Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Un couple lapidé par des islamistes au Mali

     

     

    A Aguelhok, dans le nord du Mali, un couple a été lapidé hier parce qu’il n’était pas marié, et avait deux enfants. Cette ville est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar Dine, allié d’al-Qaïda au Maghreb islamique dans la région. Elle a été désertée par la grande majorité de ses 3.000 habitants.

    Ils ont été lapidés parce qu’ils n’étaient pas mariés, et avaient eu deux enfants. Les islamistes sont allés les chercher dans la brousse et les ont ramenés en ville, à Aguelhok, dans le nord du pays. Devant une foule d’environ 200 personnes, l’homme et la femme ont été mis chacun dans un trou puis lapidés.

    « Dès les premiers coups, la femme s’est évanouie » ; l’homme, lui, « a crié une fois », racontent des témoins, des élus de la région. Pour la première fois depuis qu’ils contrôlent le nord du Mali, des islamistes ont donc procédé à une lapidation publique jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    On avait déjà rapporté des coups de fouet pour les buveurs d’alcool, les fumeurs, les couples illégitimes, mais pas de lapidation.

    Source

    NPI

  • Gennevilliers: reculade du maire PCF, les moniteurs pourront finalement jeûner !

    Devant l'afflux de réactions indignées qui ont suivi sa décision de suspendre quatre animateurs pour avoir suivi le ramadan, le maire PCF de Gennevilliers à décider de ne plus interdire le jeûne aux employés.

    Quatre animateurs avaient été suspendus lundi de leur poste au motif qu'ils observaient le jeûne du ramadan. Mais devant la menace du Conseil français du culte musulman (CFCM) de porter plainte pour discrimination et celle des employés de saisir les prud'hommes, le maire PCF de Gennevilliers, Jacques Bourgoin, a fait machine arrière.

    Au cœur de la polémique, l'article 6 du contrat de travail signé par les animateurs, selon lequel l'animateur «veille à ce que lui-même ainsi que les enfants participant à la vie en centre de vacances se restaurent et s'hydratent convenablement, en particulier durant les repas» et doit être «en pleine possession de ses moyens physiques».

    La municipalité avait justifié lundi la décision de suspendre ses employés en affirmant que les animateurs «n'ont pas respecté, en cours de séjour, les obligations de leur contrat de travail, pouvant ainsi mettre en cause la sécurité physique des enfants dont ils avaient la responsabilité».

    Des contrôles renforcés

    «Pour apaiser le débat», la mairie a décidé mardi «de ne pas imposer l'application de l'article incriminé du contrat de travail sur le mois d'août», explique-t-elle dans un communiqué. «Pour conserver ses exigences en termes de sécurité physique des enfants», la mairie renforcera les contrôles dans ses centres de vacances.

    «L'article a été mal interprété», a expliqué le maire communiste de Gennevilliers, Jacques Bourgoin. «Tout est parti d'un accident qu'il y a eu il y a deux ans, où deux enfants avaient été blessés parce que la conductrice du minibus, qui jeûnait, avait fait un malaise.» «C'est pour cela qu'on a ajouté cet article au contrat de travail, mais comme l'article apparaît pour certains discriminatoire, on souhaite que le débat soit posé de manière sereine», a poursuivi l'édile.

    La mairie a prévu d'organiser à la rentrée une réunion de travail avec la direction départementale de la jeunesse et des sports des Hauts-de-Seine, les organisations syndicales des salariés, les mouvements d'éducation populaire et les collectivités organisatrices de centres de vacances.


    Trois questions à Malik Douaoui

    Malik Douaoui.
    Malik Douaoui.

     

    Avocat spécialisé en droit social au sein du cabinet TAJ

    Propos reccueillis par Caroline Beyer

    Les quatre moniteurs sont-ils victimes de discrimination?

    L'employeur est tenu par un principe de «non-discrimination»: les convictions religieuses du salarié ne sauraient donc être un motif de sanction. En revanche, il peut apporter des restrictions à la liberté religieuse, à condition que celles-ci soient «justifiées par la nature de la tâche à accomplir et proportionnées au but recherché» (article L1121.1 du Code du travail). Le contrat des moniteurs stipulait qu'ils avaient l'obligation de se restaurer et de s'hydrater. L'employeur a-t-il un comportement discriminatoire en prévoyant de telles dispositions? Je ne le crois pas, car il ne le fait pas pour interdire le ramadan, mais pour des raisons de sécurité des enfants. Le salarié ne peut se réfugier derrière ses convictions religieuses pour échapper à ses obligations contractuelles. En mars 1998, la Cour de cassation a ainsi considéré comme justifié le licenciement d'un boucher musulman qui refusait d'être en contact avec de la viande de porc.

    Comment évaluer le lien entre jeûne et mise en danger de la vie d'autrui?

    À quel point un moniteur qui fait le ramadan n'est pas en mesure d'accomplir ses tâches et de veiller à la sécurité des enfants? Cette appréciation est forcément subjective. Dans la présente affaire, il s'agit de l'intérêt des enfants. S'il y avait un accident lié au malaise d'un animateur, la responsabilité de la commune serait directement engagée. La Mairie a visiblement choisi d'appliquer la manière forte, de ne pas parler, mais de trancher.

    Que pensez-vous des suites
    de cette affaire?

    La requête a peu de chance d'aboutir. Dans les cas de salariées portant le voile, les licenciements intervenus suite à leur refus de l'enlever ont pu être considérés comme légitimes par les tribunaux, le plus souvent parce qu'ils posent des problèmes de sécurité, mais également au nom du principe de neutralité. La France est une république laïque qui souhaite endiguer les manifestations extérieures de la liberté religieuse.

    Le Figaro

  • Chine - La vieille dame qui sauvait les bébés

     

    C’est une bien belle (mais aussi un peu triste) histoire qui nous vient de Chine. Lou Xiaoying, une chinoise âgée de 88 ans, est acclamée comme une héroïne dans sa ville d'origine à la suite de son action pour sauver des enfants en bas âge de l’abandon sur plusieurs années dans la province de Zhejiang, dans l’Est du pays. Vivant du recyclage des ordures, Lou et son mari Li Zin (décédé il y a maintenant 17 ans) ont adopté personnellement quatre de ces enfants et en a confié plusieurs autres à des proches et des amis. Elle dit avoir démarré cette action en 1972 en découvrant une petite fille dans la rue en triant les ordures et avoir adopté son dernier fils à l’âge de 82 ans. La vieille dame se montre fort simple dans les motivations qui l’ont poussé à cette action: »J’ai réalisé que si nous étions assez forts pour ramasser des ordures, comment pourrions-nous ne pas recycler des vies humaines? », « Ces enfants ont besoin d’amour et d’attention. Ce sont tous de précieuses vies humaines. Je ne comprends pas comment on peut abandonner un bébé vulnérable dans la rue ». Très populaire dans son quartier, Lou ne pourra malheureusement pas poursuivre son combat car elle est atteinte d’une grave insuffisance rénale qui pourrait lui être fatale et condamnée à rester alitée.

    En Chine, chaque année, des milliers de bébés et enfants en bas âge sont abandonnés ou tués, majoritairement des filles, en raison de la politique de l’enfant unique appliquée par les autorités communistes. La semaine dernière encore, une petite fille nouveau-née a été retrouvée la gorge tranchée dans un sac en plastique dans une rue de Liaoning, au nord-est du pays. Elle a pu être sauvée.

    Nouvelles de France

  • Bruxelles - Elle filme les insultes machistes ordinaires

     «Salope», «chienne», «t'as un beau cul»... Une étudiante belge a réalisé un film à partir de tous les propos irrespectueux prononcés à son égard.

    Des regards appuyés, des sifflements, des propositions irrespectueuses, des insultes. Quand elle a déménagé dans un quartier "populaire" de Bruxelles, ces incivilités sont devenues le quotidien de Sofie Peeters, étudiante en dernière année de cinéma. «La première question que je me suis posée c'est:  “Est-ce que c'est moi? Mes vêtements?”», confie-t-elle à la RTBF .

    Lasse de se faire harceler, Sofie Peeters a décidé de faire de cette violence ordinaire son projet de fin d'études. A l'aide d'une caméra cachée, elle enregistre toutes ces réflexions désobligeantes qu'elle entend sur son passage: «Je t'emmène à l'hôtel», «si tu donnes envie, c'est normal, non?», «belles petites fe-fesses», «salope», «chienne».

    Diffusé jeudi dernier au cinéma à Bruxelles et relayé par un grand nombre de médias belges, le travail de l'étudiante, Femmes de la rue , a ouvert le débat sur le harcèlement. Philippe Close, échevin (magistrat) à la commune de Bruxelles, a expliqué à la RTBF que ces insultes devraient être bientôt sanctionnées par des amendes administratives. Cette nouvelle loi devrait entrer en vigueur dès le 1er septembre.

     

    Un travail raciste? D'autres ont vu dans le travail de l'étudiante un penchant raciste, car les séquences sont tournées majoritairement dans un quartier (...) Lire la suite sur Figaro.fr

     

    NdB: On voit bien qui sont les hommes qui insultent les femmes dans la rue et leur font des propositions sexuelles!  Ils croient que les femmes blanches sont toutes des p..... !

    Ce n'est pas un problème de sexisme mais uniquement d'immigration!



     

  • Turquie : la province du Hatay aux mains du Mossad et de la CIA!

      

     
    Turquie : la province du Hatay, aux mains du Mossad et de la CIA!
     
    IRIB- La Province du Hatay , limitrophe de la Syrie, est sous contrôle des agents de la CIA et du Mossad, selon le député de cette province, au parlement.

    "Les agents de la CIA et du Mossad pullulent, à Antioche, et dans d'autres villes de notre province. Or, pour que les soldats d'une force étrangère entrent en Turquie, il faut demander la permission des députés du parlement!", s'est insurgé Rafic Ir Ilmaz, issu du Parti républicain. L'AKP et son chef Erdogan sont, presque, unanimement, dénoncés par les partis politqiues et l'opinion publique, qui les voient comme des agents de l'OTAN. En Syrie, l'opposition intérieure a dénoncé la Turquie, pour avoir abrité une base militaire, d'où partent, quotidiennement, des centaines de rebelles wahhabo-salafistes, à destinantion de la Syrie. Le Qatar finance la guerre totale contre la Syrie, tandis que l'Arabie en fournit les hommes, et la Turquie, le territoire!

  • Moniteurs suspendus: le Conseil du culte musulman veut porter plainte

    L'affaire des quatre animateurs de colonie de vacances de Gennevilliers, suspendus pour avoir jeûné pendant le Ramadan, continue de faire des vagues. Le Conseil français du culte musulman (CFCM) envisage une plainte pour dicrimination contre la mairie de Gennevilliers qui a décidé de les suspendre au nom de la sécurité des enfants.

     



    «Je condamne avec la plus grande fermeté la décision arbitraire et discriminatoire du maire de la ville de Gennevilliers» écrit Abdallah Zekri, de l'Observatoire contre l'islamophobie, composante du CFCM, dans un communiqué. «La liberté religieuse est une liberté fondamentale et on ne peut en aucun cas interdire à une personne de pratiquer sa religion. L'observatoire se réserve le droit de porter plainte pour discrimination», poursuit M. Zekri.

    Pour le président du CFCM, Mohammed Moussaoui, cette décision de la mairie «est de nature à porter atteinte à la liberté religieuse des animateurs de colonies qui pratiquent le jeûne», une «pratique millénaire commune à de nombreuses traditions religieuses et philosophiques». Des «centaines de millions de personnes» observent le jeûne sans qu'il soit «un frein à l'exercice de leur activité professionnelle», souligne-t-il, en rappelant que «la jurisprudence musulmane a prévu des aménagements pour les personnes qui en jeûnant mettent leur en péril».


    Le Front des banlieues indépendant (FBI) envisage aussi de porter plainte

    Les quatre animateurs ont été suspendus après la visite d'un responsable des centres de vacances lors d'un séjour sportif à Port-d'Albret, dans les Landes, vendredi 20 juillet, le premier jour du jeûne du ramadan.

    Le responsable a rappelé aux animateurs que, selon leur contrat de travail, ils devaient se restaurer et s'hydrater pendant la journée. Les quatre animateurs ont dû quitter la colonie le lendemain.

    Ils «n'ont pas respecté, en cours de séjour, les obligations de leur contrat de travail, pouvant ainsi mettre en cause la sécurité physique des enfants dont ils avaient la responsabilité,» a expliqué la mairie dans un communiqué transmis lundi. «On réfléchit à aller devant les Prud'Hommes» a dit mardi Samir, qui n'a pas souhaité donné son patronyme, et qui est l'un des quatre employés suspendus. Le Front des banlieues indépendant (FBI) envisage également de porter l'affaire en justice.

    Le FN soutient le maire

    Le Front national a apporté mardi son soutien au maire PCF de Gennevilliers, Jacques Bourgoin. «Responsable de la sécurité des enfants, la mairie de Gennevilliers a eu raison de suspendre les quatre animateurs d'une colonie de vacances qui auraient rompu leur contrat de travail en observant le jeûne du ramadan», écrit le Front national dans un communiqué.

    Le parti d'extrême droite «condamne les réactions qui s'opposent à cette sage décision, réactions communautaristes qui font fi des principes de sécurité et de laïcité», jugeant que «partout, la République doit tenir bon!».




    LeParisien.fr

  • Syrie: Laurent Fabius qualifie Bachar al-Assad de "bourreau" - 30/07/2012

     





     PARIS (Sipa) — La France va demander une réunion du Conseil de Sécurité de l'ONU sur la Syrie "avant la fin de la semaine", a annoncé lundi le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, qui a qualifié Bachar el-Assad de "bourreau".

    "Puisque la France prend la présidence du Conseil de sécurité des Nations unies au 1er août, nous allons donc demander, avant la fin de cette semaine, la réunion du Conseil de sécurité probablement au niveau ministériel", a-t-il déclaré sur RTL. Et ce, "à la fois pour essayer d'arrêter les massacres et en même temps pour préparer la transition politique".

    Le chef de la diplomatie française, qui craint un massacre, a souligné que "c'est un martyre que subit le peuple syrien et le bourreau s'appelle Bachar el-Assad".

    Même s'"il y a des armes qui sont livrées" aux rebelles par "le Qatar, l'Arabie saoudite et probablement d'autres", Laurent Fabius a dénoncé "un déséquilibre massif puisque Bachar el-Assad a des moyens très très lourds, et il en profite pour massacrer et tuer".

    Face à l'opposition de la Russie et de la Chine à toute intervention en Syrie, le ministre des Affaires étrangères a martelé qu'"il ne faut pas arrêter, il faut se mobiliser, il faut continuer". Mais il a prévenu que "si on continue comme aujourd'hui, de plus en plus, cela va être une opposition confessionnelle et la température ne peut pas redescendre".

    "On va vers une telle violence du conflit que la Syrie sera détruite et les pays voisins vont être contaminés", a-t-il mis en garde, citant le Liban, la Jordanie et "dans une certaine mesure la Turquie". "On ne peut plus dire que c'est une affaire intérieure".

    Quant à l'ancien président Nicolas Sarkozy qui aurait appelé à être "plus ferme" vis-à-vis de Damas, Laurent Fabius a préféré "mettre ça sur le compte de propos de vacances". "Le seul souvenir que j'ai de l'action de M. Sarkozy avec Bachar el-Assad, c'est de l'avoir invité à présider aux cérémonies du 14 juillet".

    ljg

    (Sipa / 30.07.2012 10h55)
     

    http://www.romandie.com/news/n/Syrie_Laurent_Fabius_qualifie_Bachar_el_Assad_de_bourreau300720121055.asp? http://www.romandie.com/news/n/Syrie_Laurent_Fabius_qualifie_Bachar_el_Assad_de_bourreau300720121055.asp?

     

     

  • La Syrie aurait éliminé Bandar ben Sultan en représailles de l’attentat de Damas

     
    Réseau Voltaire | 29 juillet 2012

    Bien que non annoncée par les autorités saoudiennes, la mort du prince Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud vient d’être confirmée au Réseau Voltaire de source officieuse.

    Le prince Bandar venait d’être nommé chef des services secrets saoudiens, le 24 juillet. une promotion interprétée comme une récompense pour avoir organisé l’attentat du 18 juillet à Damas. Les services saoudiens, avec l’appui logistique de la CIA, étaient parvenus à faire exploser le siège de la Sécurité nationale syrienne lors d’une réunion de la cellule de crise : les généraux Assef Chaoukat, Daoud Rajha et Hassan Tourkmani étaient morts sur le coup. Le général Hicham Ikhtiar décédait peu après des suites de ses blessures. Cette opération, dite « Volcan de Damas » avait donné le signal de l’attaque de la capitale par une armée de mercenaires, principalement venue de Jordanie.

    Le prince Bandar a lui-même été victime d’un attentat à la bombe, le 26 juillet, ainsi que l’avaient annoncé les médias yéménites. Il aurait succombé plus tard à ses blessures.

    Personnalité brillante et cynique, le prince Bandar était âgé de 63 ans. Il était le fils du prince Sultan (inamovible ministre de la Défense de 1963 à sa mort en 2011) et d’une esclave. Homme de confiance du roi Fadh, il avait été son ambassadeur à Washington tout au long de son règne (1983-2005). Il s’était alors lié à George H. Bush (alors vice-président des États-Unis) et était devenu pour lui un « fils adoptif » ; raison pour laquelle la presse US l’avait surnommé « Bandar Bush ». Doué d’un véritable génie de l’action secrète, il avait organisé le contrat d’armement Al-Yamamah, parvenant à détourner plus d’un milliard de livres sterlings, selon les sources officielles britanniques. Il avait alors utilisé cette manne, et bien d’autres encore, pour financer l’action de groupes jihadistes partout dans le monde, y compris Al-Qaida.

    Début 2010, le prince Bandar tenta de renverser le roi Abdallah pour placer son père Sultan sur le trône. Le complot échoua et il fut banni du royaume, mais la santé du monarque déclinant, il parvint à rentrer en Arabie saoudite un an plus tard. Depuis la mort du prince Sultan, il était devenu de facto le chef de la maison des Sudeiris, le clan des faucons au sein de la famille royale.

    Sa mort porte un coup terrible à tout le dispositif d’action secrète des Occidentaux dans le monde musulman. Il aura fallu seulement une semaine à la Syrie pour monter cette spectaculaire opération de représailles.

  • Le Suisse Morganella exclu des JO pour un tweet insultant les Sud-Coréens

     

    Publié le 30/07/2012 | 19:38, mis à jour le 30/07/2012 | 19:49

    Le Suisse Morganella exclu pour un tweet insultant

     

    Le défenseur Michel Morganella a été exclu de l'équipe suisse olympique de football après avoir qualifié sur internet ses adversaires sud-coréens de "trisos" et les avoir exhortés à aller "tous (se) brûler", a annoncé lundi le Comité olympique suisse.

     

    "Il a avec ses propos rendus public sur son compte Twitter, discriminé, insulté et entaché la dignité de l'équipe sud-coréenne de football et l'ensemble du peuple coréen", a souligné Gian Gili, chef de mission de la délégation suisse. Dimanche, après la défaite (2-1) de son équipe face à la Corée du Sud, le joueur de 23 ans avait écrit, en "verlan", sur son compte Twitter: "Je fonsde out les coreen allez sout vous lebru. Ahahahhahahaah deband zotre", ce qui pourrait se traduire par "Je défonce tous les Coréens, allez tous vous brûler. Ahahahhahahaah bande de trisos."

    "Même s'il a été provoqué sur Twitter, même s'il est excusé publiquement pour son comportement il est condamné fermement par la Fédération suisse de football, a ajouté M. Gili, assurant n'avoir eu "aucune alternative". Le joueur s'est dit dans un communiqué "désolé pour la population en Corée du Sud, pour les footballeurs, mais également pour la délégation suisse et le football suisse en général". "Après le résultat décevant et les réactions de la Corée qui ont suivi, j'ai commis une énorme erreur", a-t-il poursuivi.

    Après un match nul face au Gabon (1-1), la Suisse s'est inclinée face à la Corée du Sud au tournoi olympique de Londres. Il lui faut absolument gagner face au Mexique pour espérer se qualifier pour les quarts de finale. En dépit des mises en garde répétées du CIO, Twitter avait fait une première victime parmi les athlètes olympiques mercredi dernier. "Avec autant d'Africains en Grèce, au moins les moustiques du Nil occidental mangeront de la nourriture maison", avait écrit la triple sauteuse Paraskevi (Voula) Papachristou, 23 ans, avant d'être exclue dans la foulée par son comité olympique.

    Sports

  • USA: un pasteur refuse de marier deux Noirs dans son église - 30/07/2012

     

    USA: un pasteur refuse de marier 2 Noirs




    Le pasteur d’une église baptiste de Crystal Springs, dans le Mississippi (sud des Etats-Unis), a refusé de marier un homme et une femme dans son église parce qu’ils étaient noirs, ont rapporté aujourd’hui les médias américains.

    Le pasteur Stan Weatherford, qui est blanc, a expliqué à la chaîne de télévision ABC qu’il n’y avait jamais eu de mariage de Noirs dans la First Baptist Church de Crystal Springs depuis sa création en 1883. Des fidèles de l’église l’ont menacé d’être remplacé s’il acceptait d’y organiser une cérémonie pour le mariage de Charles et Te’Andrea Wilson, a-t-il assuré, soulignant qu’il avait proposé au couple de les marier dans une autre église proche et dont les fidèles sont majoritairement noirs.

    « Comment peut-on expliquer à une fillette de 9 ans ‘On ne peut pas se marier ici, parce que, devine quoi ma chérie? on est noirs’ », a réagi Charles Wilson sur une filiale locale d’ABC, évoquant sa fille. D’après la chaîne de télévision CNN, les futurs époux ont appris que la cérémonie ne pouvait pas avoir lieu dans l’église qu’ils avaient initialement choisie la veille de leur mariage, qui devait avoir lieu le 20 juillet. Il a finalement été célébré dans une autre église le lendemain.

     

    http://www.algerie1.com/magazine/usa-un-pasteur-refuse-de-marier-2-noirs/ http://www.algerie1.com/magazine/usa-un-pasteur-refuse-de-marier-2-noirs/   

     

      ALTERINFO


     

  • Saint-Denis (93) - Un enfant écrasé sur la route par un 4X4

     

    Lire:  http://www.leparisien.fr/faits-divers/video-un-enfant-tue-par-un-4x4-l-emotion-a-saint-denis-30-07-2012-2107713.php

    VIDEO

     

  • La population israélienne se précipite sur les masques à gaz

     

    le Lundi 30 Juillet 2012 à 17:49

     

    La semaine dernière, le régime syrien reconnaissait pour la première fois posséder des armes chimiques. L'annonce a provoqué une vague d'inquiétude en Israël, où les centres de distribution de masques à gaz enregistrent des records d'affluence.

    Distribution de masques à gaz dans un centre commercial près de Jérusalem, ce lundi. © Radio France Grégory Philipps

    "Prendre son masque, c'est faire le choix de la vie". Le slogan est imprimé sur les uniformes des employés des centres de distribution de masques de gaz. Voilà deux ans qu'ils distribuent régulièrement des kits de survie à la population, depuis que les autorités israéliennes ont décidé d'équiper tout le pays par mesure de précaution.

    Depuis la semaine dernière, ces distributions connaissent un succès inhabituel. "Au lieu de 2.000 demandes quotidiennes, nous avons distribué près du double ces deux derniers jours" explique un porte-parole de la Poste israélienne, chargée de gérer l'opération. Des budgets ont été débloqués pour pouvoir équiper plus rapidement la population.

    Damas menace d'utiliser des armes chimiques en cas d'intervention étrangère

    En cause : l'inquiétude liée à la situation en Syrie. "Il faut être prêts à toute éventualité quand on entend ce qui se passe là-bas" explique un habitant de la banlieue de Jérusalem, venu chercher six masques pour lui et sa famille. La semaine dernière, Damas a reconnu pour la première fois posséder des armes chimiques, menaçant de les utiliser en cas d'intervention militaire étrangère.

    Les autorités israéliennes s'inquiètent surtout du devenir de ces armes en cas de chute du régime de Bachar al-Assad. En cas de "transfert d'armes chimiques syriennes au Hezbollah", a affirmé le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, Israël agira de façon "immédiate" et aussi "dure que possible".

    France Info

     

    NdB: Est-ce qu'il reste des masques pour la population palestinienne ?

  • Ramadan: 4 moniteurs suspendus par la mairie communiste de Gennevilliers

     

    le Lundi 30 Juillet 2012 à 20:21 mis à jour à 22:40

     

    Quatre moniteurs de colonie de vacances ont été suspendus par la mairie PCF de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) pour avoir observé le jeûne du ramadan, leur employeur invoquant un danger pour la sécurité des enfants.

     

    "C'est l'incompréhension et la révolte" chez ces quatre animateurs de colonie de vacances, explique leur avocat. Les quatre hommes ont décidé "de saisir le juge compétent pour faire valoir leurs droits", ajoute Maître Mohand Yanat.

    Employés en CDD par la mairie de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), ces quatre moniteurs de colonie de vacances ont été suspendus pour avoir observé le jeûne du ramadan, lors d'un séjour sportif à Port-d'Albret, dans les Landes, qui a débuté le 5 juillet.

    La mairie invoque la sécurité des enfants

    "On a reçu la visite du responsable des centres de vacances. Il est venu voir si tout se déroulait correctement avec les enfants, et c'était le cas, puis il est venu déjeuner avec nous. Il s'est mis à ma table, et a remarqué qu'à l'heure du déjeuner je ne mangeais pas et Moussa non plus", explique Nassim, un des animateurs.

    "Ce défaut d'alimentation et d'hydratation pouvait conduire ces agents à ne plus être en pleine possession des moyens requis pour assurer le bon déroulement et la sécurité des activités du séjour, ainsi que la sécurité physique des enfants dont ils avaient la charge", explique la mairie PCF, citant un précédent cas où une jeune animatrice jeûnant avait eu un accident alors qu'elle conduisait un véhicule avec des enfants.

    "C'est pourquoi la ville (...) qui a la pleine responsabilité de la bonne conduite des séjours a mis fin à leurs missions, sans préjudice financier", poursuit la municipalité, selon une information révélée dans un premier temps par le BondyBlog.

    France Info 

  • Les responsables politiques passent, les Kalachnikovs restent !

     
     
     

    Communiqué de Stéphane Ravier, conseiller des 13e et 14e arrondissements de Marseille, membre du Bureau politique du Front National

    Il y a quelques semaines, le maire UMP de Marseille, Jean-Claude Gaudin, se félicitait du vote du conseil municipal autorisant désormais les policiers municipaux à être équipés de flash-ball, des armes tirant des balles en caoutchouc. À cette mesurette, qui ne fait qu’exposer davantage nos policiers, les crapules ont répondu par trois fois au cours du mois de juillet, en utilisant des armes de guerre !

    Car c’est un « jeune » de 25 ans, déjà interpellé à 17 reprises pour trafic de stupéfiants, qui a été criblé de balles de Kalachnikov en pleine après-midi au cœur de la cité emblématique des Lauriers dans le 13e arrondissement de la ville. Une cité où, selon le rapport de l’ANRU* « les familles d’origine étrangère sont surreprésentées », une cité que la députée PS Sylvie Andrieux a arrosé de subventions et dans laquelle il aura poussé chômage, communautarisme, trafic de drogue… et bulletins de vote socialistes.

    Le pouvoir politique a changé. Aux déclarations sans lendemain de Guéant ont succédé les lendemains sans action de Valls. Face à une classe politique aux mains molles et à l’angélisme assumé, la loi républicaine à Marseille a été remplacée par les codes sanglants de la voyoucratie.

    Seul le Front National de Marine Le Pen est à même de rétablir l’ordre républicain dans cette ville comme sur l’ensemble du territoire national car il est le seul à vouloir engager une guerre sans merci contre le trafic de drogue et ce, par l’application de la tolérance zéro.

    ———

    *ANRU : Agence nationale pour la rénovation urbaine

  • Syrie : Washington prendrait ses distances avec les insurgés

     

     

    Plan d'Alep : en brun, les zones tenues par les insurgés

    Les États-Unis partagent la position de la Russie qui s’efforce de prévenir la chute de l’État syrien et ne soutiennent aucune partie au conflit, a annoncé vendredi l’ambassadeur américain à Moscou Michael McFaul dans une interview au quotidien en ligne Gazeta.ru. Selon lui, les États-Unis sont partisans d’une « évolution pacifique susceptible de faire apparaître de nouvelles institutions politiques répondant aux aspirations des gens ». C’est ce qui ressort d’une information parue sur le site francophone de l’agence russe RIA Novosti, alors que les combats font rage au nord du pays, à Alep, où l’armée régulière a lancé depuis 48 heures une contre-offensive contre les groupes armés composés majoritairement de jihadistes étrangers soutenus en sous main par la Turquie voisine.

    Les États-Unis partagent la position de la Russie qui s’efforce de prévenir la chute de l’État syrien et ne soutiennent aucune partie au conflit, a annoncé vendredi l’ambassadeur américain à Moscou Michael McFaul dans une interview au quotidien en ligne Gazeta.ru. « En réalité, nous ne soutenons aucun groupe impliqué dans le conflit syrien. Nous ne sommes pas hostiles aux Syriens qui soutiennent el-Assad. Ce n’est pas notre combat. Nous plaidons pour les négociations », a déclaré l’ambassadeur.

    Selon lui, les États-Unis sont partisans d’une « évolution pacifique susceptible de faire apparaître de nouvelles institutions politiques répondant aux aspirations des gens ». « En Égypte, en Tunisie et en Syrie, nous soutenons les règles du jeu et non les vainqueurs et les vaincus. Nous ne cherchons pas à déstabiliser la Syrie. Nous ne voulons pas la chute de l’État syrien. Nous l’avons vu en Irak, en Somalie et dans d’autres pays. Nous partageons l’objectif du gouvernement russe : prévenir la désintégration de l’État syrien », a souligné le diplomate.

    Une prise de distance avec les bandes armées composées en partie de jihadistes qui mériterait confirmation...

    Sur place, les combats font rage dans les quartiers périphériques du centre-ville d’Alep (voir carte) où la population est prise en otage par les forces armées insurrectionnelles harcelées par les unités gouvernementales appuyées par des chars lourds, des transports de troupe BMP-1, de l’artillerie lourde (BM-21, 130 mm, 2S1…), des avions d’attaque au sol (L-39Z Albatros…) et des hélicoptères d’assaut Mi-25 et Mi-8. Une population qui est bien loin de soutenir unanimement l’Armée syrienne libre, forte de plusieurs milliers d’hommes et bien retranchée dans cette zone fortement urbanisée, comme en témoignait dernièrement un habitant d’Alep joint par France Info.

    NPI