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  • Journal TVL du 27 septembre 2017

  • Meurtre de Mayran : l'assassin d'Élodie Bonnefille serait irresponsable

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    Justice ?

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    La jeune fille a été tuée sur l’exploitation des frères Espinasse à Mayran./ Photo DDM archives
    La jeune fille a été tuée sur l’exploitation des frères Espinasse à Mayran./ Photo DDM archives

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    En février 2016, Élodie Bonnefille, salariée de la chambre d’Agriculture de l’Aveyron, était tuée par un agriculteur à Mayran lors d’un contrôle de l’exploitation. Selon nos confrères de Centre Presse, ce dernier, Xavier Espinasse, aurait été déclaré irresponsable par quatre expertises psychiatriques. Ce jeudi, une audience civile à Montpellier devrait entériner l’état psychiatrique de l’assassin, entraînant son irresponsabilité pénale et empêchant son procès devant la cour d’assises.

     

    Les faits s’étaient déroulés le 17 février 2016. Venue dans la ferme des frères Espinasse pour procéder à un contrôle sanitaire des vaches, Élodie Bonnefille, 26 ans, technicienne de la chambre d’agriculture originaire de Rignac, était tuée très tôt le matin par l’un d’entre eux, Xavier, âgé de 46 ans.

    L’autopsie devait révéler que le décès avait été causé par « une combinaison de strangulation et de noyade », en l’occurrence dans un étang situé à 150 mètres de la stabulation. L’enquête mettait en évidence un « délire interprétatif paranoïaque » de la part de l’éleveur, qui faisait état de « motifs irrationnels » pour justifier son geste. Le parquet de Montpellier avait retenu des éléments de préméditation contre lui constituant un assassinat.

    La famille de la jeune fille se dit consternée par les conclusions de ces expertises.


    En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/09/26/2653168-meurtre-de-mayran-l-assassin-d-elodie-bonnefille-serait-irresponsable.html#mVuUhV85JGKFS6B3.99

  • Alexander Gauland est fier des soldats allemands

    "Nous avons le droit d'être fiers des performances des soldats allemands", a déclaré pendant la campagne des législatives Alexander Gauland, le co-leader du parti d'extrême droite allemand, l'AfD (Alternative pour l'Allemagne). Pour tenter d'expliquer ses propos, il a fait le rapprochement avec les Français "fiers" de Napoléon et les Anglais de Churchill. Des déclarations accueillies par des applaudissements de la part de ses supporters.

     par NouvelObs Montage

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    Soldat allemand sur la Front de l'Est

  • Jeune fille au pair tuée à Londres : le couple de suspects ne reconnaît pas le meurtre

     

    >MAJ : 26 septembre 2017, 19h23|1

    Sophie Lionnet, 21 ans, faisait «toujours passer les autres avant elle», selon une de ses amies qui attendaient beaucoup de l'audition des suspects.

    (capture écran Facebook.)
     
     
    A.R., Louise Colcombet
     
    Faits diversSophie Lionnetfille au pairLondres
     

    Les deux Français inculpés à Londres du meurtre présumé de leur jeune fille au pair, une Française de 21 ans dont le corps calciné, ont comparu ce mardi devant les juges.

    C'est la déception pour tous les proches de Sophie Lionnet, qui attendaient des explications de cette première confrontation. Ce mardi à Londres, le couple franco-algérien inculpés du meurtre présumé de la jeune Française au pair qu'ils employaient, dont le corps calciné a été découvert mercredi dans leur jardin, a comparu devant le tribunal de l'Old Bailey. Mais ni l'un ni l'autre n'a reconnu le meurtre, ni même donné des informations permettant de comprendre ce qui est arrivé à la jeune femme de 21 ans.

     

    «J'ai rien fait»

     

    Interrogés via vidéoconférence depuis les établissements pénitentiaires où ils sont détenus, les deux suspects ont seulement confirmé leur identité. Sabrina Kouider, 34 ans, est apparue en larmes, tentant de réprimer ses sanglots, depuis la prison pour femmes de Bronzefield (sud-ouest de Londres). «J'ai rien fait», a-t-elle crié en français, interrompant le procureur, avant d'ajouter «Je n'ai jamais tué». Interrogé depuis la prison de Wandsworth (sud-ouest de Londres), Ouissem Medouni, 40 ans, n'a, lui, montré aucune émotion. Ils ont tous deux été maintenus en détention à l'issue de cette première audience. Leur procès devrait s'ouvrir le 12 décembre.

     

     Elle devait rentrer en France

     

    La police avait été alertée mercredi par des voisins, intrigués par une épaisse fumée en provenance de la propriété où le corps a été retrouvé. Si les autorités n'ont pas confirmé l'identité de la jeune femme, originaire de Troyes, Le Parisien a enquêté auprès de ses amis. Selon eux, Sophie était d'abord apparue rayonnante, à travers ses publications sur Facebook, au moment de la prise de poste chez ce couple aisé. Elle semblait emballée par cette patronne «styliste» et «maquilleuse» qui la sortait dans le grand monde, lui avait offert une robe de soirée, un shooting photo, et lui avait même fait rencontrer Johnny Depp...

     

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    >«Elle nous faisait croire que tout allait bien», racontent ses amis

     

    Puis les choses s'étaient envenimés mais la jeune femme semblait toujours trouver des excuses à ses patrons, qui ne lui accordaient qu'un salaire de 56 euros par mois, qu'elle n'a finalement jamais touché. Sa famille a par ailleurs des raisons de croire qu'elle restait cloîtrée et que le couple l'empêchait de rentrer en France. Elle avait fini par acheter un billet retour, grâce à l'aide de sa famille. Elle aurait dû rentrer lundi dernier.

     

    Le meurtre présumé a provoqué une vive émotion parmi les jeunes au pair travaillant au Royaume-Uni, et plus largement au sein d'une partie de la communauté française. Sur Facebook, une page a été ouverte en hommage à Sophie Lionnet, recueillant les témoignages émus d'anciens proches de la victime. Cette affaire met en lumière les difficultés parfois rencontrées par ces femmes, souvent très jeunes et sans expérience, qui travaillent et habitent dans des familles à l'étranger, a souligné Victoria, à l'origine de la page Facebook, qui préfère taire son nom de famille.

     

      leparisien.fr
     
  • Londres : Sophie Lionnet était traitée comme une esclave par le couple franco-algérien suspecté de l’avoir tuée

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    12h59

    Quelques jours après l’arrestation d’un couple suspecté d’avoir tué Sophie Lionnet, Française qu’il employait à Londres, des amis de la jeune femme dénoncent l’exploitation dont elle était victime.

     

    Quatre jours après l’inculpation pour meurtre du couple chez qui elle travaillait, les proches de Sophie commencent à réaliser l’ampleur du calvaire vécu par la jeune Française de 21 ans, loin de l’image idéalisée que celle-ci cherchait à tout prix à projeter de son expérience à Londres – son «rêve», nous confie une amie.

    Ses bourreaux présumés, Ouissem Medouni, 40 ans, et Sabrina Kouider, 34 ans, comparaissent ce mardi devant un juge londonien. Le couple franco-algérien qui l’employait comme jeune fille au pair depuis dix-huit mois est suspecté de l’avoir tuée, puis d’avoir brûlé son cadavre mercredi dernier dans son jardin de Wimbledon, banlieue cossue de la capitale anglaise.

    C’est là, derrière les murs d’une demeure estimée à plus d’un million d’euros, que Sophie Lionnet restait cloîtrée, s’occupant de deux enfants âgés de 3 et 6 ans, préparant les repas, faisant le ménage… pour un salaire de 56 euros par mois. Une somme dérisoire qui ne lui aurait en outre jamais été versée.

    (…) Sophie était-elle maltraitée physiquement ? C’est ce que suggère une photo retrouvée par ses amies, téléchargée en octobre 2016 sur Facebook mais jamais partagée. On y distingue des traces de griffures sur le cou de la jeune femme, qui avait fini par acheter un billet retour, grâce à l’aide de sa famille. Elle aurait dû rentrer lundi dernier. Bouleversée par le destin tragique de son amie, «victime d’exploitation» puis de «barbarie», Léana enrage. «Comment peut-on faire une telle chose ? Elle voulait juste rentrer chez elle…»

    Le Parisien

    Merci à patriote

  • Rapports sexuels avec une fillette de 11 ans : il est jugé pour «atteinte sexuelle» mais pas pour «viol»

     

    Justice ?


    La balance de la justice./Photo d'illustration
     

    Un homme de 28 ans est jugé ce mardi 26 septembre devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour avoir eu deux rapports sexuels avec une fillette de 11 ans. Mais le parquet a choisi de le poursuivre pour «atteinte sexuelle» et non pour «viol», considérant que l’enfant était consentante malgré son jeune âge.

     
     

    C’est Médiapart qui révèle l’audience de cette affaire sordide, dont les faits remontent à avril 2017, dans le Val d’Oise. Marie* rentre du collège, et croise cet homme sur chemin, qui l’a déjà abordée à deux reprises quelques jours auparavant. Il s’adresse à elle et parvient à la rassurer, et la fillette accepte de le suivre. «Elle a compris à cet instant que le piège s’était refermé sur elle, qu’on avait endormi sa conscience. Mais elle était tétanisée, elle n’osait pas bouger, de peur qu’il la brutalise. Elle a pensé que c’était trop tard, qu’elle n’avait pas le droit de manifester, que cela ne servirait à rien, et elle a donc choisi d’être comme une automate, sans émotion, sans réaction», raconte sa mère à Médiapart. C’est là que l’homme l’a fait venir jusqu’à son immeuble, puis dans son appartement. A l’intérieur, il lui demande de lui faire une fellation, et la pénètre par la suite.

    Les enquêteurs considèrent que la jeune fille était consentante

    La fillette a immédiatement appelé sa mère en quittant l’appartement, choquée et apeurée. Si la famille porte plainte pour viol, les enquêteurs considèrent que ces rapports sexuels étaient consentis, et le parquet de Pontoise estime que ces faits ne correspondent pas à un viol. Car pour qu’il y ait viol, il doit être démontré que la victime a subi une contrainte, une menace, une violence, ou une surprise. Le parquet a donc décidé de poursuivre l’homme pour «atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans».

    Cinq ans de prison au lieu de vingt ans

    L’homme n’étant pas poursuivi pour viol, il n’encourt pas la même peine. L’atteinte sexuelle sur un mineur de 15 ans est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende, tandis que le viol sur mineur est puni de vingt ans de prison (10 ans pour des attouchements) et 150.000 euros d’amende.

    Si la famille conteste cette qualification, la loi française ne fixe pas d’âge de discernement, ce sont aux juridictions de dire si le mineur était consentant ou non. Pourtant, d’autres pays voisins ont adopté une «présomption irréfragable d’absence de consentement du mineur victime d’actes sexuels» : 12 ans en Espagne et aux Etats-Unis, 14 ans en Allemagne, en Belgique et en Autriche, et 16 ans en Angleterre et en Suisse. Le tribunal devrait rendre son verdict en fin d’après-midi.

    (*) Le prénom a été modifié

  • PETITE SCÈNE DE LA FRANCE ORDINAIRE: LA PRIÈRE DE RUE!

    (VIDÉO)

     

    Bien protégés par la police voici un groupe de musulmans installés sur la chaussée pour prier…

    Prière de vendredi dernier. Aucune volonté de faire cesser cette provocation des islamistes par Gérard Collomb. D’autres prières de rues non autorisées ont lieu chaque vendredi à Paris rue Morand (11ème), bloquant la circulation. Rue Etienne Marey (20ème) également, les fidèles de la mosquée Anwaar E Madinaprient sur le trottoir. Les médias n’en parlent pas, toujours pour la même raison, « ne pas faire le jeu du FN ».

    Mais à Clichy-la-Garenne ce problème se double d’un autre que j’estime encore plus grave, beaucoup plus grave. L’imam qui dirige cette prière du vendredi des musulmans, psalmodie le verset 36 de la sourate 9 du coran, dans lequel on peut lire : « Combattez [dans le sens de jusqu’à leur extermination] les associateurs [les chrétiens ceux qui associent d’autres dieux à dieu, proclamation anti trinitaire] sans exception [dans le sens de totalement], comme ils vous combattent sans exception. Et sachez qu’Allah est avec les pieux. »

  • Journal TVL du 23/09/17

  • Eric Zemmour: L'après-Merkel

  • AUDIO - Jean-Yves Le Gallou sur les élections en Allemagne

    http://www.bvoltaire.com/lafd-passant-dune-ligne-anti-euro-a-ligne-identitaire-a-triple-voix-4-ans/?mc_cid=b1841a0074&mc_eid=0b0d8f3739

  • FOLHUMOUR

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  • Hongrie : Orbán défend le christianisme et l’identité contre le libéralisme occidental - Plan Soros

     

    Pendant que l’Europe de l’Ouest semble chaque jour renoncer un peu plus aux valeurs fondatrices de notre civilisation et à son identité, en Hongrie, le Premier ministre conservateur Viktor Orbán a fait sa rentrée de manière percutante, en défendant notamment le christianisme et l’identité, contre le libéralisme occidental.

    Nos confrères du Visegrad Post font le récit de deux discours de rentrée, qui annoncent la couleur.

    Le premier discours a eu lieu devant un parterre d’intellectuels chrétiens invités au Parlement, parmi lesquels le cardinal de Hongrie Péter Erdő, sur la même ligne que le gouvernement concernant la migration.

    Durant son allocution, M. Orbán a estimé que l’adoption par la Hongrie et l’Europe centrale du « libéralisme occidental signifierait un suicide spirituel pour les centre-européens ». Selon l’homme fort de Budapest, cela signifierait pour l’Europe centrale de « devenir des sociétés mixes de notre vivant, balayant ainsi irréversiblement nos identités nationales et chrétienne ».

    Le Premier ministre hongrois a ensuite nommé le coupable pour ce projet de transformation radical des sociétés européennes. « Ce programme de transformation des pays en pays d’immigration est communément désigné sous l’appellation de Plan Soros », du nom du spéculateur milliardaire et activiste multiculturaliste de citoyenneté hongro-étatsunienne George Soros. « Ce plan décrit exactement comment tourner des pays récalcitrant d’Europe centrale à l’immigration en pays d’immigration », a-t-il continué.

    Mais parlant toujours au nom de l’Europe centrale, Viktor Orbán ne s’est pas montré découragé. « Mais nous savons bien sûr ce que nous avons à faire : joindre nos forces, agir ensemble et ne laisser personne pénétrer nos défenses. »

    Le Premier ministre a conclu en appelant tout patriote et chrétien à donner son avis lors de la prochaine consultation nationale sur le Plan Soros, rappelant qu’il « vaut la peine de donner un plus grand pouvoir et une plus grande autorité que jamais à ceux qui sont prêts à défendre le futur de la Hongrie chrétienne », et que le gouvernement hongrois y était prêt.

     

    « 60 millions de personnes en Afrique se mettant en route d’ici 2020 vers l’Europe. »

    Quelques jours plus tard, Viktor Orbán tint son deuxième discours de rentrée, cette fois devant le parlement réuni. Après avoir abordé des questions de politique intérieure, le Premier ministre hongrois a abordé encore une fois la question migratoire, le Plan Soros et l’aspect civilisationnel de ces positions politiques.

    Selon Viktor Orbán, « l’ancien ordre mondial économique et politique est terminé et un nouvel ordre mondial vient, et on ne peut l’empêcher ». La mise en place de ce « nouvel ordre mondial » est responsable des grands mouvements de population actuels, selon M. Orbán. Et ces migrations vont de pair avec « la nouvelle offensive mondiale d’une des religions principales, l’Islam ».

    Concernant les vagues migratoires vues à ce jour, il ne s’agissait « que de l’échauffement ». Selon Viktor Orbán, les informations fournies par l’OTAN font état de 60 millions de personnes en Afrique se mettant en route d’ici 2020 vers l’Europe. Il accuse donc la politique migratoire de Bruxelles d’être ainsi responsable des « actes terroristes devenus hebdomadaires, de la dramatique chute de la sécurité publique, et du changement visible à l’œil nu du visage démographique, religieux et culturel de l’Europe ».

    « C’est de cela que nous voulons préserver la Hongrie, l’Europe centrale, et si cela est encore possible, toute l’Union européenne », a déclaré Viktor Orbán. Selon le Premier ministre hongrois, la politique migratoire détermine à l’heure actuelle deux camps au sein de l’Union européenne.

    D’un côté, les pays qui « invitent voire organisent la venue […] de peuples invasifs », devenus des « pays mixés ». Rappelant que les données indiquent « une croissances des populations non-chrétiennes et une décroissance des Chrétiens », le Premier ministre fait un sous-entendu fort en concluant sa phrase par un laconique « le reste n’est que mathématique simple pour en connaître l’issue ».

    De l’autre, les pays opposés à l’immigration, tel que la Hongrie, qui tiennent à « leur sécurité, leur mode de vie, leurs identités nationales et religieuses », avant d’ajouter que « nous voulons une Hongrie hongroise, et en soupirant nous disons, que nous souhaiterions aussi une Europe européenne ».

    Ainsi pour Viktor Orbán, l’avenir de l’Union européenne repose sur la possibilité pour ces deux groupes de pays de s’entendre sur un nouvel ordre en Europe pour cohabiter, ce qui ne serait possible « qu’en respectant les volontés démocratiques de chacun ».

    Mais pour le moment, les pays d’immigration suggèrent comme solution à cette rupture entre pays pro et anti-immigration, que « les pays refusant l’immigration l’acceptent. Sans quoi ils nous agressent, et nous y contraignent. C’est de cela qu’il s’agit dans l’affaire des quotas obligatoires […]. C’est ce que j’appelle le Plan Soros », a conclu le Premier ministre, réitérant l’importance stratégique de son opposition à cette menace identifiée et nommée, accusant les bureaucrates bruxellois de manger dans la main de l’influent milliardaire.

  • SUPERTRUMP n°32

  • Ile-de-France/migrants : l’État va ouvrir de nouveaux centres «de préorientation» et d’accueil « inconditionnel »

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    19h30

    L’Etat va ouvrir de nouveaux centres d’accueil des migrants en Ile-de-France dans les semaines à venir, a annoncé aujourd’hui le préfet de région Michel Cadot, afin d’améliorer le dispositif à Paris où les structures saturent.

     

    Dans le cadre de ce dispositif, « nous avons mis en place un lieu de pré-orientation (…) pour le 1er octobre dans un département de la région Ile-de-France, qui sera suivi dans les prochaines semaines, sans doute au début de la période hivernale, d’un deuxième centre dans Paris intra-muros« , a détaillé Michel Cadot lors d’une conférence de presse.

    Ces centres, dont la localisation n’a pas été précisée, devraient avoir une capacité de 200 à 250 places et ils permettront un accueil « inconditionnel » des migrants, a-t-on précisé à la préfecture: « on met tout le monde à l’abri« . Mais dans le même temps la situation administrative sera examinée (« on vise une cinquantaine d’examens par jour« , indique-t-on à la préfecture) pour orienter rapidement les migrants vers des structures d’hébergement ad hoc.

    L’idée est de « ne plus répondre dans l’urgence » mais de « bâtir un système plus structuré« , avec un cadre de pré-orientation permettant, « à la suite de maraudes« , d’identifier les personnes à la rue pour « leur offrir immédiatement une mise à l’abri dans des centres dédiés« , a indiqué M. Cadot. La Ville de Paris avait ouvert l’an dernier un Centre de premier accueil (CPA), co-financé par l’Etat, et qui a vite saturé, avec la formation d’un campement indigne à ses portes. […]

    Le Figaro

  • JT TVL 25/09/17

  • Le nouveau Sénat

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    Les élections sénatoriales se sont tenues ce dimanche. Sur les 348 sièges que compte le palais du Luxembourg, 171 étaient renouvelés. Dimanche soir à 23h, 165 d’entre eux étaient connus.

    Le nouveau visage du Sénat se dessine. S’il faudra attendre quelques jours pour voir les groupes se constituer et afficher leurs contours définitifs, le scrutin de dimanche, avec le renouvellement de 171 des 348 sièges de sénateurs, permet déjà d’établir une tendance de la future composition de la chambre haute.

     

    Dimanche soir, 165 des nouveaux sénateurs étaient connus – en attendant les résultats pour la Martinique, la Guadeloupe et Saint-Pierre et Miquelon. La droite sort largement gagnante avec 52 sénateurs élus ou réélus pour «Les Républicains», 29 pour les divers droite ou l’union de la droite et 21 pour les centristes de l’UDI. A gauche, les socialistes enregistrent 27 élus, les communistes 7. La République en marche n’a obtenu que 13 élus sous sa bannière.

    Le Parisien