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  • L'anneau de Jeanne d'Arc est de retour en France !

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    La relique datant du XVe siècle a été vendue pour un montant de 297.600 livres sterling (376.833 euros) à un Français, qui a préféré garder l’anonymat. L’anneau de Jeanne d’Arc, héroïne de l’histoire de France, a été acheté par un Français au cours d’une vente aux enchères organisée à Londres, lequel a préféré garder l’anonymat, a déclaré le porte-parole de la maison d’enchères Timeline Auctions.

    La mise à prix de la relique datant du XVe siècle était de 14.000 livres sterling (19.051 euros). Malgré l’absence de preuves que cet anneau ait appartenu à Jeanne d’Arc, il a été vendu vendredi pour un montant record de 297.600 livres sterling (376.833 euros).

    Selon les représentants de la maison d’enchères, Jeanne d’Arc a donné une description détaillée de cet anneau au cours de son interrogatoire à Rouen le 17 mars 1431. Elle contient l’inscription Jhesus Maria et trois croix gravées.

    L’anneau, accompagné de documents qui l’authentifient, est conservé dans un baguier en bois. Après l’exécution de Jeanne, l’objet précieux a été porté par le roi Henri VII d’Angleterre.

    « L’anneau rentre en France », a dit aux journalistes le porte-parole de la maison d’enchères sans préciser le nom du Français qui a fait l’acquisition de cette relique.

    Le bijou a été mis aux enchères par le fils du médecin personnel de Charles de Gaulle. Auparavant, le gouvernement français avait envisagé d’examiner la possibilité d’acheter cette relique.

    Source

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  • Moscou : Une nounou ouzbèke musulmane décapite une fillette de 4 ans

    29 février 2016 par Pierrot - Contre-info.com

    Une nounou a été arrêtée aujourd’hui à Moscou après avoir décapité un enfant de 4 ans qu’elle était censée garder et avoir incendié son appartement, ont annoncé les médias russes et le comité d’enquête. « Le corps d’un enfant âgé de 4 ans, portant des traces de mort violente », a été découvert aujourd’hui dans un appartement dans le nord-ouest de Moscou, a indiqué le comité d’enquête de la capitale russe.

    « Le corps était décapité. Selon de premières informations, la nounou avait emporté la tête avec elle », a déclaré une source au sein des forces de l’ordre. « La nounou, originaire d’un pays d’Asie centrale, née en 1977, a tué l’enfant (…) avant d’incendier l’appartement et de s’enfuir », précise le communiqué du comité d’enquête. Selon la chaîne de télévision populaire Lifenews, la victime s’appelait Nastia.

    Sa nounou, Gultchekhra Bobokoulova, 39 ans, a été arrêtée près d’une station de métro dans le nord-ouest de Moscou, avec la tête de la fillette dans un sac plastique, affirme cette chaîne connue pour ses liens avec les services de sécurité russes. Selon l’agence Interfax, la nounou est originaire d’Ouzbékistan, ex-république soviétique d’Asie centrale à majorité musulmane.

    Selon des témoins cités par des médias russes, la nounou a crié « Allah Akbar! » au moment de l’arrestation. La femme qui faisait preuve d’ »une conduite clairement inadéquate » a été arrêtée et subira « un examen psychiatrique », a ajouté le comité d’enquête.

  • Calais : démantèlement de la «jungle» suspendu, des camions caillassés

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    Calais (Pas-de-Calais), lundi 29 février 2016. La situation s'est tendue en début d'après-midi lorsque des projectiles ont été lancés sur les CRS par des migrants et des militants antifrontières (No Border). (Reuters/Pascal Rossignol.)

    Quatre jours à peine après une décision de justice validant l'évacuation d'une partie de la «jungle» de Calais, l'État en a entamé lundi le démantèlement du bidonville, sous haute protection policière et dans un climat de tension.

     
     

    Devant les affrontements, l'opération a dû être suspendue en fin de journée. 

    En soirée, quelque 150 migrants, certains armés d'une barre de fer, se sont introduits une heure durant lundi soir sur la rocade portuaire jouxtant la «jungle» de Calais, lançant des pierres ou tapant sur des véhicules en partance vers l'Angleterre.  A 19h45, la police avait repris le contrôle de la rocade, jonchée de débris, et l'accès au port depuis l'A16 a été fermé.

    Plusieurs camions et voitures ont été bloqués par les migrants sur ce tronçon surplombant une bande de terre de 100 m auparavant incluse dans le périmètre de la «jungle», et rasée en janvier à l'initiative de l'Etat. De nombreux migrants se trouvaient également sur cette portion. Les forces de l'ordre, d'abord présentes en nombre réduit, ont répliqué par des tirs dissuasifs de gaz lacrymogène. La circulation restait néanmoins perturbée.

     
    Des abris de fortune démontés tôt le matin


    Une vingtaine de salariés d'une entreprise de travaux publics se sont activés tôt lundi matin dans la partie sud de la «jungle», là où vivent de 800 à 1000 migrants selon la préfecture, mais 3450 selon les associations. 

    Sous un soleil radieux mais par un vent glacial, ils ont commencé à démonter à la main les abris de fortune, tentes ou cabanes, vides pour la plupart, se débarrassant d'objets divers dans de grandes bennes : planches, cartons, éléments de charpente… 



    Quatre nouvelles interpellations

    Cette opération se déroule sur une zone de 100 m sur 100 m, dûment quadrillée par les forces de l'ordre. Plus de trente véhicules de CRS et deux camions antiémeutes ont été mobilisés à l'entrée ouest du camp. Après une matinée plutôt calme, la situation s'est tendue en début d'après-midi : à la suite d'un départ de feu de cabanes, des projectiles ont été lancés sur les CRS par des migrants et No Border — 150 personnes, selon la préfecture —, qui ont riposté en faisant usage de gaz lacrymogène. Quatre personnes -trois militant No Border et un migrant- ont été interpellées suite à ces incidents. Cinq CRS ont été blessés, d'après le site du «Soir».

    Vers 17 heures, le démantèlement a dû être interrompu à cause des violences, précise La Voix du Nord. En tout, une dizaine de cabanes ont brûlé et des bonbonnes de gaz ont explosé. 

    Le déploiement des forces de l'ordre visait «à sécuriser le travail de l'entreprise» chargée du déblaiement, mais aussi à «permettre aux maraudeurs de travailler sereinement», pour «que les migrants ne soient pas sous le joug des activités de No Border», avait expliqué le préfet du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, présente sur les lieux.

    Les «maraudes sociales» de la préfecture, qui tentent de convaincre les migrants de quitter la «jungle» pour rallier l'un des 102 centres d'accueil et d'orientation (CAO) disséminés en France ou rejoindre le Centre d'accueil provisoire (CAP) composé de conteneurs chauffés, ont en effet été sérieusement perturbées vendredi par ces militants radicaux œuvrant à l'abolition des frontières, au lendemain du feu vert du tribunal administratif validant l'évacuation d'une partie du camp. Ils avaient notamment tenté d'empêcher certains migrants de prendre place dans les bus requis pour leur acheminement en CAO.

    Les associations surprises par l'ampleur du dispositif policier

    L'intervention a visiblement surpris les associations : «Nous n'étions pas au courant de cette opération d'ampleur. Nous ne pensions pas que ça allait se faire avec autant de force de police. C'est d'une tristesse infinie de voir ce gaspillage du travail que nous avons réalisé depuis des mois. Ces gens veulent rejoindre la Grande-Bretagne et ne partiront pas et seront encore plus précarisés, surtout en plein hiver», a dénoncé Maya Konforti, une représentante de l'Auberge des migrants.

    «Ces opérations de mise à l'abri, de maraudes sociales et d'enlèvement des logements inoccupés vont se poursuivre durant plusieurs semaines», a indiqué la préfecture, qui avait parlé jeudi d'«un mois, peut-être plus». Jeudi, le gouvernement, qui veut démanteler le plus grand bidonville de France où survivent entre 3700 et 7000 migrants selon les sources, avait obtenu gain de cause auprès de la justice administrative pour une évacuation de la zone sud camp, contestée par migrants et associations, mais les autorités avaient immédiatement assuré qu'elles n'entendaient pas recourir à la force.
     
    Le Parisien
  • Crise des migrants. Serons nous victimes des victimes ? Par Hervé Juvin

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    l y a 11 heures

     

    Le Breton Hervé Juvin est essayiste et économiste et l’auteur d’ouvrages fondamentaux comme Produire le Monde, Le Renversement du Monde ou encore plus récemment La Grande Séparation, pour une écologie des civilisations et Le Mur de l’Ouest n’est pas tombé . Il nous adresse cette tribune, en exclusivité, consacrée à la crise des migrants et intitulée : « serons-nous victimes des victimes ? ».

    Serons-nous victimes des victimes ?

    Le statut de victime éblouit tous ceux qui lui sont confrontés. Et il abolit toute intelligence politique. Qui sont-ils, d’où viennent-ils, pourquoi viennent-ils, que viennent-ils chercher ? Le statut libéralement attribué de victime interdit de poser ces questions, il interdit même d’y penser. Devant la « jungle » de Calais, devant la vague inédite de migration qui de part en part, touche toute l’Europe, sous le couvert de la victimisation des arrivants et de la culpabilisation symétrique des indigènes, une étrange sidération règne, qui interdit les questions gênantes et qui prépare les pires heures à une Europe incapable de se définir, de se choisir, et de se défendre.

    Aucun doute ; un grand nombre des migrants sont des victimes. Nos victimes. Victimes de l’aventurisme américain aux Proche et Moyen Orient. Victimes de l’entreprise de destruction du droit international et de la négation de la souveraineté des États que l’unilatéralisme occidental a engagée, de Bagdad à Damas et Benghazi à Kaboul. Ils ne le sont pas tous. Nos alliés russes n’ont pas tort de nous alerter sur le nombre de candidats au jihad européen qui se glissent dans les cargaisons de migrants. Les policiers, quand ils peuvent parler, n’ont pas tort de rappeler l’énormité des profits amassés par le crime organisé, en particulier par la mafia turque, qui contrôle les embarquements et fait payer des prix exorbitants aux candidats au passage. Le trafic d’êtres humains est devenu une industrie, les idiots utiles qui aident les migrants et en attirent sans cesse davantage y pensent-ils ? Et ceux qui soulignent que les réfugiés économiques, seulement en quête d’accès aux systèmes sociaux les plus aveugles du monde, et aussi les plus généreux, sont plus nombreux que les réfugiés politiques, n’ont pas tort de dénoncer les associations d’aide qui prospèrent sur la misère des migrants, et sont les complices involontaires du crime organisé, en augmentant les chances de survie des migrants – là où les chances de survivre sont nulles, il n’y a pas de migrants, et pas de trafiquants.

    Aucun doute non plus ; les populations d’origine, les indigènes, sont les victimes des victimes. D’abord, par la culpabilisation qui leur est assénée ; être ce qu’ils sont, venir d’où ils viennent et vouloir demeurer, serait déjà un crime. Dans le conflit millénaire entre nomades et sédentaires, les prédateurs modernes ont choisi leur camp, et la presse, les associations, les élus aussi, hélas, leur emboîtent le pas ; seuls, les nomades ont droit de cité, il ne reste au « petit blanc » de son sol, de chez lui et des siens, qu’à applaudir à sa propre disparition. Sinon, gare, la police veille sur les criminels qui prétendraient défendre leur frontière, leur identité, et leur famille ! Pillés, menacés, agressés, volés, chez eux, il faut encore qu’ils soient contents ! Il faut qu’ils applaudissent aux mensonges historiques qui affirment que la France, comme la Bretagne, ont toujours été terres de migrations, qui criminalisent la notion d’enracinement, comme si quelques siècles de présence sur un territoire ne faisaient pas des indigènes, avec quelques droits de se maintenir et de se défendre ! Comme si le sang versé, sur les champs de bataille, dans la mine ou les champs, ne faisait pas d’Italiens, de Polonais, de bien d’autres, les Français que les papiers ne font pas !

    Aussi, par l’étau économique et social qui se resserre. On a déjà entendu une banque européenne suggérer l’idée brillante et surtout humaniste, que, pour faciliter l’accueil des migrants, mieux vaudrait supprimer pour eux le salaire minimum ! On entend la petite musique des assureurs qui suggèrent que, pour faire face à la ruine future de systèmes de solidarité fondés sur un haut degré de mutualisation, donc de citoyenneté,  il faut hâter la privatisation des systèmes sociaux ! Et le piège devient clair ; détruire l’unité interne des Nations européennes, les exposer à un flux de migrants incontrôlé et voulu incontrôlable, c’est assurer très vite l’explosion des cadres sociaux et du droit du travail, c’est engager bientôt l’Europe sur la voie de la privatisation complète de la santé, de l’assurance, de la retraite – bref ; il y en a pour qui l’afflux de migrants est une bonne affaire en perspective, le pire est qu’ils trouvent des collaborateurs honnêtes, généreux et naïfs pour les aider dans cette voie !

    Ensuite, par l’incapacité de l’Europe à se définir. La trahison de Mme Merkel, qui renouvelle en l’inversant la rhétorique nazie – les nazis inventaient une identité allemande idéalisée en diabolisant l’Autre, Mme Merkel diabolise l’identité allemande en inventant un Autre idéalisé – n’est pas un fait isolé, et il faut rendre hommage à Manuel Valls pour l’avoir dit haut et fort dans son discours de Munich, en évoquant la naïveté européenne et la trahison allemande ; si l’Union européenne nie la singularité européenne, elle n’est que l’outil de destruction de l’Europe. Et l’Allemagne, pour la troisième fois, aura joué le rôle déterminant dans le suicide européen en cours ; 1914, 1933, faut-il ajouter 2015 ? Le problème est que cette négation fait de l’Europe une entité inconsistante. Qui ne sait se définir ne peut se préférer, ni se défendre. Nous, Français, comme tant d’autres Européens, de la Pologne à la Hongrie et du Danemark à l’Italie, sommes victimes d’une entreprise de désarmement mental et politique qui, en effet, nous promet à toutes les invasions, à toutes les contaminations, comme tout organisme vivant qui ne sait prendre de l’extérieur ce qui le nourrit, rejeter à l’extérieur ce qui le menace.

    Le problème est enfin que les élites, ou ceux qui se prétendent tels, sont désarmées devant une situation que rien ne les prépare à affronter. D’un côté, un droit-de-l’hommisme qui produit déjà les pires catastrophes politiques et humanitaires, mais continue de saturer les esprits ; de l’autre, un économisme partout présent, qui rêve sans le dire des marchés d’esclaves de jadis – il y a des hommes au sud, il y a du travail au nord et pas d’enfants, pourquoi ne pas importer les premiers au nord ? Le mépris pour les cultures, les religions, les origines, les identités, qui insulte la personne humaine, ne frappe personne ; l’homme moderne se réduit à sa fiche de salaire et sa carte de crédit, vous ne le saviez pas ? Le tout, enrobé dans une préférence pieuse pour les migrants et habillé d’une obsession anti-raciste qui est à peu près tout ce qui reste à une gauche « socialiste » qui a tout trahi, tout renié, tout abandonné, et d’abord le peuple français, pour croire qu’elle existe encore. Comment nos dirigeants pourraient-ils agir, puisqu’ils ne peuvent même pas nommer ce qui se passe ? Comment pourraient-ils défendre et protéger, puisqu’ils nous interdisent et s’interdisent eux-mêmes de désigner ce qui se passe, et d’interroger des mots comme invasion, comme agression, comme submersion, comme colonisation inversée ? Quand il est impossible de nommer, il est impossible de penser. Nous y sommes. Ils sont pris à leur propre piège. Et nous y sommes pour longtemps, tant l’Union européenne est prête à la soumission, tant ses petits commis agents américains ou ses grands apôtres, de Jurgen Habermas qui croit qu’on fait un peuple avec une Constitution, au général américain Wesley Clark répétant que son job est « d’en finir avec l’unité des Nations européennes », jusqu’au pape François qui, au mépris de cette écologie humaine à laquelle se référait si bien l’encyclique « Laudate si », considère que l’Europe est un continent fini, que l’avenir de l’Eglise est en Afrique, en Amérique latine et en Asie, et qui en tire les conséquences en encourageant la colonisation de l’Europe, sont les promoteurs du désarmement identitaire, politique et moral des peuples européens. 

    Les moyens et les solutions sont évidentes. Les bateaux, les canots pneumatiques sont rangés sur les plages ou à l’amarre. Ils peuvent être coulés. Les embarcations repérées en mer peuvent être reconduites à leur point de départ. Les réseaux qui exploitent les migrants comme le faisaient leurs ancêtres, trafiquants d’esclaves, peuvent être frappés et éliminés ; s’ils persistent, c’est qu’ils bénéficient du soutien d’États, c’est qu’ils sont les moyens de chantages géopolitiques qu’il faut tirer au clair. Car les pays qui se livrent complaisamment au trafic des migrants, l’utilisent et le mobilisent comme arme politique, peuvent et doivent être sanctionnés. La Turquie doit payer pour l’accueil en Europe des migrants qu’elle a rançonnés et pillés avant de les faire partir.  Elle doit payer pour son aide aux mouvements terroristes actifs en Syrie, pour ses trafics pétroliers avec l’État islamique, et pour la guerre qu’elle conduit contre l’État kurde. Evidemment, toute perspective d’une entrée de la Turquie en Europe doit être fermée, le contrôle des visas turcs renforcés. Et que fait la Turquie, puissance terroriste et subversive utilisant le chantage aux migrants contre l’Union européenne, dans une OTAN supposée être le moyen de la sécurité européenne ?  Protégez nous de ces alliés qui nous veulent tant de bien, nous nous occuperons de nos ennemis.

    Hervé Juvin

    BREIZH-INFO.COM

    (merci à Dirk)

  • Les enfants ont-ils besoin d'animaux de compagnie?

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    En tous cas, la photo est ravissante!

    (merci à Dirk)

  • Donald Trump lit un poème "The vicious snake"...

    https://youtu.be/yeJ-iv3MOTo

    BREIZATAO – ETREBROADEL (23/02/2016) Le candidat républicain Donald Trump a donné lecture d’un poème intitulé “The vicious snake” (“Le serpent cruel”)

    Le texte :

    En allant à son travail un matin, sur le bord du chemin le long du lac,
    Un femme au bon coeur vit un pauvre serpent, à demi-glacé,
    Sa belle peau, avec la rosée, avait gelé,
    “Eh bien” pleura-t-elle, “je te prendrai chez moi et je prendrai soin de toi”
    “Emmène-moi chez toi, oh tendre femme,
    “Emmène-moi chez, pour l’amour du Ciel,
    “Emmène-moi chez toi, ô tendre femme”, supplia le serpent vicieux

    Elle l’enveloppa d’une couverture de soie,
    Et ensuite le déposa près de sa cheminée, avec du miel et du lait,
    Maintenant, elle se dépêche de rentrer du travail ce soir là et bientôt elle arrive
    Elle trouve le beau serpent qu’elle emmené chez elle et ravivé,
    “Prend moi, ô tendre femme,
    Prend moi dans tes bras, pour l’amour du Ciel,
    Prend moi, ô tendre femme” soupira le serpent vicieux

    Maintenant, elle le prend sur sa poitrine
    “Tu es si beau” pleure-t-elle
    “Mais tu serais probablement mort si je ne t’avais pas amené chez moi”
    Elle caresse sa jolie peau à nouveau et ensuite l’embrasse puis le serre fort,
    Plutôt que de dire “merci”, le serpent lui donne une violente morsure
    “Je t’ai sauvé” pleura la femme, “et tu m’as mordu, Ciel pourquoi ?”
    “Tu sais que ta morsure est empoisonnée, et maintenant je vais mourir”
    “Oh tais-toi, femme idiote !” dit le reptile avec un sourire,
    “Tu savais très bien que j’étais un serpent avant que tu m’emmènes”

  • Jean-Christophe Cambadélis corrigé par Eric Zemmour

    Par le 28/02/2016 - FDS

    21h47

    Le face à face a opposé Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, à Éric Zemmour, journaliste et essayiste. – BFM Politique, du dimanche 28 février 2016, présenté par Apolline de Malherbe, sur BFMTV.

    A VOIR ABSOLUMENT JUSQU'AU BOUT

     

  • Suisse : Référendum sur le renvoi automatique des étrangers auteurs de délits. Le non l’emporte à 58,9% (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/704363-suisse-referendum-sur-le-renvoi-automatique-des-etrangers-auteurs-de-delits

    + 2 VIDEOS

     

  • VIDEO - Ségolène Royal « prête à prolonger de 10 ans les centrales nucléaires »

    https://youtu.be/OZnB7frSbQI

    23h31

    La ministre de l’Environnement et de l’Énergie, Ségolène Royal, a indiqué dimanche être « prête à donner (le) feu vert » au prolongement de dix ans de la durée de vie des centrales nucléaires françaises, qui passerait ainsi de 40 à 50 ans.

  • VIDEOS - Un bébé lapin paralysé se déplace grâce à un mini skateboard

    http://fr.sputniknews.com/insolite/20160224/1022028429/lapin-wheelz-usa-skateboard.html

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    Trop drôle et trop gentil! Regardez les deux vidéos!

     

  • Japon : 27 réfugiés acceptés en 2015, 2 déjà inculpés de viol

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    28/02/2016 – MONDE (NOVOpress)
    Gros émoi au Japon où la délinquance violente… et l’immigration sont pratiquement inexistantes, avec cette affaire de viol par des réfugiés.

    Vers 12 h 30, le 27 décembre de l’année dernière, Onder Pinarbasi, 22 ans, et un garçon de 16 ans ont agressé sexuellement une Japonaise d’une trentaine d’années dans les toilettes publiques de la gare d’Akabane. Les suspects ont également volé à la victime 9000 yens en argent liquide. Pinarbasi, qui a été inculpé de viol et de vol qualifié, prétend que c’est le mineur qui a commis les deux crimes. Son complice ne reconnaît que l’accusation de vol qualifié. « J’ai ne l’ai pas forcée, » a-t-il déclaré à la police en niant l’accusation de viol, selon le journal Yomiuri Shimbun du 22 février. L’incident s’est produit après que les suspects demandaient de l’aide à la jeune femme, alors qu’elle rentrait chez elle.
    Les suspects sont arrivés au Japon l’année dernière. Ils ont demandé le statut de réfugié en août et en octobre, d’après le Bureau de l’Immigration du Japon, au motif qu’ils ne pouvaient pas retourner en Turquie en raison de « problèmes familiaux ».
    Pendant que leurs demandes étaient en cours d’examen, les suspects ont reçu un statut de visa accordant « une permission spéciale pour rester au Japon ». Ces individus sont devenus des suspects pour la police après l’examen des images de caméra de surveillance prises dans le secteur de l’agression.

    Souce: Sankei Shimbun.

  • Gard : 7000 à 15 000 personnes défilent contre le gaz de schiste

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    http://www.leparisien.fr/environnement/energies/gard-plusieurs-milliers-de-personnes-reunies-contre-le-gaz-de-schiste-28-02-2016-5584167.php

     

  • VIDEO - Des migrants de Calais trouvent refuge dans d'autres ports

    https://youtu.be/jlyXMPnNPuY

    Alors que la justice a validé le démantèlement de la partie sud de la "jungle" de Calais, les migrants se dirigent vers d'autres ports de la Manche, avec l'objectif de rejoindre le Royaume-Uni. C'est notamment le cas à Ouistreham, dans le Calvados, où ils tentent d'embarquer sur des ferrys. Chaque semaine, ils seraient une centaine à tenter la traversée. Le phénomène inquiète les commerçants de la petite station balnéaire, qui ont peur de voir fuir leur clientèle saisonnière.

    Boulevard Voltaire

  • Orbán en appelle au peuple hongrois face aux quotas de migrants voulus par l’Union européenne

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    Orbán a pris tout le monde de court le mercredi 24 février 2016 en annonçant la tenue d’un référendum sur les quotas de répartition obligatoires de migrants.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, loin d’être perturbé par les critiques de l’Union européenne et les chantages financiers de Berlin envers les pays qui refusent les quotas de migrants, poursuit son offensive diplomatique. Celle-ci vise à faire changer le cap de l’Union européenne sur la question migratoire, mais pourrait tout aussi bien aboutir à des fractures insurmontables.

    Récemment, Viktor Orbán a annoncé, avec les quatre pays du groupe de Visegrád (Pologne, République Tchèque, Slovaquie, Hongrie), son intention d’aider la Macédoine et la Bulgarie à construire des barrières à leur frontière avec la Grèce en vue de contenir les flux migratoires.

    Alors que les flux vers l’Europe vont en augmentant et que la pression migratoire est de retour en Hongrie depuis quelques semaines (malgré la barrière construite en 2015), Orbán a pris tout le monde de court le mercredi 24 février 2016 en annonçant la tenue d’un référendum sur les quotas de répartition obligatoires de migrants pour les pays de l’Union européenne.

    La formulation de la question ne laisse guère de doute quant à un succès très franc pour le Premier ministre hongrois : « Acceptez-vous que l’Union européenne puisse imposer l’installation de citoyens non hongrois sans le consentement du Parlement ? »

    Dores et déjà, le parti nationaliste Jobbik a annoncé soutenir l’initiative de Viktor Orbán, tout en notant qu’il réclame un tel référendum depuis plusieurs mois. La gauche hongroise, complètement hors jeu depuis des années, pourrait, elle, se diriger vers un appel à l’abstention, estimant qu’il n’est pas nécessaire de s’exprimer sur ce sujet, et ne pouvant pas aggraver son suicide politique en appelant à voter « Oui ».

    Avec la crise polonaise, le référendum néerlandais sur l’accord Union européenne-Ukraine et le référendum sur le Brexit britannique, ce référendum hongrois pourrait contribuer à faire de 2016 une année particulièrement turbulente pour l’Union européenne. Au prix de sa refonte et de sa réorientation, ou bien de son entrée dans une dimension totalitaire et brutale, ou encore de son implosion.

    NDF

  • VIDEO - L’Allemagne a perdu la trace de plus de 130 000 clandestins enregistrés… Parmi eux, combien de djihadistes ?

    https://youtu.be/EhS8Cha3hlA




    1 A part cela, tout est sous contrôle, Madame la Marquise...
  • Suicides d’agriculteurs : des larmes de rage


    Agriculture : la profession de plus en plus touchée par les suicides

    Hollande traité de "fumier" au Salon de l’Agriculture

    Pendant que les Français ont les yeux rivés sur la « souffrance » des migrants, les agriculteurs étranglés par les dettes se suicident, sans faire de bruit. Nous sommes ici dans le Morbihan, et Francis Le Ferrand était éleveur laitier. À la fin, il ne pouvait même plus se payer un salaire. Sa femme et son fils témoignent.

     

    Depuis la disparition de la PAC, la politique agricole commune, les prix ne sont plus garantis, et ils peuvent atteindre des planchers mortels pour les élevages et les éleveurs.