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  • « Le vol MH370 n’a pas disparu : la plus grande énigme de l’histoire de l’aviation civile »

     

    Trouvé sur avionslegendaires.net : Telle est la conviction de la journaliste Florence de Changy concernant ce qui restera à tout jamais comme la plus grande énigme de l’histoire de l’aviation civile (après peut-être la disparition d’Amelia Earhart). Dans son livre à paraître le 9 mars prochain, la correspondante à Hong-Kong, pour le journal « Le Monde » et RFI, revient sur tout ce qui a été dit et s’est passé depuis ce fameux samedi 8 mars 2014, jour où le monde a perdu tout contact avec le vol MH370 de Malaysia Airlines reliant Kuala-Lumpur à Pékin, avec 239 personnes à bord.

    Elle décortique et démonte toutes les rumeurs une à une, explore toutes les pistes, de Kuala Lumpur aux Maldives. Au fil de ses recherches, elle a eu accès à des documents confidentiels que peu de personnes ont vus et aussi rencontré des témoins capitaux qui nous apportent un nouveau regard sur ce véritable thriller planétaire. Sans résoudre l’énigme ou créer de nouvelles pistes, ni prendre partie pour telle ou telle rumeur, l’auteur analyse presque de manière chirurgicale toutes les questions, sérieuses ou farfelues, que le monde entier se pose encore.

    • Comment un Boeing 777, bourré d’électronique, avec à son bord 239 passagers et au moins autant de téléphones, a-t-il pu se volatiliser à l’insu des radars et des satellites dans l’une des zones les plus géostratégiques de la planète ?
    • Pourquoi la Malaisie a-t-elle envoyé des recherches pendant une semaine au mauvais endroit en toute connaissance de cause ?
    • Pourquoi a-t-il fallu attendre un mois pour que la liste officielle des passagers soit publiée ?
    • Le MH370 transportait-il quelque chose (un drône américain ?) ou quelqu’un qui ne devait en aucun cas arriver à Pékin ?
    • L’avion a-t-il été détourné vers la base américaine de Diego Garcia ? Et les Américains l’ont-ils abattu ?
    • Est ce bien le MH370 que des villageois des Maldives affirment avoir vu aperçu au petit matin du samedi 8 mars ?
    • L’avion est-il caché au Kazakstan et ses passagers retenus en otages ?
    • Que faisait l’avion jumeau du MH370 dans un hangar à Tel-Aviv?
    • Que penser de la présence à bord de quatre co-propriétaires d’un brevet de très haute importance stratégique ?
    • La lourde cargaison de batteries au lithium en soute a-t-elle pu déclencher un incendie fatal ?
    • Comment expliquer le total échec des recherches maritimes australiennes ?
    • Quant au fameux « flaperon », difficilement identifié (ou identifiable), retrouvé comme par miracle à la Réunion, pourquoi n’en a-t-on strictement rien su de l’enquête ?

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  • Pour David Doukhan d’Europe 1, la France a accueilli 300 « migrants » !

      

     

    07/03/2016 – POLITIQUE (NOVOpress)
    Florian Philippot était au « grand rendez-vous » Europe 1 Le Monde Itélé. Il y a notamment rappelé les positions du Front National sur l’immigration. David Doukhan, Chef adjoint du service politique d’Europe 1 a tenté de le contrer en affirmant que la France avait accueilli 300 « migrants » (à voir à partir de 0 : 35’). Certes, mais en combien de temps ? Un jour ? deux jours ? nous ne vivons décidément pas sur la même planète ou ce monsieur rentre dans la catégorie de ceux qui osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît.

    (voir la 2ème vidéo - sur 3 - que j'ai postées en lien)

  • Le dîner du Crif, rendez-vous incontournable des politiques

     Home ACTUALITE Société

     

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    François Hollande lors du dîner du Crif, en février 2015. Crédits photo : © POOL Old / Reuters/REUTERS

    Le dîner annuel du Crif se tient lundi soir à Paris. Lieu de rencontre entre les différentes institutions de la communauté juive, il est aussi devenu une tribune prisée des politiques. Plus de 700 personnes y sont attendues pour cette 31e édition.

     
     

    Pour la 31e année consécutive, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) tient son dîner de charité, lundi soir, à l'hôtel Pullman-Montparnasse, à Paris. Plus de 700 personnes y sont attendues. C'est le dernier évènement organisé sous la houlette de Roger Cukierman, 79 ans, président du Crif de 2001 à 2007, puis de nouveau depuis 2013. Son successeur doit être élu en mai prochain. Invité d'Europe 1 lundi matin, Roger Cukierman a déclaré que ce dîner serait l'occasion d'une «remise de prix» à l'intention des forces de police et militaires qui assurent la garde des lieux communautaires juifs depuis les attentats de janvier 2015. Il a également précisé que le Front national n'était pas convié à cet évènement. «Nous n'avons pas les mêmes valeurs», a-t-il expliqué.

    Le président du Crif Roger Cukierman, en 2013.

    Le président du Crif Roger Cukierman, en 2013. Crédits photo : PHILIPPE WOJAZER/REUTERS

    Le dîner du Crif est en effet devenu l'un des rendez-vous les plus courus des politiques. Le président François Hollande, retenu à Bruxelles par la prolongation d'un sommet extraordinaire UE-Turquie sur la crise des migrants, sera exceptionnellement absent. Le premier ministre Manuel Valls, le locataire de la place Beauvau Bernard Cazeneuve, la ministre de l'Education Najat Vallaud-Belkacem et celui de l'Economie Emmanuel Macron y sont en revanche attendus. La maire de Paris Anne Hidalgo y assistera aussi, ainsi que le président des Républicains Nicolas Sarkozy. Quatre candidats à la primaire de la droite y participeront également: Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, et Hervé Mariton.

    • Un dîner qui a pris de l'importance

    Le dîner du Crif, instauré en 1985, était à l'origine un dîner de charité organisé au profit des différentes institutions de la communauté juive. Chaque place est aujourd'hui facturée 900 euros, qui sont reversés ensuite à des oeuvres caritatives.

    Le Crif et son dîner annuel ont acquis une visibilité médiatique dans les années 1980. L'ambition de l'organisation créée en 1943 est clairement affichée: il s'agit de porter la voix politique des juifs de France et d'instaurer un dialogue avec les pouvoirs publics. Dès sa création, le Crif a voulu s'inspirer de l'exemple américain de l'American Jewish Committee pour exister en tant que lobby.

    «C'est un moment de rencontre et de dialogue entre les institutions juives et les responsables politiques», confirme au Figaro Hervé Mariton, député-maire Les Républicains de Crest (Drôme), et lui-même de confession juive. «C'est l'occasion pour les juifs d'affirmer leur ancrage dans la nation, tout en évoquant les préoccupations de leur communauté, comme l'antisémitisme et le terrorisme», explique-t-il.

    • Une tribune politique

    Les politiques eux-mêmes ont contribué à faire de ce dîner l'événement qu'il est devenu. Premiers ministres et présidents l'utilisent comme une tribune. Plusieurs ont marqué les esprits de leurs discours. Comme Alain Juppé qui, en 1997, y annonce la création d'une mission d'étude sur la spoliation des biens des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale en France. Son successeur à Matignon, Lionel Jospin, en 2000, y aborde la question du devoir de mémoire. Ou encore en 2008, lorsque Nicolas Sarkozy avait proposé de «confier la mémoire» d'un enfant victime de la Shoah à chaque élève de CM2. Une idée qui ne sera jamais appliquée.

    Le dîner du Crif est aussi un lieu où les personnalités des différents partis politiques se retrouvent. En 2012, alors que la campagne présidentielle battait son plein, les deux principaux candidats, François Hollande et Nicolas Sarkozy, s'étaient retrouvés côte à côte. C'est le candidat socialiste qui avait pris alors l'initiative de venir saluer son rival. Cette année, les rôles entre les deux hommes sont inversés, reste à savoir si Nicolas Sarkozy prendra cette fois l'initiative.

    Un «tribunal dînatoire»?

    La présence des politiques au dîner du Crif ne va pas de soi. Elle suppose leurs bonnes relations avec la communauté juive. Ainsi, le Front national n'a jamais été invité. Les Verts ont longtemps été refusés, pour leur militantisme pro-palestinien. Toutefois, comme l'an dernier, l'écologiste Jean-Vincent Placé, aujourd'hui secrétaire d'Etat chargé de la réforme de l'Etat et de la simplification, s'y rendra.

    D'autres, en revanche, refusent de participer à ce dîner annuel. Le président du MoDem, François Bayrou, a déclaré en 2012 de ne plus y participer, souhaitant éviter les «réunions communautaires, quelle que soit la communauté qui invite». Ce type de manifestation «où les politiques se pressent en rangs serrés (...) m'a toujours dérangé parce qu'il y a d'une certaine manière une volonté de capter les suffrages», avait-il expliqué.

    Plus récemment, Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de gauche, avait fustigé, en mars 2015, sur une émission de la chaîne catholique KTO, «tous les ballots qui acceptent de se faire maltraiter dans cette réunion communautariste, qui n'a rien à voir avec les juifs de France».

    Philippe Karsenty, adjoint au maire de Neuilly et figure connue au sein de la communauté juive, affirme quant à lui qu'il ne se rend plus au dîner au Crif depuis plusieurs années. «Le Crif ne réprésente plus personne, et son fonctionnement n'est pas démocratique», déclare-t-il au Figaro. «Le Crif a cessé d'être le représentant des juifs auprès des politiques, pour devenir le représentant des politiques auprès des juifs. Je trouve pathétique ce défilé d'élus, qui ne veulent pas qu'on leur reproche de ne pas y être allés. Je préfère saluer le courage de François Bayrou», explique-t-il.

    François Hollande avec l'écrivain Marek Halter, lors du dîner du Crif, en février 2015.

    François Hollande avec l'écrivain Marek Halter, lors du dîner du Crif, en février 2015. Crédits photo : POOL/REUTERS

    De son côté, le philosophe et académicien Alain Finkielkraut, avait émis des réserves sur ce dîner, dans une contribution à la revue trimestrielle juive L'Arche, en 2005, le décrivant comme un «tribunal dînatoire où les membres du gouvernement français comparaissent devant un procureur communautaire».

    «Ce n'est pas du communautarisme», estime quant à lui Hervé Mariton. «C'est une expression de la pleine participation de la communauté juive dans la nation. C'est un moment public, au su et au vu de tous, et les sujets évoqués concernent l'ensemble de la nation française», juge-t-il.

    LE FIGARO

  • Allemagne : un curé noir lâche sa paroisse après des attaques racistes

     

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    Un prêtre catholique germano-congolais officiant en Allemagne a quitté sa paroisse bavaroise pour protester contre les attaques racistes dont il était l'objet du fait de son soutien aux réfugiés, a indiqué lundi son autorité ecclésiastique.

     Olivier Ndjimbi-Tshiende, 66 ans, qui détient la double nationalité congolaise et, depuis 2011, allemande, a jeté l'éponge en indiquant ne plus pouvoir supporter le climat de haine à son encontre dans sa paroisse. Cette région est la principale porte d'entrée des migrants affluant en Allemagne depuis l'Autriche voisine.

    Le prêtre a indiqué avoir reçu de nombreuses menaces de mort anonymes et fait l'objet d'insultes racistes, souvent publiques, émanant notamment d'élus locaux du parti conservateur CSU, branche bavaroise du mouvement de la chancelière Angela Merkel (CDU), qui contrôle depuis des décennies cet Etat régional très catholique. 

    «Le prêtre Olivier Ndjimbi-Tshiende mettra fin au 1er avril à son sacerdoce dans la paroisse de Zornedig en Bavière (sud) et occupera de nouvelles fonctions», a indiqué l'Evêché de Munich en disant «regretter beaucoup» cette décision et en affirmant «se tenir aux côtés» de son curé. Ce dernier a annoncé sa décision dimanche lors de la messe à ses fidèles dans cette bourgade de 9.000 habitants proche de Munich. «Il se sent à présent soulagé (...) la situation a été pour lui très difficile à supporter», a souligné l'Evêché dans un communiqué.

    Deux dirigeants de la CSU contraints à la démission

    Arrivé dans la paroisse en 2012, le prêtre s'était récemment désolidarisé de prises de position anti-migrants de deux responsables locaux de la CSU - Sylvia Boher et Johann Haindl. La première avait dénoncé dans le bulletin de la CSU «l'invasion» des réfugiés, tandis que le second avait menacé le prêtre en le traitant de «nègre». Le curé avait appelé en retour les fidèles et la CSU de la commune à ne pas oublier les valeurs chrétiennes fondamentales. Les deux responsables politiques locaux avaient été poussés à la démission à l'automne dernier pour s'en être pris en termes parfois insultants à Mme Merkel. Mais selon le prêtre, les menaces et insultes anonymes à son encontre ont redoublé par la suite.

    Olivier Ndjimbi-Tshiendel a reçu des missives portant des messages tels que «Dégage à Auschwitz» ou «Après la messe, ton compte est bon», indique le quotidien de Munich Süddeutsche Zeitung. La CSU critique depuis des mois de manière véhémente la politique d'ouverture d'Angela Merkel à l'égard des réfugiés et réclame - en vain jusqu'ici - une limitation de leur nombre. Jamais depuis des décennies les relations entre les deux partis frères n'ont été à ce point dégradées.

    LE PARISIEN

  • Crise des migrants : la Turquie demande à l'UE 3 milliards d'euros supplémentaires !

    http://www.leparisien.fr/international/crise-des-migrants-l-ue-examine-les-nouvelles-propositions-de-la-turquie-07-03-2016-5605495.php

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  • « J’veux la tête de Marine rangée, découpée dans un sac » : relaxe judiciaire !

        

    Il est des appels au meurtre qui laissent muette la justice. Il est des laxismes judiciaires qui en disent long sur l’état d’une démocratie.

    Juriste
     
     
      

    Il est des appels au meurtre qui laissent muette la justice. Il est des laxismes judiciaires qui en disent long sur l’état d’une démocratie. Des laisser-faire et laisser-dire qui servent des causes pour se transformer en permis de tuer. Les rappeurs Rémy et Poposte ont été jugés la semaine dernière au tribunal correctionnel d’Angoulême après avoir mis en ligne deux clips dans lesquels ils déversaient leur haine envers la police et Marine Le Pen.

    Extraits choisis : « Tirs à vue sur les porcs. Kalachnikov, condés, mange tes morts », « Toujours le sourire quand un flic crève », « J’aime quand un flic va à l’enterrement d’un de ses collègues », mais aussi « J’veux la tête de Marine rangée, découpée dans un sac ».

    Quelques mois après les attentats de Charlie, pas malin, mais pas bien grave non plus (apparemment) car les deux jeunes de 19 et 25 ans ont été relaxés du délit de provocation et condamnés pour apologie de crime ou délit et injure publique à… 500 euros (!) d’amende avec sursis chacun.

    Pour afficher un sourire et le chanter quand un « flic crève » après les avoirs traités de porcs, l’amende est bon marché. Les magistrats d’Angoulême ont dû hésiter entre les priver de dessert ou leur infliger une fessée cul nu (mais trop traumatisant) : ils ont opté pour un stage de « citoyenneté » à leur encontre. Aux armes les deux citoyens en herbe, mais sans kalachnikovs. Pas bien.

    Et comme, ce mercredi de mars, c’était jour de soldes au tribunal correctionnel d’Angoulême, la plainte de la présidente du FN, qui s’était portée partie civile, a été déclarée irrecevable. Vouloir découper la tête de Marine Le Pen, rêver de la voir « rangée dans un sac «  : pas grave.

    L’apologie de la haine est ainsi banalisée. Légitimée par des décisions de justice qui, au nom de la liberté d’expression, ne visent qu’à laisser s’exprimer une haine fanatique envers un parti politique français devenu le premier de France. Marine Le Pen est une « salope fascisante » façon Bedos (relaxe), un « étron fumant » selon Ruquier (relaxe), l’ennemi à abattre d’Estrosi pour 2017 ou « la truie » à qui l’on peut vouloir « briser les os » pour un conseiller municipal Front de gauche.

    Mais ne vous avisez pas de caricaturer un ministre de la Justice qui joue de sa couleur comme d’un étendard, quand Daech peut s’en prendre directement au FN, menaçant un parti politique et ses électeurs de crimes barbares, sous les rires et les sarcasmes des députés de gauche. Crucifixion médiatico-politique assurée.

    C’est la liberté d’opinion sous le prisme de la pensée unique. L’embryon d' une dictature qui désigne son ennemi politique et manipule ses institutions. La balance de la justice lestée du poids de la stigmatisation haineuse de son Premier ministre.

    La démocratie française est morte ? Vive la liberté d’expression à géométrie variable !

  • France. Les USA vont former les directeurs d’école à l’immigration avec l’European Administrators Program

    http://www.breizh-info.com/2016/03/04/40092/exclusif-european-administrators-program-france-usa-former-directeurs-ecole-en-faveur-immigration

     Très important!

    (merci à Dirk)

  • Beauté vivante de la nature !

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    Lapin dans les montagnes de Cairngorms en Ecosse

     

  • VIDEO - Le Christ des Abysses

    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=YbQ-6jRd_JMhttp://www.delitdimages.org/le-christ-des-abysses/

    Une très belle vidéo que je vous conseille vivement de regarder

    En  1947, Gonzatti Dario, décéda lors d’un accident de plongée dans les fonds marins du promontoire de Portofino, près de San Fruttuoso, dans la province de Gênes. Pour lui rendre hommage, Duilio Marcante, ami et compagnon de plongée, décida de lui faire ériger une statue.

    Réalisée par le sculpteur Guido Galletti avec des médailles de marins et sportifs, de parties de bateaux et de canons, la statue du Christ des Abysses  fut coulée dans une fonderie d’art à Milan.

    La statue du Christ des Abysses , de 2m 50 de haut, fut immergée le 22 août 1954 avec l’aide de la Marine Italienne ,dans la baie de San Fruttuoso, en face de l’abbaye historique de la Doria, à 17 mètres de profondeur.

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  • 60 ans du Planning : « l’avortement une pratique merveilleuse »

     




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    Il est 15h30 ce vendredi 4 mars au Sénat. Quelques mamies tape-dur pénètrent sous les ors de la République. Par grappes, elles gagnent la salle Clemenceau où le Planning familial s’apprête à célébrer son anniversaire par un colloque rétrospectif, où se succéderont militants, médecins et politiques dans un mélange des genres qui est la marque de l’association. L’ambiance rappelle davantage un pot de départ à la retraite qu’une « surprise party ». Normal, le Planning a 60 ans et très peu d’enfants…

    L’événement est placé sous le marrainage  (sic) de la sénatrice socialiste Michèle André, également vice-présidente de la fraternelle parlementaire, qui ouvre les festivités par quelques propos convenus. Vient ensuite un message vidéo de Najat Vallaud-Belkacem. Après avoir assuré le Planning de son soutien, le Ministre de l’Éducation nationale se félicite qu’en 2015 plus de 200 000 enfants aient été « formés » par le Planning via les interventions de l’association en milieu scolaire.

    L’évocation du délit d’entrave à l’IVG est propre à faire dodeliner de plaisir les têtes chenues

    Militante, Mme Vallaud-Belkacem rappelle que le site ivg.gouv.fr est l’enfant commun du Planning familial et de son ministère. Mais il y a une autre créature dont le gouvernement revendique la maternité : l’extension du délit d’entrave à l’IVG. L’évocation de cette disposition légale qui condamne les militants pro-vie à la prison ferme est propre à faire dodeliner de plaisir les têtes chenues.

    Danielle Gaudry et Véronique Séhier

    Au message de Najat Vallaud-Belkacem, répond le prêche de Véronique Séhier, coprésidente de l’association. On peine à la croire en voyant la cinquantaine de vétérans présents dans la salle, mais le Planning familial est une araignée qui tisse sa toile sur tout le territoire avec près de 76 officines réparties en métropole et outre-mer. Autorisée à pénétrer dans l’enceinte scolaire, supposée neutre, l’association revendique par la voix de sa coprésidente un « engagement profondément politique ». Il est nécessaire d’éduquer « à l’égalité et à la sexualité dès le plus jeune âge », prône Mme Séhier. Face aux « idées conservatrices (qui) font leur grand retour » le Planning doit « poursuivre le combat contre la morale ».

    Les propos de Danielle Gaudry, gynécologue et ancienne membre du bureau national du Planning, font froid dans le dos. Face à ses amies, elle se souvient avec émotion du jour où elle a appris la méthode Karmann (avortement par aspiration). Le gynécologue évoque son combat dans les années 1970. Elle pratiquait des avortements clandestins, « c’était gratuit, c’était beau ». La salle s’esclaffe quand la militante rappelle, guillerette, que les femmes avortaient en face d’une maternité appelée « Les Cigognes. » D’après elle, « c’était une pratique merveilleuse, les femmes participaient vraiment et repartaient avec beaucoup d’espoir et d’énergie. » Le docteur Gaudry cite le témoignage d’une patiente se faisant avorter : « quand je vois le sang, je vois la liberté ».

                      « quand je vois le sang, je vois la liberté »

    Après cette évocation de l’âge d’or, Carine Favier, coprésidente du Planning, évoque son engagement contre le SIDA. A l’entendre on se dit que le virus n’avait pas que des inconvénients… Il a en effet offert à l’association l’opportunité d’entrer dans les établissements scolaires. Mouvement militant, le Planning utilise à la fin des années 1980 le masque de l’assistance sanitaire pour endormir la vigilance des parents et des directeurs d’établissements. Caroline Rebhi, membre du bureau national du Planning, avoue néanmoins de « grands moments de solitude quand on parle de sexualité en maternelle ou en primaire ».

    Françoise Laurent, ancienne président du Planning Familial

    La promotion de l’avortement « libre et gratuit » n’est plus le seul combat du Planning familial. L’association ferraille aujourd’hui contre « l’hétéro-normativité » Une militante de l’antenne nordiste du Planning commence son intervention par un retentissant : « bonjour à toutes, à tous et aux autres ». Bienvenue dans le meilleur des mondes… Comme dans le roman d’Aldous Huxley, l’enfance est le terrain de la lutte. C’est dès le plus jeune âge qu’on doit être conditionné au rejet de l’homophobie. Selon la militante il faut « mettre à mal le système réactionnaire qui prétend assigner un destin à une personne suivant l’apparence de ses organes génitaux. » Vifs applaudissements dans la salle.

    Sa collègue, conseillère conjugale, « gouine » autoproclamée et coauteur d’une brochure diffusée en milieu scolaire intitulée « tomber la culotte », se propose d’aider les hétérosexuels à mieux vivre par une déconstruction des stéréotypes de genre…

    Bien que l’événement se voulait festif, les militants « féministes et laïcs » ne cachent pas leur inquiétude face au « retour de la droite pétainiste et vichyste ». « Le combat est permanent », regrette Jean-Marie Bonnemayre – président du Conseil National des Associations Familiales Laïques – « chaque enfant a droit à une éducation laïque débarrassée des préjugés familiaux ».

    Jean-Marc Roirant, président de la Ligue de l’Enseignement, vitupère contre « les associations catholiques qui empêchent par leurs pression sur les autorités publiques, la diffusion (à l’école) de dessins représentant deux hommes se donnant la main ».

    “Les jeunes perçoivent les féministes comme des lesbiennes, des frustrées”

    Lucie Daniel, chargée du programme « Jeunes » au Planning, se veut optimiste mais ne peut s’empêcher de rappeler à ses camarades l’évidence : « les jeunes du Planning ont vieilli ». Auprès de sa génération elle constate que le mouvement à l’image d’une « association de soixante-huitards ». Quand elle parle de féminisme avec les jeunes « les choses se compliquent »… D’après elle, ceux-ci y voient « une affaires de lesbiennes, de frustrées ».

    Le Ministre, tout sourire face à ses "copines"

    La conclusion de ce singulier anniversaire revient au Ministre des Familles (sic). Sous les applaudissement de l’auditoire clairsemé, Laurence Rossignol salue la « remarquable, longue et belle histoire » du Planning. Elle définit sa mission ministérielle comme étant celle de « faire vivre le féminisme et de dénicher le sexisme partout où il se cache ». Le Ministre fait part de ses regrets quant au renoncement par le gouvernement d’offrir la PMA aux lesbiennes. « Nous n’avions pas anticipé le mouvement de la Manif pour Tous », justifie-t-elle . Aujourd’hui, le gouvernement ne veut pas « prendre le risque de porter ce changement » mais le Ministre assure«  attendre la moindre fenêtre de tir pour agir sur ce dossier ».

    Rassérénée quand il s’agit d’évoquer l’action du gouvernement sur l’avortement, Laurence Rossignol se félicite que « l’IVG » soit devenue « un acte courant dans la vie des femmes ». Elle insiste : « il faut légitimer cet acte, ne pas en faire un acte de culpabilité », raison pour laquelle la notion de détresse a été supprimée de la loi Veil ; « il faut que les femmes puissent dire qu’elles ont très bien vécu leur IVG ». Le Ministre revendique «  un cadeau d’anniversaire pour le Planning »: la loi santé permettant le remboursement à 100 % de tous les actes « médicaux » liés à un avortement et la possibilité pour les sage-femmes d’effectuer des « IVG médicamenteuses. » Quant aux « mouvements réactionnaires » dont la vitalité angoisse les militantes féministes la solution aux problèmes qu’ils posent ne semble pas faire l’ombre d’un doute pour le Ministre : il faut utiliser l’arsenal répressif permis par l’extension du délit d’entrave à l’IVG. « Heureusement, nous avons des alliés à droite », conclue-t-elle, rassurante.

    Après les discours, succèdent les agapes, les militantes de l’égalité se ruent sur le champagne et les noix de Saint-Jacques. Le Ministre ouvre le bal par un sonore « j’arrête pas de bouffer ». Avec l’argent du contribuable, ajoutera-t-on…

    Le Planning familial est une vieille dame stérile et lucide quant à son avenir incertain. Mais on aurait tort d’envisager ses funérailles. Sevrée de subventions et chouchoutée par les pouvoirs publics, elle peut compter sur l’appareil étatique pour se maintenir en vie encore longtemps, même artificiellement. Au prix, hélas, de nombreuses victimes…

    METAMAG

    > Cet article a initialement été publié sur le site de l’association Droit de Naître.

  • Trump tweets

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  • Le vice-chancelier allemand : Trump, Le Pen et Wilders, « une menace pour la paix »

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    15h01

    Le milliardaire américain Donald Trump, favori du Parti républicain dans la course à la Maison Blanche, représente une menace pour la paix, la cohésion sociale et la prospérité, a déclaré dimanche le vice-chancelier allemand Sigmar Gabriel. Il a qualifié le magnat de l’immobilier de « populiste de droite« , qui, promet aux électeurs ébranlés par la mondialisation de revenir à « un monde de conte de fées » protégé.

    « Qu’il s’agisse de Donal Trump, de Marine Le Pen ou de Geert Wilders ces trois populistes de droite ne représentent pas seulement une menace pour la paix et la cohésion sociale mais aussi pour le développement économique », a déclaré le responsable allemand social-démocrate au quotidien dominical Welt am Sonntag.

  • Brexit: le charismatique maire de Londres Boris Johnson dénonce "les agents du projet de la peur"

    http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/brexit-le-maire-de-londres-boris-johnson-denonce-les-agents-du-projet-de-la-peur-06-03-2016-5603313.php

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  • Colloque de l’Institut Iliade : Face à l’assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne !

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    06/03/2016 – CULTURE (NOVOpress)
    Le prochain colloque de l’Institut Iliade se tiendra le 9 avril prochain à la Maison de la Chimie, dans le VIIe arrondissement de Paris. Consacré à la nécessaire affirmation de l’identité européenne menacée par l’invasion migratoire, il devrait intéresser nos lecteurs au plus haut point.

    Les exactions de masse commises le soir du Jour de l’An dans de nombreuses villes d’Allemagne et d’Europe annoncent les risques que représente l’immigration massive pour nos peuples et notre civilisation. Le rouleau compresseur est en marche ! Celui, implacable, et mortel, du Grand Remplacement de population, facilité par l’effacement de notre mémoire, de notre identité et de notre légitime fierté d’Européens.

    L’Iliade appelle à un sursaut intellectuel et moral afin de réaffirmer nos valeurs, nos libertés et nos droits sur la terre de nos ancêtres.

    La matinée est consacrée à l’analyse de l’assaut migratoire, avec notamment Bernard Lugan : (« La grande invasion des années 2000, un phénomène sans précédent dans l’histoire de l’Europe et du monde »), François Bousquet (« L’idéologie ‘Big Other’ : les autres avant les nôtres », un diaporama consacré à « Un exemple de submersion migratoire islamique : la situation au Kosovo » ou l’évocation du Camp des Saints avec une discussion entre Christopher Gérard et Jean Raspail.

    L’après-midi vise à définir, face à la menace, les conditions et leviers du nécessaire réveil de la conscience européenne, avec Ivan Blot [« L’Être des nations contre l’avoir des marchands »], Renaud Camus [« La fierté contre la repentance »], Jean — François Gautier [« La pérennité de l’âme européenne »] et Jean-Yves Le Gallou [« Pour la préférence de civilisation »]. Une table ronde animée par Patrick Pehele réunira des représentants de la « Génération 2013 », jeunes engagés dans la Cité dont les initiatives sont autant de « signes du réveil » européen.

    • Samedi 9 avril à partir de 10 h
    • Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75 007 Paris
    • Entrée simple : 10 €
    • Tarif de soutien : 30 €
    • Tarif bienfaiteur : 100 €
    • Inscription sur https://www.weezevent.com/colloque-institut-iliade-2016

  • L’hommage du Front national à Jeanne d’Arc : plus que jamais !

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    © FN

    Marine Le Pen a décidé de faire évoluer la forme de cet hommage. Le dépôt de gerbe au pied de la statue de Jeanne sera bien évidemment maintenu.

    Homme politique

    Vice-Président du Front National, Député européen

      

    Depuis vendredi, les réseaux sociaux, les médias se sont emballés un peu vite. Le Front national renoncerait à fêter Jeanne d’Arc ! Lecture, écoute un peu rapides de ce que Florian Philippot a dit sur le plateau de France 2 vendredi dernier, goût du buzz, mauvaise foi, que sais-je ? Et puis quoi, encore ? Demain, on pavoisera aux couleurs de l’Europe, on ne chantera plus « La Marseillaise ». Que ne dit-on pas sur le Front, pour le dénigrer ou plus simplement pour vendre du papier ?

    Non, le Front national ne renonce pas à fêter Jeanne d’Arc le 1er mai comme il le fait depuis 1988. Rappelons, d’ailleurs, que cette initiative fut lancée par Jean-Marie Le Pen à l’occasion des élections présidentielles où il avait rassemblé plus de 4 millions d’électeurs sur son nom au premier tour : plus de 14 % des voix, un record à l’époque. Le fondateur du mouvement patriote décida alors d’organiser un hommage à Jeanne d’Arc dans l’entre-deux-tours qui tombait, cette année-là, le 1er mai. C’est à cette occasion que Jean-Marie Le Pen lança ce slogan : « Pas une voix pour François Mitterrand. » La droite, ou tout du moins ceux qui se prétendent de droite aujourd’hui, devraient se souvenir de cet appel, lancé devant la statue de Jeanne !

    La fête du 1er mai, hommage à Jeanne d’Arc, fut ensuite institutionnalisée au FN et couplée avec la fête du Travail qui n’avait – et n’a plus que jamais – aucune raison d’être monopolisée par la gauche. Depuis 1988, la forme de cet hommage n’a jamais évolué : un défilé, un dépôt de gerbe et un discours du président du mouvement.

    Marine Le Pen a décidé de faire évoluer la forme de cet hommage. Le dépôt de gerbe au pied de la statue de Jeanne sera bien évidemment maintenu. Il sera suivi d’un déjeuner patriotique qui sera l’occasion, pour notre présidente, de prononcer un discours.

    Bien sûr, les événements y sont un peu pour quelque chose. La France est menacée par le terrorisme islamiste et l’on sait désormais que le Front national est une cible potentielle pour Daech qui, lui, malheureusement – à la différence de nos politiciens LRPS – tient toujours ses promesses. L’État, d’ailleurs, ne peut nous garantir la sécurité de l’événement, comme il peut le faire pour d’autres manifestations…

    Mais la raison sécuritaire n’est pas la seule raison de cette évolution. De même que notre emblème – la flamme tricolore – a déjà souvent changé d’aspect depuis la fondation de notre mouvement, la forme de notre hommage à Jeanne doit évoluer avec le temps. La forme change quelque peu mais le fond, l’essentiel restent. C’est cela, la tradition !

    Oui, le Front national continuera à rendre hommage à notre héroïne nationale, à la patronne secondaire de la France. Dans le sillage de Jean-Marie Le Pen, cette année comme par le passé, Marine Le Pen, les dirigeants, les élus, les militants et sympathisants du Front national viendront saluer la Pucelle et déposer au pied de sa statue une gerbe de fleurs. Je dirai même que le jour où le Front national n’accomplira plus ce geste, ce devoir, il ne sera plus le Front national. Car Jeanne d’Arc, c’est la France, et la France, c’est Jeanne d’Arc.

    Alors que notre pays est en péril de mort, Jeanne d’Arc nous rappelle que rien n’est jamais perdu tant qu’il existe encore une conviction, une volonté, une intelligence, aussi modestes soient-elles. Jeanne d’Arc, c’est tout le contraire de la résignation à laquelle nous condamnent les Hollande, Valls, Juppé et consorts.

    Jeanne d’arc, plus que jamais !

    BV

     

  • Ryad annonce que Hollande a remis la Légion d’honneur au Prince héritier saoudien. Pas un mot à Paris

    http://www.fdesouche.com/706285-exclusif-ryad-annonce-que-hollande-remis-la-legion-dhonneur-au-prince-heritier-saoudien-pas-un-mot-paris

    HONTEUX ! IGNOBLE !

  • AUDIO - Philippe de Villiers : « Jeanne revient comme pour nous dire la France n’est pas morte ! »

    http://fr.novopress.info/199094/philippe-villiers-jeanne-revient-dire-france-nest-pas-morte/

     

    05/03/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Le Puy du Fou vient de reprendre l’anneau de Jeanne d’Arc aux Anglais. Philippe de Villiers raconte le retour symbolique sur notre terre de celle qui « est dans le cœur de tous les Français »…

    Découvrez cet entretien audio accordé à Boulevard Voltaire.

     

  • Un chariot du 19e siècle découvert dans un lac asséché du Far West

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    Par Vincent Cuzon le 27 Février 2016

     

    La sécheresse qui frappe l'Ouest américain a provoqué la baisse du niveau des eaux d’un lac de l’Oregon… laissant apparaitre un chariot de l'époque de la ruée vers l'or. Fascinant !

    Dave Zahn, un officier de police du comté de Marion, dans l’Oregon, conduisait près du lac Detroit lorsqu’il a découvert un incroyable chariot datant du 19e siècle. Partiellement exhumé en raison d'une vague de sécheresse, le véhicule gisait à la renverse et était en partie recouvert de boue. Retrouvé en excellent état, ce wagon des années 1870, a pu être préservé pendant de nombreuses décennies dans le fond du lac grâce à un environnement subaquatique où le taux d’oxygène est extrêmement faible » explique l’archéologue Cara Kelly. Aujourd’hui, le niveau du lac Detroit est remonté et le chariot devrait désormais rester sous les eaux pendant de nombreuses décennies… 

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    NdB: Une relique émouvante quand on pense aux pionniers qui ont bâti l'Amérique...