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  • Zones de non-droit en France : l'incroyable déni du gouvernement !

     

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    Communiqués / 10 octobre 2016 / Étiquettes : /
     

    Communiqué de presse de Jordan Bardella, Conseiller régional d’Île-de-France et Président du Collectif Banlieues Patriotes

    « Il n’y a pas de zones de non-droit. » a déclaré en toute indécence le Premier ministre Manuel Valls lors d’un déplacement dans l’Essonne ce lundi 10 octobre.

    Alors qu’un fonctionnaire de police est entre la vie et la mort après une tentative de meurtre au cocktail Molotov par des criminels (qualifiés de simples « sauvageons » par Bernard Cazeneuve), que des journalistes ont été agressés à Sevran pour « ne pas s’être présentés » aux milices locales et à l’heure où des centaines de quartiers en France vivent sous la pression des trafics et de l’islamisme radical, ce déni de réalité confirme l’incapacité totale de ce gouvernement à assurer l’ordre et la sécurité de tous.

    « Mal nommer les choses, c’est ajouter du malheur au monde » : à minimiser et euphémiser constamment la réalité, nos dirigeants se condamnent à ne jamais régler les maux qui touchent notre pays.

    Quand la France ne subit pas les assauts des islamistes, elle subit ceux des racailles. Oui, des quartiers vivent aujourd’hui en France hors de la République. Le Front National décrit la réalité telle que la vivent nombre de nos compatriotes et de nos forces de l’ordre, légitimement indigné e​ s par ces dernières déclarations sidérantes du Premier Ministre.

    Le Front National souhaite réaffirmer urgemment l’autorité de l’État et son monopole de la violence légitime. N’ayons pas peur d’agir !

  • La presse mondiale relaye la vidéo de Trump aux propos jugés obscènes sur les femmes

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-presse-mondiale-relaye-la-video-de-Trump-aux-propos-juges-obscenes-sur-les-femmes-41877.html

    NdB: La consigne est mondiale: il faut absolument empêcher Donald Trump de devenir président. Un cousin de Bush a retrouvé cette vidéo vieille de 11 ans! Qui "horrifie" Hillary Clinton et 150 Républicains dont la pruderie n'a d'égale que l'hypocrisie.

    Le Huffington Post se réjouit! 

     

  • VIDEO - Isère: Des coups de feu tirés sur un futur centre d'hébergement pour clandestins

    http://www.ndf.fr/nos-breves/08-10-2016/isere-des-coups-de-feu-tires-sur-un-futur-centre-dhebergements-pour-clandestins/

  • Critiquer l’avortement sera puni. Voici pourquoi. Par Guillaume Faye

     

    9 octobre 2016 par Guillaume Faye

    Le 17 septembre, Mme Laurence Rossignol, ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes (1) a prévenu que mettre en garde contre le recours à l’avortement et, de fait, critiquer l’IVG allait devenir un délit, en particulier pour les sites Internet. Un nouveau pas restreignant la liberté d’expression vient d’être franchi. Quelle raison ? Le droit des femmes ? La protection de la ”maîtrise de leur corps” ? Nullement. Il s’agit d’une nouvelle arme dans l’arsenal ethnocidaire étatique. L’objectif dissimulé

    ici, pas forcément inconscient, est de favoriser l’avortement des Françaises autochtones ; et ce, en interdisant de divulguer à l’intention de celles qui hésitent à avorter des informations sur les dangers et les conséquences de cet acte.

    Rappelons ces chiffres inquiétants : il y a 220.000 avortements par an en France, dont 15.000 mineures ; et 35% des femmes ont eu recours au moins une fois à un avortement. Voilà qui entame sérieusement la natalité des Françaises.

    Stratégie anti-nataliste et pro–avortement

    Les sites ivg.net, sosgrossesse.net, sosbebe.org, accusés de ”propagande” par le gouvernement, proposent des solutions alternatives à l’avortement. Ils sont menacés par la ministre d’interdiction et de sanctions pénales. Du jamais vu. On se rapproche doucement des méthodes soviétiques. Le « délit d’entrave numérique à l’IVG » préparé par le gouvernement est pour beaucoup de politologues, dont le Pr. Dominique Reynié, une menace gravissime contre la liberté d’expression, qui ne cesse en France, de reculer. Sauf, à mon sens, pour le racisme anti-Français et anti-Blancs et sauf aussi pour la propagande islamique pro-terroriste, antisémite, christianophobe qui se déversent librement sur le web et ailleurs. 

    « Fournir des raisons de ne pas avorter est donc en train de devenir un délit », écrit l’auteur précité dans un article intitulé «  IVG : Laurence Rossignol veut transformer l’appel à la réflexion en délit » (Le Figaro, 27/09/2016). Il ajoute : « loin des précieux enjeux de santé, loin du légitime droit des femmes, le projet de créer un délit d’entrave numérique n’est que l’expression d’une radicalisation idéologique. C’est une nouvelle menace pour la liberté de penser ». Ce nouveau délit sera puni de trois ans de prison et 30.000 euros d’amende.

    Le « délit d’entrave numérique à l’interruption volontaire de grossesse » qui vise les sites Internet, mais pas seulement, s’inscrit dans une stratégie plus large, anti-nataliste et secrètement ciblée contre les femmes d’origine européenne. L’idéologie est : critiquer l’avortement doit devenir un délit réprimé au même titre que le ”racisme”, l’homophobie”, etc.

    Mensonges d’État sur l’avortement

    Mensonger et cynique, le site gouvernemental officiel (ivg.gouv.fr) parle des « soi–disant complications et traumatismes liés à l’IVG » évoqués par les sites incriminés qui informent des femmes tentées par une IVG ou forcées à le faire (souvent par les hommes qui ne veulent pas reconnaître un enfant) des dangers psychologiques et physiques ; ces sites, accusés de ”propagande” (terme stalinien) sont désormais menacés de poursuites judiciaires.

    Ce qui veut dire que l’avortement ne comporterait aucun risque. Mensonge éhonté. Un gynécologue d’opérette est mobilisé sur le site étatique pour affirmer que l’avortement se passe généralement comme une lettre à la poste. Totalement faux. Chacun sait, n’est-ce pas, qu’un avortement n’est pas plus traumatisant que l’extraction d’une dent cariée ? Quant au meurtre pur et simple que constitue l’élimination d’un fœtus, silence radio. Le délit puni sera donc, dans la loi, d’inciter à ne pas commettre ce meurtre. Cas unique au monde : il est interdit de dissuader les femmes de ne pas tuer, en avortant, les enfants qu’elles portent. 

    Or un avortement peut avoir des conséquences dramatiques, comme le cas de la jeune Priscilla, amputée des quatre membres suite à une IVG qui s’est mal passée (cf. Le Figaro, rubrique ”Sciences”, 07/09/2016).

    Le sens de l’idéologie abortive

    Le but dissimulé de l’État n’est donc pas du tout la défense des ”droits des femmes”, ni du féminisme. Dans un premier temps, on autorise l’avortement pour simple convenance ; dans un deuxième temps, il est libre et gratuit ou remboursé, puis autorisé en 2001 jusqu’à douze semaines de grossesse au lieu de dix et, dans un troisième temps, il est interdit et puni d’avertir les femmes des risques de l’avortement et de le critiquer. Être anti-avortement sera donc puni comme être ”raciste” (sauf racistes anti-Blancs évidemment), ”islamophobe” (malgré les attentats musulmans), ”homophobe” ou, peut-être bientôt gauchophobe ou écolophobe ? La logique totalitaire est bien installée en France. L’ombre de Robespierre veille.

    L’interdiction de la critique de l’avortement fait partie d’une politique globale répressive visant, depuis assez longtemps, à décourager la fécondité des Françaises de souche. L’idéologie abortive utilise évidemment le ” féminisme”, comme faux nez. Mais ce féminisme fallacieux est cyniquement instrumentalisé comme un prétexte grossier, d’autant plus que l’idéologie dominante flatte l’islam, qui est fondamentalement misogyne, homophobe et contre l’avortement. Mais, eux, ils en ont le droit, vous comprenez, il ne faut pas les stigmatiser. Contradiction ridicule et insurmontable.

    Ethnophobie anti– française et anti –européenne

    La maternité, voilà l’ennemie, essentiellement celle des Françaises de souche, si possible provinciales et catholiques. Tout est fait pour la décourager par une sorte d’ethnophobie symbolique. En revanche, la maternité prolifique des immigrées extra-européennes est la bienvenue. C’est l’encouragement au ”remplacement de population”, souhaité par les idéologues de gauche collaborateurs de l’islamisation. Et si cette maternité se passe dans le cadre d’une famille nombreuse hétérosexuelle catholique pratiquante (style La Manif pour Tous), on est soupçonné d’un comportement subversif.

    Une logique cohérente s’est mise en place avec ce gouvernement socialiste ; la pénalisation des critiques de l’avortement est associée à d’autres mesures qui forment un projet d’ensemble : la baisse des allocations familiales pour les classes moyennes de souche – qui a logiquement abouti à un recul des naissances –, le matraquage fiscal pour ces mêmes populations, les hausses de charges pour les aides familiales à domicile. La figure de la mère de famille autochtone au foyer est dévaluée et culpabilisée.

    Laurence Rossignol, qui est tout sauf respectueuse de la vraie laïcité, met en garde contre « le retour des intégrismes religieux », en désignant, comme sa collègue ministre Najet Valllaud–Belkacem, non pas le salafisme meurtrier (ce serait islamophobe) mais le catholicisme (!), celui de la Manif pour Tous contre le mariage homosexuel et l’officialisation à l’école de la délirante et calamiteuse ”théorie du genre”– niée officiellement mais bien réelle. La propagande et la déconstruction sociale opérées auprès des enfants (déviriliser les garçons, déféminiser les filles, dénaturer et déculturer tout le monde) s’inscrivent dans le même projet que la nouvelle restriction de la liberté d’expression précitée.

    Nouveaux projets de l’État contre la Nation

    Ce recul de la liberté d’expression – pour les Français de souche – ne cesse de s’aggraver en France, comme ont le voit avec le projet de loi « égalité et citoyenneté » actuellement en discussion, qui vise à renforcer – encore une fois !– tout l’arsenal répressif ”antiraciste”, ”islamophobe”, ”homophobe”, etc. et d’abolir pratiquement la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Ce projet, qui supprime le délai de prescription pour les textes publiés sur Internet, vise aussi à accroître les punitions pour les communes qui ne respectent pas les quotas de ”logements sociaux” – c’est à dire réservés aux immigrés non Européens, comme le rappelle le géographe Christophe Guilluy – imposés aux populations autochtones. La « mixité sociale » signifie en réalité ”mixité ethnique” imposée aux Français de souche, coupables de vouloir ”rester entre eux” et ne pas cohabiter avec certaines populations. Cette stratégie s’inscrit dans le même projet : miner, harceler, désespérer, déraciner le peuple français (européen) de souche, décourager les familles et leur reproduction.

    Concernant l’avortement, ma position n’est évidemment pas de l’interdire dans tous les cas, mais reprend celle que prône Marta Kaczynska, juriste et fille de l’ancien président Lech Kaczynski, dans une interview au JDD (09/10/2016) : « l’interdiction totale de l’avortement est illusoire et parfois dangereuse pour la femme. Il n’y a aucune situation dans laquelle les femmes ne devraient pas avoir le choix. Elles doivent pouvoir décider si elles gardent ou non l’enfant ». Les seuls trois cas où, selon elle, l’IVG doit être autorisée sont : un danger pour la vie de la mère, le diagnostic d’un futur enfant lourdement handicapé et peu viable et une grossesse suite à un viol.       

    (1) La qualification ”ministre des Familles” vise à affirmer que la famille hétérosexuelle traditionnelle est remplacée, pour l’État, par les familles ”recomposées”, les couples homosexuels, les familles monoparentales, voire (tolérance scandaleuse envers les musulmans) les familles polygames. Bref, le but est la destruction, même symbolique, de la famille française. Aucun pays au monde n’accepterait cela. 

  • Allemagne : Noël interdit dans une maternelle de Kassel

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    Les autorités municipales de la ville de Kassel (Land du Hesse) ont averti la direction de l’école publique maternelle Sara-NußbaumHaus, que cette année on n’y installera pas d’arbre de Noël, qu’on n’y entonnera pas de chants de Noël et que tout ce qui pourrait rappeler l’esprit de Noël devra en être banni. La “raison” c’est que la maternelle accueille un grand nombre d’enfants musulmans et qu’il convenait donc de respecter la “diversité”. Un respect de la “diversité” pourtant mis à mal dans cet établissement puisque les petits Allemands sont privés de porc à la cantine… Environ 12 % des habitants de la ville de Kassel sont des étrangers ou d’origine étrangère.

    Source : HNA, 7 octobre 2016

    L'Observatoire de la christianophobie

  • Éric Zemmour est-il un apologiste du terrorisme ?

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    Éric Zemmour a raison de considérer l’ennemi pour ce qu’il est. Il a tort de trop le considérer, d’en faire un égal.

    Juriste

    SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM

     
     
     

    Éric Zemmour est-il un apologiste du terrorisme ? La réponse est évidemment non. Toujours prêts à tomber sur Éric Zemmour, médias, politiques et juges ont encore saisi une occasion de faire un mauvais procès au polémiste. En cause, un entretien accordé au magazine Causeur dans lequel l’ennemi public numéro un affirmait « respecter les djihadistes prêts à mourir pour ce en quoi ils croient ». Si cette phrase n’a rien d’une déclaration d’amour au terrorisme, elle pose toutefois un autre problème, à mon sens tout aussi grave. Par ailleurs, elle s’inscrit dans un air du temps dit « néo-réac » qui montre de plus en plus ses limites. Dans un même ordre d’idées, Madeleine de Jessey, de Sens commun, écrivait immédiatement après les attentats du Bataclan : « Nos enfants ne résisteront aux sirènes de l’islamisme qu’à la condition d’être intégrés à une civilisation qui réponde à l’exigence de leurs aspirations. Il est temps de leur donner un idéal. »

    Ces deux situations illustrent l’impuissance d’une partie de la droite à appréhender correctement les phénomènes qui nous affligent. Non, des gens capables de se faire sauter le caisson au milieu d’une foule d’innocents un soir de 14 Juillet ne sont pas respectables. Ils ont envie de mourir parce qu’ils n’aiment pas la vie terrestre. Leur idéal est ailleurs. Le vrai courage consiste à affronter la mort en ayant peur de ce qui peut advenir. Le reste tient de l’inconscience. Éric Zemmour a, néanmoins, raison de prendre au sérieux les motivations des djihadistes. Contrairement à ce qu’affirment quelques psycho-sociologues gauchistes, les terroristes sont mus par des croyances politiques et religieuses. Ils servent un idéal et ne sont en rien des « paumés ».

    Mais cela ne devrait pas les rendre plus respectables, car cet idéal n’est pas bon. C’est là l’erreur majeure de l’auteur, qui bascule dans le relativisme sans même s’en apercevoir.

     Quant aux fameux idéaux alternatifs invoqués par des dames patronnesses en mal de sensations fortes, ils ne valent pas mieux que les discours victimaires propres à la deuxième gauche. Le terrorisme islamiste en France prospère sur le terreau fertile d’une jeunesse qui hait la France, qui la méprise et la pense faible. Il maquille le ressentiment d’ignares en romantisme postmoderne et martial. L’invocation du mantra républicain n’y pourra pas grand-chose de plus que les discours « néo-réacs » et « déclinistes ». En respectant ce qui n’est pas respectable, on ne fait pas œuvre de compréhension mais de fascination.

    Négation de la condition humaine, l’islamisme inverse la proposition d’Antonin Artaud pour qui « toute humanité veut vivre, mais elle ne veut pas payer le prix et ce prix est le prix de la mort ». Les djihadistes ne veulent pas vivre. C’est ce qui les éloigne irrémédiablement du domaine des vivants et fait d’eux des zombies. Doublement, parce qu’ils sont aussi les produits des errements présents de nos sociétés que décrivait Louis Pauwels dans son Monôme des zombies. Laxistes, les pouvoirs publics se sont montrés incapables de châtier ceux qui le méritaient quand il était encore temps de les redresser.

    Éric Zemmour a raison de considérer l’ennemi pour ce qu’il est. Il a tort de trop le considérer, d’en faire un égal. Toutes les cultures ne se valent pas. Toutes les guerres ne sont pas aussi légitimes moralement. Quand nous refusons d’admettre que les sains préjugés fondent les grandes civilisations, nous perdons. Chaque parcelle de notre âme collective est supérieure à la leur. Il est même inutile de s’abaisser à le prouver.

    BV

  • 6 octobre 1989 : mort de Robert Poulet,

     

    romancier, moraliste, mémorialiste et journaliste belge, à Marly-le-Roi.
    Il fut sans doute l’un des plus grands critiques littéraires du XXe siècle.

    Robert Poulet eut une jeunesse animée : après avoir combattu dans les corps francs durant la Première Guerre mondiale, il devint paysan, puis tenta sa chance comme scénariste de cinéma.
    Il acquit, la quarantaine venue, une notoriété d’écrivain, grâce notamment à son roman Handji (disponible ici).
    Il connut un parcours intellectuel particulier, passant du dadaïsme au rigorisme catholique, du fascisme à « l’anarchisme de droite ».

    Il dirigea, sous l’Occupation, à la demande du roi Léopold III, la rédaction de La gazette royale, rebaptisée Le nouveau journal. Cela entraîna sa condamnation à mort par les épurateurs. La parution de son Journal d’un condamné à mort lui valu, en outre, deux années de prison supplémentaires, alors qu’il était encore sous le coup de la peine capitale !

    Sa peine commuée en exil, il s’installa à Paris où il commença à éditer. Il publiera notamment Céline, son ami.
    Il restera l’ami d’Hergé jusqu’à la mort de ce dernier.
    Il poursuivit son activité de critique dans les colonnes du journal Rivarol, que beaucoup achetaient uniquement pour lire ses brillants comptes rendus.

    On peut lire une biographie pas trop longue de Robert Poulet, sous la plume de Jean-Marie Delaunois, commandable ici.

    Source T. de Chassey

  • Suède : Une femme handicapée en fauteuil roulant victime d’un viol collectif

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    12h08

    Suède – Une femme handicapée, en fauteuil roulant, a été victime d’un viol collectif, dans la ville de Visby.

     

     

    « Elle ne va pas bien, elle reçoit de l’aide psychologique » a déclaré Staffan Fredriksson, l’avocat de la victime, au journal Nyheter Idag.

    Le samedi 1er octobre, une femme de 33 ans a été violée pas plusieurs hommes dans un appartement de Visby.

    Le journal Aftonbladet relate que la victime a été emmenée en voiture par l’un des suspects jusqu’à un appartement qui appartiendrait à un ou plusieurs individus mis en cause, le reste des violeurs présumés attendaient la jeune femme handicapée dans l’appartement et l’ont violée pendant des heures.

     

  • Trouville (14) : ils vivent dans un camion avec leurs deux enfants

     

    20h01

    Emmanuelle Guilet, Jérôme Poirier et leurs enfants vivent depuis deux ans entre chambres d’hôtel, camping et… leur camionnette, faute de pouvoir trouver un logement stable. La galère pourrait prendre fin, mardi.

     

    Lui enchaîne les missions d’intérim. Elle multiplie les CDD. Les enfants, Steven, 8 ans, et Mylina, 4 ans, vont à l’école comme tous les enfants de leur âge. À une différence près, leur maison est un camion, garé le long de la Touques. « Ça fait deux ans qu’on est à la rue », racontent Emmanuelle Guilet et Jérôme Poirier.

    La galère, elle commence en mai 2014. Le couple habite alors un logement « insalubre » et « dangereux » à Honfleur. « Pour protester, j’avais décidé de ne plus payer la totalité du loyer, rapporte Jérôme Poirier. Ça a été une erreur. » « On a reçu un coup de téléphone nous disant qu’on avait quinze jours pour partir », poursuit sa compagne.

    Direction Trouville. Mais avec l’équivalent d’un salaire et deux enfants, pas simple de trouver un logement dans le parc privé. « Quand on demande un studio, on nous répond que c’est trop petit pour une famille. Quand on visite un appartement plus grand, on nous dit qu’on n’a pas de CDI, pas de garant. » Difficile également d’accéder à un logement social. « Leurs ressources sont trop faibles pour qu’ils accèdent à un logement HLM », explique Christian Cardon, maire de Trouville.

    (…) Ouest France

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  • Élections US : le dernier sondage fiable

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    Donald Trump continuerait son avance sur Hillary Clinton selon le Los Angeles Times – USC Dornsife avec 46,5% pour Donald Trump et 42,9% pour Hillary Clinton.

    Le Los Angeles Times, est le seul sondage que l’on peut considérer comme crédible des élections présidentielles américaine pour l’instant à l’opposé des manipulations du Washington Post, propriétaire, rappelons-le pour ceux qui ne le sauraient pas, de la boîte de courrier internet gmail.com.

    L’objectivité du Los Angeles Times ne va peut-être pas durer longtemps puisqu’on nous annonce que le titre vient d’être racheté. ML.[9.10]

    METAMAG

  • Viry-Châtillon: 2 policiers gravement brûlés par des cocktails Molotov

     

     
     
     
     

    Les deux agents des forces de l'ordre ont été touchés par des projectiles incendiaires à l'intérieur de leur véhicule. Leurs blessures sont très importantes, selon les premières informations.

  • Viry-Châtillon : vives réactions après l'attaque de deux voitures de police au cocktail Molotov

    http://www.leparisien.fr/viry-chatillon-91170/viry-deux-voitures-de-police-attaquees-au-cocktail-molotov-08-10-2016-6186739.php

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  • VIDEO - Robert Ménard rappelle la réalité du Grand Remplacement à Alain Juppé

    http://fr.novopress.info/200934/robert-menard-rappelle-la-realite-du-grand-remplacement-a-alain-juppe/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • Taubira, ta loi…

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    Qui ne veut pas de la loi Taubira ? Qui ne veut vraiment pas de la loi Taubira ? Qui combat frontalement cette loi de destructuration de la société, la pire des lois dites « sociétales » depuis la loi sur l’avortement ? Qui affiche sa détermination publiquement, sans crainte, sans faux-semblant, sans calcul ? Qui résiste vraiment à cette loi ?

    Tout laisse à craindre que le scénario de 1974 pour l’avortement se rejoue actuellement pour le « mariage » homosexuel. Car enfin, que s’est-il passé en 1974 ? Un gouvernement de droite, contre l’avis majoritaire de son électorat, a fait passer une loi légalisant la mort des plus petits. Majoritairement, la société civile en général, et les autorités morales et religieuses de l’époque en particulier, se sont murées dans un silence assourdissant. Il ne fallait pas blesser ou ostraciser, il fallait être généreux et compréhensif, il fallait aider et non condamner, il fallait, il fallait, il fallait…

    Le résultat de cette stratégie est effrayant : plus de 8 000 000 d’avortements en quarante ans environ, une loi entrée par effraction des consciences dans les mœurs, une loi désormais intouchable.

    Que se passe-t-il en 2013 ? Le projet Taubira engendre des manifestations monstres de protestations : la loi est votée, le combat est provisoirement perdu. Non, disent certains, puisqu’il a fait émerger une France résistante ! Cet argument est évidemment vain : le combat contre le projet de loi Taubira a bel et bien été perdu, puisque la loi a été votée ! Le combat doit donc continuer, puisque seule la première bataille a été perdue. Pourtant, insidieusement, subrepticement, en triste copie du scénario de 1974 et des années suivantes, la loi Taubira entre peu à peu dans les mœurs, la classe politique de gauche comme de droite la plébiscite à quelques rares exceptions près, et la société civile, incluant les autorités morales et religieuses, recule de mois en mois : il ne faut pas blesser et ostraciser, il faut être généreux et compréhensif, il faut aider et non condamner, il faut ne pas être homophobe, il faut, il faut, il faut… admettre finalement la loi.

    Il faut, tout simplement, lutter avec la dernière énergie pour que la loi funeste soit abrogée. Les manifestants du 16 octobre attendent que cela soit dit explicitement. Pourtant, l’appel officiel à la manifestation, consultable sur le site LMPT, n’en dit pas un mot, et le collectif On Ne Lâche Rien, dont l’unique objet est l’abrogation de la loi, s’est vu refuser la tribune pour le dire. Tout cela à quelques semaines de primaires qui auraient pu être bousculées par ce sujet majeur ! La mission – et l’honneur – du collectif On Ne Lâche Rien est d’agir pour que tous les résistants de 2013 poursuivent inlassablement, tout au long de la période électorale qui s’ouvre, le combat fondamental de l’abrogation. Le seul combat définitivement perdu est celui qu’on abandonne !

    François Billot de Lochner préside la Fondation de Service politique, Liberté politique, et France Audace.

    NB : une éclairante dernière minute :

    Sens commun émane de LMPT, et s’est rallié à François Fillon.

    Ce dernier vient de déclarer :

    « Je ne reviendrai pas sur la notion de mariage pour tous. Je considère que la société doit reconnaître l’amour homosexuel »… »Jamais je ne reviendrai sur l’avortement parce que la société française est majoritairement favorable à l’avortement et qu’il n’est pas question de revenir dessus ».

    La triste clarté des propos tenus est à saluer…

     

    NDF

     

  • Pauvres hussards de la République...


     

    Si tu savais Najat, comme on était fiers et heureux, nous les Rinaldi, les Fernández, les Ribolowski, les Sebbah, les Piemontesi, les Van de Kerkof, nous les Bernstein, les Bogossian , les Campana, les Suchodolsky ... d'écouter, les doigts encore douloureux et engourdis par la bataille de boules de neige de la récré, notre maître d'école nous parler de nos ancêtres gaulois qui avaient combattu les armées de César à Alésia et de nos ancêtres Francs qui avaient fait de Clovis leur roi.
    Si tu savais petite Najat, ministre inculte de l'Education Nationale, comme c'était bon, pour les petits français de neuf ans que nous étions, de faire mordre la poussière aux Anglais aux côtés de notre ancêtre Bertrand Duguesclin, connétable de France, de chevaucher aux côtés de notre ancêtre Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche.
    Si tu savais microscopique Najat, qui lis un livre par an mais traites les membres de l'Académie Française de "pseudo Z' intellectuels", comme c'était pénible pour nous de souffrir en sonnant du cor avec notre ancêtre Roland le Preux, mortellement blessé à Roncevaux en assurant les arrières de Charlemagne, comme c'était grisant de partir pour les Croisades avec notre ancêtre Saint Louis.
    Évidemment que nous savions, nous qui avions des noms si difficiles à prononcer ou à écrire, que nos héros n'étaient pas nos ancêtres et que nos ancêtres avaient eu d'autres héros.
     Mais c'était si bon de croire le contraire, rien qu'une heure par semaine.
     On était si fiers de faire partie spirituellement de cette Histoire là.
    Penses tu, inculte, haineuse et revancharde petite Najat, que ton cerveau formé dans les années Mitterrand et lessivé depuis trente ans à l'eau de Javel de SOS racisme et de Terra Nova, sera capable un jour de comprendre cela ?
     
    N.C.