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  • François Rebsamen (PS) : « Les statistiques ethniques existent mais ne font pas l’objet de communications officielles »

    1h23
    Le 05 octobre 2010, à une question du Monde sur le refus des statistiques ethniques, l’ex-maire socialiste de Dijon, François Rebsamen (proche de François Hollande, Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social) répondait sans détour:

     

    « Je ne sais pas comment répondre à cette question sans faire le lit du Front national. C’est un vrai sujet. Ces statistiques existent, en réalité, mais ne font pas l’objet de communications officielles. Elles existent y compris dans les commissions d’attribution de logements. Faudrait-il les rendre publiques ? J’en doute… »

     

    Le Monde

    (Merci à Lanceur)

  • Face à la submersion migratoire de l’Europe, Nigel Farage veut s’inspirer de l’exemple australien

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    05/05/2015 – GRANDE-BRETAGNE (NOVOpress)
    Il bat la campagne, à la pêche aux voix. Celui qui mène un combat contre l’immigration sait la tâche ardue, mode de scrutin oblige. Pourtant, Nigel Farage, 51 ans, leader du UKIP, UK independance party depuis 2006, a fait passer son parti de perturbateur anecdotique à une force politique qui compte et qui fait de plus en plus d’adeptes.

    Face à la submersion migratoire de l’Europe, le message de Nigel Farage est clair :

    Nous ferons campagne pour que ce pays ait un système de points, à la façon australienne, afin de décider de qui peut s’installer dans notre pays

  • Loi Renseignement : la République une nouvelle fois trahie par l'UMPS

     Communiqués / 5 mai 2015 

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’Assemblée nationale s’apprête à voter ce jour une loi indigne de la France, la Loi dite Renseignement, qui porte gravement atteinte aux grands principes de Liberté qui fondent notre République.

    Une fois encore, comme lors du Congrès de 2008 à Versailles, au cours duquel le Parlement a annulé le vote des Français sur la Constitution européenne, UMP et PS sont sur le point de trahir ensemble, main dans la main, les intérêts supérieurs du peuple et de notre Démocratie.

    La loi Renseignement prévoit en effet de donner au Premier ministre des pouvoirs exorbitants, hors de tout cadre judiciaire, pour surveiller les citoyens au mépris des libertés publiques élémentaires, du respect de la vie privée et des droits essentiels de l’opposition politique.

    Ces pouvoirs exceptionnels deviennent d’autant plus inquiétants que le Premier ministre se nomme Manuel Valls : un homme qui ne se contrôle plus et dont le comportement est constamment anti-républicain.

    En outre, cette loi est totalement inutile d’un point de vue sécuritaire puisqu’elle ne prévoit rien pour lutter réellement contre le terrorisme islamique. Rien sur le rétablissement des frontières, la surveillance des prêches dans les mosquées ou le renforcement des moyens de police et de gendarmerie.

    Loi dangereuse pour les Libertés publiques et inefficace pour lutter contre le terrorisme, le Front National condamne très fermement son vote attendu par l’Assemblée nationale, et met en garde l’ensemble des élus qui s’apprêtent à engager la Nation hors des voies salutaires de la Démocratie.

  • L' AFFAIRE SANGARIS

    L' AFFAIRE SANGARIS  - Entre faits objectifs et interrogations

    Entre faits objectifs et interrogations



    Général Philippe BENY*
    le 05/05/2015
    Un rapport des Nations unies, relayé par le quotidien britannique The Guardian, accuse des soldats français de l’opération «Sangaris», d’avoir commis des viols en 2014 sur de jeunes garçons en Centrafrique. La capitale, Bangui, était soumise à de terribles combats entre miliciens chrétiens anti-balaka et musulmans de la Séléka. Des milliers de civils avaient trouvé refuge dans un camp de réfugiés proche de l’aéroport de M’Poko. Dans ce camp les viols auraient été commis «courant juin 2014». Le général Philippe BENY, dans un billet d’humeur destiné à diffusion, nous aide à comprendre cette affaire.
     
     
    J’ai un petit avantage sur ceux qui écrivent ou pérorent sans trop rien connaître de la réalité de cette affaire : je suis à Bangui depuis longtemps, je connais le contexte général, les lieux et nombre des acteurs en cause. Je suis en outre ce qu’on pourrait appeler un « vieux soldat » qui en a pas mal vu, notamment en Afrique, et je pense être capable de poser un regard un peu plus discursif que d’autres sur tout cela.

    Pour aider à se faire une idée sur cette affaire, je vais articuler mon propos entre l’exposé de quelques faits objectifs, celui de quelques interrogations liées à ma connaissance du sujet RCA,  et enfin celui de mon avis – par nature subjectif – sur certains points.
     
    Des faits

    Le camp de Mpoko, proche de l’aéroport, est situé à un endroit où, par la géographie des lieux, plusieurs forces internationales ont pu avoir contact avec les occupants : avec beaucoup de soldats africains ce sont la MISCA (force interafricaine) puis la MINUSCA (force ONU) ; avec beaucoup de soldats français et/ou européens ce sont SANGARIS (force française) et EUFOR (force européenne).

    Il faut alors très précisément s’intéresser aux dates des faits, parfois à 24 heures près, car ces forces avaient ou pas mandat d’être là en protection, parfois proches les unes des autres, parfois au fil des relèves, parfois sur un mode différent entre le jour et la nuit, parfois en renforcement temporaire l’une l’autre, etc… tout cela au profit d’une sécurité toujours précaire à assurer avec des effectifs toujours contraints. Tout cela pour dire que savoir exactement qui était à tel endroit à telle période est bien difficile, surtout quand la période avancée ici et là court de décembre 2013 à juin 2014 selon les sources.

    Le commandement SANGARIS et donc l’Etat-major des armées à Paris ont connaissance des allégations le 29 juillet 2014. Ils réagissent aussitôt, conformément aux lois et usages (enquête de la Gendarmerie Prévôtale, enquête de commandement, action de Justice). Mais considérons bien qu’à ce moment-là, les acteurs qui restent 4 mois en RCA ont déjà pu être relevés 2 fois sur la durée évoquée : pas facile de les trouver quand un flou total règne sur les dates de commission des faits.

    En RCA, si l’on veut bien admettre qu’un mineur en grande difficulté dans un camp de déplacés est prêt à accepter un acte sexuel contre une boîte de ration, ce qui est sans doute très malheureusement vrai, on voudra aussi bien admettre que le même est prêt à dire ou témoigner de n’importe quoi contre une somme dérisoire remise par celui qui aurait besoin ou intérêt à la production d’un tel témoignage.

    Des interrogations

    Pourquoi une ONG ayant connaissance de ce type de comportement n’en réfère pas immédiatement au commandement de la force en cause ? Il existe des modalités de contact très rodées et connues de tous les humanitaires entre les forces et les ONG (cluster humanitaire), cela aux fins de partager l’information et d’assurer une nécessaire coordination des actions. Étrange de préférer « faire des rapports et des entrevues d’enfants » plutôt que de communiquer cela le plus rapidement possible aux autorités locales (alors notoirement déficientes, hélas !) ou, plus sûrement, au commandement de l’une ou l’autre des forces en cause.

    Pourquoi cette affaire de nature à fragiliser le rôle de la France en RCA sort-elle via un média anglo-saxon juste avant l’ouverture du « Forum de Bangui », une étape clé de la gestion de la crise en RCA ? Car il faut savoir que le rôle et les options françaises rencontrent des oppositions politiques, c’est bien naturel, et qu’un récent « processus de Nairobi » a été refusé par la France et la RCA au grand dam d’acteurs internationaux parlant généralement anglais…

    Des avis

    Il y a sans doute eu quelque chose de bien sordide, hélas ! aux abords de ce camp. Mais qui et quand ? Celui qui dirait de façon péremptoire, selon les cas,  que jamais un soldat français, ou européen, ou onusien ne saurait commettre de tels actes n’aurait pas mis les pieds sur le terrain depuis bien longtemps… C’est malheureusement possible. Nature humaine…

    Admettons donc une réalité des faits allégués. Maintenant, quand l’heure de la punition arrive, il faut frapper. Il faut certes frapper fort, mais surtout juste. Or quid des preuves ou des éléments scientifiques tangibles ? Peut-on imaginer ce qu’est le camp de Mpoko à la période considérée ? Une zone de non droit, d’insécurité et de misère humaine absolue. En plus, livrée à de fortes manipulations politiques de par des groupes ethniques rivaux, parfois hostiles à la position politique française.

    Je m’amuse ainsi, si je puis dire, de voir depuis quelques jours les « témoins oculaires » complaisamment produits par RFI ou France 24. C’est à pleurer de voir ces faux témoins notoirement stipendiés par des groupes armés courir, en superbe polo et casquette hip-hop totalement incongrus à Mpoko, face aux micros et caméras pour dire n’importe quoi.

    Car c’est ainsi en RCA, on crée le chaos, les gens crèvent dans les camps, mais on continue la politicaillerie et les manipulations, et cela aux frais de ces braves internationaux, civils et militaires, français en tête, assez gentils pour venir assurer un minimum vital et sécuritaire. Venir dans ce barnum faire une enquête façon « Les experts » avec combinaison blanche immaculée, pipettes et jolie tresses marquées « police » est une simple vue de l’esprit. Cela continue d’être, je le suppose, la difficulté de ceux en charge du dossier, juge comme gendarmes OPJ : quelle matérialité ? Quelles preuves ? Quelles traces ADN ?

    Pourquoi avoir « caché » l’affaire depuis juillet 2014 ? Mais alors là, pardon de penser avec les Antiques et les juristes que « nul n’est censé faire état de sa turpitude »… Quand on a si peu à communiquer, il n’est pas choquant du point de vue militaire français de la fermer, surtout que rester discret ne veut absolument pas dire de rien faire, cette affaire me semble emblématique à ce sujet.

    Au total

    Près de 10 000 soldats français sont passés en RCA depuis décembre 2013.
    14 à 16 seraient impliqués dans une affaire sordide par ailleurs immédiatement traitée par le commandement de SANGARIS, par l’Etat-major des armées et par la justice française dès qu’ils en ont eu vent.
    Une fois les faits avérés et l’enquête terminée, s’il y a des coupables, nul doute que viendra le temps des sanctions qui seront judiciaires, mais aussi statutaires et disciplinaires pour ainsi punir à trois titres ces militaires, c’est à dire bien plus que ne le serait un civil. C’est ainsi.
    14 à 16 salopards (encore potentiels) sur 10 000 hommes. Total 0,14 à 0,16% de comportements inadmissibles... C'est évidemment encore trop, mais : à rapprocher des milliers de vies centrafricaines sauvées par SANGARIS partout en RCA ; à rapprocher des 3 morts et 120 blessés de SANGARIS tombés pour ce faire ; à rapprocher de ce que vient de montrer l'Education Nationale qui semble simplement changer de classe ses pédophiles pourtant avérés..

    Voilà ce que je voulais apporter à ceux qui me liront, pour les convaincre que cette triste affaire n’échappe pas à la règle de l’arbre qui cache, hélas ! souvent la forêt. En l’occurrence, ces 14 à 16 salopards, s’ils existent, auront pollué l’image des 10 000 autres dont l’action en RCA est unanimement reconnue comme ayant été des plus positives.


    *Général (2S), Conseiller militaire du Chef d'Etat à Bangui – RCA
     
    METAMAG
  • À Béziers, Robert Ménard démontre la réalité du Grand remplacement

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    05/05/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Robert Ménard persiste et signe. Le maire de Béziers a souhaité comptabiliser les enfants « de confession musulmane » en se basant sur leurs prénoms, dans les établissements scolaires de sa ville. « Je sais que je n’ai pas le droit, mais on le fait », a-t-il déclaré lundi soir sur le plateau de « Mots Croisés » sur France 2.

    Pour Bernard Cazeneuve, « un tel fichage est interdit par la loi. Ficher des enfants selon leur religion, c’est renvoyer aux heures les plus sombres de notre histoire » (sic).
    De son côté, le parquet de Béziers a annoncé avoir ouvert une enquête préliminaire pour « fichage illégal ».

    Robert Ménard n’en démord pas :

    Je fais le tour des écoles et je constate ce qu’il en est. Pour les aider. (…) Dans certaines écoles, il y a plus de 80 % d’enfants immigrés, presque 100 %, là vous n’intégrez plus personne ! (…) Les 2/3 des élèves en maternelle et primaire, dans le public, sont des enfants issus de l’immigration : c’est trop ! Quand vous avez une majorité de mamans qui ne parlent pas français, quand vous n’avez pas les codes de l’école, vous êtes pénalisé.

    Ceux qui aujourd’hui dénoncent l’initiative de Robert Ménard sont les mêmes qui tentent, par tous les moyens, de cacher la réalité du Grand Remplacement…

  • Le projet de loi sur le renseignement adopté à une large majorité

     

                                                       

    LE SCAN POLITIQUE - Objet de contestations, le projet de loi sur le renseignement a été voté en première lecture à l'Assemblée nationale. Seuls dix socialistes ont voté contre. Le texte doit encore passer par le Sénat et le Conseil constitutionnel.


     

    Avec 438 voix pour, 86 voix contre et 42 abstentions, le projet de loi sur le renseignement, pourtant vivement critiqué pour ses risques de surveillance généralisée, bénéficie en première lecture d'une large approbation à l'Assemblée nationale. Au sein du groupe socialiste, 252 députés sur 288 ont voté pour, contre seulement 10 voix dissidentes, parmi lesquelles celles de l'ancienne ministre Aurélie Filippetti et du parlementaire frondeur Pouria Amirshahi. Dans le camp des 17 abstentionnistes socialistes, on note la présence de Pascal Cherki, Christian Paul et Laurent Baumel, en rupture avec la politique du gouvernement.

    À l'UMP, 143 députés sur 198 se sont exprimés en faveur du texte, et 35 contre, dont le maire de Levallois-Perret Patrick Balkany, Bernard Debré, Patrick Devedjian, Thierry Solère, Henri Guaino et le juppéiste Edouard Philippe. Onze députés écologistes sur 18 ont voté contre, parmi lesquels Cécile Duflot, Noël Mamère ou encore Sergio Coronado. François De Rugy, co-président du groupe, a voté pour, alors que Barbara Pompili, également à la tête du groupe, s'est abstenue. À l'UDI, 17 députés ont voté pour, et 11 ont opposé leur véto, comme Yves Jégo, Hervé Morin et Jean-Christophe Fromantin. Trois élus du Front de gauche ont voté pour.

    Sans surprise, Marion Maréchal-Le Pen, Gilbert Collard et Jacques Bompard ont voté contre, comme Nicolas Dupont-Aignan, responsable du parti Debout La France. Thomas Thévenoud, l'ancien secrétaire d'État débarqué prestement du gouvernement, n'a pas non plus soutenu la loi.

    Deux saisines du Conseil constitutionnel

    À l'issue du vote, le premier ministre Manuel Valls s'est félicité devant la presse d'un tel soutien. «Je veux me féliciter d'une très large majorité en faveur du texte sur le renseignement, qui préserve nos libertés fondamentales, mais qui encadre l'activité de nos services de renseignement et leur donne davantage de moyens pour qu'ils soient le plus efficaces possibles face à la menace terroriste», a-t-il souligné depuis les couloirs de l'Assemblée nationale.

    Le texte doit maintenant être examiné au Sénat, fin mai, et fera l'objet, à la demande de François Hollande, d'un recours devant le Conseil constitutionnel. Une fois la navette parlementaire achevée et en plus de la saisine du président de la République, 75 députés ont annoncé vouloir saisir l'institution de la rue de Montpensier. Manuel Valls espère néanmoins que le texte sera adopté «avant l'été pour être rapidement mis en oeuvre». La France n'avait pas légiféré sur le renseignement depuis 1991 et le gouvernement place ce projet de loi dans le cadre de la lutte antiterroriste.

     

    LE FIGARO

  • Florian Philippot sur LCI

  • Marine Le Pen à Prague (tweets)

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  • Perpignan : le Front National dénonce une « tentative d’incendie volontaire » de l’église Saint-Matthieu

    http://www.christianophobie.fr/communique/perpignan-le-front-national-denonce-une-tentative-dincendie-volontaire-de-leglise-saint-matthieu?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#.VUkGMbkcSM8

     

     

  • L’entrepreneur Bel Hadj rêve d’un halal made in France

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    Pour Lotfi Bel Hadj, ce qui est capital, c'est le "vivre ensemble". La preuve : "la tradition française ne passe-t-elle pas par manger ensemble ?" Cela va être difficile...
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    Né en Seine-Saint-Denis, Franco-Tunisien, économiste de formation, docteur de l’Institut d’études islamiques de Paris, Lotfi Bel Hadj est devenu entrepreneur. Son rêve ? Qu’un jour notre pays ait le courage « d’afficher fièrement le halal made in France ».

    Pourquoi ? Parce que le marché halal, « c’est une caverne d’Ali Baba ». Au niveau mondial, son chiffre d’affaires annuel s’élève, en effet, à presque 700 milliards de dollars et pourrait représenter 2.000 milliards par an en 2025. Et bien davantage en 2050 puisque, selon l’enquête américaine du Pew Research Center, les musulmans seront 2,76 milliards (1,6 en 2010), en quasi-égalité avec 2,92 milliards de chrétiens (2,17 en 2010).

    Et forte d’un marché français estimé entre 5,5 et 7 milliards d’euros par an – environ deux fois plus que celui du marché bio – avec une croissance de 17 % chaque année, pour Lotfi Bel Hadj, la France a une carte à jouer en exportant ses produits labellisés halal, non seulement en Europe, dans les pays arabes, mais surtout en Asie, en Inde, au Pakistan, au Bangladesh et en Indonésie, lesquels représentent 43 % de la population mondiale. À la France d’assumer « son évolution » :

    « On ne peut pas avoir fait venir autant d’immigrés de pays différents et penser conserver toujours les mêmes us et coutumes. Le halal a vocation à devenir un produit de tradition française […] » D’ailleurs, « les nouvelles générations clament leurs droits haut et fort. » Il paraît, selon M. Bel Hadj, que c’est « un témoignage supplémentaire de leur francité ». Même qu’ils n’oseraient pas revendiquer leurs droits dans les pays arabes parce que « la plupart du temps, ils ne le font pas car ils sont réprimés ». Quels droits seraient interdits en terre d’islam qui sont si facilement accordés en France ? Certainement pas celui de manger halal, en tout cas. Changer de religion, afficher son homosexualité, ne pas porter la burqa, peut-être ?

    Le halal, un énorme business mondial, donc. En vrac : viande, eau, Coca-Cola, Bounty, Mars, médicaments, cosmétiques, whisky, hôtellerie, produits érotiques « charia-compatibles », etc. Il présente, aussi, un certain nombre d’autres avantages.

    D’abord, l’abattage rituel ferait moins souffrir que l’électronarcose. À regarder de près le premier, ce n’est pas évident…

    Ensuite, il coûte bien moins cher que le casher, la certification rapportant 10 à 15 centimes le kilo : il permet, ainsi, le financement des mosquées. Il est vrai qu’en prévision de 2.500 mosquées supplémentaires, le développement s’impose.

    Enfin, on apprend que manger halal ne signifie pas uniquement éliminer porc et alcool, « c’est aussi un degré supplémentaire de contrôle qui exclut, par exemple, le travail des enfants de moins de huit ans […] » M. Bel Hadj n’a donc aucun état d’âme à placer la loi islamique au-dessus de la loi française, ni à mettre au turbin des enfants entre 8 et 16 ans.

    Le discours communautariste opposant sans vergogne le halal (permis) et le haram (interdit) de l’homme d’affaires fait flipper ? À tort, parce que pour Lotfi Bel Hadj, ce qui est capital, c’est le « vivre ensemble ». La preuve : « la tradition française ne passe-t-elle pas par manger ensemble ? » Cela va être difficile…

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Robert Ménard : « Oui, dans notre ville, (…) il y a un trop grand nombre d’immigrés [ce qui rend l’intégration, et, plus encore, l’assimilation] impossibles »

     

    Robert Ménard réagissait à la perquisition de la mairie de Béziers actuellement perquisitionnée, après avoir déclaré à la télévision que 64,6% des enfants de sa ville étaient musulmans, en se fondant sur l’analyse des prénoms des nouveaux-nés. Il ajoute que « Valls n’a aucune leçon à lui donner ».

    NDF

  • La Femen Sarah Constantin est journaliste à France 24 et à Charlie Hebdo

     

    Lu sur Le Salon Beige :

    Voilà qui expliquerait la complicité de certains médias ? Sarah Constantin, qui a vanté le 1er mai ses derniers « faits de guerre » sur BFM TV en tant que porte-parole des Femen, est par ailleurs journaliste sur France 4 et pour Charlie Hebdo. Pour avoir une idée du personnage, elle avait exposé au musée de l’érotisme, avec le caricaturiste Luz (celui qui ne veut plus dessiner Mahomet, sans renoncer à sa liberté d’expression…) des dessins pornographiques réalisés sur des bibles en latin. Mais l’honneur du service public est sauf : Sarah Constantin lutte contre le Front national.

    NDF

  • L’étrange financement de la tournée sud-africaine d’Anne Gravoin, épouse de Manuel Valls

     


     

     
     

     

    Le magnat de l’armement Ivor Ichikowitz a largement financé la récente tournée sud-africaine d’Anne Gravoin.

    L’épouse du Premier ministre Manuel Valls était en Afrique du Sud du 22 au 25 avril dernier avec l’Alma Chamber Orchestre, dans le cadre d’une tournée intitulée World Tour for Unity.

    Les trois concerts de la tournée sud-africaine de l’Alma Chamber Orchestre, dont Anne Gravoin est la directrice artistique, ont été financés par l’Ichikowitz Family Foundation, la fondation philanthropique du milliardaire juif Ivor Ichikowitz, qui promet de combattre « pour un monde plus paisible, plus tolérant et plus prospère ». Or Ivor Ichikowitz, proche du Congrès national africain (ANC) et du président Jacob Zuma, n’est autre que le fondateur et président exécutif du Groupe Paramount, le plus important groupe d’armement privé du continent africain.

    Fondé en 1994, et basé à Johannesburg, le Groupe Paramount propose une gamme de véhicules blindés et d’avions militaires, mais aussi de l’équipement et de la formation militaires aux gouvernements.

    E&R

  • Gaza: "Il n'y a plus de civils, tirez sur tout ce qui bouge"

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    04/05/15 à 16:07 - Mise à jour à 16:07

    Source : Le Monde

    A Gaza, durant l'été 2014, des soldats israéliens ont reçu l'ordre de tirer sur tout ce qui bouge. Cela a coûté la vie à des centaines de civils palestiniens. C'est ce qui ressort du rapport de Breaking the Silence, une organisation d'anciens militaires israéliens. Il est basé sur une centaine de témoignages de soldats actifs lors de l'opération "bordure protectrice".

     

    © Reuters

    Breaking the silence (rompre le silence), une ONG qui regroupe des anciens combattants de Tsahal, a rassemblé plus de cent témoignages et interviewé près de 60 soldats de divers corps et grades. Un quart des témoignages provient d'officiers. Le plus haut grade étant celui de major. La matière reprise dans ce rapport a été recoupée et soumise à la censure militaire comme l'exige toute publication liée à la sécurité nationale précise Le Monde.

    Lors de l'opération "bordure protectrice" qui eut lieu entre le 8 juillet et le 26 août 2014, des soldats israéliens ont envahi des quartiers de Gaza avec l'idée que ces derniers avaient été désertés par les civils. L'armée avait auparavant distribué par les airs des flyers, envoyé des SMS et téléphoné à domicile pour prévenir les habitants. Ceux qui restaient n'étaient donc, de facto, plus considérés comme des civils, mais bien comme des cibles. Or de l'aveu même des militaires sur place lors de l'invasion, il n'était pas rare de croiser des civils. Parfois même des groupes de 40 personnes. Ce qui va rapidement diffuser parmi les troupes le sentiment d'être trahi par leur hiérarchie.

    Tous les témoignages sont globalement similaires précise Avihai Stollar, de Breaking the Silence. "Le commandement leur avait dit qu'il ne restait plus aucun civil présent et qu'ils pouvaient donc directement ouvrir le feu s'ils apercevaient quelqu'un". Car, comme le stipulait la hiérarchie militaire, "tout doute est un risque". Il suffisait qu'une personne regarde par une fenêtre pour que celle-ci soit considérée comme une cible. C'est la première fois qu'un tel ordre était donné. Pour Stollar, cet ordre a provoqué la mort de plusieurs centaines d'innocents.

    Par ailleurs plus de 22.000 grenades auraient été tirées par des tanks israéliens sur Gaza. C'est quatre fois plus que lors de la précédente opération. Des parties de la ville qui avaient été abandonnées par les habitants furent rasées pour "stériliser" l'endroit ou encore simplement "dégager la vue". Parfois, certains chars tiraient simplement pour "faire sentir la présence israélienne" précise encore Le Monde.

    L'opération "bordure protectrice" entrainera dans son sillage des dégâts matériels et humains sans précédent. Durant l'été 2014, on a dénombré, dans la bande de Gaza, 2.200 tués et plus de 10.000 blessés. 66 soldats israéliens y ont aussi perdu la vie.

    Avec son rapport, Breaking the Silence espère ouvrir le débat en Israël sur l'attitude de l'armée. L'ONG en appelle aussi à une enquête indépendante. Car malgré les 13 enquêtes pénales ouvertes par le parquet général militaire (MAG), la confiance envers une justice interne à l'armée est limitée au vu des investigations peu convaincantes lors des conflits antérieurs.

  • Manuels scolaires pro-islam : retour à l’expéditeur ?

     

    À la rentée 2016, l’enseignement de l’islam restera obligatoire tandis que la chrétienté au Moyen Âge ou le siècle des Lumières deviendront… facultatifs !
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    La réforme du collège portée par Najat Vallaud-Belkacem a de quoi faire bondir : le projet de révision du programme d’histoire pour la classe de cinquième prévoit qu’à la rentrée 2016, l’enseignement de l’islam restera obligatoire tandis que la chrétienté au Moyen Âge ou le siècle des Lumières deviendront… facultatifs ! Ce qui n’a pas manqué de provoquer – à juste titre – une levée de boucliers de la part de nombreux historiens, intellectuels, enseignants et politiques, à gauche comme à droite.

    La décision de rendre obligatoire l’enseignement de l’islam dans l’école publique ne date pas d’hier : depuis 2010 déjà, les parents d’élèves de cinquième peuvent constater que dans certains manuels d’histoire de leur progéniture, c’est sur les débuts de l’islam à travers ses « fondements » et sa « civilisation brillante » que s’ouvrait l’année scolaire, faisant fi de la chronologie. Et si le chapitre sur « L’Église en Occident », relégué en quatrième position, fait naturellement mention de l’Inquisition, la religion musulmane n’est abordée que sous l’angle positif d’une religion de paix, tolérante à l’égard des infidèles. Sans aucune approche historique critique, comment dès lors s’étonner que certains élèves soient tentés d’aller faire le djihad ?

    Alors que faire contre cette tentative éhontée de travestir l’Histoire ? Prendre la plume comme le font certains intellectuels ? À quoi bon : tout le monde sait que deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. Soutenir les enseignants dans la grève programmée le 19 mai dans toute la France contre ces nouveaux programmes ? Pourquoi pas… Mais quand on sait le peu de cas fait par le gouvernement envers ceux qui ont défilé contre les nouveaux rythmes scolaires, on peut s’interroger sur l’efficacité de battre le bitume. Ne vaudrait-il pas mieux que les parents d’élèves de cinquième, écœurés par ces tentatives éhontées de manipulation des esprits, tapent là où ça fait mal – à savoir au portefeuille – et décident de renvoyer les manuels d’histoire en question aux différents éditeurs concernés ? Ce serait, sans doute, un bon moyen de leur signifier que non, ils ne sont pas d’accord, et que oui, ils ont décidé d’entrer en résistance !

    Concluons sur cette anecdote rapportée publiquement par Éric Zemmour qui, après une émission télé où il avait débattu avec « un historien sociologue antiraciste », indique que ce dernier avait clos la discussion par cette conclusion triomphante : « De toute façon, tu peux dire ce que tu veux, on tient les programmes scolaires. » Les programmes scolaires, peut-être, mais pas les élèves à qui ils sont destinés. N’est-il pas grand temps de sonner la fin de la récréation et de poser clairement la question de l’indépendance de l’Éducation nationale face à la montée des revendications des communautarismes ?

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • La soeur de Manuel Valls témoigne de l’enfer de la drogue


    La sœur de Manuel Valls raconte l'enfer de la... par rtl-fr

     

    Alors que son frère met en place des salles de shoot en France, Giovanna Valls témoigne contre l’enfer de la drogue :


    La sœur de Manuel Valls raconte l’enfer de la… par rtl-fr

     

    « Héroïne, hépatite C, prison, dans Accrochée à la vie, journal d’une renaissance, Giovanna Valls Galfetti, raconte ses années d’errance dans l’univers de la drogue. Un parcours chaotique qui contraste avec la réussite fulgurante de son frère, Manuel Valls.

    C’est à l’âge de 20 ans que Giovanna prend sa première dose d’héroïne. La décente en enfer est rapide. Soutenue par son entourage la jeune femme entame un sevrage à Barcelone. Mais 10 ans plus tard, elle rechute violemment. Les doses augmentent et son poids diminue jusqu’à atteindre 35 kilos. À l’âge de 40 ans, atteinte du VIH et de l’hépatite C, les médecins lui donnent deux semaines à vivre. Mais Giovanna résiste.

    Elle entame un exil au Brésil au sein d’une communauté. Petit à petit, l’ancienne toxicomane reprend des kilos et le virus de l’hépatite C diminue. Aujourd’hui, elle continue de vivre avec le VIH mais l’hépatite C a disparu. »

    ALTERMEDIA FRANCE-BELGIQUE

     

     

  • 1er mai du FN : derrière les polémiques, le virage identitaire

     

     

    04/05/2015 – FRANCE (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    Certes, la manifestation du 1e mai du FN a été émaillée de quelques incidents. Mais si les médias se sont focalisés dessus, c’est pour mieux masquer le fond du discours de Marine Le Pen

    Les medias de propagande se sont faits un malin plaisir de décrire ce 1er mai du Front National comme étant un flop pour 4 raisons. D’une part, la faible affluence. Rappelons-leur simplement le très mauvais temps. D’autre part, le président d’honneur Jean-Marie Le Pen s’invitant à la tribune pour se faire acclamer, ce qui aurait déplu à sa fille Marine Le Pen. Enfin, ils ont abondamment relayé les Femen expulsées par le service d’ordre, leur permettant de se victimiser une fois de plus sur les plateaux télés. Et de voler au secours de leurs petits amis du petit journal soi-disant violemment agressé par Bruno Gollnisch. Celui-ci s’étant contenté de casser leur perche-micro après leur avoir demandé patiemment pendant près de 45 minutes d’arrêter de la brandir sous son nez pour saisir ses propos sans son accord.

    Désinformation et diversion, qu’a-t-on voulu cacher à l’opinion ?
    Tout simplement le fond du discours de Marine Le Pen qui aura duré près d’une heure. La majeure partie a pris les allures d’une défense d’une ligne identitaire, ce qui n’était pas pour déplaire aux militants présents place de l’Opéra. Très tranchée sur la nécessité de résister aux assauts de l’islamisme en France, Marine Le Pen a mené une violente charge contre les politiques intérieures comme extérieures de Hollande mais aussi de Sarkozy. L’accent a particulièrement été mis sur le fiasco libyen, directement responsable selon elle du désastre humanitaire en Méditerranée.

    Marine Le Pen a-t-elle été force de proposition ?
    La présidente du Front National endosse de plus en plus une stature de chef d’Etat potentiel en n’étant pas que dans la contestation mais aussi dans la proposition d’une politique alternative crédible. Elle a prôné une tolérance zéro vis-à-vis de l’immigration en citant en exemple la politique australienne. La fermeté du gouvernement Abbot récemment réélu a permis de stopper les afflux de migrants. Marine Le Pen a insisté sur la reconduite systématique des immigrés dans leur pays d’origine et d’inverser ainsi les flux migratoires. Sa volonté de mettre fin au communautarisme musulman qui ne cesse de progresser en France a également été particulièrement bien accueillie par les militants.

    Crédit photo : Blandine Le Cain via Wikimedia (CC). Marine Le Pen lors du rassemblement du 1e mai 2012

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