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  • États-Unis : seuls 0,4 % des réfugiés syriens sont chrétiens

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    Au cours de ce qu’on appelle aux États-Unis « l’année fiscale » (Fiscal Year), qui a commencé le 1er octobre 2015 et s’est achevée le 30 septembre dernier, le gouvernement fédéral, selon les chiffres officiels qu’il a fournis, a accueilli dans le pays 12 587 réfugiés syriens. Contrairement à la France où la chose est interdite, les États-Unis produisent des statistiques relatives à l’ethnie ou à la religion. Comme je l’avais déjà signalé ici et en rapportant des statistiques partielles, les musulmans constituent l’écrasante majorité des réfugiés syriens : 12 486 soit 99,2 %. Les chrétiens, toutes affiliations confondues, sont au nombre de 59 soit 0,47 %, alors qu’ils composent environ 10 % de la population syrienne… Ces chiffres parlent d’eux-mêmes et en disent long.

    Source : CNS News, 3 octobre 2016

    L'Observatoire de la christianophobie

  • Migrants : Angela Merkel conspuée à Dresde

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    Encore une journée difficile lundi à Dresde pour Angela Merkel venue commémorer les 26 ans de la réunification allemande. Huée et sifflée par plusieurs centaines de personnes, elle n’était toutefois pas le seul dignitaire pris pour cible  aux cris de « Merkel, dégage ! », « Traîtres », etc. Le président Joachim Gauck a lui aussi fait les frais de la vindicte populaire. Le président du Bundestag était de la partie, de même que le ministre-président de Saxe, membre comme Angela Merkel de la CDU et dont l’épouse a même fondu en larmes. Tous ont parlé du besoin d’ouverture aux autres, de tolérance et de respect mutuel mais n’ont pu s’empêcher, comme à leur habitude, d’insulter ces Allemands inquiets pour l’avenir de leur pays face à l’invasion migratoire, les traitant de racistes et d’extrémistes, et les mettant sur le même plan que les terroristes islamistes.

    Pour le correspondant de la chaîne Deutsche Welle, ces protestations ne sont pas représentatives de l’ensemble du peuple allemand mais il faut bien reconnaître qu’elles sont devenues chose courante. Aussi les dirigeants socialistes français, habitués des sifflets et des quolibets quand ils viennent au contact du peuple, n’ont-ils plus grand-chose à envier à leurs collègues allemands. 2 600 policiers étaient présents pour assurer la sécurité des élites lundi à Dresde où deux bombes artisanales avaient explosé une semaine plus tôt, dont une devant le centre des congrès et l’autre devant une mosquée.

    Mais il n’y a pas que l’ex-Allemagne de l’Est où la tension est grande, car même dans l’ouest du pays, où la chape de plomb du politiquement correct pèse plus lourdement sur les esprits, les incidents se multiplient, de l’aveu même d’un rapport publié fin septembre par le gouvernement fédéral sur l’état du pays 26 ans après la réunification.

    Ainsi, dans la petite commune d’Oersdorf (900 habitants), près de Hambourg, le maire insistait pour accueillir des « migrants ». Malgré les menaces qu’il avait reçues, le maire de 61 ans a voulu organiser jeudi une nouvelle réunion avec les fonctionnaires de la ville pour discuter de la question, même si des réunions précédentes avaient dû être écourtées à deux reprises après de fausses alertes à la bombe. Six policiers étaient présents pour sécuriser la réunion, mais Joachim Kebschull est retourné seul à sa voiture pour y prendre son ordinateur, et c’est là qu’il a été violemment agressé et laissé sans connaissance sur le trottoir.

     

    Olivier Bault

    Article pau dans Présent daté du 5 octobre 2016

    NOVOpress

     

  • Tranche de vie en gare de Hanovre dans l’Allemagne de madame Merkel

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    05/10/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Voici une tranche de vie prise en gare de Hanovre, dans l’Allemagne de madame Merkel, le 30 septembre dernier si l’on en croit le Tweet diffusé le même jour par un internaute. Sans commentaires…

  • Saint-Gaudens (31) : le maire refuse un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Màj)

    http://www.fdesouche.com/774253-saint-gaudens-31-le-maire-refuse-un-centre-daccueil-pour-demandeurs-dasile-maj

    + VIDEO

     

  • Le général Christian Piquemal radié des cadres de l'armée (vidéo)

    Lien vidéo: http://bcove.me/s1vmuk9k

    INFO LE FIGARO - La justice a reproché à l'ancien parachutiste d'avoir organisé une manifestation non autorisée contre la politique migratoire à Calais le 6 février dernier. Le port de son uniforme lui est désormais interdit.

    Le général de corps d'armée Christian Piquemal, qui avait participé à une manifestation non autorisée contre la politique migratoire à Calais le 6 février dernier, est, selon nos informations, radié des cadres. Cette mesure disciplinaire très forte intervient comme une surprise, cinq mois après sa comparution devant le tribunal de Boulogne-sur-mer, d'autant que l'institution judiciaire l'avait finalement relaxé le 26 mai.

    Le général de 2e section, à la retraite depuis seize ans, ancien parachutiste et commandant de la Légion étrangère (de 1994 à 1999), était poursuivi pour «organisation d'une manifestation non autorisée» et «participation à un attroupement qui ne s'est pas dissous après sommation». Depuis sa relaxe, le général Piquemal s'estimait «totalement blanchi», le Parquet n'ayant pas fait appel de ce jugement. Mais sur le plan administratif, une procédure disciplinaire, lancée en mars par le ministre de la Défense, vient d'aboutir à sa radiation des cadres, le devoir de réserve du militaire étant au cœur du dossier. Le général, qui l'a seulement appris mi-septembre par un courrier recommandé, avait été entendu le 14 juin par le Conseil Supérieur de l'Armée de Terre (CSAT), siégeant disciplinairement à l'Hôtel des Invalides à Paris. L'instance avait transmis son avis consultatif - non communiqué au général ni à ses deux avocats - au ministère de la Défense, et la radiation avait ensuite été prise par un décret du 23 août signé par le président de la République, le premier ministre et le ministre de la Défense.

    «Le plus inacceptable pour moi, c'est d'être mis au ban de cette manière»

    «Profondément indigné par cette décision injuste et injustifiée, excessive et disproportionnée», réagit-il. Le général quatre étoiles entreprend aujourd'hui une procédure de recours devant le Conseil d'État, confie-t-il au Figaro, «avant d'aller devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), si besoin». «Cette sanction est un hiatus, une anomalie grave, en totale contradiction avec ma relaxe, se scandalise-t-il. C'est le désaveu du pouvoir judiciaire par le pouvoir administratif, cela bouleverse la hiérarchie des normes juridictionnelles, c'est tout simplement du jamais-vu!». Pour ce «serviteur de l'État respecté», «patriote et combattant d'élite», admiré par son entourage, la sanction a des conséquences particulièrement «humiliantes» et «vexatoires», admet le général d'une voix blanche. Si son grade ne peut lui être retiré, le port de son uniforme lui est en revanche interdit, tout comme sa carte d'identité militaire d'officier général - en principe accordée à vie. C'est l'atteinte à ces symboles forts et ce retour forcé au statut civil qui lui «font le plus mal», plus que les autres attributs, notamment financiers, liés à son statut. «Le plus inacceptable pour moi, c'est d'être mis au ban de cette manière après avoir donné quarante années au service de la France, d'être rayé comme ça et traité comme un paria». Le 6 février, à Calais, l'arrestation et la garde à vue d'une quarantaine d'heures de cet homme de 75 ans avait créé l'émoi. Aujourd'hui, une ligue de défense se constitue. Un comité de soutien et de réhabilitation du général Piquemal est en train de se monter, composé de civils et de militaires, selon nos informations, et présidé par le général (2e section) Antoine Martinez.

    Pour beaucoup de ses soutiens, cette sanction disciplinaire n'est rien d'autre qu'«un règlement de compte politique», dit l'un d'eux. «Si l'administration estime que j'ai transgressé mon devoir de réserve (valable pour tout militaire, même à la retraite, NDLR) en usant de ma liberté d'expression, analyse le général, cela veut dire une chose: c'est que ma liberté d'expression ne peut être que celle de la pensée dominante. Et si elle n'est pas conforme à la bien-pensance politique, alors elle est sanctionnée. La vérité, c'est que mon cas sert d'instrument pour faire taire la Grande Muette, car les officiers généraux s'expriment aujourd'hui beaucoup plus qu'avant. Ils veulent faire de moi un exemple pour imposer le silence dans les rangs».

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 06/10/2016. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

     

  • Theresa May : « Si vous estimez être un citoyen du monde, vous êtes citoyen de nulle part »

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    13h43
     

     

    Theresa May, le Premier Ministre britannique, va condamner « l’élite métropolitaine » qui « regarde de haut » les « millions de britanniques ordinaires » qui ne sont pas favorables à l’immigration, rapporte le Daily Mail, qui a pu prendre connaissance de la teneur du discours. Le nouveau Premier ministre, dont on attend toujours de savoir vraiment les principales orientations de sa politique, doit donner un discours important ce mercredi 5 octobre à la Conférence du Parti conservateur (sorte d’équivalent des universités d’été des partis politiques français).

    Jouant sur un registre populiste, elle va dénoncer « la classe politique et médiatique » qui pense que le patriotisme des britanniques ordinaires est « de mauvais goût » et que leurs opinions sur la sécurité sont « anti-libérales ».

    S’opposant à un Parti travailliste qui s’oriente de plus en plus à gauche, et qu’elle accusera de diviser le pays, elle dira vouloir occuper le « nouveau centre de gravité » de la vie politique britannique. Un centre populiste.

     

  • Royaume-Uni: May s'attaque à l'immigration

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    Les entreprises seront poussées à embaucher en priorité des Britanniques.

    Correspondant à Londres
    «Si vous avez perdu votre emploi à cause de l'immigration, la vie ne semble pas juste.» Dans son discours de clôture du congrès du Parti conservateur, mercredi, à Birmingham, Theresa May s'est adressée aux 17 millions de Britanniques «ordinaires» qui ont mené la «révolution tranquille» du Brexit, pour les assurer qu'elle était de leur côté. «Les gens ont voté pour le changement. Et le changement va venir», a-t-elle promis. En tête de ses priorités: la réduction de l'immigration.

    La nouvelle ministre de l'Intérieur, Amber Rudd, menace d'imposer aux entreprises de publier le nombre de leurs employés étrangers  une sorte de classement de leur patriotisme

    Parallèlement à son penchant pour un «Brexit dur», Theresa May assume un discours musclé aux accents populistes. Elle raille ceux qui méprisent «vos inquiétudes sur l'immigration». Une façon peut-être de faire oublier son échec en la matière durant ses six ans au ministère de l'Intérieur avant d'accéder à Downing Street. David Cameron s'était engagé à ramener le solde migratoire sous la barre des 100.000 personnes. Or, celui-ci a atteint un record de 327.000 personnes en 2015, dont plus de la moitié en provenance de l'Union européenne. Une promesse non tenue qui a en large partie contribué au résultat du référendum sur l'Europe.

    La nouvelle ministre de l'Intérieur, Amber Rudd - pourtant voix fervente pour le maintien dans l'UE durant la campagne - vient de dévoiler un programme robuste pour réduire l'immigration, quitte à s'exposer à de vives controverses. Son objectif: «Empêcher des immigrés de prendre des emplois que des Britanniques pourraient remplir.» Elle entend renforcer les conditions imposées aux entreprises qui souhaitent recruter des étrangers. Celles-ci doivent déjà justifier, selon les règles en vigueur, qu'elles ont cherché pendant 28 jours à pourvoir leurs offres d'emploi auprès de la population locale. La ministre menace d'imposer aux entreprises de publier le nombre de leurs employés étrangers - une sorte de classement de leur patriotisme. Elle annonce aussi un durcissement des conditions de visas pour les étudiants.

    «Nous devrions être fiers de notre capacité à attirer les meilleurs. Cette approche visant à désigner les entreprises à la vindicte pour cela n'est pas digne de notre pays»

    Carolyn Fairbairn, directrice générale de la Confederation of British Industry

    Ministre de l'Intérieur dans le «cabinet fantôme» travailliste, Andy Burnham dénonce «un ton de plus en plus xénophobe au congrès conservateur». Le patronat s'inquiète. Le directeur des British Chambers of Commerce, Adam Marshall, se dit «préoccupé à l'idée qu'employer de la main-d'œuvre internationale devienne un insigne de honte». «Nous devrions être fiers de notre capacité à attirer les meilleurs. Cette approche visant à désigner les entreprises à la vindicte pour cela est une très mauvaise chose: ce n'est pas digne de notre pays», proteste Carolyn Fairbairn, directrice générale de la Confederation of British Industry (CBI). Selon les conservateurs galvanisés par le Brexit, le Royaume-Uni doit désormais pouvoir choisir d'accueillir uniquement les «meilleurs et les plus brillants». Au risque de négliger les réalités économiques d'un pays en quasi-plein-emploi.

    «Nous avons échoué, dans notre société, à expliquer l'impact positif de l'immigration» 

    Anna Soubry, ancienne ministre pro-Europe de David Cameron

    Rivale malheureuse de Theresa May dans la course à la tête du Parti conservateur, Andrea Leadsom, aujourd'hui ministre de l'Agriculture dans son gouvernement, encourage les Britanniques à postuler aux emplois saisonniers à la cueillette des fruits à la place des Européens de l'Est. Plus d'un tiers de la main-d'œuvre de l'industrie agroalimentaire est étrangère. Rare voix discordante chez les tories, Anna Soubry, ancienne ministre pro-Europe de David Cameron, estime que «nous avons échoué, dans notre société, à expliquer l'impact positif de l'immigration». Lors d'une visite dans une entreprise alimentaire de sa circonscription dont plus de 90 % des effectifs sont étrangers, elle a demandé au patron pourquoi il n'employait pas plus d'Anglais. Celui-ci lui a répondu que sur les 15 qu'il avait délibérément embauchés récemment, seulement trois étaient restés.

    Médecins européens  en sursis

    Un quart des effectifs du National Health Service (NHS), le service de santé public, sont étrangers, des aides-soignantes aux chirurgiens. C'est le cas de 42 % de ses médecins spécialistes, dont près de la moitié d'Européens. Jeremy Hunt, ministre de la Santé, ambitionne de mettre fin à cette dépendance après le Brexit, en mettant l'accent sur la formation médicale au Royaume-Uni. Theresa May affirme de son côté que ces milliers de salariés étrangers du NHS ne sont là qu'à titre «transitoire».

    C'est le message que les conservateurs semblent vouloir adresser aux 3 millions d'Européens installés au Royaume-Uni. Liam Fox, ministre du Commerce international, s'est refusé à garantir leur avenir dans le pays. Ils sont «l'une de nos principales cartes dans les négociations sur le Brexit», a-t-il justifié. Le chef du parti libéral-démocrate, Tim Farron, accuse les tories d'utiliser des «êtres humains comme monnaie d'échange dans une négociation commerciale».

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 06/10/2016.

  • ZOOM TVL - Sébastien Jallamion. Le policier révoqué parle...

    En septembre 2014, le brigadier-chef Sébastien Jallamion publie, sur un compte privé Facebook, 7 photos dénonçant les assassins d’Hervé Gourdel, un guide de montagne décapité par des djihadistes en Algérie. Dénoncé par une collègue à sa hiérarchie, une enquête administrative est lancée pour un possible manquement à l’obligation de réserve. Pendant un an, les machines administratives et judiciaires s’emballent. Victime et bouc émissaire de la nécessaire “lutte contre l’islamophobie”, le policier est suspendu de ses fonctions pour 2 ans, privé de son salaire et de ses droits. En appel, sa condamnation le conduit à la révocation de la police nationale. Depuis 2 ans, Sébastien Jallamion qui n’a jamais caché son engagement patriote, se bat seul pour faire reconnaître ses droits, confondre ses accusateurs mais aussi ses agresseurs qui, un soir d’avril 2016, l’ont frappé et grièvement blessé. Se battre pour retrouver dignité et vérité… l’honneur d’un brigadier-chef.

     

    Un témoignage exceptionnel à écouter absolument

     

  • Trois touristes néerlandais poignardés au Maroc

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    05/10/16 à 13:58 - Mise à jour à 13:58

    Source: Belga

    Trois touristes néerlandais ont été victimes d'une agression au couteau mardi dans la ville marocaine de Casablanca durant une visite à la mosquée Hassan II. D'après le ministère néerlandais des Affaires étrangères, les trois personnes ont été grièvement blessées.

     

     

    Une femme de 57 ans accompagnée de son fils de 30 ans et de sa fille de 27 ans visitaient la mosquée Hassan II, une des plus grandes au monde, quand ils ont été agressés par un homme. "Il est apparu de nulle part et a commencé à les poignarder", a indiqué un porte-parole des Affaires étrangères.

    D'après plusieurs médias marocains, l'agresseur serait un homme de 28 ans psychologiquement perturbé. Les agents de sécurité ont pu rapidement le maîtriser. Un des agents aurait toutefois été blessé à une jambe.

    L'ambassade néerlandaise a désigné un superviseur afin d'accompagner les victimes à l'hôpital et prévenir leurs proches.

     

    NdB: Les belles  vacances... Nous souhaitons à ces malheureux touristes une guérison rapide.

  • Belgique - Policiers poignardés à Schaerbeek: la piste terroriste évoquée, ce que l'on sait de l'auteur

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    05/10/16 à 13:46 - Mise à jour à 18:31

    Source: Belga

    Deux agents de police ont été blessés mercredi matin à Schaerbeek après avoir été poignardés, a indiqué la zone de police Nord (Schaerbeek, Evere, Saint-Josse-ten-Noode). Le dossier est fédéralisé et la piste terroriste est évoquée.

     

    L'affaire concernant deux agents de police blessés mercredi matin à Schaerbeek après avoir été poignardés, a été fédéralisée, indique le parquet de Bruxelles. Le parquet fédéral a pour sa part indiqué qu'il y avait des raisons de penser qu'il s'agissait d'une attaque terroriste, sans donner davantage de détails.

    Les deux agents ont été agressés par un homme armé d'un couteau. L'un a été blessé au cou et l'autre dans la région abdominale mais leurs jours ne sont pas en danger. L'assaillant a été maîtrisé par une autre patrouille de police, qui lui a tiré dans la jambe. Ses jours ne sont pas en danger non plus. L'agression s'est produite sur le boulevard Lambermont à Schaerbeek. Selon les premières informations, l'assaillant n'aurait pas émis de revendication. Il a en outre blessé l'officier de police qui l'a neutralisé en lui cassant le nez.

    Un ancien militaire

    Hicham D., l'homme de nationalité belge âgé de 43 ans qui a poignardé deux policiers mercredi à Schaerbeek, est un ancien militaire. D'après le parquet fédéral, son geste est un potentiel attentat terroriste. Le juge d'instruction, spécialisé en matière de terrorisme décidera ultérieurement de son maintien en détention éventuel.

  • Montebourg (PS) rappelle ses origines algériennes et veut « mobiliser les musulmans maltraités ». Màj : il se sent Algérien

    http://www.fdesouche.com/771649-montebourg-ps-rappelle-ses-origines-algeriennes-et-veut-mobiliser-les-musulmans-maltraites

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  • VIDEOS - Bernard de la Villardière: "Je fais ce que je veux, je suis dans mon pays "

    http://www.fdesouche.com/774575-bernard-de-la-villardiere-je-fais-ce-que-je-veux-je-suis-dans-mon-pays

    Saluons le courage de Bernard de la Villardière qui entame la reconquête des "territoires perdus de la république" avec Dossier tabou

     

  • Migrants : la Hongrie veut amender sa Constitution

     

    Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, va demander au Parlement de voter l’interdiction des « réinstallations collectives » de migrants dans le pays.

    L’initiative serait un véritable camouflet pour l’Union européenne. Le Parlement hongrois pourrait amender sa Constitution pour interdire toute installation obligatoire de migrants sur le sol du pays, a annoncé, mardi 4 octobre, le premier ministre, Viktor Orban.

    L’amendement à la Constitution stipulera que « les réinstallations collectives sont interdites », a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse précisant que le texte sera présenté au Parlement, lundi 10 octobre, pour un vote envisagé en novembre. Le projet d’amendement sera discuté dès mercredi en Conseil des ministres.

    M. Orban avait déjà annoncé lundi son intention de réformer la Constitution afin d’empêcher l’Union européenne d’imposer des quotas de répartition de migrants en Hongrie. Le « non » à cette politique européenne a été approuvé dimanche par 98,3 % des électeurs hongrois mais la participation, élevée à 40 %, n’a pas été suffisante pour que le résultat du référendum soit validé.

     

    « Ouvrir les frontières »

    Le gouvernement fait cette annonce alors que 300 migrants ont entamé mardi une marche depuis Belgrade en direction de la frontière hongroise et de l’Union européenne. Escorté par la police, le groupe est composé d’hommes jeunes, dont plusieurs ont expliqué être originaires d’Afghanistan.

    Ces migrants avaient en début de journée brièvement protesté dans le centre de la capitale serbe contre les mesures antimigrants de la Hongrie, réclamant de pouvoir entrer librement sur le territoire de l’Union européenne. « Nous n’avons pas besoin d’eau et de nourriture, nous vous demandons d’ouvrir les frontières », pouvait-on lire sur une pancarte.

    Lire aussi :   La Hongrie manque de main-d’œuvre mais refuse de recourir à l’immigration

    La Serbie aux première loges

    Le nombre de migrants bloqués en Serbie a augmenté depuis que la Hongrie a adopté, au début du mois de juillet, une loi permettant de reconduire à sa frontière les migrants arrêtés dans un rayon de huit kilomètres. Selon le Haut-Commissariat aux réfugiés, plus de 5 500 personnes sont ainsi actuellement bloquées en Serbie.

    Le président serbe, Tomislav Nikolic, s’est inquiété lundi de la situation et a évoqué la nécessité « de fermer la frontière aux migrants » si ces derniers continuaient d’affluer en Serbie sans possibilité de poursuivre leur route vers l’Europe occidentale.

    La route des Balkans, privilégiée par des milliers de migrants, est bloquée depuis mars 2016, après la décision de plusieurs pays de fermer leurs frontières. Par petits groupes, des personnes continuent de passer clandestinement, au rythme de quelques centaines par jour.

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    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2016/10/04/migrants-la-hongrie-veut-amender-sa-constitution_5008155_3210.html#j1vK6uoJDw30FFm9.99

  • Le CRIF hongrois se lève contre Viktor Orban

    Formule magique : la politique migratoire rappelle la "propagande nazie"

    La plus grande organisation juive hongroise a dénoncé le climat anti-réfugiés en Hongrie durant la campagne référendaire contre l’allocation européenne des migrants dans le pays. Le gouvernement a agité le risque d’accueillir des terroristes.

     

    La campagne gouvernementale contre l’accueil des migrants en Hongrie a choqué le Mazsihisz, équivalent du CRIF hongrois, qui affirme que « les propos tenus concernant les migrants commencent à dériver vers la haine ». Pour le président de l’organisation, András Heisler, ce discours rappelle « l’expérience historique des juifs » et pourrait s’étendre aux différentes minorités telles que les Roms ou les homosexuels. « La haine se propage comme un virus et peut contaminer toute la société », a-t-il prévenu.

    Le rabbin Zoltán Radnóti, proche du Mazsihisz, a lui déclaré que « l’Europe post-holocauste devrait considérer comme une évidence de permettre à ceux qui veulent fuir de pouvoir le faire ».

     

     

    Pour Diana Groo, une réalisatrice de films de confession juive, la campagne gouvernementale lui rappelle beaucoup « la propagande nazie des années 1930 et le film "Le juif éternel" ».

    Le gouvernement de Viktor Orban a financé une vaste campagne d’affichage en faveur du refus de l’accueil de 1 294 migrants imposé par le système de répartition par quota de l’Union européenne. Sur l’affiche, on pouvait lire : « Personne ne peut dire combien de terroristes sont arrivés parmi les migrants ».

    Les Hongrois qui ont voté lors du référendum ont massivement (98,32 %) exprimé leur rejet des relocalisations de réfugiés. Mais les votes exprimés n’ont représenté que 39,8 % des inscrits, en-deça du quorum requis des 50 %.

    Le Premier ministre Viktor Orban y voit un large soutien des électeurs à sa politique qui veut donner « à Budapest, le droit de décider » en matière de politique migratoire. Il a aussi réaffirmé le 3 octobre qu’il entendait « amender la constitution dans l’esprit du référendum ».