment les craintes de Moscou que les S-300 se retrouvent entre les mains des rebelles pro-otaniens.

    La principale conclusion à tirer de cet entretien secret est que le gouvernement israélien a conservé son aventurisme et qu'il est prêt à prendre des risques. Tandis que la Russie mène une politique visant à maintenir la stabilité dans le monde, les Israéliens estiment que celui qui ne tente rien, n'a rien et que celui qui ne prend pas de risques, risque encore davantage.

    Nezavissimaïa gazeta
    Les chars turcs massés à la frontière syrienne

    La Russie a officiellement reconnu la Syrie en tant que pays en état de conflit armé. Cette décision pourrait être suivie de l'évacuation de ce pays des citoyens russes, soit entre 30.000 et 100.000 personnes, selon diverses estimations. Tandis que l'armée et l'opposition en Syrie se préparent pour une bataille décisive à Alep, la Turquie rassemble des unités militaires à la frontière, écrit mercredi 1er août le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

    Les experts avertissent que si tous les Russes se trouvant en Syrie voulaient quitter le pays, il serait impossible de le faire par les airs de manière opérationnelle. Par conséquent, la marine russe en Méditerranée pourrait jouer un rôle crucial en créant une zone de sécurité pour les réfugiés et les transporter jusqu'à Chypre ou un autre lieu sûr. Toutefois, pour cela il leur faudra encore pouvoir se rendre jusqu'au port de Tartous, car les combattants d'opposition attaquent régulièrement les voitures civiles sur les routes.

    Pendant ce temps, Alep semble connaître une certaine accalmie. Les combats sont sporadiques, et même une sorte de ligne de front est apparue. L'armée continue à contrôler l'aéroport d'Alep et l'utilise pour la projection des forces.

    Beaucoup de quartiers d'Alep sont privés d'eau et d'électricité, les hôpitaux débordent de blessés. La ville souffre d'une pénurie de nourriture et de médicaments. Les habitants qui n'ont pas réussi ou voulu à quitter la ville se sont réfugiés dans les quartiers kurdes et chrétiens, qui n'ont pas encore été touchés par les affrontements. Les réfugiés se sont installés directement dans les parcs et les jardins privés.

    A son tour, la Turquie continue de projeter des troupes vers la frontière syrienne. Ankara craint que certaines régions au nord de la Syrie se retrouvent sous le contrôle du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et soient utilisées comme base pour organiser des raids sur le territoire turc. Un autre danger émane des islamistes qui arrivent de Libye, d'Algérie, d'Irak, d'Afghanistan et même de pays européens. Ils font de plus en plus parler d'eux et ne cachent pas de leur intention de créer sur le territoire syrien un Etat fondamentaliste.

    Rappelons qu'auparavant Ankara avait évoqué la possibilité de créer une zone de sécurité le long de la frontière avec la Syrie afin d'empêcher la propagation de l'instabilité et la mort de civils. Au vu de l'intensification des combats et du flux de réfugiés, cette solution pourrait paraître très opportune.

    Ces textes tirés de la presse russe n’engagent pas la responsabilité de RIA Novosti

  • Bachar al Assad exhorte ses soldats à écraser la rébellion pour assurer l'avenir de la Syrie

    ALEP, Syrie (Reuters) - Bachar al Assad a exhorté mercredi ses soldats à écraser la rébellion pour assurer l'avenir de la Syrie et de son peuple, au plus fort de la bataille pour Alep, la capitale économique du pays.

    Le président syrien ne s'était pas exprimé en public depuis l'attentat du 18 juillet à Damas, qui a tué quatre de ses proches dont le ministre de la Défense.

    "Le sort passé, présent et à venir de notre peuple et de notre nation dépend de cette bataille", affirme Bachar al Assad dans un message publié par une revue militaire à l'occasion de la Journée des forces armées.

    En affrontant les "bandes terroristes criminelles", ajoute-t-il, l'armée fait preuve "d'une détermination et d'une conscience de fer".

    "Vous êtes les vrais représentants des valeurs du peuple (...) J'ai une grande confiance en vous, de même que le peuple a confiance en vous parce que vous êtes les défenseurs de sa juste cause", poursuit le président.

    A Alep, dans le nord proche de la Turquie par où arrive l'aide aux insurgés, les rebelles ont pris le contrôle de trois commissariats de police dans un quartier stratégique.

    Mercredi matin, des explosions ont retenti dans la ville que survolaient des hélicoptères de combat.

    Pour les autorités de Damas, la bataille d'Alep est "la reine de toutes les batailles" et la perte de cette agglomération de deux millions et demi d'habitants serait un terrible revers, stratégique comme symbolique, après seize mois et demi d'insurrection.

    Des vidéos diffusées sur internet sembleraient prouver que les rebelles se livrent à des exécutions sommaires dans les zones qu'ils contrôlent à Alep.

    EXÉCUTIONS DE PARTISANS D'ASSAD

    Une vidéo visible sur le site YouTube montre quatre hommes, probablement des miliciens pro-Assad, conduits sans ménagement dans une cour remplie de monde. On entend ensuite des tirs nourris pendant que la foule crie "Dieu est le plus grand". Quand la fumée se dissipe, on aperçoit des corps près d'un mur.

    On voit deux hommes en sous-vêtements qui sont emmenés en bas d'un escalier et alignés contre un mur avant d'être abattus.

    Dans la vidéo, dont la provenance n'a pu être confirmée de façon indépendante, les hommes abattus sont présentés comme des membres du clan Berri, une famille sunnite, comme la plupart des insurgés, mais qui se serait ralliée, elle, aux "chabihas", les miliciens pro-Assad.

    Les "chabihas", soutenus par la police secrète du régime, sont au premier plan de la répression du soulèvement contre le clan Assad, des chiites alaouites.

    La milice "chabiha", à l'origine uniquement composée d'alaouites, a recruté après le début du soulèvement en mars 2011 des membres de la communauté sunnite. Ces recrues sont en majorité issues d'Alep et de la province orientale de Daïr az Zour.

    Une autre vidéo montre des rebelles fêtant la prise d'un commissariat de police dans la ville de Nairab, au sud-est d'Alep. "Venez voir les cadavres (de ceux) qui meurent pour Assad", lance un rebelle avant que la caméra ne pénètre dans les locaux de la police et montre une quinzaine de corps dans la cour et les bureaux. Le bâtiment est criblé d'impacts de balles et partiellement brûlé.

    Un des rebelles pointe son arme sur le corps du responsable du poste de police, identifié comme étant l'inspecteur Ahmad al Khatib, et tire une balle qui lui fait sauter la tête. "Je te crache dessus et je crache sur le tyran Bachar al Assad", déclare le tireur.

    MISSILES SOL-AIR

    Le quartier de Salaheddine, dans le sud-ouest d'Alep, est le théâtre des plus violents combats pour le contrôle de la ville.

    L'armée avait annoncé durant le week-end en avoir pris le contrôle mais les affrontements s'y poursuivent. Le quartier s'est vidé de sa population et les magasins sont fermés.

    L'un des chefs militaires rebelles sur place, le colonel Abdel-Djabbar al Okaïdi, affirme que la conquête du centre-ville n'est qu'une question de jours. Les insurgés disent contrôler l'est et le sud-ouest de l'agglomération.

    "Les hommes du régime tentent depuis trois jours de reprendre Salaheddine, sans succès. Ils ont subi de lourdes pertes en hommes et en matériel et ont été forcés de se retirer", a-t-il dit.

    Le colonel Okaïdi, qui a déserté de l'armée gouvernementale il y a six mois, a affirmé à Reuters que plus de 3.000 rebelles se battaient à Alep.

    Selon la chaîne américaine NBC, les insurgés disposeraient d'une vingtaine de missiles sol-air de type MANPAD, livrés via la Turquie.

    Alep s'est vidée d'une partie de ses habitants. Vivres et carburant manquent cruellement. "Les femmes et les enfants sont partis, les hommes sont restés pour garder les maisons. On n'a pas d'eau, pas d'électricité", dit Djoumaa, un ouvrier de travaux publics de 45 ans.

    L'armée turque a entamé mercredi des manoeuvres militaires non loin de la frontière syrienne, ont annoncé les autorités d'Ankara. Environ 25 chars de la 70e brigade mécanisée participent à ces manoeuvres organisées le secteur de Nusaybin, dans la province de Mardin, à seulement deux kilomètres de la frontière, a précisé à l'agence de presse Anatolie le gouverneur de la province.

    Sur le plan politique, le commandant de l'Armée syrienne libre (ASL), Riad al Asaad, a critiqué mercredi la création au Caire, la veille, d'un nouveau groupe d'opposition, le Conseil pour la révolution syrienne (CRS), dénonçant l'"opportunisme" de ses fondateurs qu'il a accusés de vouloir "faire des affaires avec le sang de nos martyrs".

    A New York, l'Assemblée générale de l'Onu se réunira jeudi pour examiner la situation en Syrie et pourrait, selon certains diplomates, voter en faveur d'une résolution saoudienne condamnant le Conseil de sécurité pour avoir échoué à prendre des mesures contre Damas.

    Avec Yara Bayoumy à Beyrouth, Yasmine Saleh au Caire, Mark Hosenball et Tabassum Zakaria à Washington et Louis Charbonneau aux Nations unies; Marine Pennetier, Danielle Rouquié, Agathe Machecourt, Jean-Loup Fiévet et Guy Kerivel pour le service français

    Yahoo!Actu - 01/08/12

  • Ramadan 2012 : Jean-François Copé outré de la suspension des moniteurs qui jeûnent

     

    par le 1/08/2012 12:46 | Dans l'actualité Infos

    La suspension des moniteurs faisant le ramadan ne se justifiait pas selon Jean-François Copé qui s'insurge contre la mesure prise par la mairie de Gennevilliers qui est revenu sur sa décision.

     

    Jean-François Copé a estimé mercredi que la mairie PCF de Gennevilliers n’aurait pas dû suspendre les quatre animateurs de colonies de confession musulmane ayant observé le jeûne du ramadan, car "personne n’a jamais démontré" que cette pratique "empêchait de travailler". La Mairie de Gennevilliers avait en effet suspendu quatre moniteurs d'une colonie de vacances qui jeûnent pour le ramadan. Suite au tollé que cette annonce avait provoqué, le Maire Jacques Bourgoin a décidé de ne pas l’imposer aux animateurs des colonies du mois d’août. Mais les quatre restent suspendus. Interrogé par Europe 1 au lendemain de la polémique suscitée par cette suspension, le secrétaire général de l’UMP a expliqué qu’en tant que maire de Meaux (Seine-et-Marne) il avait été confronté à des situations similaires.

    Jean-François Copé colonie Gennevilliers vacances

     

     

    "Pour ma part, a-t-il ajouté, je considère que les pratiques religieuses, dès lors qu’elles sont tout à fait conformes à la laïcité c’est-à-dire subordonnées aux lois de la République, doivent être pleinement respectées. Personne n’a jamais démontré que la pratique du ramadan empêchait nos compatriotes de confession musulmane de travailler." Jean-François Copé s'est également insurgé contre l'hypothèse que le Ramadan pouvait être la cause d'un mauvais état de santé des pratiquants et donc d'un manque de vigilance envers les enfants : "Je pense que de manière générale la pratique religieuse du ramadan est une pratique qui n’est en rien contradictoire avec le respect des lois de la République sauf cas tout à fait exceptionnel, je ne crois pas que cela soit la situation de ces animateurs", a-t-il dit.

    Melty.fr

  • Tunisie - Ces djihadistes tunisiens fanatisés qui partent pour la Syrie !

    Difficile d’évaluer leur nombre exact, mais chaque semaine de jeunes musulmans tunisiens partent pour la Syrie afin de combattre dans les rangs de l’ASL, l’Armée syrienne libre. Beaucoup meurent dans les combats ou sont faits prisonniers. Des jeunes partis de Tunisie pour le djihad, quelques semaines ou quelques mois avant, pour affronter les forces de Bachar al-Assad, aux côtés des insurgés soutenus par l’Occident et l’Alliance atlantique. Les correspondants de France 24 ont rencontré leurs familles et leurs proches. Le reportage ne dit pas combien de ces volontaires au martyre ont aussi la nationalité française.

    NPI - 01/08/12

  • Profanation à Montauban : deux têtes de cochon à l’entrée de la mosquée

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    Du sang sur le portail de la mosquée de Montauban./Photo DDM - MANUEL MASSIP ()

    Du sang sur le portail de la mosquée de Montauban./Photo DDM - MANUEL MASSIP

    Les fidèles de la mosquée de Montauban ont fait une terrible découverte ce mercredi matin en arrivant sur leur lieu de culte. En effet, deux têtes de cochon ainsi que du sang avaient été déposés à l’entrée de l’édifice.

    « Très tôt ce matin, deux têtes de porc ont été découvertes sur les colonnes de l'entrée de la mosquée de Montauban, ainsi qu'une importante mare de sang au sol », indique la mairie de Montauban dans un communiqué. Cette dernière dénonce « un acte odieux et blasphématoire ». du côté de la communauté musulmane, qui observe actuellement le ramadan, c’est l’incompréhension et l’indignation.

    "Les gens perdent la tête"

    "C'est indigne... S'attaquer à la religion... Je ne sais pas ce qui se passe, les gens perdent la tête, surtout pendant le ramadan, alors qu'on prône le dialogue entre les religions", a réagi l'imam de la mosquée Hajii Mohamed, président régional du Rassemblement des musulmans de France.

    C'est au moment de la première prière de la journée, entre 4 et 5 heures du matin, que les fidèles se sont rendus compte de la profanation, alors que la mosquée, qui se situe près de la gare, ressemble plus à une simple maison qu'à un édifice religieux.

    Un précédent à Castres

    Ce genre de profanation est une première dans le Tarn-et-Garonne, selon Abdallah Zekri, président de l'Observatoire de l'islamophobie. Mais la région a déjà connu des cas similaires, notamment à Castres en 2009 où des pieds de cochon avaient été accrochés au portail de la mosquée. Pour Abdallah Zekri,les actes islamophobes au cours du premier semestre ont augmenté de 15% et "pendant le mois sacré du ramadan, c'est inqualifiable, c'est de la provocation raciste". L'année 2012 confirme la tendance à l'augmentation relevée en 2011 et renforcée par différentes controverses politiques sur le voile islamique, la viande halal ou l'identité nationale, débats qui ont "libéré la parole des extrémistes", indique l'Observatoire.

    Montauban avait été le théâtre d'une terrible tuerie en mars dernier dans le cadre de l'affaire Merah mais les interlocuteurs se sont refusés pour l'instant à faire le lien entre ces événement et la profanation de la mosquée.

     

    Dépêche du Midi - 01/08/12

  • Impressionnant !

     
    Visite surprise ! - La Dépeche
     On n'indique pas dans quel pays cette vidéo a été tournée

  • Un néo-nazi allemand fonde un nouveau parti de droite

    En Allemagne un nouveau parti de droite a vu le jour. Il a été fondé par Christian Worch, fameux néo-nazi et négateur de l'Holocauste. Son parti, la Droite, met l'accent sur l'identité nationale allemande et se prononce pour l'interdiction d'entrée en Allemagne des immigrés. Worch affirme que la Droite respecte complètement la Constition allemande.

    Le parti a été fondé au mois de mai, mais c'est seulement à présent que la presse s'est mise à en parler. Le 27 juillet son premier congrès a eu lieu qui avait élu la direction et s'était fixé des objectifs globaux. Ainsi le parti se propose d'avoir ses députés au Parlement européen à l'issue des élections de 2014.

     

    La Voix de la Russie - 30/07/12

  • Du poison dans nos vêtements


    Du poison dans nos vêtements par Dailygratuit

    Rita Lemoine ne se doutait pas que ses chaussures neuves contenaient du diméthylfumarate, fongicide qui lui a provoqué une réaction cutanée spectaculaire et des paralysies musculaires. Depuis 2009, ce produit est interdit dans l’UE, mais de nombreux objets importés, notamment de Chine, échappent aux contrôles. Si en Asie, le chrome, les pigments et le chlore font toujours autant de victimes dans les tanneries, les travailleurs européens du textile ne sont pas non plus épargnés. Ainsi Frauke Driessen, qui a repassé pendant dix ans des jeans pour une grande marque de vêtements, est tombée malade suite à la présence dans son sang de dichlorométhane, substance cancérigène également présente dans son usine…

    TERRE ET PEUPLE - 30/07/12