Plage du Prado à Marseille (8ème)
(Photo prise par PB l'après-midi du 20 juillet 2017)
NdB: Le problème du burkini semble ici avoir été résolu
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Plage du Prado à Marseille (8ème)
(Photo prise par PB l'après-midi du 20 juillet 2017)
NdB: Le problème du burkini semble ici avoir été résolu
58 000 femmes sont concernées par ces mutilations et 13 000 mineures risquent d’en souffrir, s’alarme une ONG.
L’ONG Terre des Femmes estime à 58 000 le nombre de femmes vivant en Allemagne qui ont subi des mutilations génitales féminines (MGF), et à 13 000 supplémentaires les mineures à risque, des chiffres qui ont augmenté respectivement de 10 000 et de 4 000, depuis 2016.
“À cause de l’afflux des migrants de pays comme l’Érythrée, la Somalie et l’Irak nous constatons une augmentation énorme du nombre de femmes et de filles vulnérables touchées”, s’inquiète Charlotte Weil, membre de l’ONG de défense des droits des femmes, rapporte le Spiegel.
L’excision, pratique traditionnelle dans de nombreux pays d’Afrique et du Moyen-Orient, peut causer hémorragies, infections urinaires, règles douloureuses, douleurs chroniques, diminution du plaisir sexuel et problèmes durant l’accouchement, entre autres complications.
Il y a au moins 500 000 victimes de ces mutilations et 180 000 supplémentaires à risque en Europe, selon les dernières estimations du Parlement européen, datées de 2009. Depuis, l’arrivée massive de migrants, notamment en Allemagne, a aggravé la crise sanitaire.
Merci à Vlo
L'une des parties civiles réclame officiellement au procureur et aux juges d'instruction la reconnaissance du caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi.
Alors que Kobili Traoré a été mis en examen le 10 juillet pour homicide volontaire sur Sarah Halimi, violemment frappée à coups de combiné de téléphone puis défenestrée le 4 avril dernier dans le quartier de Belleville, à Paris, les parties civiles ne se satisfont toujours pas des chefs de mises en examen. Car, à ce stade, la justice ne retient pas le caractère antisémite du meurtre.
Me David-Olivier Kaminski, avocat de l'un des fils de la victime, a adressé deux courriers, que Le Parisien/Aujourd'hui en France a pu consulter, au procureur de la République et aux deux juges d'instruction en charge du violent meurtre de Sarah Halimi.
«Comment pouvez-vous sincèrement présumer que la circonstance aggravante d'antisémitisme serait à ce point inexistante du dossier, sans le moindre indice grave ou concordant pour ne pas prendre de réquisitions écrites en ce sens ?», écrit Me Kaminski au procureur de la République. Pour l'avocat, pas de doute dans cette affaire : «Aujourd'hui, il s'agit d'un véritable déni d'action publique.» Il rappelle par ailleurs que «le ministère public traditionnellement représente les intérêts de la société, qu'il permet d'assurer l'action publique pour le compte des victimes». Il appelle ainsi le procureur de la République à «faire le nécessaire et [à] prendre toutes les réquisitions utiles en vue d'un réquisitoire supplétif incluant la circonstance aggravant d'antisémitisme».
Dans un second courrier, adressé aux juges d'instruction, David-Olivier Kaminiski s'interroge : «Pourquoi et comment, si vous avez pu interroger Kobili Traoré et le mettre en examen, celui-ci serait resté en psychiatrie et n'aurait pas fait l'objet d'une mise à l'écrou» ? Il souligne que l'expertise psychiatrique du suspect n'a pas été communiquée aux parties civiles. Le conseil s'étonne par ailleurs que les juges n'aient «pas cru pouvoir lister dans cette procédure les nombreux indices permettant de traiter judiciairement ce crime dans toutes ces dimensions et notamment dans sa dimension antisémite».
Le 4 avril dernier, vers 4 heures du matin, Kobili Traoré s'est introduit chez Sarah Halimi, 65 ans, une voisine de confession juive qu'il connaissait depuis plusieurs années. Selon des témoins dans l'immeuble, la violente attaque est perpétrée aux cris de «Tu vas payer», «Allah Akbar». Après la mort de Sarah Halimi, le suspect aurait lancé «J'ai tué le sheitan» (le démon, en arabe).
Lors de sa présentation aux juges d'instruction le 10 juillet dernier, Kobili Traoré a reconnu avoir tué sa voisine -«Je l'ai tapée avec le téléphone. Ensuite avec mes poings»- mais a refusé la dimension antisémite de son geste. «Je ne suis pas antisémite», a-t-il assuré. «Ça aurait pu tomber sur n'importe qui». Il a affirmé à plusieurs reprises depuis la veille du meurtre, le 3 avril, qu'il se «sentait possédé», «oppressé par une force extérieure, une force démoniaque», «des bouffées d'angoisse».
Le général Pierre de Villiers, chef d’état major des armées, était convoqué à l’Elysée après-demain pour être limogé par le caporal Macron. Il a préféré donner aujourd’hui sa démission, renvoyant ainsi l’humiliation sur celui qui voulait l’humilier.
Il est évident que cette première sous la Ve République est un événement majeur.
« Si le chef d'état-major des armées s'oppose au président, le chef d'état-major des armées change », avait dit le petit dictateur qui se prend pour Napoléon. Mais Napoléon était un grand stratège, alors que le petit caporal de l’Elysée n’est qu’un valet de la finance.
Le chef d’état major des armées ne s’était pas opposé au président, il avait dit ce qu’il pensait du budget de l’armée devant une commission parlementaire qui le lui demandait.
Mais cela aussi est donc désormais interdit sous le règne de Sa Suffisance Macron Ier.
On remarque d’autre part l’absence totale du « ministre des Armées ». Oui, personne ne sait qui c’est, mais elle s’appelle Florence Parly. Sans doute est-elle en vacances aux Baléares.
Il se confirme donc que les ministres de Macron sont de simples potiches, et que Sa Suffisance décide toute seule au gré de ses fantasmes pyramidaux. Les ministres ne sont même pas habilités à commenter et à soutenir les décisions du président… De même que les députés macroniens sont de simples potiches vouées à voter aveuglément ce que décide leur créateur.
On soulignera toutefois que cette agitation macronienne ne vise qu’à tenter de faire diversion quant au fait que le Macron n’est lui-même qu’une potiche, un pantin de l’euromondialisme.
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C’est pour quand, le putsch de la famille de Villiers ? Ça urge...
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Précision
Florence Parly n’est pas aux Baléares. Elle joue au petit soldat en Jordanie. Et on ne rigole pas…
Le blog d'Yves Daoudal
L'Est Républicain publie une lettre de l'ancien magistrat à un journaliste. Dans ce courrier rédigé le jour de son suicide, le 11 juillet, il donne le fond de sa pensée sur l'affaire qu'il a instruite de 1984 à 1986.
A la veille des obsèques de l'ancien juge Jean-Michel Lambert, jeudi, au Mans (Sarthe), le quotidien L'Est Républicain reproduit dans son intégralité une lettre-confession adressée au journaliste Christophe Gobin. L'ancien magistrat est décédé le 11 juillet, vraisemblablement après un suicide. Dans cette lettre manuscrite, rédigée le jour de sa mort, il explique sa volonté de se donner la mort car il n'a «plus la force de (se) battre».
«J'ai décidé de me donner la mort car je sais que je n'aurai plus la force désormais de me battre dans la dernière épreuve qui m'attendrait», écrit dans cette lettre Jean-Michel Lambert, décédé quelques semaines après un rebondissement dans l'enquête sur la mort, le 16 octobre 1984, du petit Grégory Villemin, 4 ans.
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Cette missive a été envoyée au journal par la veuve du magistrat, qui, une fois informée de son contenu, a autorisé sa publication. L’ex-magistrat a rédigé quatre lettres avant sa mort : pour Nicole, sa femme, pour sa fille, pour son éditeur et pour le journaliste de L’Est Républicain, Christophe Gobin. «Depuis 2004, il avait noué avec ce dernier une relation amicale, nourrie par une passion commune pour les polars et le cinéma», explique le quotidien.
Selon Jean-Michel Lambert, les dernières péripéties de l'affaire Grégory (mises en examen des époux Jacob et de Murielle Bolle) n'ont pas de valeur. Cet énième rebondissement «est infâme», écrit-il. «Il repose sur une construction intellectuelle fondée en partie sur un logiciel. La machine à broyer s’est mise en marche pour détruire ou abîmer la vie de plusieurs innocents, pour répondre au désir de revanche de quelques esprits blessés dans leur orgueil ou dans l’honneur de leur corps. Certains de mes confrères ont emboîté le pas avec une mauvaise foi abominable.»
Il répète, sans pour autant s'attacher à le démontrer, que «Bernard Laroche est innocent». «La construction intellectuelle que je viens d’évoquer est en réalité un château de cartes qui aurait dû s’effondrer dès le premier regard objectif sur le dossier.» Il écarte aussi toute implication de Murielle Bolle, la nièce de Bernard Laroche. «Dès novembre 1984, j’ai pu démontrer que si Murielle Bolle n’était pas dans le car de ramassage scolaire, ce n’était pas le mardi 16 octobre mais le mardi 23 octobre, semaine où elle est rentrée chez elle à cause de la grippe».
Le magistrat à la retraite depuis 2014 confie son amertume et refuse de porter seul le fardeau du fiasco judiciaire. «Pour ne pas perdre la face, on cherchera alors un bouc émissaire. Autant dire qu’il est tout trouvé…Je refuse de jouer ce rôle. Si j’ai parfois failli, j’ai cependant la conscience parfaitement tranquille quant aux décisions que j’ai été amené à prendre. On ne connaîtra jamais la vérité parce qu’on refuse de voir la vérité. Et pourtant si on acceptait de regarder les annales judiciaires américaines ou transalpines…», poursuit-il, laissant entendre qu'il croit encore à la responsabilité de Christine Villemin (...) «Je préfère sonner la fin de partie pour moi. L’âge étant là, je n’ai plus la force de me battre. J’ai accompli mon Destin», conclut-il.
19/07/2017 – FRANCE (NOVOpress)
A l’Assemblée nationale mardi soir, Marine Le Pen a déploré les coupes dans le budget de l’armée et a pris la défense de Pierre de Villiers, critiquant vivement Emmanuel Macron.
Très remontée, Marine Le Pen a de nouveau évoqué les coupes à venir dans le budget de l’armée. Une décision « inadmissible » selon elle.
Nos soldats effectuent leurs missions périlleuses avec un équipement d’un autre âge ou ne touchent pas les primes qui leur sont dues. C’est inacceptable !
Puis Marine Le Pen a pris la défense du général de Villiers qui « a osé porter devant la représentation nationale, une parole forte et honnête ». « Les foudres de notre président arrogant lui sont tombées dessus de manière humiliante et totalement inappropriée » a-t-elle déploré, visant Emmanuel Macron.
Bernard Antony, président de l’AGRIF, président de Chrétienté-Solidarité, communique :
On ne peut qu’approuver la courageuse décision du Général Pierre de Villiers de ne pas se soumettre plus longtemps à l’indécent autoritarisme à son égard d’un président de la République qui, en revanche, laisse libre cours à toutes les divagations haineuses de la raciste anti-chrétienne et anti-française, l’anarcho-gauchiste Marlène Schiappa.
Le Général de Villiers n’a nullement enfreint son devoir de discrétion en répondant à huis clos, selon son devoir, à des questions de députés.
Mais il ne pouvait approuver encore de nouvelles réductions de budget, affaiblissant toujours plus notre armée et qui se traduiront hélas inéluctablement en pertes humaines.
Désormais, le Général de Villiers, grand soldat de l’honneur français, disposera librement de sa parole pour la défense de la France.
On souhaiterait qu’il s’avise un jour de se mettre en situation de pouvoir démocratiquement succéder à l’actuel personnage qui, à l’Élysée, continue de mener une politique d’abaissement de la France.
https://www.causeur.fr/armee-pierre-de-villiers-demission-macron-145635
NdB: Exact. Il ne l'a pas fait. Il a préféré se marier pour ne pas rester vieille fille.
TVL
Passionnant
Linformation avait été tenue secrète jusque-là pour permettre aux enquêteurs de pousser leurs investigations en toute discrétion. Le 9 juillet dernier, aux environs de 18 heures, une interne des hôpitaux de Marseille, en 9 ème année, a été victime d'une très violente agression à caractère sexuel à l'intérieur du bâtiment abritant l'internat de la Timone.
"Un homme extérieur à l'hôpital s'est introduit par la porte dentrée de linternat et a tenté de violer notre collègue dans les escaliers situés à quelques mètres de sa chambre", se désole Justin Breysse, président du Syndicat Autonome des Internes de Marseille (SAHIM). Violemment frappée au visage par son agresseur, qui a ensuite pris la fuite par un petit portillon, la victime souffre de multiples plaies de la face, de fractures des os du crâne et dune hémorragie intracrânienne. Âgée de 27 ans et profondément traumatisée, la jeune médecin a dû subir plusieurs jours dhospitalisation indique encore Justin Breysse. Dans un communiqué, le SAIHM a apporté son soutien à la victime et rappelé que le syndicat avait "signalé à plusieurs reprises des dysfonctionnements graves dans la sécurité de cet internat".
"Les dirigeants de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille nont pas réalisé les travaux demandés pour des raisons budgétaires", sindigne encore Justin Breysse, "par exemple, la porte d'entrée de l'internat, par laquelle est entré l'agresseur ne fermait pas depuis plus 6 mois". Mais depuis l'agression, l'AP-HM, dans un communiqué, a indiqué qu'une réunion avec l'ensemble des acteurs s'est tenue et des mesures ont immédiatement été prises, en particulier concernant la porte d'entrée et la surveillance par caméra de l'internat. L'AP-HM précise également qu'un agent de sécurité est en poste depuis le 10 juillet devant le bâtiment.
Une réunion est prévue demain entre les internes, la Direction des travaux et la Direction de la Timone afin de faire le point sur les travaux complémentaires à réaliser.
Selon nos informations, les enquêteurs effectuent actuellement "des vérifications" sur un homme d'une vingtaine d'années arrêté, hier, pour une agression sexuelle dans le métro datée du week-end dernier.
"Le profil correspond et nous travaillons sur cette piste mais à cette heure rien nindique qu'il y ait un rapport avec la tentative de viol de la Timone", glisse une source policière.
LA PROVENCE