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  • Daesh revendique l'attaque au couteau de Marseille qui a fait deux morts

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    Un policier en civil met en joue l'auteur présumé de l'attaque au couteau de Marseille, revendiquée par Daesh
     

    Via son agence de propagande Amaq, l'organisation terroriste a revendiqué l'attaque de la gare Saint-Charles à Marseille, qui a fait deux victimes. L'assaillant avait été abattu.

    Dans un communiqué de l'agence de propagande djihadiste Amaq, cité par le groupe américain spécialisé dans l'étude du terrorisme SITE, Daesh revendique l'attaque au couteau de Marseille. L'information a été confirmée dans la foulée par les agences de presse AFP et Reuters.

    BREAKING:  reported through 'Amaq its responsibility for the  in  and that executor is one of its "soldiers"

    •  

    Le 1er octobre, un individu a attaqué deux femmes au couteau à la gare Saint-Charles de Marseille. Les deux victimes ont perdu la vie, alors que l'assaillant a été abattu. Selon une source proche de l'enquête, il a crié «Allah Akbar» au moment des faits.

    Si le profil du terroriste reste pour l'heure flou, on sait d'ores et déjà qu'il était connu des services de police pour des faits de droit commun. Il utilisait par ailleurs plusieurs identités, qui ne seraient pas connues des services de renseignement. Il ne portait pas de papiers d'identité  sur lui au moment des faits.

    Le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête.

    Lire aussi : Attaque à Marseille : l'assaillant est connu pour des faits de droit commun

  • Pontoise : la jeune fille violée de 11 ans serait une migrante de 14 ou 16 ans…

     

    20h52
     

    Il faut lire la presse Israélienne pour apprendre cela :

    Les raisons de la prudence de la justice dans cette affaire sont très nombreuses. En effet la jeune fille a immigré en France avec sa mère il y a 4 ans et le médecin qui l’avait examinée à l’époque avait déclaré que l’enfant était évidemment plus âgé que ce qu’avait déclaré sa mère d’au moins 3 ans. Le médecin désigné par la police dans cette affaire après le dépôt de plainte a également indiqué que la jeune fille était âgée de 14 ans minimum (plutôt 16 ans même). Il faut savoir que les migrants qui arrivent en France ont tendance à abaisser volontairement l’âge officiel de leurs enfants lorsqu’ils les déclarent à l’entrée pour bénéficier plus longtemps des avantages sociaux offerts par la France. La question est de savoir maintenant si l’âge réel de la jeune fille est un élément pertinent pour la défense . Il est interdit par la loi de débattre du comportement sexuel de la victime avant le viol sauf si la victime présumée a menti sur des choses aussi essentielles que son âge ou son nom (voila)…
    Par ailleurs la défense a en sa possession des photos de la jeune fille nue qui ont été envoyées par la mère de la jeune fille a de nombreux adultes masculins. La mère a donc été mise en examen pour ces faits.
    Critique par le journaliste de la médiatisation de l’affaire : le monde de la justice est de plus en plus complexe alors que celui des médias est de plus en plus accessible. Et ça continue là-dessus donc pas d’infos sur le cas

    Haaretz (traduction)


    Selon Médiapart pourtant, la mère de la victime serait née en Guadeloupe

  • Le tueur de la gare Saint-Charles serait un Algérien, bien connu des services de police.

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-tueur-de-marseille-etait-connu-des-services-de-police-01-10-2017-7300848.php

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  • Un homme abattu par la police après avoir égorgé deux jeunes voyageuses à la gare Saint-Charles

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    VIDÉO - Deux jeunes femmes ont été tuées dimanche à l'arme blanche à la gare principale de Marseille par un homme qui a ensuite été abattu par des militaires. Le parquet antiterroriste est saisi.

     

    Une attaque au couteau a eu lieu ce dimanche en tout début d'après-midi à la gare Saint-Charles à Marseille. Selon nos informations, une femme de 21 ans et une autre de 20 ans ont été tuées sur le parvis de la gare. L'une des victimes a été égorgée et l'autre a été poignardée à mort, dans une zone vitale.

    L'assaillant, qui a agi seul, a été abattu par des membres de la force Sentinelle. Avant d'intervenir, les forces de l'ordre se sont assurées qu'il n'était pas équipé d'un gilet explosif. Sa mort a été confirmée par le parquet. Selon nos informations, l'agresseur ne portait pas de pièce d'identité sur lui au moment des faits, il reste pour l'instant (dimanche à 18h) non identifié. Toutefois, selon une source proche de l'enquête, il aurait entre 30 et 35 ans en fonction de ses alias, et était connu depuis 2005 pour des faits de droit commun, notamment pour des affaires de stupéfiants et d'infraction sur la législation des étrangers, sur Lyon, Toulon, ou encore Menton... En revanche, il n'était pas connu pour des affaires liées au terrorisme ou de radicalisation.

     

    Il était environ 13h50 lorsque la Gare Saint-Charles s'est agitée. «Tout le monde est sorti en courant et en hurlant. C'est là que j'ai entendu deux coups de feu», raconte Lionel au Figaro, un interne en médecine de 23 ans qui s'apprêtait à regagner Lyon avec le TGV de 14h14. «En moins de 5 minutes, des dizaines de policiers sont arrivés de tous les côtés, et ils ont bloqué tous les accès», poursuit l'étudiant, qui a été contraint de renoncer à rentrer chez lui.

    La SDAT (Sous-direction anti-terroriste) et la DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure) ont été saisis par le parquet anti-terroriste de Paris et une enquête a été ouverte en flagrance pour assassinats en relation avec une entreprise terroriste. De source proche de l'enquête, l'assaillant aurait crié «Allah akbar» (Dieu est grand, en arabe) au moment des faits. Les soldats de Sentinelle ont réalisé un tir de sommation avant de l'atteindre d'au moins deux balles.

     

    Gare évacuée et trafic interrompu avant une reprise partielle

    La police nationale a indiqué sur Twitter qu'une intervention était en cours vers 14h30 et que le secteur était à éviter. La gare a été évacuée. Le trafic ferroviaire était interrompu dimanche à 16h. Il devait reprendre partiellement, selon le président de région Renaud Muselier à 17h30.

     
     

    Vers 16h30, une tente blanche avait été montée sur le parvis, pour permettre aux enquêteurs de travailler. Les policiers procédaient également aux premières auditions de témoins, dans la gare elle-même. 

     

    Le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, est arrivé sur place vers 17h00. Le préfet de police et le procureur de la République de Marseille, Xavier Tarabeux, se sont rendus immédiatement à la gare, où d'importants moyens de police ont été concentrés. Plus de 200 policiers ont été mobilisés selon la Sécurité publique, tandis que la Police judiciaire effectuait les premières constatations. 

     

    La mairie de Marseille a rendu hommage aux soldats de Sentinelle «à l'heure où le nombre de victimes aurait pû être plus élevé», selon Caroline Pozmentier, adjointe à la sécurité de la ville.

    Cette attaque intervient alors que le gouvernement a renouvelé jusqu'au 1er novembre l'état d'urgence, sur fond de menace terroriste très élevée en France, frappée depuis 2015 par une série d'attentats, qui ont fait 239 morts.

    Émoi de la classe politique

    «Nous ne baissons pas la garde», a de son côté affirmé sur Twitter le Premier ministre Edouard Philippe, faisant part de sa «colère et tristesse pour les victimes».

    En déplacement à Poitiers où elle a réuni les élus FN ce week-end, Marine Le Pen a déclaré en ouverture de son discours au Futuroscope: «Nous apprenons le énième attentat qui une fois de plus nous horrifie et ensanglante nos rues, frappe nos compatriotes en plein coeur.» Avant d'ajouter: «Face à ces meurtres barbares, notre espoir est qu'on prenne en haut enfin la mesure du danger que court notre peuple et qu'on considère enfin le terrorisme pour ce qu'il est, un acte de guerre et non pas un crime de droit commun ou un acte de délinquance comme un autre.»

     

    D'autres politiciens ont réagi sur Twitter, comme Florence Parly, Jean-Luc Mélenchon, Christophe Castaner, Christian Estrosi et Anne Hidalgo.

  • États-Unis : converti à l’islam, il est reconnu coupable d’avoir décapité une collègue de travail

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    14h23

    Un homme de l’Oklahoma qui s’était converti à l’islam a été reconnu coupable de meurtre vendredi, dans l’affaire d’une collègue décapitée il y a trois ans, après que le jury eut rejeté son plaidoyer d’aliénation mentale, rapportent les médias locaux.

     

    Il avait saisi par derrière Colleen Hufford, 54 ans, et lui avait tranché la gorge avec un grand couteau à l’usine Vaughan Foods de Moore […] ‎

    ‎Il avait également blessé sa collègue Traci Johnson, qui a survécu. Le carnage avait pris fin lorsque Nolan fut touché à l’intérieur de l’entrepôt par les tirs d’un cadre de l’entreprise. ‎

    «Vous savez, tout ce que j’ai fait, c’était… ce que je devais faire en tant que musulman», a-t-il déclaré dans l’enregistrement [de son interrogatoire] qu’on a fait écouter aux jurés […].

    […]

    ‎Nolen a dit qu’il souhaitait être exécuté.

    (Traduction Fdesouche)

    Reuters

  • Africains dépigmentés, ascendances sarrasines : l’obsession de l’ailleurs

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    Selon certaines autorités archéologiques, nous serions des “Africains dépigmentés” alors que des historiens soucieux de conjurer toute tentation “identitaire” nous attribuent des ascendances “sarrasines”. Un discours qui n’est pas sans lien avec le militantisme idéologique actuellement en vogue dans divers milieux académiques et médiatiques. Par Ludovic Greiling. Source : La Nouvelle Revue d’Histoire, hors-série n°11, automne 2015.

    La Nouvelle Revue d'Histoire hors-série n°11

    La Nouvelle Revue d’Histoire hors-série n°11

    Nous sommes en classe de sixième. Un grand préhistorien fait son cours devant des petites têtes blondes. « Avec ce que l’on sait, “on” est resté cinq millions d’années en Afrique. Et on peut donc dire que nous sommes tous des Africains, ce n’est pas un abus de langage. La plus grande partie de “notre” histoire, on avait la peau brune, comme ces jeunes gens », affirme-t-il en montrant un jeune Noir (vu dans l’émission « Brunet/Coppens, duel aux origines de l’homme », France 5, diffusé le 30 avril 2015). Dans la salle, les petits Blancs stupéfaits regardent leurs camarades d’origine immigrée d’un autre œil… Celui qui prononce ces mots avec tant d’assurance dans des conférences scolaires n’est autre que Michel Brunet, l’homme qui a découvert les restes du plus vieux crâne d’hominidé connu. Dénommé Toumaï, le mammifère probablement bipède aurait fait 1,20 mètre de haut et son volume crânien n’excédait pas, selon notre spécialiste, 360 cm3. Des chiffres à comparer avec des niveaux moyens actuels de 1,75 mètre et de 1400 cm2. Impossible, évidemment, de faire de Toumaï un représentant de la lignée des hommes modernes, encore moins un Africain ou un humain de type noir. Cela n’empêche pas notre expert de décrire les Européens comme de simples descendants de ceux qui habitaient il y a des centaines de milliers d’années, voire plusieurs millions dans le cas cité, le continent africain. Un raccourci pour le moins hardi, régulièrement relayé par les médias officiels.

    Des anachronismes suspects

    Dans La France préhistorique (Gallimard, 2010), une passionnante synthèse des dernières recherches effectuées dans le pays, le professeur Jean Clottes assure dans l’avant-propos : « Citant mon ami et collègue le généticien André Langaney, j’ai parfois rappelé une évidence à propos de nos plus lointaines origines, à savoir que nous sommes tous des Africains dépigmentés ». Au-delà de l’anachronisme énorme du propos reste le questionnement. En effet, aucune « évidence » de ce type n’est lisible dans les chapitres du livre qu’il dirige. Au contraire, la présentation des riches trouvailles en industrie lithique sur ce qui est aujourd’hui le territoire français montre une évolution sans à coups majeurs sur plusieurs centaines de milliers d’années et militerait au contraire pour une remarquable continuité du peuplement de l’Hexagone. La référence à la génétique n’a pas plus l’avantage de l’évidence : en matière de préhistoire, cette science toute neuve donne aujourd’hui des résultats contradictoires d’une année sur l’autre (en 2008, le célèbre Institut Max Planck de Leipzig affirmait après analyse de l’ADN mitochondrial d’un Néandertalien que l’homme moderne ne partageait aucun gène commun avec celui-ci. Deux ans plus tard, il infirmait son point de vue, estimant que les Européens pourraient partager 4 % du génome nucléaire des Néandertaliens, et que ces gènes ne se retrouvaient pas du tout chez les Africains. En 2014, une étude internationale supposait que 20 % du capital génétique de Neandertal se retrouvait dans les populations actuelles de l’Eurasie, selon des intensités très variables).

    Mais ces anachronismes bien dans l’air du temps pourraient s’expliquer. Le généticien André Langaney, « ami » de Jean Clottes, nous fournit une piste. Dans La plus belle histoire de l’homme – comment la Terre devint humaine (Éd. du Seuil, 1998.), le savant y affirmait qu’il existait une « responsabilité de ceux qui détiennent le savoir scientifique ». Le chapitre qui concluait cet essai était titré « Le mélange, c’est la diversité ». Décidément dans l’air du temps…

    Existe-t-il un militantisme idéologique dans la recherche anthropologique et préhistorique française ? On peut s’étonner en tout cas de voir le prestigieux musée de l’Homme organiser en avril 2014 un débat ouvert au public sur le thème : « Races : pour en finir avec les fantasmes racistes ! ». De qui est dépendant le musée de l’homme ? Du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Tous les chemins mènent à la rue Descartes…

    Autre préhistorienne du musée de l’Homme, considérée comme l’un des meilleurs connaisseurs de Neandertal, Marylène Patou-Mathis aime opérer des digressions dans ses présentations destinées au grand public, aux étudiants ou aux spécialistes. Le 18 septembre 2014, devant l’auditorium plein du muséum national d’Histoire naturelle, elle affirmait ainsi que la violence était « une question de valeurs » et rapportait expressément des exemples de… la colonisation. L’intitulé de sa conférence ? « Les traces de violence au paléolithique » (le paléolithique désigne l’âge de la pierre taillée). C’est ce qui s’appelle de l’actualisation… Adepte du hors sujet, la spécialiste attaquait alors l’œuvre de l’académicien René Girard, coupable d’avoir dévoilé les mécanismes de la violence mimétique et du bouc émissaire et d’avoir montré en quoi le christianisme révélait lesdits phénomènes. En mai2015, dans un colloque sur les Pensées symboliques et actes créateurs chez les hominidés au sein du prestigieux Institut de paléontologie humaine, Marylène Patou-Mathis récidivait dans les digressions, affirmant ici que « les Sapiens [la lignée des hommes anatomiquement modernes] qui ont peuplé l’Europe, avaient la peau sombre » ou là que « les peuples migrants sont plus forts ; ça fait peur à tout le monde quand je le dis ». La science est entre de bonnes mains…

    Si la question des origines raciales et identitaires des Européens est devenue taboue au musée de l’Homme, elle l’est également à l’Institut national de la recherche archéologique préventive (Inrap), établissement institué en 2001 et dépendant également du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Sous la présidence de Jean-Paul Demoule, entre 2001 et 2008, l’institut a orienté sa communication. Dans La Révolution néolithique (Éd. La Découverte, 2007), rédigé sous sa direction, il est ainsi affirmé à plusieurs reprises – et en dépit de preuves – que la lente expansion des techniques agraires et de l’élevage en Europe sont le résultat d’une « colonisation » démographique orientale. Jean-Paul Demoule s’est efforcé par la suite de nier toute origine aux Européens et aux Français : dans l’introduction à son livre On a retrouvé l’histoire de France (Robert Laffont, 2012), il mettait en garde son lecteur contre toute tentative de quête d’ascendance identitaire et affirmait que la France avait été de tous temps une terre d’immigration et de métissage. Puis il dénonçait dans Où sont passés les Indo-européens ? (Le Seuil, 2014) un supposé « mythe des origines ». En 2014, l’Inrap allait plus loin en coproduisant un DVD intitulé « Nos ancêtres les Sarrasins ». Étrange coïncidence, le ministre de l’Intérieur en personne a repris l’idée de supposées origines arabo-musulmanes de la France, le 15 juin 2015, lors d’une grande réunion avec des représentants musulmans, dans la droite ligne des conseils du think tank Terra Nova.

    « Nous sommes tous Africains »« Nos ancêtres les Sarrasins »… Si ce sont les autorités scientifiques qui le disent… Et ce n’est pas tout : si les Blancs viennent d’ailleurs, ils seront demain tous Brésiliens. C’est que qu’affirmait la préhistorienne du musée de l’Homme Marylène Patou-Mathis, dans une conférence publique donnée le 18 septembre 2014. « Comment sera-t-on dans 100000 ans ? Peut-être des post-humains, on parle pas mal de ça en ce moment » assurait-elle avec une pointe d’humour. « Certains pensent que l’espèce humaine pourrait se mélanger, et que le type universel serait celui du Brésilien…», relançait-t-elle beaucoup plus sérieusement. Grâce aux salariés du ministère de l’enseignement, on connaît désormais l’Évolution en avance !

    Ludovic Greiling. Source : la-nrh.fr

    Crédit photo : Creative Commons

    NdB: Il n'y a pas que la couleur de la peau, la pigmentation... 

  • Plusieurs équipes de NFL décident de ne plus protester contre Trump en posant le genou à terre durant l'hymne national américain

    http://www.fdesouche.com/889207-plusieurs-equipes-de-nfl-decident-de-ne-plus-protester-contre-trump-posant-genou-a-terre

    VIDEOS

    Déroulez!

  • Pour BFMTV, la fête du cochon est une discrimination!

    https://www.causeur.fr/bfm-tv-fete-du-cochon-146663

    + VIDEOS, Discours du maire d'Hayange M. Engelman, ambiance !

     

  • Pyongyang menace les Etats-Unis du feu nucléaire si Washington «nie son droit à exister»

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    © Sue-Lin Wong Source: Reuters
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    L'ambassadeur nord-coréen en Russie a assuré que la Corée du Nord ne céderait pas devant Washington dans l'escalade verbale les opposant et pourrait faire usage de son arsenal nucléaire si l'existence de son Etat venait à être menacée.

    «Si les Etats-Unis se comportent de manière à nier le droit à notre Etat d'exister, comme l'a dit notre dirigeant suprême Kim Jong-un, nous leur feront payer cher, par le juste pouvoir de notre arsenal nucléaire», a déclaré l'ambassadeur nord-coréen en Russie, Kim Yong-jae, à l'occasion d'une conférence dédiée à la paix dans la péninsule coréenne et à la réunification des deux Corées, qui s'est tenue à Moscou.

     : La  inquiète de subir le même sort que l' en 2003 et la  en 2011 ? https://francais.rt.com/opinions/43859-tensions-usa-coree-nord-chaque-cote-volonte-montrer-pret-tout 

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    Tensions USA/Corée du Nord : «De chaque côté, il y a une volonté de montrer qu'on est prêt à tout»

    Alors que l'escalade verbale entre les deux pays tourne à l'affaire personnelle, la possibilité d'un conflit armé est de plus en plus actuelle. Comment apaiser les tensions ? Qu'attend Pyongyang ?...

    francais.rt.co 

       Kim Yong-jae a en outre réitéré la position de son pays concernant le discours du président américain Donald Trump à l'Assemblée générale de l'ONU, jugeant qu'il s'agissait des «mots d'un fou».

    En dépit du changement de président à Séoul en mai dernier, le diplomate s'est malgré tout montré pessimiste quant à l'amélioration des rapports entre les deux Corées, estimant que Séoul ne renonçait pas «à la politique de scission nationale et de confrontation».

    Ces derniers mois ont été marqués par une escalade verbale entre les dirigeants nord-coréens et américains, ces derniers reprochant à Pyongyang de refuser d'abandonner son programme nucléaire et balistique. Au cours de ces échanges d'invectives, le président américain Donald Trump a notamment menacé la Corée du Nord de déchaîner le «feu et [la] colère» et s'est déclaré prêt à «détruire l'ensemble de la Corée du Nord».

    Si l'étendue des capacités de frappes nucléaires de la Corée du Nord est difficile à estimer, Pyongyang a récemment revendiqué la réussite de l'essai d'une bombe à hydrogène – s'attirant ainsi les foudres de la communauté internationale, y compris de la part de la Chine, son principal allié.

    RT

  • JE SUIS UN ENFANT PAS UN CHOIX

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  • Pourquoi le CRAN ne demande-t-il pas de débaptiser les écoles, collèges, lycées et rues Victor Hugo, Jean Jaurès, Léon Blum et Edouard Herriot ? – par Bernard Lugan

     

     
     
     
     

    Le journal Le Monde nous apprend que le CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) organisation ultra confidentielle mais percevant des subventions prélevées sur les impôts des Français, fait actuellement circuler une singulière pétition ayant pour cible le grand ministre que fut Colbert. Parmi les signataires de cette pétition, on relève les noms de Lilian Thuram (footballeur), Harry Roselmack (journaliste) et Rokhaya Diallo (journaliste-documentaliste).

    Egalement celui d’une certaine Mireille Fanon-Mendès-France qui se présente comme « ancienne présidente du groupe d’experts de l’ONU sur les personnes d’ascendance africaine » (???). Ce titre ronflant fait d’elle, et en toute modestie, la porte-parole auto-proclamée de plus d’un milliard d’hommes et de femmes, ce qui n’est pas rien… Il pousse également à poser la question de savoir qui est l’actuel(le) président(e) de cet organisme et quels émoluments il (elle) perçoit du « machin » auquel la France, 5° contributeur à son budget ordinaire, verse annuellement 122,6 millions de dollars US prélevés, là encore, sur les impôts des Français.

    La pétition du CRAN demande rien de moins que de débaptiser les collèges et les lycées portant le nom de Jean-Baptiste Colbert et de déboulonner ses statues au motif qu’il « fonda la Compagnie des Indes occidentales, compagnie négrière de sinistre mémoire ».
    Mais pourquoi donc le CRAN s’en tient-il à Colbert ? Au nom du « vivre ensemble » et de l’antiracisme, n’est-il en effet pas nécessaire et plus urgent, de débaptiser les édifices publics portant les noms de Victor Hugo, Jean Jaurès, Léon Blum et Edouard Herriot… pour commencer. La liste est en effet longue de ces personnalités constituant le panthéon de nos gloires républicaines et laïques, de ces figures montrées en exemple de la défense des droits de l’homme, de la tolérance, de la fraternité universelle et qui, en réalité, seraient d’horribles racistes-colonialistes dont les propos abjects font penser aux plus sombres heures de notre passé colonial-esclavagiste. Que l’on en juge :

    Victor Hugo, qui a donné son nom à 2555 rues et avenues de France, juste derrière Louis Pasteur, ce chantre de la liberté, n’hésita pas à afficher un détestable mépris à l’égard des Africains auxquels il alla jusqu‘à contester l’appartenance au genre humain :

    « L’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie même a son histoire qui date de son commencement dans la mémoire humaine, l’Afrique n’a pas d’histoire ; une sorte de légende vaste et obscure l’enveloppe.(…) Le Blanc a fait du Noir un homme (…) Emparez-vous de cette terre. Prenez-là. A qui ? à personne. »

    Concernant la conquête coloniale, cette forme moderne de l’esclavage selon le CRAN, Jean Jaurès dont 2215 voies, rues, boulevards ou avenues portent le nom considérait que :

    « La France a d’autant le droit de prolonger au Maroc son action économique et morale que (…) la civilisation qu’elle représente en Afrique auprès des indigènes est certainement supérieure à l’état présent du régime marocain »

    Léon Blum et Edouard Herriot ne sont pas dans le « top 10 » des noms de rues et voies, ce qui est heureux, même si des centaines d’écoles, collèges, lycées, maisons de la culture, portent encore leurs noms. Leurs cas sont en effet encore plus graves que ceux de Victor Hugo et de Jean Jaurès. Celui de Léon Blum est même emblématique. Cet internationaliste aux mains pures, ce défenseur de Dreyfus, cet indéfectible soutien des « républicains » espagnols devenu éminente personnalité du Front populaire, compterait en effet, aux côtés d’Arthur de Gobineau, de Vachet de la Pouge et même du taxinomiste racial George Montandon, parmi les théoriciens (horresco referens !) de l’inégalité des races puisque, cause aggravante, ce fut devant les députés qu’il osa déclarer, l’hémicycle en frémit encore, que :

    « Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d’attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture ».

    Toujours devant les députés, Edouard Herriot, cette icône de la fraternité laïque, ce chantre de la tolérance républicaine si chère aux Lyonnais, ce frère de tous les humains, ce croisé du suffrage universel, n’a, quant à lui, pas craint d’oser dire que :

    « Si nous donnions le droit de vote aux peuples de l’Empire, la France deviendrait la colonie de ses colonies ».

    Alors, oui, amplifions le grand mouvement de nettoyage de l’histoire de France lancé par le CRAN, qui n’en manque décidemment pas, et établissons au plus vite des listes de personnalités qui ne méritent plus d’être respectées. Au nom de l’antiracisme et de l’amour du genre humain, épurons ! Epurons ! Epurons ! Et que revienne le temps béni des Fouquier Tinville, Carrier ou Collot d’Herbois…

    Bernard Lugan

    Texte repris du site Blog de Bernard Lugan

  • La religion musulmane pose de plus en plus de problèmes au travail

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    30/09/2017 – FRANCE (NOVOpress)
    Encore marginal, il convient de le dire, les appartenances religieuses ne sont pas sans poser des problèmes dans les entreprises. Toute religion entraîne des règles à suivre. Et donc les préceptes des religions entraînent parfois que les croyants soient obligés de ne pas suivre les directives de leur patron pour respecter leur religion.

    Si depuis toujours on voit que des personnes refusent telles ou telles activités pour des raisons éthiques, l’arrivée de l’islam en France présente tout un nouveau type de contrainte.

    On voit désormais des refus de travailler dans la même pièce qu’une femme, de pousser un chariot chargé d’alcool…

    Ces « cas conflictuels » qui ne représentaient que 6,7 % en 2016 constituent aujourd’hui 7,5 % de l’ensemble des faits recensés. Si les entreprises peuvent toujours licencier les récalcitrants ou encore se protéger via la « loi travail » ou la Cour de justice européenne, il n’est pas sûr que cela aide leur croissance.