Micro-trottoir réalisé par François Durpaire
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Micro-trottoir réalisé par François Durpaire
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02/05/2014 – France (NOVOpress avec le Bloc Identitaire)
L’immigration massive, encouragée par les gouvernements successifs, porte les germes de la déliquescence de notre société et de la guerre civile. La multiplication des actions de terroristes islamiques le démontre.
L’attentat déjoué fortuitement de Sid Ahmed Ghlam dans deux églises en région parisienne n’est que le dernier en date d’une longue série. Il y a eu l’attaque contre Charlie Hebdo, bien sûr, mais aussi les attaques au couteau ou à la voiture-bélier en décembre dernier à Dijon et Nantes. Mohamed Merah (Toulouse et Montauban) et Mehdi Nemmouche, (musée juif de Bruxelles) sont encore dans toutes les mémoires. Un peu plus loin de nous, Tunis et Copenhague ont été récemment ensanglantées. L’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie Centrale font l’objet de véritables génocides à l’encontre de leurs populations chrétiennes…
Rappelons aussi que l’État Islamique a menacé l’Europe de la submerger de 500 000 migrants, parmi lesquels se dissimuleront de nombreux terroristes, si elle intervenait militairement en Libye. Une menace qui a au moins le mérite de souligner que l’immigration est une arme, laquelle est déjà en train de précipiter l’Europe, et la France au premier plan, vers le chaos.
Sid Ahmed Ghlam : faussaire, fiché pour terrorisme, laissé en liberté !
La particularité du cas Sid Ahmed Ghlam est de démontrer, s’il en était besoin l’absurdité de la politique des gouvernements successifs vis-à-vis de l’immigration. Cet étudiant algérien arrivé en France en 2010 dans le cadre du regroupement familial et qui souhaitait mener le djihad en France était boursier, bénéficiaire d’une chambre dans un foyer étudiant du XIIIe arrondissement de Paris. Une bourse et un logement auxquels il ne pouvait normalement pas prétendre, car l’administration avait découvert en décembre 2014 que Sid Ahmed Ghlam avait falsifié des documents pour entrer à l’université !
Pire, il était fiché pour terrorisme, entendu deux fois par les services de renseignement à cause de son désir de partir rejoindre l’État islamique. Selon Le Canard enchaîné, il aurait fréquenté la filière des « Buttes-Chaumont », à l’instar des deux auteurs de l’attaque contre Charlie Hebdo et aurait séjourné en 2013 et 2014 dans le quartier de la Croix-Rouge, à Reims, soit à quelques pas du domicile des frères Kouachi.
Pourtant, aucune mesure n’a été prise à son encontre.
Symptomatique d’une société en déliquescence est la présence aux côtés du terroriste algérien, de sa compagne, Jennifer, une Française de souche de 25 ans convertie à l’islam, « très radicalisée » selon les enquêteurs et portant la burqa. Le grand remplacement est aussi à l’œuvre dans les esprits de certains Français, avec pour conséquence la plus visible le risque djihadiste.
Des chiffres alarmants
Les chiffres communiqués par le gouvernement (et sûrement minorés) sont éloquents :
Alors que des groupes islamistes veulent transformer la France en terre d’islam par une violence de plus en plus exacerbée, qui glisse doucement du terrorisme vers la guerre civile, il est urgent de rompre avec l’utopie multiculturaliste et l’immigration de masse qui nourrissent ces phénomènes.
C’est ce que préconise le Bloc Identitaire, qui explique que
Seuls l’arrêt de l’immigration et une politique de remigration concertée pourront empêcher un basculement fatal.
Une mesure prônée pour « préserver la concorde sociale, la paix civile et l’existence même des nations d’Europe et de notre civilisation ».
Autre exemple d’une cohabitation délicate entre voisins avec cette habitante de la rue des Groges, à Saint-Benoît (Vienne). Ici aussi, sous couvert d’anonymat, elle dénonce le bruit et les incivilités quotidiennes de ses voisins.
Il s’agit d’une famille rom avec sept enfants. Ils ont été logés dans cette habitation d’un bailleur social depuis deux ans par l’ancien secrétaire général de la préfecture. « Je m’en fiche qu’ils soient du voyage ou pas. Je veux de la tranquillité, s’énerve la voisine. Je travaille tous les jours entre 2 h et 14 h et je veux pouvoir me reposer tranquillement.
Ils vivent dehors, parlent très fort, les enfants crient, ils mettent la musique à fond. C’est bien simple, je ne peux pas profiter de mes extérieurs. L’an passé, j’avais déjà eu des soucis. J’ai déposé plusieurs mains courantes mais rien ne change. C’est infernal, je veux de la tranquillité. Je demande à ce que les élus viennent constater par eux-mêmes. » Dominique Clément, maire de Saint-Benoît, n’a pas eu besoin de se déplacer. Quand nous l’avons interrogé, il était déjà au courant de cette affaire. « C’est un vrai sujet compliqué, soupire-t-il. Les enfants posent des problèmes d’incivilités. A l’école, l’un d’eux a une attitude très agressive. C’est une famille qui n’est pas habituée à rentrer dans le moule républicain. C’est un choc des cultures avec la voisine. »
Merci à markan
FDS
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1 mai 2015 par admin4 - CONTRE-INFO.COM
Ce jour-là fut créé l’ordre secret des « Illuminés (ou Illuminati) de Bavière », prétendant ressusciter les mystères de Mithra, par le franc-maçon révolutionnaire Adam Weishaupt (né juif, baptisé puis éduqué par les Jésuites avant de changer encore) et cinq autres frères (dont le chanoine Rocca et Benjamin Franklin).
Ils seront 2500, cinq ans après.
Cette puissante secte occultiste a joué un rôle important dans la survenue et le déroulement de la Révolution française (selon l’abbé Barruel notamment).
Selon certaines théories, l’ordre des Illuminés de Bavière qui a officiellement disparu en 1786 après une répression par les autorités du Sud de l’Allemagne, aurait survécu et se trouverait au sommet de la hiérarchie occulte qui travaille à l’avènement du nouvel ordre mondial.
Source : T. de Chassey
Pour se former et former son jugement sur ces questions, voir cette bibliographie.
02 Mai 2015, 19h12 | MAJ : 02 Mai 2015, 19h15
Les défenseurs de l’église Sainte Rita (XVe), promise à démolition en raison d’un projet immobilier, ne rendent pas les armes. Les accès à ce lieu de culte construit en 1900 étant murés depuis mercredi, Mgr Samuel Pouhé, évêque gallican, célèbrera la messe ce dimanche matin à 10h30 dehors, devant l’église,au 27, rue François Bonvin (XVe).
Une centaine de fidèles sont attendus à l’office. Patronne des causes désespérées, Sainte Rita est la seule paroisse de France à accueillir et bénir les animaux.
Le Parisien
Il y a quelque temps, j’ai reçu un témoignage d’un étudiant en médecine qui a préféré ne pas laisser son nom. Il venait d’être témoin d’un avortement dans le cadre de sa formation. Profondément troublé, il a voulu en parler à quelqu’un. Il était hanté par ce qu’il avait vu.
L’étudiant commence en disant qu’il était fermement dans le camp pro-choix avant d’assister à cet avortement :
« Pour commencer, je dois dire que jusqu’à hier, vendredi le 2 juillet 2004, j’étais fermement pro-choix. Je suis un étudiant en médecine et, étant très scientifique, j’avais compris que la masse de cellules qui forme le corps du fœtus n’est généralement pas en mesure de survivre avant d’avoir passé le stade de vingt-quatre semaines dans l’utérus. Je suis aussi quelque peu libéral et je croyais que toutes les femmes devaient avoir le droit de choisir de ce qu’elles faisaient avec leurs corps et avec le corps de celui qui pourrait potentiellement grandir à l’intérieur d’elles ».
L’étudiant avait entendu les slogans utilisés par les mouvements pro-choix. Il les a pris au pied de la lettre, croyant que le bébé à naître était « une masse de cellules » et non pas un être humain à part entière. Il a estimé qu’une femme « avait le droit de contrôler son corps » et n’a pas éprouvé d’empathie pour le minuscule bébé à l’intérieur d’elle. Il n’a pas cru en l’humanité de l’enfant ou en son droit à la vie.
Alors, il a saisi l’opportunité d’assister à un avortement. À cause de ses croyances pro-choix, il ne s’attendait pas à être dérangé par quoi que ce soit dans ce qu’il verrait :
« Cet été, j’ai été accepté dans un programme pré-médical à New-York, programme dans lequel on nous permettait de suivre les docteurs et de les observer pratiquer toutes sortes d’actes médicaux. Quand l’opportunité de voir un avortement s’est présentée, je n’ai pas hésité une seule seconde avant d’accepter l’offre. C’était un acte nouveau, précis, et excitant auquel je n’avais jamais assisté ».
Il décrit alors avec exactitude ce dont il a été témoin dans la salle d’opération :
« Quand je suis entré dans la salle, j’ai remarqué qu’elle était semblable à toutes les autres salles dans lesquelles j’avais déjà travaillé. Sur la table devant moi, j’ai vu une femme avec les jambes dans les airs, comme si elle était en train d’accoucher, bien qu’elle fût endormie. À côté d’elle, il y avait un plateau d’instruments pour l’avortement et une machine pour aspirer les tissus fœtaux de l’utérus. Les docteurs ont enfilé leurs habits et mis leurs masques, puis la procédure a commencé. Le col de l’utérus a été tenu ouvert avec un instrument métallique brut et un grand tube transparent a été inséré à l’intérieur de la femme. En quelques secondes, le moteur de la machine a démarré, et du sang, des tissus et des petits organes ont été aspirés et retirés de leur environnement. Une minute plus tard, l’aspirateur s’est arrêté. Le tube a été retiré. Collés au bout se trouvaient un petit corps et une tête à peine rattachée puisque le cou avait été broyé. Les côtes étaient formées et il y avait une mince couche de peau pour les couvrir, les yeux s’étaient formés et les organes internes avaient commencé à fonctionner. Le cœur minuscule du fœtus, de toute évidence un petit garçon, venait de s’arrêter à tout jamais. Le filtre de l’aspirateur a été ouvert, et les bras et jambes minuscules qui ont été déchirées du fœtus s’y trouvaient. Les doigts et les orteils commençaient à avoir des ongles. Les docteurs, fiers de leur travail, ont rassemblé les différentes parties du corps pour me les montrer. Les larmes me sont montées aux yeux lorsqu’ils ont enlevé le petit bébé de la table et jeté son corps dans un contenant pour déchets biologiques ».
Puisque cet avortement a été effectué par succion, le bébé doit avoir été d’au moins treize à quatorze semaines, mais il était quand même assez âgé pour que son humanité soit évidente.
Les avortements effectués lors du deuxième trimestre sont généralement faits par dilatation et évacuation, une procédure dans laquelle des forceps sont utilisés pour déchirer et broyer le bébé plutôt que l’aspirer.
L’étudiant était hanté par ce qu’il avait vu :
« Depuis hier à 10:30, je n’ai pas réussi à penser à autre chose qu’à ce que ce petit bébé garçon aurait pu devenir. Je ne pense pas que les gens réalisent ce qu’est un avortement avant d’en voir un pour de vrai. J’ai été torturé par ces images – tellement vraies et vives – pendant deux jours maintenant…. Et je n’étais qu’un spectateur.
Jamais plus je ne serai pro-choix, et jamais plus je supporterai le meurtre d’êtres humains, peu importe le stade de vie auquel ils sont rendus. »
Contrairement à la grande majorité des avortements, la mort de ce bébé a été pleurée. Quelqu’un a senti la tristesse et l’horreur rattachées à son décès. Chaque jour, des milliers de bébés comme lui sont aspirés hors de l’utérus de leurs mères. Ils sont rejetés par leurs mères et vus comme des déchets par leurs tueurs. La société permet à ces bébés de mourir silencieusement, sans reconnaissance ou compréhension de leur humanité. Ce petit garçon n’aura jamais de nom. Il ne respirera jamais une bonne bouffée d’air, n’aura jamais de petit chien de compagnie, ne regardera jamais un coucher de soleil, n’ira jamais se promener à bicyclette… Il n’éprouvera jamais toutes ces choses que vous et moi prenons pour acquises. Mais peut-être que ce bébé n’est pas mort complètement en vain. Sa mort tragique a révélé la vérité à ce jeune homme. Et vous aussi, lecteurs, connaissez maintenant les circonstances terribles entourant la mort de ce bébé.
Peut-être que l’histoire de ce malheureux enfant peut vous motiver à devenir plus actif dans le mouvement pro-vie. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire, même à partir de votre ordinateur. Partagez cet article sur Facebook. Soumettez votre adresse courriel pour recevoir régulièrement des nouvelles des groupes pro-vie. Faites des dons d’argent pour des organisations pro-vie ou pour des centres d’aide pour femmes enceintes et en détresse – tous les dons sont bienvenus. Envisagez d’aller à une clinique d’avortement pour essayer de parler aux femmes qui y entrent (avec respect et gentillesse). Votez pour des partis pro-vie. Parlez à vos proches des horreurs de l’avortement, partagez-leur cet article ou d’autres. Soyez patients et compréhensifs, soyez gentils, soyez respectueux, mais par dessus tout, soyez actifs. Faites quelque chose.
ALTERMEDIA FRANCE - BELGIQUE
Communiqué de Bruno Gollnisch
Député européen et membre du bureau politique du Front National
Il y a deux semaines, « Le Petit Journal » de Canal + diffusait frauduleusement une de mes correspondances privées. Ce 1er mai, une autre équipe de ce programme a cherché autour de moi pendant près d’une heure à capter tout aussi frauduleusement et à notre insu nos conversations privées à l’aide d’un micro-perche.
La loi, les directives très précises du CSA, et la morale la plus élémentaire prohibent ces procédés. Je réponds toujours courtoisement aux micros des journalistes qui m’interrogent. En revanche, je détruis les micros des espions. À bon entendeur….
Le tribunal administratif de Rennes a donné raison à la Libre pensée et s’est prononcé en faveur du retrait de la croix de la statue de Jean-Paul II sur le domaine public de Ploermel (Morbihan).
Saisi par la fédération de la Libre pensée morbihanaise le 26 mars dernier, il vient de rendre son jugement en délibéré. Il confirme le caractère illégal de son implantation en 2006 dans le centre-ville de Ploërmel.
L’association demandait le déplacement de la statue pour être en accord avec la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État. Le rapporteur public avait proposé d’enlever la croix et l’arche, «symboles ostentatoires de la religion». Le tribunal administratif a suivi sa proposition. [...]
«Le tribunal s’est prononcé en faveur de la suppression de la croix», confirme Patrick Le Diffon, le maire de Ploërmel qui note qu’elle fait partie de l’œuvre. «Si on enlève la croix, c’est l’auteur qui peut nous attaquer…»
Œuvre de l’artiste russe Zourab Tsereli, la statue est protégée par la loi sur la propriété intellectuelle et son auteur a fait savoir à l’ancien maire de Ploërmel, Paul Anselin, qu’il s’opposerait à toute modification de l’ensemble. [...]
Merci à Stormisbrewing
Des heurts ont éclaté vendredi soir, dans le centre de Jérusalem, entre plusieurs centaines de Juifs d’origine éthiopienne et la police israélienne. Les manifestants étaient venus protester contre le récent passage à tabac d’un soldat issu de leur communauté, et dénoncer les discriminations dont ils s’estiment victimes.
Cette confrontation sans précédent intervient après la diffusion d’une vidéo filmée dimanche par une caméra de vidéosurveillance dans une rue de Holon, une localité située au sud de Tel Aviv. A l’image, un jeune soldat d’origine éthiopienne, Damas Pakedeh, est pris à partie par un policier qui lui demande de s’éloigner avant de le rouer de coups, visiblement exaspéré par sa réticence à obtempérer.
La foule en colère, qui tentait d’approcher la résidence du premier ministre, a jeté des pierres et des bouteilles en direction des forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes et assourdissantes. La manifestation, qui avait débuté dans l’après-midi, a paralysé le centre-ville jusque tard dans la soirée.
Merci à fran95_5
LE SCAN POLITIQUE - Souhaitant faire oublier la brouille avec son père, la présidente du FN a livré un message d'espoir à l'attention de ses sympathisants.
Un premier mai maudit pour Marine Le Pen? La démonstration de force à laquelle souhaitait se livrer la présidente du FN pour son traditionnel défilé n'avait pas débuté sous les meilleurs auspices, entre les bravades de Jean-Marie Le Pen et l'irruption à deux reprises de militantes Femen. Lesquelles l'ont notamment interrompue alors qu'elle débutait son discours, place de l'Opéra. Un temps décontenancée, Marine Le Pen a ensuite retrouvé le fil de son discours, et tenté de délivrer un message d'espoir à ses militants en se projetant dans le combat présidentiel de 2017.
«L'heure va être à l'action et nous devons nous y préparer. A l'aveuglement et l'inertie se substitueront le courage et l'action», a déclaré Marine Le Pen à la tribune, devant un grand panneau frappé du slogan «la France fait front». «Ne soyez pas anxieux ou abattus, soyez juste impatients. Les forces qui montent sont irrésistibles, comme un instinct de survie», a encore lancé la présidente du FN. «Des obstacles se dresseront devant nous, la bataille politique sera âpre, rien ne nous sera épargné, c'est une certitude. Mais nous triompherons de tout cela et, de ces batailles, naîtra une Nation libre, fière, confiante, où il fera à nouveau bon vivre!». «La France sera sauvée par une enfant du peuple», a-t-elle ajouté.
Un message optimiste qui a succédé à un diagnostic très sombre sur la situation politico-économique du pays. «Immigration, dette, déficit, mondialisation sauvage, politique pénale, impôts, école, santé... La France est hors contrôle», a lâché Marine Le Pen au début de son discours. À qui la faute? A «l'eurodictature», d'abord, qui provoque selon elle chômage et austérité. «Le trou noir de l'UE avale tout. Rien ne s'arrange, tout empire. Il faut rompre avec l'Union européenne, il faut retrouver notre souveraineté», a exigé la patronne du FN.
Au «système» de la «caste des politiciens», ensuite. «Il se braque, se raidit, il va plus loin encore dans ce saccage délirant, dans la division des Français, dans l'oubli de la France. Il ne travaille plus qu'à sa propre survie, au risque de mettre fin à la France», accuse-t-elle. La dénonciation d'une «UMPS» personnifiée par Nicolas Sarkozy et François Hollande, que Marine Le Pen attaque avec un même degré de violence. Leur principal tort, selon la présidente du FN? Avoir laissé «une immigration massive s'installer alors qu'il n'était plus possible d'assimiler des immigrés en si grand nombre». «Ils ont inculqué aux enfants de l'immigration la haine de la France, le mépris de ses valeurs et de son histoire. Ils ont laissé s'installer l'idée que les lois de la République étaient optionnelles, négociables, nos valeurs discutables», a-t-elle accusé.
Autres cibles de Marine Le Pen: Manuel Valls, un «opportuniste qui profite de la menace islamiste pour faire passer ses lois liberticides», ou encore Najat Vallaud-Belkacem et sa «funeste réforme» du collège, qui «est à l'éducation ce que BHL est à la philosophie».
Sous les cris de «Marine présidente» et «on est chez nous», la présidente du FN a voulu à nouveau démontrer la dynamique de son parti. «Nous avions raison sur tout: cela relativise la violence des attaques dont nous sommes l'objet», a-t-elle dit. En guise de préambule, Marine Le Pen a livré un hommage à Jeanne d'Arc. «Elle n'avait pas attendu l'égalitarisme des sexes pour monter à cheval et manier l'épée. (...) Jeanne d'Arc n'avait pas espéré la parité pour commander aux hommes et prendre la direction d'une armée. (...) A l'instar de Jeanne, nombreuses sont les femmes illustres qui ont marqué le roman national de leur empreinte.»
LE FIGARO
01/05/2015 – TOULOUSE (NOVOpress)
Dans la ville de Toulouse, les musulmans veulent construire une école islamique et ont fait un appel aux dons à cette intention. Leur but est que les élèves, une fois la classe de troisième terminée dans leur collège musulman, intègrent le futur lycée islamique plutôt que de suivre des cours à domicile ou d’intégrer un lycée public classique.
220 000 euros ont déjà été récoltés sur le million d’euros nécessaire à ce lycée confessionnel musulman qui a pour nom de code “Groupe scolaire ALIF”.
Malgré la multiplication de ces initiatives communautaires, beaucoup vont encore vouloir nous faire croire que l’islamisation de la France est une simple rumeur.
Crédit photo : capture d’écran de la présentation du Groupe scolaire ALIF
01/05/2015 — FRANCE (NOVOpress)
Quelques incidents mineurs ont émaillé le défilé du premier mai du Front National
Le temps est maussade en ce premier mai, ce qui n’a empêché ni l’habituel défilé du Front National, ni le discours de sa présidente, Marine Le Pen… ni quelques tensions.
Tensions entre la présidente et le président d’honneur, Jean-Marie Le Pen. Ce dernier n’a pas défilé en compagnie de sa fille et est monté brièvement sur la tribune pour se faire acclamer par la foule des militants, s’éclipsant avant le discours de sa fille.
Les FEMEN se sont également invitées à deux reprises à la manifestation, une première fois au moment du dépôt de gerbe aux pieds de la statue, une seconde en surgissant d’un balcon pour interrompre le discours de Marine Le Pen. Dans les deux cas, les agitatrices ont rapidement été maîtrisées et évacuées. « Il y en a qui vont devoir aller se rhabiller », a ironisé la présidente du FN à l’arrivée du service d’ordre. « Cette recherche du buzz permanent me dégoûte, comme elle dégoûte les Français et je m’en extrais avec délectation et gravité » a-t-elle rajouté.
Les trois militantes Femen ayant interrompu le discours de Marine Le Pen, leur accompagnateur, ainsi que trois chargés de la sécurité du FN ont été entendus dans le cadre d’une audition libre et n’ont pas été placés en garde à vue.
Le discours de Marine Le Pen a été fortement axé sur les dangers que le communautarisme fait subir au pays, sur l’immigration ainsi que sur la responsabilité des partis dits « de gouvernement » (UMP / PS) et de l’Union Européenne dans la situation que nous subissons, appelant ses militants au courage dans le combat qui les attend.
crédit photo : G. Bouchet/Front national via WikiCommons (CC)
La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes libérales du gouvernement mexicain le 30 avril 1863 lors de l’expédition française au Mexique.
Le Récit de Camerone est lu devant les troupes dans chaque régiment de la Légion étrangère tous les 30 avril, jour anniversaire de la bataille, et fête de la Légion.
« L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut designée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.
Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.
Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.
Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.
À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.
Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.
L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »
« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.
« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.
Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.
L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.
En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :
« Ils furent ici moins de soixante
opposés à toute une armée,
sa masse les écrasa.
La vie plutôt que le courage
abandonna ces soldats Français
le 30 avril 1863.
à leur mémoire, la patrie éleva ce monument »Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »
Pour désengorger la ville de Calais (Pas-de-Calais), une quarantaine de demandeurs d’asile venus notamment d’Afrique de l’Est ont élu domicile à Pouilly-en-Auxois, un petit village de 1 600 habitants, en Côte-d’Or. Reportage.
Depuis bientôt trois mois, Pouilly-en-Auxois (Côte-d’Or) vit au rythme d’une cohabitation inédite. Depuis l’arrivée début février d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, les 1 600 habitants de ce petit village bourguignon oscillent entre craintes et bonnes surprises. Il faut imaginer le choc pour cette commune rurale, qui a vu débarquer d’un coup une vingtaine de migrants, venus s’installer en bordure du village. « Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai éclaté de rire », raconte une voisine, jeudi 23 avril. « Voir des migrants s’installer en pleine campagne, ce n’est pas banal », ajoute dans un sourire la jeune femme de 34 ans.
L’ancienne caserne de la gendarmerie, en bordure du village, accueille désormais 40 migrants. Imaginé par l’Etat pour désengorger la ville de Calais, ce nouveau foyer géré par la société Adoma peut accueillir jusqu’à 60 personnes. L’expérience est une première en la matière. Corinne Fournier, la responsable du centre, n’a pas d’autre exemple sur lequel s’appuyer pour favoriser l’intégration des demandeurs d’asile dans ce territoire rural : « Notre rôle est d’abord de leur apporter un accompagnement social et administratif. En trois mois, ils ont déjà récupéré une humanité, ils dorment, se lavent et se sentent en sécurité. » [...]
Sur la place du village, entre la boulangerie et le bureau de tabac, beaucoup d’habitants ne cachent pas leur hostilité. « Je ne suis pas raciste, mais, avant d’aider des gens à des milliers de kilomètres, la France ferait mieux de s’occuper de ses propres enfants qui crèvent dans la rue », s’énerve une habitante. « Ils ont des avantages que les Français n’ont pas, c’est une injustice criante. »
Les demandeurs d’asile touchent l’allocation temporaire d’attente, fixée à 11,45 euros par jour (soit un peu moins de 350 euros par mois). Et si les passants reconnaissent que les migrants du centre restent « tranquilles et discrets », beaucoup pointent du doigt ces aides sociales. « J’élève mon petit garçon malade avec 420 euros par mois, et eux, on leur donne tout… », proteste Céline, 31 ans, qui explique avoir voté Front national pour la première fois aux élections départementales. A Pouilly, le FN est arrivé en tête du premier et du second tour.
« La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde. » La phrase de Michel Rocard revient très souvent dans la bouche des habitants. Elle est aussi inscrite sur un tract du Parti de la France. Ce mouvement d’extrême droite et ses militants se sont invités à Pouilly, début avril. « Ils sont allés dans le centre Adoma pour coller des affiches et se sont mis à boire des bières devant le bâtiment », raconte Bernard Milloir, le maire du village, sans étiquette.
Les premières semaines, Bernard Milloir a reçu de nombreuses lettres pénibles à lire. Des insultes qui se sont multipliées après l’épisode des crêpes au château de Chailly, évoqué notamment par Le Bien public. Cet hôtel quatre étoiles a invité les migrants pour la fête de la Chandeleur. La réception et l’implication du maire, qui a accompagné les demandeurs d’asile en voiture, ont provoqué des remous.
Les paroles échangées vont parfois loin. « A leur arrivée des migrants, une personne âgée m’a demandé si je n’avais pas peur qu’ils violent ma fille… », raconte une commerçante. Plus récemment, les travailleurs du centre d’accueil ont eu la désagréable surprise de découvrir leurs pneus crevés.
« La bêtise vient d’une méconnaissance des migrants et de leur situation », veut croire un habitant. Si une partie de la population reste sur ses gardes, certains se sont fortement mobilisés pour accueillir les nouveaux résidents avec le concours des associations caritatives. Marylin, une mère de famille de 39 ans, porte un regard bienveillant sur leur arrivée : « Ça peut nous faire du bien, nous permettre de nous ouvrir un peu l’esprit. » Dans cette optique, Adoma a prévu vendredi 24 avril une soirée de rencontres avec les habitants pour laquelle chaque demandeur d’asile a préparé des plats de son pays.
Dans le foyer, seuls deux migrants comprennent bien le français. Pour améliorer la communication, les résidents suivent des cours dispensés par 23 bénévoles du centre social. Bernard Van Vlaenderen, un vétérinaire à la retraite, vient deux fois par semaine pour transmettre quelques bases à un groupe d’une dizaine de personnes.
« En France, on roule à droite, à droite. » Dans un mélange de français et d’anglais, Bernard fait un point sur la sécurité routière. Le centre vient de recevoir une donation de huit vélos et la responsable s’inquiète pour la sécurité des migrants.
Mercredi, le club de football de Pouilly a accueilli pour la première fois une douzaine de demandeurs d’asile lors de son entraînement. Un match amical a été organisé entre deux équipes mélangeant joueurs du club et migrants. « Ce soir, pendant au moins deux heures, vous faites partie du club de foot de Pouilly, tout le monde vous accueille les bras ouverts », lance Samuel Charreau, l’entraîneur, avant d’être traduit en arabe par l’un des migrants.
Le club de foot de Pouilly souhaite désormais leur proposer de revenir chaque semaine à l’entraînement et d’intégrer éventuellement l’équipe en septembre. « Avec un ballon, on parle tous la même langue, et j’espère que cette initiative permettra de changer un peu le regard des habitants », confie Samuel Charreau.
Des soldats tchadiens et de Guinée équatoriale sont également accusés par un rapport de l’ONU d’abus sexuels sur des enfants en Centrafrique, où des militaires français sont déjà mis en cause, selon une ONG jeudi. Il s’agit de trois soldats tchadiens et deux équato-guinéens, a précisé à l’AFP la codirectrice de l’ONG américaine AIDS-Free World, Paula Donovan, qui a consulté le rapport et l’a communiqué au journal britannique The Guardian.
(…) Le Point
L’immunité de cette fonctionnaire des Nations-Unies n’a pas été levée comme le réclamait le parquet de Paris. Mais elle a témoigné par écrit pour confirmer ses accusations.
(…) Nouvel Obs
Les faits se seraient produits entre décembre 2013 et juin 2014, à Bangui, la capitale de la République Centrafricaine. Dans un camp de réfugiés près de l’aéroport, où des milliers de personnes ont fui les combats. Au printemps 2014, l’ONU lance une enquête : des militaires français sont soupçonnés d’abus sexuel sur une dizaine d’enfants. Les faits sont tus, et l’ONU garde le silence sur l’affaire. Jusqu’à l’intervention d’une responsable humanitaire, qui a contacté le Guardian pour révéler le dossier au grand jour.