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  • Pour Macron, la colonisation est un crime et Mao un modèle

    Pour Mao, explique-t-il, “un bon programme, c’est ce qui marche”.

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    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     François Mitterrand consultait régulièrement Élizabeth Tessier, qui lui servait de conseiller politique occulte. Cette dernière vient de reprendre le flambeau pour François Fillon – qui se serait sans doute bien passé de ce soutien –, l’enjoignant d’attendre encore et de laisser passer sa date d’anniversaire, les conjonctures astrales lui devenant, paraît-il, favorables à partir du 4 mars. Qu’elle dit. François Bayrou, lui, assure tenir sa conviction d’être un jour président de la République d’une voyante qui le lui aurait assuré dans son enfance. Quant à Macron, à le voir léviter meeting après meeting et sortir des inepties aussi ahurissantes, nul doute qu’il use d’une magie particulière ou de fumées qui ne le sont pas moins.

    En effet, recevant mercredi Le Parisien dans son QG de campagne, le nouvel illuminé de la politique fait cette sortie :

    « “Je suis maoïste”, balance-t-il tout de go, pas peu fier de surprendre son auditoire. Pour Mao, explique-t-il, “un bon programme, c’est ce qui marche”.

     

    Pour Tony Blair aussi, mais cette comparaison avec le social-libéral britannique l’amuse moins. »

     

    C’est vrai, on est pété de rire ! D’autant que, c’est connu, le programme maoïste est resté dans l’Histoire comme un programme qui a très bien marché ; ça a même été une « longue marche » au cours de laquelle les morts se sont comptés par millions. Mais aux yeux de monsieur Macron, il s’agit sans doute d’une grande avancée pour l’humanité, en comparaison de notre affreuse colonisation qui, elle, fut un crime odieux.

     

    Peut-être est-ce cet amourachement soudain pour le tyran chinois qui vaut à Emmanuel Macron un nouveau ralliement : celui de Robert Hue. Un nain de jardin que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître puisqu’il était patron du PCF dans les années 90. Comme Bayrou, il est prêt à faire don de sa personne au blondinet : « Aucun des candidats [de gauche] n’apparaît en mesure d’être présent au 2e tour de l’élection présidentielle pour empêcher le pire. […] Seul Emmanuel Macron, avec son projet progressiste, pourrait, me semble-t-il, atteindre cet objectif », dit-il, ajoutant qu’il est prêt à « prendre ses responsabilités »

    Au fond, à y regarder de plus près, il en est un peu des soutiens de Macron comme des pétitions d’autrefois : il fallait en être. On y apposait sa signature comme le chien lève la patte, moins pour marquer son territoire que pour assurer aux autres qu’on était dans le leur : du bon côté du manche.

    Valls le Catalan a quitté la scène. L’auberge espagnole est désormais chez Macron. Tout le monde y a table ouverte.

    BV

  • Le "programme" Macron analysé par Marine Le Pen

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    Emmanuel Macron a enfin daigné présenter un programme aux journalistes. Il était temps, à 50 jours du premier tour… Il a donc pris beaucoup de temps pour rédiger cela, avec le renfort nous dit-il de moult experts. Le résultat est pourtant bien décevant et constitue une menace majeure pour l’avenir de la France et des Français. Et même sur certains points, son projet consiste en une négation de la France.

    Le premier grand problème est que ce n’est pas le projet d’un candidat à l’élection présidentielle. Il n’y a en effet dans ce catalogue aucune vision de ce que peut et doit devenir la France dans les années qui viennent. Son programme fleure bon le marketing politique mais se résume à une addition de promesses comme on en a déjà fait mille fois aux Français. Comme beaucoup dans la classe politique, M. Macron aime aller dans le sens du vent, mais son projet est vide de sens. M. Macron nous avait déjà dit “qu’il n’y a pas de culture française”, on a la confirmation avec ce programme qu’il ne comprend pas la France du tout.

    À sa lecture, on est frappé par la ressemblance avec celui de François Hollande en 2012. Sur presque tous les sujets, son programme cache derrière de jolies formules, comme autant de fleurs envoyées aux Français, la continuation de l’aventure hollandienne, cet enfer que connaissent les Français. M. Hollande aurait d’ailleurs pu le signer s’il avait été candidat.

    Ce constat n’étonnera personne, Emmanuel Macron ayant été l’un des principaux conseillers à l’Elysée de François Hollande, puis son ministre de l’économie, avant d’être son poulain, celui que MM. Hollande et Cazeneuve soutiennent de plus en plus évidemment dans cette campagne.

    Avant de répondre à certains aspects particulièrement problématiques dans le programme d’Emmanuel Macron, il importe de soulever les trois points de continuité majeurs avec le quinquennat de François Hollande.

    En premier lieu, ce programme prévoit d’accentuer la mise sous tutelle de la France avec la création d’un gouvernement économique de la zone euro et le silence radio sur les traités de libre échange négociés par Bruxelles qui ruinent notre industrie et notre agriculture. C’est finalement le programme de la souveraineté perdue, définitivement abandonnée et enterrée. La question de l’indépendance de la France, de sa capacité à agir, à véritablement avoir une prise sur le destin des Français est pourtant centrale dans cette élection. Car si les Français perdent confiance dans la politique, c’est avant tout parce qu’ils savent que les dirigeants n’ont plus de pouvoir. Le programme de M. Macron leur en enlève encore. Je considère que cette élection est au contraire le moment de décider si nous souhaitons que la France puisse redevenir un pays indépendant, retrouver des armes dans la mondialisation sauvage, à l’heure où plusieurs pays et non des moindres décident de revenir sur le libre-échange intégral et de protéger leur économie. L’autre option est de donner tout le pouvoir à une oligarchie qui décidera contre les intérêts des Français et des peuples.

    Deuxièmement, ce programme fait quasiment totalement l’impasse sur les domaines essentiels que sont la sécurité des Français et la crise migratoire, comme en écho à l’inaction totale du gouvernement sur ces sujets depuis cinq ans. Or, il s’agit ici aussi d’un point au cœur des préoccupations des Français. Les mesurettes proposées par M. Macron dans ces domaines ne répondront jamais aux inquiétudes des Français, surtout quand on sait qu’il obéit au projet funeste de faire progresser massivement l’immigration en France, en témoignent les félicitations qu’il a adressées récemment à Mme Merkel pour l’accueil d’1,5 millions de migrants dans son pays. Je dis souvent que cette élection s’apparente à un choix de civilisation et pose notamment la question suivante : voulons-nous que la France reste la France ou devienne un territoire multiculturel où chacun est intégralement libre d’entrer et de s’installer ? C’est une question fondamentale, et je constate que les non-dits du projet de M. Macron y donnent une réponse diamétralement opposée à la mienne. Je note par ailleurs le caractère particulièrement antirépublicain du programme de M. Macron, là aussi dans la droite ligne de la politique menée depuis des années, dans la mesure où il consiste en un enterrement en bonne et due forme de la laïcité et une incitation au communautarisme, via des mesures choquantes concernant la place des religions dans l’espace public et leur financement.

    Troisièmement, en continuité là aussi de la politique de M. Hollande, le programme de M. Macron entraînerait une franche aggravation des injustices et renforcerait les inégalités entre les territoires. Il s’inscrit en effet dans la logique d’un alourdissement de la fiscalité pour les classes populaires et moyennes, avec notamment la hausse générale de la CSG, et d’un abaissement pour les plus riches, avec la très forte réduction de l’ISF pour les très gros patrimoines financiers. Quant aux territoires, tout est à l’avantage des plus grandes métropoles, avec la disparition de nombreux départements. On est en outre frappé par l’absence totale de projet pour la ruralité.

    Sur ces trois sujets centraux, ceux que je mets au cœur de la campagne présidentielle depuis des semaines maintenant, Emmanuel Macron s’enferme dans la poursuite du quinquennat de M. Hollande et n’apporte aucune solution nouvelle, si ce n’est des propositions qui aggraveront en réalité la situation.

    Au-delà du contenu, la structure du programme interpelle et fait là aussi immanquablement penser à M. Hollande. Parce qu’on repère immédiatement qu’il s’agit d’un catalogue un peu brouillon, partant dans tous les sens, et manquant singulièrement de cohérence. Cela rejoint le problème de l’absence de vision politique. En réalité, Emmanuel Macron ne sait guère ce qu’il voudrait faire pour la France, si ce n’est maintenir le confort douillet des amis du système, sans jamais prendre en charge les attentes des Français, sans provoquer aucune rupture, et sans avoir le courage de s’attaquer aux défis fondamentaux qui sont devant les Français. Ce programme révèle l’absence totale de volontarisme de M. Macron, travers central qui affectait déjà M. Hollande.

    Je vous laisse juger par vous-mêmes de quelques perles de ce programme si longtemps attendu…

    ➝ Europe : l’extinction définitive de notre souveraineté et de notre liberté

    1) Renforcement de l’intégration de la zone euro et maintien de l’austérité : E. Macron veut « créer un budget pour la zone euro voté par un Parlement de la zone euro et exécuté par un ministre de l’Économie et des Finances de la zone euro », réduire les dépenses publiques à 52 % du PIB et garder la règle des 3 %. Nous n’aurons plus les mains libres ! Et il ne pourra pas mettre en oeuvre ses mesurettes économiques car il se heurtera au refus de l’Allemagne et du ministre du Budget de la zone euro qui sera le vrai dirigeant de la France. La souveraineté serait définitivement perdue.

     

    2) Macron affiche des objectifs contradictoires pour la Défense :

    Objectif 1 : Donner aux armées les moyens d’assurer la souveraineté stratégique de la France ;
    Objectif 2 : Agir pour une Europe de la défense devenue indispensable.

    Quelle incohérence ! La réalité, c’est que M.Macron veut un conseil européen de la sécurité, un quartier général européen permanent en lien avec l’OTAN, un Fonds européen de défense. La France perdrait la maîtrise de son armée et de ses équipements et serait soumise à la volonté des autres pays et de l’OTAN. La France ne serait plus du tout indépendante. Pis, avec le système que souhaite M.Macron, la France serait entraînée dans des guerres qui ne sont pas les siennes et n’aurait pas pu refuser de participer à la désastreuse guerre en Irak de 2003.

    ➝ Poursuite de l’immigration de masse et remise en cause de notre pacte républicain

    3) Le projet de M. Macron n’évoque pas une seule fois le terme « immigration » : dans la continuité des félicitations qu’ils à adressées à Mme Merkel, E. Macron entend donc bien poursuivre la politique migratoire désastreuse menée ces dernières années. L’immigration de masse serait maintenue puisqu’aucune réduction des flux migratoires n’est envisagée. Son programme prévoit même une naturalisation plus facile : « la maîtrise de la langue », terme flou, étant appelée à devenir le principal critère de naturalisation. La nationalité serait donc une nouvelle fois affaiblie et distribuée au plus grand nombre, rendant impossible toute assimilation.

    4) Maintien de Schengen et affaiblissement de la sécurité des Français : là encore, E. Macron s’inscrit dans les pas de François Hollande en refusant la remise en cause de Schengen. Ce refus dogmatique des frontières nationales ne déboucherait que sur une chose : une sécurité des Français toujours plus affaiblie.

    5) Laïcité, une remise en cause tous azimuts. Son projet semble favorable au burkini, c’est donc un affront insupportable fait aux femmes : « Dans l’espace public (rues, plages), l’expression des convictions religieuses doit bien sûr rester libre à condition de ne pas porter atteinte à l’ordre public. » E. Macron tente dangereusement de contourner la loi de 1905 par un financement public et l’ingérence de la puissance publique dans l’organisation du culte musulman : son programme prévoit ainsi le « soutien des communes à la construction de mosquées », la conclusion de baux avec les responsables du culte, des contrats signés entre l’Etat et les aumôniers du culte musulman, l’immixtion de l’Etat dans la formation d’imams et même le lancement d’une nouvelle fondation publique pour la construction de mosquées…

    ➝ Le projet anti-social de M. Macron

    6) Augmentation de la CSG : Il propose « une hausse de la CSG de l’ordre de 1,7 point ». Les ménages devront donc payer 20 milliards d’euros d’impôts en plus ! Par exemple, un couple de retraités touchant chacun une retraite mensuelle de 1 200 € verra le revenu de leur foyer amputé de 36 € par mois.

    7) Quasi-suppression de l’ISF : E. Macron veut supprimer l’ISF pour les très gros actionnaires (ses copains du CAC40 et des banques d’affaires). La moitié des réductions d’ISF irait dans les poches des très riches actionnaires, soit 2,5 milliards €. Le patrimoine des plus riches parmi les riches est surtout constitué de capital financier.

    Exemple : un patron du CAC40 qui a un patrimoine de 15 millions d’euros constitué de 5 millions dans l’immobilier et 10 millions en actions : Aujourd’hui il paye 170 000 euros d’ISF. Avec Macron il payerait 35 000 euros d’ISF.

    8) Augmentation de la taxation de l’assurance-vie à 30 % contre 23 % aujourd’hui : E. Macron augmenterait donc considérablement l’impôt sur les petits épargnants. E. Macron prouve une nouvelle fois qu’il préfère les très riches aux plus pauvres.

    9) Aggravation de la loi El Khomri par la mise en place d’un plafond des indemnités prud’homales à la suite d’un licenciement : c’est une loi El Khomri puissance 10. Affaiblissement de notre droit social et du code du travail : il prévoit un code du Travail recentré autour de quelques principes, dépouillé de ses mesures protectrices et qui pourra être contourné par l’organisation de référendums d’initiative patronale au niveau de l’entreprise, pour tuer toute chance de dialogue social. Cela crée une concurrence à l’intérieur même d’une branche professionnelle. En somme, des règles minimes, et moins de protection pour les salariés.

    ➝ Rien pour la ruralité, rien pour les territoires. La France des oubliés définitivement oubliée

    10) Rien n’est dit sur les traités de libre-échange. M. Macron a pourtant pris position en faveur du CETA (accord commercial entre l’UE et le Canada) qui va miner notre agriculture et affaiblir toujours plus nos agriculteurs, poursuivre l’effondrement de notre économie et de notre industrie, etc. On le voit ici très clairement, E. Macron louvoie et ne s’attaque pas aux sujets fondamentaux, qui affecteront pourtant très durement la vie des Français.

     

    11) Une organisation territoriale qui profite aux seules grandes métropoles : le monde rural est le grand lésé du programme d’E. Macron, puisqu’il en est tout simplement absent. Ses mesures aggraveraient même l’enclavement de nos campagnes, puisqu’elles prévoient d’accentuer l’éloignement des citoyens de l’action publique que la loi NOTRe a engagée. Ainsi, il prévoit de supprimer 25 % des départements, en subordonnant aux métropoles les territoires qui les entourent. Les petites communes rurales de ces zones perdraient toute autonomie.

    Je vous propose de retrouver mon projet et mes 144 engagements pour la France ici !

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  • Réaction sur la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen

     

    Communiqués / 2 mars 2017 / Étiquettes : /
     

    Communiqué de presse de David Rachline, Directeur de campagne de Marine Le Pen

    La levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen demandée par le pouvoir socialiste marque la différence entre ceux qui dénoncent et combattent le fondamentalisme islamiste et ceux qui veulent en cacher les atrocités.

    Il est donc acté qu’un député européen ne peut pas dénoncer des horreurs commises par des barbares.

    Les députés européens qui ont voté la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen admettent donc qu’ils sont des godillots qui n’ont pour rôle que d’entériner les décisions des instances européennes antinationales et qui jouent le jeu des islamistes en cachant leurs monstruosités.

    Ces députés ne sont en rien les défenseurs des lanceurs d’alertes et de ceux qui protègent nos peuples.

    On ne fera pas taire les défenseurs du peuple par la censure et la menace systématique de sanctions judiciaires, il en va de la liberté des parlementaires et donc de la France.

     
  • VIDEO. En Norvège, de plus en plus de poupées sexuelles en forme d'enfants saisies par les douanes

    http://www.francetvinfo.fr/monde/norvege/video-en-norvege-de-plus-en-plus-de-poupees-sexuelles-en-forme-d-enfants-saisies-par-les-douanes_2079243.html#xtor=EPR-502-[newslettervideo]-20170304-[video1]

     

    La dernière poupée montrée à la télévision par deux douanières norvégiennes fait la taille d'une fillette.

    NRK / EVN
    avatar
    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le
    publié le

    Les douanes et la police des frontières norvégiennes sont de plus en préoccupées par l'augmentation des saisies de poupées sexuelles représentant des enfants et importées de Hong Kong. Vingt et une de ces poupées, de la taille d'une fillette, ont été ont été saisies par les douanes depuis le mois d'octobre.

    La dernière poupée montrée à la télévision par deux douanières norvégiennes mesure environ un mètre de long. Elle a été importée en kit. Pour les services d'enquête criminelle du pays, les commandes viendraient d'hommes âgés de 18 à 60 ans. Parmi eux figurent des hommes déjà condamnés pour atteintes sexuelles sur mineurs, écrit ABC News (en anglais).

    Des poursuites pénales possibles

    Selon la police norvégienne, les acheteurs présentent un risque de commettre des abus contre des enfants. Le porte-parole de la police, repris par ABC News, a prévenu, vendredi 3 mars, que la possession de ce genre de poupées pourrait être une violation de la loi norvégienne.

  • La langue turque bientôt imposée à l’école communale d’Ingersheim ?

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    Source : Boulevard Voltaire – « La langue turque bientôt imposée à l’école communale d’Ingersheim ? »

    Rectorat et Inspection Académique décident d’imposer à l’école communale d’Ingersheim (Haut-Rhin) l’enseignement et l’enseignant du Turc.

    Dans une décision unilatérale, rectorat et inspection académique décident de passer en force et d’imposer à l’école communale d’Ingersheim (Haut-Rhin) l’enseignement et l’enseignant du turc.

    Pour rappel, le dispositif ELCO (enseignement des langues et cultures d’origine) permet aux États concernés (ici, l’État turc) de recruter et de rémunérer, sans aucun droit de regard de la part de la France, les enseignants pour appliquer ce dispositif. Bien souvent, les ambassades sous-traitent ce recrutement auprès d’associations communautaristes qui fournissent également les manuels en langue d’origine et non traduits. Lors de son meeting à Strasbourg, le président Erdoğan n’avait-il pas enjoint vivement les Turcs de France à surtout rester turcs et rejeter l’assimilation ?

    Le 28 janvier 2015, le député Marion Maréchal-Le Pen interrogeait le ministre de l’Éducation nationale sur la transmission d’une culture commune qui ne saurait prendre en considération les spécificités individuelles et familiales relevant de la sphère privée.
    Intégrer les ELCO aux langues vivantes revient à bâtir des programmes nationaux basés sur des injonctions communautaristes. La langue, structure de la culture collective, est le substrat par excellence de l’assimilation à la communauté nationale et l’instrument essentiel de la communication entre citoyens.

    La loi européenne impose aux États membres de promouvoir un enseignement de la langue et de la culture maternelles du pays d’origine. C’est tout simplement une entrave à la liberté, désormais restrictive, des pays concernés et une voie dangereuse menant directement au communautarisme destructeur de la nation française.

    En 2010, un rapport du HCI (Haut Conseil à l’intégration) dénonçait les « effets désintégrateurs » (je cite) et « le risque de voir s’installer un catéchisme islamique » : ce rapport est tombé dans une amnésie devenue habituelle du gouvernement (de droite, à ce moment-là). D’après Jean-Paul Gourévitch, « le débat sur le dispositif ELCO constitue une bombe à retardement et explique sans doute pourquoi ce rapport du HCI a été mis sous le boisseau par les autorités gouvernementales » ; l’achat d’une paix sociale bien précaire, la compromission, la soumission…

    En bref, nous sommes contraints d’assurer la promotion de la langue de tous les peuples auxquels l’Europe a décidé d’offrir gîte, couvert, assurance maladie…

    Les contribuables français ont-ils vocation à financer un dispositif coûteux, inutile et néfaste ?

    La France a-t-elle vocation à enseigner la culture d’origine, si ce n’est à faire de nos écoles des mouroirs de l’intelligence et de la culture françaises ?

    Le Front national, avec Marine Le Pen, s’engage à supprimer le dispositif ELCO et à offrir à tous les enfants de France un réel enseignement du français, facteur majeur de réussite et d’assimilation.

    Marie-Hélène de Lacoste-Lareymondie

  • De Robrt Hue à Alain MInc, ces drôles de soutiens à Emmanuel Macron

    https://fr.sputniknews.com/france/201703031030318498-emmanuel-macron-attaques-presse/

  • Au marché Zola, à Nantes: "Sales Français, vous êtes tous des racistes!"

    http://www.breizh-info.com/2017/03/03/63783/nantes-marche-zola-sales-francais-etes-racistes

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  • Démissions en cascade autour de Fillon. Hypothèse Juppé?

    https://francais.rt.com/opinions/34778-dernier-combat-commence-pour-francois-fillon-qui-est-au-bord-du-ko

  • Premier grand discours de politique générale devant le Congrès - Vidéo en traduction simultanée

    78% des Américains approuvent le Président Donald Trump

    Discours intégral

  • Un député européen affiche sa solidarité avec Marine Le Pen en publiant des photos de Daech

     

    22h57

    Hebergeur d'image

    Le député européen tchèque Petr Mach a publié, sur son mur Facebook, une capture d’écran du compte twitter de Marine Le Pen où elle avait mis des photos de Daesh. Le député européen a souhaité ainsi lui exprimer sa solidarité face à la perte de son immunité parlementaire au Parlement européen. En décembre 2015, la présidente du FN avait en effet diffusé trois photos sur twitter avec le texte « Daech c’est ça! » : un soldat syrien vêtu d’une combinaison orange sous les chenilles d’un char, un pilote jordanien vêtu de la même manière en train de brûler dans une cage et le corps de James Foley décapité avec la tête posée sur le dos. Voici la traduction en français du texte de Petr Mach qui accompagne sa capture d’écran :

    « Par solidarité avec Marine Le Pen, je partage ce pour quoi elle risque trois ans de prison. Je sais que nous sommes encore et toujours un pays ouvert d’esprit-et que chez nous on ne risque pas d’être poursuivi pour cela. Il est clair que le Parlement européen souhaiterait également, et avec un grand plaisir, que je sois poursuivi en justice. Lorsqu’un écrivain a comparé le parti politique de Marine Le Pen à l’organisation terroriste de l’Etat islamique, elle a mis sur son compte twitter trois photos d’exécutions barbares commises par les djihadistes et elle a écrit : « Daech c’est ça! » Elle risque pour cela trois ans de prison et aujourd’hui le Parlement européen a voté la levée de son immunité parlementaire ce qui permet aux poursuites judiciaires de suivre leur cours en France. » (…)

    Source

  • Florian Philippot sur la Justice (LCI)

  • « La Morsure des dieux », le nouveau film de Cheyenne Carron : le cante jondo français

     

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    Pierre-Emile Blairon ♦

    Cheyenne Carron est apparue telle une comète dans le paysage cinématographique français au début du XXIème siècle, une comète parce qu’elle semble venir d’un autre monde, celui de l’innocence et de la fraîcheur, qui se moque de la laideur contemporaine, des conformismes et des diktats de la mode ; mais cet ange attaché aux principes divins est armé d’un glaive. Cheyenne Carron, cependant invitée, n’était donc pas présente à la cérémonie des Césars et pour cause : elle n’avait aucune intention de participer à cette mascarade parisiano-parisienne, épicentre de la bien-pensance cinématographique.

    Elle a réalisé son nouveau film, La Morsure des dieux, avec les mêmes moyens financiers que les précédents : ceux de quelques amis qui croient en elle et en son cinéma lumineux, fait d’intuition, de fulgurance et de bienveillance. Ce nouveau film est aussi fait des mêmes ingrédients de base qui sont la marque du cinéma de Cheyenne Carron : une photo qui nous montre de beaux paysages, des acteurs qui jouent comme ils vivent, oubliant la caméra, des silences légers, bercés par le vent, qui en disent plus que des textes, des voix aériennes (que la modernité qualifie de « off ») qui déclament des textes profonds, le « cante jondo » espagnol et, ici, au Pays basque, des chants traditionnels émouvants.

    Le thème de La Morsure des dieux est double : la lente agonie du monde paysan que la mondialisation condamne à disparaître et le dialogue que prône Cheyenne Carron, catholique fervente, entre les anciennes spiritualités européennes et le christianisme.

    Cheyenne Carron a choisi pour cadre de son film le Pays basque, vieille terre de légendes, dont la langue et les traditions, à nulles autres pareilles, vont chercher leurs racines dans le monde enfoui de nos origines, où les bergers s’interpellent encore de sommet en sommet, comme un cri de perpétuation qui transcende les médiocrités du temps. Vieux peuple basque qui révère toujours un génie féminin, Mari, compromis entre le nom païen d’origine, Maya, et le nom de la Vierge chrétienne, ce qui n’a pas laissé indifférente la réalisatrice.

    Cheyenne Carron imagine une rencontre entre un jeune homme qui a choisi de rester sur sa terre, prenant la succession de la ferme familiale, et une jeune fille, Juliette, aide-soignante de son métier qui symbolise, avec son personnage empli de douceur et de force, le rôle de catholique ferme dans sa foi, mais aussi tolérante et charitable, qui lui est dévolu.

    Sébastien, comme beaucoup de jeunes gens qui ont décidé leur retour à la terre, seuls ou en communauté, est identitaire, attaché au sol de ses ancêtres, et « païen », terme dont la réalisatrice rappelle la connotation péjorative que les premiers chrétiens donnaient aux paysans ; mais ces nouveaux écologistes enracinés prônent une agriculture saine, tournant le dos au productivisme et à l’empoisonnement des sols et s’intégrant à nouveau dans l’ordre cosmique.

    Sébastien semble être enfermé dans ses velléités, ses faiblesses, ses agressivités et ses frustrations de rebelle, alors que nous aurions attendu un personnage solaire, sûr de ses choix, chevauchant le tigre, mais nous sentons là les probables influences et références de Cheyenne Carron au cinéma intimiste et parfois bavard de la Nouvelle vague comme celui de Truffaut ou à des réalisateurs qui y furent assimilés comme Eric Rohmer ou Maurice Pialat.

    C’est que Cheyenne Carron tient à nous faire découvrir, avec un peu de didactisme, son coup de foudre pour l’univers immense et en partie occulté des anciennes spiritualités européennes, qui avaient fondé et structuré notre monde avant l’apparition du monothéisme chrétien. Face au délitement de notre société, aux bourdonnements et aux craquements inquiétants qui annoncent le raz-de-marée qui emportera tout ce qui n’a pas d’attaches suffisantes pour préparer un monde plus serein, Cheyenne Carron prône un rapprochement entre chrétiens et païens, avec leurs spiritualités inévitablement convergentes qui lui semblent indispensables à la renaissance du monde européen, ou du monde tout court.

    Le meilleur ami de Sébastien est un vieux paysan qui sera acculé au suicide. Une scène du film symbolise tout le drame de la paysannerie actuelle : la voiture du vieil homme tombe en panne et il continue sa route à pied ; Sébastien l’invite sur sa moto, le vieil homme enlève alors son béret basque pour mettre le casque de Sébastien, qui va contenir sa tête, bien serrée, casque rigide, plein de règles imposées par la nouvelle société. La paysannerie va mourir, si rien ne change, des assauts répétés des règlements de l’Union européenne, vouée au mondialisme, de ses représentants syndicaux attachés au productivisme, des lobbies agro-alimentaires, des miettes jetées « fastueusement » aux paysans par les grandes surfaces…

    On songe à ces paroles d’Oswald Spengler, visionnaire, en 1917, il y a cent ans cette année : « Le paysannat a enfanté un jour le marché, la ville rurale, et les a nourris du meilleur de son sang. Maintenant, la ville géante, insatiable, suce la campagne, lui réclame sans cesse de nouveaux flots d’hommes qu’elle dévore, jusqu’à mourir elle-même exsangue dans un désert inhabité… et le paysan reste sur le pavé, figure idiote, ne comprenant rien, incompris de tous, idoine assez pour être un personnage de comédie et pour approvisionner de pain cette cité mondiale. »

    Spengler assurait que la figure du paysan, au-delà du lieu et du temps, est une figure permanente, immuable, de l’humanité.

    C’est cette figure immuable du vieux paysan, immuable parce qu’il est passé dans l’autre monde, qui conseille à Sébastien d’aller aux sources du monde, à Delphes, d’où partait Apollon vers les terres d’Hyperborée pour se ressourcer et régénérer le monde en permanence. Cheyenne Carron a peut-être compris qu’au-delà du christianisme et du paganisme, existait un pôle, invisible et indicible, auxquels se réfèrent l’un et l’autre, une source invariable, transcendante, qui gère le monde qui tourne autour d’elle comme les rayons de la roue autour du moyeu, la Tradition primordiale.

    Pour commander le DVD : Cheyenne Carron

    Pierre-Emile Blairon anime deux revues « Grande Provence » et « Hyperborée ». Il est l’auteur de  biographies sur deux grands provençaux : Jean Giono et Nostradamus ainsi que du « Guide secret d’Aix-en-provence » ( éditions Pardes). Son dernier ouvrage : « La roue et le sablier ».

    NdB: Un très bel article de notre ami Pierre-Emile Blairon que je vous conseille vivement de lire

     

  • JOURNAL TVL DU 03.03.17

  • Deux tweets

    Capture.GIF Aliot sur Macron.GIF

     

    Capture.GIF Eléonore.GIF

  • Monstrueuse tartufferie islamophile du Parlement européen contre Marine Le Pen

    jeudi 2 mars 2017

     


    Bernard Antony, ancien député européen, président de l’Institut du Pays Libre, communique :

     

    Le Parlement européen vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen afin qu’on puisse la poursuivre pour avoir retransmis quelques photos des abominations tortionnaires pratiquées par l’Etat islamique, qu’il ne faut d’ailleurs évoquer que par son acronyme arabe, « Daesh », histoire, voudraient-ils faire accroire, de ne jamais confondre le fait islamique et la barbarie…
     

    Une fois de plus, selon sa grande tradition, le Parlement européen s’est ainsi vautré dans l'indigne tartufferie de l’islamo-politiquement correct. Comme si dans tous les médias ne dégoulinaient pas des cataractes de scènes ignobles, les plus crues, les plus violentes, les plus perverses. Faudrait-il donc ne strictement réserver la retransmission des horreurs qu’à celles perpétrées par le nazisme ? Extraordinaire pudibonderie sélective !
     

    Nous sommes donc en cette affaire totalement en accord avec Marine Le Pen et nous continuerons pour notre part à montrer indifféremment les égales monstruosités du communisme, du nazisme et de l’islamisme. Mais Marine Le Pen devrait dénoncer aussi les inqualifiables poursuites et condamnations ayant frappé des personnes ou des sites retransmettant tout simplement ce qu’est la réalité atroce des IVG.
     

    Différentes d’apparence, toutes les barbaries, islamiques ou modernes, ont en commun un même nihilisme dans tous les registres de la culture de mort.
     

     

  • Macron : « L’immigration est une chance ». Seuls 11% des Français partageaient cette opinion en août 2016 (rediff)

     

    18h05

     

    La France se replie sur elle-même. Une majorité de Français, 57 %, estiment qu’il y a « trop » d’immigrés dans leur pays, et seulement 11 % trouvent que l’immigration a un impact « positif » dans le pays, selon une étude de l’institut Ipsos* rendue publique ce lundi (Août 2016). 20 minutes

     


     

    Emmanuel Macron a répondu à Geneviève Jacques, présidente de la Cimade, sur les questions de politique migratoire, dans Réforme, l’hebdomadaire protestant d’actualité.

    Il faut regarder les faits. Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes pas aujourd’hui confrontés à une vague d’immigration. Un peu plus de 200 000 titres de séjour ont été octroyés l’année dernière, ce n’est pas un tsunami que nous ne saurions freiner.

    Ces mouvements migratoires comptent aussi des étudiants, des demandeurs d’asile, dont le nombre a certes un peu augmenté mais dans des proportions qui n’ont rien de comparable à ce que l’on constate chez nos voisins. Le sujet de l’immigration ne devrait donc pas inquiéter la population française. Pourtant…

    De surcroît, l’immigration se révèle une chance d’un point économique, culturel, social. Dans toutes les théories de la croissance, elle fait partie des déterminants positifs. Mais à condition de savoir la prendre en charge. Quand on sait les intégrer, les former, les femmes et les hommes renouvellent notre société, lui donnent une impulsion nouvelle, des élans d’inventivité, d’innovation. [...]

    Réforme

    Merci à Pythéas

  • Jean-Marie Le Pen condamné à une amende de 30 000 euros

    Publié le 2 Mars 2017

     

    Le fondateur du Front national avait à nouveau qualifié de « détail » de l’histoire les chambres à gaz…
     
     

    La cour d’appel de Paris a confirmé ce mercredi la condamnation de Jean-Marie Le Pen à 30 000 euros d’amende pour avoir de nouveau qualifié les chambres à gaz de « détail » de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, en avril 2015.

    Le président d’honneur du Front national, 88 ans, a été reconnu coupable de contestation de crime contre l’humanité. La cour a également confirmé, à titre de peine complémentaire, une mesure de publication d’un communiqué judiciaire dans trois journaux.

    Dix mille euros de dommages et intérêts

    Jean-Marie Le Pen avait en outre été condamné à verser au total 10 001 euros de dommages et intérêts à trois associations parties civiles. Le Pen avait déjà été condamné à deux reprises, au civil, par la justice française pour ces propos, tenus pour la première fois en 1987.

    Condamnés par sa fille Marine qui lui a succédé à la tête du FN, ces propos avaient, entre autres, entraîné la suspension – ensuite annulée par la justice – de Jean-Marie Le Pen du parti qu’il a longtemps incarné, puis son exclusion. Exclusion validée par la justice mi-novembre, mais Jean-Marie Le Pen reste président d’honneur du FN, décision dont le parti d’extrême droite a fait appel.

    Lire la suite ici

     

  • Levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen: un recul de la démocratie

    Théoriquement, les députés français au Parlement européen sont protégés, sur le territoire national, par leur immunité parlementaire.

    Juriste

    SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM

     
     

    Théoriquement, les députés français au Parlement européen sont protégés, sur le territoire national, par leur immunité parlementaire. Laquelle, immunité parlementaire, répond à la définition posée par le droit français. La levée d’une immunité parlementaire n’est pas une décision qui se prend à la légère. Songez plutôt que, sous la Ve République, l’Assemblée nationale n’a statué qu’à quarante-cinq reprises sur une demande de levée d’immunité parlementaire. Seules quinze demandes ont finalement été accordées, dont sept depuis la réforme constitutionnelle de 1995. À chaque fois, il s’agissait de cas particulièrement graves : Bernard Tapie qu’on ne présente plus ; Sylvie Andrieux, élue socialiste accusée du détournement de centaines de milliers d’euros de subventions via un montage sophistiqué d’associations fictives ; ou bien encore Georges Tron, qui était renvoyé aux assises pour des accusations de viols, affaires toujours en cours pour lesquelles il a déjà bénéficié de plusieurs non-lieux.
     
    La différence de traitement entre les députés français au Parlement européen et leurs condisciples du Parlement national est pourtant importante. Comment l’expliquer ? Il appartient au Parlement européen, sous pavillon multikulti teuton, de lever l’immunité de ses membres en répondant à des critères différents de ceux du Parlement français.

     

    Une fois le Parlement européen saisi par les autorités judiciaires françaises d’une demande de levée de l’immunité, la commission des affaires juridiques du Parlement européen l’examine. Bizarrement, dès qu’une demande concerne un élu du Front national, la Commission répond toujours favorablement aux autorités ! Y compris pour des motifs qui ne seraient, en aucun cas, retenus par le Parlement français.
     
    Ainsi, le Parlement européen avait décidé de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, après avoir été saisi par le parquet de Nanterre ; lequel avait ouvert une enquête préliminaire pour « diffusion d’images violentes », suite à la diffusion d’un tweet de Marine Le Pen comprenant des images représentant des actes de barbarie réellement perpétrés par l’État islamique. En somme, Marine Le Pen est poursuivie pour avoir montré la nature de l’État islamique, en réponse à Gilles Kepel, qui établissait une comparaison honteuse entre cette engeance meurtrière et un parti politique plébiscité par des millions d’électeurs français… Il est à parier que la demande n’aurait pas trouvé satisfaction s’il s’était agi du Parlement français. En effet, la demande de levée de l’immunité parlementaire de Gilbert Collard a été rejetée le 22 février dernier car la requête de la justice n’a pas été jugée « suffisamment sérieuse ».
     
    À quoi peut donc servir l’immunité parlementaire des députés français au Parlement européen ? Normalement, la commission des affaires juridiques doit vérifier qu’il n’y a pas fumus persecutionis (présomption suffisamment sérieuse et précise que la procédure ait été engagée dans l’intention de nuire à l’activité politique du député). C’est pourtant manifestement le cas en l’espèce, puisque l’enquête du parquet de Nanterre a été ouverte immédiatement après des déclarations enflammées du ministre de l’Intérieur d’alors, Bernard Cazeneuve. Il aurait été toutefois difficile à la commission des affaires juridiques de rejeter la demande pour fumus persecutionis, étant donné que ses membres sont tous farouchement anti-Front national. Le Parlement européen est un complice objectif de l’Élysée qui entend parasiter la campagne présidentielle avec des « affaires ». Cachez ce terrorisme qu’ils ne sauraient voir ! Cachez ces élus qu’ils ne sauraient entendre !

  • Résumé en images du premier discours de Donald Trump au Congrès (Vidéo en français)

    http://breizatao.com/2017/02/19/usa-donald-trump-enflamme-les-foules-lors-de-son-premier-grand-discours-video/

  • Suède : Le clandestin érythréen ayant tué une mère et son fils veut rentrer chez lui, trouve la prison suédoise « trop dangereuse »

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    Posted by La Rédaction on 1st mars 2017
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (02/01/2017) Nos lecteurs se rappelleront peut-être du double-meurtre qui s’était déroulé dans un magasin Ikéa en Suède, en août 2015 : deux migrants clandestins érythréens avaient assassiné une mère et son fils, suédois d’origine, avec un couteau en vente dans l’enseigne. Le motif : leur demande « d’asile » avait été rejetée (voir ici).

    Selon le journal Afton Bladet, un des migrants clandestins – Abraham Ukbagabir – a demandé à purger sa peine de prison dans son pays d’origine, en Érythrée. Le meurtrier de 37 ans affirme avoir été régulièrement battu et menacé par ses codétenus et dénonce la prison suédoise comme trop dangereuse (source).


    En savoir plus sur http://breizatao.com/2017/03/01/suede-le-clandestin-erythreen-ayant-tue-une-mere-et-son-fils-veut-rentrer-chez-lui-trouve-la-prison-suedoise-trop-dangereuse/#bCQYV36hVrCx0CTh.99