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  • Fréjus : la mairie FN obligée d'ouvrir la mosquée pour l'Aïd

     

    19 Sept. 2015, 18h55 | MAJ : 19 Sept. 2015, 19h43

     
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    La mairie a en outre été condamnée à verser 1000 euros à l'association cultuelle. Le tribunal administratif de Toulon a ordonné à la municipalité FN de Fréjus (Var) de laisser ouvrir la mosquée de la ville le 24 septembre, jour de la fête de l'Aïd, a indiqué ce samedi Philippe Lottiaux, directeur général des services de la ville gérée par le Front national.

     

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    A Fréjus, au coeur de la plus grande mairie FN


    Le tribunal a accepté en partie le référé-liberté déposé par l'association cultuelle El Fath qui conteste le refus, par la mairie, d'ouvrir ce bâtiment dont les travaux viennent d'être terminés. Le juge administratif a en outre donné quinze jours à la municipalité dirigée par le sénateur David Rachline pour réexaminer sa position sur ce refus d'autorisation, considéré comme illégal.

    L'association El Fath avait demandé en juin à la municipalité, après avoir reçu l'aval de la commission de sécurité, l'autorisation d'ouvrir le bâtiment. La ville n'ayant pas répondu dans le délai de deux mois imparti, cela valait refus.

    «Plusieurs procédures»



    «Nous prenons acte de cette décision de justice et nous ne nous opposerons pas à l'ouverture de la mosquée le 24 septembre», a indiqué Philippe Lottiaux. «Maintenant, nous allons préparer avec notre conseil la réponse que nous allons donner au juge administratif. Mais, intellectuellement et juridiquement, je vois mal comment nous pourrions délivrer une autorisation à un bâtiment qui fait, par ailleurs, l'objet de plusieurs procédures, dont certaines sont très lourdes», a-t-il noté

    Délivré par l'ancienne municipalité de Fréjus, le permis de construire a souligné Philippe Lottiaux, «a été attaqué à la fois par le préfet et par la municipalité voisine de Saint-Raphaël pour non-respect des conditions de sécurité, de stationnement et de circulation». «Il y a également une procédure au pénal devant le tribunal d'instance de Draguignan, parce que le permis aurait pu être délivré frauduleusement par l'ancienne municipalité», a ajouté Philippe Lottiaux.

     
    LE PARISIEN
  • Un tweet de Florian PHilippot

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    HONTE à la Garde des Sceaux !

  • Un immigré érythréen porteur du sida tente de violer une fillete de dix ans...

    http://www.medias-presse.info/un-immigre-porteur-du-sida-tente-de-violer-une-fillette-de-dix-ans-puis-la-directrice-du-foyer-daccueil-dans-lequel-il-etait-heberge-a-saint-pol-sur-mer-et-recidive-encore-apres-avoir-ete-rapidement/39052

    Hallucinatoire!

  • LA GUERRE DU DERNIER HOMME

     

    LA GUERRE DU DERNIER HOMME -


    Michel Lhomme
    le 18/09/2015

    La campagne aérienne de Nicolas Sarkozy contre Kadhafi, qui pourtant tenait d’une main de fer ses frontières, aura permis aux groupes islamistes de prospérer dans toute la région et de s'étendre au Sahel. Nicolas Sarkozy est pour nous un criminel de guerre. Il a perdu toute légitimité à gouverner après le coup libyen où les directives de l'ONU, survol de reconnaissance et bombardement d'une seule poche, Benghazi, pour des raisons humanitaires ont été à la surprise générale de la communauté internationale outrepassé sans mandat.  Depuis la Libye, c'est près d'un million de migrants qui attendent pour franchir la Méditerranée.
     
    Puis la France crut bon de continuer dans le déni du droit et de s'en prendre aux dictateurs en envisageant à partir de 2011 la chute du syrien Bachar el-Assad. Manque de bol, la Syrie est depuis toujours le port méditerranéen de la Russie et les diplomates ou pseudo-stratèges français, semblaient ne pas avoir révisé leurs cartes. Comme nous l'écrivions, il y a peu, la position de la Russie en Syrie est assez simple, c'est non négociable à moins d'offrir Toulon à Poutine. On tenta alors tout, y compris des montages médiatiques comme la supposée utilisation d’armes chimiques par le gouvernement syrien. Mais qui peut penser un seul instant que nos dirigeants puissent faire face tout seuls à la puissance russe? Pourtant, François Hollande poussé par Laurent Fabius, lui-même boosté par Israël se font plaisir, risquant d'ailleurs au passage d'attiser le feu de nos intérêts au Liban. Alors qui comprend au fond les enjeux à long terme de toutes ces décisions ?
     
    Daesh se retrouverait face à Bachar et on nous raconte que sans les Russes, il sera impossible à l’oncle Sam d’agir en profondeur. L'Oncle Sam qui ne peut plus moralement - un peu grave pour une grande puissance ! - envoyer des troupes au sol serait alors en train de se détourner du jeu trouble des Israéliens dont Daesh est en partie l'armée irrégulière de mercenaires, pour envisager un partage des tâches en Syrie. Ce partage des tâches se ferait avec la Russie. C'est le Proche-Orient complexe avec ses turqueries contre les Kurdes. Mais là encore, pour nous, à Tel Aviv sur Seine ?

    En fait, s'il y a une intervention militaire forte en Syrie, la vague de migrants ne va pas cesser de s’amplifier. Puis, il y aura très vite l’incapacité de gérer l’arrivée massive des combattants de l’Etat Islamique sur le sol européen. La crise actuelle n’est donc pas une crise économique ou humanitaire, elle est surtout la première pierre d’une guerre lourde et profonde qui est prête à s'installer en Europe. 

    Avec des chiffres comme 20 000 migrants qui entrent en Europe par jour, il était évident qu'Angela Merkel serait très vite débordée. Les poignées de mains entre l’Allemagne et François Hollande ne pourront rien changer au problème profond, grave et incontrôlable, posé par l’arrivée massive de gens qui fuient la guerre pour une partie et de combattants prêt à en découdre avec les impurs citoyens européens. Nonobstant, l'Allemagne est solide économiquement. Or, c'est bien loin d'être le cas de la France. 1 000 euros, un ridicule mille euros, a promis samedi aux maires ''collabos'', le Ministre de l'Intérieur Cazeneuve c'est-à-dire aux municipalités qui accueilleraient un réfugié. La somme est proprement ridicule mais le chiffre est cru. Il énonce bien que la France n’a pas les mêmes possibilités matérielles d’emplois, de logement, de formation que l’Allemagne.
     
    Les opinions publiques françaises ont donc été particulièrement exposées au lavage de cerveau médiatique. N'oublions pas que tous les journalistes de l'hexagone sont menacés de licenciement à brève échéance et tiennent au prix de toutes les compromissions à leurs postes. Les artistes français se mobilisent aussi en demandant plus de générosité pour l’accueil des réfugiés. Ils ne veulent pas perdre leur statut si peu envié d'artiste du régime, de gens de la ''société du spectacle'' au sens de Guy Debord.

    Soyons optimiste : contre toute attente, en France, les appels à manifester n’ont suscité qu’une faible mobilisation. Le principal rassemblement a réuni quelque 700 personnes à Nice, davantage qu’à Paris et Lyon. Lit-on encore la presse en France, chantonne-t-on « La vie en rose » ? Depuis longtemps, la litanie des faits divers et le climat morose est peu propice aux bonimenteurs de foire. Nonobstant, le gouvernement a annoncé une augmentation à venir des capacités d’accueil des migrants, histoire de rassurer les pro-migrants. Ne vous en faites pas : on trouvera bien de la place. 

    Mais revenons au Proche-Orient, l’irresponsabilité de notre politique étrangère, l’aveuglement de nos dirigeants nous oriente, nous ne le répétons pas assez, inexorablement vers un conflit majeur. Que nous dira-t-on demain pour éviter les procès pour responsabilité de guerre ? Que les hommes de gouvernement, de notre gouvernement avaient été dépassés. Ils ne le sont pas. Ils ne l'ont jamais été. Cette politique internationale de la France résulte de choix très clairs qu'ici justement, nous avons décortiqué, analysé depuis longtemps. Si nos dirigeants sont incapables de maîtriser la sécurité de leurs propres pays, c'est qu'ils ne l'ont jamais voulu parce qu'ils sont occupés à d'autres prétextes, des prétextes mondialistes, très économiques qui ne profitent qu’à une élite et qui visent un nouvel ordre mondial centré sur la démocratie totalitaire et l'unipolarité.

    En fait, la troisième guerre mondiale est en route depuis le début des années 2000, depuis le 11 septembre 2001. Ce ne sera pas une guerre thermonucléaire comme Hollywood nous l’a souvent suggéré dans ces films d’auto congratulation américaine mais ce sera une guerre où l’ennemi est pratiquement invisible. Elle est même pire que cela, c'est une guerre qui aura le soutien du peuple qu’elle va décimer, une guerre du bien, une guerre du remplacement de masse, une guerre de la grande transformation robotique, une guerre de la misère, une guerre d'esclaves sans même la conscience malheureuse, la guerre du ''dernier homme''.
     
    METAMAG
  • Une nouvelle vidéo dévoile le business immonde du Planning familial américain

    http://www.ndf.fr/nos-breves/17-09-2015/une-nouvelle-video-devoile-le-business-immonde-du-planning-familial-american?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29#.VfyaOpXouM8

  • Saint-Maximin (83) : le meeting du Front National interdit par la mairie DVD et la justice

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    22h57

    Le tribunal administratif de Toulon a confirmé l’interdiction du meeting de rue du Front national, ce vendredi à Saint-Maximin. Marion Maréchal-Le Pen se rendra quand même sur place.

     

    Marion Maréchal-Le Pen se rendra tout de même en ville ce vendredi soir à 18 heures, pour rencontre la population et les commerçants locaux.

    C’est la commune qui avait, dans un premier temps, interdit le déroulement du meeting. Le Front national a alors saisi la justice en référé-libéré, qui vient de rendre son jugement.

    Source

    Dans le Var, à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, où la mairie a pris un arrêté d’interdiction de la réunion publique que l’élue d’extrême droite voulait tenir vendredi à 18h00 sur une place de la commune.

    Le FN avait saisi le tribunal administratif de Toulon en référé, mais a été débouté, a-t-on appris auprès de Frédéric Boccaletti, secrétaire départemental du FN dans le Var.

    « L’emplacement demandé par le FN posait des problèmes car cela nous obligeait à couper le circulation et cela présentait des risques en matière de sécurité », indique Christine Lanfranchi-Dorgal, maire (DVD) de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. Celle-ci indique aussi que la demande n’a pas été reçue dans les temps, soit trois jours francs avant la manifestation.

    « C’est totalement délirant de voir une commune interdire à une députée de la Nation de venir s’exprimer », tonne de son côté M. Boccaletti.

    La maire de Saint-Maximin se défend de son côté de tout sectarisme, précisant simplement: « On ne vient pas chez moi comme ça pour installer un podium à n’importe quelle heure. »

    Source

  • Des bus de migrants venus de Croatie traversent la frontière hongroise

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    18/09/15 à 19:49 - Mise à jour à 19:49

    Le Vif.be                               

    Source : Belga

    La Croatie, qui se dit débordée par l'arrivée massive de migrants sur son territoire, acheminait vendredi les candidats à l'exil par bus vers la Hongrie, dont certains ont déjà pu traverser la frontière pour une destination encore inconnue.

                    

                      

     

    Budapest a aussitôt accusé les autorités croates d'encourager les migrants à violer la loi en franchissant "illégalement" sa frontière. Un correspondant de l'AFP a compté 22 bus d'une soixantaine de migrants, dont des femmes et des enfants. Environ 200 policiers et 50 militaires hongrois gardaient la frontière, que Budapest a souhaité fermer au flux de migrants. Deux bus ont pu traverser la frontière et leurs passagers ont été transférés dans des bus hongrois pour une destination qui n'a pas été précisée de source officielle. Dix autres bus sont passés par la suite, dont les passagers attendaient à leur tour de monter dans des bus hongrois.

    Interrogée sur leur destination, une porte-parole du Premier ministre hongrois Viktor Orban a promis des informations plus tard dans la journée. L'entrée de ces migrants en Hongrie intervient alors que le chef du gouvernement hongrois avait annoncé dans la matinée la pose d'une nouvelle clôture de barbelés à la frontière avec la Croatie, afin de se protéger du flux de migrants et de réfugiés qui fuient les guerres en Syrie et Irak, et convergent vers l'Europe du Nord, en train, en bus, ou à pied.

    "Le gouvernement croate s'applique à acheminer les migrants, contrairement aux règles en vigueur au sein de l'Union européenne, vers la frontière avec la Hongrie", a réagi le chef de la diplomatie hongrois Peter Szijjarto à l'issue d'entretiens à Belgrade, accusant Zagreb d'"encourager" les migrants à "franchir illégalement une frontière". Depuis mercredi matin, Zagreb a compté 15.400 migrants entrés en Croatie par la Serbie. Un train transportant environ 1.500 migrants est encore arrivé à la mi-journée à Zagreb, le second depuis jeudi matin. Le pays, qui se dit "saturé", avait annoncé la fermeture "jusqu'à nouvel ordre" de plusieurs postes-frontières.

    A Tovarnik, petite gare croate près de la frontière serbe, des milliers de personnes arrivées à pied ou en bus ont campé dans les champs, dans l'attente du départ d'un train. "La situation est assez dramatique. Les gens sont en colère. Si un train ne part pas, ils vont commencer à se battre" a mis en garde le directeur des urgences de l'ONG Human Rights Watch, Peter Bouckaert.

    "C'est un chaos complet. Il y a des milliers de gens dans l'attente (...) C'est une minuscule petite ville avec une seule rue qui est complètement débordée", a-t-il encore déclaré, disant craindre que certains n'aboutissent sur des terrains minés depuis la guerre des Balkans.

    La petite Slovénie, membre de l'Union européenne et de l'espace Schengen, qui ne compte que deux millions d'habitants, se préparait aussi à recevoir le flux des migrants détourné par les barrières érigées par les pays voisins.

    Un premier groupe de 150 migrants arrivés en train dans la nuit depuis Zagreb a été intercepté dans la ville-frontière slovène de Dobova. Après avoir essayé en vain de les refouler, les autorités slovènes les ont transportés dans un centre d'accueil, "dans l'attente d'un accord sur une procédure de retour en Croatie".

    Plus au sud, le Parlement de la Macédoine a prolongé vendredi de 30 jours l'état d'urgence décrété à la frontière avec la Grèce, au sud, et à celle avec la Serbie, au nord.

    L'évolution de la crise migratoire dans cette partie de l'Europe maintient la pression sur l'UE, dont les dirigeants se retrouvent mercredi à Bruxelles, pour tenter de surmonter leurs divisions, au lendemain d'une rencontre des ministres de l'Intérieur.

    Le commissaire à l'Elargissement de l'UE Johannes Hahn a assuré les pays des balkans du soutien de l'Europe. "Vous êtes aussi des victimes de cette situation et nous ne vous abandonnerons pas", a-t-il déclaré à Skopje devant les députés du Parlement macédonien.

    Les états membres de l'UE ont reçu 213.000 demandes d'asile d'avril à juin 2015, soit une hausse de 85% par rapport au nombre de requêtes déposées au second trimestre 2014, selon des chiffres publiés vendredi par l'Agence officielle de statistiques Eurostat. Les deux principales nationalités représentées sont les Syriens et les Afghans.

    Au total, depuis janvier, près de 399.000 demandes d'asile ont été soumises dans l'UE.

    Vendredi, le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a brandi la menace d'un "vote à la majorité" dans l'UE pour imposer aux pays récalcitrants, comme la Hongrie, une répartition des réfugiés.

    Berlin et Paris, ainsi que le premier ministre suédois ont tous deux critiqué l'attitude de Budapest.

    "Repousser de facto des réfugiés aux frontières ne constitue pas du point de vue du gouvernement allemand une contribution à une solution durable du problème actuel des réfugiés", a déclaré le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Stefan Seibert.

    Au Vatican, conformément à la promesse du pape, une première famille syrienne de Damas a été installée il y a quelques jours, a annoncé l'aumônerie pontificale.

    La Suisse a annoncé de son côté vouloir débloquer des fonds d'urgence pour accueillir 1.500 migrants.

    Vendredi, une fillette syrienne de 4 ans est morte noyée au large des côtes turques dans le naufrage d'une embarcation qui tentait de rejoindre la Grèce.

  • Marion Maréchal-Le Pen molestée, local parisien ciblé... Campagne sous tension au FN

    LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - Les candidats têtes de liste du Front national en Paca et en Île-de-France ont tous deux été visés, plus ou moins directement, dans la journée de jeudi. Des plaintes ont d'ores et déjà été déposées.

     
     
     

    La campagne vient de franchir un nouveau palier. Tandis que les régionales approchent à grand pas et que le ton se muscle entre les différents candidats, les têtes de liste du Front national en Île-de-France et en Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) ont tous deux été visés dans la journée de jeudi. Le trésorier du parti, Wallerand de Saint-Just, a vu sa permanence parisienne prise pour cible en plein après-midi, tandis que la députée du Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen, a été molestée dans la soirée à Guillestre (Hautes-Alpes).

    À Paris, dans le XIIIe arrondissement, le local du candidat francilien été pris pour cible: de l'essence et des menaces ont été déposées dans une boîte aux lettres. «Insécurité à son comble», a immédiatement dénoncé Wallerand de Saint-Just sur Twitter. «Je pense que cet acte est révélateur d'une extrême-gauche qui instrumentalise les clandestins et qui veut réagir par la violence à des prises de position politiques. Évidemment, je le regrette», déplore-t-il auprès du Scan. «On a déposé plainte, mais on les attend de pied ferme», lance-t-il.

     

    Le service d'ordre «frappé, griffé, mordu et poussé à terre», selon Marion Maréchal-Le Pen

    Un peu plus tard, c'est dans le sud de la France qu'une autre tête d'affiche du FN a été la cible de violences. Marion Maréchal-Le Pen a été prise à partie à la sortie d'une réunion. «Crachats, insultes, jets d'eau et de projectiles»... La parlementaire, qui s'est fendue d'une lettre ouverte à Bernard Cazeneuve, a dû essuyer l'assaut d'une quinzaine d'opposants tandis qu'elle regagnait son véhicule. La séquence d'un peu plus d'une minute, captée par les caméras de D!CI TV, est à retrouver en vidéo.

     

    Dans son courrier au ministre de l'Intérieur, la benjamine de l'Assemblée rapporte que certains membres de son service d'ordre ont été «frappés, griffés, mordus et poussés à terre. (...) Nos voitures ont également été dégradées», ajoute-t-elle. Avant de pointer la responsabilité de la municipalité écologiste locale, à l'origine selon elle du contre-rassemblement. «Comptez-vous dorénavant vous assurer de la sécurité de nos responsables politiques ou allez-vous laisser vos amis politiques pratiquer l'intimidation dans l'impunité la plus totale?»

    «J'ai déposé plainte contre X pour menace de mort et dégradations de biens privés ainsi que pour manquement grave aux responsabilités d'ordre public de sécurité et de salubrité à l'encontre du maire», a annoncé Amaury Navarranne, tête de liste FN aux élections régionales dans les Hautes-Alpes.

     L'édile, elle, évoque une «bousculade» dans Libération. «Mais aucun crachat, pas de coups ni de blessures, encore moins de barre de fer», se défend-t-elle encore.

  • Migrants à Paris : l’ancienne caserne Reuilly remobilisée en urgence

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    Benoit Hasse | 18 Sept. 2015, 22h21 | MAJ : 18 Sept. 2015, 22h21 - LE PARISIEN

     
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                                                         Boulevard de Reuilly (XII) e, ce vendredi. Des migrants tuent le temps dans ce dortoir installé dans une caserne désaffectée. (LP/Matthieu de Martignac.)

    Les opérations d’évacuations menées jeudi matin à l’aube avaient fait l’objet d’une longue et minutieuse préparation. Le plan de « mise à l’abri » des centaines de réfugiés installés dans le campement du quai d’Austerlitz (XIIIe) et dans celui, plus récent, du parvis de la mairie du XVIIIe a pourtant dû être revu à la hausse, en urgence.

     

     

    Certains centres d’hébergements ont ainsi été rajoutés, à la dernière minute, à la liste des sites mobilisés par la préfecture de région pour l’accueil des migrants. C’est le cas de la caserne de Reuilly (XIIe) où 112 Soudanais et Erythréens ont été orientés jeudi matin après leur évacuation du XVIIIe.

    Cette immense caserne désaffectée, cédée par l’Etat à la Ville de Paris, va être transformée en un nouveau quartier de 600 logements. Le Casp (Centre d’action social protestant) qui y gérait « provisoirement » un centre d’hébergement d’urgence pour sans-abri devait normalement libérer les lieux la semaine prochaine pour permettre le démarrage des travaux.

    Mardi dernier, soit moins de 48 heures avant l’évacuation des campements, l’association sociale a été priée de jouer les prolongations. Pas question pour le Casp de parler d’improvisation ou de politique du fait accompli. « On répond à une situation d’urgence. C’est notre métier, on sait faire », assure une porte-parole de l’association.

    Les responsables de l’organisme reconnaissent cependant que la réouverture du centre (dont une partie des équipements avaient déjà été transférés) a nécessité pas mal d’aménagements dans la précipitation. « On a mobilisé tous nos prestataires. Pour récupérer 50 lits en 24 heures, pour se faire livrer des serviettes de toilette, de quoi préparer des repas… On a même dû recruter des intérimaires en urgence pour reconstituer une équipe d’accueil », explique Jean-Yves Di Chappari, responsable du centre.

    Le provisoire pourrait durer

    « Tout s’est fait très vite », confirme Catherine Baratti-Elbaz, maire (PS) du XIIe, qui n’a appris que mercredi la « réquisition » de la caserne le lendemain. Les conséquences de l’opération pour le chantier de réhabilitation de la caserne ? « Les travaux doivent démarrer prochainement par des sondages dans la cour. Le maintien du centre d’hébergement ne les empêchera pas », répond l’élue.

    En attendant, dans l’immense caserne désaffectée où les migrants ont été hébergés dans des chambrées de six lits, la vie reprend peu à peu. Les agents de l’Ofii (Office français de l’immigration et de l’intégration) qui ont commencé à enregistrer les dossiers des « hébergés » dès jeudi devraient avoir vu tout le monde d’ici lundi. Dans la foulée, le Casp compte réaliser des cartes d’identification (avec photo) des migrants hébergés.

    Il y a là aussi urgence. « Pour l’instant, je ne suis pas sûr qu’il n’y ait ici que des gens qui ont été orientés par la préfecture », commente pudiquement le responsable du centre d’hébergement qui recensait ce vendredi 116 migrants accueillis contre… 109 la veille au soir.

    La caserne de Reuilly a été rouverte pour un accueil provisoire qui doit en théorie prendre fin le 15 octobre. Mais ce vendredi des travailleurs sociaux en doutaient. « La préfecture cherche partout de nouvelles places pour les migrants. Et elle se priverait de ce site d’ici trois semaines ? Je n’y crois pas une seconde », indiquait l’un d’entre eux.

    La maire du XVIIe placée devant le fait accompli

    Dans un courrier adressé ce vendredi au préfet de police, Brigitte Kuster, maire (LR) du XVIIe, s’est étonnée de découvrir que trente migrants avaient été placés dans une résidence sociale située dans un secteur « en difficulté » de son arrondissement. « Est-il normal qu’aucune information ne nous ait été communiquée concernant l’origine et le statut de ces migrants ou encore la durée de leur installation? » interroge-t-elle.

     

  • France: un jihadiste de retour de Syrie projetait un attentat dans une salle de concert

    http://www.contre-info.com/france-un-jihadiste-de-retour-de-syrie-projetait-un-attentat-dans-une-salle-de-concert

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  • Dans l’invasion migratoire, tout est prévu, y compris les itinéraires bis

     

     

    17/09/2015 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
    Bloqués à l’entrée de l’espace Schengen à la frontière serbo-hongroise, les envahisseurs ont obtenu hier matin l’autorisation d’entrer en Croatie. De là ils espèrent rejoindre l’Europe occidentale via la Slovénie puis l’Italie ou l’Autriche.

    Les clandestins ne cherchent donc plus à entrer dans l’espace Schengen par la Hongrie ?
    La route par la Hongrie est bloquée à deux niveaux. D’abord par le déploiement de barrières à la frontière avec la Serbie. Ensuite, plus en aval et à l’intérieur de l’espace Schengen, par la fermeture des frontières entre l’Allemagne, l’Autriche et la Hongrie. La Croatie apparaît donc comme un itinéraire de délestage naturel.

    Cet envahissant cortège semble présenter une étonnante capacité d’adaptation…
    En effet, les plans B se multiplient. La route des Balkans avait déjà pris le relais de la route méditerranéenne, délaissée depuis le printemps. Dans le même temps, à l’autre bout de l’Europe, quelques centaines de Syriens ont franchi la frontière russo norvégienne !
    Dans un article récent, le journaliste Alexandre Latsa relevait à juste titre le caractère organisé de ces cortèges. Les clandestins apparaissent propres et bien habillés, équipés de téléphones portables et de banderoles. Difficile d’imaginer les réseaux de passeurs capables d’assurer une telle organisation à l’échelle du continent.

    Il ne s’agirait donc pas d’un mouvement de migration totalement spontané ?
    Comme pour les soi-disant printemps arabes, la question de la spontanéité de l’invasion migratoire mérite d’être posée.

    S’agit il de la mise à exécution par l’État islamique de sa menace de nous envoyer 500 000 immigrés ?
    La revue autrichienne Info Direkt, citant un agent du renseignement militaire autrichien, affirme quant à elle que ces mouvements seraient en partie financés par des réseaux américains. S’agirait-il d’un plan américain pour déstabiliser l’Europe, comme l’avançait Thierry Meyssan en avril ? C’est en tout cas l’opinion exprimée hier par Sergueï Narychkine, président de la Douma russe, sans toutefois nommer expressément les États-Unis.

  • «Nous venons en paix», Fraîchement débarqué en Sicile, ce réfugié égorge deux retraités

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    18/09/2015 – EUROPE (NOVOpress)
    «Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM ! Aujourd’hui, un gentil Ivoirien tente d’aider l’Italie à régler le problème de la surpopulation de personnes âgées dans ce pays. Réfugiés, clandestins, migrants, immigrés,  immigrés clandestins, son geste est mal interprété.

    Mamadou Kamara, 18 ans, de Côte d’Ivoire a été arrêté pour un double meurtre à Palagonia, en Sicile, selon Il fatto quotidiano.
    Le 8 septembre deux immigrés ont été agressés et dévalisés par un gang de jeunes Siciliens probablement en représailles pour le meurtre de deux retraités, par de soi-disant réfugiés, dans la petite ville de Palagonia. Les tensions sont très vives dans la petite communauté agricole, située près de Catane, après que le jeune ivoirien Mamadou Kamara, qui séjournait dans le camp de réfugiés de Mineo ait été arrêté pour le meurtre de Vincenzo Solano, 68 ans et de son épouse Mercedes Ibanez, 70 ans.

    Des centaines de personnes ont afflué à l’église locale pour les funérailles du couple, tué d’après les policiers lors d’un vol qui a mal tourné. Kamara est accusé d’avoir tranché la gorge de Solano avant de jeter Ibanez d’un balcon. Selon la police un premier examen du médecin légiste laisse supposer qu’elle a également été victime d’abus sexuels.

    Les enquêteurs ont rapidement arrêté Kamara, qui est arrivé en Italie, sur un bateau, de Libye, en juin dernier et avait demandé l’asile politique. Les preuves à son encontre paraissent écrasantes. Il a été arrêté au cours d’un contrôle de routine à la Cara Mineo, une ancienne base militaire américaine transformée en camp d’accueil de migrants, pouvant accueillir 3 200 personnes de l’Érythrée, du Soudan, du Nigeria, de Gambie, d’Afghanistan, de Syrie, du Pakistan et ailleurs.
    Une fouille de son sac a permis de récupérer un caméscope, un téléphone portable, un PC, une chaîne en or et autres marchandises appartenant toutes au couple assassiné. Le sac contenait également une paire de pantalons tachés de sang, que Kamara portait sur les images récupérées sur son téléphone portable. Au moment de l’arrestation, il portait des vêtements provenant de la garde-robe des victimes.
    Lire la suite

  • « La Hongrie est un mauvais choix. Ásotthalom est le pire » : le message d’un maire frontalier hongrois aux clandestins

      

     

    18/09/2015 – MONDE (NOVOpress)
    Aux avant-postes de l’invasion migratoire, la commune hongroise de Ásotthalom ne lésine pas sur les efforts pour contrer ou dériver les vagues de clandestins. Dernier en date : une vidéo au message explicite !

     

    La commune hongroise de Ásotthalom, frontalière avec la Serbie, est en première ligne de la vague migratoire depuis un an (à ce sujet, revoir ce reportage publié en avril 2015)

    Le maire nationaliste de Ásotthalom, László Toroczkai, a beaucoup œuvré depuis un an pour alerter l’opinion publique hongroise et internationale à ce sujet, et été l’un des premiers à suggérer la construction d’une barrière frontalière pour arrêter les vagues de clandestins ayant pris la route des Balkans et venant de la Serbie voisine.
    La construction de ladite barrière entre la Hongrie et la Serbie sur le long des 175 km de frontière est en voie d’achèvement, tandis qu’une législation restrictive est entrée en vigueur en Hongrie le 15 septembre 2015, faisant de l’entrée illégale sur le territoire hongrois et de la dégradation de la barrière frontalière un crime dans le Code pénal.

    L’occasion pour le maire de Ásotthalom de réaliser un clip sous-titré en anglais, destiné aux clandestins, pour les inviter à ne plus passer par la Hongrie, et encore moins par sa commune, pour se rendre en Europe occidentale. Ce clip a été visionné près de 500.000 fois en moins de deux jours.

    La fermeture du point frontière de Röszke a entraîné des heurts violents entre les clandestins et la police hongroise. Désormais, les clandestins continuent leur route vers l’Europe occidentale via la Croatie, d’où ils essayent d’atteindre la Slovénie ou de nouveau la Hongrie via la frontière hungaro-croate (notamment via la commune de Illocska). Ce qui a amené le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, à annoncer la création d’une nouvelle barrière le long de la frontière croate.

    Quant à la commune de Ásotthalom, après une année d’anarchie migratoire (et son lot de dégâts, montagnes de détritus et de squats de maisons), elle retrouve un calme qu’elle n’avait plus connu depuis longtemps. Le point frontière de Ásotthalom, qui permet légalement d’aller en Serbie, devrait être rouvert en fin de semaine, alors qu’il avait initialement été annoncé que ce point-frontière serait fermé jusqu’au 17 octobre.

  • Les frontières se ferment en Europe balkanique et centrale

    http://www.levif.be/actualite/international/migrants-les-frontieres-se-ferment-en-europe-balkanique-et-centrale/article-normal-419363.html?utm_source=Newsletter-18/09/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393