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Las Vegas: pourquoi la revendication de l'Etat islamique pose question
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Quand Brigitte Macron reçoit Bernadette Chirac à l'Elysée
||01 octobre 2017, 21h45 | MAJ : 02 octobre 2017, 9h36|11
Claude et Bernadette Chirac ont déjeuné la semaine dernière au palais présidentiel à l'invitation de Brigitte Macron. L'ancienne première dame était très touchée.
La rencontre s’est déroulée à l’Elysée, à l’abri des regards indiscrets. Selon nos informations, Claude et Bernadette Chirac ont déjeuné lundi dernier au palais présidentiel, à l’invitation de Brigitte Macron. C’est la deuxième fois que l’ancienne première dame et l’actuelle se retrouvaient, deux mois après un premier rendez-vous en compagnie de leurs époux. Cette fois, pas de président autour de la table mais que d’attentions ! Sur la table, le service préféré de Bernadette Chirac avait été dressé.
Une fois leur repas achevé, Brigitte Macron a proposé à ses invitées de se rendre dans la bibliothèque du Château. Une vingtaine de membres du personnel encore en place à l’Elysée que l’ex-première dame avait connu l’attendaient. Lingères, fleuristes, cuisiniers, huissiers... Ces retrouvailles insolites ont duré environ 45 minutes. « C’était un moment très émouvant, confie un témoin. Madame Chirac était ravie. Elle a eu un mot gentil pour tout le monde. »
Le Parisien
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Attaque de Marseille : interrogations sur de récents versements d’argent au tueur
Le domicile du suspect dans la cité phocéenne, où il a passé sa dernière nuit, a été perquisitionné. Un sac a été retrouvé selon une source proche de l’enquête.
C’est apparemment là qu’il a passé sa dernière nuit. Ahmed Hanachi, 29 ans, l’assassin de la gare Saint-Charles, logeait dans le IIIe arrondissement de Marseille. Les policiers de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la PJ et la DGSI ont perquisitionné ce mardi ce domicile présumé. Ils traquent aussi d’éventuels complices.
Cinq personnes, présentées comme des « relations » inconnues des services antiterroristes, ont été arrêtées au fil de l’après-midi, notamment dans le centre-ville de Marseille. Les enquêteurs sont également intrigués par plusieurs versements d’argent, pour un total d’environ 2 000 euros, dans les jours qui ont précédé l’attaque au couteau. « Rien à cette heure n’indique que ces sommes aient été données pour qu’il commette ses crimes », décrypte une source proche de l’enquête qui insiste sur les activités illicites du suspect dans la délinquance.
Les investigations tentent de reconstituer l’itinéraire emprunté par le suspect jusqu’au drame de dimanche lorsque peu avant 14 heures, ce dernier se rue sur deux étudiantes de 20 et 21 ans, les poignardant à mort aux cris de « Allahou Akbar ! ». Hanachi quitte Lyon samedi après-midi à sa sortie de garde à vue. Ce Tunisien de 29 ans était initialement soupçonné de vol, accusation finalement abandonnée. Mais les fichiers de police, dans lesquels il est déjà apparu à sept reprises sous diverses identités et nationalités, montre qu’il se trouve en situation irrégulière sur le sol français. Il est pourtant remis en liberté dans des conditions qui débouchent aujourd’hui sur une enquête administrative.
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Un peu plus tard, Hanachi saute dans un TER en direction de la Provence. Les images de vidéo-surveillance, enregistrées samedi soir à son arrivée, gare Saint-Charles, le montrent, solitaire, avec comme seul bagage un sac noir à la main. Or, le lendemain, au moment de son décès presque au même endroit, Hanachi, tué par les militaires de l’opération Sentinelle, ne portait pas son bagage. Ce sac aurait été retrouvé à son domicile lors de la perquisition de ce mardi après-midi.
Au moment de la tuerie, seul un iPhone se trouvait à son côté. Comme l’a révélé RTL, l’examen de ce smartphone a conforté l’hypothèse d’une radicalisation. Des vidéos islamistes ont été récemment consultées, notamment des nasheed, des chants religieux psalmodiés très prisés des djihadistes se revendiquant de Daech. Pour l'heure, aucune trace informatique d’allégeance n'a encore été retrouvée. « Rien ne le relie à cette heure à une quelconque cellule djihadiste et à l’Etat Islamique » insiste une source proche du dossier.
Ahmed Hanachi a effectué plusieurs voyages récents en Europe. Il serait revenu en France en janvier dernier, en provenance d’Italie. -
Une collaboratrice municipale suspendue pour avoir qualifié le terroriste de Marseille de "martyr"
Sonia Nour a été suspendue par la mairie communiste de La Courneuve après avoir qualifié sur Facebook le terroriste de Marseille, qui a tué deux jeunes femmes, de «martyr». Elle affirme être victime du «déferlement de haine des fachos».
Collaboratrice de la mairie communiste de La Courneuve, dirigée par Gilles Poux, Sonia Nour a été suspendue après avoir publié un statut Facebook dans lequel elle qualifie de «martyr» le terroriste de Marseille, qui a assassiné deux jeunes femmes de 20 ans à coups de couteau le 1er octobre.
«Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre, là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation, bla bla bla… Par contre, que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours, on l'entend moins votre grande gueule», affirmait-elle sur le réseau social. Un message qui a suscité une vague d'indignation sur internet.
Sollicité par de nombreux internautes, le maire, Gilles Poux, a fermement condamné ces propos, les qualifiant d'«inacceptables», alors que l'attaque a été revendiquée par l'organisation terroriste Daesh.
Dans un communiqué publié ce même jour, Gilles Poux revient plus longuement sur les raisons de la suspension de Sonia Nour. «Ces propos qui minimisent et banalisent des actes de terrorisme d'une sauvagerie inouïe ne méritent que la condamnation», s'est indigné le maire de la Courneuve, adressant ses pensées aux familles des deux victimes.
Plainte du FN pour apologie du terrorisme
Jordan Bardella, secrétaire départemental du Front national (FN) en Seine-Saint Denis et conseiller régional d'Ile-de-France a annoncé avoir saisi le procureur de la République pour apologie du terrorisme. «Alors que nombre de nos compatriotes sont affreusement frappés par le terrorisme islamique, de tels dérapages ne peuvent être autorisés», dénonce-t-il notamment dans sa lettre adressée au tribunal de grande instance de Bobigny.
«Pour info je suis enceinte de près de 6 mois...»
Souhaitant s'expliquer, Sonia Nour avait auparavant posté un autre message sur Facebook. «Le mot martyr ne veut pas dire "le juste"», a-t-elle affirmé. «Je l'emploie pas dans le sens chrétien mais dans le sens psychanalytique du terme. D'un point de vue narcissique», a-t-elle expliqué.
Pour elle, «les attentats-suicides ne sont liés ni au fondamentalisme islamique, ni à la religion en général».
Mais ces explications n'ont semble-t-il pas suffi, car la collaboratrice communiste a annoncé sur le réseau social avoir été suspendue de son poste par le maire. «Je vous demande de l'aide. Je n'ai jamais fait d'apologie de terrorisme. Suite aux déferlements de haine des fachos, je viens de me faire suspendre de mon taf et je vais en conseil de discipline pour un statut Facebook», a-t-elle encore argumenté sur le réseau social.
«Je suis choquée. Je ne pensais pas qu'un maire communiste se servirait du déchaînement de l'extrême droite pour me suspendre sans solde et m'emmener en conseil de discipline pour apologie de terrorisme comme le souhaite l'extrême droite. Pour info je suis enceinte de près de 6 mois...», a-t-elle poursuivi dans le fil de commentaires où de nombreux internautes lui ont apporté leur soutien.RT
NdB: Après avoir crié sa haine des Français, Sonia Nour pleurniche...
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Jeannette Bougrab : « S’attaquer aux femmes, c’est répondre à une lecture littérale du Coran »
20h39Le modus operandi du terroriste qui a tué deux jeunes femmes à Marseille est particulièrement inquiétant, juge l’essayiste Jeannette Bougrab.
Un attentat a eu lieu, dimanche, à la gare Saint-Charles à Marseille. Deux femmes ont été tuées…
Viser les femmes par égorgement et éventration, comme dans les montagnes de Blida, en Algérie, dans les années 1990, n’est pas anodin. Cela a une signification politique. Selon Ali Har, un philosophe libanais, la violence dans l’islam est démultipliée parce que sa doxa religieuse se structure autour de deux notions: la pureté et la souillure. Dans l’islam, les femmes sont considérées comme impures.
S’attaquer aux femmes, c’est répondre à une lecture littérale du Coran.
Lorsque la communauté internationale s’est indignée des viols commis par l’État islamique, leurs dirigeants ont objecté qu’ils répondaient à une prescription: «Chacun doit se rappeler que réduire en esclavage les familles kuffars et prendre leurs femmes comme concubines est un aspect fermement établi par la charia. Et qu’en le niant ou le moquant, on nierait ou on moquerait les versets du Coran.» […]
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Devant la communauté juive, Philippe annonce un plan contre la «bête immonde» de l'antisémitisme
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© CHRISTOPHE ARCHAMBAULT /Edouard Philippe avait revêtu une kippaLors d'une allocution devant les représentants de la communauté juive, à la synagogue de la rue Buffault à Paris, le Premier ministre français a annoncé la mise en oeuvre à partir de 2018 d'un nouveau plan de lutte contre l'antisémitisme.
Le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé le soir du 2 octobre que l'Etat mettrait en oeuvre à partir de 2018 un nouveau plan pluriannuel de lutte contre l'antisémitisme, «cette bête immonde» qui, quand on la croit disparue, «réapparaît encore».
Le chef du gouvernement s'exprimait lors des vœux à la communauté juive à l'occasion du Nouvel an juif, à la synagogue de la rue Buffault à Paris, en présence notamment du ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer et de représentants des cultes.
Edouard Philippe a plaidé l'exigence de se «battre ensemble», avant d'ajouter : «Et quand je dis ensemble c'est bien tous ensemble, toutes confessions, toutes philosophies confondues, contre cette bête immonde qu'est l'antisémitisme.»
«[Cette bête] emprunte à la fois à l'hydre et au phénix [...] quand on le croit disparu, il réapparaît encore et encore», a-t-il encore détaillé.
Le Premier ministre a cité, au titre des causes de cet antisémitisme, «l'ultraviolence du terrorisme islamiste», énumérant l'assassinat d'Ilan Halimi en 2006 et la tuerie dans une école juive de Toulouse en 2012, pour laquelle le frère du djihadiste Mohamed Merah, accusé de complicité, comparaît depuis le 2 octobre devant la cour d'assises spéciales de Paris.
Edouard Philippe a également rappelé l'attaque contre l'Hyper Cacher en janvier 2015, l'assassinat par défenestration de Sarah Halimi en avril dernier, puis la séquestration d'une famille en septembre à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis.
Pour le chef du gouvernement, si les actes antisémites ont baissé en 2016 (-58,5%), ce recul ne devrait pas faire oublier une autre réalité, celle de la «banalisation de l'antisémitisme et de sa forme réinventée [...] qu'est l'antisionisme».
Rendant hommage à Manuel Valls - présent et très applaudi - et à son plan national de lutte contre le racisme et l'antisémitisme de 100 millions d'euros lancé au printemps 2015, Edouard Philippe a annoncé qu'un nouveau plan du même type serait mis en oeuvre pour la période 2018-2020.
«Un de ses objectifs sera de combattre l'antisémitisme sur internet, en particulier le déferlement de haine qui s'abat sur les réseaux sociaux», a-t-il précisé.
«Nous ne laisserons rien passer et vous ne serez pas seuls dans ce combat car ce combat, c'est évidemment celui de toute la République», a fait valoir le Premier ministre devant les responsables communautaires, dont le grand rabbin de France Haïm Korsia et le président du Consistoire Joël Mergui.
RT
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Un engin explosif découvert à Paris, cinq interpellations
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Une enquête antiterroriste a été ouverte après la découverte samedi de quatre bonbonnes de gaz reliées à un dispositif de mise à feu sur le palier d'un immeuble d'habitation du XVIe arrondissement de Paris.
Plusieurs bonbonnes de gaz ont été retrouvées dans la nuit de vendredi à samedi sur le palier d'un immeuble du XVIe arrondissement de Paris, non loin de la Porte d'Auteuil, selon nos informations confirmées par une source proche du dossier. Elles étaient «ouvertes, aspergées d'essence, et reliées à un dispositif de mise à feu commandé par un téléphone portable». Ce dernier était en parfait état de marche. Cinq personnes ont été interpellées lundi sur Bretigny-sur-Orge, Arpajon (Essonne) et Villejuif (Val-de-Marne), en lien avec cette affaire et placées en garde à vue. Leur lien avec la mouvance islamiste radicale était examiné.
Selon nos confrères du Point , l'immeuble au pied duquel a été retrouvé l'engin explosif est situé au 31 rue Chanez. Il s'agit d'un immeuble d'habitation classique, en pierre de taille, implanté dans cette petite rue parallèle au boulevard Exelmans. D'après le récit fait par l'hebdomadaire, c'est un locataire, réveillé vers 4h30 du matin par des bruits en bas de chez lui, qui aurait fait la découverte. Une équipe de démineur est intervenue pour désamorcer la bombe. «Nous avons évité le pire de justesse», a confié une source proche de l'affaire à nos confrères. Une équipe de la police scientifique aurait été dépêchée sur place afin de procéder à des relevés.
Selon nos informations, «aucune personnalité sensible ne réside dans cet immeuble» d'habitation en apparence tranquille, dans une rue calme et peu fréquentée de Paris. À ce stade des investigations, les enquêteurs croient savoir que les terroristes visaient à l'origine «un associatif militant contre l'islamisme radical». Les assaillants se seraient trompés, prenant pour cible un homonyme exerçant une profession libérale.
La section antiterroriste du parquet de Paris a ouvert une enquête de flagrance pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle», «tentative de destruction par un moyen dangereux en relation avec une entreprise terroriste» et «tentatives d'assassinats en relation avec une entreprise terroriste».
Le Figaro
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L'Etat islamique revendique l'attentat de Las Vegas
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VIDEO - Marseille, gare Saint-Charles. Ce que l'on sait des deux jeunes victimes,Laura et Mauranne
http://www.fdesouche.com/889975-attaque-couteau-a-marseille-lon-sait-deux-victimes+
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Journal TVL du 02.10.17
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Attentat à la gare Saint-Charles de Marseille : les deux victimes étaient des cousines de 20 et 21 ans
Selon nos informations, les deux victimes de l'acte terroriste survenu en début d'après-midi avaient 20 et 21 ans. Elles seraient cousines. L'une étudiante à Marseille, l'autre à Lyon. Cette dernière rentrait d'un agréable week-end dans la cité phocéenne.
L'homme qui leur a ôté la vie serait un Tunisien en situation irrégulière d'une trentaine d'années, connu pour des délits mineurs. Il avait été, pas plus tard que la semaine dernière, arrêté en flagrant délit de vol à Lyon. Sans aucun papier d'identité sur lui, les enquêteurs ont dû procéder à l'examen de ses empreintes digitales, lesquelles auraient "matché" dans leurs fichiers avec pas moins de huit identités. Reste qu'aucune de celles-ci ne faisait l'objet d'une fiche au Renseignement intérieur.
Toutes nos informations sur l'attentat de Marseille en direct
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