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Macron veut des sanctions contre la Pologne et la Hongrie pour « non-respect des valeurs de l’UE »
16h43Dans une interview accordée à la presse régionale, Emmanuel Macron tape du poing sur la table. La Pologne devra être sanctionnée pour sa politique de dumping social et le non-respect des valeurs de l’Union européenne.
Emmanuel Macron souhaite aussi que le cas de la Pologne soit examiné « dans son intégralité ». « Je veux que sur le non-respect des droits et des valeurs de l’Union européenne, des sanctions soient prises. Les traités le prévoient. On ne peut pas avoir une Europe qui débat de la décimale après la virgule et qui, lorsque vous avez un pays membre qui se comporte comme la Pologne ou la Hongrie, sur des sujets liés à l’université, aux réfugiés, à nos valeurs fondamentales, on décide de ne rien faire. »
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Rien ne va plus entre les médias russes et Emmanuel Macron
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Jacques de Guillebon: "Face au candidat de la post-humanité, il est logique de soutenir Marine Le Pen"
Jacques de Guillebon : "Face au candidat de la... par bvoltaire -
Laurent Jacobelli (Debout La France): «On ne peut pas laisser le pays entre les mains d'Emmanuel Macron»
INTERVIEW - Le secrétaire général adjoint de Debout La France et porte-parole de Nicolas Dupont-Aignan était présent lors de la présentation à la presse de l'alliance entre le président de DLF et Marine Le Pen. Il explique ce choix.
Propos recueillis par Emmanuel Galiero
LE FIGARO. - Quel impact attendez-vous après cette alliance de second tour?
Laurent JACOBELLI. - C'est un moment historique. Aujourd'hui, des patriotes aux parcours, programmes et personnalités différents se réunissent face à un enjeu. Ils partagent un même combat pour la France. Quand on est gaulliste, comme le sont Nicolas Dupont-Aignan et Debout La France, on a toujours ce sentiment de devoir aider notre pays. La France va très mal. Nous ne pouvions par regarder le train passer. Rester simplement spectateur de ce qui se passe aurait été une forme de non assistance à France en danger.
Cet accord est scellé aussi contre Emmanuel Macron. Pourquoi?
Ce combat nous voulons le mener face à quelqu'un qui va défendre toujours plus de délocalisations, donc toujours plus de chômage. Nous nous opposons à quelqu'un qui affirme qu'il n'y a pas de culture française et qui, inféodé à Mme Merkel, voudra toujours plus de mouvements migratoires. On ne peut laisser le pays entre ses mains. Il faut réagir. Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen ont eu l'intelligence de discuter.
Comment Nicolas Dupont-Aignan appréhende-t-il cette éventuelle fonction de Premier ministre qu'il a réclamée?
C'est un honneur et un double devoir. Le devoir de travailler aux côtés de la future présidente à redresser la France et le devoir qu'au gouvernement, la pluralité des patriotismes soit représentée. Nicolas Dupont-Aignan est l'image de cette ouverture qui existe aujourd'hui avec Marine Le Pen. Il en sera le représentant et le garant.
» Marine Le Pen parie sur le ralliement du «peuple de droite»
Il y a toujours eu un mur entre la majorité des partis politiques et le Front national. Quelles ont été les réactions au sein de votre parti?
Notre parti est très démocratique. Nous avons eu quinze heures de débat, de discussions et d'interrogations avec l'ensemble des membres de notre conseil national. Aujourd'hui, à quelques exceptions près - deux ou trois voix dissonantes - Nicolas Dupont-Aignan est soutenu très largement. Le parti a confiance en lui. Il sait qu'il est un démocrate et que jamais il ne trahira nos valeurs.
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Louis Aliot invité de Jean-Jacques Bourdin
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/louis-aliot-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-939077.html
Louis Aliot remet les pendules à l'heure !
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Présidentielle 2ème tour - Nicolas Dupont-Aignan explique son ralliement à Marine Le Pen
Excellente vidéo
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Conférence de presse commune de Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan
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Conférence de presse commune de Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan (29.04.2017)
https://www.facebook.com/MarineLePen/videos/1733078106708506/
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Dupont-Aignan se rallie à Marine Le Pen
Par Tristan Quinault-Maupoil
Publié le 28/04/2017 à 22h02Le leader de Debout la France a annoncé, ce vendredi, qu'il participerait à la campagne de la candidate du Front national avec qui il a «signé un accord de gouvernement».
Après plusieurs jours de tergiversations, Nicolas Dupont-Aignan a révélé, vendredi au journal télévisé de France 2, son ralliement à Marine Le Pen. «Ce soir, j'annonce officiellement que je soutiendrai Marine Le Pen, que je ferai même campagne avec elle sur un projet de gouvernement élargi», a lancé le souverainiste qui a obtenu 4,7% des voix dimanche dernier, soit un million de suffrages de plus qu'en 2012.
Les deux responsables politiques s'afficheront ensemble à Paris, samedi à 11 heures. «Nous avons signé un accord de gouvernement avec une évolution de son programme, avec des éclaircissements, des infléchissements et même des ajouts de mon programme présidentielle», a d'ores et déjà précisé Nicolas Dupont-Aignan qui a martelé que «Madame Le Pen n'est pas d'extrême droite». Et de viser Emmanuel Macron: «Je ne veux pas donner la France à la Bourse de Paris.»
Le risque d'«être satellisé et marginalisé»
Le député-maire de Yerres a toutefois indiqué qu'aucun accord électoral n'avait été conclu pour les élections législatives de juin: «Mon parti, Debout la France, aura des candidats partout. Les Français auront le choix. Il y aura des candidats DLF face à des candidats FN. Les Français conserveront le choix entre deux patriotismes, comme ils l'ont eu au premier tour de la présidentielle .»
Depuis plusieurs jours, les discussions sont houleuses entre l'ancien candidat à l'élection présidentielle et les cadres de son parti. Réuni lundi, le bureau politique de Debout La France a été incapable de se départager. Lors du conseil national, consulté vendredi pendant quatre heures trente, des proches du député l'ont mis en garde contre le risque de voir DLF «être satellisé et marginalisé». Mais en fin d'après-midi, Nicolas Dupont Aignan a discrètement retrouvé Marine Le Pen et Florian Philippot dans un appartement du 17e arrondissement de Paris. Là, il a acté son ralliement malgré l'absence de consensus de son mouvement. Au même moment, Marine Le Pen annonçait à Ouest France qu'elle donnerait probablement lundi, lors de son meeting à Villepinte, le nom du premier ministre qu'elle aimerait nommer en cas de victoire. Il y a plusieurs semaines, elle avait précisé que celui-ci pourrait ne pas être issu des rangs du FN.
Un scénario qui n'a pas convaincu tous les cadres de Debout la France. Aussitôt l'interview de Nicolas Dupont-Aignan terminée, plusieurs d'entre eux ont claqué la porte du parti. Parmi eux, Dominique Jamet, le vice-président de DLF ou encore le responsable du projet, Eric Anceau. «Je renonce ce jour à toutes mes fonctions au sein de DLF», a annoncé ce dernier sur Twitter.
Le Figaro
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Nicolas Dupont-Aignan rejoint Marine Le Pen
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Communiqué de Me Dassa Le Deist avocat de Jean-François Jalkh
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Proxénétisme et migrants, l’envers du décor de certains hôtels F1
il y a 20 heures
28/04/2017 – 06h15 Rennes (Breizh-Info.com) – Nous évoquions il y a peu la session de 62 hôtels Formule 1, propriété du groupe Accor, à Adoma, via le groupe SNI, filiale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC). L’objectif : loger des migrants et des sans abri. En Bretagne, 4 hôtels sont concernés :
F1 Brest Nord Kergar
F1 Rennes Ouest Le Rheu
F1 Quimper
F1 Nantes Bouguenais400 personnes vont être licenciées en conséquence (une vingtaine en Bretagne) Accor cédant officiellement à l’Etat ses hôtels les moins lucratifs. Officieusement, certains de ces hôtels souffrent d’une très mauvaise réputation :
La prostitution organisée tout d’abord, via des réseaux mafieux. Contacté par téléphone, un employé d’un des hôtels concerné a confirmé une certaine régularité de la prostitution à l’intérieur de ces hôtels. « Il y a des réseaux de proxénétisme qui envoient des filles pour des sortes de tournée dans telle ou telle ville. Elles séjournent trois jours, dans une chambre de l’hôtel, accueillent des clients toute la journée et s’en vont par la suite » nous confie l’un d’entre eux. « C’est connu, mais c’est difficile d’y remédier ».
Nous avons cherché à en savoir plus : en nous rendant sur le site de petites annonces Vivastreet, connu pour abriter des annonces de prostitution – qu’elles émanent d’indépendantes ou d’esclaves. Sur Nantes et Quimper, plusieurs jeunes femmes contactées – qui ne savaient pas que nous étions journalistes – nous ont indiqué se trouver dans un des deux hôtels concernés par la fermeture prochaine. Idem à Rennes.
Joint par téléphone à ce sujet, Gilles d’Arondel, syndicaliste et lui même hôtelier, secrétaire général FO d’Accor, explique toutefois que le groupe est particulièrement attentif à ces dérives – qui peuvent exister, mais qui sont difficiles à contrôler. « Notre personnel est formé à ce fléau et doit informer la direction à la moindre suspicion » nous dit-t-il tout en rappelant le travail effectué depuis des années avec les autorités et les forces de l’ordre pour parer à ce trafic d’êtres humains.
Deux hôtels fermés en 2006
En 2006, deux hôtels Formule 1 avaient fait l’objet d’une fermeture après le démantèlement d’un réseau de prostitution. Les deux directeurs avaient été écroués ainsi que deux de leurs employés. En 2013, Ouest-France évoquait déjà, à Quimper, la prostitution hôtelière, qui ne concerne bien entendu pas que le groupe Accor, mais de nombreuses autres enseignes du parc hôtelier.
A Rennes par ailleurs, l’hôtel du Rheu hébergerait déjà un public de « migrants » et d’individus placés par les autorités. L’un d’entre eux, un français d’origine maghrébine, vient d’ailleurs d’être interpellé récemment pour un vol à hauteur de 500 euros. Il est suspecté d’autres vols et d’utilisation frauduleuse de Carte Bleue. Certains clients, tout comme le personnel, ne se sentent pas à l’aise au contact de ces populations.
Un petit tour sur Trip Advisor montre par ailleurs que certains hôtels F1 n’ont pas une très bonne réputation. Ainsi concernant l’hôtel Formule 1 de Metz centre (nous ne savons pas s’il est concerné par la fermeture) , un client écrivait en 2015 :
« Attention! Plaque tournante du trafic de drogue! Ceci n’est pas un hôtel mais un squat pour trafiquants de drogue! L’endroit est visité par des dizaines de personnes à toutes heures de la nuit, et ce n’est pas tout!!
Le lieu est à quelques mètres d’une voie ferrée (pratique pour dormir…), la propreté des chambres est plus que douteuse, l’accueil est inexistant, et j’ai connu des toilettes de festivals beaucoup plus propre qu’à cet endroit (forcement l’absence de lumière n’empêche pas certains de faire leurs besoins sans se préoccuper de l’endroit à viser…).Un conseil, mieux vaut trouver un emplacement de camping à proximité que de dormir dans un endroit aussi dangereux ! »
Concernant l’établissement du Rheu, on peut lire la chose suivante (témoignage de 2015) : « habituée des Formule 1, j’ai été très déçue de celui-ci : en effet, non seulement il est vieillot, mais très bruyant à cause d’ouvriers étrangers qui étaient ivres et ont fait du bruit une grande partie de la nuit : sauts, cris, bavardages à voix très fortes, chutes dans les couloirs. A ceci s’ajoute la saleté des wc et douches,..»
Vétusté des installations, bruit, odeurs, tout y passe dans les commentaires concernant certains hôtels Formule 1. Il suffit de consulter les notes attribuées sur booking ou sur trip advisor pour s’en rendre compte. Les seuls bons points sont donnés par des voyageurs qui mettent en avant la nuit pas chère ou le personnel jugé agréable et accueillant. « Nous pouvons être fiers de notre personnel hôtelier » nous dit M. d’Arondel, qui rappelle que, concernant l’accueil de migrants ou de sans abris, ce personnel n’est pas formé à cela. « Ce sont des hôteliers, pas des travailleurs sociaux ».
D’où le malaise ressenti au sein d’une partie du personnel, notamment lors des nombreuses réquisitions de chambres par l’Etat, qui obligent le personnel à faire face à des publics pour lesquels ils n’ont pas été formés.
Sur les 230 hôtels que possèdent le groupe, 62 vont donc être vendus à l’Etat, soit un quart des F1 du groupe Accor. Mais selon certains employés que nous avons joints par téléphone, c’est le modèle F1 en lui même (low-cost) qui serait de plus en plus remis en question – dans sa configuration actuelle – par le groupe hôtelier. Il en va aussi de sa réputation.
« Ce que je sais, c’est qu’aujourd’hui, Accor veut moderniser son parc hôtelier et notamment les F1, pour changer d’image et faire évoluer un modèle resté un peu figé » conclut M. d’Arondel. « Concernant les négociations avec le groupe sur le personnel victime de la session des 62 F1, nous avons réussi à faire en sorte que ce personnel puisse, s’il ne se sent pas à l’aise pour travailler dans les nouvelles conditions imposées par l’Etat – puisque ce ne serait pas le même métier – être reclassé dans le groupe ou bénéficier d’un plan de départ volontaire . ».
La conclusion de ces négociations n’aboutira, de toute façon, que lors de la remise de l’expertise, en juillet 2017. Affaire à suivre.
[cc] Breizh-info.com, 2017 Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine -
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