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  • La Russie entre en guerre contre l’État islamique

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    22/09/2015 – MONDE (NOVOpress)
    Des rapports concordants attestent du renforcement de la présence Russe en Syrie aux côtés de Bachar el-Assad. S’il est trop tôt pour parler d’engagement direct, il est certain que Poutine entend soutenir autant que possible le régime syrien face aux terroristes de l’État islamique.

    Les USA ont annoncé que la Russie avait envoyé des avions de chasse et d’attaque au sol en Syrie. Les derniers rapports font état de 28 appareils, une douzaine de bombardier SU-24 et une douzaine d’avions d’attaque au sol SU-25, ainsi que 4 chasseurs, basés sur un terrain d’aviation dans la province de Lattaquié, dans l’Ouest du pays, un fief de Bachar el-Assad. Un autre responsable américain, qui confirme ce chiffre de 28 avions, parle également de drones et d’hélicoptères russes, une vingtaine selon lui, des appareils voués au transport et au combat.

     

    Au delà des appareils de combat, la Russie serait en train de déployer en Syrie des hélicoptères de combat, d’artillerie ainsi que 500 hommes de l’infanterie de marine.
    Ces troupes seraient en cours de déploiement et feraient donc partie des célèbres unités de « la Mort Noire ». Les fusiliers marins russes sont des troupes de choc pouvant être rapidement déployées dans le but de s’emparer de points stratégiques avant d’être soutenues par des renforts conventionnels. Rien n’indique pour le moment leur déploiement offensif, leur mission étant pour l’instant orientée vers la défense des installations russes en Syrie. Cependant,

    Ils ont mis la capacité de faire des bombardements. Où, quand, et en appui de qui nous ne savons pas.

    a résumé l’un des responsables américains. « Ils ne vont pas se contenter de rester assis à défendre l’aéroport », a renchéri auprès de l’AFP l’analyste Jeffrey White, du Washington Institute for Near East Policy. « Avec ces avions, les Russes “peuvent aller frapper loin en Syrie, même en territoire tenu par l’EI ».

    Tout ceci se déroulerait pour le moment dans le cadre des engagements russes vis-à-vis du gouvernement syrien, aucun élément formel ne permettant pour le moment d’acter d’une implication directe de troupes russes contre Daesh, un point susceptible d’évoluer à tout instant.
    Dans un communiqué, le ministère russe des Affaires étrangères a appelé à des « actions concrètes » après la chute dimanche sur le territoire de la représentation diplomatique russe dans la capitale syrienne d’une roquette, qui n’a toutefois pas causé de dégâts.
    « La roquette a été tirée du quartier de Jobar, où sont retranchés les groupes hostiles au gouvernement syrien », a accusé Moscou. Estimant que ce bombardement avait constitué un « acte terroriste », la diplomatie russe a assuré attendre « une condamnation claire de la part de toute la communauté internationale, y compris des acteurs régionaux » et réclamé « des actes, pas seulement des paroles ».
    Cet incident pourrait donc être le déclencheur d’actions plus offensives des Russes vis-à-vis des terroristes islamistes de Daesh.

    Les deux grandes puissances se sont mis d’accord pour coordonner un minimum leurs actions militaires sur le terrain afin d’éviter tout tir « fratricide ».
    Le secrétaire américain à la Défense, Ash Carter, et le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou,

    sont convenus de poursuivre la discussion sur des mécanismes de désescalade du conflit en Syrie et sur la campagne contre l’État islamique.

    Des discussions similaires ont eu lieu lundi entre la Russie et Israël. La récente livraison par la Russie de matériel sophistiqué à l’armée syrienne, dont selon des sources régionales des missiles antiaériens, inquiète particulièrement Israël, qui a bombardé à plusieurs reprises la Syrie ces dernières années pour empêcher des livraisons d’armes au Hezbollah libanais ou riposter à des tirs de roquettes vers son territoire.

    D’un point de vue politique et stratégique, les divergences restent néanmoins profondes entre les États-Unis et la Russie. Les Américains refusent de soutenir Bachar el-Assad et estiment toujours qu’il faut « changer de régime » en Syrie, tandis que les Russes plaident pour une vaste coalition anti-État islamique, qui comprendrait les pays les plus directement impliqués, à savoir la Syrie et l’Irak.

     

     

  • La Russie vient de déclarer la guerre officiellement à l'État islamique

     

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    Par Papa Falco dans Accueil le 20 Septembre 2015 à 16:45

     

    La chaîne télévisée israélienne annonce à l'instant que la Russie vient de déclarer la guerre officiellement à l'État islamique, des navires de guerre, des avions de chasse et hélicoptères de combat vont arriver en Syrie dans les prochains jours afin de neutraliser définitivement et mettre hors d'état de nuire l’Etat islamique (EI) et les rebelles sur le territoire Syrien. - le Président Russe Vladimir Poutine s'est entretenu il y a quelques jours avec le Président Syrien Bachar al-Assad afin de définir les modalités ainsi que les positions essentielles cartographiées, de façon à en finir rapidement avec cette situation que le Président Russe qualifie de dramatique sur un plan général et humanitaire

     

     

  • Face aux migrants, les Verts allemands perdent leur idéalisme

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    19h17
     

    “L’idéalisme envers les réfugiés, c’était hier”, titre le quotidien allemand de gauche. Sous la photo d’un bénévole guidant sur l’île grecque de Lesbos l’arrivée d’un canot de migrants sur la côte, Die Tageszeitung écrit : “Etant donné l’afflux massif de réfugiés, la société allemande arrive à sa limite maximale d’accueil.”

    Par cette déclaration, reprise par le quotidien, le maire de Tübingen, Boris Palmer (Verts), plaide pour que davantage de pays soient déclarés comme “pays sûrs” et pour plus de reconduites aux frontières. Dans l’entretien qui suit, Palmer annonce que les Verts, parti qui se veut historiquement un défenseur des hommes en souffrance, vont devoir adopter une “vision pragmatique”. (…)

    Source

  • Scandale à l’ONU : l’Arabie Saoudite à la tête du Panel du Conseil des droits de l’Homme !

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    21/09/2015 – MONDE (NOVOpress)
    Certes, nous n’en sommes plus à une absurdité près dans l’enceinte du mondialisme heureux, mais la nomination de l’Arabie saoudite à la tête du panel du Conseil des droits de l’Homme dépasse tout ce qu’on pouvait imaginer.

    Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite au Conseil des droits de l’homme, a été officialisé ce lundi à la tête de son « panel ». Il s’agit d’un organe dont la fonction est de nommer les cinq hauts fonctionnaires qui édictent les standards internationaux, de choisir les personnes qui vont occuper plus de 77 postes relatifs à la défense des droits de l’homme dans différentes régions du monde et d’informer sur les violations perpétrées en matière de droits de l’Homme.

    Bref, c’est un poste clef pour déterminer ce qui, selon l’ONU, constitue ou non une violation des droits de l’homme.
    Forcément, nommer l’Arabie Saoudite à la tête de cette structure fait scandale.

    Le pays est célèbre pour ses décapitations en série – le pays a dû lancer une campagne de recrutement de bourreaux pour faire face aux cadences infernales —, ses châtiments corporels et ses mutilations légales, la femme n’y a même pas un statut de citoyen de seconde zone et les opposants subissent l’arbitraire le plus total.

    Quant à la liberté religieuse, comment dire… qu’il suffise de rappeler que les armées des alliés américains, venus supposément sauver la pétromonarchie des griffes irakiennes en 1991, avaient interdiction d’arborer des croix rouges sur leurs ambulances et brassards d’infirmier.

    Il est scandaleux que l’ONU ait choisi un pays qui a exécuté plus de gens que Daesh cette année pour présider le panel du Conseil des droits de l’Homme.

    a déclaré le directeur exécutif de l’ONG UN Watch Hillel Neuer, ajoutant

    « L’Arabie Saoudite détient les plus mauvais records du monde en matière de liberté religieuse, de droits des femmes, et continue à emprisonner des innocents comme le blogueur Raif Badawi.

    Ce dernier a été condamné à 1 000 coups de fouet pour « insulte à l’islam » et incarcéré en prison depuis 2010. Sa peine, -50 coups de fouet hebdomadaires — a été suspendue depuis plusieurs mois, grâce à la pression de la communauté internationale, mais plus longtemps, selon sa femme, réfugiée au Canada. Selon elle, Riyad a désormais « le feu vert pour flageller à nouveau son mari ».

    Autre exemple de l’application des droits de l’homme dans ce beau pays, Ali Mohammed al-Nimr, 20 ans, qui va être décapité et dont le corps sera attaché à une croix jusqu’à pourrissement parce qu’il ferait partie d’une organisation terroriste.
    On voit par là la grande crédibilité de l’ONU et la totale indépendance de ses membres, notamment Occidentaux vis-à-vis des intérêts économiques et commerciaux dépendants d’une alliance avec la pétromonarchie.

    le pétrole, les dollars et la politique nuisent aux droits de l’homme.

    Selon l’ONG UN Watch. Comme le dirait Alexandre Vialatte avec ironie « et c’est ainsi qu’Allah est grand ».

    Crédit photo : Capture d’écran Twitter

     

  • «Nous venons en paix»: Hygiène, écologie et gâchis chez les «migrants»…

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    21/09/2015 – MONDE (NOVOpress)
    «Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, levons quelques malentendus sur l’hygiène et l’écologie chez les migrants.

    Si nos chers « réfugiés », démunis de tout et crevant de faim, selon le portrait généralement admis, laissent derrière eux des monceaux d’ordures, ce ne serait pas par négligence ou parce qu’en réalité ils ne sont pas si démunis que cela : peu au fait de nos coutumes de tri sélectif et très timides, ils en savent tout simplement pas où jeter leur déchets. Et dans les trains qui les emmènent vers la “terre promise” allemande ou autre, ils ne veulent pas salir les jolies cuvettes et les jolies poubelles. Mais ne nous inquiétons pas : avec l’aide des officines anti-racistes appelant à leur installation en Europe, nul doute que les nouveaux venus voteront “écolo” aux prochaines élections et sauront utiliser le bac jaune, le bac vert et la cuvette des toilettes…

     

     

     

     

  • Entretien avec Robert Ménard: « Toutes ces attaques me confortent dans mon devoir de ne pas changer de cap »

     

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    Deux députés socialistes ont annoncé leur intention de saisir le président de la République pour demander votre révocation. Votre réaction ?

    Je les trouve un peu mous en ce moment. S’ils veulent être dignes des « grands ancêtres », Fouquier-Tinville, l’homme de la Terreur de 1793 ou Beria, le ministre de l’Intérieur de Staline, ils devraient demander qu’on me déchoie de mes droits civiques, qu’on m’envoie en rééducation dans un camp aux îles Kerguelen. A minima, mon arrestation par le RAID. Juste ma révocation, c’est léger.

    Il semble que ce manque de vigueur entraîne une faible mobilisation. Seulement 3.000 signatures à leur pétition. Alors que la vidéo qu’ils me reprochent a été vue, elle, tous hébergeurs confondus, par plus de 500.000 personnes ! Bref : peut mieux faire.

    Cela étant, de quoi m’accusent-ils ? D’être dans l’illégalité ? Balivernes ! Un maire a parfaitement le droit d’aller avec la police municipale dans un immeuble et de dire à des squatteurs sa façon de penser. Sur ce point comme dans tant d’autres affaires, on assiste à une inversion radicale des faits et de leur présentation. Est-il normal que des gens entrés en France illégalement, entrés dans des appartements illégalement, bénéficiant illégalement de l’eau et de l’électricité, voient cette situation légalisée ou en cours de légalisation par le président de l’OPHLM, par ailleurs président de la communauté d’agglomération, et par l’État ?

    Ce n’est pas la première fois que l’on réclame pareille sanction à votre égard.

    Et sans doute pas la dernière. Pour une raison très simple : ces députés socialistes, inconnus du grand public national, se payent grâce à moi un peu de notoriété. Ils sont parmi les premiers à m’accuser de vouloir faire le buzz, mais ils en veulent leur part.

    Cela étant, leur démarche obéit à un autre but que celui de faire parler d’eux. Ils veulent criminaliser mon action, comme d’ailleurs celle de tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Ils savent que leur demande de révocation sera vaine, cette fois comme les précédentes. Mais, ce faisant, ils déplacent le débat. D’un sujet politique, propre à l’espace public, ils veulent faire un dossier judiciaire. Pour faire simple : avec eux, toute opinion non conforme n’est plus une opinion mais un délit.

    Derrière leurs masques d’élus en costume-cravate, il ne faut pas se tromper : ces gens ne sont ni des démocrates ni des républicains. Ils veulent faire peur à toute vraie opposition. L’avis de la majorité du peuple, ils s’en fichent ! Ce sont des hommes de guerre civile.

    Par ailleurs, Télérama et d’autres s’insurgent contre le fait que vous soyez invité sur des plateaux de télé : vous en êtes choqué ? 

    Je le prends comme un hommage. C’est qu’ils me jugent pas trop mauvais et que ça les dérange. Après, choqué… Ils sont tellement prévisibles. Ils se ressemblent tellement, tous, avec leurs préjugés qui nourrissent leur mépris. Demander une telle interdiction, c’est une défaite de la pensée.

    Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve vous a personnellement attaqué hier au Sénat. Toujours à propos de la vidéo de votre visite aux réfugiés syriens, il a parlé de « comportement abject ». Une réponse ?

    Cette attaque confirme tout ce que je viens de vous dire. Bernard Cazeneuve, impuissant notoire pour ce qui est des actes contre la délinquance, condamne verbalement un élu qui lui reproche de ne pas faire son travail de ministre de l’Intérieur. Il a de la chance, beaucoup de chance, que les Français ignorent à quel point l’État est démissionnaire face à la délinquance. Le journal municipal aura l’occasion, bientôt, de mettre M. Cazeneuve face à ses responsabilités pour ce qui est de Béziers. Quant on connaît la réalité et qu’on voit le ministre parader sous les ors du Sénat, on pourrait à bon droit être partagé entre la colère et le dégoût. Pour ma part, cela me fixe le devoir de ne pas changer de cap.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Nicolas Bay sur France Culture

    A partir de 07’15 :
    Nicolas Bay, Secrétaire Général du Front National, était l’invité de France Culture

  • Marine Le Pen invitée des 4 Vérités

  • Frontière hongroise : les pouvoirs de l’armée et de la police renforcés, l’Union européenne vexée

     

    La Hongrie, partisane d’une ligne dure contre les migrants, vient d’autoriser dans certaines conditions l’armée et la police à ouvrir le feu.

    Le parlement hongrois a adopté ce lundi une nouvelle législation renforçant encore les pouvoirs de la police et de l’armée à l’encontre des migrants, qui transitent par milliers par le pays.

    La nouvelle loi, adoptée à la majorité qualifiée des deux tiers, autorise dans certaines conditions l’armée et la police à ouvrir le feu dans le cadre de la protection des frontières. Le dispositif, qui complète une législation entrée en vigueur le 15 septembre, permet également la perquisition de domiciles privés où des migrants sont soupçonnés de se trouver.

    Plus tôt dans la journée, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a estimé devant le parlement que l’Europe était « submergée » par les migrants, un « danger », selon lui, pour le continent et son « mode de vie ».

    Lire la suite de l’article sur lesechos.fr

     

    La Hongrie mise hors-jeu

    La Hongrie sera exclue de la liste des pays dits bénéficiaires de la répartition de 120.000 réfugiés dans l’UE, sur laquelle se poursuivaient lundi de difficiles tractations entre États membres, a indiqué lundi une source à la présidence luxembourgeoise du Conseil de l’UE.

    Le mot « obligatoire », formellement refusé par plusieurs pays de l’Est, ne devrait par ailleurs pas être accolé à la désignation de ce mécanisme, dans le texte qui sortira de ces négociations censées aboutir mardi, lors d’une réunion des ministres de l’Intérieur de l’UE à Bruxelles, a par ailleurs laissé entendre la présidence.

    « Il est acquis que la Hongrie n’apparaîtra pas dans le texte comme pays bénéficiaire » du mécanisme de répartition, a précisé une source de la présidence luxembourgeoise interrogée par l’AFP.

    La Commission européenne avait proposé que la Hongrie figure parmi les bénéficiaires, au même titre que l’Italie et la Grèce. Elle souhaitait ainsi que 54.000 personnes se trouvant en Hongrie soient réparties dans les autres pays membres de l’UE.

    Un total de 15.600 demandeurs d’asile devaient par ailleurs venir d’Italie et 50.400 de Grèce, pour arriver au total de 120.000 réfugiés à répartir selon des quotas fixés par la Commission, à partir de « hotspots », des centres d’accueil et d’enregistrement installés dans les trois pays.

    Source : 7sur7.be

  • Le plan anti-migrants idéal !

     

    Les réfugiés boudent une France déprimante

     

    Les réfugiés qui traversent la Méditerranée rêvent d’Allemagne, de Suède ou du Royaume-Uni mais ne veulent pas venir en France, rebutés par le chômage, la bureaucratie et les squats insalubres.

    La France, « c’est bien pour visiter, mais pas pour l’emploi », lance Abdulrahman Alshehagi, un Syrien de 26 ans croisé dans une gare de Suède, pour expliquer pourquoi il n’envisage pas d’y mettre les pieds. Outre le taux de chômage qui dépasse les 10%, les demandeurs d’asile n’ont pas le droit de travailler pendant l’examen de leur dossier et – c’est le second grief des exilés – il faut en moyenne neuf mois aujourd’hui pour obtenir l’asile en France.

    « La France, c’est pas bon pour mon futur, en plus ça n’a pas la réputation de donner facilement un permis de séjour », explique ainsi Edward un Irakien de 24 ans, qui attend à Stockholm un bateau pour la Finlande. Autre difficulté : l’hébergement. Seuls un tiers des demandeurs d’asile sont logés dans des structures dédiées et il n’existe quasiment rien pour ceux qui décrochent le titre de réfugiés. En conséquence, de nombreux migrants se retrouvent dans des squats insalubres ou à la rue. Or, les exilés « échangent leurs expériences sur Facebook ou Whatsapp », souligne Sabreen Al-Rassace de l’association Revivre qui assiste les exilés syriens. « Pour eux, la France n’est pas un bon pays pour l’accueil ».

    Conséquence : la France n’attend qu’environ 65 000 nouvelles demandes d’asile cette année, comme en 2014, alors que les dossiers s’accumulent en Allemagne, qui prévoit d’accueillir près d’un million de réfugiés. Pour soulager son voisin, le président François Hollande a proposé, il y a deux semaines, d’aller chercher un millier de Syriens et Irakiens arrivés à Munich pour les réinstaller en France. Des agents français sont allés sur place, mais ils n’ont réussi à convaincre que 600 personnes de monter dans des bus pour la région parisienne.

    Parmi eux, Sabah, 38 ans, une professeur d’anglais venue de l’est de la Syrie. « Ils nous ont promis trois choses : de nous donner facilement des papiers, que nos familles pourront nous rejoindre et un droit de séjour de dix ans », énumère-t-elle dans un monastère, à l’ouest de Paris, où elle est désormais logée.

     Mauvaise santé

    Non loin d’elle, Ahmad, 29 ans, raconte qu’il a longtemps « hésité » avant de changer de cap. « Nous avions entendu dire que la France ne voulait pas prendre les réfugiés. D’autres Syriens ont rencontré des difficultés ici et ils m’ont dit qu’il faudrait beaucoup de temps avant que ma famille n’ait des papiers ». Pas totalement sûr de son choix, cet homme originaire de Damas, qui a laissé sa femme et ses deux enfants derrière lui, assure qu’il repartira en Allemagne « si les choses ne se passent pas bien ».

     

    Lire la suite de l’article sur dna.fr

  • Allemagne : à 91 ans, une télégraphiste d'Auschwitz devant la justice des mineurs

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/allemagne-a-91-ans-une-telegraphiste-d-auschwitz-devant-la-justice-des-mineurs-21-09-2015-5113989.php

  • Les islamistes dévoilent leur stratégie de conquête de l’Europe par le biais de l’immigration massive

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    Prêche dans la célèbre mosquée de Jérusalem Al-Aqsa. Le Sheikh Mohammed Ayed, imam très connu dans le monde musulman, a prononcé un prêche dans lequel il indique clairement la volonté des islamistes de conquérir l’Europe par le biais de l’immigration massive.

    Son discours a été prononcé dans la célèbre mosquée al-Aqsa à Jérusalem, considérée comme l’un des lieux saints de l’islam , le 11 septembre dernier, date hautement symbolique.

    Ayed affirme sans complexes que le but des musulmans est « d’écraser sous leur botte »  les « infidèles » en Europe.

    « Les mécréants veulent nous tourmenter et nous humilier. Le Coran dit « les Juifs et les chrétiens ne seront jamais contents de vous » Mais nous ne suivrons jamais leur religion. Cette obscure nuit passera bientôt. Nous les écraserons sous notre botte, comme Allah le veut ! »

    Ayed explique ensuite que les pays européens accueillent le flot de migrants musulmans non pas pour des raisons humanitaires, mais pour répondre à leurs besoins de main d’œuvre, compte tenu de la situation démographique catastrophique en Europe de l’Ouest.

    « L’Allemagne ne cherche pas à accueillir les réfugiés syriens et iraquiens par compassion. L’Europe est devenue vieille et décadente. L’Europe a besoin de renforts humains. L’Allemagne a besoin de dizaines de milliers de travailleurs pour faire tourner ses usines ».

    Et le célèbre prédicateur termine par une vision de conquête musulmane :

    « Ils souhaitent que nous mourrions. Mais ils ont perdu leur fertilité. Ils cherchent donc la fertilité auprès des musulmans. Oui, nous allons leur donner la fertilité ! Nous allons nous multiplier parce que nous allons conquérir leurs pays ! Que cela vous plaise ou pas, Allemands, Américains, Français, Italiens, et tous les autres comme vous ! Accueillez les réfugiés ! Bientôt nous allons les rassembler au nom du Califat qui est en train de venir »

    NDF

  • Diana Johnstone : «La campagne américaine de dénigrement de la France semble avoir terrifié Paris»

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    Source: Reuters
    Le président français François Hollande et la secrétaire d'Etat américain Hillary Clinton
     

    Universitaire, journaliste et écrivaine américaine Diana Johnstone vient de publier le livre Hillary Clinton : la reine du chaos. RT France s’est entretenu avec l’auteur au sujet du dossier syrien et le rôle que peuvent y jouer la Russie et les USA.

    RT France : Dans votre livre, vous étudiez plusieurs interventions américaines dont les guerres en Irak et en Libye. A quel point le scénario syrien ressemble-t-il aux autres guerres menées par les Etats-Unis ?

    Diana Johnstone : Depuis la guerre du Kosovo contre la Serbie en 1999, on voit des variations du même scénario : en Irak, en Libye et maintenant en Syrie. Sous un prétexte ou un autre, les faiseurs d’opinion occidentaux proclament un état d’urgence dans le pays ciblé, dû aux agissements d’un «dictateur» qui «doit partir». En Syrie, comme en Libye et au Kosovo, l’OTAN soutient militairement un groupe de rebelles sans trop se préoccuper de ses antécédents criminels ou de ses objectifs réels, en présentant ses membres comme des «victimes» qui souhaitent installer «la démocratie». Après des bombardements humanitaires, le pays ainsi «sauvé» sombre dans le chaos.

    RT France : Est-ce une guerre gagnée pour les Etats-Unis ?

    D.J. : La caractéristique principale de ces guerres menées par les Etats-Unis est qu’elles ne sont ni gagnées ni perdues, dans le sens que l’on atteint jamais «la démocratie» proclamée comme objectif. On casse une société, produisant un désordre ingérable dont l’un des résultats est de provoquer des flots de réfugiés qui déferlent aujourd’hui sur l’Europe. C’est vrai, même pour la première guerre de la série. Sait-on que le deuxième plus grand nombre de demandeurs d’asile en Europe depuis des mois sont les Albanais du Kosovo, qui fuient leur pays «libéré» par l’OTAN ?

    RT France : Quel est donc l’objectif de ces guerres ?

    D.J. : Le véritable objectif de ces guerres n’est que négatif. Il ne s’agit pas de créer des démocraties et de défendre les droits de l’homme, mais de détruire un pays qui ne correspondrait pas aux impératifs de l’hégémonie américaine.

    En 2003, la France a eu le courage, applaudie par la plupart des pays du monde, de refuser la guerre américaine qui a détruit l’Irak, guerre qui a fait le lit du soi-disant «Etat Islamique». Malheureusement, la campagne américaine de dénigrement de la France semble avoir terrifié Paris et incité les dirigeants qui ont succédé à Chirac à rentrer dans le rang.  

    RT France : Le désaccord entre la Russie et les Etats-Unis sur le dossier syrien dure depuis déjà plus de trois ans. Pourquoi est-ce que la position russe de soutenir el-Assad au nom de la lutte contre l’EI n’est pas prise en considération par l’Occident ? Est-ce que les Etats-Unis et la Russie peuvent trouver à un consensus ?

    D.J. : L’accord sur les armes chimiques syriennes a donné la preuve que la coopération entre les Etats-Unis et la Russie pourrait bien fonctionner, et qu’elle pourrait être la base d’un accord pour sauver la Syrie du chaos qui la détruit. C’est pour cela que le «Parti de la Guerre» à Washington a tout de suite mis le paquet pour diaboliser Vladimir Poutine et bloquer le chemin de la paix. Si j’ai écrit un livre sur Hillary Clinton, c’est parce qu’elle est la candidate préférée de ce Parti de la Guerre qui traverse les partis politiques Démocrate et Républicain et qui dirige en coulisses la politique étrangère américaine. Là où le Président Obama hésite parfois, Hillary Clinton se montre empressée, par exemple pour armer les rebelles syriens soi-disant «modérés» contre el-Assad. Aux Etats-Unis, on commence à reconnaître à quel point cette femme est dangereuse, mais en France, on ne le comprend pas du tout. Mon livre l’explique.

    RT France : Vous avez également écrit que les Etats-Unis exploitent la nostalgie anti-communiste et antirusse présentant Vladimir Poutine comme la «dernière incarnation du mal». Est-ce que cela fonctionne toujours ?

    D.J. : C’est moins une nostalgie qu’une habitude. On voit maintenant que le communisme a largement servi de prétexte pour être hostile à Moscou durant la Guerre froide. Le complexe militaro-industriel, dont je décris le rôle fondamental, a besoin d’ennemis pour se justifier. Il ne suffit pas de détruire de temps à autre un petit pays, il faut un adversaire de taille pour justifier les budgets faramineux du Pentagone. Puis, il y a l’objectif stratégique défini par Zbigniew Brzezinski, de tenir séparées la Russie et l’Europe occidentale, pour mieux dominer les deux.

    RT France : Est-ce que cela profite aux Etats-Unis ?

    D.J. : Demander si cela profite aux Etats-Unis suppose que la politique étrangère soit plus rationnelle qu’elle ne l’est. Regardez un peu le Congrès des Etats-Unis, où l’ignorance le dispute à la mauvaise foi. Le pouvoir de l’argent a corrompu le système politique américain, et notamment sa capacité à penser. Malheureusement, les Européens semblent toujours croire qu’il y a un bon pilote dans l’avion. 

    RT France : Selon vous Hilary Clinton personnifie «l’orgueil et l’exceptionnalisme américains». En quoi est-ce que c’est mal ?

    D.J. :  Tous les pays sont exceptionnels, et je voudrais qu’ils le restent dans un monde riche de diversité, au lieu d’être obligés de se calquer sur un seul modèle, tel que l’impose la globalisation à l’américaine. Mais l’exceptionnalisme américain est très spécial, car il ne se borne pas à la célébration des qualités du pays, qui sont réelles, mais aspire à faire la loi dans le monde entier. Il s’agit de l’idée selon laquelle les Etats-Unis sont le centre de vertu dans le monde, d’origine peut-être divine, et qui sont donc appelés à répandre cette vertu sur la planète, non pas par l’exemple, ce qui serait intéressant, mais par les armes. Cette conviction leur permet de ne voir les millions de morts, de blessés, de vies ruinées résultant de leurs guerres que comme des accidents regrettables d’une entreprise innocente et bien intentionnée. Et cet orgueil est accompagné par une peur maladive de «l’autre», que ce soient les «communistes», ou les «terroristes», vus comme les forces du Mal vouées à la destruction du centre du Bien. En cela, les Etats-Unis ressemblent beaucoup à leur protégé Israël. En passant, la candidature de Hillary Clinton est soutenue par le milliardaire israélien Haim Saban qui déclare sans gêne qu’il mettra autant de dollars qu’il le faut pour la faire élire à la présidence.

    RT France : Est-elle capable de remporter l’élection présidentielle ?

    D.J. : Elle est non seulement capable de remporter l’élection présidentielle de 2016, mais, depuis des mois elle est donnée comme la gagnante sûre et certaine. Sa campagne est très bien financée, ce qui compte avant tout dans les élections américaines. Le parti républicain en face n’offre qu’un spectacle pathétique de clowns minables. Son seul challenger démocrate jusqu’à présent, le vieux Sénateur du Vermont, Bernie Sanders, était peu connu et est considéré comme trop à gauche pour être pris au sérieux. Mais on vit dans un monde changeant et tout peut changer.

    (merci à Dirk)

  • Face à la gauche sectaire et hystérique qui demande sa révocation, je signe la pétition de soutien à Robert Ménard !

    http://www.bvoltaire.fr/petition-soutien-robert-menard?mc_cid=8aac69ad5f&mc_eid=0b0d8f3739

    Je viens de signer

  • Marseille: une association veut acheter un bateau pour sauver des clandestins

    http://www.fdesouche.com/648977-marseille-13-une-association-veut-acheter-un-bateau-pour-sauver-des-migrants

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