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Blog - Page 1018

  • Paris : rassemblement à 18h devant Odéon en soutien à Samuel Lafont

     

    LPoignardé de 6 coups de couteaux ce matin, Samuel Lafont est actuellement à l'hôpital Pompidou. Accompagné de 2 personnes, c'est lui et seulement lui qui a été frappé par 3 personnes. Des voyous.

    Un rassemblement est organisé à 18h devant Odéon.

    Les personnalités qui appellent publiquement à la haine portent une grave part de responsabilité dans cette escalade : que ce soit Pierre Bergé, qui ne se disait pas dérangé si une bombe explosait dans la manif pour tous, ou Manuel Valls, qui insultait les manifestants après avoir gazé des enfants, et qui ne se préoccupe pas de l'insécurité dans ce pays.

    Posté le 13 avril 2013 à 15h04 par Michel Janva

    Le Salon Beige

  • URGENT - Un militant anti-mariage homo violemment agressé ce matin à Paris : il a dû être hospitalisé

    Lire: http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20130413.OBS7873/un-militant-anti-mariage-homo-agresse-a-paris.html

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  • Vandales sous bannière OTAN

    Le pillage des objets d’art est une pratique indissociable des opérations de l’Otan. Kosovo, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, chaque cible a été méticuleusement pillée dans l’indifférence générale. Et si tout cela était organisé ?

    | Rome (Italie)| 10 avril 2013
     
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    Quand en mars 2001 deux antiques statues de Bouddha furent détruites par les talibans en Afghanistan, les images de l’acte de vandalisme firent le tour du monde, en suscitant une indignation légitime. Une chape de silence politico-médiatique recouvre au contraire ce qui se passe aujourd’hui en Syrie.

    Les sites archéologiques sont non seulement endommagés par la guerre, mais saccagés surtout par les « rebelles » qui, à la recherche de bijoux et de statuettes, détruisent souvent d’autres précieux vestiges. À Apamea ils ont emporté des mosaïques antiques et des chapiteaux romains en se servant de bulldozers. De nombreux musées, parmi les dizaines épars dans toute la Syrie, y compris celui de Homs, ont été pillés de biens ayant une valeur historique et culturelle inestimable, parmi lesquels une statue en or du VIIIème siècle avant J.C. et des vases du troisième millénaire avant J.C. En deux années de guerre des témoignages de millénaires d’histoire ont été effacés.

    L’appel de l’Unesco pour sauver les biens culturels syriens, faisant partie du Patrimoine mondial, n’est toujours pas entendu. La raison en est claire : les principaux auteurs de la destruction sont les « rebelles », armés et entraînés par les commandos et services secrets USA/Otan, qui leur concèdent le « droit de mise à sac » et la possibilité de pouvoir emporter les biens culturels hors de Syrie pour les vendre au marché noir international. Pratique désormais bien établie.

    Au Kosovo en 1999, des églises et des monastères serbes orthodoxes médiévaux furent d’abord détériorés par les bombardements, puis incendiés ou démolis par les milices de l’UCK, à qui l’Otan donna aussi la possibilité de les mettre à sac, en volant des icônes et d’autres objets précieux. Par contre, en 2001, quand les talibans détruisirent les deux statues de Bouddha, les premiers à condamner cet acte furent les États-Unis et leurs alliés. Non pas, certes, pour sauvegarder le patrimoine historique afghan, mais pour préparer l’opinion publique à la nouvelle guerre, qui commença quelques mois plus tard quand, en octobre 2001, les forces étasuniennes envahirent l’Afghanistan en ouvrant la route à l’intervention Otan contre les forces des talibans : celles-là mêmes que les USA avaient d’abord contribué à former via le Pakistan et qui, après avoir rempli cet objectif, devaient être éliminées.

    En Irak, où pendant la guerre de 1991 au moins 13 musées avaient déjà été mis à sac, le coup de grâce au patrimoine historique a été porté avec l’invasion lancée par les USA et ses alliés en 2003. Le site archéologique de Babylone, transformé en camp militaire étasunien, fut en grande partie rasé au sol par les bulldozers. Le musée national de Bagdad, laissé volontairement sans surveillance, fut mis à sac : avec la disparition de plus de 15 000 objets, témoins de cinq mille années d’histoire, dont 10 000 n’ont jamais plus été retrouvés.

    Pendant que les militaires étasuniens et les contractors participaient au sac des musées et des sites archéologiques et au marché noir des objets volés, le secrétaire à la Défense Rumsfeld déclarait « ce sont des choses qui arrivent ».

    Comme aujourd’hui en Syrie, pendant que quasiment tout le « monde de la culture » occidental observe en silence.

    Traduction
    Marie-Ange Patrizio

    Source
    Il Manifesto (Italie)

  • Evasion de Redoine Faïd à Sequelin: "Tout à coup, tout a sauté""

    TEMOIGNAGES - De nombreuses personnes étaient au parloir, samedi matin, au moment où le détenu, issu du grand banditisme, a pris en otage cinq personnes avant de faire exploser une partie du sas de la maison d'arrêt. Ils racontent ce moment qu'ils ne sont pas près d'oublier.

    Ils étaient venus rendre visite à un ami, un fils ou un compagnon. Mais c'est face à un autre prisonnier qu'ils se sont retrouvés. Plusieurs personnes, parmi lesquelles des enfants selon la correspondante de TF1 dans le Nord, se trouvaient au parloir de la prison de Sequedin, samedi matin, au moment où Redoine Faïd s'est évadé. Arrivé vers 8 heures, ils n'ont pu quitter la maison d'arrêt qu'à midi. Et raconté ce qu'ils avaient vécu.

    "On a entendu un coup de feu, puis une première explosion, une deuxième explosion", a expliqué un homme aux équipes de TF1. A la première explosion, le personnel est sorti pour nous dire de nous mettre en sécurité". Rose, venue voir son fils, a entendu l'explosion et a dit avoir vu "un homme être emmené avec des menottes". "Je croyais que c'était ma dernière heure. Tout à coup, tout a sauté. Tous les murs ont bougé, même les carreaux des portes. J'ai eu vraiment peur", a-t-elle témoigné.

    "Le chef a été plaqué au sol, une arme sur la tempe"

    D'autres ont aussi eu "très peur". C'est le cas de Marlène et Michel. "On aurait dit des bombes", ont-ils relaté à la Voix du Nord en parlant des explosions. "On était dans la salle d'attente du parloir, puis dans la cabine. On a vu passer le détenu, avec les deux gardiens en otage, et un gars avec un sac à dos", ont-ils poursuivi, précisant avoir quitté la maison d'arrêt "par derrière" après avoir été mis en sécurité "dans la salle d'attente". Sous le choc, Marlène a "fait un malaise" et avouait avoir "encore du mal à [se] calmer".

    Alison, venue rendre visite à son compagnon avec une amie, retient surtout les cris. "L'un des hommes a demandé aux gardiens de se mettre à terre. Le chef a été plaqué au sol, une arme sur la tempe. Ils ont tiré un coup de feu vers le plafond. Un des hommes a donné des coups de pied dans la porte et a réussi à sortir", a-t-elle expliqué au quotidien régional. "Ça fait peur : le coup de feu, les explosions, aucune nouvelle, c'est stressant", a-t-elle confié. Et de conclure : "C'est énorme ce qui s'est passé, c'est pas une vie".

    A lire aussi : Evasion de Redoine Faïd : "Je suis étonné mais pas surpris", déclare son avocat

    A lire aussi : VIDEO. Qui est Redoine Faïd, l'évadé de Sequedin ?

    TF1 - 13/04/13

  • Une rare nécropole gauloise de 2.200 ans mise au jour près de Troyes

    13 avril 2013

    Plus de 2 200 ans après leur inhumation dans une nécropole gauloise, guerriers à épée de fer et femmes portant torque et fibules en bronze ont revu le jour grâce à des fouilles préventives menées près de Troyes, à l’est de Paris.

    Ils viennent nous rappeler, en ces temps de reniement et de suicide, que notre identité a des racines profondes…

     

    Contre-info.com

    Nous sommes chez nous chez nous!

  • L’armée a-t-elle précipité la chute de Jérôme Cahuzac ?

     

    Les coupes prévues par l’ex-ministre Jérôme Cahuzac dans le budget de la Défense l’auraient conduit à sa perte. C’est ce qu’affirme L’Hebdo dans son édition de jeudi. L’hebdomadaire romand publie sur le sujet une enquête citant des « sources sécuritaires », des députés UMP et des membres de la Commission de défense de l’Assemblée nationale.

    Avant sa démission, l’ex-ministre du Budget considérait l’armée comme un poids lourd à alléger. Il envisageait ainsi de raboter dans son budget jusqu’à 1 milliard d’euros en 2014. D’autres milliards étaient prévus les années suivantes.

    Le tout aurait figuré dans la future loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période de 2014 à 2019. La LPM aurait fait passer les dépenses de l’armée de 1,5 % du PIB français à 1,1 %. Un plus bas historique pour la France.

    Concrètement, la taille aurait signifié la suppression de 31 régiments dans l’Armée de terre, la vente du porte-avion Charles-de-Gaulle, l’annulation de commandes d’hélicoptères Tigres et de deux sous-marins nucléaires Barracuda, l’arrêt de production des avions Rafale et des transporteurs Airbus A400M, ainsi que la suppression de quelque 51 000 postes. Des bases françaises à l’étranger auraient été fermées et les budgets des renseignements intérieurs et extérieurs revus à la baisse.

    Coupes inacceptables

    Ces mesures auraient été jugées inacceptables de l’intérieur, affirme L’Hebdo. Davantage d’économies dans le ministère de la Défense risquaient même aux yeux de certains de mettre en péril le statut de grande puissance internationale de la France et de rendre le pays indigne de siéger au Conseil de Sécurité de l’ONU.

    Ainsi, avant que le président François Hollande ne se prononce le 22 mars sur le projet de loi de Jérôme Cahuzac, ce dernier a fait face le 19 mars à l’ouverture d’une enquête judiciaire à son encontre. Il démissionnera dans la même journée. Le 2 avril, il avouera devant la justice posséder un compte non-déclaré à l’étranger, détruisant ainsi durablement sa carrière politique.

    Les « sources sécuritaires » de L’Hebdo sont très claires. Aucun hasard n’est à lire dans cet enchaînement d’événements. « L’armée a eu sa peau. On ne s’attaque pas impunément à nous. Il voulait notre mort. Nous l’avons eu. Et d’autres ministres pourraient suivre si Hollande continue sur cette voie », menace l’une des sources.

    La précision des informations aux mains de la justice française sur le compte en Suisse de l’ex-ministre du Budget a surpris les autorités genevoises, souligne encore L’Hebdo. Cette minutie porterait la marque de l’intervention des services de renseignement français qui enquêtent depuis des années sur les fraudeurs du fisc.

    Un certain nombre d’informations seraient gardées au chaud, plutôt que d’être livrées à la justice, afin de conserver une certaine influence sur les politiques en cas de besoin. Les enquêteurs l’ont reconnu dans un document collectif signé par des officiers de la Direction centrale du renseignement intérieur et remis le 16 février à un groupe de travail sur les exilés fiscaux.

    Le lobby militaro-industriel à dos

    Outre les coupes dans le budget de la Défense, Jérôme Cahuzac envisageait de s’attaquer à l’industrie militaire. Il avait ainsi annoncé en février vouloir renforcer le mécanisme de contrôle et de contre-expertise dans les achats du ministère de la Défense. Une démarche qui lui aurait mis à dos le puissant lobby militaro-industriel au chiffre d’affaires annuel de 15 milliards d’euros.

    Face à la pression de l’armée et de ce lobby, François Hollande aurait été contraint d’agir. La nomination de Bernard Cazeneuve comme remplaçant de Jérôme Cahuzac est ainsi à comprendre comme un geste en direction de l’armée et de l’industrie militaire, selon L’Hebdo. L’article souligne que le nouveau du gouvernement est originaire de Cherbourg, une importante base maritime et de production militaro-industrielle.

    Dans la foulée, le président a également repoussé le débat sur la loi de programmation militaire (LPM) à l’automne. Le temps de revoir sa copie ?

    E&R

  • La démission du grand rabbin : "un tsunami"

     

    « Pour moi, c’est bien pire que Cahuzac ! » Albert Roche, président régional du Conseil représententatif des institutions juives de France (Crif) est abasourdi.

    Le grand rabbin Gilles Bernheim a demandé sa « mise en congé » au Consistoire, après avoir reconnu plusieurs plagiats et s’être prévalu d’une agrégation de philosophie jamais décrochée. Après avoir durant cinq ans représenté la communauté juive, avec - avait-il promis « un souci d’exemplarité » - il vient, à 60 ans, de faire voler en éclats son image d’intellectuel et de guide moral.

    Une image qui séduisait au-delà de la communauté juive, puisqu’il était même surnommé « le rabbin des cathos ». Outre son livre d’entretiens avec le cardinal Barbarin, Gilles Bernheim avait inspiré un certain nombre de catholiques dans leur réflexion contre le mariage homosexuel. La clarté de la pensée et la puissance de la synthèse soutenaient d’ailleurs l’essai que Benoît XVI avait cité en exemple. Or des passages entiers de cet ouvrage seraient tirés de l’œuvre d’un prêtre, Joseph-Marie Verlinde (« L’Idéologie du Gender »).

    Lire la suite de l’article sur sudouest.fr

    E&R

  • Ou ça passe ou ça casse !

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    Tribune libre de Pierre-François Ghisoni*

     

    Hollande veut un passage en force ? Il voit le résultat : les Français dans la rue. Est-il encore capable de comprendre, dans son bunker élyséen, entouré de ses derniers porte-cotons ? Est-il encore lucide ? Vit-il encore pour voir les heures les plus sombres de son histoire ? Il fallait entendre le mélange de trouille et de mensonges du porte-paroles PS de service sur France-Info ce soir. Le lampiste faisait de l’huile. Car ou ça passe ou ça casse. Les Français sont dans la rue et les Bisounours ont laissé la place à la colère populaire. Frigide se dégèle, elle nomme enfin le vrai violenteur de la loi et de la démocratie, Boutin se mutine : c’est l’alliance des idéaux contre l’idéaliste du chaos !

    Se dire président des Français et ne rien comprendre à ce peuple ! Ce peuple français qui gronde longtemps, qui est long à la vraie colère, mais qui sait se battre jusqu’au bout. La Marne, Verdun, la Résistance, ça ne vous dit rien, Hollande ? Des choses qu’on n’apprend pas dans les académies militaires, mais pas non plus dans votre technocratie mortifère. Jusqu’à quelle somme de bêtise faut-il descendre ? Jusqu’à quelle aberration politique ! Vous avez gagné le cocotier : vous n’êtes plus crédible, ni nationalement ni internationalement. S’il vous reste encore un point, un iota, un bit informatique d’honneur ou de lucidité – à choisir – dégagez, vous, votre équipe d’impuissants, et votre boîte à outils de pacotille !

    Est-ce vraiment cela un président de la République française ?

    « À la première goutte de sang versé vous aurez gagné devant l’Histoire votre surnom de président trou de balle. »

    Le peuple français en a marre, comprenez-vous ? Marre des dealers dans les cages d’escalier, et il faut que les locataires tranquilles se révoltent parce que vos policiers sont ailleurs et vos juges sourds à la réalité. Le peuple français en a marre de vos impôts inutiles pendant qu’il se serre la ceinture, marre de votre soumission au pillage de nos richesses, marre d’être envahi par la pègre, marre d’être racketté sur les routes par vos radars, marre de vos lois en cascade qui ne masquent plus votre incompétence, marre de votre clientélisme, de vos subventions aux grands frères des caïds de banlieue, marre de votre haine de nos racines qui transpire dans tous vos discours, marre, marre et marre. Comprenez-vous ?

    Alors, le peuple est dans la rue. Il ne vous veut plus, toutes générations confondues, le peuple des vivants, le peuple de l’honneur, le peuple qui refuse la mise en vente des ventres, la foire au fric du foutre, les enfants aux enchères, le viol de la filiation. Et si vous voulez donner vos CRS et autres, pour défendre votre pseudo-mariage « gay » dont les homosexuels lucides ne veulent pas, à la première goutte de sang versé vous aurez gagné devant l’Histoire votre surnom de président trou de balle.

    Dégagez avant cela. Vous ne resterez que comme fromage à pâte molle. Ce n’est pas glorieux, mais c’est mieux que rien.

    Alors, ou ça passe, ou ça casse ! Et dans le pire des cas, nous ferons sécession. Sécession de notre travail, de nos ressources, de notre professionnalisme, de nos comptes bancaires et de nos personnes.

    De toute façon, Hollande, vous avez déjà perdu.

    *Pierre-François Ghisoni (blog) est écrivain et éditeur.

    Du même auteur :
    > R comme réveil
    > Quatre « R » majuscules

    Nouvelles de France

  • Tous à Paris le 5 mai pour la défense de la France et des Français !

    sans-titre.png affiche 5 mai.png

    Lire: http://ripostelaique.com/tous-a-paris-le-5-mai-pour-la-defense-de-la-france-et-des-francais.html

  • Massacre de Chios 12 avril 1822 - Un génocide oublié

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    12/04/2013 – 20h10
    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) –
    Le 12 avril 1822, les Ottomans perpétraient le massacre de Chios, à l’encontre de la population grecque de l’île. Un millier de partisans grecs débarquent sur l’île, au début de l’année 1822. La Sublime Porte décide alors l’envoi de près de 45 000 hommes, avec ordre de reconquérir puis de raser l’île, et d’y tuer tous les hommes de plus de douze ans, toutes les femmes de plus de quarante ans et tous les enfants de moins de deux ans, et de réduire le reste de la population en esclavage.

     

    Le bilan est estimé à 25.000 morts grecs et 45.000 vendus comme esclaves. Seulement 10.000 à 15.000 personnes ont pu s’enfuir vers les autres iles grecques.

    Chios 12 avril 1822

    Ce massacre de civils par les Turcs marqua profondément l’opinion publique européenne. « Les Turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil. Kios, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil » écrira Victor Hugo dans un poème célèbre dont les derniers vers sont : « Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus, je veux de la poudre et des balles ». Les peuples de la vieille Europe, devant d’autres servitudes qui s’annoncent, réclameront-ils un jour, à leur tour, « de la poudre et des balles » ?…

    Image en Une : Le Massacre de Chios peint par Delacroix en 1824, domaine public. Image dans le texte : Marché aux esclaves par Jean-Léon Gérôme. domaine public, via Wikipédia.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • VIDEO - Selon son ami Dominique Lefebvre, Jérôme Cahuzac va démissionner

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

  • EN DIRECT - Rassemblement autour du Sénat : Paris dans la rue !

     

    sans-titre.png mariage gay affiche.png

    Lire : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

    Très nombreuses photos  + vidéos

  • Des milliers d'opposants au mariage gay sont descendus dans la rue vendredi soir à Paris et à Lyon - Jusqu'à quand va-t-on se moquer des Français ? Le mariage contre-nature avec adoption, nous n'en voulons pas !

  • Le mystère de la météorite de Tcheliabinsk

     

    Un corps céleste, qualifié d’abord de bolide puis de météorite, a survolé l’Oural le 15 février dernier. La météorite de Tcheliabinsk est déjà répertoriée par l’Union astronomique internationale.

    Ses traits caractéristiques ? Un éclair brillant, son onde de choc et la traînée blanche inversée laissée en général par des fusées ou des avions à réacteur, écrit le quotidien Nezavissimaïa gazeta du 9 avril.

    Les scientifiques reconnaissent le caractère absolument atypique du phénomène de Tcheliabinsk mais refusent de répondre aux questions - qui devraient pourtant les préoccuper plus que tout.

    Ils les ignorent, tout simplement. Leur a-t-on imposé une version officielle des événements ?

    Si les scientifiques peuvent ne pas répondre aux questions qui dérangent, le public est en droit d’avoir sa propre version du phénomène de Tcheliabinsk.

    Première question : qu’est-ce que cette traînée blanche laissée par la "météorite" dans son sillage, jamais observée auparavant ? De la vapeur d’eau, qui gèle immédiatement et reste suspendue dans l’atmosphère sous forme de poussière de neige, ainsi que d’autres composants de combustible brûlé.

    Étudions alors la version la plus plausible de l’origine anthropique du phénomène de Tcheliabinsk : les essais d’un prototype de fusée hypersonique russe. Voici ce qui aurait pu se produire.

    Le bombardier stratégique Tu-160, transportant un prototype de fusée hypersonique, a décollé à l’aube du 15 février. Volant à plus de 2 000 km/h à 15-20 km d’altitude, l’avion a lancé la fusée porteuse.

    En quittant l’atmosphère, le dernier étage de la fusée - transportant la charge expérimentale - s’est décroché. Prenant de la vitesse dans le vide spatial, la fusée hypersonique devait s’écraser quelques minutes plus tard en mer Blanche : c’est la seule direction et le seul territoire où son vol pouvait être suivi par les systèmes de surveillance au sol.

    C’est pourquoi sa trajectoire passait au-dessus d’une région peuplée au lieu de l’Arctique, où il n’y a pas de systèmes de contrôle de l’espace aérien et spatial performants. Mais la fusée a soudainement commencé à perdre de l’altitude. À 92 km de hauteur, elle est entrée dans l’atmosphère et a continué sa route en laissant une traînée blanche inversée, avec une trajectoire pratiquement parallèle à la surface terrestre. C’est un angle typique d’entrée et de déplacement pour les objets en orbite circumterrestre, par exemple des satellites qui ont fait leur temps.

    La trace dans le ciel a été enregistrée par des dizaines de caméras, de tous les côtés et sous tous les angles. Sur certaines images on voit clairement que la trace est double. Autrement dit, les deux moteurs du prototype se seraient mis en route. La vitesse de pénétration dans l’atmosphère est estimée par divers centres scientifiques et observatoires entre 9 et 17 km/s.

    La vitesse des météorites est en général plus élevée – en moyenne 25-30 km/s – et elles frappent le sol à une vitesse d’au moins 1-3 km/s, si leur vitesse initiale était inférieure à 20 km/s. Cependant, la vitesse de la "météorite" au moment de l’explosion avait chuté jusqu’à 180m/s – la moitié de la vitesse du son, ce qui est impossible pour une météorite avec une immense inertie.

    L’explosion, accompagnée par une puissante onde de choc et des nuages de feux aveuglants typiques du supercarburant, n’a pas détruit entièrement la fusée. Qui plus est, ses débris ne se sont pas écartés d’un seul degré de la trajectoire initiale. À partir de cet instant on voit clairement sur tous les enregistrements les deux traces blanches de deux débris qui poursuivent un vol parallèle. Au fur et à mesure de la combustion du carburant, la trace disparaît.

    20 000 employés du ministère des Situations d’urgence et trois hélicoptères ont été envoyés à la recherche de l’endroit de la chute du corps céleste, immédiatement après la chute de la "météorite".

    Et la direction du FSB de la région de Tcheliabinsk a fait décoller 5 hélicoptères. Des groupes mobiles du ministère en motoneiges et à ski ont également participé aux recherches.

    Le lendemain déjà, le 16 février, il a été officiellement annoncé qu’aucun débris n’avait été retrouvé et que les recherches avaient été interrompues. Cela ne pouvait signifier qu’une seule chose : le FSB avait trouvé ce qu’il cherchait - les débris de la fusée.

    E&R